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ANATOMIE FONCTIONNELLE

DU RACHIS
GENERALITES
„ Fonction de statique.
„ Fonction de stabilité.

„ Fonction dynamique.

„ Fonction de protection
protection.
FONCTION DE
STATIQUE
FONCTION
O C O DE S
STATIQUE
Q
„ Courbures vertébrales normales.
„ Théorie de leur formation.
„ Leurs
L caractéristiques
té i ti
„ Influence du bassin

„ Variations des courbures.


„ Sagittales.
„ Frontales.
COURBURES
VERTEBRALES NORMALES
Théorie
é de leur formation

„ Théorie p
phylogénique.
y g q
„ Les poissons.
„ Les
L tét
tétrapodes.
d
„ Les anthropoïdes.
p
Théorie
é de leur formation

„ Théorie ontogénique.
g q
Théorie
é de leur formation

„ Théorie mécanique.
q
caractéristiques
té i ti
„ Pas de courbure frontale.
„ Plan sagittal.
„ Une colonne avec 4 courbures
alternées est 17 fois plus résistante
qu’une
’ colonne
l rectiligne
ili (R = C² + 1)
1).
I fl
Influence d
du b
bassin
i
„ Les paramètres p
p pelviens
„ Paramètres morphologiques:
„ L’incidence.

„ L’épaisseur du bassin.
„ Paramètres
P è positionnels:
i i l
„ La pente sacrée
sacrée.
„ La version pelvienne.
p
„ Le porte-
porte-à-faux.
PARAMETRES MORPHOLOGIQUES
Q
L’INCIDENCE
„ A l entre
Angle t la
l
perpendiculaire
au plateau
l t sacré
é
en son centre et
l droite
la d it
unissant le
centre dud
plateau sacré et 53° +/_ 11°
le centre de l’axe
bi--coxo
bi coxo--fémoral.
L’EPAISSEUR
’ SS DU BASSIN
SS
„ Di
Distance
entre le
centre du
plateau
sacré et le
centre de
l’axe bi-
bi-
coxo--
coxo
fémoral.
LES PARAMETRES POSITIONNELS
LA PENTE SACREE
„ Angle formé
par le
41° +/_
41
plateau
+/ 8°

sacré avec
l’horizontale.
LA VERSION
S O PELVIENNE
„ Angle entre la
verticale et la
ligne joignant 12° +/_ 6°

le centre du
plateau sacré
et le centre de
l’axe bi-
bi-coxo
coxo--
fémoral.
Tilting sacrofémoral
LE PORTE-
PORTE-A-FAUX
„ Distance sagittale
g
entre le centre de
l’axe bi-
bi-coxo
coxo--
fémoral et la
projection
p j à ce
niveau du centre
du pplateau sacré.

23 mm +/_
+/ 14
VARIATIONS DES
COURBURES VERTEBRALES
V i ti
Variations sagittales
itt l
LES HYPERCYPHOSES
LES
S HYPERLORDOSES
O OS S
VARIATIONS
O S FRONTALES
O S

LES SCOLIOSES
LA FONCTION DE
STABILITE
LA FONCTION DE STABILITE

„Stabilité verticale.
„Stabilité horizontale.
STABILITE VERTICALE
„ L stabilité
La t bilité rachidienne
hidi estt la
l qualité
lité grâce
â
à laquelle les pièces vertébrales peuvent
maintenir
i t i leur
l cohésion
hé i dans
d toutes
t t les l
positions physiologiques du corps.

„ L’instabilité ou p
perte de stabilité est le
processus pathologique qui peut aboutir à
des déplacements
p vertébraux au-
au-delà des
limites physiologiques.
Architecture élémentaire des vertèbres

„ L’atlas (C1) peut être assimilé à deux


masses latérales réunies par deux
arcs.
Architecture élémentaire des vertèbres
„ L’ i (C2) se résume
L’axis é à ttrois
i colonnes,
l
l’une verticale, conique, médiane et
antérieure
té i (dent
(d t ett corps)) ett deux
d
latérales, obliques et parallèlipédiques.
Architecture élémentaire des vertèbres
„ De C3 à L4,
L4 les
caractéristiques
architecturales sont
analogues,
l c'est
c'est-
' t-à-dire
di
que les vertèbres
possèdent trois
colonnes
l verticales
ti l :
celle du corps vertébral
en avant et celles des
apophyses
h articulaires
i l i
en arrière. Les trois
colonnes sont
solidarisées
é par des
barreaux horizontaux :
les deux ppédicules et
les lames en arrière.
Architecture élémentaire des vertèbres

