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Ministère de l’Education Nationale/ Lycée Professionnel Dr Bruno BuchWieser/ Ouagadougou

LYCEE PROFESSIONNEL Dr BRUNO BUCHWIESER


CLASSE : AP
PROGRAMME DE TECHNOLOGIE GENERALE

Chapitre 1 : METROLOGIE
Chapitre 2 : ELABORATION DES METAUX FERREUX
Chapitre 3 : PROCEDES INDUSTRIELS ET DE FABRICATION

[Date] 1
M. Landry Nestor Patrick BAZIE, professeur de lycées et collège
Ministère de l’Education Nationale/ Lycée Professionnel Dr Bruno BuchWieser/ Ouagadougou

Chapitre 1 : METROLOGIE (AP-1ère-BEP)


A. GENERALITES
I. DEFINITION GENERALE
La métrologie se définit comme étant la science de la mesure. Elle s’intéresse
traditionnellement à la détermination de caractéristiques (appelées grandeurs) pouvant être
fondamentales comme par exemple : une longueur, une masse, un temps, etc. ou dérivées de
grandeurs comme par exemple : une surface, une vitesse, etc.
Mesurer une grandeur physique consiste à lui attribuer une valeur quantitative en
prenant pour référence une grandeur de même nature appelée unité.
Les résultats des mesures servent à la prise de décision telles que :

- Acceptation d’un produit ;

- Réglage d’un instrument de mesure, validation d’un procédé ;

- Réglage d’un paramètre dans le cadre d’un contrôle d’un produit de fabrication

- Validation d’une hypothèse ;

- Protection de l’environnement ;

- Définition des conditions de sécurité d’un produit ou d’un système ;


Il faut noter que l’ensemble de ces décisions concourt à la qualité des produits ou
services.
La métrologie se définissant comme étant une science et en tant que telle ; comme
toutes les autres sciences, elle possède un vocabulaire bien distinct.
II. VOCABULAIRE METROLOGIQUE
La bonne pratique de la métrologie passe impérativement par la parfaite maîtrise
de son vocabulaire.
1. LA GRANDEUR
La grandeur est la caractéristique d’un corps, d’une substance, d’un phénomène
qui est susceptible d’être distinguée qualitativement (cas de l’état d’une surface, de l’éclat d’une
surface, la beauté, etc.) ou déterminée quantitativement (cas de la longueur, de la masse, du
temps en termes de durée, etc.).
2. LA VALEUR D’UNE GRANDEUR
C’est l’expression quantitative d’une grandeur particulière, généralement sous la
forme d’une unité de mesure multipliée par un nombre.
Exemple : longueur d’une tige filetée = 5.12 m

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3. LE MESURANDE
Le mesurande se définit comme étant la grandeur particulière soumise à mesurage. En
d’autres termes, il se définit comme étant ce que l’on souhaite mesurer.
Exemple : dimension du diamètre  d’un alésage.
4. LE MESURAGE
C’est l’ensemble des opérations ayant pour but de déterminer la valeur d’une grandeur.
5. GRANDEUR D’INFLUENCE
Il s’agit d’une grandeur ne constituant pas le mesurande, mais qui a un effet sur le mesurage.
Exemple : la température, l’humidité, la pression atmosphérique.
B. MESUSRES ET CONTROLES
En mécanique, la métrologie est l’ensemble des moyens techniques utilisés pour la mesure et
le contrôle de pièces mécaniques. Elle permet de déterminer la conformité des produits, mais
elle participe également à l’amélioration de la qualité. En effet, on valider une action sur un
procédé qu’en vérifiant le résultat de cette action par une mesure.
I. LES CONTROLES
En mécanique générale, la métrologie des fabrications s’intéresse :

- Au contrôle des pièces exécutées ou en cours d’usinage ;

- Au contrôle sur la machine de la position de la pièce par rapport à l’outil de coupe ;

- A la vérification géométrique des organes de machines-outils (cas de l’étau sur une


fraiseuse).
En mécanique automobile, la métrologie s’intéresse :

- Au contrôle des organes mécaniques pouvant subir une usure ou une déformation due
au fonctionnement.
Exemple : jeu de fonctionnement cylindre / piston.
II. CONDITIONS D’EXECUTION
Les mesures et/ou les contrôles de pièces mécaniques s’effectuent en respectant les conditions
suivantes :

- Température ambiante de la pièce à contrôler et les instruments de mesures voisine de


20°celsius ;

- Propreté de la pièce à contrôler ;

- Ebavurage convenable de la pièce ;

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- Manipulation soignée de l’appareil de mesures (pas de choc) ;

- Entretien approprié et régulier de l’appareil de mesures ;

- Rangement systématique de l’appareil de mesures après utilisation.

