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Introduction générale à la fiscalité des entreprises

Section I : L’évolution historique de la fiscalité des entreprises .................................................... 2


Section II : Le système fiscal français ............................................................................................ 2
§1. - Les principes directeurs du droit fiscal français..................................................................... 2
A. Le principe de légalité de l'impôt (« nullum tributum sine lege ») ........................................................ 3
B. Le principe d'annualité de l'impôt ......................................................................................................... 3
C. Le principe d'égalité devant l'impôt ...................................................................................................... 3
D. Le principe de nécessité de l'impôt ....................................................................................................... 4

§2. - Les personnes fiscales .......................................................................................................... 4


A. - Les contribuables ..................................................................................................................................... 4
B. - L'administration fiscale ............................................................................................................................ 4
E. C. - Le juge fiscal .................................................................................................................................... 5

§3. – Le territoire fiscal français ................................................................................................... 5


A– Les collectivités composant le territoire fiscal français............................................................................. 5
B– Les collectivités exclues du territoire fiscal français ................................................................................. 5

§4. - Les caractéristiques intrinsèques du droit fiscal ................................................................... 6


F. A. - Le juridisme du droit fiscal............................................................................................................. 6
G. B- L’autonomie du droit fiscal ............................................................................................................... 7

Chapitre I – L’imposition des entreprises ............................................................................ 8


SECTION 1 : LE CHAMP D’APPLICATION DES BENEFICE INDUSTRIELS ET COMMERCIAUX (BIC) ... 8
A. - Les exploitants résidents ..................................................................................................................... 8
B. - Les exploitants non-résidents .................................................................................................................. 9

§2. - Les opérations imposables ................................................................................................... 9


A. - Les professions commerciales ................................................................................................................. 9
B- Les professions industrielles .................................................................................................................... 10
B. - Les professions artisanales ................................................................................................................ 10
D. - Les activités financières ......................................................................................................................... 10
E. - Les prestations de services ..................................................................................................................... 10
F. - Les activités commerciales par détermination de la loi ......................................................................... 10
G. - Les locations .......................................................................................................................................... 10

SECTION 2 : LA DETERMINATION DU BENEFICE IMPOSABLE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET


COMMERCIALES ........................................................................................................................ 12
§1. - Les principes généraux de détermination du bénéfice imposable ....................................... 12
A. La période d’imposition ....................................................................................................................... 12
B. Le bénéfice imposable de l’entreprise ................................................................................................ 12
C. L’actif commercial de l’entreprise ....................................................................................................... 13
§2. - La détermination du bénéfice brut ..................................................................................... 16
A. - Les produits ....................................................................................................................................... 16
B. - Les plus-values et moins-values d’actif ............................................................................................. 17

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Section I : L’évolution historique de la fiscalité des entreprises

Le mot droit fiscale vient du latin « fiscus » désigne à l’origine la corbeille d’osier qui recueillait les
deniers versés par les contribuables pour être remis à la caisse centrale de Rome.

L’évolution de la fiscalité des bénéficient se confond avec les impôts directs et témoigne d’une
imagination fiscale.
L’impôt apparait dans l’empire romain sous la forme de la capitation : calculer sur la base du nombre
de personnes travaillant dans l’activité agricole et frappe les biens, proportionnelle à la fortune.

Le moyen âge voit éclore le cens qui est une redevance fixe, que le vassal devait payer à son seigneur
en raison d’un bien que celui-ci lui avait remis pour y travailler et vivre.
Également le champart et une redevance seigneuriale portion de la récolte.
Caractériser aussi par la DIME versé au clergé sur toutes les terres.

La fiscalité royale qui est marqué par 3 impôts :

- La taille royale 15eme siècle qui était un impôt personnel prélever sur les revenus en échange
de la protection
- La capitation, impôts sur les personnes par tête selon les revenus
- L’impôt du 10eme, prélèvement du revenu de tourtes les propriétés.

La révolution aucun impôts sur les revenus et donc la fiscalité va reposer sur 4 impôts :
- La contribution mobilière
- La contribution financière
- La contribution des patentes
- La contribution des portes et fenêtres, déterminer selon les ouvertures visibles vers l’extérieur.

1914 fiscalités française se dote de l’impôt sur le revenu :


- Taxation sur chaque revenu

Au lendemain de la seconde GM :
- Impôt sur les sociétés
- La création de la TVA (1954)

Section II : Le système fiscal français

§1. - Les principes directeurs du droit fiscal français

Quels sont les personnes fiscales ? quels sont les caractéristiques intrinsèques du droit fiscale ?

Les principes directeurs du droit fiscales français :

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4 grandes règles, le détermine :

A. Le principe de légalité de l'impôt (« nullum tributum sine lege »)

- Principe de légalité de l’impôt, découle de l’article 34 de la constitution.


Le législateur (il s’agit du parlement) est le seul compétant pour définir l’assiette et le mode de
recouvrement de l’imposition.

Le législateur est compétant pour fixer un certain nombre de points :

1- Il peut fixer de l’assiette, c’est la consistance de la matière imposable ce sur quoi porte l’impôt.
(Un revenu un chiffre d’affaires.)
2- Il peut fixer le contribuable, déterminer la personne qui est légalement redevable d’impôt.

Le fait générateur de l’impôt, c’est l’évènement ou l’acte juridique fait naitre l’obligation générateur.
(Vente, détention de biens…)

3- Il est aussi compétant pour déterminer le taux d’imposition. On peut varier en fonction de la
matière de taux unique proportionnelle …
4- Compétant pour fixer les règles de liquidation, calcul du montant de l’impôt.
5- Et fixe les règles en matière de recouvrement, cad paiement de l’impôt par les contribuables.

B. Le principe d'annualité de l'impôt

Le parlement (législateur) autorise tous les ans à lever les impôts.


Le gouvernement n’est pas autorisé à prélever à donner ordres de prélever les impôts. Il faut que le
parlement autorise le gouvernement à la faire.
C’est le gouvernement est autoriser à le faire, il ne peut pas prendre la décisions seule.
Cette autorisation ne concerne que le recouvrement.

C. Le principe d'égalité devant l'impôt

Signifie que tous les citoyens sont égaux devant les charges publiques et que les différences ne peuvent
d’êtres fonder que sur les capacités contributives de chacun ou pour des motifs d’intérêts généraux.
Exemple : une exonération d’impôts pour favoriser l’entretiens des édifices cultuels, présentant un
caractère historique ou architecturaux, afin de préserver le patrimoine national, ou pour préserver les
conditions des personnes les plus démunies.

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D. Le principe de nécessité de l'impôt

Implique de prouver le juste équilibre entre la nécessité de l’impôt et le droit du contribuable.

3 domaines principaux :

- Le législateur soit appliqué les mêmes lois Fiscales que les sanctions pénales elles doivent être
proportionné et adéquate.
- Lois fiscales ne doivent pas porter une atteinte excessive aux libertés individuelles, la loi doit
être assortie de suffisamment de prescription et de précision pour interdire toute
interprétation ou toute pratique abusive de la part de l’administration fiscale.
- Le juge conditionnel censure les juges fiscaux d’une complexité excessives et qui ne sont pas
justifier d’un motif général suffisant.

§2. - Les personnes fiscales

Le droit fiscal français met en scène 3 acteurs :

A. - Les contribuables

- Les contribuables : toutes les personnes qui sont susceptible être assujettie au droit français,
personnes physiques, quel que soit son âge (un mineur qui a un revenu ou un patrimoine, doit
payer des impôts).
Des personnes morales société, associations, collectivités publiques, mais certaines d’entre
elles bénéficie des exonérations.
La situation géographique, domiciles ou siège sociale en France ont une obligation fiscales
illimités. Elles sont ainsi imposables sur le revenu et les biens quelle détiennent en France mais
aussi sur les revenus/ bien qu’elles perçoivent/ ont à l’étranger.
A l’opposer les personnes qui ont leurs domiciles ou sièges à l’étranger et ne sont imposables
que sur les revenus et bien qu’elles détiennent en France. Un étranger qui détient un
immeuble en France dépend pour celui-là d’un impôt en France.

B. - L'administration fiscale

L’administration fiscale, plusieurs services interviennent dans différents domaines.

1) La Direction générale des finances publiques (DGFIP)

La direction générale des finances publiques (DGFIP), créée en 2008, à 3 missions :


• Elle assure la gestion des biens patrimoniales, du cadastre de la publicité foncière,
• Rédige les textes législatifs et règlementaires en matières fiscales,
• Ainsi que toutes les instructions nécessaires à leur application

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2) La Direction générale des Douanes et des Droits Indirects (DGDDI)

Direction générale des douanes et des droits indirects (DGDDI) :


• Charger de la perception des droits et des taxes à l’entrer des marchandises
• De la lutte contre les trafics
• Contrôle des impôts indirects (taxes produits pétrolier, tabac, alcool, métaux précieux),
• Contre la lutte des contrefaçons, stupéfiants, lutte pour le patrimoine français.

3) Les autres organismes

- Conseils des prélèvement obligatoires, les commissions administratives :


• Interviennent entre les litiges des contribuables avec .. Lors des redressements fiscaux.
- La commissions des infractions fiscales
- Le comité des droits fiscales, le comité du contentieux douanier, le médiateur du Finistère de la
fiance et de l’industrie.

E. C. - Le juge fiscal

Le juge fiscal ne relève pas d’une catégorie unique de tribunaux, mais il est réparti entre les tribunaux
administratifs et judicaires.
Les juridictions administratives sur les recours des impôts direct et taxes sur le CA.
En matière d’impôt sur la fortune et d’impôt indirect les contribuables doivent saisir les juridictions
judicaires. Cela commence au tribunal judiciaire puis le contentieux monte devant la cour d’appel puis
devant la Cour de cassation.

§3. – Le territoire fiscal français

La corrélation entre le territoire français politique. Certaine collectivité dépende de la république


française et échappe à la fiscalité du droit français, elles sont donc considérées étranger et
indépendant par rapport à la métropole française.

A– Les collectivités composant le territoire fiscal français

Pour l’application d’impôt la France s’entend de la France continentales, des iles littorales, de la corse
et outremer (Martinique …) : constitue les territoires fiscaux français.
L’impôt français s’applique sur tout le territoire.

B– Les collectivités exclues du territoire fiscal français

Les dispositions applicables à la France n’incluent pas les collectivités d’outremer (Saint Barthélemy,
Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon, la Polynésie française et les îles Wallis et Futuna).
Elles ne font pas fiscalement parties de la France et son considérer comme des territoires étrangés.
Leur relation avec la France sont régis par des conventions fiscales et internationales, elles sont
considérées comme des états qui ont juste des conventions avec la France.

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§4. - Les caractéristiques intrinsèques du droit fiscal

Le droit fiscal est brevet de caractéristiques qui le différencie du droit, il est fortement juridicisé et il
est autonome par rapport aux autres branches du droits.

F. A. - Le juridisme du droit fiscal

- La juridisation du droit fiscale, il n’existe pas d’autres branche du droit qui soit autant juridicisé
que la fiscalité. Cette juridisation se manifeste par la prolifération de textes de toute nature
qui rendent le système fiscal de plus en plus oppressif et ce depuis les années 1970. Provient
essentiellement de la multiplicité et de l’autorité de ses sources. C’est un droit de
superpositions, cad qu’il tire sa source de plusieurs textes superposés.

1) Les sources internationales

- Les traités et engagements internationaux occupent une place signifiante dans les normes
applicable par le juge. Et ce sous l’influence de facteur, tout d’abords sous l’influence des
convention fiscales internationales.
- La place croissante occupant par le droit de l’UE en raison de la loi européenne
d’harmonisation fiscales, la quasi-totalité des règles en matière de TVA sont issue des travaux
de la commission européenne. La règlementation de la TVA est aujourd’hui essentiellement
européenne donc identique d’un état à l’autre.

2) Les sources communautaires

3) Les sources nationales

a) La Constitution

La constitution au sommet de la hiérarchie juridique, mais la source nationale prédominantes et la loi.

b) La loi

Applicable par le juge des impôts puisque qu’aucun prélève fiscale ne peut être prélever s’il n’a pas
été autorisé par une loi.

c) Les règlements

Les règlements, en principes les dispositions ne peuvent être établies que par le gouvernement s’il est
habilité par le règlement grâce à des ordonnances. Certaines dispositions sont expressément
abandonnées pour pouvoir être appliqué celles qu’on trouve dans les annexes.

d) La jurisprudence

Les décisions des tribunaux, le système juridique français retire tout droit en matière législative, le juge
doit appliquer la loi, il ne peut pas la faire ou la défaire. Mais la rédaction parfois obscure ou imprécise
des lois fiscales fait que la jurisprudence devient une source interprétative du droit fiscale, qui s’impose
autant à l’administration fiscale qu’aux contribuables.

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4) La doctrine administrative

a) La valeur juridique de la doctrine fiscale

Constitué par les interprétations des textes fiscaux. Le ministère des finances a proposé aux agents de
l’administration une sorte de mode d’emploi de la loi fiscale qui est destiner non seulement à veiller à
l’application Uniform de loi sur tous les territoires et éclairer les agents de l’administration sur la
signification et l’interprétation des textes significatifs.
Le problème de la valeur juridique, elle a une place particulière aux seins des normes publier, elle est
indispensable car les lois fiscales sont mal rédigées donc le Finistère des finances est obligé de publier
le mode d’emploi qui va avec et donc compléter la doctrine pour éclairer les agents de l’administration
sur l’applications des nouvelles dispositions fiscales. En gros la doctrine est un mode d’emploi pour
les agents. Mais les agents fiscaux ont une tendance de faire de la doctrine une véritable loi, alors que
la doctrine fiscale est donc apparue dans les distractions fiscales à côtés de la loi officiels. La doctrine
administrative n’a aucune valeur, celle-ci a une double nature soit participe à une interprétation de la
loi fiscale, soit elle sera une tolérance à l’égard des agents administratifs.

a) La doctrine fiscale et le contribuable

La croyance populaire, fait de la doctrine administrative une véritable source de droit au même titre
que la loi mais la réalité est tout autres, car à la différence de la loi fiscale n’est pas opposables à la
contribution des contribuables. Tandis que les contribuables peuvent opposer à l’administration sa
propre doctrine. Chaque fois que l’administration va notifier à un contribuable un redressement
fiscale fondés sur la doctrine administrative et bien se redressement sera irrégulier et nul/
irrecevable.

G. B- L’autonomie du droit fiscal

1) L’affirmation de l’autonomie du droit fiscal

Il est de plus en plus évident que le droit fiscal est un droit qui s’organise de manière originale, c’est
règles et ses principes particuliers, on dit qu’elle est autonome.

L’autonomie signifie que quand on a une notion de droit civil ou commerciales qui est appréhendé
par le droit fiscales va suivre la conception civile soit il va développer sa propre conception de la
chose on peut avoir des notions qui ont des appréhensions en droit civil et commerciales.