„ Le sacrum présente
trois points d d’appui
appui
pour ces trois
colonnes : le plateau
sacréé ett les
l deux
d
facettes sacrées.
„ Le sacrum transmet
ensuite les forces de
pesanteur au bassin
p
par les deux facettes
auriculaires.
Stabilité
é globale du rachis
„ Le crâne transmet au
rachis son poids sur
deux colonnes
disposées dans le
même
ê plan
l frontal.
f t l
„ Ces deux colonnes se
transforment en trois
au niveau du corps de
l’axis q
qui représente
p
un véritable carrefour
de transmission des
forces.
forces
Stabilité
é globale du rachis
„ Les forces se répartissent sur
trois colonnes disposées en
triangle à sommet antérieur.

„ La colonne antérieure prend


un aspect de pyramide
quadrangulaire formée par
l’alternance des corps
vertébraux et des disques
jusqu’au plateau sacré.

„ Les deux colonnes


postérieures disposées dans
un p
plan frontal sont
constituées par la succession
des apophyses articulaires.
STABILITE HORIZONTALE
Articulations craniovertébrales
é
„ Au cours de la flexion forcée de la tête, la face antérieure de
l’apophyse odontoïde vient buter contre l’arc antérieur de
ll’atlas
atlas et ll’excès
excès de déplacement antérieur de ll’atlas
atlas est
freiné par la tension, en particulier du ligament transverse
ou cruciforme, de la membrana tectoria et des ligaments
alaires.
alaires
Articulations craniovertébrales
é

„ En extension, c’est l’arc antérieur de l’atlas


quii trouve
t la
l butée
b té de
d l’apophyse
l’ h odontoïde
d t ïd
pour éviter un glissement postérieur.
Articulations craniovertébrales
é
„ Au cours de la rotation de ll’atlas
atlas autour de ll’axis
axis,
les ligaments alaires, les parties latérales de la
membrana tectoria,, les capsules
p articulaires,, les
ligaments jaunes sont les freins du mouvement.
Articulations craniovertébrales
é
„ L’inclinaison latérale trouve ses limites dans le contact des
facettes articulaires du côté de l’inclinaison et dans la
tension du côté opposé des capsules
capsules, des ligaments
intertransversaires et de la partie latérale de la membrana
tectoria.
Autres articulations vertébrales
„ Flexion: Au cours de ce mouvement, la stabilité é
est assurée par le couple ostéoligamentaire des
butées articulaires et des freins ligamentaires.
ligamentaires
Autres articulations vertébrales
„ Au cours de l’extension forcée
é on retrouve
le rôle combiné des butées osseuses et des
freins ligamentaires.
Autres articulations vertébrales

„ Les mouvements de rotation


et ll’inclinaison
inclinaison latérale sont
pratiquement toujours
combinés.
co b és
„ L’inclinaison des facettes
45° et 80°
articulaires entre 45° 80°
par rapport au plan de
l’espace intervertébral impose
un mouvementt de d bascule
b l ett
de rotation simultanés.
Autres articulations vertébrales

„ Quand une articulaire droite » inférieure s’élève et


s’avance
s avance sur ll’articulaire
articulaire sous-
sous-jacente,
jacente ll’articulaire
articulaire
gauche descend et recule.
LA FONCTION
DYNAMIQUE
MECANIQUE ARTICULAIRE
Charnière
è craniovertébrale
é
„ Le globe céphalique
repose sur le rachis
cervical de façon
instable
stab e car
ca son
so centre
ce t e
de gravité passe au-
au-
devant du rachis ; la
prédominance
é des
muscles extenseurs de
la nuque sur les
fléchisseurs rétablit
q
l’équilibre.
Charnière
è craniovertébrale
é
„ Le premier segment mobile
comporte les deux articulations
atlanto--occipitales alignés
atlanto
transversalement avec des
facette en forme de semelle de
chaussure à grands axes
obliques en avant et en dedans.