III. METHODES DE MESURE ET DE CONTROLE


En métrologie, il existe plusieurs méthodes de contrôle parmi lesquelles on note : les méthodes
de mesures directes, les mesures par comparaison et les mesures par calibrage.
1. CONTROLE DIRECT DES DIMENSIONS
La mesure directe est la mesure permettant la lecture directe de la valeur de la dimension à
l’aide d’instruments portant une graduation.
Comme instruments de mesure directe, nous avons : la règle graduée ou réglet, le calibre à
coulisse ou pied à coulisse, la jauge de profondeur, le micromètre ou palmer, la jauge
micrométrique de profondeur et l’alésoir micrométrique.
a. La règle graduée ou le réglet
En mécanique, l’unité de mesure de dimensions utilisée est le millimètre (mm).
1mm = 0.001m
Le réglet est un instrument de mesure généralement en acier inoxydable, fin, plat et gradué en
millimètre. Il peut parfois avoir une précision de 0.5mm. Le réglet peut être de dimensions
variables.
b. Le calibre à coulisse ou pied à coulisse
Cet appareil de mesure directe, entièrement en acier inoxydable peut être de dimensions et
d’utilisation variables, en fonction de sa longueur et de la forme de ses becs. Certaines versions
très modernes possèdent un cadran numérique ou analogique facilitant la lecture. Cet appareil
de mesure utilise le principe de la règle graduée et muni d’un bec transversal (le pied) formant
la butée fixe ou bec fixe et du vernier solidaire du coulisseau portant une vis de blocage à sa
partie supérieure et un poussoir à sa partie inférieure, en liaison glissière avec la règle, formant
la butée mobile ou le bec mobile.

* Précision de mesures
Si la règle est graduée en mm, il n’en est pas de même pour le vernier. Celui-ci, solidaire du
coulisseau, a une graduation bien particulière dont le nombre de division déterminera la
précision de lecture du calibre à coulisse.

- Le vernier au 1/10 possède 10 graduations égales et mesure 9mm. Chaque graduation


du vernier vaut donc 0.9mm.
Sa précision est de 1/10 de mm soit 0.1mm.

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- Le vernier au 1/20 possède 20 graduations égales et mesure 19mm. Chaque graduation


du vernier vaut donc 0.95mm.
Sa précision est de 1/20 de mm soit 0.05mm.

- Le vernier au 1/50 possède 50 graduations égales et mesure 49mm. Chaque graduation


du vernier vaut 0.98mm.
Sa précision est de 1/50 de mm soit 0.02mm.

* Méthode de lecture
Cas 1 : mesure des dimensions extérieures
• Le zéro du vernier correspond exactement à une graduation de la règle : alors la valeur
de la mesure est la graduation indiquée sur la règle en mm.

Dans cet exemple, nous pouvons lire comme mesure 6mm.


• Le zéro du vernier ne correspond pas à une division de la règle, le principe de lecture
est le suivant :
▪ On cherche la valeur entière de la mesure. Cette valeur correspond à la
graduation de la règle immédiatement à gauche du zéro du vernier ;
▪ On détermine la partie décimale de la mesure. Pour se faire, on repère la
graduation du vernier qui coïncide avec une graduation de la règle et ensuite on
détermine le nombre de graduations du vernier en partant du zéro à la graduation
coïncidant avec la graduation de la règle et enfin on multiplie ce nombre par la
précision du pied à coulisse en question.
▪ On obtient la lecture exacte en faisant la somme de la valeur entière et décimale.

Dans le cas ci-contre, il s’agit d’un pied à coulisse au 1/50 soit une précision de 0.02mm.
La graduation de la règle immédiatement à gauche du zéro du vernier est 6 d’où la valeur entière
de la mesure est 6mm.
La graduation du vernier coïncidant avec une division de la règle est indicée 1.
Du 0 au 1 du vernier, nous avons 5 divisions d’où la valeur décimale de la mesure est 5*0.02
soit 0.1mm. La lecture est donc 6+0.1 soit 6.1mm ou 6mm et 1 dixième.

