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1
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., page 25.
2
Garine, page 216.
3
André Malraux, Claude, la voie royale, page 55.
4
André Malraux, Les conquérants, page 229.
1
2
5
André Malraux, les Noyers de l’Altenburg, éd. Du Haut
Pays, II, page 100.
6
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos,
Points Seuil 1970,page 13.
7
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., Page 26.
8
André Malraux, La condition humaine, page 75.
9
André Malraux, Le temps du mépris, pp. 55-56.
2
3
14
André Malraux, La condition humaine
15
Nous pensons ici au livre de Jean-Marie Rouard consacré
à « ceux qui ont choisi la nuit », c’est-à-dire au
suicide, Grasset.
16
Gaétan Picon, Malraux, Le Seuil, 1974, page 69.
4
5
17
Sartre, L’Etre et le Néant, Gallimard, 1943, page 631.
18
Emmanuel Mounier, Introduction aux existentialismes,
op. cit., page 69.
5
6
19
Jean-Marie Domenach, Le retour au tragique, Points
Seuils, page 179.
6
7
22
Jacqueline Russ, Le tragique créateur, op. cit., page
17.
23
Jean-Marie Domenach, Le retour du tragique, Points
Seuil, 1967, page 183.
24
Emmanuel Mounier, op. cit., page 29.
9
10
29
Idem, 30.
30
Paul Claudel, Tête d’Or. 1889.
31
Gaétan Picon, Malraux, Le Seuil, 1974, page121.
11
12
32
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., pages 30 et 31.
12
13
33
Simone de Beauvoir, Pour une morale de l’ambiguïté, op.
cit., page 92.
34
André Malraux, La condition humaine page 247.
13
14
35
Simone de Beauvoir, Pour une morale de l’ambiguïté, op.
cit., page 93.
14
15
36
Emmanuel Mounier, op. cit., page 32.
37
Jean Marie Domenach, Le retour du tragique, Points
Seuil, 1967, page 178.
38
Paul Claudel, Tête d’Or.
39
Il le reconnaît fort volontiers : « Que faire d’une
âme, s’il n’y a ni Dieu ni Christ
Christ ? De l’héroïsme
l’héroïsme », In
la Condition humaine, page 79.
15
16
40
André Malraux, La Condition humaine, page 272.
41
Emmanuel Mounier, op. cit., page 35.
16
17
42
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., page 44.
17
18
43
Idem, page 43.
44
Ibidem, page 42.
18
19
45
Idem, page 95.
19
20
46
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., page 39.
47
André Malraux, L’espoir, page 181.
48
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos,
L’espoir des désespérés, op. cit., page 39.
20
21
49
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., pages 44 et 45.
50
André Malraux, le Temps du mépris, page 84.
51
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., page 47.
21
22
L’acceptation de la contingence.
58
André Malraux, Les Noyers de l’Altenburg, page 26.
59
Pierre de Boisdeffre, André Malraux, éditions
universitaires, 1955, page 122.
60
Emmanuel Mounier, Introduction aux existentialismes,
Denoël, 1947, page 123.
24
25
61
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos,
op., cit., page 62.
62
Sartre, L’existentialisme est un humanisme, Nagel,
1970, pages 24 et 25.
25
26
69
Martin Heidegger, Sérénité, in Question III, Gallimard
Tel, 1990, page 146.
70
Martin Heidegger, Lettre sur l’humanisme, in Questions
III, Gallimard Tel, page 87.
71
Idem, page 90.
28
29
75
Emmanuel Mounier, Introduction aux existentialismes,
Denoël, 1947, page 131.
76
Idem, pages 84 et 85.
30
31
77
Gaétan Picon, Malraux, Le Seuil, 1974, page 91.
78
Idem, 103.
31
32
79
André Malraux, Les voix du silence, Gallimard, 1951,
page 639.
80
André Malraux, Les Voix du silence, Gallimard, 1951,
page 638.
81
André Malraux, Le musée imaginaire, page 155.
82
Pierre-Henri Simon, Témoins de l’homme, Payot, 1968,
page 168.
32
33
83
Emmanuel Mounier, Introduction aux existentialismes,
op. cit., page 75.
34
35
84
Emmanuel Mounier, Introduction aux existentialismes,
Gallimard, 1971, page 90.
85
Pierre Henri Simon, l’esprit et l’histoire, Payot,
1969, page 180.
86
André Malraux, Les Noyers de l’Altenburg, page 200
35
36
87
André Malraux, cité in Emmanuel Mounier, Malraux,
Camus, Sartre, Bernanos, op. cit., page 58.
88
Ouvrage de Jean Clair, 2001.
89
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, op.
cit., page 60.
36
37
90
Jean-Marie Domenach, Le retour du tragique, op. cit.,
page 190.
