RAPPORT DE STAGE

Réalisé par : Mr. AZIZ ANOUAR

Encadre par : Mr. FAHMI

Formateur responsable : Mme. ALLOUI NAIMA

Spécialité : TECHNICIEN EN Electricité de Maintenance

Industrielle

Lieu de stage : OIG/B/M/I

Période de stage : du 01/02/2017 AU 28/02/2017

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 SOMMAIRE
 REMERCIEMENT …………………………………………………...3
 PARTIE I : Généralité sur l’OCP …………………………………….3
 Historique ………………………………………………3
 Statut juridique…………………………………………4
 Activité du groupe OCP……………………………….4
 Organigramme ………………………………………...6
 PARTIE II : Présentation de la mine de Benguerir.…………….7
1) Introduction……………………………………………..7
2) Les procèdes de Production du Phosphate………..7
a) Les machines utilisée …………………………..7
b) Description des étapes d’exploitation :……….8
 Forage …………………………………8
 Sautage………………………………..9
 Décapage …………………………….10
 Défruitage …………………………….12
 L’installation fixe ……………………..13
 PARTIE III: Service Electronique et Instrumentation de …..15
Benguerir :
 Organigramme ………………………………………….15
 Activités ……………………………………………….....16
1 _ chantier…………………………………………………….…16
2 _ installation fixe ………………………………………………16
 PARTIE IV : Les machines tournantes & Camion HP :………17
1) Les machines tournantes ……………………………………17
 Les moteurs à courant continu ………..……………….17
 Le freinage des moteurs à courant continue………….20
2) Les camions HaulPak :………………………………………..22
 Constitution, principe de fonctionnement : …...22
 Schéma synoptique …………………………24
LES TRAVAUX EFFECTUER ………………………………………..24

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REMERCIEMENT

Avant de commencer la présentation de ce rapport, nous

profitons l’occasion pour remercier du fond du cœur toute personne
qui a contribué de prés ou de loin à la réalisation de ce travail
Au terme de ce stage, je tiens à remercier d’une part mon
encadrant de stage Monsieur FAHMI Pour son aide précieuse et
leurs conseils combien fructueux
Je présente également ma profonde gratitude à les agents de
groupe atelier électronique pour leurs aides et leurs conseils qu’ils
nous ont présentés avec une disponibilité jamais démentie et aussi
pour la mise à notre disposition et tous les moyens humains et
matériels pour le bon déroulement du stage.

 PARTIE I : Généralité sue l’OCP :

Historique :
1917 : Découverte des premières traces de phosphate dans la région
d’Ouled Abdoun à Khouribga
1920 : Création par Dahir de l’Office Chérifien des phosphates
1921 : Démarrage de l’extraction souterraine à Khouribga et de l’activité à
l’export via le port de Casablanca
1931 : Démarrage de l’extraction souterraine à Youssoufia
1951 : Lancement de l’extraction à ciel ouvert à Sidi Daoui dans la région
de Khouribga
1965 : Création de Maroc-Chimie à Safi entamant ainsi l’ère de la
transformation et de la valorisation de phosphore
1976 : Création de 1er centre R&D dédié au phosphate
1980 : Lancement de la mine de Benguerir
1984 : Démarrage de la plateforme de Jorf Lasfar pour la production
d’énergie

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1990 : Ouverture d’un bureau de représentation en Inde
A partir de 1996 Expansion à l’international avec la création de plusieurs
joint-ventures :
_ IMACID
_ ZMPL
_ EMAPHOS
_ PAKPHOS
...
2007 : Création de la fondation OCP
2008 : L’Office Chérifien des Phosphates devient Société Anonyme, OCP
SA, et démarre son programme de transformation industrielle
2010 : Création de JESA, une joint-venture avec Jacobs Engineering Inc,
dédiée à l’ingénierie
2010-2011 : Démarrage de l’installation de plusieurs unités industrielles
(laveries et STEP) et renforcement de la présence d’OCP à l’international
avec l’ouverture de deux bureaux de représentation Brésil et en Argentine
2011 : Création des Skills centers, un vaste programme sociétal pour
promotion de l’employabilité et l’entreprenariat
2012 : Création d’un bureau de représentation en Turquie et de BSFT
(Black Sea Fertilisera Trading)
2013 : Création de Dupont OCP Operations Consulting (DOOC), une joint-
venture entre notre Groupe et la division Dupont Sustainable Solution
(DSS) du groupe américain Dupont de Nemours
2014 : Démarrage du Slurry Pipeline sur l’axe Khouribga Jorf-Lasfar sur
une longueur de 235 Km.
Création de la Fondation Phosboucraà.
Emission obligataire inaugurale l’OCP d’un montant de 1,85 milliards de
dollars US en deux tranches d’une maturité de 10 ans et 30 ans

