Université Mohammed premier

Ecole Nationale des Sciences Appliquées (ENSAO)

Rapport de stage d’ingénieur

Etude du tableau MT du 03 nord et de la

commande circulation de la ligne E

Réalisé par: Parrain de stage: Encadré par :

OUDAD Abdelmohaimine Mr.Yassine Alouani Mr.Hmidat

2014/2015
 Remerciement

Tout d’abord merci pour mon grand dieu qui m’a aidée dans toute ma vie généralement et dans
l’accomplissement de ce stage particulièrement.

Je tiens, à exprimer mes sincères remerciements et mes profonde reconnaissance à mon encadrant
Monsieur HMIDAT et spécifiquement à Monsieur Kiyassi ; leurs patience et ses commentaires qui
sont toujours pertinents.

Je tiens aussi à exprimer mes profonds remerciements à Monsieur MAZOUARI et Monsieur

Alouani Pour le choix du sujet de stage qui m’a aidée vraiment à découvrir beaucoup de chose et
d’exploiter mes compétence en génie électrique, ainsi pour leurs informations qui sont toujours
importants.

Je voudrais aussi témoigner ma gratitude envers tous les gens de l’OCP soit Monsieur Rachid
soit toutes les personnes qui m’ont permis d’acquérir toutes les connaissances et les informations de
base pour la réalisation de ce stage d’application.

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 Dédicaces

Je dédie ce projet A mes chers parents symbole

d’amour d’affection et de sacrifice.

A tous ceux qui m’ont accompagné dans ma marche

scolaire, universitaire et socioéconomique;

A tous mes amis ;

Mes professeurs ;

Mes encadrants ;

Aux gens de l’OCP ;

A tous ceux qui m’ont aidé de loin ou de prés ;

Je dédie ce présent travail.

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 Sommaire

Introduction générale…………...…………………...............................…….…………………….……...

CHAPITRE I : Présentation de la Société Groupe OCP.........………………………………………..

CHAPITRE II : : L’étude iti ue du ta leau MT, des p ote tio s i stallées su les
arrivées, de la sélectivité entre notre installation et leurs départs prévenants de la
e t ale et l’étude te h i o é o o i ue des odifi atio s suggé ées.……….….……...18
I- L’étude critique du tableau MT en fonction des alimentations des moteurs ;
Transformateurs et de la symétrie des équipements……….…………………………...….…………19

II- L’étude des protections installées sur les arrivées et la sélectivité entre notre installation et
leurs départs prévenants de la centrale…………….……………………...……….....21

III- L’étude technico économique des modifications suggérées………………………….…27

CHAPITRE III : l’étude de la o a de po pe i ulatio de lig e E ………………….…..28

I- Présentation de la production de l’acide phosphorique au niveau de la ligne E29…………....29

II- la pompe de circulation…………………………………………………………...……………..30

1- schéma de puissance de la pompe circulation………………………………………………32

2- schémas de commande de la pompe circulation…………………………………………….33

Conclusion générale………………………………………………………………………………………..…………3

Bibliographie……………………….………. ………………………………………………………….…….……..... 3

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 Introduction générale

L’OCP d’El-Jadida est une entreprise industrielle publique qui travaille sur la production de
l’acide Phosphorique, pour arriver à ce produit, plusieurs moteur sont utilisé et alimenté par
des tableaux électriques.

L’objectif de ce stage est subdivisé en trois chapitre :

Chapitre I : Présentation de la Société Groupe OCP.

Chapitre II : L’étude critique du tableau MT, des protections installées sur les arrivées, de la
sélectivité entre notre installation et leurs départs prévenants de la centrale et l’étude
technico économique des modifications suggérées.

Chapitre III : l’étude de la commande pompe circulation de ligne E.

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 CHAPITRE I

La Société Groupe OCP

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Introduction :

Dans ce chapitre je dois essai de donnée une présentation du Groupe OCP on parallèle
avec ceux-ci je dois essai de mentionné l’activité de l’OCP d’El-Jadida où a été dérouler mon
stage d’Ingénieur.

1-présentation :
L’office chérifien des phosphates est une entreprise d’Etat siégeant à Casablanca. Il
s’occupe de l’extraction, de l’industrialisation et de la commercialisation des phosphates
Marocains.

