Vous êtes sur la page 1sur 10

Psychologie clinique de l’adulte

Chapitre 16: Psychanalyse et psychiatrie

Est-ce qu’il y’a complémentarité entre la psychanalyse et la psychiatrie ?

La psychiatrie sous molécule : on peut poser un diagnostic si la molécule administrée a fait resurgir un état
ou la structure de la personne.

Freud relève qu’une action symptomatique a un sens, mobile et intention et intimement lié à la psyché
Interprétation c’est une lecture.

Garder en tête que ce n’est pas anodin.

Chapitre 17: Le sens des symptômes


Symptômes névrotiques:
Ont leur sens, ils sont en rapport avec la vie des personnes qui les présentent comme les rêves et les actes
manqués.

Quels sont les signes, les symptomes qui vont nous permettre de poser le diagnostic de névrose
obsessionnelle ?

- Les malades sont préoccupés par des idées auxquels ils ne s’intéressent pas :
- Les idées s’imposent à eux : Pensées intrusives
- Impulsions qui paraissent bizarre et absurde.
- L’exécution des actions ne leurs procurent aucun plaisir mais la personne ne peut s’empêcher de les
exécuter.
- Activité intellectuelle intense
- Épuisement suite à cette activité : « je veux arrêter de réfléchir »
- Symptôme au niveau de la pensée
- Non exécution de ses pensées

Quel est le rôle de ce symptôme ?


Il faut comprendre qu’est ce qui est à l’origine de ce symptôme et comprendre l’économie psychique de ce
symptôme.

Quand leur ressources psychique n’arrive plus a gérer le conflit psychique cela va se traduire par des actes

La pensées c’est comme une sorte de broderie qui se tissent et qui s’emmêlent.
Le but est de retrouver constamment le fil conducteur.
Tant que les idées se limite à la pensées on est bon, sinon on se retrouve dans un autre registre.

C’est ces repères qui vont nous permettre de faire des diagnostics cliniques
L’écoute, qu’est ce que l’on écoute ?

Le symptôme, les actes manqués et les rêves, sont des manifestations de l’inconscient

Le symptomes à un sens, un mode de manifestation et un contenu, il est étroitement lié à la vie psychique du
malade.
Le mode de manifestations du symptôme est différent d’une névrose à une autre, d’une structure à une autre.

Freud à parler de deux types de symptomes:


- Les symptômes individuelles ont un sens mais ce sens est lié aux faits et événements vécu par le malade
- Les symptômes typiques qui seraient le produits d’événements typiques vécu par tout les hommes

La névrose obsessionnelle:
• Maladie moins spectaculaire que la névrose hystérique
• Il n’a pas de manifestations somatique
• La maladie relève du domaine privé du malade
• Les symptômes se manifestent dans la sphère psychique
• Toute manifestation ou comportement de sa part qui fait écho à cette impulsion, il le prend pour une
réalisation
• C’est toujours l’un ou l’autre des facteurs qui va dominer le tableau clinique et qui va donner le nom à la
maladie.
• Le déplacement du symptômes est un des principaux caractère de la maladie.
• La fonction du doute dans la névrose obsessionnelle est un doute qui s’attache aux choses les plus
certaines.
• Traits contradictoires de caractères qui rend l’orientation difficile

Le sens de l’action obsédante est lié à un événement réel qui à eu lieux dans la vie de la patiente et qui lui est
revenu sous forme de souvenirs. Dix ans auparavant, le jour de sa nuit de noces, le mari n’a pas pu honoré
son épouse.
À travers cette action obsédante, par identification au mari, la patiente rejoue la scène de cette nuit de noces.
Elles répète la scène significative et traumatisante.
En rejouant cette scène et l’a complétée, corrigée. Elle corrige aussi l’impuissance du mari.
Freud fait dans un premier temps une distinction entre un cérémonial et un cérémonial pathologique.
Le cérémonial est empreint de rigidité et sa réalisation demande un nombre de sacrifices.
Le patient fait preuve d’une minutie exagérée et essaye de justifier ses actes par des raisons rationnelles.
Les deux cas cités par Freud illustre que les deux patientes sont restées fixées à un certain fragments de leur
passé.
Chapitre 18: Rattachement à une action traumatique : L’inconscient.