91
« Et c’est l’Art dans sa totalité, délivré par le
nôtre, que notre civilisation, la première, dresse
contre le destin », Les Voix du Silence.
92
André Malraux, Les Noyers de l’Altenburg, page 142.
93
Pierre de Boisdeffre, Métamorphose de la littérature,
Editions Alsatia, 1950, page 373.
37
38
94
Pierre-Henri Simon, L’Esprit et l’Histoire, Payot,
1969, page 179.
95
Malraux lui-même est un consommateur invétéré d’opium.
38
39
97
Ernesto Sabado, Ma rencontre avec Malraux, Esprit
janvier 2001, page 78.
98
André Malraux, Les Noyers de l’Altenburg, page 238.
40
41
99
Sartre, L’Etre et le Néant, Tel, page 74.
100
Sartre, l’existentialisme est un humanisme, Gallimard,
Folio, page 39.
101
Sartre, L’existentialisme est un humanisme, op. cit.,
page 46.
42
43
102
Sartre, Les Carnets de la drôle de guerre, page 122.
103
Sartre, l’Etre et le Néant, Gallimard, 1947, page 639.
104
Sartre, L’Etre et le Néant, Nagel, 1970, page 58.
43
44
107
Cité in Karl Jaspers, La situation spirituelle de
notre époque, op. cit., page 248.
108
Anna Boschetti, Sartre et les Temps Modernes, Editions
de Minuit, 1985, page 122.
46
47
123
Idem, page 138.
124
Ibidem, pp. 136-137.
125
Sartre, Les chemins de la liberté, I, l’âge de raison,
page 93.
126
La Nausée, page 243.
51
52
129
Idem.
130
Sartre, la Nausée, page 213.
131
André Malraux, Les Conquérants, page 67.
132
Malraux, idem, page 159.
133
Sartre, L’existentialisme est un humanisme, op. cit.,
page 90.
134
Emmanuel Mounier, Introduction aux existentialismes,
op. cit., page 129.
53
54
absolue.
absolue. »135 « Des pensées abstraites et des
intentions vides, voilà ce qu’on laisse à l’esclave
sous le nom de liberté métaphysique »136 : Sartre ne
croit pas si bien dire. Déniant la réalité d’une
conscience intérieure, que laisse-t-il à l’homme
« libre » sinon le sentiment d’éprouver une liberté
gratuite, qui n’est autre qu’une volonté de volonté,
vide et abstraite qui se saisit des choses pour les
dénigrer. La liberté sartrienne est à l’image de ses
personnages et de leur vie, elle est manque d’être,
nihil. Mais « c’est parce que la réalité humaine
n’est pas assez qu’elle est libre. »137 C’est cette
consomption ontologique qui me rend si fluctuant et
vif à l’action, c’est l’attrait de ce néant qui se
présente à moi et me mobilise. Mais cette « liberté
ne donne pas à l’univers un couronnement et un sens,
elle n’est qu’une perpétuelle intériorisation de la
contingence, le retour au jaillissement de
l’absurdité primitive »138 quel que soit votre choix.
Si le malheur de l’homme naît de la découverte d’un
monde insignifiant, il est aussi la conséquence
d’une conscience qui, s’apercevant que la liberté
est vide de tout contenu, que c’est elle seule, par
son affirmation, et non l’obéissance à quelque règle
la précédant, qui constitue la moralité en la
définissant par une créativité en acte, doute que le
volontarisme puisse apporter quelque réconfort.
C’est octroyer là un pouvoir à l’homme dont la
démesure est tout aussi angoissante que la
révélation de la vacuité existentielle. L’homme est
ainsi pris en tenailles entre deux infinis : le non-
sens de l’en-soi et l’absoluité du pour-soi dont la
135
Raymond Ruyer, Le Monde des valeurs, 1948, page 95.
136
Sartre, Situations III, page 196
137
Sartre, L’Etre et le Néant, 1943, page 516.
138
Emmanuel Mounier, Introduction aux existentialismes,
op. cit., page 128.
54
55
140
Gonzague Truc, de J.-P. Sartre à L. Lavelle, Tissot,
1946, page 104.
141
Gonzague Truc, op. cit., page 43.
56
57
142
Martin Heidegger, Qu’est-ce que la métaphysique,
Questions I,
143
Idem, page 25.B
59
60
146
Paul Valéry, La crise de l’esprit, in Œuvres I,
Pléïade Gallimard, page 988.
147
Titre de l’ouvrage d’Henri Guaino, Plon, 2002.
148
Jacqueline Russ, Le tragique créateur, op. cit., page
180.
61
62
149 ?
Emmanuel Mounier, Malraux, Camus, Sartre, Bernanos, Le Seuil, 1953, pp 76-77.
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