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Activité 6.

3 Apport des études thermiques


Introduction :
La Terre est composée de 4 couches : croute terrestre, manteau inférieur, noyau interne et
externe. Nous pouvons donc nous demander de quoi est composé le globe terrestre, quel est le
mode de transfert thermique dans les différentes enveloppes du globe terrestre et en quoi cette
composition influence-t-elle la vitesse de propagation des ondes.

Plan :
En premier temps nous allons déterminer le mode de transfert thermique de la surface de la
Terre jusqu’au noyau interne.

En second temps nous allons déterminer la raison de la variation de vitesse des ondes sismiques

Pour finir nous allons conclure en répondant à la problématique énoncé dans l’introduction.

15 120 150 180

1.1) 0

12

Le coefficient directeur de la droite est égal à yB-yA/xB-xA donc

(150 - 120) / (9,4 - 7,2)= 13.63

2) Dans le document 4 une convection est réaliser au niveau de l’eau dans la casserole et une
conduction est réaliser entre l’eau et l’air et entre le fond de la casserole et l’eau.

Lors de la première expérience, une convection est réaliser a niveau de l’eau et entre eau et
huile et une conduction est réaliser au niveau du fond du bécher et l’eau, entre l’eau et l’air et
entre l’eau et le thermomètre. Pour la 2 ème expérience la convection est réaliser entre eau et
eau, huile et huile et entre eau et huile et une conduction est réaliser entre huile et air, huile et
thermomètre, eau et thermomètre et entre eau et bécher.
3) lors de la première expérience la température passe de 29° à la surface à 33° à un cm de
profondeur puis la température subit une augmentation constante de -1cm à -10cm passant de
33° à 34° pour ensuite avoir une augmentation brutale passant d'une température de 34° à 36°
en 1cm (de 10cm à 11cm de profondeur). Nous pouvons remarquer que l’augmentation brutale
de la température intervient lors des conductions aire-eau et eau-fond de la casserole.

Lors de la deuxième expérience la température passe de 26.5° à la surface à 28° à un cm de


profondeur puis dans l’huile la température augmente de 1,5° en 3cm et à l’intersection huile-
eau elle augmente de 4.5° en 1cm en passant de 29.5° à 34°, dans la zone 100% eau la
température est constante pour ensuite passer de 34° à 36° dans l’interface entre l’eau et le
bécher.

Ces expériences nous montrent que l’augmentation de chaleur en conduction est plus
importante et plus rapide que la convection de plus l’augmentation de la température de l’huile
appuis cette observation car l’huile étant gras et moins liquide que l’eau a vu sa température
augmenter de 1.5° en 3cm (expérience 2) alors que l’eau à mis 9cm à prendre 1° (expérience 1).

4) Donc le mode transfert thermique de la surface de la terre au noyau interne varie en


fonction de la couche terrestre du noyau interne (solide) a externe (liquide) le transfert de
chaleur se fait donc par conduction, à l’intérieur du noyau externe c’est une convection qui se
produit, du noyau externe(liquide) au manteau(semi-liquide, ductile) c’est un transfert de
chaleur par conduction, le transfert de chaleur au sein du manteau se fait par semi-convection
ensuite du manteau à la croute terrestre c’est une conduction .

1.2) La vitesse des ondes peut varier selon les matériaux qu’elle traverse et vu que la croute
océanique se plonge sous la croute terrestre du fait de sa ductilité il est normale qu’il y ait une
différence de quelque seconde lors de la réception des ondes.

2.2) Le manteau terrestre est composé de zones plus ou moins denses ce qui peut varier la
vitesse des ondes sismiques.

3.2) Sur la coupe réaliser au niveau du pacifique on peut observer ne nombreuses zones plus ou
moins larges avec un degré de chaleur plus ou moins important

4.2) Pour les démonstrations de l’hétérogénéité du manteau j’ai décider de ne prendre que
trois captures d’écran : France, zone sismique et une zone volcanique (toutes les captures
d’écrans sont fournis dans l’annexe).

Dans la première capture d’écran représentant la France(du Sud-est au Nord-Ouest) on peut


voir deux zones « chaudes » à pourcentage élever (de 2% a 7%) dont une en dessous d’un
volcan pour une profondeur allant de 40km à 400, ces zones chaudes sont surplomber par une
fine couche de roche « froide » ayant une irrégularité allant de 3% à 7% à 30km de profondeur
et une zone entre 0% et 1% entre les deux zones « chaudes ».

Dans la deuxième capture d’écran réaliser au niveau de l’entre-deux-plaque de l’océan


Atlantique on peut voire une épaisse zone « froide » à hauteur variable de 0% à 1% sur une
distance de 270km (de -30km à -300km) ainsi qu’un grand nombre de séisme a la surface.

Dans la troisième capture d’écran on peut observer la présence de zone généralement plus
ductile allant d’une variation de la vitesse des ondes sismiques de 1% à 7% jusqu’à une
profondeur de 700km puis une zone plus solide que la précédente allant a jusqu'à une
profondeur de 1400km et une anomalie s’élevant à hauteur de 0% à 1%profondeur. La surface
est occupée par de nombreux volcans ainsi que de séisme (à droite) qui eux se situent juste au
dessus de zones plus solide au vu de la faible augmentation de la vitesse des ondes sismiques
allant de 0% à 0.5% sur 20km (de -30km à -50km)

5.2) Au vu des résultats obtenus lors des observations nous pouvons conclure en disant que le
manteau n’est pas uniforme mais possède des « zones » ou les roches peuvent être plus ou
moins ductiles ce qui peux entrainer ou non des séismes pour le cas d’une roche solide et des
volcans à la surface des « zones » ductiles.

Conclusion :

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