- Freud reprend les deux cas du chapitre 1è en abordant leur rattachement au passé.
- C’est des actions passé qui emprisonnent les patientes (du futur)
- Les névroses sont fixés au moment de l’action traumatique
- Chaque névrose comporte une fixation/ mais pas chaque fixation conduit à la névrose
- Perte d’interêt pour le présent et le futur <=> fixation lors de l’action traumatique

=> 2nd résultats:


- Le sens de l’action obs échappait à la patiente (origine + but)
- Processus psychique inconscients
- Il existe un inconscient contrairement à la psychiatrie qui pense que c’est de la dégénérescence.
- Inconscient: Sens et intention des actes névrotiques.

Une des questions que se pose Freud dans ce chapitre est comment est ce qu’on tombe malade?

Dans les deux cas qu’il à présenté, ce qui est évident est que les deux malades sont restés attaché à un
fragment de leur histoire.

Pour le premier cas la malade est restée fixée à cette nuit de noces ou le mariage n’a pas pu être consommé.

Le déclenchement de sa maladie est lié a cette partie de son histoire.

Elle a développé des symptomes sous forme d’action obsédante dont elle ignorait le sens. Freud est partie du
principe que ces symptomes exprimaient quelques choses et qu’il fallait trouvé ce sens caché.

Dans le deuxième cas la patiente présente des symptomes sous formes de rituels. Le sens de ce rituel lui
échappe et l’analyse à permis de faire le lien entre ses actes et ce qui à pu les produire.

Ce qui à produit son symptômes est son attachement à son père.

Le père en tant qu’objet oedipien. La patiente est fixée à une partie de son histoire infantile au moment du
complexe d’oedipe.

La maladie s’est déclaré pendant la puberté au moment de la réactivation du complexe d’oedipe.

Pour répondre à la question de comment s’est produite la maladie ou la névrose chez ces deux patientes.
Il introduit son exposé par une analogie entre les névroses traumatiques et les névroses spontanées.

Les névroses traumatiques sont un type de névrose ou l’apparition des symptômes est consécutives à un choc
émotionnel lié à une situation ou le sujet à senti sa vie en danger.
Dans ce cas suite à un événement réel qui menace la vie de la personne et qui provoque un choc émotionnel,
la personne va développer un ensemble de symptômes dont les contenus sont déterminés par ce traumatisme.

La définition de la névrose spontanée dans le dictionnaire de la psychanalyse est la suivante:


« C’est une affection psychique dont les symptômes sont l’expression symbolique d’un conflit psychique
trouvant ses racines dans l’histoire infantile du sujet. »

Pour Freud est considérée comme traumatisme tout événement qui en l’espace de peu de temps apporte dans
la vie psychique un surcroit d’excitation.
Le sujet à une difficulté à supprimé ou à assimilé ce surplus d’excitation par les voies normales. Ce qui a
pour effet de perturber l’énergie pulsionnel (énergie).

La névrose est une fixation à un événement traumatique.


Quels sont les conditions de la névrose ?

Chapitre 19: Résistance et refoulement


Freud débute ce chapitre 19 par avancer que pour se faire une idée plus appropriée des névroses, il semble de
faire état de nouvelles expériences, dont deux qu’il qualifie de remarquable.

Première expérience:
Un malade que l’analyste souhaite libérer de ses symptômes, lui oppose une résistance violente, qui persiste
pendant toute la durée du traitement.

Affirmer cela au malade qui ne se rend pas compte de tous les phénomène de la résistance qu’il présente,
ainsi qu’à son entourage, paraîtrait invraisemblable.