Développe sa propre notion, et développe bcp de particularisme

2) La contestation de l’autonomie du droit fiscal

3) Le réalisme du droit fiscal

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Chapitre I – L’imposition des entreprises
L’imposition est régie par des règles spécifiques a des règles de l’entreprise.
Quand elle fait du commerce elle a des impositions sur le commerce industriel.
Droit au bénéfice non commerciaux : médecin architecte avocat
Activité agricole imposé aux règles des bénéfices agricoles
3 corps de règles qui ne se ressemble pas

Deux raisons :
- Les bénéfices de l’impôt sur société sont déterminés sur les mêmes règles que sur l’impôt sur
le revenu
Les règles s’appliquent à toutes les entreprises
Misent sur l’impôt sur le revenu quel que soit l’activité, individuelle…elles ont vocation à
s’appliquer aux sociétés qui ont l’impôt sur les sociétés qui ont une activité libérale agricole
immobilière commerciale ou industrielle.
Les BIC s’applique
- Les règles propres au Bic peuvent concerner les entreprises non commerciales, par exemple
les plus-values des entreprise libérale ou agricole sont régis par les même règles que les
entreprises commerciales
La fiscalité s’applique sur des sociétés non commerciales

SECTION 1 : LE CHAMP D’APPLICATION DES BENEFICE INDUSTRIELS


ET COMMERCIAUX (BIC)

A. - Les exploitants résidents

L’internationalisation des échange commerciaux, les BIC ne peut faire abstraction que l’exploitant peut
habiter en France ou hors de France.

1) Les activités réalisées en France

Si un entrepreneur à son domicile en France il est imposable en France sur les bénéfice industrielle et
commerciaux qu’il réalise, que ses bénéfices soient de source française ou étrangère.
Imposable a l’impôt sur les revenus dans les bic (bénéfice industrielle et commerciaux) quel que soit
leurs activités.
Il peut s’agir des exploitant individuel, des associer d’une entreprise unipersonnelle a responsabilité
limité, EURL, et des associer de personnes lorsque ses sociétés réaliser des activités commerciales
artisanal ou industrielle.

2) Les activités réalisées hors de France

Les bénéfices étrangers sont pris en compte pour connaitre l’imposition sauf si l’activité est exercée
dans un pays étranger ayant conclu avec la France une convention fiscale internationale, réservant au
pays étranger l’imposition des bénéfices réaliser par un établissement stable.

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B. - Les exploitants non-résidents

Lorsque l’entrepreneur est hors de France, il est imposable en France, sur les résultats des exploitation
industrielle et commerciales qu’ils détiennent en France. En revanche le bénéfice réalisé a l’étranger
ne seront pas assujettie à l’impôt français, leur imposition relèvera de la législation fiscale de l’état de
l’établissement.

Cas pratique 1 :

Établissement stable, autonome (administration, gestion…) par rapport à l’établissement principale,


c’est une succursale.

Imposition française et imposer portofino car pas d’établissement en Italie, car c’est leur entreprise en
France qui vend directement. On n’a pas d’établissement stable italien, les bénéfices des deux seront
en France. Que ce soit celui de portofino ou à saint remy.
En revanche dala costa, les ventes en toscane seront imposable en Italie selon leur droit fiscale, mais
l’imposition française va garder celle de saint remy de Provence car elle constitue un établissement
stable (succursale gérant qui administre directement toute la succursale approvisionnement
distribution) totale autonomie de l’établissement donc les bénéfices de ces établissements sont
imposables en France.

§2. - Les opérations imposables

Les revenus imposables des BIC 34 et 35 du code des impôts :

A. - Les professions commerciales

1- Les professions commerciales : les champs d’applications regroupent en priorité l’ensemble


des opérations qualifier acte de commerce au sens juridique, c’est-à-dire celle qui sont
appréhender dans le cadre d’activité professionnel, et opération de vente.
La circonstance que l’exploitant dispose ou non d’un lieu fixe d’où il exerce son commerce est
totalement indifférente. Par. Exemple les forains sont totalement imposable dans les mêmes
conditions que les commerçant qui possède un locale ou ils exploitent leur fonds de commerce.
Les agriculteurs sont considérés comme des bénéfices agricoles tous les revenus de biens
ruraux, aux propriétaires exploitant au fermer ou bataillé. Les revenus qui proviennent de la
vente de leur exploitation sont catégorisant dans les bénéfices agricoles. Cela dit les
agriculteurs qui se livres aux négoces d’animaux son imposable selon le régime des BIC. Ainsi
lorsqu’une personne fais à la fois de la revente de bestiaux et d’élevage, tous les bénéfices
sera soumis au régime des BIC, mais à condition que l’activité de négoce soit prépondérante
par rapport à l’activité d’élevage.

2- Ventes de produits sur internet : il est de principes que les applis de vente sur internet par des
particuliers, ces actes de ventes sont commerciaux que si leur régularité et leur importance
démontrer qu’ils correspondent en réalité d’une activité professionnelle.

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B- Les professions industrielles

Production de bien, opérations de construction et de terrassement, de transport, d’extraction de


matériaux et également les industries minières

C- Les professions artisanales

Sont comprises dans les professions commerciales et industrielle, mais l’artisan est un employeur
indépendant exerçant une activité manuelle, exigeant une qualification acquise a la suite d’un
apprentissage et que cherche à réaliser la valeur de son travail. Restauration, marchand ambulant, ou
petites entreprises comme chauffeurs de taxi.

à La distinction des droit est juridiques mais fiscalement il ni a pas de différance

D. - Les activités financières

La qualité commerciale a été reconnu dans les activités financières comme les actes de cautionnement
à acte de droit civil mais lorsqu’un contribuable recoit le cautionnement c’est un caractère
commercial.

E. - Les prestations de services

Certaine sont considérées comme ayant un caractère commercial, par exemple la surveillance
d’habitation et de magasins. La rémunération au gardien est considérée comme un bénéfice industriel et
commerciale. (Faites par des sociétés de surveillance)

F. - Les activités commerciales par détermination de la loi

Pas des actes de commerces sont rattacher a la catégorie … : par exemple opération d’intermédiaire
d’acquisition de bien immobilier, ou activité d’’agent immobilier.

G. - Les locations

L’activité de location d’immeuble est une activité de nature civil, les revenus tirer par un propriétaire
devrait tj être imposable dans la catégorie des revenus foncier.
Mais principe pas absolu, le profit retirer de centaines opérations échappent sous certaines conditions
à la catégorie foncier au profit d’autre catégorie de bénéfices. Par exemple les revenu qu’un locataire
tire de la sous location son catégoriser sous les bénéfices non commerciaux.
Les profits retirer des locations ou sous locations d’immeuble meuble/équiper sont rattacher aux
bénéfices industriels et commerciaux. La location d’immeuble meuble mêle deux opérations : civil de
loi d’immeuble et commerciale de louage de meubles. Le civil l’emporte sur le commercial. Alors qu’en
fiscalité c’est le commercial qui l’emporte sur le civil. Donc en droit fiscale pas considérer comme des
opérations civiles mais des opérations commerciales.
(Le droit fiscale internationale, lui englobe les loc nu ou mobilier dans la catégorie d’immobilier)

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1) Les locations d'établissements industriels et commerciaux munis de leurs moyens
d'exploitation

La location d’un immeuble à usage indu ou commerciale ne peut être utiliser que si elle correspond à
la location du fonds de commerce lui-même. Elle doit porter à la fois sur les mur et l’équipement
professionnelle du locale. Peut s’agir d’une location d’usine, d’un camping aménager, d’un
établissement scolaire, médicale, mais aussi la loc d’un locale médicale (médecin infermière).

2) Les locations de fonds de commerce

Les profits retirer de la mise ne location sont du régime du BIC.

3) Les locations d'immeubles meublés

Loc de logement meublé, toujours considérer comme une activité civile, en droit privé la loc d’un
immeuble c’est un act civil. Mais le droit fiscal s’écarte du droit privé et la loc est une activité
commerciale de la catégorie des BIC, et non de celle des revenus fonciers. Que l’activité soit réalisée à
titre professionnelle ou non.
Règle faite par le législateur 35 du code général des impôts.
Autrefois il était exigé que l’activité soit exercée habituellement, depuis 2017 les loc en meuble sons
soumis au régime des BIC (et pas revenu foncier) quel que soit leur importance que ça soit habituelle
ou occasionnelle et ne dépend pas du nombre de logement que l’on possède.
La location garnie de meuble est considérée meubler lorsque les meuble louer avec le locale sont
suffisant pour donner un minimum d’habitabilité. Les locaux doivent être meuble et équipés afin que
le locataire puisse y vivre convenablement et le bailleur doit fournir le mobilier indispensable à la vie
courante et se mobilier doit être suffisant sans que le locataire ait besoin d’y ajouter d’autres meubles.
Il peut arriver que l’on dissocie la propriété des murs et la propriété des meubles, une société civile
pour les meubles, et un seul locataire commun.
Est-ce qu’on peut échapper à la location meuble ?
La dissociation ne peut permettre d’acter la notion de location meublé qu’à condition que la location
des meubles soit consentie par une personne qui n’a aucun liens juridique direct ou indirecte du
propriétaire des murs.
Ce genre de montage est généralement fait par les sociétés car location : meuble impôt sur société
donc pas forcément avantageux.
Location meuble, sous loc de leur habitation son exonéré d’impôt sur le revenu à condition que le loyer
soit fixé dans des limite raisonnable et que la loc constitue la l’habitation principale du locataire ou du
sous locataire.
Considérer aux BIC les bénéfices par les concessionnaires de mines, profits retirer des activités de
spectacle, diagnostiqueurs immobiliers (revenu son des bénéfices industrielles et commerciaux BIC)

4) Les locations de biens meubles

Profit imposable dans la catégorie des BIC, et le droit fiscal tire des conséquences du code de
commerce qui érige en acte par nature et ce quel que soit le biens meubles l’objet de la location
(bateaux, auto, télévision, radio, livre, animaux, œuvre d’art)

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SECTION 2 : LA DETERMINATION DU BENEFICE IMPOSABLE DES
ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES

L’ensembles de produits reçus par les entreprises sont le bénéfice brut.


Mais le bénéfice qui sert d’assiette a l’impôt, que ça soit sur le revenu ou société sera le bénéfice net.
Correspond à la différence entre le produit et les charges et en retranchant du bénéfices brut les
charges déductibles.
La détermination de ses deux bénéfices (brut et net), implique le respect d’un certain nombre de
principes, qui conditionne la prise en compte de produits et de charges constatés pendant
l’exploitation.

§1. - Les principes généraux de détermination du bénéfice imposable


A. La période d’imposition

1) L'annualité de l'impôt

Période à laquelle se rattache les différents produits et charges. Déterminer la période d’imposition
de l’entreprise. La période d’imposition, est déterminer par le principe d’annualité, qui est énoncé par
l’article 12 du code général des impôts. Ce principe d’annualité est formulé de la façon dont l’impôt
est de la chaque année en raison des bénéfices ou des revenus que le contrôlable réalise pu disposer
au cours de la même année.
36 et 37 organise en matière de BIC.
36 prévoit que le revenu imposable est constitué de l’ensemble des revenus, obtenu pendant l’année
d’imposition ou pendant la période des 12 mois dont les résultats on permis d’établir le bilan. La
période d’imposition est donc constituée par l’exercice comptable. Imposer sur le bénéfice de l’année
antérieur.

2) L’indépendance des exercices

Produit et charge sont rattacher à une période d’imposition déterminer et ils ne peuvent etre rattacher
à une période d’imposition autre que celle au cours de laquelle ils sont survenus. Si une entreprise fait
face à une charge au cours de 2021 et ne peut pas le mettre sur le bilan de 2022.

B. Le bénéfice imposable de l’entreprise

1) La prise en compte des opérations de toute nature


Le bénéfice est le bénéfice net qui est déterminer d’après le résultat d’opérations de toutes natures
réaliser par les entreprises. Tenir compte de l’ensemble des opérations de l’entreprises ou d’avoir
aucun lien avec son activité.

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2) Variation de valeur de l’actif net
Cession toute opérations de faire sortir un élément de l’actif de l’entrepris, vente, échange, apport à
une autre société, une expropriation considérer comme une vente forcer, verse une indemnité est
considérer comme un prix de vente. Soumis a un régime fiscal privilégier.
38 du code général des impôts, prévoit une seconde règle a savoir que le bénéfices est égale a la
différence a la valeur net de la clôture et sa valeur a l’ouverture de cette période. On compare les
montant du bilan de l’actif et passif a la clôture de l’exercice et ceux de l’ouverture de l’exercice, et la
variation positive sera soumise à l’impôt.

3) La réalisation du bénéfice

La notion de bénéfice présente plusieurs aspects et signifie quand comptabilité le bénéfice prend en
compte les créance active et les dettes certaines quelques soit la datte des encaissements ou
décaissement correspondant. Elle implique que les profits ou pertes latent (pas encre réaliser) ne
doivent pas être pris en compte pour le calcul du bénéfice imposable. Et signifie que le bénéfice est
imposable même s’il n’est pas appréhendé par l’exploitant.
Créance active et dettes certaines, comptabilité commerciale et une comptabilité qui comptabilise les
créances et dettes si elles sont certaines dans son principe et déterminer dans son montant même si
elle n’a pas été recouverte a la clôture de ses exerce. Par exemple une entreprise de vente de
marchandise et livrer au mois de novembre aux clients 10 000, le client ne payes pas tout de suite,
mais dans le bilan il sera inscrit en actif en créance, et calculer pour l’impôt. Cette règle de la créance
active conduit donc a exclure toutes les créances douteuses ou litigeuse. Quand un doute existe cette
créance ne doit pas être pris en compte pour la détermination du bénéfice et sera prise en compte
l’année ou elle est certaine.
Une dette est certaine que lorsque les parties sont d’accord sur la chose et le prix, et tenu pour
déterminer dans son montant que lorsque qu’elle peut être chiffrée avec précision.
Une dette peut être en tenu dans le bénéfice même si elle n’est pas encore payée même s’il ne la paye
qu’un 2023.
Les profits et les pertes latent ne sont pas pris en compte dans le calcul du bénéfice (concerne souvent
les plus-value) exemple : achat immeuble de 100 000, 1 an après il vaut 180 000, mais la plus valu sera
prise en compte que lorsqu’il sera vendu, ils sont en attente de réalisation, on ne change pas la valeur
dans le bilan.

4) Le retraitement du résultat comptable

Le résultat comptable est réalisé par l’entreprise ne correspond pas forcément au résultat fiscal il y a
des corrections, des réintégrations ou des déduction. Le bénéfice imposable il faut faire des
retraitements comptables.

C. L’actif commercial de l’entreprise

1) Définition
La notion d’actif commercial est indissociable de la reconnaissance par le droit fiscal d’une personnalité
spécifique à l’entreprise. Et si cette connaissance ne pose aucune difficulté pour une entreprise sociale,
elle revêt en revanche une importance fondamentale pour les entreprises individuelles. La
détermination de ces résultats implique d’appréhender l’actif commercial de l’entreprise. L’actif
commercial se définit pour les personnes physiques et les sociétés commerciales par opposition au
patrimoine privé de l’exploitant. Le problème de la distinction entre patrimoine commerciale et privé,

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se pose en des termes différents celons si l’exploitation est exercée en des termes individuels ou en
société. L’actif commercial des entreprises individuelles comprend non seulement les biens qui ne
peuvent être utilisés que dans l’exercice d’une profession et qui sont qualifier comme des éléments
affectés par nature à l’exploitation, mais aussi tous les biens que l’exploitant à choisi d’inscrire au bilan
quelle que soit leur affectation.

Les résultats imposables de l’entreprise se trouvant par la différence des bilans de clôture et
d’ouverture. La détermination de ses résultats permet d’appréhender l’actif de l’entreprise.
L’actif commercial se définit pour les personnes physiques que société par opposition du patrimoine
privé de l’exploitant et le problème entre distinction entre les deux patrimoines selon si l’exploitation
est à titre individuelle ou en société.