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Cas 2 : mesure de dimensions intérieures


Ce type de mesure est analogue à la mesure de dimensions extérieures, sauf que dans ce cas-ci,
il faut également ajouter l’épaisseur des becs du pied à coulisse qui, généralement, correspond
à 2 fois 5mm soit 10mm.

* Utilisation et entretien du pied à coulisse


Le pied à coulisse est un instrument de précision et afin de profiter pleinement de toute cette
précision en bonne et due forme, pour un pied à coulisse en parfait état, des précautions de
manipulation s’imposent. En effet :

- Il ne faut pas pincer fortement les becs sur la pièce à mesurer ;

- Il faut éviter de choquer et de placer le pied à coulisse directement avec l’outillage en


main ;

- En règle générale, si vous n’avez pas le pied à coulisse dans la main pour effectuer une
mesure, il doit être dans son étui de protection.

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Note 1 : il existe 3 catégories de pieds à coulisse.

- Les pieds à coulisse à vernier de précision variant de 0.1mm à 0.05mm

- Les pieds à coulisse à montre dont la précision peut être de l’ordre de 1/100 soit
0.01mm.

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- Les pieds à coulisse à lecture digitale pour une lecture rapide dans un écran à
cristaux.

c. La jauge de profondeur ou pied à coulisse de profondeur


De conception un peu différente de par sa fonction, c’est une règle sans bec et un coulisseau à
deux becs appelés semelles. Le pied à coulisse de profondeur ou jauge de profondeur se lit de
la même manière qu’un pied à coulisse. Tout comme son nom l’indique, il permet la mesure
des profondeurs.
Exemple : mesure de la profondeur d’un trou borgne.

d. Le micromètre ou palmer
Le micromètre est un instrument de mesure utilisé par les mécaniciens en raison de sa grande
précision. En effet, le micromètre est un instrument beaucoup plus précis que le pied à coulisse
avec sa précision de 1/100 soit 0.01mm.

* Description

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Le micromètre est généralement utilisé pour la mesure de dimensions extérieures. Cependant il


existe des micromètres spéciaux pouvant donner la mesure de dimensions intérieures.
La course entre broche et enclume est limitée à 25mm pour des raisons de précision de
fabrication. Ainsi donc, il existe des micromètres de 0-25mm, de 25-50mm, de 50-75mm et
bien d’autres.
Un micromètre classique comporte :

- Un corps en acier estampé ;

- Une douille graduée de 1mm en 1mm, solidaire du corps (pour étalonner le


micromètre, cette douille peut être déplacée par rapport au corps) ;

- Un tambour (vernier) gradué en 50 parties égales de façon que chaque


division fasse 1/100 de mm ; le tambour est solidaire de la broche ;

- Une broche trempée rectifiée comportant une partie lisse et la vis


micrométrique de pas 0.5 mm, donc 2 tours de broche pour 1 mm. La broche
constitue la touche mobile ;

- Une enclume ou touche fixe en acier trempé rectifié ;

- Une friction entraînant la broche et le tambour ;

- Un écrou moleté de blocage de la broche.

* Principe de fonctionnement
Chaque rotation complète de la vis micrométrique et donc du tambour modifie l’écartement des
touches de mesure de la valeur du pas de la vis, soit de 0.5 mm. La douille est graduée de mm
en mm d’une part du trait horizontal et les graduations d’autre part du trait indiquent les demi-
millimètres (0.5 mm). Il peut arriver que les graduations indiquant les mm soient dans la partie
supérieure du trait. Toutefois, il s’agira des graduations indicées. Le tambour vernier est gradué

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de 0 à 50, chaque graduation représente un déplacement de la vis micrométrique (broche) de


1/100 de mm.

* Utilisation et méthode de lecture

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Point 1 : Précaution à prendre

- Ne jamais utiliser le tambour vernier pour mettre en contact les touches de mesure avec
la pièce à mesurer (risque de détériorer le micromètre et de fausser la lecture).