Cette résistance du malade se manifeste sous des formes variées, souvent difficile à reconnaître: cela
s’appelle se méfier du médecin et se mettre en garde contre lui.
L’exemple donnée par Freud pour illustrer cette résistance est celle du patient qui bien qui souffrant d’une
rage de dent, oppose une grande résistance au dentiste.

La règle fondamentale d’analyse:


Il s’agit d’une technique utilisé dans l’interprétation des rêves, laquelle consiste pour le malade à:
- Se mettre dans un état d’auto observation, sans arrière pensées.
- Faire part au thérapeute de toutes les perceptions internes qu’il fera et dans l’ordre ou il les fera:
sentiments idées, souvenirs.

- Deuxième injonction: écarter toute critique, quelle qu’elle soit, dirigée contre ce qu’il trouve et qu’il serait
tenté d’exclure.
- Et enfin rappeler au patient que le succès et surtout la durée du traitement dépendent de la fidélité avec
laquelle il se conformera à cette règle fondamentale de l’analyse.

2 règles:
Libre association: Tout dire dans l’ordre ou ses pensées se présentent à lui
Abstinence: Le patient ne peut pas faire le passage à l’acte ( par rapport au thérapeute)
Chapitre 20: Sexualité, sexualité infantile et perversions:

Pour aborder la sexualité, Freud à étudier la sexualité infantile et les perversions.


Dans ce chapitre Freud à mis l’accent sur l’importance des perversions pour comprendre la sexualité dites
normales.
→ Pourquoi étudier les perversions et quelle est l’interêt d’une telle approche.
Freud dans toutes ses démarches d’études, part du pathologique pour comprendre le normal.

Dans la sexualité infantile les manifestations sont vagues, indéterminées et indifférenciés.

Aucun signe ne permet d’affirmer que les différentes manifestations de la sexualité infantile sont de nature
sexuelles et ce jusqu’a l’âge de 3 ans.Contrairement aux perversions sexuelles des adultes qui elles sont
palpables et ne prêtent à aucune confusion (elles sont bien le signe d’un processus sexuel).

Le lien qui existe entre sexualité infantile et la perversions c’est que dans les deux cas de figure, la sexualité
et la procréation ne coïncident pas.

Pour Freud le sexuel n’est pas le génital, le génital à pour but la procréation alors que le sexuel à pour but
une satisfaction.

Pour Freud la sexualité perverses et la sexualité normal dérivent de la sexualité infantile.

Il fait une distinction entre la sexualité perverse et la sexualité infantile

Sexualité perverse Sexualité infantile

Celle ci est ni organisée, ni centralisée.


Sexualité centralisée, toutes les manifestations Toutes les tendances partielles jouissent des même
tendent vers un même but. droits.
Le but est souvent unique,mais où une tendance Chaque tendance partielles cherche la jouissance,
partielle va prendre le dessus. une jouissance partielle.
L’enfant est un pervers polymorphe.

Dans la sexualité infantile les tendances sont au départ auto érotiques. Les tendances sadico-anale sont une
organisation prégénitale. Cette organisation est la dernière phase qui précède celle où s’affirme le primat des
organes génitaux (d’abord le primat du phallus).

Le développement de la libido devrait aboutir dans un premier temps à un renoncement à l’autoérotisme et


au remplacement des objets qui font partie du corps par d’autres qui seraient étrangers et extérieurs. Et dans
un deuxième temps à l’unification des différents objets et des différentes tendances et de les remplacer par un
seul et unique objet.
La fonction de la libido subit un long développement et une longue évolution avant d’atteindre la phase dite
normal (ou elle sera au service de la procréation).

Pendant la période de latence le développement sexuel subit un temps d’arrêt ou de ralentissement (6 à 8 ans)
c’est lors de cette période que la plupart des événements et tendances psychique sont frappés d’amnésie
infantile. Ces oublis sont l’effet du refoulement.