Actif d’une entreprise individuelle comprends des biens qui ne peut être utiliser que pour l’activité et
qualifier comme des éléments qualifier par nature par l’exploitation, mais aussi des bien que
l’exploitant a choisie d’inscrire au bilan quel que soit leur affectation.
Les produits qui ne proviennent pas de l’activité professionnelle ainsi que les charges qui ne sont pas
nécessité par cette activité ne doivent pas être pris en compte pour la détermination du résultat
professionnelle imposable comme le dit 155 II du code général des impôts.
L’actif de l’Enterprise individuelle se compose des éléments que l’exploitant a inscrit à son bilan, il
dispose d’une liberté de choix pour repartir ses biens entre son patrimoine commercial et privé. Ce
critère a été dégager par un arrêt de l’état du 24 mai 1947, qui a également affirmer que le choix d’un
entrepreneur d’inscrire ou non a l’actif du bilan et une décision de gestion qui lui est opposable.
Si les biens pas inscrit au bilan font partie du patrimoine privé de l’exploitant alors même qu’ils sont
utilisés pour l’activité et bien certain bien font toutefois partie par nature de l’actif professionnel quand
bien même ils ne sont pas inscrits au bilan.
Cette règle fréquemment rappeler par la jurisprudence comprend essentiellement le fonds de
commerce le droit au bail, les licences de boisson de 4eme catégorie.

Verifier L’actif commercial des société à que les entreprises exploiter relève de l’impôt sur le revenu
ou les sociétés sur leur actif est concerné sur le patrimoine social qui ne se confond pas avec celui des
associer compte tenu de l’autonomie juridique et de la personnalité moral compte tenu à ses associés.
La société se présente comme un écran entre son patrimoine et ses associés, ceci ne peut appréhende
que les actions ou par qu’il possède dans le patrimoine, et ses parts ne constitue qu’un bien perso et
non professionnelle.
Cette règle souffre aux sociétés de personnes lorsque les associer exerce leur activité professionnelle
au sein même de la société.
151 à les droit ou parts qu’ils détiennent sont former comme un actif professionnel et bénéficie du
régime des actifs professionnels tant qu’il se concerne des charges déductibles que l’imposition des
plus valus constater lors de leur déposition.

3) Composition

L’actif commerciale est constitué de 4 actifs de biens :


- Les immobilisations
- Les stock (valeur d’exploitation)
- Les créances
- La trésorerie

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L’inscription d’un bien au bilan de l’entreprise est inscription soit au titre des éléments d’actifs ou
d’élément de stock.

Les immobilisations : ensemble des éléments permanant de l’actif autre de ceux qui constitue l’objet
même de l’entreprise. Les éléments permanent de l’entreprise ce sont tous les éléments stables dont
la destination est d’être conservés dans l’entreprise soit comme un moyen d’exploitation ou à titre
d’emploi des capitaux, à l’exclusion de ceux qui constitue par l’entreprise l’objet habituelle de son
négoce (élément corporelle : meuble, terrain, mobilier ou incorporelle brevet fond de commerce droit
au bail voir des marques de fabrique.)

Exemple : Marchand de bien qui achète des immeubles et les revend. Il achète donc des terrains,
constructions qui ont pour destination d’être revendu à des clients. Il va installer ses bureaux son siège
social sur un terrain. Tous les immeubles qui ont pour vocation à être revendu vont être des éléments
de stocks car intention de les revendre (négoce). Mais le local pour ses bureaux lui n’a pas vocation à
être revendu donc se sera une immobilisation.

Éléments d’actifs repose sur 4 critères :

- Éléments identifiables
- Évaluer de façon fiable
- Porteur d’avantage économique futur (susceptible de contribuer à des flux de trésorerie aux
bénéfices de l’entreprise)
- Contrôler par l’entreprise, cela signifie que l’entreprise doit bénéficier de tous les avantages
que provoque se bien, et doit assumer tous les risques afférant à se bien. Ne signifie pas que
l’entreprise doit être propriétaire, la notion de condition de contrôle et plus souple que la
condition de propriété et permet l’inscription au bilan de biens dont l’entreprise n’est pas
propriétaire mais dont elle a au moins la possession.

Critère de pérennité, considérant que doit être porter en immob quand la durée est supérieure à 1 an.
Elle ne s’applique pas au bien qui sont donné en location.
La qualification des biens donné en loc n’est pas déterminer en fonction de leur activité commerciale
mais de leurs objets de l’entreprise. Quand l’objet est l’activité principale de l’entreprise les biens
loués constituent tj des immob. En revanche quand c’est accessoire par rapport à l’activité normale
de l’entreprise ses biens ne peut être porter en immob que s’ils ont été consentie que pour une durée
supérieure à 1 an.

Les stocks, selon l’article 38 du CGI :


Le stock est constitué par l’ensemble des marchandises des matière première des fournitures
consommables, des productions en cours ainsi que tous les produits qui appartiennent à l’entreprise
et dont la vente permet de réaliser un bénéfice d’exploitation. A l’inverse des immob se sont des biens
qui ne sont pas destiner à faire l’exploitation mais sont destiner à la revente.

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§2. - La détermination du bénéfice brut

Le bénéfice brut est composé des produits ainsi que des plus-values

A. - Les produits

Le plan comptable distingue 3 types de produits :


- Produits Exploitations
- Produits Financiers
- Produits Exceptionnelles

Il faut rajouter les revenues immobilières, qui entre dans la catégorie des bénéfice commerciaux
lorsqu’il sont inscrit au bilan de l’entreprise.

1) Les produits d'exploitation

Ils sont la contrevaleur monétaire perçu par l’entreprise à l’occasion de la vente d’une marchandise
ou prestation de services qu’elles effectuent.
Pour une entreprise de vente de fruits légumes, le produit d’exploitation sera la vente. Le prix des
ventes de prestation de services est considéré comme le bénéficie en contrepartie réalisation de
vente ou prestation de service et doit tenir compte des avantages fournis par les clients qui
peuvent constituer des compléments de prix. Ce prix doit présenter un caractère normal et doit
être facturer et doit correspondre à la valeur réelle du bien cédé.

En présence d’une opérations consentie inferieur au prix normal, l’administration fiscal sera en
droit de considérer l’opération comme un acte innommable et de réintégrer dans le résultat
imposable de l’entreprise les sommes qui devrait être perçu.

Exemple marchand de bien qui revend un immeuble qui vaut 100 et le vend que 10, il déclare 10
mais l’administration peut considérer que ce n’est pas vrai et réintégrer la différence de prix. En
droit fiscal la vente d’un bien ou prestation de service doit tj être faites en cohérence avec la vraie
valeur. Prix inferieur à opération innommable (aussi bien pour les particuliers).

Aussi pour les loyers doivent être inclue dans le bénéfice imposable, et inclue dans l’exercice au
cours ils ont été encaissés. Toutefois les loyers par avance doivent être étaler sur l’ensemble de la
période à laquelle ils se rapportent.
De même pour le supplément de loyer, les entreprises qui perçoivent le bas de portes ou les
indemnités versés par le locataire.

2) Les produits financiers

Constituer par tous les revenus de portefeuilles, des intérêts des prêt et des créances, toutes les
revenues des actions et des parts sociales, tous les revenus procurer par des valeurs étrangères, des
revenus réaliser sur les marchés financiers.

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3) Les produits exceptionnels

Peut recevoir des sommes quoi ne font pas partie de la vie courante, elles sont qualifiées comme
produits exceptionnelles.
C’est la contrepartie d’opérations de gestion ou d’opérations en capital.

- Les subventions :
o D’équipements qui sont destiner à aider les entreprises à acquérir des immob
o D’équilibre attribuer en fonction des résultats de l’entreprises
o D’exploitation qui est destiner à faire face à des charges d’exploitations

- Les indemnités : en droit fiscal est une somme destiner à compenser la perte d’un gain ou la
perte d’une valeur comprise dans le patrimoine du contribuable et l’imposition obéit à une
logique unique.
à Si le revenu ou le bien est perdu par l’entreprise alors elle participe à la détermination du
bénéfice imposable. L’indemnité en compensation de cette perte sera à son tour imposable.
(Exemple perte de loyer par le locateur, indemnité verser mais imposable)
L’indemnité qui compense un préjudice moral et perçu par un entrepreneur individuel ne sont
pas prise en compte pour la détermination de son résultat imposable.

- Les remises de dettes : les créances et les dettes contractées participes à la détermination du
bénéfices imposable l’exception d’une remise de dette consentie par les créanciers vont
engendrer un profit pour les entreprises. L’extinction de la dette, soit par l’abandon du
créancier, mais elle va traduire d’une disparition de la dette au passif du bilan et une
augmentation à l’actif du bilan. Variation des bénéfices de dettes sont imposable.

- Réévaluation bilan : l’entreprise peut réévaluer la valeur comptable pour la ramener à sa


valeur actuelle (achat de 100 et 10 ans plus tard l’immeuble vaut 180, elle peut faire une
révolution de l’immeuble pour une valeur de 180, cette différence plus-value de réévaluation
à imposable comme un bénéfice ordinaire).

Réévaluation de bilan c’est tj pour augmenter le bilan, jamais à la baisse.

- Regreffèrent d’impôt, de dons et legs. Voir cas pratique

B. - Les plus-values et moins-values d’actif

La plus-value constitue un produit réalisé par l’entreprise lors de la cession d’un élément immobiliser
de son patrimoine et se distingue du bénéfice d’exploitation réaliser d’un élément de stock. Il y a
réalisation de plus-value ou moins-value lorsqu’un bien inscrit à l’actif du bilan quitte l’entreprise et
qu’il existe une différence entre la valeur réelle et la valeur comptable de celui-ci

Les modalités varient selon les régimes fiscaux de l’entreprise


Indépendamment de ses régimes d’impositions, viennent organiser un surci un report un étalement
ou exonération de l’imposition. Du aux titres des plus-values réaliser en titre de son exploitation ou de
sa cession

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1) Le champ d'application du régime des plus-values et moins-values

Le régime des plus-value professionnels et là ou se focalise tous les problèmes toutes les questions
dont l’entreprise est confrontée.
On considère que la plus-value ou moins-value provient lors de la cession d’un élément d’actif
immobiliser. Elle se réalise de façon latente tout au long de la détention de l’exercice et est constater
qu’au moment de la cession.
Cession toutes opérations qui entraine la sortie du bien du patrimoine de l’entreprise. Cette sortie
peut être réalisera à titre gratuit ou onéreux. Cette sortie peut être volontaire (vente, échange, apport
en société, retrait d’actif) à fait générateur d’imposition ou non (transmission d’exploitation lors de
décès à ses héritiers, donation) à imposition.

Toutes disparitions d’un bien figurant dans l’entreprise et un fait générateur de plus-values.
Destruction d’un sinistre s’accompagne du versement par les assurances.
Les confiscations.

La plus-value professionnelle se distingue de la plus-value prive, car elle oblige une sortie de l’actif
contre une contrepartie.
Le régime des moins et plus-value professionnelle ne s’appliquent qu’aux biens de l’entreprises lors de
leur durée d’inscription à l’actif.
Cette restriction apporte comme conséquence à la plus-value constatée lors de la cession qui n’ont
pas tj été affecter à l’activité pro doivent faire l’objet d’une ventilation entre une fraction qui relève
des plus-values pros et une fraction qui sera soumise aux régimes des plus-value privé.

2) La détermination des plus-values et moins-values

La plus-value ou moins-value réaliser lors de la cession d’actifs se détermine en retranchant au prix de


cession la valeur d’origine de se biens elle-même imputer des amortissements pratiquer et admis en
déductions (valeur comptable du bien).
Plus-value Réalisation du prix de cession quand il est supérieur à la valeur comptable du bien
Moins-value quand le prix de cession est inférieur à la valeur comptable du bien.

Exemple : achat immeuble de 100,


Elle le cède 120 alors que la valeur comptable après déduction s’élevé a 50 à elle réalise une plus-value
de 170 euros
Elle le cède 75 alors que la valeur comptable s’élève a 50 à plus-value de 25
Cède 40, alors que la valeur comptable 50 à moins-value de 10

La détermination doit tenir compte du prix de cession et de la valeur comptable (et pas du prix
d’achat)

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3) Le traitement fiscal des plus-values et moins-values

Le prix de cession est la somme versée par l’entreprise lors de la cession de biens,
- Si elle prend la forme de vente, ce sera la somme perçue
- Si la cession prend la forme d’un échange, le prix de cession sera constitué par la valeur perçue
en échange. Si l’entreprise échange un bien de 100 contre un bien de 80 avec une soulte de 20
le prix de cession sera de 100.
à Une soulte, compensation de valeur lors d’un échange. Comme ça égale valeur.

- En cas d’apport à une entreprise le prix de cession sera constitué par la valeur des parts de
cette apport.
- En cas de retrait du bien et de transfert de l’exploitant, (retire un bien du bilan de son
entreprise car il ne veut plus l’affecter et le transfert dans son patrimoine privé), il ne peut pas
faire de prix avantageux à lui-même, mais le calcul du prix de cession sera la valeur réelle du
bien au jour de la transaction.

La valeur comptable

Elle sert de base au calcul des plus ou moins-value, c’est le prix de l’élément qui figure dans l’entreprise
diminué de l’amortissement pratiqué.
Une entreprise qui achète 100, l’inscrit au bilan et l’amortie de 60 puis le revend ensuite 110, alors qu’il
n’est inscrit au bilan d’une valeur comptable que de 40.
Pour le calcul de la plus-value, prix de cession est 110 valeur comptable 40, donc la plus-value est 70.

Il en va ainsi de même si la valeur d’acquisition (d’achat) était supérieure à celle inscrite à celle du
bilan.

Si l’entreprise l’avait acheté à 100, le résultat est le même car on ne regarde la valeur comptable au
bilan et le prix de cession.

Quelle base au bilan lorsqu’il y a eu un redressement fiscal ?

Cela dépend du mode d’acquisition du bien, si le bien a été acquis à titre onéreux la valeur à inscrire
est celle porter dans l’acte d’acquisition (cession) et pas celle obtenu dans l’acte d’enregistrement de
l’administration.

Si le bien a été inscrit à titre gratuit (succession, donation), les immobilisations doivent être inscrite au
bilan pour leur valeur vénale, elle correspond à celle retenu pour le payement des droits de mutation.
Si l’administration fiscale rehausse la valeur, alors l’entreprise doit rehausser au bilan, et de recalculer
l’ensemble des amortissements.

Les frais d’acquisitions, des immob elles sont sur le plan comptable comme fiscale soit compris parmi
les charges immédiatement déductibles soit rattacher au cout d’acquisition du bien, et son amortie
sur ça durer d’utilisation. Lorsqu’elle adopte la déduction immédiate pas de frais car immédiatement
déduis. Mais lorsqu’elle a adopté pour l’amortissement les frais sont inclus dans le prix de revient à
retenir pour le calcul de la plus ou moins-value de cessions.

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Le traitement fiscal des plus ou moins-values

Repose sur une distinction fondamentale entre les plus ou moins-value à court terme et à long terme.
Cette distinction établie par l’article 39 du code des impôts constitue des plus-values à court terme :

- Tout d’abord celle qui sont réaliser à l’occasion de la cession d’immobilisation amortissable
ou non acquise ou créer par l’entreprise depuis moins de deux ans.

Long terme :
- Engendrer par la cession d’immob amortissable acquise ou créer par plus de 2 ans à
concurrence du montant des amortissements … le surplus formant le long terme `

Entreprise 100, amortie 60, donc valeur comptable 40 avec le retranchement.


Vente 110 prix de cession
à 40-110 = plus-value de court terme
à 100-110 = plus-value long terme

Moins-value à court terme :


à Qui sont réaliser lors de la cession de bien non amortissable retenue depuis moins de 2 ans, et les
moins-values constater de biens amortissables quelque soit leur durer de détention plus ou – de
deux ans.

