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Le but de la science est de s’approcher rationnellement de la vérité des phénomènes de nature et la

technique propose de les maîtriser. L’éthique, en revanche, recouvre la réflexion sur l’action bonne et
les valeurs qui la fondent. A cet égard le dossier de synthèse qui est constitué de 4 documents ; un
premier intitulé L’état des sciences de Bruno Escoubes, extrait d’article de Pierre Georges, Le Monde
diplomatique de Jacques Testart et une bonde dessinée Le destin de Monique. Ce dossier traite la
relation entre ces deux notions en adoptant comme problématique jusqu’à quel point peut-on
considérer que l’éthique est un frein au progrès scientifique ?

Cette problématique trouvera son développement dans le plan suivant où on va traiter tout d’abord la
place de l’expérimentation scientifique dans notre société, puis on va parler des risques qui
accompagnent les nouvelles inventions donc les risques du progrès scientifique et enfin le rôle de
l’éthique dans la science.

C’est une évidence que le progrès ne s’arrête pas et cela comprend également la science qui va nous
aider à résoudre tous les problèmes de l’humanité, elle permet de développer les conditions de vie de
l’homme et favorise l’évolution de la société. En fait, Bruno Escoubes voit que l’homme peut agir sur les
risques liés au progrès scientifique donc il évoque la notion du moratoire qui est la suspension de
certaines actions pour faire des modifications et des améliorations notamment celui de construction des
centrales aux Etats unis et au Suède. Dans le même sens, Pierre Georges voit que la science a réussi de
faire l’extraordinaire, c’est là où il mentionne le succès de deux opérations de procréation médicalement
assistées permettant aux couples souffrant d’infertilité ou des problèmes de santé d’avoir un enfant.

On a pu constater tout d’abord l’intérêt de la recherche scientifique pour l’homme. Malheureusement,


le progrès comporte aussi des risques même s’il arrive à les minimiser au cours du temps, alors il serait
indispensable de les écartées. Selon Antoine Danchin ce qui est techniquement possible peut être
culturellement interdit, c’est-à-dire toute action techniquement possible ne semble pas être
obligatoirement légitime et conforme à la morale, car toute invention peut potentiellement engendrer
des effets néfastes sur l’homme et son entourage. De même Jacques Testant traite le côté éthique des
banques de sperme en soulignant que la rationalité de cette technique a emportée l’adhésion en court-
circuitant le jugement éthique.

Tous ce qui est éthique est nécessairement scientifique c’est ce qui a été mentionné dans le texte de
Jacques Testart pour mettre en évidence le rôle de l’éthique dans l’amélioration de la recherche
scientifique. Il évoque aussi la composition des comités d’éthique et des experts. Ainsi, Bruno Escoubes
soutien la rencontre des scientifiques et les non scientifiques pour aider à orienter la recherche
scientifique.
Pour conclure, on peut dire que l’expérimentation scientifique est nécessaire au progrès de l’homme et
se révèle bénéfique dans de nombreux cas. Il reste évidemment de nombreux mystères dans ce
domaine mais les expériences scientifiques permettent de les élucider et de mener à bien ce combat.

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De nos jours , on constate que les progrès scientifiques s’accomplissent d’une manière rapide que ne
nous pouvons plus les suivre dans tous les domaines. Notre vie quotidienne est entourée de
découvertes qui nous facilitent l’accès aux différents services.à l’inverse l'éthique ramène la réflexion sur
la bonne action et les valeurs qui la sous-tendent. Alors, jusqu’à quel point peut-on considérer que
l’éthique est un frein au progrès scientifique ? pour répondre à cette problématique le dossier de
synthèse propose 4 documents, le premier s’agit d’une bande dessinée Le Destin de Monique de claire ,
le deuxième intitulé L’état des sciences de Bruno Escoubes, le 3e extrait d’article de Pierre George LE
monde, le dernier retire du monde diplomatique de Jacques Testart 