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2015 : Deuxième émission obligataire d’OCP d’un montant de 1 milliards
de dollars US d’une maturité de 10,5 ans.
Ouverture du premier bureau de représentation d’OCP en Afrique
subsaharienne à Abidjan (cote d’Ivoire) et d’un bureau à Singapour
2025 : Terme du vaste programme d’investissement engagé par OCP qui
devrait permettre d’atteindre une capacité de production de 50 millions de
tonnes

 Statue juridique :
L’O.C.P est une entreprise semi-publique sous control de l’état,
mais elle agit avec le même dynamisme et la même souplesse
qu’une grande entreprise privée servant à l’état marocain tout le
droit de rechercher et d’exploiter des phosphates, gérée par un
directeur et contrôlée par un conseil d’administration présidé par le
premier ministre. La gestion financière est séparée de celle de
l’état.
Le groupe OCP est inscrit au registre de commerce et soumis sous
le plan fiscal les mêmes obligations que n’importe qu’elle entreprise
privé (impôt sur les salaires, sur les bénéfices, taxes sur
l’exportation…) et chaque année, le groupe OCP participe au
budget de l’état par versement de ses dividendes

 Activité du groupe OCP :

Groupe Office Chérifien des Phosphates (O.C.P) est spécialisé
dans l’extraction,
la valorisation et la commercialisation du phosphate et de ses
produits dérivés.
Chaque année, plus de 23 millions de tonnes de minerais sont
extraites du sous-sol marocain.
Principalement utilisés dans la fabrication de l’acide
phosphorique et des engrais dérivés, les phosphates proviennent
des gisements de Khouribga, Benguerir, Youssoufia et Boucraâ.
Selon les cas, le minerai subit une ou plusieurs opérations de
traitement (lavage/flottation, séchage, calcination, enrichissement
à sec…etc.).

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 Une fois traité, il est exporté ou livré aux industries chimiques
du Groupe, à Jorf Lasfar ou à Safi, pour être transformé en
produits dérivés commercialisables : acide phosphorique de base,
acide phosphorique purifié, engrais solides .Premier exportateur
mondial de phosphate sous toutes ses formes, le Groupe O.C.P
écoule 95% de sa production en dehors des frontières nationales,
en rayonnant sur les cinq continents de la plané
 Organigramme
DERECTEUR GENERALE
ET COMMERCIAL Secrétariat de directeur
générale
Comité Exécutif

Classe interne de retrait

Comité des Directeur

Institue OCP

Pôles Pole Pole Finance et Directeur des Directeur

Mines Chimie Support Logistique Ressources Humains Commerciale

Direction des Direction Maroc Direction financière

Exploitations Phosphore Safi
Minières de
Khouribga Direction des Systèmes Direction Stratégie et Direction recherche et
d’information Développement Innovation
Direction
Direction des Maroc-
Exploitations Phosphore Jorf-
Minières de Direction des
Lasfar approvisionnement et
Gantour Direction de la
Imacid mâchés
Qualité
Direction de Direction Partenariats
Phosboucraa Emaphos
internationaux

CERPHOS MarPhosean SOTREG SMESI STAR IPSE

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  PARTIE II: Présentation de la mine de
benguerir
1) Introduction :

La mine de Benguerir est implantée dans la partie

centrale du gisement de Gantour, de nature sédimentaire, celui-
ci consiste en une alternance de couche du phosphate et
d’intercalaire.
La série phosphatée comme celle des autres zones du
bassin de Gantour se présente sous forme d’alternance du
niveau phosphaté et stérile.
La coupe synthétique du gisement de Benguerir permet de
distinguer les différentes couches phosphatées ainsi que leur
intercalaires. Ces derniers sont des niveaux repérés, sur
lesquels, l’exploitation se base pour faire une meilleure
sélection.
La production de Benguerir est expédiée :
A Safi pour un traitement humide avant sa
valorisation.
A Youssoufia pour être utilisée comme appoint au
phosphate noir