2-L’historique du développement du groupe OCP :

L’office chérifien des phosphates est créé le 7 août 1920, détient le monopole de la
recherche de l’exploitation et de la commercialisation du phosphate au Maroc. Le dahir
du 27-10-1920 réservera à l'état tous les droits de recherche et d'exploitation effective de
ce minerai. Dès cette période, l'OCP a connu une très vive expansion sans relâche grâce
à la qualité du minerai extrait et à la présentation des pays demandeurs.

L'OCP a commencé une très large industrialisation avec son activité et a crée des usines
pour les dérivées du phosphates (acide phosphorique, fertilisants, etc.…), ce qui
constituera le noyau du groupe OCP.

Le groupe OCP livre aux cinq continents de la planète ; ses exportations représentent 25
à 30% du commerce international du phosphate et de ses dérivés présentes dans cinq
zones géographiques du pays :

 Trois sites d’extractions minières : Khouribga, Youssoufia,

Boucraa-Laayoun.
 Deux sites de transformation chimique : Jorf lasfar, Safi.

Ce qui constitue un vecteur de développement régional et national important.

L’OCP occupe une place de leader que ce soit à l’échelle national ou international, en
effet, sa capacité de production dépasse les 21 millions de tonnes de phosphates par an.
Les revenues des phosphates représentent plus 91% des industries minières marocaines.
Le transport du phosphate représente plus de 65% de l’activité de l’ONCF .Il confie au
Maroc la première place dans le domaine de l’exploitation du phosphate.

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3-Le statut juridique

Le Groupe OCP est une Entreprise appliquant les méthodes de gestion privée ayant un
dynamisme et une souplesse d’une grande Entreprise, inscrit au registre de commerce
est soumise au fiscal.

L’OCP est dirigé par un directeur Général nommé par un dahir et contrôlé par un
conseil d’administration présidé par le premier Ministre. A chaque année le groupe
participe au budget de l’Etat par le versement de ses dividendes.

4-Description du site de JORF L ASFAR

Le complexe chimique de Jorf Lasfer est installé dans la région de doukkala à 20 Km

au Sud d’El Jadida. Dans ce complexe on distingue 4 usines principales :

PAKPHOS : (PAKistan acide PHOSphorique) démarré en 2008 en partenariat avec

PAKISTAN dans le but de produire l’acide phosphorique

IMACID : (Indo-Maroc Acide phosphorique) démarré en 1999 en partenariat avec le

groupe Birla (Inde).il est pour produire l’acide phosphorique

EMAPHOS : (Euro-Maroc-Phosphore) aussi démarré en 1999 dans le but de produire

l’acide phosphorique purifié (62%) en partenariat avec la Belgique et l’allemande.

MAROC PHOSPHORIQUE : Permet de produire annuellement 1.400.00 tonnes de

PO5 sous forme acide phosphorique nécessitant la transformation d’environ :

 5.0000.000 tonne de PO5 provenant de Khouribga.

 1.400.000 tonne de souffre importé.

La 2/3 de cette production peut être transformé localement en engrais DAP.MAP.

Le Maroc phosphore contient 4 unités de production :
 Unité de production d’acide phosphorique constitué de 8 lignes.
 Unité de production d’énergie électrique et de la vapeur MP.
 Unité de production d’acide sulfurique constitué de 6 lignes.
 Unité de production d’engrais à 4 lignes de production.

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 Pour faciliter la commercialisation mondiale des produits fabriqués au site de Jorf
Lasfar , ce site dispose d’un port sur la surface maritime atlantique ouvert sur les 3
continents (Amérique, Europe et l’Afrique), il utilise la plupart des quais pour ses
opérations d’import-export.

L’office importe principalement le souffre, l’ammoniaque (NH3) et il exporte le

phosphate, l’acide phosphorique concentré et purifié. Aussi le port contient un hangar
de stockage du souffre solide, deux bacs pour stockage d’ammoniaques, une station de
fusion et de filtration de souffre.