- Utilisation obligatoire et exclusive de la friction pour mettre en contact les touches de


mesure avec la pièce à mesurer.
Point 2 : Etalonnage
Il arrive qu’on observe de légères variations sur le micromètre faussant toute mesure. Afin de
remettre l’instrument de mesure dans les conditions d’une bonne mesure, il incombe à
l’opérateur de mesure d’étalonner son micromètre.
Pour le micromètre 0-25, on serre la broche contre l’enclume à l’aide de la friction, pour les
micromètres de 0-50 et voire plus, on utilise une pige rectifiée dont la longueur est une cote
exacte.
Si le zéro «0 » du vernier ne coïncide pas avec le trait de la douille graduée, à l’aide de l’outil
de réglage, on fait tourner la douille afin d’aligner le trait horizontal de la douille graduée avec
le « 0 » du tambour vernier.
Point 3 : Méthode pour effectuer une bonne lecture
1 : compter le nombre de graduations indiquant les millimètres ;
2 : regarder si après la graduation des millimètres, une graduation des ½ millimètres apparaît
ou non.
Cas 1 : la graduation n’apparaît pas, lire le nombre de centièmes affiché sur le tambour
vernier et les ajouter à la lecture des mm.
Cas 2 : la graduation est juste en face du tambour vernier qui a lui-même sa graduation
« 0 » en face du trait horizontal, lire le nombre de mm et ajouter un ½ mm, la lecture des
centièmes étant nulle.
Cas 3 : la graduation des ½ mm est visible et les graduations du tambour indiquent une
valeur positive en regard du trait horizontal de la douille graduée, lire le nombre de mm, ajouter
½ mm et ajouter enfin le nombre de centièmes lus sur le tambour vernier par rapport au trait
horizontal de la douille graduée.

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Exemple de lecture :

e. La jauge micrométrique de profondeur


De conception un peu différente de par son emploi, c’est un instrument servant à mesurer les
profondeurs au même titre que le pied à coulisse de profondeur avec la même précision que le
micromètre ordinaire, à savoir une précision de 1/100 de mm. Il se lit de la même façon que le
micromètre ordinaire.

Jauge micrométrique de profondeur


f. Alésoir micrométrique ou bâton micrométrique
Tout comme la jauge micrométrique de profondeur, l’alésoir micrométrique est également une
variante du micromètre employée dans la mesure des alésages (diamètres intérieurs). C’est un
instrument conçu pour le mesurage des dimensions intérieures et se présente généralement sous
forme de bâton en acier traité. Il se lit de la même manière que le micromètre ordinaire. Il en
possède la précision.

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Alésoir micrométrique
2. CONTROLE INDIRECT DES DIMENSIONS OU CONTROLE PAR
COMPARAISON
La grandeur à mesurer est comparée à une grandeur de même nature, de valeur connue, peu
différente de celle de la grandeur à mesurer. On distingue deux méthodes que sont :

- Mesure par comparaison (avec les comparateurs) ;

- Mesure par calibrage (avec un calibre à mâchoires, tampons, …).

a. Les comparateurs
Les comparateurs ou amplificateurs enregistrent les différences de cotes entre les différents
points d’une pièce (vérification de la planéité, de la rectitude) ou entre les pièces à mesurer et
les étalons (pièces types ou combinaison de cales). La précision et la sensibilité de ces appareils
dépend pour beaucoup de la constance et du peu de l’intensité de la pression qu’exerce leur
touche mobile sur la pièce à mesurer. Nous nous limiterons au comparateur à amplificateur
mécanique.

Comparateur

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* Terminologie et lecture du comparateur


Le comparateur à cadran est constitué de :

- La grande aiguille commandée par le palpeur. Un tour complet de cette aiguille


correspond à une tolérance de cote de 1 mm ;

- Le grand cadran est divisé en 100 parties égales, et à cet effet le comparateur est un
instrument de mesure doté d’une précision de 1/100 de mm ;

- Le petit cadrant ou totaliseur indique le nombre de tours de la grande aiguille ;

- L’ensemble de la grande graduation (lunette) peut tourner autour de l’axe de la montre,


afin que la division indexée « 0 » puisse être mise à volonté devant l’aiguille centrale.
Il existe également des comparateurs à cadran dotés d’une précision de 1/1000 de mm.
La montre se monte sur un support magnétique.

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Exemple de mesure d’un écart de rectitude avec le comparateur

b. Mesure par calibrage : les vérificateurs à tolérances


Les vérificateurs à tolérances sont employés dans le but de s’assurer que les cotes des pièces
exécutées sont bien comprises entre les tolérances prévues sur le dessin de définition. La
vérification des tolérances dimensionnelles des pièces mécaniques est basée sur le principe « la
pièce ‘’entre’’ ou ‘’n’entre pas’’ ».

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EXERCICES DE LECTURES
Exercice 1 : lecture du pied à coulisse

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Exercice 2 : lecture du micromètre

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Exercice 3 : Lecture du comparateur

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