2) Les Procédées de Production du Phosphate :

a)Les machines utilisée :

Sondeuse SANDVIK
Sondeuse SKF
Sondeuse PV1
LIEBHER
SM 2500

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Dragline P&H
Dragline 7500M
Camion TEREX
Camion HP
Camion KOMAT’SU
Camion UNIT RIG
Camion LH

b) Description des étapes d’exploitation :

L’exploitation à ciel ouvert comprend toute une série d'opération
qu'il convient d'effectuer dans l'ordre. Ces phases sont :

Le Forage Le Décapage
Le Sautage Le Défruitage

Ces quatre opérations sont les opérations de base de

l'exploitation. Ils peuvent se rejeter toujours dans le même ordre si
on a plusieurs niveaux à exploiter.
Pour que le chantier fonctionne sans problème, Il est nécessaire
que ces opérations soient décaler les unes par rapport aux autres
c'est à dire que chaque phase est une certaine avance sur la
suivante, quand une opération s'arrête pour une raison quelle
conque on n’est pas obliger d'arrêter toute les opérations suivantes.

Forage
Définition et principe :
La forage est la première étape de la chaîne cinématique
d’exploitation dans les découvertes OCP. C’est une opération qui

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consiste à réaliser des trous dans un terrain dur pour y mettre de
l’explosif dans le but de le fragmenter
L’exécution de ces trous doit être faite
suivant une maille bien déterminée tout en
respectant la hauteur à forer. La précision
avec la quelle ces paramètres seront
respectés aura une grande influence sur
les résultats des tirs. On note à ce sujet
que même s’il est facile de réaliser des
trous puisqu’ils sont verticaux, la qualité
du forage doit rester un objectif de toute
l’équipe de forage.
Le forage est en fonction des
caractéristiques mécaniques du massif
rocheux. Ces caractéristiques varient d’un
point à un autre, dans le sens vertical
aussi bien que dans le sens horizontal,
suivant que l’on est dans un niveau
marneux ou calcifié et suivant que la zone de forage est dérangée
ou non. Cette variation rend la tâche du sondeur très délicate.
Celui-ci doit veiller en permanence sur les paramètres de forage.

SAUTAGE
Définition :
Le sautage est une opération qui
suit le forage, elle consiste à
mettre de l’explosif dans les
trous de mine, exécutés par les
sondeuses, à bourrer au dessus
de cet explosif et à provoquer
l’explosion à l’aide d’artifices
appropriés (cordeau détonant,
détonateurs…). Cette opération
est très importante car elle influe sur : Charement des trous

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- Le rendement des machines de décapage.
- La durée de vie de la machine surtout les câbles métalliques, le
godet et ses accessoires et les moteurs électriques.
- Prix de revient de la phase décapage.

Objectifs recherchés du sautage :

Le sautage doit répondre aux objectifs suivants :
- un bon foisonnement du terrain et d'une bonne fragmentation des
roches imposée par les dimensions des godets des machines et les
conditions du travail de manière à avoir un bon rendement.
- Maintenir la stabilité des parements pour assurer la stabilité de la
machine tout en permettant un décapage aisé.
- Eviter les éboulements et les fissures du coté parement. -
Minimiser la zone d'influence du coté terrain naturel et éviter le
rebouchage des trous non sautés afin d'éviter les problèmes de
l'inter sautage.
- Réduire les aménagements pour l'exécution de la plate forme en
évitant les déplacements horizontaux et verticaux exagérés des
terrains.
- Eviter le baisage des phosphates.

DECAPAGE

Définition :
Le décapage est une opération qui consiste à enlever les morts
terrains ou stériles qui recouvrent une ou plusieurs couches de
minerai (phosphates, charbon…).
Principe :
Le décapage est basé essentiellement sur le principe des faces
libres. Pour cela le décapage d’une tranchée doit être effectué du
côté ouverture au côté fermeture c’est à dire du côté non exploité
vers la tranchée défruitée.
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Les déblais enlevés sont, soit déposés dans la tranchée adjacente
déjà exploitée, soit transportés hors de la zone ou utilisés par
exemple pour la construction des pistes ou des plates formes.