Plus-value à long terme :


à Réaliser lors de la cession d’immobilisation acquise ou créer par l’entreprise à plus de 2 ans ou leur
montant au dela de celui des amortissements.

Moins-value à long terme


à Lors de la cession d’immob non amortissable acquise créer par l’entreprise depuis plus de 2 ans

Voir le tableau recap

Lorsqu’une entreprise à une plus et moins-value à court termes, les deux résultats vont se compenser
pour faire qu’une plus ou moins-value globale, dans son bilan.

Si cela dégage une plus-value nette globale


à Elle va être interférer dans le bénéfice imposable de la société est assujettie à l’impôt dans les
conditions de droit commun.
100+50+80-50 = plus-value nette imposable
Elle a la possibilité de faire un étalement de cette plus-value nette sur 3 ans.

Sur l’année N de réalisation de plus-value, étalement sur les deux autres année N+1 et +2.

Si l’entreprise dégage une moins-value nette à court terme

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à Celle-ci va s’imputer sur les bénéfices nets d’exploitation. Si les bénéfices sont insuffisants à
absorber cette moins-value, la fraction qui n’a pas pu être imputer sera un déficit d’exploitation qui
sera reporter sur les exercices suivants.
Bénéfice nette de 100, et moins-value globale nette à court terme de 108, résultat fiscale se traduit par
une dette de 8.
L’année suivante elle réalise un bénéfice brut de 110, 34 de charges, et réalise une moins-value de 49,
le bénéfice soumis à l’impôt va s’élever de 110-34-49-8=19 de bénéfice net imposable.

Traitement value et long terme

Plus-value et moins-value à long terme se compense pour faire une plus ou moins-value nette à long
terme (une globale).
La plus-value nette à long terme et imposable à l’impôt sur le revenu au taux réduit de 12,8%. Ce n’est
plus le barème ordinaire.
Quand au moins-value nette à long terme, elles ne pourront qu’être imputer sur les plus-values nettes
à long terme et seront réaliser au cours des 10 exercices suivants.

4) L'exonération en fonction du chiffre d’affaires (CGI, art. 151 septies)

Le régime général des plus-values réalisée par les entreprises par le cadre de leur activité est régis par
l’article 151 septie CGI qui prévoit que les plus-values réaliser dans le cadre des activités libérales,
commerciales, artisanales ou agricole bénéficie d’une exonération totale ou partielle en fonction du
montant du chiffre d’affaires réaliser par l’entreprise.
- Ce régime comprend des titres onéreux intervenant en court d’exploitation des lors qu’elle
porte sur des éléments d’actifs immobilisés est que ces éléments sont affectés à l’activité d’une
activité professionnelle.
- Ce régime est pour les entreprises soumissent à l’impôt sur le revenu, qui s’agit d’entreprise
individuelle ou de sociétés de personnes.
- Cette exonération s’applique également lorsque le fond cédé est donné en location gérance. - -
- Le bénéfice de l’article, est réservé aux plus-values lors de la cession d’éléments corporelles
ou incorporelles inscrits à l’actif immobiliser, les plus-value constateur lors de la réavalisions
de commerce ne peuvent pas en bénéficier.

Quelle est le montant des recettes à prendre en compte ?

Créer le montant des recettes

Exonération des plus-values est totale lorsque les recettes annuelles hors taxes de l’entreprise n’excèdent
pas 250 000 pour les entreprises de ventes de marchandises et 90 000 pour les entreprises de prestation
de services.
Barème dégressif lorsque les mêmes recettes comprises entre 250 000 et 350 000 € pour les entreprises
de vente de marchandise et 90 000 126 000€ pour les entreprises de prestation de services.

Lorsque les mêmes personnes exploitent plusieurs entreprises les recettes à retenir sont celle de
toutes les entreprises.

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Pour pouvoir bénéficier de l’exonération des plus-value, l’exploitant doit avoir exploiter son activité
depuis au moins 5 ans.
Et ce délai est décompter à partir du début de l’activité création ou acquisition du fond de commerces,
c’est-à-dire par des premières opérations d’exploitation.
C’est-à-dire qu’on se refaire pas à la date de la création de la société ni à la date d’immatriculation de la
société ou de l’entreprise mais plutôt à la recherche dans les premières opérations d’achats et de ventes
dans les premières opérations d’embauche du personnelles ou dans les facturations des premières
commandes à Arrêt 23 mars 2005,

Lorsque l’exploitant exerce des activités différentes au sein de plusieurs fond successivement les uns
après les autres. Chacune de ses exploitations doivent être apprécier chacune après les autres cette
solution respecte l’autonomie de chaque exploitation et trouve son fondement dans le principe selon
lequel la plus-value réaliser et au profit de laquelle le bénéfice réalisé se rapporte à la dernière
activité professionnelle exercer

Lorsque le cédant à exploité dans le cadre une exploitation (société) avant de la faire à titre individuelle,
à il est admis qu’il puisse cumuler ses deux exploitations, arrêt conseil d’Etat17 mai 1995.
Le conseil d’état considère qu’il va de même lorsque l’exercice a été précédée d’un exercice individuel
à13 janvier 2010

Lorsque le procédant à d’abord exercer en tant que salarier puis à titre indépendant, le salarier qui rachete
à son employeur, pas lieu de retenir la période durant laquelle il était salarié, faute pour lui de possède
d’une clientèle personnelle à 23 juin 2016

5) L'abattement sur les plus-values immobilières à long terme (CGI, art. 151 septies B)

Prévoit que la plus-value immobilière réaliser par les entreprises industrielles, artisanales, libérales,
commerciales, agricoles, sont soumissent a l’impôt sur le revenu.
Physiques ou sociétés de personnes sont imposés après application d’un abattement de 10% par
année de détention échu, au titre de l’exercice de réalisation de la plus-value au-delà de la 5 -ème
années lorsque la cession porte sur des biens immo bien bâtie ou non bâtie affecter par l’entreprise
de sa propre exploitation.
Le point de départ du délai de détention correspond à la date de l’inscription du bien à l’actif de
l’entreprise.

1 fév N acquérir à 15 mars N inscrit au bilan, pour pouvoir bénéficier de l’abattement il faut revendre
le bien le 15 mars N+5
S’il le revend le 15 mars N+6 de 10%, première phase.
Cette application conduit à une exonération de facto de toute imposition sur la plus-value lorsque
l’immeuble depuis plus de 15 ans et quel que soit le montant de la plus-value

6)L'exonération en fonction de la valeur des éléments cédés (CGI, art. 238 quindecies)

Institue un mécanisme optionnel d’exonération des plus-values lors de la cession des entreprises
individuelles et exonération qui dépend de la valeur des éléments cédé.

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Ce régime peut bénéficier aux entreprises qui relèvent à l’impôts sur le revenu et celle à l’impôt sur
les sociétés à condition que ses dernières (impôt sur les sociétés) réponde à la définition des petites
et moyenne entreprise. (Pme)
S’applique aux cessions à titres onéreux et aux titres gratuits.

Conditions :
- Prix ou valeur vénale inferieur à 500 000 € pour que la plus valeur soit exonérer en totalité.
- Lorsque cette valeur est comprise entre 500 000 et 1 000 000 € plus-value exorer
partiellement
- Supérieur a 1 000 000€ pas d’exonération sur la plus-value

Il faut que l’activité ait été exercer pendant au moins 5 ans à compter du début de l’activité jusqu’à la
transmission de l’entreprise.

- Le cédant ne doit pas détenir le contrôle capitaliste de l’identité cession ni en assumer la


direction effective. Exemple un entrepreneur vend son fonds de commerce à une société, il ne
faut pas que qu’il soit associé à cette société ni en assumer la direction.
- Exonération à court ou long terme et plus-value qui ne sont pas considérer reste taxer dans le
droit commun.

5) L'exonération en cas d'apport en société d'une entreprise individuelle (CGI,


art. 151 octies)

Ce dispositif permet d’éviter l’imposition immédiate des sociétés, lors de l’apport des individuelles.
Pour en bénéficier, les apports doivent porter sur la totalité des éléments qui composent l’entreprise
individuelle

6) L'exonération en cas de transmission à titre gratuit d'une entreprise individuelle (CGI,


art. 41)

Quel que soit la nature exercer et instaurer un report d’imposition des plus-values constater à
l’occasion des transmissions à titre gratuit des entreprises individuelles et ce report se transforme en
exonération définitive des plus-values, Lorsque le bénéficiaire poursuit l’exploitation au moins
pendant 5 ans à compter de la transmission.
Si le bénéficiaire revend dans les 5 ans suivant la donation, cette plus-value sera imposable et après
les 5 ans plus imposable.

7) L'exonération pour départ en retraite de l'exploitant (CGI, art. 151 septies A)

Exonérer de la cession à titre onéreux les entreprises à titre individuelle à l’occasion du départ en
retraite de l’exploitant à compter que ça faisait 5 ans. Ce régime s’applique aux entreprises
individuelles et relèvent de l’impôt sur le revenu, et s’applique également aux personnes qui exercent
leur activité professionnelle dans le cadre d’une société soumise au régime fiscale d’une société de
personne.

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Il faut que l’activité ait été exercer pendant 5 ans que le cédant ne contrôle pas l’entreprise
cessionnaire et cesse toute fonction dans l’entreprise cédé. Et qu’il fasse valoir ses droits à la retraite
dans les 3 ans précédant ou suivant la cession. Elle s’applique à la totalité des plus-values à court ou
long terme mais ne concerne que l’impôt sur le revenu et ne s’applique pas aux prélèvements sociaux.
La plus-value reste donc imposable aux prélèvements sociaux.

8) L'exonération en faveur des biens non amortissables (CGI, art. 39 octodecies)

11) Les plus-values sur portefeuille-titres

Détiennent des titres boursiers sont soumise à une règlementation complexe en terme fiscale, et le
régime varie celons ci l’entreprise est soumise à l’impôt sur les sociétés ou impôt sur le revenu.

Impôt sur le revenu, entreprises détient des titres en capital d’une autre société est procède à leur
cession
à Soumise au régime des plus-value professionnelles à long terme lorsque les titres sont utilisés pour
le besoin de l’activité et appartiennent à l’actif immobilisé.

S’agissant des entreprises relevant de l’impôt sur les sociétés à les titres sont classer en 4 catégories
- Les titres de participations qui bénéficient d’un régime de taxation réduite prévaut à l’article
2019 CGI, dans lequel la plus-value est taxe 0%, tandis qu’une cote part des frais de charges
qui correspond à 12% brut de la plus-value doit être réintégrer au résultat imposable au taux
de droit commun à NICHE COPPE
Exemple : entreprise cède des titres, plus-value 900 mille euro, plus-value va être exonérer car plus de
7 ans et devra réintégrer dans son bénéfice brut une somme de 108 qui correspond a 12% de la plus-
value
- Capital-risque, qui sont exonérer d’imposition détenu depuis au moins 5ans
- Titres de participation au sein de société à prépondérance immobilière cotés ; qui relève d’un
taux réduit de 19% après 2 ans de d détention.
- Les autres titres, qui relèvent du taux de droit commun de l’impôt sur société

§3. - La détermination du bénéfice net

On retranche les charges et les amortissements

A. - Les charges

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Article 39 CI bénéfice net est et blie sous déduction des charges avant de procéder à une énumération
non exhaustive des charges

Qualification de charges est une qualification nécessaire, insuffisante dans la mesure ou leur conditions
générale de déduction exige que les charges soient dans l’intérêt de l’entreprise

1) Les conditions de déduction des charges

L’entreprise n’est pas libre de porter n’importe quelle dépense en déduction de son bénéfice quand
bien même qu’elles seraient énumérées des charges déductibles.
Une charge ne peut être en déduction que si elle répond aux conditions générales de déductibilité. La
loi fiscale exclue certaine dépense de la loi déductible.
Il en va ainsi que par exemple des amendes pénales, fiscales, mais aussi des dépenses somptuaires

Pour être admises en charges plusieurs conditions (5) :


- Charges et frais, exposer dans l’intérêt directes de l’exploitation ou se rattacher a la gestion
normale de l’entreprise
- Correspondre a des charges et être justifier
- Supporter au cours de l’exercice auquel la déduction est demandée
- Leur déduction ne doit pas être expressément interdite par la loi
- Doivent se rattacher à une opération imposable, les frais et charges qui sont exposer dans le
cadre d’opération dont les revenus qui sont exonéré d’impôt ne peuvent être admise en
déduction des autres revenus réalisé par le contribuable

Le conseil d’état reconnait à l’administration fiscale le droit de remettre en cause les charges qui ne se
repose pas à l’exploitation ou qui ne sont pas dans l’intérêt direct à l’entreprise.

Exclu les dépenses dans l’intérêt personnelle du dirigeant ou de l’exploitant (1990), voir les dépenses
qui ont été exposer aux profits des entreprises étrangères (1992).

Également sont exclu les dépenses qui ne sont pas affecter à l’exploitation
Également les dépenses qui ne présentent aucun rapport avec l’activité de l’entreprise

La qualification de dépense anormale se qualifie in concreto et procède d’une appréciation


circonstanciée de la charge concernée.

Les pertes issues de détournement de fond par les salariés sont déductibles lorsqu’elles ont été
commises à l’insu du dirigeant (2007).
Les cadeaux d’entreprise /d’affaire, charges déductibles des bénéfices imposables s’ils sont effectués
dans un bénéfice direct de l’entreprises. Mais l’administration fiscale refuse la déduction des cadeaux
qui non pas une cause licite et exagérer.
Peut être déduit que lors de l’exercice est intervenu du fait générateur, mais sans prendre compte la
date du paiement.

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2) Typologie des charges déductibles
39 CGI

Les frais d’établissement : ce sont les frais de création/ de constitution, droit d’enregistrement,
honoraire d’intermédiaire, frais légal…supporter par l’entreprise par l’acquisition d’une bien lors d’une
immobilisation. La valeur vénale ne peut pas être déduite mais amortie.
Exemple : entreprise achète un immeuble de 100, qui vient s’ajouter les frais de notaire, honoraire ect
pour 10, donc total 110. Cette entreprise va dans un premier temps déduire 10 représentants les frais
d’acquisition et dans un second temps elle va amortir les 100 qui est la valeur vénale de l’immeuble
Frais de premier établissement ; frais de prospection et de publicité
Frais de recherche d’études : qui vont conditionner l’existence
Frais de capital
Frais de transfert de société

Les achats : sont considérer comme des achats tous les bien a l’égard de l’entreprise sont destiner à
être revendu en l’état ou après transformation et dont la vente permet un bénéfice d’exploitation.
Les achats stock de matière première, de matériels, d’équipement, ou de fournitures mais aussi les
prestations de services que l’entreprise à bénéficier.

Les services extérieurs et charges de gestion : catégorie vaste regroupe les frais de location (loyer,
charge locative, pas de porte verser au bailleur, indemnité de spécialisation, redevance de location
gérance, tous ses frais et loyer sont déductible a conditions de ne pas exèdre de dépasser la valeur
locative réelles des biens loués.
Les frais d’entretien et de réparation, réparation de toiture, papier Paint, ravalement de façade,
Leur objet est de maintenir les actifs en état d’usage et de fonctionnement tout le temps de
l’utilisation. Sont inclus les dépenses de mises en normes de sécurités (2009).

Les primes d’assurances de dommage si elles sont assurées dans le dommage de l’entreprise, ou perte
d’exploitation (incendie, cata naturelle), assurance pour grève et d’emmieute, et assurance
responsabilité civils.