5-Les ateliers du complexe MAROC PHOSPHORE

Afin de doubler la capacité de valorisation des phosphates, Le complexe industriel

MAROC PHOSPHORE III-IV a décidé de réaliser ce complexe qui est constitué de
cinq ateliers :
Atelier Sulfurique : Six unités de production d’acide sulfurique monohydrate de
capacité 15.900 T/j, utilisant le procédé à double absorption Monsanta (USA).

 huit unités de broyage de phosphate de capacité unitaire 100T/h pour les trois
Atelier Phosphorique:

unités fonctionnant selon le procédé Rhône-Poulenc (France) et 150 T/h pour les

 huit unités de production d’acide phosphorique dont 3 fonctionnent selon le

cinq autres unités fonctionnant selon le procédé OCP ;

procédé Rhône-Poulenc (France) de capacité unitaire 500 TP2O5/j et 5 selon le

 16 échelons de concentration de capacité unitaire 300 TP2O5/j ;

procédé Jorf (OCP) de capacité unitaire 700 TP2O5/j ;

 Quatre échelons de concentration de capacité unitaire 275 TP2O5/j (procédé

 Décanteurs, désursaturateurs et bacs de stockage.

OCP) ;

Atelier engrais :
Quatre unités de production de DAP dont deux peuvent produire du TSP, MAP et NPK
avec une capacité quotidienne estimé à :
-Capacité en DAP : 1.400 T/j/unité
-Capacité en TSP : 1.100 T/j/unité
-Capacité en MAP : 1.200 T/j/unité.

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 Atelier des utilités :

 Une centrale thermoélectrique avec 3 groupes turboalternateurs de 37

 Un réservoir d’eau douce et une station de traitement de 2.000m3/h ;

MW chacun ;

 Une station de reprise d’eau de mer de 60.000m3/h ;

 Une station de compression d’air.

 Hangar de stockage de soufre solide ;

Installations portuaires :

 Unité de fusion filtration de soufre ;

 Bacs de stockage de soufre liquide ;
 Bacs de stockage d’acide sulfurique et de soude caustique ;

 Bacs atmosphériques de stockage d’ammoniac ;

 Station de filtration et de pompage d’eau de mer ;
 Station d’ensachage des engrais destinés à l’exploitation.
 Installations de chargement et de déchargement.

6-Description de l’atelier phosphorique

6-1-Mission :
L’atelier phosphorique est chargé de produire l’acide phosphorique à partir de deux
éléments essentiels qui sont : l’acide sulfurique et le phosphate. Il est compose de cinq
unités en plus d’une unité de clarification.

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 attaque et
phosphate Broyage(02)
filtration(03)

concentration en
stockage à stockage à
acide
29%(13) 54%(14)
phosphorique(04)

6-2- Les diverses unités :

a)Broyage (02) : c’est la première unité de l’atelier phosphorique. Sa mission est de
faire diviser le phosphate afin d’augmenter sa surface spécifique. Et donc sa réactivité.

b) Attaque et filtration (03) : une fois le phosphate broyé. il est transmis vers l’unité
d’attaque et filtration qui le fait mélanger avec l’acide sulfurique afin de nous donner
l’acide phosphorique de concentration 29%.

c) Stockage à 29%(13) : c’est l’unité de stockage de l’acide phosphorique à 29% afin de

le préparer à la prochaine étape, celle de la concentration. Il contient deux grands bacs
dont l’un contient l’acide phosphorique à 29%.

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 La figure ci-dessous présente la fiche synoptique de cette unité :

d) Concentration en acide phosphorique (04) : en se basant sur le procède de chauffage,

cette unité est charger de concentrer le mélange en acide phosphorique afin d’augmenter
sa concentration en 54%.

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 e) Stockage à 54% (14) : elle permet de stocker l’acide phosphorique à
54% afin de le préparer soit à l’export ou à la production des engrais.
f) Clarification(05)
6-3-L’organisation de l’atelier phosphorique
L’atelier phosphorique est divisé en deux zones Nord et Sud. Chaque zone est
composée de quatre (4) lignes de production, le nord comprend les lignes A, B, C & D,
le sud se compose des lignes X, Y, Z & U.