Méthodes de décapage :
Le choix de la méthode de décapage est basé sur la nature des
engins dont dispose l’entreprise et sur les caractéristiques de la
zone à décaper.
Le décapage peut être exécuté selon trois méthodes :

o Décapage par poussage ;

La méthode de décapage par poussage consiste à pousser, par

des bulldozers, les stériles d’une tranchée de largeur déterminée
vers la tranchée adjacente défruitée ou à l’extérieur du gisement
dans le cas des affleurements.
Les bulls peuvent pousser soit à l’horizontal soit en pente en
fonction du volume à caser et du vide disponible.

Décapage par cassement ;

C’est une méthode de décapage par dragline à grand rayon. Elle
consiste à caser les déblais des morts terrains dans la tranchée
déjà exploitée

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 o Décapage par transport.

Le décapage par transport consiste à décaper les stériles par pelle

en butte ou une dragline et à transporter les déblais par des
camions jusqu’aux décharges. Contrairement au décapage par
poussage et par cassement le décapage par transport n’a pas de
limites techniques.
Cette méthode n’est utilisée que dans les situations où le décapage
par bulls ou par cassement ne peuvent s’appliquer. Ceci compte
tenu du coût très élevé qu’elle engendre, dû essentiellement à
l’utilisation des camions

DEFRUITAGE

Définition :
Le défruitage est une opération qui consiste à récupérer le minerai
et assurer son transport vers les installations fixes pour son
épierrage, son criblage et son traitement par la suite.
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 Méthodes de travail :
Le défruitage peut être exécuté par :
- des roues-pelles avec les convoyeurs comme moyen de transport
- des machines mono-godets (pelles en butte, draglines) avec des
camions pour le transport.
Chargeuses :
Elles ne sont utilisées que pour des couches meubles. Le
remplissage du godet est fonction de la puissance de la couche,
pour cela on doit assurer le gerbage du phosphate sous forme de
tas par des bulldozers.
Le choix de l’une de ces méthodes est basé sur des critères
économiques (prix de revient) et des critères techniques (étendue
du gisement et rythme de son épuisement).
Transport :
Il est effectué par l’intermédiaire de camions qui transportent le
phosphate vers les stations de traitement appelées installations
fixes.

INSTALLATION FIXE

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 L’épierrage :
Après le transport des phosphates vers les stations mécaniques
appelées installations fixes, il est versé dans deux trémies qui
alimentent deux cribles de maille 90*90 mm destinés à l’élimination
des gris pierres. Ces dernières sont évacuées vers deux mises à
terril après avoir subi un recriblage de récupération et une
fragmentation dans un concasseur.

Le criblage :
Les couches stockées à l’épierrage sont reprises par une Roue pelle et
transportée par les convoyeurs (sa longueur presque 2Km) en série à
l’installation du criblage qui renferme des trémies situé au-dessus des
cribles à maille carrée de 10mm.
Les particules supérieures à 10mm constituent les stériles qui sont
transportés par les convoyeurs vers la mise à stérile.
Le passé des cribles est acheminé par un convoyeur vers une stockeuse,
qui le dispose au niveau des stocks appropriés, le stock obtenu est dit
humide criblé.

Le chargement :

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 Le phosphate stocké sera ensuite chargé dans les trains, à l’aide d’une
roue pelle reprise qui le met sur des convoyeurs. Cette opération fait appel
à une grande précision puisque le tonnage et l’horaire ainsi que la qualité
doivent être respectés d’une façon très rigoureuse. Généralement, un train
comporte 60 wagons.

 PARTIE III : Service électronique et

instrumentation benguerir :
Organigramme :

AYOUB

EQUIPE INSTALATION EQUIPE CHATIER

FIX

OUBERNI FAHMI EL WADI BOUBKER

HASNAOUI ARFOUCHE GOURAMI

FATIH RGUIG ELMARZOUQUY

ABID-ALLAH GOUGOU KHALID
DOURTI RHALLAB OUBIDA

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ACTIVITES :
1) CHANTIER
Maintenance curative des camions
Démarrage des camions
Maintenance planifiée des camions
Télécommunication radio
Vidéosurveillance des machines
Maintenance planifiée des sondeuses
Maintenance curative des sondeuses
Salle des compresseurs
Maintenance planifiée des machines LIEBER, SM, CRIBLEUSE
des mobiles

1) INSTALLATION FIXE :
Etalonnage des bascules
Réparation des bascules
Entretien des variateurs de vitesse
Maintenance planifiée
Changement des sondes de niveau
Changement des cartes électroniques défaillantes
Changement des sondes de température
Télécommunication & Radio
Contrôle de vidéosurveillance
Maintenance asservissement
Maintenance chargeurs des batteries

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PARTIE IV : Les machine à courant continue &
Camion HP
1) Les machines à courant continue :
 Les moteurs à courant continue :
Une machine à courant continue comporte trois partie principales :
inducteur, induit, les balais

L’inducteur :
L'inducteur d'un moteur à courant continu est la partie statique du
moteur. Il se compose principalement :

 de la carcasse,
 des paliers,
 des flasques de palier,
 des portes balais.

