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Psychothérapie dynamique

Résultats, idées, problèmes - Freud

Chapitre 2 :
- Comment donc définir la fin de l’analyse ?
- Est ce que cette fin est atteignable ou non ?

1. Fin « naturelle »:

Freud ne dis pas éliminer les symptômes mais ne plus souffrir des symptômes

Inhibition, symptômes et angoisses


1ère série de modification : Pas apprendre à dépasser ses angoisses mais à faire avec ses angoisses
2ème série de modification: Le symptôme c’est le retour du refoulé

Cérémonial:
- Suffisamment de refoulé
- D’incompréhensibilité élucidée
- Résistance intérieur vaincu
=> Mettre fin au automatisme de répétition

Qu’est ce qui ne se comprend ? Ne pas dire ça se comprend c’est …


On a beau savoir, ça ne change rien

2. Fin « ambitieuse »
- Normalité psychique absolue
- Entière recouvrement des souvenirs, plus de lacunes dans les souvenirs
- Anamnèse complète

Freud introduit l’étiologie:


- Étiologie traumatique: Trauma

- Étiologie pulsionnelle: Donne de départ


➡ Insistance pulsionnelle
➡ Modification du symptôme
Symptômes:

S1 S2

Sémantique Jouissance

Inconscient Sexualité

De l’ordre du déchiffrage et de l’interprétation Modification

Refoulement Fixation / Régression

Le symptomes au sens analytique du terme c’est ce qu’il fait symptôme pour le sujet. Ce qui fait symptôme
pour l’un n’est pas ce qui fait symptôme pour l’autre.
=> Ça l’interroge, ça le fait souffrir

Le symptôme à la structure d’un signifiant. Ce dont vous jouissez vous fait souffrir.

Le symptôme au sens analytique du terme, s’adresse à l’autre.

On se posera la question dans quel sens l’analyse a une fin et dans lequel elle est sans fin?
Qu’est ce que c’est que la construction: De voir ce qu’il y’a comme schémas fondamentale qui se répète.
‣ Fantasme inconscient fondamentale (fantasme d’abandon…)

‣ À travers ce qui se répète dans la vie on retrouveras un schème fondamentale, et quand on arrive à la fin
analytique on arrive à une fin.

‣ L’analyse sans fin c’est pas parce que on a fait une analyse qu’on a plus d’inconscient.

‣ Un signifiant va varier de signification en fonction son emploi

‣ Le sens du signifiant est son signifié

Le symptôme qui est d’abord pour soi, n’est pas seulement ce que l’on diagnostique. C’est quand l’on
suppose qu’il y’a quelque chose mais que l’on ne sait pas ce que c’est .

S Autre
—— > ———
? Savoir

Opération analytique: Domptage des pulsions


Le refoulement est un mécanisme de défense. Le sujet va se constituer dans la prime enfance en fonction de
certaines réactions.
Il y’a les refoulement originaire et par la suite on fait des refoulements
Certains va répéter les mêmes mécanismes de défenses
> Il ya pas de sujet normal au départ

Fin de l’analyse en 3 temps:

Temps 1: Fin de symptomes, inhibition angoisse, Elucidation de l’incompréhensibilité, fin de l’automatisme


de répétitions.

Temps 2: Élucidation de la cause traumatique, la correction du refoulement secondaire, la construction du


moi.

Temps 3:

Facteur quantitatif c‘est ce qui au fond va toujours resté.

Qu’est ce que l’analysé ? (page 242)

Devoir a faire:
Lire l’ensemble du texte et faire la liste des termes pertinent et les remaniements.

Références littéraire :
Le problème économique du masochisme (Qu’est ce que c’est que le masochisme morale ?)
L’au de la du principe de plaisir

Chapitre 8:
L’ultime obstacle est le reliquat du complexe de castration
Qu’est ce qu’il y’a de commun et comment cela va se mouler différemment?
Ce qu’il y’a en commun c’est l’aspiration à la virilité .
F: Penisneid
M: Protestation virile ou refus de la passivité

Les différentes étapes de l’histoire de la psychanalyse


=> La manière dont la psychanalyse s’est enrichis
Les différentes étapes d’une analyse, d’une expérience analytique
Les différentes étapes de chaque analyse menée à son terme
Au delà du principe de plaisir:

Les spéculation sont des modèles, une part de ses modèles sont des réflexions sur la vie, la mort, et une autre
partie se concentrent sur la clinique et la pathologie.