SCHEMA DE L’ATELIER PHOSPHORIQUE :

UNITES :
Broyage de phosphate ;(02)
Attaque filtration acide ;(03)
- 05 lignes REVAMPING (A, C, D, X, U) avec une production de 750 tonnes/j
- 03 lignes RHONE POULENC (B, Y et Z) avec une production de 500 tonnes/j
Stockage acide 29% ;(13)
16 échelons de concentration ;(04)

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 Stockage acide 54% non clarifié ;(14NC)
Station prétraitement ;(14U)
04 lignes de clarification ;(05)
- 2 lignes sont fonctionnels actuellement (L20 et L40)
Stockage acide 54% clarifié ;(14C)
CAP III (04)
- 04 échelons de concentration (04)
- Stockage acide 29% ;(13)
- Stockage acide 54% non clarifié ;(14NC)
- Traitement d’acide ;(14T)
- Filtration des boues ;(14F)
Circuit de fabrication de l’acide phosphorique à 54% :

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 II- Etude technique

1-Etude de la centrale thermique (unité 20)

Une idée générale sur la centrale :

La centrale thermoélectrique est conçue pour assurer les fonctions suivantes :

 La production et la distribution de l’énergie électrique

 La distribution et la gestion de la vapeur
 La production et la distribution de l’eau alimentaire et condensas
 La réfrigération des auxiliaires du complexe

On s’intéressera par suite sur la fonction de production et de distribution de l’énergie

électrique. Et surtout l’alimentation en énergie électrique de l’unité de l’attaque de
l’acide phosphorique (03) Nord.
Circuit de transformation de l’énergie :

Energie Energie Energie Energie

chimique calorifique mécanique electrique

Description de la centrale thermoélectrique :

Dans la centrale en dispose de 03 groupes turboalternateurs de capacité 37.6 MW,

chacun utilisant la vapeur haute pression produite par les chaudières de récupération
dans l’atelier de production de l’acide sulfurique, cette vapeur se détend partiellement
ou totalement pour produire l’Energie électrique et la vapeur de procédé nécessaires au
fonctionnement du complexe.

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 Chaque Groupe turboalternateur comprend :

 Une turbine multicellulaire à condensation et soutirage

 Un Alternateur avec accouplement rigide
 Une centrale d’Huile pour la régulation et le graissage
 Un condenseur principal muni d’un système de création du vide

Fiche synoptique de la centrale :

Vapeur HP Sulfurique IMACID

Chaud I Chaud II EMAPHOS

Réseau Vapeur HP Réseau Vapeur HP

SCHEMA DU PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT

TPA GTA I GTA II GTA III

Cont. Cont. Cont.

Désurch. Désurch. Désurch.

CENTRALE THERMIQUE

Condenseur C.P II C.P III

Principal I

Réseau Vapeur MP Réseau Vapeur MP

Stockage Port
Vapeur MP Sulfurique
Phosphorique CAP
Phosphorique CAP Vapeur MP
Sulfurique
Condenseur Condenseur
Auxiliaire I Auxiliaire II

Bâche à condensats

Dégazeur
Refroidisseur

Bâche
Alimentaire
Eau Alimentaire
Eau de dessurchauffe

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 Caractéristiques du groupe thermoélectrique :

Turbine :

Pression Température Débit (t/h)

(bar) (°C)

Vapeur d’admission 55 490 190

Vapeur de soutirage 8,5 276 100

Echappement 0,68 38 90

Alternateur :

Tension Fréquence Vitesse

Puissance

37.6 MW 11 KV 50Hz 3000tr/min

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 CHAPITRE II

L’étude critique du tableau MT, des protections

installées sur les arrivées, de la sélectivité entre
notre installation et leurs départs prévenants de
la centrale et L’étude technico économique des
modifications suggérées.

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 Introduction :
La continuité du service de production est l’un des objectif majeurs des ingénieurs électrique
au sein de l’OCP ; pour assurer cette continuité il faut bien comprendre le système électrique
puis proposer une architecture convenable à une étude technicoéconomique préétablie ceux-
ci est l’objectif de ce chapitre.

I- L’étude critique du tableau MT en fonction des alimentations des moteurs ;

Transformateurs et de la symétrie des équipements.

1-le schéma du tableau MT de 03 nord :

* chaque disjoncteur est contrôlé par une sepam , chaque moteur broyeur est indépendant
des autres circuits, chaque transformateur est indépendant des autres circuits.

Dans cette schéma chaque transformateur de chaque ligne (A, B, C, D), qui alimente par la
tension composé 600V un ensemble d’appareillage comme des moteurs etc, est relie à son
moteur broyeur appartenant à la même ligne (sauf le transformateur d’éclairage) ; celui-ci est
alimentée par une tension de 10 KV.

Le couplage sur le schéma unifilaire si dessus permet d’assurer le fonctionnement d’un

demi tableau à l’aide d’une arrive venant de la centrale, en cas d’un défaut sur l’autre demi à
cause d’un problème sur le verrouillage du disjoncteur par exemple.