Les frais de recherche et de développement exposer dans le cas de la recherche scientifique


Les commissions, les courtages, les frais d’honoraire
Les frais de publicité et de relations publique, tout ce qui est parrainage, cadeaux d’entreprises, frais
d’échantillon
Les frais de voyage et de déplacement a conditions qu’ils représentent un caractère professionnelle
lorsqu’il s’agit de d déplacement à l’étranger pour la prospection de marché ou la conclusion de
contrat.
Les frais d’exposition à conditions qu’ils ne soit pas somptuaire.
Les frais d’administration général, les frais de bureau, de documentation, de correspondance, de
téléphone

Les charges diverses de gestion : cotisation syndicale, frais de fonctionnement du conseil de


surveillance, du conseil d’administration

Les impôts et taxes : sont acquitter par l’entreprise peuvent être comptabiliser aux titres des charges
déductibles. Subordonner si elles se rattachent à la gestion de l’entreprise.

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Les bénéfices de l’entreprises déductible les contributions indirectes, contributions sociales de
solidarité, les droits d’enregistrement, la participation à la formation continue, la participation à l’effort
de construction, les taxes sur le CA (on n’inclus pas la TVA), taxes sur les salaires.
En revanche ne peuvent pas être déduit du bénéfice imposable la CRDS, impôt sur le revenu, sur la
société, et les pénalités afférentes a ses divers impôts.

Impôt étrangés les revenus de sources étrangère sont imposable en France alors que l’entreprise à son
siège sociale en France, et l’impôt acquitter dans son pays

Les charges personnelles : elles sont versées aux employer elles peuvent être déductibles, l’ensemble
des salaires quelle donnent elle peut en outre déduire de son bénéfice, les rémunérations quelle verse
à ses dirigeants. Nbrs importants ; salaire ; pensions de retraite, rémunération des dirigeant,
remboursement de frais, ou avantages en nature. Cette déduction est subornée a. des conditions
strictes tant à l’effectivité du travail fourni apr le bénéficiaire ou a l’appretation du montant de la
rémunération.

Condition :
- Les charges de personnelles doit être verser en rémunérations d’un travail effectif. (on ne paye
pas un salarier a rien faire)
Déduire qui si elle est en mesure de justifier que le bénéficiaire a effectivement accompli un
travail et sous réserve que la prestation a été pour intérêt de l’entreprise.
- Les charges de personnelles ne doivent pas être excessive. Caractère normale par rapport au
travail (on ne surpaye pas un salarier)

Comment on apprécie le caractère normal d’une rémunération ?


On l’apprécie in concerto par rapport à la politique des salaires pratiquer par l’entreprise.
Une rémunération est excessive chaque fois quelle dépassera la qualification professionnelle du
bénéficiaire l’étendue de son activité de ses aptitudes particulières ou quelle excède la rémunération
d’une salarier qui a le même titre dans l’entreprise. Pour déterminer si la rémunération à un niveau
normale on va se référer au montant cumulé de toutes les sommes versées à ce salaries (salaires,
commissions, indemnités de logements, avantages en natures, remboursement forfaitaire de frais)

Toutes les rémunérations : salaires (+avantages en nature, chauffeur, logement de fonction,


nourriture, chauffage, habillement, mise à disposition de personnelles, mais aussi les avantages en
argent titre resto + indemnité de congés payés, les charges sociales, indemnité de licenciement à
l’exclusion des dommages et intérêt lorsque c’est un licenciement abusive, indemnité de aux dirigeants
congédiement sauf en cas de condition abusives, allocation aux salarier pour la participation au
résultat de l’entreprise, et toute les actions attribuées au salarier dans les cas de stock option,
dépenses exposer dans les dépenses des intérêts des salarier, dépenses de formation professionnelles,
les versement à des œuvres sociales réservés au personnelles de l’entreprise = crèches ou garderie).

La rémunération des dirigeants varie selon si l’entreprise et imposer à l’impôt sur les sociétés ou
société de personnes.
Les rémunérations que l’exploitant s’alloue pour son travail ne sont pas déductible de bénéfice brut
elles demeurent incluses dans ce bénéfice. On considère que le bénéfice net d’une entreprise demeure
inclus dans ce bénéfice. On considère en effet que le bénéfice net d’une entreprise individuelle
constitue

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Les charges financières : les intérêts qui sont versés par une entreprise en rémunération des capitaux
qui ont été investie dans cette entreprise et ils proviennent soit de somme de l’entreprisse à emprunter
au prêt des tiers soit de soit de somme mise à disposition de l’entreprise par l’exploitant ou des
associés sous la forme de comptes courant

Les dépenses somptuaires : Expressément exclu des charges déductibles, il s’agit des dépenses et des
charges de toute nature expressément à la chasse ou à la pêche qui se rapproche aux résidences
d’agrément ou de plaisance, D’achat de yacht ou de bateau de plaisance, sont considérer comme des
dépenses somptuaires et il est par principe exclu car pas dans l’intérêt de l’entreprisse.

Il est toutefois admis que les charges que les charges admis que les charges à ses navires soient
déductibles lorsqu’elle se situe dans le cadre de l’objet de l’entreprisse. Ce qui est le cas de l’entreprise
qui sera la vente ou la loc de bateau voire l’organisation de croisière. Le conseil d’état et
l’administration fiscale n’admette la déduction des charges afférente a un yacht ou bateau de plaisance
qu’a partir du moment que ce navire est indispensable à l’activité de l’entreprise.
Les avions de tourisme ne figurent pas aux biens somptuaires, donc le conseil d’état autorise la
déduction des charges lorsque le bien est utiliser pour l’activité de la société à déductible du résultat
de l’entreprise.

Les renonciations à cette et abandon de créances ne peuvent être comptabiliser en charges déductible
que si l’entreprise retire une contrepartie appréciée au cas par cas et aux relations économiques
entretenue entre l’entreprise renonciataire et l’entreprise bénéficiaire de cette renonciation.

Les charges exceptionnelles et pertes diverses, parallèlement aux produits exceptionnels, elle peut
supporter diverses charges qui peuvent être qualifier de charges exceptionnelles et dont certaines
peuvent être déduite du résultat imposable. Elles sont admises en déduction lorsqu’elles sont
exposées dans le cadre d’une gestion normale d’une entreprisse ou lorsqu’elles sont consécutives à
des opérations dans l’intérêt de l’entreprisse. Par exemple des frais de procès.
Ne peuvent pas être déduit du bénéfice brut toutes les sanctions pécuniaire, transaction amandes,
confiscation, pénalité, toutes les sanctions en contravention ne sont pas déductibles y compris les
amandes qui sont pour non-respect de la législation du travail.
Les pénalités contractuelles infligé dans le cadre des relations commerciales (retard de paiement,
livraison), elles seront déductibles des résultats imposables, à partir du moment où elles ne sanctionne
pas des obligations légales.

B. - Les amortissements

L’amortissement est la constatation comptable de la dépréciation de valeur subit par les


immobilisations de l’entreprise, par suite de l’usage du temps ou du changement technique et son
objet est de comptabiliser l’amoindrissement de la valeur de l’actif. Elle n’est pas prévu de montrer la
preuve matérielle de cette dépréciation, et le mécanisme de l’amortissement en droit fiscale consiste
à repartir le cout de l’investissement réalisé par l’entreprisse, pour lui permettre de reconstituer ses
capitaux et de préserver ses capaciter financière de renouvellement de ses immobilisations.
Il est purement comptable est consiste à déduire tous les ans une annuité qui viendra en déduction du
bénéfice net jusqu’à parvenir a une valeur net comptable nul.
L’amortissement à un caractère obligatoire de comptabiliser les amortissements est à la fois comptable
et fiscale.

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Procéder tous les ans à un amortissement de ses immobilisations.

Les biens amortissables :


- Que les biens qui sont susceptible d’une dépréciation effective et définitive et dont la
déduction n’est pas expressément exclue.
- Sont des biens corporels, de l’actif immobiliser (que l’on peut toucher), subissent une
dépréciation qui leur permet d’être amorties, l’amortissements sera possible pour la
construction, de matériel, d’outillage, de mobilier, de véhicule, mais pas d’amortissements
pour les œuvres d’art ou d’objet précieux.
- Les terrains ne peuvent pas faire en principe l’objet d’amortissement, car ils ne sont pas l’objet
de diminution de valeur par le temps. Mais s’il supporte une construction le prix d’achat doit
être ventilé entre la valeur du sol et la valeur de construction. Et seule la fraction d’achat de la
construction peut être amortie.
- Biens incorporels, inscrit à l’actif immobiliser de l’entreprisse, peuvent être amortie s’il est
prévisible à la date de leur acquisition ou créations que leur effet de surexploitation prendra
fin à une date déterminée. Cette règle permet l’amortissement des biens incorporels, tel que
les logiciels, brevet, modèle, dessins.
Par principe le fonds de commerce n’est pas amortissable.
Les droits aux baux ne peuvent pas être amortie par ce que ses droits son susceptible d’être
renouveler et prendront fin à l’expiration des baux, date déterminer (1988).
Les éléments amortissables se sont des éléments contrôlés par l’entreprise, elle peut procéder
à l’amortissements des biens qu’elle n’est pas propriétaire sous réserve qu’elle en ai le
contrôle.
Le démembrement de propriété ne s’amortissements du bien mais la facilité
D’amortissement au seul nu propriétaire à l’exclusion de l’usufruitier.
Le bien a été acquis directement en nu propriété ou qu’il ait été initialement acquis en toute
propriété avant d’être démembrer.
Certaines jurisprudences on reconnut le droit d’amortir l’usufruit quelle déteint sur des biens,
a condition que cet usufruit soit corporel, et qu’il soit soumis à une dépréciation. (Amortir le
droit d’usufruit). Reconnu dans le cadre d’un usufruit d’immeuble et d’un usufruit viager.
Les éléments amortissables sont des éléments inscrit en comptabilité. L’amortissement doit
porter sur des éléments de l’actifs immobiliser et soumis a dépréciation et doit être pratiquer
dans les limiter accepter en comptabilité et soumis à dépréciation et justifier dans les écritures
comptables de l’entreprise

H. La base de l'amortissement
L’amortissement doit être assis sur le prix de revient de l’immobilisation, cad la valeur d’origine pour
laquelle la valeur d’origine est inscrite au bilan, cette base ne doit pas tenir compte des variations de
prix, qui pourrait affecter le bien après son acquisition, en revanche lorsque le bien à fait la
réévaluation libre, l’entreprise peut poursuivre l’amortissements engagé en calculant de nouvelles
anuitées sur la base d’anuité réévalués.

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I. La durée de l'amortissement

Le taux et la durée d’amortissements d’un bien sont déterminer en fonction de la nature de ce bien en
fonction des usages de chaque type d’exploitations, taux déterminer annuellement et les taux les plus
souvent admis sont de 5% pour bâtiments industrielles et commerciales, 4% pour usages de bureau,
1/2,5% pour les bâtiments d’exploitation, 10% pour mobilier et matériel de bureau, 33,33% pour les
microordinateurs.
La durée initiale d’amortissement ne peut pas etre modifier, sauf en cas de modification significative
de l’utilisation du bien.

J. Les modes d'amortissement

Deux modes d‘amortissement :

- Linéaire : le système consiste à dégager une annuité constate tout au long de la période
d’amortissements, cette anuité est calculer n’appliquant au prix de revient des éléments à
amortir, le taux qui est approprié.
Exemple : entreprise matérielle de bureau de 100, amortissable sur 5 ans soit un taux linéaire
de 20%, met en service le premier janvier N, l’annuité sera de 100*20= 20. Il a pour point de
départ la date de mise en service de l’élément à amortir de tel sorte que en cas de mise en
service au cours d’année la première anuitée doit être réduite au prorata de la période
d’utilisation. Néanmoins si peut être établie que la dépréciation du bien à commencer avant
la mise en service et bien le point de départ de la période d’amortissement sera constitué par
la date d’acquisition ou d’achèvement de l’immobilisation.

- Dégressif réserver à certaines catégories de bien. Consiste à pratiquer des anuité


d’amortissement d’importance décroissante. Les taux d’amortissement dégressif sont obtenus
en multipliant les taux d’amortissement linéaire par un coefficient qui est fixé. A 1,25 quand la
durée du bien est de 3 ou 4 ans. 1,75 quand la durée est de 5 ou 6 ans. Et 2,25 quand la durée
est supérieure à 6 ans. Chaque annuité d’amortissement est calculée annuellement sur la base
de la valeur résiduelles bien à amortir. Et non pas sur la base de valeur de revient du bien.

Amortissements exceptionnels, en marges des deux autres modes la loi a mis en place des dispositifs
exceptionnellement pour favoriser le développement de certains investissements. Aucun caractère
contraignant, ces régimes sont en effets facultatifs et l’entreprise peut choisir de ne pas pratiquer un
amortissement exceptionnel même si elle a en a la possibilité. Et cette décision est une décision de
gestion qui lui est opposable.
Ces régimes exceptionnels sont ouverts aux profits des logiciels, robots industrielles, les immeubles
qui peuvent être construit par les PME dans les zones prioritaire, ou bâtiments d’élevage.

Ces divers modes prennent la forme d’un amortissement massifs déductibles dès l’année de réalisation
de l’investissement et sans qu’ils soient requis que ses amortissements particuliers et donc étranger
de toutes notions de dépréciation anormales affects ces immobilisations.

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3 techniques :
- Amortissement véritablement exceptionnelles, massif = somme importante d’acquisition est
accorder l’année ou le bien rentre à l’actif l’amortissement normal sera alors pratiquer sur la
valeur résiduelle. Aucune accélération de l’amortissement au regard de la période de la
période étaler de la dépréciation du bien. Mais il existe une accélération du rythme de
l’amortissement en ce sens la déduction de la première année sera supérieur a l’anuité normal.
Par exemple amortissement sur 10 ans au lieu de de 10% il va avoir la première année 60% et
les 40% restant seront amortie sur les 9 année suivante.

- La deuxième technique est de rajouter un amortissement supplémentaire a l’annuité normal.


- La troisième technique d’amortissement exceptionnelle, amortissement en 1 année (sur 12
mois)

Cas n°4

C - Les provisions

Ce sont des sommes déduites du résultats en prévision d’une perte qui sera une charge qui n’est pas
encore effectives mais que des évènements en court la rende probable (perte latentes) il s’agit d’une
épargne constituer par l’entreprise en prévision d’une charge à laquelle il est prévisible qu’il devra faire
face. Une amende.

K. Les différentes provisions

Les provisions sont à proprement dit, qui corresponde à des sommes prélever sur le résultat pour faire
face à des pertes (charges). Et les provisions réglementer instituer par des textes particuliers et qui
obéissent à des conditions spécifiques.

Deux catégories :
- Provision pour dépréciation : destiner à prendre immédiatement en compte la dépréciation
de valeur d’éléments d’actifs de l’entreprise et ce bien que cette dépréciation ne deviendra
effective qu’au court d’une exercice ultérieur.
4 sortes à dépréciation des stocks, provisions pour dépréciation des immobilisations,
provisions pour dépréciation pour titre en portefeuille (boursiers), provision pour créances
douteuses ou litigieuses (clients qui risque de ne pas payer).
- Provision pour risque et charges : l’objet des provisions pour risque et charges de prendre en
charge par un excise qu’au court d’un exercice ultérieur. Provision pour impôts, pour dépenses
de personnelles, provision pour pertes, ou pour litiges
- Provisions règlementées : il s’agit des provisions pour hausse des prix (quand l’entreprise
constate une hausse supérieure à 10%). Provision pour prêts d’installations des salarier
(entreprise aide certains salarier à fonder leur propre entreprise). Les provisions pour
fluctuation des cours des matières premières. Et provision pour dépenses de mise en
conformités en matière de sécurité alimentaire.