„ La mobilité de ces articulations


se fait autour de ll’axe
axe
transversal par flexion-
flexion-
extension.
Charnière
è craniovertébrale
é
„ Le second segment mobile C1 C2 possède deux groupes
d’articulations : les articulations atlanto-
atlanto-axoidiennes
médianes et latérales. Les articulations médianes,
cylindriques
li d i entre
t l’apophyse
l’ h odontoide
d t id ou dent
d t ett l’anneau
l’
ostéofibreux de l’arc antérieur et du ligament transverse
constituent une articulation trochoide, siège de mouvements
de rotation autour d’un axe vertical passant par le sommet
de la dent.
Disques
i intervertébraux
i éb
„ Sous l’effet
l effet d
d’une
une compression prolongée,
prolongée le nucleus accroît
sa pression intérieure, ce qui provoque une contrepression
identique de la part de l’anneau fibreux et une légère perte
d h
de hauteur
t par ffuite
it liquidienne.
li idi

„ A ll’inverse,
inverse, au repos les disques accroissent leur hauteur
par remplissage maximum du nucleus.
Disques
i intervertébraux
i éb
„ Les propriétés
é é mécaniques
é du disque permettent
des manœuvres de compression en charge,
d’étirement
d étirement en suspension,
suspension de rotation autour du
nucleus, d’inclinaison latérale et de translation
autour du nucleus.

Inclinaison Translation Rotation


Fl i -extension
Flexion-
Flexion t i
„ Les mouvements de flexion et
extension du rachis sont la
résultante de la somme de
mouvements unitaires entre
deux vertèbres voisines. Ces
mouvements se déploient dans
un plan sagittal.
I li i
Inclinaison-
Inclinaison-rotation
t ti
„ C’est la disposition fortement oblique des
f
facettes
tt articulaires
ti l i postérieures
té i quii impose
i
à tout mouvement d’inclinaison latérale u
mouvementt simultané
i lt é de
d rotation
t ti ett vice-
vice
i -
versa.

„ Le centre du mouvement d’inclinaison se


situe à mi
mi--distance des facettes articulaires
droite et gauche.
g
AMPLITUDES REGIONALES
Fl i -extension
Flexion-
Flexion t i
„ Rachis cervical
20°°
Occip. C1 : 20 20°
C4--C5 : 20°
C4
C1--C2 :
C1 0° 22°
C5--C6 : 22°
C5
C2--C3 :
C2 15°
15° 18°
C6--C7 : 18°
C6
C3--C4 :
C3 15°
15° 10°.
C7--T1 : 10°
C7
45° ; extension totale : 75°
Flexion totale : 45° 75° ; flexion- 120°.
flexion-extension totale : 120°

„ Rachis thoracique
30° ; extension totale : 20°
Flexion totale : 30° 20° ; flexion- 50°.
flexion-extension totale : 50°

„ Rachis lombaire
L1- 11°
L1-L2 : 11° 18°
L3--L4 : 18°
L3 18°
L5--S1 : 18°
L5
L2 12°°
L2--L3 : 12 24°°
L4--L5 : 24
L4
53° ; extension totale : 30°
Flexion totale : 53° 30° ; flexion 83°.
flexion--extension totale : 83°

„ Amplitudes totales
128° ; extension totale : 130°
Flexion totale : 128° 130° ; flexion-
flexion-extension totale : 258°
258°.
R t ti
Rotation axiale
i l
„ Rachis cervical
Rotations droites et gauches :
2x12° = 24°
Occip C1 : 2x12° 24°
2x23°° = 46°
C1--C2 : 2x23
C1 46°
C2--C3 : 2x 6
C2 6°° = 12°
12°
C3--C4 : 2x 6
C3 6°° = 12°
12°
C4--C5 : 2x
C4 2 7°7° = 14°
14°
C5--C6 : 2x 6
C5 6°° = 12°
12°
C6--C7 : 2x 6°
C6 6° = 12°
12°
C7--T1 : 2x 6°
C7 6° = 12°
12°
72° = 144°
Rotation totale : 2 x 72° 144°
R t ti
Rotation axiale
i l
„ Rachis throacique
T1 6°
T1--T2 : 6° 6°
T5--T6 : 6°
T5 4°
T9--T10 : 4°
T9
T2 6°°
T2--T3 : 6 8°°
T6--T7 : 8
T6 6°
T10--T11 : 6°
T10
T3 6°
T3--T4 : 6° 4°
T7--T8 : 4°
T7 4°
T11--T12 : 4°
T11
T4 6°
T4--T5 : 6° 4°
T8--T9 : 4°
T8 10°
T12--L1 : 10°
T12
35° = 70°
Rotation totale : 2 x 35° 70°.