Pulsion de vie VS pulsion de mort

Une évolution des pulsions chez Freud:

1er temps: découverte des pulsions partielles dans la théorie des


Théorie des pulsions # instincts
Il dis au fond toutes les activités organique peuvent être sexualisé
Sexualisation dans le gain de plaisir qu’accompagne le fait de manger de déféquer (stade oral, anal,
phallique, génital..)
Ex: Pulsions scopiques: Ensemble des affects agréable ou désagréable liées à l’activité visuelle.
Les pulsions ne concernent que la sexualité non génital.

2ème temps: 1914: Introduction au narcissisme


Il introduit pour la première fois le dualisme:
Pulsion du moi VS Pulsion sexuelle
Prendre soit un objet extérieur soit un objet propre
La sexualité peut avoir soit un objet extérieur soit le corps propre.
Dans le narcissisme on distingue deux choses:
On passe son temps soit à se glorifier soit à se disqualifié
On s’aime soit même, son image idéale VS Perversions narcissique
C’est du coté de l’amour non sexuelle
Quand Freud fais passer le narcissisme comme perversions narcissique c’est une pulsion sexuelle.
La pulsion sexuelle peut avoir un objet extérieur ou le corps propre.
Pulsion de moi en tant que libido sont aussi sexuelle

• Corps propre —> Objet extérieur

3ème temps: Au delà du principe de plaisir:


Introduction de la pulsion de mort
Tentative de spéculation pour rendre compte de ce sur quoi il a des difficultés.
Ils butent sur la clinique des névroses, les traumatismes de guerre, les répétitions , les rêves d’angoisses qui
défient la théories.
Il essaie de rendre compte, de construire des schémas de pensées pour rendre compte de la réalité.

Freud (dans l’analyse finis et l’analyse non fini) parle de la viscosité de la libido en métaphore à un caractère
morbide: l’inertie de jouissance
Cf. Tableau S1 & S2
L’évolution de la théorie des pulsions de Freud
Caractère général des pulsions
Ce que Freud nous construit est de la mythologie qui va nous rendre compte de l’évolution de l’analyse
clinique.

Premier devoir:
Clinique de la compulsion de répétition
Quels sont les faits observés par Freud qui font obstacle au principe de plaisir et témoignent d’une
compulsion de répétitions? Quels sont les faits clinique que Freud relève dans son texte ?
• Clinique (névrose de guerre)
• Faits interne à l’expérience analytique

Deuxième devoir:
Refaire par soi même un schémas qui restructure les différentes pulsions (mort/ vie/ sexuelle…)

Quel est la fonction de la compulsion de répétition?


Interne ou externe?
Ca peut venir de la disparition de la mère étiologie traumatique
Et ca peut faire la liaison.

Quel est la différence de traitement que Freud fait des névrose de guerre? De névrose traumatique? Des rêves
d’angoisses? Répétitions d’expériences humiliantes ?
Qu’est ce qui fait symptôme ?
Le symptôme, la nature du symptôme.
L’important est qu’est ce qui fait symptôme au sens analytique du terme et pas au sens psychologique ou
psychiatrique. La formule peut s’entendre d’abord, comme une question double, une question d’abord pour
le sujet. Pour celui qui vient consulter qui est aussi une question pour le psychanalyste. Tous se pose la
question pour celui qui vient consulter.
Ce qui fait symptôme pour celui qui vient consulter dans une première approche c’est ce qui le fait souffrir,
et au fond ce qui lui devient insupportable, intolérable a un point de conduire à consulter. Précipiter a
consulter ne se fait jamais de manière simple.
Le symptôme c’est pas simplement une question qui se pose au sujet. Mettre quelqu’un à la question c’est
mettre quelqu’un sous torture, ce qui lui fait symptôme c’est quelque chose qui le torture dans son corps et
dans son esprit.
L’obsessionnel, pense beaucoup, « je n’arrête pas de penser, je ne dors pas parce que je pense beaucoup ».
Il ne pense pas, sa tête pense tout seul, des pensées qui s’imposent à lui, qui l’assiège.
Le symptôme en question n’est pas théorique, c’est quelque chose dont le sujet souffre mais qu’il ne
comprend pas.
Ce qui fait symptôme est d’abord vécu comme quelque que le sujet n’arrive pas à faire avec et comment s’y
prendre.
Mais d’abord et avant tout quelque chose qui ne comprend pas à tout les niveau, c’est dans son existence
l’ignorance, l’émergence de quelque chose qui n’a pas de sens mais de l’orde de l’intolérable d’un e part et
d’autre part du non sens.
Le refus du corps peut se manifester de manière inconsciente, quelque chose qui fait irruption comme
quelque chose que le sujet ne comprend pas, qui fait non sens.
Quelque chose qui fait appel au sens et se comporte comme un non sens.
Ce qui fait pour le sujet symptôme est une expérience qui fait non sens. Pourquoi les même schémas se
répète.
Le non sens peut affecter qu’une sphère de son existence, il peut aussi affecter toute son existence.
De quel coté ou plus que tout rien ne marche comme le sujet le souhaite.