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L. Les conditions de fond de déduction

ART 38 CGI sont admis en déduction du résultat imposable les provisions qui sont constitué les
provisions en vue de faire face à des pertes ou charges nettement préciser. Et que des évènements en
court redent probable.
à Condition de fond de déductions des provisions.

4 conditions de fonds qui sont cumulatives :

- La perte ou la charges doivent être déductibles


Rapporte a une charges ou pertes qui doit être exposer dans l’intérêt de l’entreprise et doit être
déductibles des résultat de l’entreprise lorsqu’elle sera effectivement supporter.
Exemple provision de dépréciation de créance ou perte de créance, ou des reversements de
commissions. Prohibé certaines catégories de provisions, une entreprise ne peut pas constituer
une provision pour une simple diminution de recettes pas plus qu’elle ne saurait provisionner le
montant d’un impôt déductible. Le montant d’une amende ou d’une pénalité, ou même le
montant d’une dépenses somptuaires. De même ne peut pas provisionner les dépenses qui ont
pour conséquence l’entrer d’un nouvel élément dans son actif. Exclu aussi les provisions pour
renouvellement de matériel pour travaux de construction, ou les dépenses qui constitue le prix
d’acquisition d’un fond de commerce.

- Doit être nettement préciser, doit déterminer avec précision l’objet ou le montant de cette
dette ou charges. Pour en premier lieu sur l’objet celui-ci doit être déterminer et sans
ambiguïté. On ne peut pas qualifier une provision sous le vocable de risque générale de non-
recouvrement des créances, ni de dépenses professionnelles diverses, l’objet de la perte ou
de la charge provisionner doit correspondre à une charge précise afin de permettre à
l’administration de l’apprécier ou interpréter sans difficulté.
- Porte également sur le montant de la provision.
- Dernière obligation assouplie par le fait que l’entreprise n’est tenue de déterminer le montant
de la provision qu’au regard des seules éléments dont elle dispose au moment où elle clôture
son bilan. La détermination de la charge peut donc n’être pas parfaite, dès lors qu’elle est
déterminée avec une approximation suffisante.

- La perte ou la charge doit être probable, que si caractère de probabilité implique par
conséquent l’exclusions des charges éventuelles ainsi que des charges qui sont certaines. Le
principe ici que la provision ne peut être utiliser à la place de la provision. Administration
fiscale avait décider qu’une charges n’est éventuelles que lorsqu’e sont fondement est d’ordre
général, qu’aucun élément particulier viendrait le confirmer. Par exemple le non-paiement
venu a échéance ne convient pas à elle celle le fondement d’une perte de créance et donc
d’une provision. Une charge doit être considérer comme certaine quand elle est survenue à la
clôture de l’exercice ou pas encore survenu à la clôture de l’exercice mais fait aucun doute
qu’lle surviendra lors du prochain exerce. Aucune provision ne peut être opérer relativement
à une dette dans son principe zr dans son montant. Une charge ne peut pas être regarder
comme probable lorsqu’elle est couverte par un contrat d’assurance, d’en garantir le risque.

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- La survenance de la perte ou de la charge, doit procéder d’un évènement en cours. Le fait
générateur de la perte ou de la charge doit se trouver impérativement dans l’exercice de
dotation de la provision.

M. Les conditions de forme de déduction

Art 39 CGI, exige que la provision soit constatée par écrit dans l’exercice.
Celles qui sont soumise à la catégorie des impôts sur les revenus et celles des IS doivent joindre à leur
résultat un tableau de provisions sur lequel recapituler toutes les provisions déductibles, et ce tableau
doit être établie quel que soit le nombre de provisions que l’entreprise à constituer. Et quand bien
même l’entreprise a constitué qu’une seule provision.

N. Le sort des provisions

Son montant vient en déduction du résultat fiscale de l’excirce auquel elle a été comptabilisée.
Constitue donc une déduction au compte de résultat de l’cerise en prévision la perte ou de la charge
qui vient affecter ultérieurement.
Elle peut disparaitre détourner de son objet quand pas conforme a sa destination.
Les provisions régulières :
- Utiliser conformément à leur objet à la provision doit être totalement apurer par l’imputation
de la perte ou de la charge supporter. La déduction anticiper devient donc définitive. Exemple
au cours de l’année N, proviosn pour créance douteuse de 10 000€, provisionne le risque de
perdre cette créance. En N+1 elle perte définitivement 10 000€, la provision est conforme à
son objet et ne donnera lieu à aucune réintégration et aucune déduction complémentaire.
Ou la perte ou la charge se révèle supérieur au montant de la provision celle-ci va trouver
apurer après imputation de la charge supporter a concurrence du montant de la provision qui
avaient été initialement constituer. La déduction opérer par vois de provision représente donc
un caractère définitif et l’excédent de charges cependant sera déductible du bénéfice, ou la
charge a été constater.
Entreprise provision pour 10 000 d’impôts. En N+1 elle paye sa dette d’impôt mais dans le
montant il se révèle qu’il soit finalement de 12 000, la provision sera considérée comme utilisé
conforment a son objet à donne pas lieu a l’intégration. Mais le supplément de charge de 2
000 € donnera lieu à déduction, et sera déduite au titre de l’année N+1.
Hypothèse 2 : provision devenue sans objet, provision regarder comme devenu sans objet
lorsque la perte ou la charge ne se réalise pas. Le débiteur devient solvable et règle sa dette.
Lorsque la perte ou la charge se révèle inférieur au montant de la provision alors le surplus de
provision, se révèle inemployé et sans objet. Exemple entreprise au cours de N provision pour
impot de 10 000€, et en N+1 elle recouvre définitivement sa dette d’impôt pour un montant
de 8500€. Provision considérer sans objet à concurrence de 1 500€ et devra être réintégrer
dans le bilan de l’entreprise pour le montant de 1 500€. Ne peut pas être considérer comme
sans objet au jour ou l’inexactitude sa provision est reconnu soit par l’administration ou soit
par un contribuable. Lorsqu’elle devient sans objet la provision doit être réintégrer dans les
bénéfices de l’exercice aucoirs duquel elle est devenue sans objet et donc elle participe d’un
profit imposable au titre du bénéfices de cet exercice.
3 -ème hypothèse les provisions détournées de leur objet, quand affecter autre quelle avait
ete initialement constitué. Et bien elle doit être réintégrer dans le résultat fiscal duquel le elle
a été détournée. Ça sera le cas lorsque la provision disparait du bilan, ou lorsqu’elle sera
transformée en réserve. Sans recevoir une affectation déterminante.

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O. Les provisions irrégulières

Quand leur constitution ne remplisse pas les conditions de fonds et de formes exigés, elles doivent
être réintégrer au résultat de l’exercice accours duquel elles ont été indument reporter à dans la
mesure où elles sont censées jamais avoir excités.
En cas de redressement fiscale, si l’exercice de réintégration est prescrit s’opéra dans le plus ancien
exercice non prescrit.

§4. – Le résultat net déficitaire

Lorsque le résultat fiscal d’une entreprise est déficitaire se déficit constitue une charge, qui peut être
repoter sur les résultats des exercices qui pourront être reporté sur des exercices ultérieurs.
L’entreprise imputera donc ce déficit sur les résultats excédentaires accours des exercices suivants.
Les modalités de report de ce déficit diffèrent selon si l’entreprise est soumise à l’impôt sur le revenu
IR ou à l’IS.

Charges repoter sur les résultats des exercices ultérieurement

A. Les déficits des entreprises soumises à l'impôt sur le revenu

L’imputation de ses déficits, convient de distinguer si l’activité commercial dans laquelle et constaté le
déficit si c’est une activité exercer à titre professionnelle ou non.

Quand l’activité est exercée à titre professionnelle l’article 156 prévoit que le déficit par une entreprise
sous l’impôt du revenu doit être imputer sur le revenu global elle s’applique au déficit au cadre d’une
activité réaliser en France mais aussi à ceux constater par des entreprises domicilier en France mais
des activités réalisées a l’étranger.
Si ce revenu global est insuffisant pour que l’imputation soit intégralement imputée l’excèdent de
déficit est reporter successives sur le revenu global des 6 année suivante.

Exemple : entreprise N déficit de 100, en N+1 bénéfice de 40, N+2 bénéfices de 50, N+3 un bénéfice de
40. Le déficit qui a été constater va être imputer tout d’abords à concurrence de 40 sur le bénéfice de
N+1 (résultat devient nul), puis imputer à concurrence de 50 sur N+2 (résultat nul), et ensuite imputer
de 10 sur N+3 (résultat bénéficiaire pour 30).

Lorsque l’activité n’est pas à titre professionnelle arct 156, limite l’assiette du déficits aux seules
bénéfices industriels et commerciaux retirés au cours de l’année de réalisation du déficits, ou au cours
des 6 années suivantes.
Exemple : entreprise au cours de N revenu foncier de 100, et déficit commercial de 30 non professionnel,
N+1 revenu foncier de 50 et un bénéfice commercial de 50. Le déficit commercial en N ne pourra être
imputer qu’en N+1.
Les déficits non professionnels doivent être imputer sur les bénéfices imputer sur l’ensemble des
activités qui son exercer pas à titre professionnelle. Quand un contribuable exerce plusieurs activités
non professionnelles certaine qui son excédentaire tandis que les autres par un résultat déficitaire. Les
déficits non professionnels s’imputeront sur les bénéfices réalisés dans le cadre des bénéfices non pro.

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B. - Les déficits des entreprises soumises à l'impôt sur les sociétés

Les entreprises soumis à IS qui constate un déficit a la clôture d’un exo peuvent choisir entre son report
en avant sur une période illimitée et son report en arrière sur une période de 1 an. Le choix entre les
divers modes d’imputation de déficits constitue une décision de gestion.
Chaque report présente des avantages qui permet à l’exploitant d’évaluer ses performances en termes
de trésorerie.

1) Le report en avant (p14)

A l’instar des entreprises soumissent sur le revenu celles soumissent à l’import sur les sociétés peuvent
opter pour le report en avant de leur déficit, cette faculté n’est pas limitée dans le temps et le déficit
qui est constater peut-être considérer comme une charge reportable sur les exercices postérieur sans
limitation de durée. Ce report en avant suppose que l’entreprise qui supporte le report de ce déficit
soit la même qui l’engendrer = condition d’identité. S’apprécie à l’égard de l’exploitant mais aussi de
l’activité. La cession ou passation de l’entreprise ainsi que toutes les opérations assimiler à des
cessations d’entreprise (changement d’objet social, régime fiscale) entraine la perte de droit du report
des déficits.
Exemple : le cessionnaire de l’entreprise ne peut pas imputer sur ses propres bénéfices les déficits ayant
été réalisés par le cédant.
La mise en location gérance n’est pas considérer comme une cession d’entreprise de tel que sorte que
le locataire gérant peut imputer sur ses bénéfices les déficits réaliser par l’exploitant avant la location
gérance de l’entreprise.
De même une dérogation à été aménager en faveur des fusions d’entreprise car les déficits pas encore
été déduit par l’entreprise absorber peuvent être reporter sur les bénéfices ultérieurs de l’entreprise
bénéficiaire de la fusion.
Plusieurs exercices déficitaires ils se cumulent.
Mais limiter dans son montant ainsi le déficit qui est constater au titre d’un exercice ne peut être déduit
du bénéfice suivant que dans la limite d’un montant d’1 million d’euro majore de 50% de la fraction
du bénéfice qui excède cette limite
Exemple : Enterprise qui au cours de N subit un déficit de 2 millions d’euro, en N+1 bénéfice de 1,5
million d’euro. Le déficit reportable en avant va être de 1 million d’euro + 50% de 500 000€ (ce qui
excède) = 1 250 000 euros. Le bénéfice taxable de N+1 sera 250 000 € (1 250 000 – 1 000 000)
Il reste une fraction qui va être reporter sur les exercices suivant N+2 . ..
Cette limitation s’applique qu’au entreprise soumise l’import sur les sociétés

2) Le report en arrière

Seules les entreprises soumissent à l’impôt sur les sociétés, peuvent bénéficier du report en arrière
des déficits, n’est pas ouvert aux entreprises soumis à l’impôt sur le revenu.
220 de CGI et constitue une dérogation l égale en matière d’imputation du bénéfice autant qu’il
participe d’une entorse l’égale de l’annualité et indépendance des exercices car il permet d’imputer le
déficit au cours d’un exercice sur les bénéfices précèdent cette année déficitaire. Cette imputation
remet rétroactivement l’imposition de cette ancienne année, on le recalcule = diminution du montant
de l’impôt. L’excèdent d’impôt qui résulte de la disparition du bénéfice impose, constitue une créance
ce sur le trésor, créance qui va être utiliser pour acquitter l’impôt redevable sur les exercices présent
et future. Si cette créance n’est pas utilisée dans un délai de 5 ans, elle est alors remboursée à
l’entreprise.

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à Limitation du montant ne peut pas se faire intégralement mais que dans la limite d’un plafond 1
millions d’euro, et le déficit qui ne peut pas être reporter en arrière demeure rapportable en avant.
Exemple : excèdent de 250 000 €, en N+1 déficit de 850 000, celui-ci pourra être reporter de 250 000 €
en arrière et 650 000 en N+2

Exemple : Une société réalise, au cours de l'année N, un excédent de 1 250 000 €.


Au cours de l'année N + 1, elle réalise un déficit de 1 150 000 €. Ce déficit ne pourra être reporté que de
la façon suivante :
- report en arrière : 1 000 000 €,
- report en avant : (1 150 000 – 1 000 000) 150 000 € (sur les résultats des années N + 2 et suivantes).

Voir cas pra 5 : connaitre

SECTION 3 : LES REGIMES D’IMPOSITION DES ENTREPRISES

§1. - Le régime général

§2. - Le régime simplifié d’imposition

§3. - Le régime d’imposition des petites entreprises (« micro-BIC »)

S’applique au titre d’une année aux exploitants individuelles et donc pas aux sociétés ni aux sociétés
de personne... Qu’au exploitant individuelle dont le CA hors taxe de l’année précédente n’excède pas
une limite qui est fixé par l’article 50-0 du CGI, à 176 200€ si c’est entreprise dont le commerce principal
est de vendre des marchandises, des fournitures, des denrées à emporter ou sur place, ou fournir le
logement. 72 600€ pour les activités de prestation de services. Ces seuils sont actualisés tous les 3 ans,
ils seront réactualisés le 1ER janvier 2023. Les seuils de CA sont appréciés hors taxe et par année civile.
En cas de création d’une entreprise en cours d’année le CA doit être remis au prorata sauf si c’est une
entreprise saisonnière. Lorsqu’une entreprise est exploitée en indivision elle peut bénéficier du régime
de micro-entreprise mais le seuil d’application du régime s’applique alors au CA total réaliser par
indivision. (On se réfère au CA total réaliser par indivision).

Lorsque le contribuable exerce en tant qu’exploitant individuelle et en qualité de membre d’une


société de personnes. On ne retient pour l’appréciation des limites que les recettes provenant de son
activité individuelle. À l’exception de la cote part de la société individuelle. Lorsqu’un contribuable
exploite personnellement plusieurs sociétés individuelles, le CA qu’il faut retenir s’entend du montant
du CA globale annuelle réalisé dans l’ensemble de ses entreprises

A. Calcul du résultat imposable

Les résultats sont calculés de manière forfaitaire, les contribuables doivent déclarer leur montant de
CA brut et le bénéfice net est calculé par l’administration fiscale en appliquant un abattement
forfaitaire qui est réputer de tenir compte de toutes les charges, y compris des charges sociales, et des
amortissements affectés à l’exploitation. Cet abattement est fixé à 71% pour le CA qui correspond aux
acticités de vente de fourniture et de logement, et fié à 50% pour les autres prestations de services.
Exemple : CA de 100 000 €, pour une activité de vente de marchandise le bénéfice net déterminer par
l’administration sociale avec le CA de 100 000 bruts * abattement 71% = bénéfice net de 29 000.