„ Rotation
i lombaire
l b i
L1-L2 : 2
L1- 2°° 3°°
L3--L4 : 3
L3 4°°
L5--S1 : 4
L5
L2 3°
L2--L3 : 3° 4°
L4--L5 : 4°
L4
16° (2x8
Rotation globale : 16° (2x8°°)

„ Amplit de totale
Amplitude
2x115°° = 230°
Rotation rachidienne totale : 2x115 230°.
I fl i
Inflexion llatérale
té l
„ Rachis cervical
Occip. 3° = 6°
p C1 : 2 x 3° 6° 2x6°° = 12°
C4--C5 : 2x6
C4 12°
C1--C2 :
C1 0° = 0° 2x4° = 8°
C5--C6 : 2x4°
C5 8°
C2--C3 :
C2 2x5°° = 10
2x5 10°° 2x4,5°= 9°
C6--C7 : 2x4,5°
C6 9°
C3--C4 :
C3 2x6°° = 12
2x6 12°° 2x5°°. = 10.
C7--T1 : 2x5
C7
33,5° = 67°
Inflexion latérale totale : 2 x 33,5° 67°

„ Rachis thoracique
q
x20° = 40°
inflexion latérale totale : 2 x20° 40°

„ Rachis lombaire
20° = 40°
inflexion latérale totale : 2 x 20° 40°

„ Amplitude totale
73,5° = 147°
inflexion latérale totale du rachis : 2 x 73,5° 147°.
ADAPTATION DU
RACHIS A L’EFFORT
Théorie de la « balance rachidienne »

„ deux piliers: L’un antérieur, le corps


vertébral,
téb l passif,if l’autre,
l’ t l’arc
l’ postérieur
té i
actif.
„ Avec un appui au niveau des articulations
postérieures, ce système de levier joue un
rôle d’amortisseur pour ménager le disque
intervertébral
Théorie de la triangulation articulaire

„ En station vertébrale la résultante des forces de


pesanteur et de transport d d’une
une charge aboutit, avec
les forces opposées musculaires, à un effet de
compression sur le disque intervertébral et un effet
d cisaillement
de i ill t sur lles articulations
ti l ti postérieures.
té i

„ A ll’opposé
opposé, lors d’un
d un soulèvement de poids,
poids le tronc à
l’horizontale, les diverses forces produisent sur les
articulations postérieures un effet essentiellement
de compression et sur le disque un effet de
cisaillement.
LA FONCTION DE
PROTECTION NERVEUSE
CANAL VERTEBRAL
Parois
i du
d canall vertébral
éb l
„ Les parois du canal, antérieure et postérieure,
sont séparées
p p
par les angles
g latéraux.

„ La paroi antérieure du canal, plane, comprend la


face postérieure des corps vertébraux,
vertébraux des
disques intervertébraux et le ligament
longitudinal postérieur.