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 L’inconvénient du schéma de la page précédente est l’interruption de la
production au niveau de deux ligne lorsque on repart un demi tableau ; c’est pourquoi j’ai vu
de proposer l’architecture si dessous et qui bloque seulement la production au niveau d’une
ligne lorsqu’un problème survient sur celle-ci.

Cette architecture est possible de la réalisera puisque l’espace pour ajouter les cellules
dans la salle MT est suffisant (on a effectué des mesure de l’espace de la salle).

On effet cette architecture contient trois couplage, ce qui permis la possibilité d’alimenter
chaque ligne indépendamment des autre à travers un disjoncteur de de l’arrivé ceux-ci
augmente le rendement de la production lorsqu’ un problème sur une ligne survient (par
rapport à l’architecture précédente).

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 II- L’étude des protections installées sur les arrivées et la sélectivité entre notre
installation et leurs départs prévenants de la centrale :

Au niveau de chaque arrivé, chaque couplage, chaque départ moteur et chaque départ
transformateur les ingénieurs électriques ont installé une Sepam 2000 et un disjoncteur 17.5
KV qui est contrôlé par cette dernière.

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 1-sepam 2000 :

1-1 Présentation :

Sepam 2000 et sa console TSM 2001 qui permet sa configuration

Sepam 2000est orienté vers la performance. ll permet ainsi de satisfaire les applications les
plus exigeantes. Sepam 2000 dispose d’une large capacité de contrôle commande grâce à
son automate programmable intégré et à son interface de communication vers un
superviseur ou vers un autre système de commande centralisé. L’automate programmable
intégré réduit considérablement le relayage auxiliaire et la filerie associée. Chaque Sepam
2000est fourni avec son programme standard de commande et de signalisation, ce qui
permet son emploi sans étude complémentaire et sans programmation.

Les informations disponibles et la capacité de commande à distance permettent l’intégration

de Sepam 2000dans un système de gestion d’énergie. Sepam 2000envoie les informations à
la salle de contrôle, I ’opérateur est ainsi immédiatement informé de la situation, et dispose
des informations nécessaires pour prendre immédiatement les mesures appropriées sans se
déplacer.

Chaque Sepam 2000est conçu pour satisfaire complètement les besoins d’une application et
comprend toutes les fonctions nécessaires prêtes à l'emploi. Il suffit de choisir le Sepam
2000correspondant dans le tableau de choix des fonctions disponibles par application

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Exemple :

Une arrivée sous station d’un poste à alimentations multiples sur un réseau à neutre
impédant devra disposer de :

 une protection à maximum de courant phase et terre à temps dépendant

ou indépendant,

 une protection directionnelle de phase et terre pour assurer la sélectivité entre

les arrivées en parallèle.

 un relais à minimum de tension pour commander une permutation des sources.

 toutes les mesures et le comptage des énergies pour l’exploitation du poste.

Le Sepam 2000choisi sera le type S03comportant les fonctions de commande et de

surveillance standard, telle la surveillance du circuit de déclenchement et la sélectivité
logique avec les disjoncteurs avals.

Description :

Sepam 2000 remplace les appareils de mesures qu’ampèremètres, voltmètres, wattmètres,

compteurs d’énergies, etc. l’affiche des messages d’alarmes ou d’exploitation en association

avec les fonctions de protection et logiques de commande, ce qui dispense l’installa de
voyants indicateurs. Il comporte en face avant :



un affichage lumineux alphanumérique, lisible à plusieurs mètres,
des touches permettant le choix de la mesure à visualiser et l'acquittement des
messages. Par sécurité, ces touches ne donnent pas accès aux réglages des

 voyants :
protections,

 “trip” (déclenchement par action des protections

 “disjoncteur ouvert”,
 “disjoncteur fermé”,
 un voyant vert d’indication de présence
“tension auxiliaire”,

 un voyant rouge d’indication d’anomalie de fonctionnement et de passage en position

 un portillon donnant accès :

de rep (chien de garde),

 à la prise de raccordement liaison série,

 au logement de la cartouche.

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 Cette cartouche contient les différents programmes nécessaires au
fonctionnement de Sepam 2000.

2- disjoncteur 17.5 KV :

Avec :

Ur : c’est la tension de réglage (la tension régler pour le déclenchement du disjoncteur si

celle-ci est dépassée).