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C. Obligations comptables

Les exploitants placés sous le régime BIC bénéficient d’obligation comptable allégés.
Activité de ventes doivent tenir un registre présentant année par année le détail de leurs achats, tous
les commerçant relevant du régime micro BIC doivent tenir un journal présentant chronologiquement
le détail de leur recette professionnelles. Ce livre journal doit être appuyer de facture et pièce
justificatives. Si acticité mixe de vente et prestation, les recettes doivent être ventilés entre celle qui
sont afférentes et celle relatives aux prestations de services.
Tenue de comptabilité clair et régulière n’est pas obligé pour les micros, dispenser d’établir un bilan
et compte de résultat et aucune obligation d’évaluation des stocks.

Le régime des autoentrepreneurs, peuvent opter pour un dispositif de versement forfaitaire


libératoire appeler régime de l’auto-entrepreneur. L’entrepreneur qui opte pour se régime s’acquitte
auprès d’un seul interlocuteur de l’impôt sur le revenu et de l’ensemble des cotisations de sécurité
sociale, par des versements libératoires mensuels ou trimestriels qui correspondent à un % du CA
relaissé au cours de la période considéré. Ce régime de l’auto-entrepreneur est ouvert sur option des
exploitant individuel qui doivent respecter deux conditions principales, tout d’abords soumis au régime
micro BIC, et le montant des revenus net du foyer fiscal doit être inférieur ou égale à la limite supérieur
de la deuxième tranche du barème de l’impôt sur le revenu.
En 2020, 25 710€ donc petit)
Calculer avec les montants du CA hors taxe un taux qui varie avec la nature du l’activité, ce taux est 1%
pour les entreprises ventes de marchandise de fourniture ou de logement, et 1,7% pour les entreprises
qui ont une activité de prestation de services. Pour les contribuables non commerciaux, le taux est de
2%.
Les versement trimestriels ou mensuels sont libératoire de l’impôt sur les revenues du au titre de la
réalisation de l’impôt. Les plus-values lors de la cession de bien par nature reste imposable séparément
celons les règles prévues pour les plus-values professionnelles mais les contribuables peuvent se
prévaloir de régimes d’exploitation de ses plus-value.

Le régime réel simplifier d’imposition


Constitue le régime de droit commun pour les entreprises qui sont exclue du micro BIC, quand le CA
excède le CA demander, mais il ne faut pas qu’il dépose 810 000€ hors taxe pour vente ou fourniture
de logement et 247 000€ hors taxe pour les entreprises de prestation de service, et s’applique
également sur option aux entreprises normalement placées sous les micros BIC. Se caractérise par un
allègement des déclarations et comptables. La détermination du bénéfice imposable même règles
différences entre les produits et les charges et concerne aussi bien les entreprises qui sont soumise à
IR ou IS.
Les entreprises sous le régime simplifier son tenu de fournir un compte rendu du résultat doivent tenir
un compte de résultat et les document annexes, mais l’établissement et le contenu de ses résultats
dont simplifier. Les entreprises qui relèvent de se régimes simplifier doivent être a même de justifier
l’exactitude de chiffres déclarés, elles doivent par la suite tenir une comptabilité régulière sincère et
appuyé sur des pièces justificatives.

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Le régime réel normal

Le régime du bénéfice du régimes normal s’applique aux entreprises qui sont industriels ou artisanaux
qui ne sont pas sous le régime des micro-entreprise ou sous le régime simplifier. Les exploitants qui
relèvent su micro-BIC peuvent choisir de se placer sou-s le régime normal d’imposition et les
entreprises sous le régime simplifier peuvent opter pour le régime réel normal. Cette option peut être
rétracter. Assujetti a des obligations comptables très stricte.

Impôt frappe le revenu net du contribuable déterminer

SECTION 4 : LA PERCEPTION DE L'IMPOT SUR LE REVENU

§1. - L'établissement de l'impôt


Le revenu net global est constitué par le revenu net des catégoriel suivant : revenu foncier BIC,
rémunération des dirigent d’entreprise, bénéfice agricole, traitement salaire, indemnité, pension,
bénéfice des professions commerciale et revenu assimilé, revenu de capitaux mobilier, et plus-value
de cession a titre onéreux de droit et de toute nature
Donne un premier aperçu
Paramètre impôt attient le revenu des personnes physiques, met en jeux d’une part les règles
territorialité, qui repose sur une distinction faite sur le domicile qui soit en France et règle de
l’imposition par foyer celons laquelle les revenu des différents membres du foyer fiscale,
doivent être cumuler pour faire l’objet d’une imposition unique.
Une fois connu les personnes passible de l’impôt, les personnes doivent rentrer dans le
champs de ..
Ensuite il faut procéder au calcul de l’impôt et le payement de l’impôt sur le revenu s’effectue
par l’agent comptable après informer par un avis d’imposition.

Les personnes imposables

à Deux grands principes


Tout d’abords sur le plan territoriale le champ de l’imposition est fait celons les règles de
territorialités, pour apprécier les personnes qui ont l’impôt sur le revenu on retient le critère
du domiciles fiscales. Tel qu’il est défini par l’article 4B du CGI. En vertu l’article 6 du CGI
l’impôt sur le revenu obéit à la règle d’imposition par foyer celons laquelle les revenu des
membres du foyer doivent être cumulés pour faire l’objets d’une imposition unique.

La territorialité de l4IR
Sont considérer comme domiciles fiscales en France qu’elles soient de nationalités française
ou étrangère les personnes qui ont en France leur foyer ou leur séjour principale.
Les personnes qui exercice en France une activité professionnelle, et les personnes qui ont en
France le centre de leurs intérêts économiques.

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Pour qu’un contribuable soit domicilier en France il faut qu’au moins 1 critère rempli, ce sont
des critères alternatifs.
La cours de cassation a précisé qu’un contribuable dont le foyer se trouve en France et
regarder comme y étant domicilier, alors même que le centre de ses activités économiques
doit à l’étranger. Le critère ici est celui du foyer et du séjour principale.

La notion de chef de famille est supprimée, les époux sont placés sur un strict pied d’égalité,
et ils ont soumis à l’imposition commune en France quel que soit leur nationalité lorsque l’un
ou l’autre à son foyer ou son séjour principal ou lorsque l’un des deux exerce une activité
professionnelle ou lorsqu’il possède en France le centre de ses intérêts économiques.
Et si l’un des deux époux ne répond à ses critères l’obligation fiscale du ménage repose que
sur le revenu de celui domicilier en France ou sur les revenus français de l’autre époux.
Le foyer est le lieu du contribuable où il habite normalement et à le centre de ses intérêts
familiaux sans qu’ils soient tenu compte des séjours qu’il effectue temporairement ailleurs en
raison des nécessiter de sa profession, ou de circonstances exceptionnelles. La notion de
séjour se distingue de celle du foyer, en raison de ses implications spacio temporelle. D’une
manière générale le foyer s’entend le lieu où sa famille habite normalement le lieu de
résidence habituel à condition que cette résidence en France ait un caractère permanant.
En revanche lieu de séjour principale les contribuables qui y séjourne pendant plus de 6 mois
au cours d’une année donnée. Et la condition de séjour principale et réputer et rempli
lorsqu’ils sont a titre principale en France quelque puisse être le lieu et les conditions de séjour
de leur famille. Par exemple un contribuable au cours de l’année considérer a résider pendant
362 jours dans une chambre d’hôtel en France. Doit être regarder comme le lieu de séjour
principal. En revanche ne peut pas être regarder comme ayant le lieu principal en France un
étranger qui n’a effectué en France ou il résidait a l’hôtel que des séjour n’excédant pas 70J
pas an.

B- le critère de l’exercice d’une activité pro

Le domicile en France les personnes qui exercent une activité professionnelle salarier ou non
à moins que cette activité soit exercée à titre accessoire
Lorsque le contribuable exerce simultanément plusieurs professions ou la même dans
différents pays, et bien il est considéré comme domicilier en France lorsqu’il y exerce son
activité principale. Elle s’entend à celle où il consacre (prend) plus de temps effectif, même si
elle ne dégage pas l’essentiel de ses revenus. Et lorsque ce critère de temps ne peut pas être
appliquer et bien il faut considérer que l’activité principale et celle qui procure à l’intéresser
la plus grande part de ses revenus.

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C- le critère du centre des intérêts économiques

Sont considérer ayant leur domicile fiscal en France, le centre de leur intérêt économique
Le centres des intérêts économiques s’entend du lieu où le contribuable a effectuer ses
principaux investissements ou le lieu où il possède le siège de leur affaire ou le lieu depuis
lequel il administre ses biens. Ce peut être également le lieu où le contribuable a le centre de
ses activités professionnelles voir le lieu duquel il tire la majeure partie de ses revenus. En
effet le conseil d’état à considérer qu’en cas de pluralité de revenu ou de source de revenus
le centre des intérêts des contribuable doit être rechercher dans le pays duquel le
contribuable tire la majeure partie de ses revenus.
Une personne n’exerçant aucune profession en France et qui se borne à gérer un portefeuille
de valeur mobilière étrangère dépose a l’étranger doit être considérer comme ayant hors de
France le centre de ses intérêts économiques. De même le conseil d’état a jugé que le
contribuable qui dispose en France un patrimoine immobilier composé de plusieurs
immeubles qui détient des participations dans différentes société et déteint divers revenus et
n'a pas son centre d’intérêts économique en France, dès lors qu’il dispose dans un pays
étranger d’important revenu tirer de son activité pro, sans communes mesures avec les
revenus obtenue en France à raison de ce patrimoine ou de ses autres activités.

D- les personnes ayant leur domicile fiscal hors de France

Sont imposable à l’impôt français mais seulement à raison de leur revenu de source française.
Elles doivent donc déposer une déclaration de revenu à la recette fiscale à la déclaration des
non-résidents et à default faire l’objet d’une taxation d’office.

Le principe d’imposition par foyer fiscale


Les contribuables sont imposables celons le foyer fiscale, déclaration unique de toute catégorie de
revenu réaliser par le contribuable lui-même par son conjoint son partenaire, ainsi que les enfants et
autre personne considérer -fiscalement à sa charge.
Tout d’abords le principe du foyer fiscale les revenus :
- imposition par foyer porte en principe sur l’ensemble des revenus imposable de toutes catégorie
réalisée par le contribuable lui-même, ou lorsqu’il ne s’agit de personne marier ou pacs, également les
revenus perçus par les enfants célibataire mineure ou infirme quel que soit leur Age. Également les
revenus perçus par les enfants majeures qui sont attacher au foyer fiscal. Et les regèlent les autres
personnes qui ont la qualité des autres personnes à charges.
Imposition commune des époux quel que soit leur régime matrimonial sous certaines exceptions.
Les règles pour les homosexuels sont les mêmes, mais pour les mariages célébrer à l’étranger
l’admiration fiscale reconnait la validité de se mariage que si la loi du pays l’a conclu admet la validité
et que la loi personnelle de chacun des époux (loi du pays), autorise une telle union. Par exemple le
mariage conclu au pays bas entre un Français et néerlandais doit être valable, et qu’ils viennent en
France ils pourront être considérer comme un foyer fiscal.

Les mariages à l’étranger l’entablement de l’impôt sur le revenu l’administration doit tenir compte
d’un mariage à las Vegas en conformité avec la loi locale.
Les époux et les partenaire soumis à une imposition communes sont tenu solidairement au payement
de l’impôt sur le revenu et les personnes qui vivent en union libre fond l’objet d’une imposition

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distincte en qualité de célibataire de veuf, et chaque membre du couple et personnellement tenu à
l’impôt sur le revenu, a raison de ses revenus et de ceux des enfants et des personnes fiscalement a sa
charge.
M.A et divorcer et un enfant mineur x et M.B mère d’un enfant mineur y.
X et Y ont des revenu, monsieur et madame vivent ensemble et doivent etablir chacun une déclaration
de revenu. La déclaration de A comporté ses revenus persos et ceux de X.
La déclaration de B, comporte les siens et et de Y.
Et si A et B se marie, établissent une déclaration de revenu.

Les exceptions
Revenu doivent être cumuler mais exceptions :
- Ainsi les époux font l’objet d’une imposition distincte tout d’abords lorsqu’ils sont séparés de
biens, soit par contrat de mariage ou séparation de corps et ne vivent pas ensemble
- Également lorsqu’ils sont en instance de séparation de corps ou de divorce et qu’ils sont
autorisé à résider séparément.
- Lorsque l’un des époux à abandonner le domicile familial et distingue leur revenu.
Dans ses hypothèses l’imposition séparer des époux et de plein droit.

En dehors de ses cas les revenus des deux partenaires doivent être obligatoirement cumulés, sans que
les intéresser puisse demander une séparation des revenus.

Imposition distincte des enfants mineurs


- Permet de réclamer des imposition distance pour ses enfants lorsque ceci tire un revenu de
leur travail ou d’une fortune indépendante de la sienne. Et l’imposition séparer de l’enfant test
une exception, la notion de réalité et d’indépendance de la fortune doit être interprété de
manière stricte.
- Garantie d’indépendance de garantie incontestable
- Les revenus de son patrimoine doivent être suffisant pour lui assurer sa subsistance, et pour
lui permettre de ne pas être qualifier de personne dans le besoin

Le contribuable qui entend que les impositions distinctes sont établies aux noms de ses enfants
mineurs a charges qui ont des revenus personnels doivent donner une option en ce sens.

Le simple dépôt d’une déclaration de l’enfant est insuffisant il doit demander l’imposition distincte
d’ns une note qui est jointe a sa déclaration et doit désigner la personne concerné. Cette option est
valable pour un an et doit être renouveler les année suivante. La conséquence de l’option est double :
- Tout d’abords les revenus personnels de l’enfant son imposable à son nom et pas ceux des
parents, tenir une déclaration personnelle.
- Et le contribuable perd le droit de comprendre cet enfant au nom des personnes a charges
pour la détermination de son quotient familiale.

Les personnes exonérer d’impôt sur le revenu


Certaines personnes ne sont affranchies par une disposition légale de la loi. A cet égard on a 3 cas
dexonération :
- les personnes qui ont des salaires, traitements, pension viagère dont le revenu n’est pas supérieur au
minimum garantie (revenu inferieur au smic).
- les revenu faible importance se situant au-dessous d’une limite d’exonération fixé par loi
- les agents diplomatiques et consulaire de nationalité étrangère.

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Le revenu imposable dont le contribuable a disposé tout au long de de l’année considérer
Il faut procéder aux opérations suivantes :
- trouver le résultat net a chacune des catégories. En se conformant aux règles qui sont retenus pour
la catégorie envisagés.
Le revenu brut global et constituer par le total de ces revenus catégoriels, ce total est a ce moment
diminuer si il y a lieu du montant des déficits qui sont susceptible d’être imputé sur le revenu global.

Revenu net global est obtenu en retranchent du revenu brut global certaine charge énumérer par la
loi.

Le revenu net imposable s’obtient en retranchant du revenu net global les abattements spéciaux qui
dans certain cas expressément prévu par la loi peuvent être pratiques que le montant de revenu global.

1- Les revenus nets catégoriels


Ce revenu imposable embrasse la totalité de tout revenu et gains de sorte quel que soit leur
provenance cad qu’ils aient leur source. En France ou hors de France. Certains de bénéfices font l’objet
d’exonération total ou partiels qui font l’objet d’exonération.