„ La paroi postérieure du canal, en forme d’angle


dièdre ou de gouttière ouverte en avant, est
constituée par l’alternance des lames vertébrales
et des ligaments jaunes.
Lumière
è du canal vertébral
é
„ Au cours des mouvements de flexion
extension
t i du
d rachis,
hi le
l canall vertébral
téb l
modifie sa longueur qui est en moyenne de
70 cm. L’extension
L’ t i forcée
f é raccourcit
it le
l
canal par rétrécissement des espaces inter
l
laminaire
i i ett pincement
i t postérieur
té i des
d
espaces intervertébraux : par le
phénomène
hé è inverse,
i l’hyper
l’h fl
flexion
i allonge
ll
le canal vertébral.
TROUS DE CONJUGAISON
Région
é i cervicale
i l haute
h
„ Les deux premiers nerfs cervicaux, à la
différence des autres nerfs rachidiens,
ne sortent ppas du rachis complètement
p
ostéo--articulaires mais par des trous
ostéo
mi--ostéo
mi ostéo--articulaires et mi
mi--fibreux.
fibreux
Région
é cervicale inférieure
é
„ les trous de conjugaison sont limités à leurs
parties
ti supérieure
é i ett inférieure
i fé i par les
l
pédicules, à leur partie inférieure par la
moitié
itié postéro-
postéro
té -inférieure
i fé i du
d cops vertébral
téb l
et la face postéro-
postéro-latérale du disque
i t
intervertébral
téb l ett à leur
l partie
ti postérieure
té i
par l’articulation vertébrale postérieur
d blé sur sa face
doublée f antérieure
té i par le
l
ligament jaune.
Ré i
Région thoracique
th i
„ la p
présence des têtes costales à
leur partie inférieure rétrécit les
trous de conjugaison d d’un
un tiers
tiers.
Le nerf rachidien n’occupe
qu’une faible partie du trou
(1/5).
Ré i
Région lombaire
l b i
„ Leur direction est oblique en bas et
en dehors dans un plan frontal. Les
mouvements de flexion forcée
élargissent les trous de conjugaison
et ceux d’extension
d extension les rétrécissent.
rétrécissent
Ré i
Région sacrée
é
„ La fusion des pièces sacrées a
provoqué é la
l transformation
t f ti des
d trous
t
de conjugaison en trous sacrés.
„ Leurs dimensions se réduisent de S1 à
S4.
„ Le hiatus sacré fait fonction de dernier
trou de passage pour les racines S5 et
la racine coccygienne.
PEDICULES VERTEBRAUX
Pédi l de
Pédicule d l’axis
l’ i
„ En fait régions
g isthmiques
q p
presque
q
interarticulaire, sont deux colonnes
antéropostérieures légèrement
obliques en haut et en avant.
Pédicules
édi l de d C3 à C7
C
„ Ont une direction oblique
q en
avant et dedans de 30°
30° et une
projection postérieure ovale de
10 sur 7 mm.
Pédicules thoraciques
supérieures
p
„ De section ovalaire verticalement se
projettent
j tt t comme les l pédicules
édi l cervicaux
i
dans l’intervalle des facettes articulaires
supérieure
é i ett inférieure
i fé i en mordant
d t d’un
d’
quart sur la facette supérieure avec un
obliquité
bli ité en avantt ett en dedans
d d de
d 20°
20° à
30°
30 ° et en bas de 15°
15°. Leur épaisseur plus
i
importante
t t en T1 que T3 varie i de
d 10 à 6
mm.
Pédicules
é thoraciques moyens

„ Sont ppresque
q sagittaux
g : en fait,
ils sont obliques en avant et en
dedans de 10°
10° et en bas de 10
10°°
aussi.
Pédicules
é thoracolombaires

„ Ces pédicules sont plus larges et sagittaux,


sagittaux
sans inclinaison latérale. Leur inclinaison
sur le p
plan horizontal est faible,, à savoir de
5°. Leur projection ovalaire verticalement
sur l’arc postérieur est toujours
intermédiaire
é aux facettes articulaires
supérieures et inférieures.
Pédicules
é lombaires inférieurs
é

„ Sont strictement sagittaux et perpendiculaires


à l’axe
l’ du
d canall vertébral
téb l sii bien
bi que la
l
lordose lombosacrée répartit les pédicules en
rayons de
d roue.
„ Les nerfs rachidiens s’appliquent sur les côtés
externes et internes. L’épaisseur des pédicules
est croissante caudalement de 10 à 20 mm.
Pédi l sacrés
Pédicule é
„ Seul le pédicule de S1 est suffisamment
épais pour permettre un vissage car il
se prolonge sur sa face externe par
l’aileron sacré. Sa limite inférieure
correspond au 1er trou sacré. é

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