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Résumé :
L’auteur commence par nous illustrer le terme d’attractivité par « un terme d’usage
relativement neuf qui désigne à la fois de l’attrait et de l’attraction pour des populations, des
professions, des implantations » .
Ce terme qui est devenue de plus en plus occurrent dans le secteur d’aménagement de
territoire au cours de temps , l’attractivité pousse les villes a être toujours en compétition
pour rentrer dans la hiérarchie de classement mondiale et des palmarès , ces palmarès ont
commencé en 1970 en France qui classent les villes selon le cout et la qualité de vie ( des
données fournée par la banque mondial )
Plusieurs chercheurs ont disposer un classement des villes selon cette variation tels que the
economiste , Mercer , ECA international , UBS , chacun des chercheur a fournée des données
selon des enquêtes différente ce qui nous conduisent a mettre en question la notion
d’attractivité des villes , on dit que la force d’attraction d’une ville s’identifie à sa capacité à
capter des ressources humaines ou non, matérielles ou immatérielles mais aussi à la séduction
au charme, à la beauté un attrait qui exercé sur l’humain et les actions humain dont il varie
selon la sphère d’étude ( internationale, nationale, régionale ou encore intra-urbaine).
Donc la ou la compétitivité des territoires joue sa rôle car la compétitivité d’un territoire
renvoie à son efficacité économique et sa capacité à valoriser ses avantages comparatifs sur
des marchés , non seulement créer plus de richesses au moindre coût, stabiliser ses marchés et
valoriser son savoir-faire et ses produits, mais aussi à attirer des ressources et des personnes
nécessaires au développement de l’activité économique et à l’innovation , on arrive a dire que
l’attractivité dépend de la compétitivité car les ressources, lorsqu’elles sont mobiles, ont
toutes les chances de se diriger vers les places offrant le plus d’opportunités de gains,
C’est la ou l’auteur nous présente la notion de l’attractivité résidentielle, au delà de la fonction
économique de la ville , aujourd’hui, la compétition est de plus en plus fondée sur la
flexibilité, la variété, la qualité et l’innovation, plutôt que sur la seule variable des coûts.
La situation géographique, le climat , l’accessibilité , la démographie , l’organisation politique
, l’économie , l’urbanisme , le logement , les condition sociale , l’infrastructure , culture et
patrimoine , Environnement et politique de développement durable , deviennent des
éléments de plus en plus décisifs dans les choix de localisation résidentielle.
Car la population est plus susceptible a s’installer dans un territoire en voient sa réputation
d’où l’ attrait des villes repose donc sur des systèmes de croyances .
Parmi les politiques d’attraction l’auteur mentionne le marketing urbain ,
Les politiques d’attractivité visent non seulement à améliorer l’offre urbaine, mais également
à valoriser cette offre et promouvoir l’image de marque des villes .
elle doit être fondée sur une représentation et une stratégie partagées par les acteurs locaux,
elle doit être susceptible de renforcer la fierté des habitants, tout en attirant les investisseurs et
de nouveaux arrivants a titre exemple par l’organisation des évènements internationale
( sportif , culturel …)
les stratégies du marketing urbain peuvent s’appuyer sur plusieurs démarches souvent
complémentaires :
1) créer et diffuser une image de marque (le city branding)
2) assurer la réalisation de projets urbains emblématiques et de manifestations
événementielles à fort rayonnement
3) chercher à attirer des populations à fort potentiel économique, culturel et symbolique.
Et a la fin l’auteur fini par mettre en question la cohésion territorial en prenant en compte la
population de périphérie des ville attractives et les inégalité social qui vont subir et il nous fair
prévenir de la répulsivité ( contraire de l’attractivité ) et conclu par dire « villes qui
réussissent ne sont pas celles qui attirent les investissements, mais celles qui attirent d’abord
les gens. En un mot (à consonances sartriennes), l’attractivité précède la compétitivité »