Le cœur même du moteur comprend essentiellement :

 Un ensemble de paires de pôles constitué d'un empilement de

tôles ferro-magnétiques.

 Les enroulements (ou bobinage en cuivre) destinés à créer le

champ ou les champs magnétiques suivant le nombre de
paires de pôles.

Pour des moteurs d'une certaine puissance, le nombre de paires de

pôles est multiplié afin de mieux utiliser la matière, de diminuer les
dimensions d'encombrement et d'optimaliser la pénétration du flux
magnétique dans l'induit.

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L’induit
L'induit du moteur à courant continu est composé d'un arbre sur
lequel est empilé un ensemble de disques ferro-magnétiques. Des
encoches sont axialement pratiquées à la périphérie du cylindre
formé par les disques empilés. Dans ces encoches les
enroulements (bobines de l'induit) sont "bobinés" selon un schéma
très précis et complexe qui nécessite une main d'œuvre particulière
(coûts importants). Pour cette raison, on préfère, en général,
s'orienter vers des moteurs à courant alternatif plus robuste et
simple dans leur conception.

L’induit
Chaque enroulement est composé d'une série de sections, elles
même composées de spires; une spire étant une boucle ouverte
dont l'aller est placé dans une encoche de l'induit et le retour dans
l'encoche diamétralement opposée. Pour que l'enroulement soit
parcouru par un courant, ses conducteurs de départ et de retour
sont connectés aux lames du collecteur (cylindre calé sur l'arbre et
composé en périphérie d'une succession de lames de cuivre
espacée par un isolant).

Composition de l'induit.

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L'interface entre l'alimentation à courant continu et le collecteur de
l'induit est assurée par les balais et les porte-balais.
Les ballais :
Les balais assurent le passage du courant électrique entre
l'alimentation et les bobinages de l'induit sous forme d'un contact
par frottement. les balais sont en graphite et constituent, en
quelques sortes, la pièce d'usure. Le graphite en s'usant libère une
poussière qui rend le moteur à courant continu sensible à un
entretien correct et donc coûteux.

L'ensemble balai.
Le point de contact entre les balais et le collecteur constitue le point
faible du moteur à courant continu. En effet, c'est à cet endroit,
qu'outre le problème d'usure du graphite, la commutation (inversion
du sens du courant dans l'enroulement) s'opère en créant des
micros-arcs (étincelles) entre les lamelles du collecteur; un des

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grands risques de dégradation des collecteurs étant leur mise en
court-circuit par usure.

 Le freinage des moteurs à courant continue

C’est l’opération qui consiste à immobiliser instantanément l’arbre
du moteur en transformant l’énergie cinétique du moteur et de la
charge en énergie électrique. On utilise des fois des freins
mécaniques (patins…).

a/ freinage rhéostatique :

L’énergie de freinage est dissipée dans un rhéostat : l’inducteur doit

rester alimenté. On coupe l’alimentation de l’induit et on le fait
débiter dans le rhéostat.
Le moteur fonctionne alors en génératrice.
L’énergie cinétique du moteur est dissipée par effet joule

Pour maintenir le couple de freinage suffisant, on doit diminuer

progressivement la résistance du rhéostat. A la fin de la phase de
freinage, il faut prévoir un procédé de blocage mécanique si un
couple à l’arrêt est nécessaire.

b/ freinage à contre courant :

Ce mode de freinage est utilisé lorsqu’on exige un arrêt brutal de
déplacement de la charge (engins de levage…). Il consiste à
croiser les deux bornes de l’alimentation de l’induit.
Il faudra nécessairement introduire un capteur tachymétrique pour
détecter l’annulation de vitesse et couper l’alimentation de l’induit
avant que le moteur ne change de sens de rotation.