Il y’a refoulement car il y’a une nouvelle information qui s’intègre, et va y donner une interprétation
nouvelle et un affect associé.

Il existe deux sortes de régressions:


- Retour aux premiers objets marqués par la libido ( les objets oedipiens)
- Retour de toute l’organisation sexuelles à des phases antérieur.

Freud donne l’exemple des névroses de transfert (névrose obsessionnel, névrose hystérique) ou on retrouve
ces deux sortes de régression. Ce que l’on retrouve le plus souvent chez les névrosés c’est une régression
vers les objets oedipiens.

Dans le chapitre 22 Freud insiste et nous mets en garde contre le fait de faire une confusion entre la
régression et le refoulement.
La notion de refoulement n’a aucun rapport avec la notion de sexualité.

Le refoulement: C’est un processus grâce auquel un acte susceptible de devenir conscient. (faisant partie de
la préconscient) devient inconscient.. Ou encore lorsque un acte psychique inconscient par l’intermédiaire de
la censure ne réussit pas à devenir conscient ou intégrer le registre du préconscient. La notion du refoulement
est une notion spatiale.

Pour Freud les hommes deviennent des névrosés lorsqu’ils sont privés de satisfaire leur libido, et que les
symptômes viennent remplacer chez eux la satisfaction qui leur ai refusée. La privation est une condition
importante à l’étiologie des névroses. Mais alors de quelle privation s’agit-il?

Freud donne une articulation entre la fixation et la privation afin de donner une explication à l’étiologie des
névroses » la fixation de la libido constitue dans l’étiologie des névroses, le facteur prédisposant interne, et la
privation le facteur accidentel, extérieur.

Privation: une des conditions de la névrose.

Distinction entre les pulsions sexuelles et les pulsions du moi


Le conflit entre le moi et la sexualité est à l’origine des névroses.

Dans le cas ou le Moi s’accommode de cette fixation c’est la perversion.


Dans le cas ou le Moi se dresse contre cette fixation, il y’a refoulement. La ou la libido à subit une fixation et
c’est la névrose.

Les facteurs de la névrose:


- La privation qui serait la condition la plus général
- La fixation de la libido
- Tendance aux conflits qui découlent du développement du Moi

Chapitre 23: Les modes de formation de symptômes:

- Quels sont les modes de formation des symptômes ?


- Quelle définition donner à la maladie?
- Est ce que la disparition des symptômes signifie guérison de la maladie ?

Pour Freud la réponse est non.


Après la disparition des symptômes subsistent la faculté de former de nouveaux symptomes.
Freud définit le symptomes comme des actes nuisible, et inutile que le sujet accomplit avec aversion
(quelque chose qui dépasse la volonté du sujet) et qui sont accompagnés d’une souffrance. Le sujet fournit un
grand effort psychique pour les exécuter et pour s’en défendre.

Ceci à pour conséquence que le patient n’aura plus l’énergie psychique nécéssaire à l’exécution des taches de
la vie quotidienne.

Définition de la maladie selon Freud:


L’incapacité du sujet à vivre, à travailler, à sublimer et à aimer.
Pour Freud, nous sommes tous des névrosés dans la mesure ou l’homme dit normal est pré disposé à la
formation du symptomes.
Freud rappelle que le symptôme névrotique est le résultat d’un conflit entre le désir de satisfaction
pulsionnelle et les interdits. Le symptôme est un compromis entre les différentes forces qui s’opposent.

Les mouvements de la libido:


Le compromis est aussi ce qui explique la résistance du symptômes.
La libido insatisfaite dans la réalité va chercher d’autres mode de satisfaction.
Elle va régresser soit vers un stade du développement soit vers un objet libidinal abandonné et si la libido
régresse c’est bien parce qu’il y’a eu fixation.

Pour Freud la voie de la régression se sépare de la névrose.