Du coté de l’analyse, la question se pose aussi bien à lui.


Elle lui repose la question sous forme de demande. La demande sert à l’analyste et de manière parfois
pressante par exemple de trancher par rapport a un choix qui se pose à lui, parce que le sujet à du mal a
trancher.
La question pour l’analyste se transforme en demande. La question qui se pose à l’analyste c’est surtout entre
la demande qui lui ait adressé et ce qui est véritable symptôme pour le sujet est différent.
La question qui s’impose à l’analyste n’est pas forcément c elle qui torture le sujet.
Donc, derrière ce qui peut être affirmé comme demande, ne supporte pas son travail, son partenaire etc..
La question pour le psychanalyste sera difficile à certains moment et cela peut s’expliquer par quelqu’un qui
se présente à lui et qui bénéficie d’une bonne santé mentale.
La clinique au sens analytique du symptôme se présente dans le cadre de l’expérience analytique. Dans l’un
de ses séminaire Lacan dit qu’il n’y a pas de théorie de l’inconscient.
Lacan dit au fond c’est la psychanalyse et son émergence qui a offert un espace de parole à l’hystérique qui a
fait que les symptomes tendent à disparaitre avec le temps.
Es symptomes dépendent du cadre dans lequel le symptôme se manifeste.
Le symptôme non plus comme question mais entre sens et jouissance.
Dans une conférence de Lacan, il revient sur le symptôme et dit le symptôme va du sens à la jouissance, et au
fond quand Lacan dis ça il ne fait que résumer en une phrase l’introduction à la psychanalyse de Freud.
Le symptôme comme satisfaction sexuelle de substitution.
Du sens à la satisfaction ou du sens à la justification c’est en revenir au même. Le symptôme analytique se
situerait donc entre sens et satisfaction.
Par ailleurs, dire entre sens et jouissance, c’est dire d’un coté qu’il participe de l’inconscient, et de l’autre
qu’il participe de la pulsion. Ainsi, pour Freud et Lacan, ce sont les versant du symptôme.
Il ne faut jamais s’arrêter donc à un seul aspect du symptôme.
Le symptôme quelque chose se satisfait même si c ‘est de traviol, même si c’et un mode de satisfaction
douloureux, ou morbide. Le symptôme c’est une bande mobiuse.
Le symptôme est une entité paradoxale, c’est quelque chose qui veut dire mais qui se présente comme un non
sens. Une sémantique paradoxale. Sur le plan de la jouissance une jouissance paradoxale, mais qui a une
satisfaction morbide. Le symptôme est le mode de jouir.
En 1907, Freud dis souvent les parents m’envoie leur enfant homosexuelle pour leur modifier leur
orientation sexualité.
L’entrée en analyse est une mise en forme du symptôme. Lacan a mis en exerbe la mise en forme du
symptôme. Qu’est ce que le symptôme mis en forme ? De quand doit on dater l’entrée en analyse ?
Ce qu’il y’a derrière cette urgence subjective, c’est la présence d’une fellure, il y’a une rupture. Un avant et
un après cette rupture. Il y’a quelque chose qui vient ébranlé la réalité, quelque chose qui vient ébranlé la
routine (cf. Métro boulot dodo).
Cet ébranlement du quotidien, de la routine, du train-train, c’est que la routine ne lui convient plus, ça peut
affecter son existence entièrement ou partiellement. Ou cela a toujours fais problème au sujet mais cela s’est
juste intensifié. Il y’a rupture du mode de fonctionnement.
Derrière l’ébranlement de la réalité il y’a comme une rupture épistémologique, une rupture dans le savoir.
Le trou dans le savoir et le savoir y faire c’est la rencontre traumatique réel. La rencontre aussi bien d’une
jouissance que l’on ignorait.

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