Up : c’est la tension du pic.

Ir : c’est le courant du réglage.

Ik : le pouvoir de coupure.

Ip : le courant de pic.

Fr : la fréquence de réglage.

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 Définition : Un disjoncteur est un dispositif électromécanique, voire
électronique, de protection dont la fonction est d'interrompre le courant électrique en cas
d'incident sur un circuit électrique. Il est capable d'interrompre un courant de surcharge ou un
courant de court-circuit dans une installation. Suivant sa conception, il peut surveiller un ou
plusieurs paramètres d'une ligne électrique. Sa principale caractéristique par rapport au fusible
est qu'il est réarmable (il est prévu pour ne subir aucune avarie lors de son fonctionnement)

Les Paramètres du disjoncteur :

b) pouvoir de coupure : Le pouvoir de coupure d'un disjoncteur correspond à son aptitude à

interrompre un courant de court-circuit (« couper un circuit ») sans se détériorer et sans mettre en
danger l’entourage. Il se caractérise par l'intensité maximale du courant (appelé « courant présumé »)
qui passerait si aucun disjoncteur ne l'interrompait. Les normes CEI 60947-2 (ou NF-EN 60947-2)
pour les disjoncteurs basse tension de puissance, et CEI 60898 (ou NF EN 60898) pour les disjoncteurs
à usage domestique, précisent ces caractéristiques.

Un fort courant soumet tous les conducteurs à des forces électrodynamiques violentes, qui selon
l'architecture de l'appareil peuvent l'aider ou non à s'ouvrir rapidement, aider aussi l'arc électrique à
s'allonger et à rejoindre une zone, dite chambre d'extinction, où son énergie sera bien absorbée.

Plus le courant est important, plus l'arc est puissant (produit intensité par tension d'arc), plus l'énergie
accumulée peut être destructrice. Si la disparition de l'arc n'est pas assurée dans un temps
suffisamment court, le boîtier de l'appareil peut ne plus supporter la pression des gaz échauffés, la
fusion des contacts risque d'empêcher le réarmement de l'appareil. Le disjoncteur ne serait alors plus
capable d'assumer sa fonction.

Un disjoncteur doit donc être dimensionné pour pouvoir supporter le courant de court-circuit
potentiellement présent à son point d'insertion dans un circuit, sous la tension potentiellement présente
à ce même point d'insertion. L'intensité et la tension de ce courant dépendent de plusieurs facteurs :

 la capacité du circuit d'alimentation à fournir un courant maximal sous une

certaine tension ;
 la possibilité pour le circuit (fils, pistes) et l'appareillage alimenté, à générer un
courant plus ou moins important ;
 la faculté qu'a l'appareillage ainsi que le circuit l'alimentant à être le siège d'une
tension plus ou moins importante (normale ou accidentelle).

Dans le cas contraire, il devra être lui-même protégé soit par un fusible, soit par un autre disjoncteur
présentant un pouvoir de coupure suffisant.

c)pouvoir de fermeture : Selon la définition de la CEI, le pouvoir de fermeture est une valeur du
courant présumé établi qu'un disjoncteur est capable d'établir sous une tension donnée et dans des conditions
prescrites d'emploi et de comportement. Il correspond à la valeur maximale du courant sous lequel le disjoncteur
peut être manipulé en charge sans dégradation.

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 d) Attitude au sectionnement : Selon les règles d'installation (en France, selon le
chapitre 437.2 de la norme NF C 15-100), le disjoncteur doit assurer la séparation physique des
circuits, lors d'intervention ou de travaux sur le circuit concerné, c'est-à-dire avoir une aptitude au
sectionnement : cette aptitude est la garantie que l'appareil ne laissera passer aucun courant résiduel
dangereux s'il indique une position ouverte par un voyant ou par la position de la manette, soit un
maximum de 0,5 mA à 6 mA selon le cas, lorsque la tension du réseau est appliquée entre ses bornes.
Les normes CEI 60947-2 et CEI 60898 mentionnées plus haut précisent les conditions de cette
aptitude.

Un dispositif de condamnation (cadenas et étiquette de condamnation) permet alors le blocage des

contacts en position ouverte afin de respecter les règles concernant l'habilitation électrique (UTE C 18-
510, 520, 540), on appelle cela une « condamnation ».