Il y’a plusieurs cas de figure soit que la régression ne soulève aucune opposition du Moi et dans ce cas il n’y
a pas de névrose c ar la libido va obtenir une satisfaction réelle . Soit que le Moi s’oppose à cette régression,
ce qui crée un conflit et la libido reste bloquée et essaye de trouver une voie de décharge.
C’est les fixation laissées au cours du développement et face auxquelles le moi s’est défendu en les refoulant
que la libido va tenter de se libérer.

Les mécanismes en jeu:


Les représentation refoulées passent par deux mécanismes la condensation et le déplacement comme pour le
rêve.
Le symptôme est un produit déformé de la satisfaction inconsciente d’un désir libidineux comme pour le
rêve manifeste.

Le rôle de la vie infantile:


La compréhension de la névrose infantile est importante pour comprendre la névrose à l’âge adulte.
Pour Freud les événements de la vie infantile ont une très grande importance.
Les névroses infantile sont très courante mais passent souvent inaperçues.
Souvent on ne les reconnaît pas comme tel. Les névrose infantile se manifestent souvent sous forme
d’hystérie d’angoisse. (Cf. Petit Hans)

La névrose de l’adulte est intimement liée à la névrose infantile.


La libido peut connaître soit un arrêt du développement soit une régression.
L’éducation se propose de contrôler les pulsions sexuelles de l’enfant ce qui pour Freud est une tâche veine.*
La répression des pulsions sexuelles est impossible ne peut prévenir des névroses car les facteurs de la
névrose sont complexe.
Le résultat d’une attitude serait soit de favoriser le refoulement sexuel ce qui peut avoir de grave
conséquences soit que l’enfant n’aura pas les moyens de faire face et de se défendre face aux afflux des
pulsions sexuelles à la puberté.

La production de fantaisies:
Les évènement infantiles dégagés par l’analyse ne sont pas toujours vrai ni tout à fait faux.
- Quel est donc la fonction du fantasme dans la production des symptômes ?
- Quel est sur le plan technique l’attitude à adopter face aux évènements racontés par le patient?

Le patient peut raconter des productions imaginaire à la place de la réalité.


Pour Freud les fantaisies possèdent une réalité psychique opposées à la réalité matérielle.

Dans le monde des névrosés c’est la réalité psychique qui joue le rôle dominant.
Chez l’enfant ses productions imaginaires lui permettent e réaliser ses désirs mais sous une forme qui prend
en compte l’épreuve de réalité.
Freud donne comme exemple, des productions fantasmatiques, les rêves éveillés.
Pour Freud les rêves éveillés sont le noyau et le prototype du rêve nocturne.
Les rêves éveillés peuvent être soient conscient ou inconscient.
Ces rêves éveillés inconscients peuvent être à la source aussi bien du rêve nocturne que symptômes
névrotique.
C’est le rôle que joue la fantaisie dans la formation

Comment la libido se fraye un chemin vers les fixations ?

C’est grâce aux représentations qui continuent d’exister au niveau des fantaisies.
Ces représentations qui jouissent de tolérance par le moi tant que la quantité d’énergie et la poussée de la
pulsion ne pousse pas à la réalisation.
Pour les facteurs étiologique de la névrose il est important d’introduire la quantité d’énergie donc le point de
vue économique.

Freud avance que le conflit psychique n’éclate qu’a partir du moment ou le sujet atteint une certaine
intensité.
Les prédispositions humaines sont qualitativement identique et ne diffèrent entre elles que par leur
proportions quantitatives.

Freud précise qu’il nous donne un éclairage sur la névrose hystérique et la formation du symptômes quant à
la névrose obsessionnelle, les grandes lignes sont les mêmes mais avec une variation.

La résistances aux tendances libidinale sont au premier plan du tableau clinique.

———————————————————————————————————————————
Nota Bene:
*Selon Freud il est impossible d’éduquer, de gouverner, et de psychanalysé.

Vous aimerez peut-être aussi