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 il possible de régler le couple de freinage en modifiant le courant I à
l’aide de la résistance R’.

c/ freinage par récupération :

Dans ce mode de freinage, le moteur qui devient une génératrice

doit débiter dans la source ce qui offre la possibilité de récupérer
l’énergie de freinage. Ceci nécessite que la force électromotrice du
moteur soit supérieure à celle de la source : E>U.

· Si la source est à tension fixe, la condition E>U ne peut être

réalisée que si la vitesse du groupe augmente légèrement. Ce
procédé est aussi appelé Freinage en survitesse et utilisé en
traction de montagne dans les descentes. Ce procédé permet
seulement de récupérer l’énergie sans réduire la vitesse de rotation
de la machine.
S’il s’agit d’une voiture électrique, elle fonctionne alors dans le
quadrant 4.

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· Si la tension de la source est réglable, cela suppose l’utilisation
d’un convertisseur statique qui est un redresseur à thyristors par
exemple fonctionnant en régime d’onduleur assisté.
2)Le camion HaulPak :
Constitution ; principe de fonctionnement :
Les camions Haulpak sont de gros camions capacité très forte,
appartient aux de transports intelligence gérés par un système
électronique de haute technologie qui assure toutes les opérations
désiré au minimum du temps avec un meilleur système de
protection
Cet alternateur permet de convertir l’énergie mécanique (produite
par le moteur thermique) en énergie électrique. Il est accouplé
directement au moteur thermique.
Excitation alternateur
Au démarrage l’excitation de l’alternateur est effectuée par des
batteries de 24v, après, il s’excite par l’auto-excitation.
Les ponts redresseurs
Il s’agit de trois ponts redresseurs :
•Un pont redresseur triphasé principal.
•Deux ponts redresseurs monophasés commandés.
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Les moteurs de propulsion
Ils sont deux moteurs à courant continu à excitation séparée, qui
permettent de convertir l’énergie électrique produite par l’alternateur
en énergie mécanique essentielle et nécessaire demandée par le
camion.
Système de freinage
Pour assurer un freinage garanti et efficace, les camions haulpak
composent de deux types de freinage, un dynamique et l’autre
mécanique.
Chargeur de batterie
A part de l’alternateur principal, le camion a un autre petit
alternateur relié directement à un redresseur monophasé qui
attaque les batteries d’excitation de l’alternateur principal.
Statex III
Le Statex III est un système électronique de technologie moderne,
qui permet la commande, le contrôle, l’asservissement et la
protection de l’installation des camions. Il est constitué d’un
ensemble de cartes électroniques.
Système de combustion CENTRY
Le CENTRY joue le rôle de la régulation de carburant. Il est
composé d’un sous-système électronique qui contrôle l’alimentation
en carburant en utilisant une électrovanne à commande
électronique.
Flight system
Ce système électronique permet la détection des défauts et fournie
des signaux au statex III pour assurer la protection de l’installation.
Principe de fonctionnement
Schéma synoptique
Schéma générale de l'installation
Travail demandé
Dans le cadre de l’amélioration de pilotage des équipements du
chantier, il m’est demandé de mettre en place un processus de
remonté et de traitement des données essuies de VIMS, PA lord et
ECM.

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 ₊

Redresseur _
SCHEMA _
M

SYNOPTIQUE
T1 T2 T3

MOTEUR ALTERNATEUR POMPE

HYDROLIQUE M
THERMIQUE

₊ +

- _
Inv. sens

LES TRAVAUX EFFECTUER :

 Démarrage des camions :
Problématique :
Lorsque les camions restent inactif assez de temps les
batteries se décharge (les batteries d’excitation _ premier
démarrage _) donc le camion ne démarrer pas
Solution :
En utilise les batteries auxiliaires composées de quatre
batteries de 12V schématisé comme suivant :

_
+

₊ _ ₊ _ ₊ _ ₊ _

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  Maintenance curative de camion :
Problématique :
Fuite de huile (c’est un problème mécanique mais il faut faire
les technicien de maintenance se travaille)
Solution :
Pour vérifier se fuite il est obligatoire enlevé les démarreurs
 Maintenance planifiée de sondeuse :
Problématique :
Manque d’information sur la vitesse de rotation de la tige
Solution
Changement le câble qui transmise l’information depuis
capteur de vitesse de rotation da la tige verre la salle de
contrôle
 Installation des ballais sur moteur à courant continue
 Installation d’un capteur de température sur un camion

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