La condamnation concerne la 2e étape de la procédure de consignation.

3- Etude de la sélectivité :

Pour faire une étude de la sélectivité il faut avoir une idée sur un ensemble de paramètre
comme la résistance et la réactance des déférente éléments…, malheureusement c’est
paramètres sont manqués ; car normalement il va nous nous permettons de régler la
sélectivité ampérométrique et logique on paramétrons la partie protection du sepam 2000 à
l’aide de la console (cette étude est réalisé par les société comme Cegelec et Jacobs
puisque c’est eux qui installe les différentes tableau dans l’OCP et pas les électricien de
l’OCP).

Avec :

Sélectivité ampérométrique : La sélectivité ampérométrique repose sur des réglages de

courant de déclenchement décroissant vers l'aval du réseau. Plus on est près du
consommateur, plus le courant réglé sera faible. C'est la sélectivité ampérométrique qui est
par exemple utilisée dans les tableaux.

Sélectivité logique : La sélectivité logique requiert un échange d'informations entre les

différents organes de protection. En effet, la première protection détectant un défaut envoie
un ordre de « blocage » aux autres protections, les empêchant ainsi de déclencher.

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 IV- L’étude technico économique des modifications suggérées :

Le prix des différents éléments indispensable :

Le jeu de barre : 60 000DH pour un bloc

Disjoncteur : 100 000DH

Sepam2000 : 28 900DH

L’étude technico économique :

Le nombre de cellule à ajouter par rapport à l’architecture qui existe (sachant que chaque
cellule comporte une sepam et un disjoncteur) est : quatre.

Le nombre de bloc de remonter de barre est : deux.

 Donc le minimum prix du matériel à utiliser pour réaliser la nouvelle architecture est :
4*(100000 + 28900) +2*60000=635 600 DH.

Calcule du prix des pertes lorsqu’une ligne soit interrompue:

Chaque 24h chaque ligne produit 1250 tonne de l’acide phosphorique, donc il s’agit de
52.083 tonne par heure, et puisque un tonne coute 6000DH donc chaque ligne nous permt
de gagné par heure à peu près 312498DH, et si une ligne ce bloc pendant une heure l’OCP
va perdre alors 312 498DH, si deux ligne ce bloc pendant une heure donc l’OCP va perdre
environ de 624996 DH.

Donc c’est mieux d’utiliser l’architecture que j’ai proposé sachant que c’est la même
architecture utiliser dans le sud.

Conclusion :

Apres l’étude des déférents éléments de protection qui va nous amener à éliminer les
défauts de la sélectivité, après la comparaison entre les deux architectures citées dans les
pages précédentes, et après l’étude technicoéconomique des modification suggérer, nous
somme amené à choisir la nouvelle architecture (qui a trois couplage) pour le tableau MT du
03 nord.

Page | 27
 Chapitre Iii

L’étude de la commande pompe circulation de ligne

03e.

Introduction :

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 La pompe de circulation est installer dans la ligne E qui est une nouveau ligne,
sa fonction est de transporter la Boyer de la cuve d’attaque vers la cuve de maturation.

L’objectif est de présenter le schéma de la commande pompe de circulation (ensemble de

folio) et son étude (cette étude sera réalisé dans la fin des déférentes présentations).

I- Présentation de la production de l’acide phosphorique au niveau de la ligne E:

La pulpe ‘ a ‘ (le mélange eau de pourcentage 65% ’d’ et phosphate qui présente 35% ‘e’)
reçue de Khribga est injecté dans le tickner à l’aide d’une pompe ‘b’, à celle-ci on ajoute un
floculant ‘f’ pour que la densité du phosphate augmente ce qui permet la précipitation de
celui-ci ; le rôle du racleur ‘w’ est de tourné avec une vitesse de 0.15tr/min à l’aide de quatre
moteur asynchrone commandé par un API pour que le phosphate ne se colmate pas ; on
effet si la densité du phosphate n’est pas normale on le retourne vers le haut à l’aide de la
pompe ‘c’ pour qu’il s’augmente on y ajoute le floculons. La pulpe traité (il contient 35% de
l’eau et 65%de Phosphate) est ainsi transmis vers le réacteur (‘l’,’m’) exactement vers le
cuve d’attaque ‘l’ à l’aide de la pompe ‘g’ ,on y ajoute l’acide sulfurique H2SO4 produit par
l’autre partie de notre Société OCP, plus l’acide phosphorique moyenne extraite à partir d’un
filtre qu’on doit traiter dans la suite de cette explication, ceux-ci est mélanger, ceux qui
entraine des réaction chimique exothermique ; les gazes dégagées sont ainsi traité est
libérer en suite (dans l’atmosphère), la bouillé formé (le mélange) est injecté à l’aide de deux
pompe ’h’ et ‘i’ dans le cuve de maturation ’m’ qui contient quatre agitateur.