2- L’imputation des déficits


Sur le revenu global il permet en principe une compensation d’ensemble des résultats bénéficiaires ou
déficitaire obtenu par le contribuable dans les différentes catégories de revenu et il permet également
s’il y a lieu l’imputation des déficits non encore déduit des 6 années antérieurs.
Prévoir que le déficit constater dans une catégorie de revenu et imputer à concurrence sur le revenu
globale de cette année. Si le revenu global n’est pas suffisant pour que l’imputation soit opérée et bien
l’excèdent du déficit et reporter successivement sur le revenu global des années suivant jusqu’à la
6eme année inclusivement. Ainsi par exemple déficits de l’impôt 2022, et qui sont déclarer en 2023 ce
déficits est reportable sur les revenus qui seront acquis de 2023 à 2028. Et seront donc déclarer en 2024
jusqu’en 2029.

Pour les déficits successifs, Le report se fait en commençant toujours par les déficits les plus anciens,
quand il est en droit de déduire de son revenu global à la fois des déficits et des charges ils faut imputer
d’abords les déficits puis les charges.

3- Les charges déductibles du revenu global


Conformément aux principes, le revenu net en conséquence si l’impôt oit être établie en
prenant en considération toutes les sources dont ils disposent il faut également tenir compte
par les conditions fixé par la loi de deux sortes de charges :
- charges inhérentes a chaque catégories de revenus
- charges qui grèvent le revenu global et non pas une catégorie déterminer de revenu

Les charges déductibles, les pensions alimentaires qui sont versé a des ascendant ou
descendant. Les pensions alimentaires en cas de divorce ou séparation des époux, les frais
d’accueil des personnes âgés, (y compris tous les avantages en natures versés sans
contrepartie a des personnes âgés de plus de 75 ans envers lesquelles il n’a aucune obligation
alimentaire, des collatéraux ou tiers sans lien de parentés ou personnes qui vivent en
permanence sous son toit, et dont le revenu imposable n’excède pas le plafond de ressources
fixés pour l’octroi d’allocation de solidarité aux personnes âgés => déductible)

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Versement sur plan d’épargne retraite populaire = perp

Peuvent être déduit la cotisation verrée a titres individuelles et facultatifs sur des plans
d’épargne d’entreprise soit dans le cadre de régime de retraite supplémentaire et obligatoire
aux entreprises. Également les charges des monuments historiques, les propriétaires
d’immeuble historique peuvent déduire les charges foncières qu’ils supportent dans des
conditions plus favorables que celle du droit commun. Ce régime fiscal s’applique aux
immeubles classés au monument historique ou aux immeubles qui font partie au patrimoine
nationale et qui ont reçu le label.

Les charges susceptibles doivent remplir quelques conditions :


- Figurer expressément parmi les charges déductibles prévu par la loi
- Ne doivent pas être prise en compte pour la détermination des revenus nets catégoriels
- Doivent être payer au cours de l’année d’imposition
- Doivent pouvoir être justifiées
- Elles doivent se rapporter a des revenus qui sont imposable
- Les charges afférentes ne sont ni déductible ni des revenu catégoriel ni de revenu global

A. - La déclaration

B. - La mise en recouvrement

SECTION 3 : LE CALCUL DE L'IMPOT SUR LE REVENU


L’impôt sur le revenu est calculé selon un barème progressif dont les taux s’élevée progressif par tranche
de revenu. Cette progressivité repose sur un postulat. Le contribuable doit payer une fraction plus
importante de son revenu lorsque celui-ci est plus élevé : le montant de l’impôt est calculé aux fonctions
contributives du revenu.

Impôt établie par foyer, la faculté contributive d’un foyer à l’autre dépend le nbr de personnes qui le
partage c’est pk la progressivité de l’impôt est aménager selon le foyer de chaque contribuable et la
progressivité faite grâce au quotient familial. Une fois connu le montant imposable il convient de
déterminer le quotient familial pour connaitre ses charges de famille et procéder au calcul de
l’imposition. Nous verrons qu’un régime spécial pour atténuer l’impôt est en faveur des revenu
exceptionnelle ou revenu différer.

§1. - Le quotient familial


Consiste à diviser le revenu imposable de chaque contribuable en un certain nombre de part en
fonction de sa situation de famille et du nombre de personnes fiscalement à sa charge. L’objet est de
proportionner le montant de l’impôt aux facultés contributives de chaque foyer, pour un même revenu
la faculté contributive dépend du nombre à charge du foyer qui se partage ce revenu.

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A- Les personnes à charges
Les charge de famille sont déterminer aux personnes a charges ou aux personnes rattacher au foyer
fiscal.
Sont considérer comme personnes a charge les enfants célibataires mineurs, les enfants cé libateurs
majeur dont la prise en compte est demandée pour le rattacher. Les enfants infirmes qui sont non
marier pris en compte de plein droit ou si marier doivent demander le rattachement.
Les personnes titulaires de la carte d’invalidité et qui vivent sous le toit du contribuable.
Cette énumération est strictement limitative. On ne peut pas retenir la tiers personnes infirme pour
l’assister dans les actes de la vie courante, ni tenir compte de la personne en difficulté auquel on vient
en aide. Les personnes a charges sont tous les descendant, les ascendant ne sont pas considérer
comme des personnes à charges.

B- La date d’appréciation des personnes a charges


L’impôt sur le revenu est établi après la situation du contribuable le 1 er janvier de l’année
d’imposition. Et tenu compte des charges de famille à cette date ou aux 31 décembres ont augmenter
en cours d’année. En pratique on compare les charges de famille respectivement l’année d’imposition
et on va retenir la situation qui est la plus favorable aux contribuables.

C- Le barème du quotient nt familiale


En divise le montant imposable par le nombre de part, il varie de 1 à 7,8

Celibataire sans perosnne à charge = 1 part


Marier ou pacsés sans perosnnes a charges = 2 parts
Celibataire ou divoser avce une perosnnes a charges = 1,5 parts`
Couple mariés pacsé 1 une perosnne a charge = 2,5 parts
Marié pacsé 3 perosnnes a charges = 4 parts

Quand on connait le montant du revenu net imposable d’un contribuable et le quotient part on peut
procéder au calcul de l’impôt sur le revenu dont il est redevable. Méthode est calculer est consister a
calculer le montant de l’impôt brut du barème légal et ensuite on va apporter diverse correction en
plus ou en moins au termes duquel on obtient le montant réellement du.

A- Le calcul de l’impôt
Le mécanisme de l’impôt brut est le suivant :
D’abords le revenu net imposable et diviser par le nbr de part correspondant au quotient familial dont
bénéficie le contribuable.
Au chiffre ainsi obtenu on applique le barème de l’impôt prévu pour une part de revenu
Progressif de 0 à 43% = montant de l’impot correspondant à chaque part de revenu
Le chiffre est ensuite multiplier par le nbr de part pour aboutir au montant total de l’impot.

Exemple : M 50 000 BNC, 60 000 salaires mariées et deux enfants mineurs à charges.
Charges déductibles 12 000€
Le revenu net imposable s’etablie a 50 000 + 60 000- 12000 = 98 000
Soit par chaque part de revenu on divise par 3 = 32 666 de revenu par part

Application du bareme de l’impot sur le revenu 3 750 par part


Donc 3 750 * 3 = 11 250 du par le couple

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B. - Les corrections du montant de l'impôt brut

- Le plafonnement des effets du quotient familial

- Décote : voir p 23

C. - Le plafonnement global des avantages fiscaux

Prévoit que le montant cumulé de certains avantages fiscaux (déduction réduction crédit d’impôt)
ne peut pas procurer une réduction du montant de réduction sur le revenu qui soit supérieur à certain
montant = 10 000

Ce plafonnement global est applicaple aux perosnnes phisique imposable sur le revenu et qui beneficie
d’avantage fiscaux. Appliquer au vanatges en contrepartie d’un investissement ou d’une prestation que
bénéficie le contribuable.

D. - Les réductions ou crédits d'impôt

La réalisation de dépense d’investissement peut dans certain cas donné droit a une réduction ou crédit
d’impôt, en règle générale correspond aux produits de la dépenses engagé qui est prise en compte
dans la limite d’un plafond et selon un taux fixé par la loi.
Reduction d’impôt : Pinel …
Crédit d’impôt : chaudière écologique

1) L'imputation des réductions d'impôt

S’impute directement sur le montant calculer sur le barème progressif, après application du
plafonnement des effets du quotient familiale e tapres application de la décote. Dans le as oh le
montant de reduction d’impôt excèdent le montant de l’impot brut, la fraction non imputeée ne peut
pas donner lieu à remboursement.

3) L'imputation des crédits d'impôt

Credit exedentaire consitue une créances sur l’etat a valoir pour le paiement des impots suivant. Ils
reportables sur les années suivantes voir remboursable.

§3. - Les revenus exceptionnels ou différés


Pour eviter l’imposition exessive d’un contribuable, prevoit pour les revenus exceptionnele ou diferer
un regime particulier qui sappelle le système du quotient.

A. - La notion de revenus exceptionnels

Pour exceptionnelles deux conditions cumulatives qui tiennes a sa nature et a son montant.
Il faut savour que certains revenu on le caratère sytématiquement d’exceptionnels. Tout d’abors les
revenu exceptionnels stricts, un revenu qui part sa natures n’est pas succeptioble d’etre recueillie tous
les ans, ou ceux qui sont dans le cadres normal de son activités pro ne sont pas suceptioble d’etre

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exceptionnelles même si cette activité produits des revenus sont le montant varie fortement d’une
année à l’autre.
Par principe revêt d’un caractère exceptionnels un revenu dénuer de tous les liens avec l’activité
habituelle de l’intéresser.
De meme une somme qui remunère une mission particuliere n’entrant pas dans le casdre de la
profession du contribuable peut presenter le caractère d’un revenu exceptionnelles

De meme le regimes de revenus exceptionnelles peut bénéficier des revenus de l’acivité pro dès lors
que ces revenus ne concernes pas des opération susceptible de se produire annuellement.
Exemple : un auteur qui se voit attribuer un prix litteraire et le montant de se prix constitue un revenu
exceptionnelle qui se ratache exceptionnelle mais pas suceptible de revenit tous les ans. Imposable
mais béneficera de regimes des revenus exceptionnels .
Pour beneficier le revenu doit etre egalement exceptionells par son montant. Tel en est en est le cas
quand il depasse la moyenne net d’apres ce que le redevable à eter imposer aux titres des trois année
qui précédés la perceptions de ce revenu.

Les revenu exceptionnels par determination de la loi son exceptionnels par nature et le beneficie
quelque soit leur montant : primes de depart, indemnité de mise à la retraitée, indeminité de
licenciement ou des indeminité de ruptures cinventionnlles, reveneu agricole exceptionnels : pour leur
fraction imposable.

B. - La notion de revenus différés

Les revenus differé sont des revenus du contribuable indépendamment de sa volonté qu’il a eu mais
qui par leur date normal déchéance se rapporte a une ou plusieur année antérieur.
Par échéance normal date ou le revenu aurait du etre percu.
Ex : les rappels de salaire, de pension, ou les arrièrer de loyer constitue des revenus differers et aucune
condition de montant n’est imposer pour qu’il puisse etre imposer selon le systèm du quotient.

L’impositon des revenus exceptionnels selon la règle du quotient, est une faculter offerte par le
contribuable qui doit en faire la demande. Cette demande doit etre faite dans la declaration des
revenus.

a) Le calcul du quotient afférent aux revenus exceptionnels

Le system du quotient applicable aux revenus exceptionnels consiste a determnier le montant de l’imot
celon le barem progressif, en 4 étapes :
- On calcul les droits simples du bareme progressif au seul revenu net global ordinaire
imposable. (revenu ordinaire)
- On clucle les droit simple en appliquant le meme barème de l’impot sur le revenu au total
formé par le revenu net global ordinaire et une fraction du revenu benificiant du sysltèm du
quotient (sur l’assiedte oridnaire et exceptionells)
- On calcul la difference entre les deux resultats differents et on multplie cette difference par le
diviseur qu’on a utiliser pour calculer le quotient. ( on fait la difference entre les deux et on
multiplie par 4)
- On additionne la somme qu’on a obtenu au motant de l’impot caluculer sur le revenu global
ordinaire.

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b) Le calcul du quotient afférent aux revenus différés

L'imposition du revenu différé est calculée :

- en divisant son montant par un coefficient égal au nombre d'années civiles correspondant aux
échéances normales de versement augmenté de un ;

- en ajoutant au revenu net global imposable le quotient ainsi déterminé ;

- puis en multipliant par ce même coefficient la cotisation supplémentaire ainsi obtenue.

Le nombre d'années écoulées entre la date à laquelle le revenu aurait dû être perçu et la date où il
l'a été effectivement est donc sans incidence. Ainsi, l'imposition d'un revenu différé perçu en N et
correspondant à une seule échéance normale antérieure est déterminée avec un diviseur égal à 2, que
l'année au titre de laquelle il aurait dû être perçu soit l'année N − 1, N − 2 ou toute autre année antérieure

SECTION 4 : LA PERCEPTION DE L'IMPOT SUR LE REVENU


Impot sur le revenu etablie et recouvert selon des declaration annuels et controler par
l’administration. Le lieu d’imposition, l’impot sur le revenu est etablie au lieu de residence du
contribuale ou si plusieurs lieu le principal

Toute perosnnes imposable doit soucrire a l’impot ses revenus et celle de la famille que l’ont appell
la declaration 2022. Elle est aujourd’hui prérempli et contient toutes les informations du contribuabl
et conprend tous les traitement et slaire pension revenu immobilier déclarer par les parties
versantes. Ses données puevent etre completer ou corrigé par le contribuable. Conditions par la
forme, seffectue par voix electronique t signer sur internet. Certains contribuable concerve a titre
derogatoire sur papier. Il s’agit de ceux qui n’ont pas internet mais aussi les contribuables qui ne
sont pas capable de souscrire en ligne. Aussi ceux qui reside dans les zones blanches (sans services
réseaux)

Impot sur le revenu fzit l’objet d’n role etablie par l’administration et constitue en vertue deuquel
l’administration est en droit de reclamer le payement de l’impot et d’en poursuivre le recouvrement,
le contribuable recoit unavis d’imposition qu ipesente le decompte detailler du revenu imposable
du foyer fiscale,, le montant de l’impot et le delai dans lequel celui-ci doit etre reglé.

§2. - Le paiement de l'impôt

Depuis le 1ER janvier 2019 le prelevenet a la source est le régime commun de l’impot sur le revenu, a
la place des prelevement mensuelle
Le prelevenet a la source prend la foreme d’une retenu qui est operer par le débiteur des sommes, ou
d’un acompte qui est prelever directement par l’administration sur le compte bancaire du
contribuable. L’acompte s’applique dans la catecorie des BIC, ou BNC y compris els revenus fonciers.

L’assiette de l’acompte est est consituer par le montant des beneficies ou des revenus nets imposables
qui ont eter soumis au barem progressfis de l’impot sur les revenu la dernirer année pour laquelle
l’impot a été etablie au non du contribuable. Le prelevenet est fait celon un ataux unique determiner
par l’administration pour chaque foyer fiscale, sur la base des impot est revenu de l’avant derniere

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année pour le calcul de la retenu a la source et des acompte correspondant a la période de janvier à
aout de l’année concerne et la base de revenu de l’année precedante pour les prélèvent operer de
septembre à décembre.

Exam : serie de petit cas pra, réponses developpés et justifier, petits calculs, creance acquise dettes
certaines, amort provision, produits imposable, charges dedu,

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