C’est une évidence que le progrès ne s’arrête pas et cela comprend également la science qui va nous
aider à résoudre tous les problèmes de l’humanité, elle permet de développer les conditions de vie de
l’homme et favorise l’évolution de la société. En fait, Bruno Escoubes voit que l’homme peut agir sur les
risques liés au progrès scientifique donc il évoque la notion du moratoire qui est la suspension de
certaines actions pour faire des modifications et des améliorations notamment celui de construction des
centrales aux Etats unis et au Suède. Dans le même sens, Pierre Georges voit que la science a réussi de
faire l’extraordinaire, c’est là où il mentionne le succès de deux opérations de procréation médicalement
assistées permettant aux couples souffrant d’infertilité ou des problèmes de santé d’avoir un enfant.
Aujourd'hui, nous assistons à des avancées scientifiques si rapides que nous ne pouvons plus
les suivre dans tous les domaines. Notre quotidien est rempli de découvertes qui nous aident
à obtenir différents services. En revanche, un code d'éthique invite à la réflexion sur les
bonnes actions et les valeurs qui les sous-tendent. Alors, Dans quelle mesure peut-on alors
considérer l'éthique comme un obstacle au progrès scientifique ? Pour répondre à cette
question, le dossier de synthèse présente 4 documents, le premier s’agit d’une bande
dessinée Le Destin de Monique de claire, le second intitulé L'état des sciences de Bruno
Escoubes, et le troisième est un extrait d'un article de Pierre George LE monde, et le dernier
est retiré du service diplomatique de Jacques Testader.
Face à cette problématique, il serait intéressant d'examiner d'abord la place de
l'expérimentation scientifique dans notre société, puis nous discuterons les risques qui
accompagnent le progrès scientifique, et enfin le rôle de l'éthique dans la science.
Il est clair que le progrès ne s'arrête pas et cela inclut la science aussi, il nous aidera à
résoudre tous les problèmes des êtres humains, il permet de développer les conditions de vie
des êtres humains et de contribuer au développement de la société. Pour cela, Bruno
Escoubes a évoqué la notion du moratoire qui est vraiment à la frontière entre la société et la
science, car il oriente le progrès vers ce qui peut être accepté ou souhaité par la société,
pas uniquement par des critères purement scientifiques au sens habitue. Notamment
celui de construction des centrales aux Etats unis et au Suède. De même, Pierre Georges
estime que la science a accompli quelque chose d'extraordinaire, et il évoque ici le succès de
deux procédures de procréation médicalement assistée qui ont permis à des couples
souffrant d'infertilité ou de problèmes de santé d'avoir des enfants
Tout d'abord, nous pouvons voir l'intérêt humain pour la recherche scientifique.
Malheureusement, le progrès comporte aussi des risques, même s'il parvient à les minimiser
au fil du temps, il est donc logique de les laisser passer. Selon Antoine Danchin, ce qui est
faisable technologiquement peut être interdit culturellement, c'est-à-dire que tout ce qui est
faisable technologiquement ne semble pas forcément légal et éthique, puisque toute invention
peut avoir des effets néfastes sur l'homme et son entourage. Dans le même sens, Jacques
Testant aborde les aspects éthiques de la banque de sperme, soulignant que la légitimité de
cette technique a été accordée en contournant les jugements éthiques.
Tout ce qui est éthique doit être scientifique, c'est ce que mentionnait Jacques Testart dans
son article pour souligner le rôle de l'éthique dans l'amélioration de la recherche scientifique. Il
traite également de la composition du comité d'éthique et des experts. Bruno Escoubes
soutient donc des rencontres de scientifiques et de non-scientifiques pour aider à orienter la
recherche scientifique.
En conclusion, on peut dire que l'expérimentation scientifique est nécessaire au progrès de
l'humanité et s'est avérée bénéfique dans de nombreux cas. De toute évidence, il reste
encore de nombreux mystères non résolus dans ce domaine, mais des expériences
scientifiques permettent de percer les mystères et d'apporter une fin heureuse à cette lutte.
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