La Boyer traiter est envoyer vers deux filtre air ‘u’ semblable à l’aide de deux pompe ‘A’ et
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 ‘B’; en effet la bouillé (qui tourne sur plusieurs secteur) est injecté tout d’abord
dans le pré secteur ‘n’, puis on filtre l’acide fort 29% dans son secteur ‘t’ à l’aide d’une pompe
qui aspire celui-ci ; qu’on doit stocker dans la suite, en suite on filtre l’acide moyen dans son
secteur ‘s’ (celui-ci est injecté dans le cuve d’attaque), après on filtre l’acide faible dans son
secteur ‘r’ (celui-ci est injecté dans le secteur d’acide moyen),on filtre par la suite l’acide très
faible dans son secteur ‘q’, il nous reste dans la fin du processus de filtration le Gibbs qu’on
met dans le trime pour l’attaquera avec du l’eau de la mer dans le secteur ‘p’, est pour
terminer on procède à une lavage dans le secteur ‘o’, pour que les trou du filtre se nettoie.

II- la pompe de circulation :

Il a pour rôle de porter la Boyer de la cuve d’attaque vers la cuve de maturation celle-ci est
occupé d’un moteur alimenté par une tension composé de 660 V ; il est commandé par un
démarreur.

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 1- schéma de puissance de la pompe circulation :

E
D
C

A : Fusible.

B : démarreur.

C : Moteur.

D : Mesure du courant d’une phase.

E : Signalisation.

F : Mesure du déséquilibre.

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 2- schémas de commande de la pompe circulation:

A : la commande du démarreur :

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 Le relais thermique Pt100:

Son rôle est le contrôle de la température du mateur à partir des trois sonde qui existe dans
celui-ci (les températures sont affiché sur l’afficheur de la cellule).

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 Le schéma de la partie signalisation des défauts et de l’état du moteur :

Interprétation de l’ensemble des schémas :

Lorsque les contacts fusible se ferme et lorsque il n’ Ya aucun problème (pas de surcharge,
la température du moteur est normale…) le courant atteint la commande du démarreur, avant
qu’il démarre il vérifie avec son unité de commande si il n’y a aucun défaut, si tout est bien le
démarreur démarre le moteur de la pompe, et celle si transporte alors la Boyer de la cuve
d’attaque vers la cuve de maturation. Sachant que chaque processus a son signale (comme
il est indiquer sur le schéma si dessus (démarrage du moteur, du démarreur, la température
des trois sonde installer au niveau du mateur, défaut …)).

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Conclusion :

Le moteur de la pompe de circulation est commandé par l’unité de commande du

démarreur, on cas d’un problème sur le moteur ou sur le démarreur l’unité de commande du
démarreur détecte le problème, le signale, et bloc la fonction de démarrage.

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 Conclusion Générale

Ce stage ma permis d’avoir une idée sur le travail dans une entreprise industriel ainsi la
fonction de l’ingénieur électrique dans ce genre d’entreprise, il m’a permis également de
découvrir les diffèrent matérielle utilisé dans une installation électrique, ainsi la procédure
pour maintenir le fonctionnement continue du service de production (le nettoyage des
moteurs contre la poussière pour qu’ils conserves leurs température normale, le nettoyage
des ventilateurs pour qu’ils maintiens leurs équilibre, le nettoyage aussi des jeux de barres
cotre la poussière pour éviter les problèmes d’isolation ...) ; on plus de sa il m’a permis
d’augmenter mon sens de contact avec les gens.

Bibliographie

 Rapport de NAHIDI Hassan - L'Etudiant.

 http://mt.schneider-electric.be/OP_MAIN/Sepam/3140750FR.pdf.
 http://mt.schneider-electric.be/Main/MCset_Fluair400/instructions/7897302uk.pdf.

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