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La psychiatrie sous molécule : on peut poser un diagnostic si la molécule administrée a fait resurgir un état
ou la structure de la personne.
Freud relève qu’une action symptomatique a un sens, mobile et intention et intimement lié à la psyché
Interprétation c’est une lecture.
Quels sont les signes, les symptomes qui vont nous permettre de poser le diagnostic de névrose
obsessionnelle ?
- Les malades sont préoccupés par des idées auxquels ils ne s’intéressent pas :
- Les idées s’imposent à eux : Pensées intrusives
- Impulsions qui paraissent bizarre et absurde.
- L’exécution des actions ne leurs procurent aucun plaisir mais la personne ne peut s’empêcher de les
exécuter.
- Activité intellectuelle intense
- Épuisement suite à cette activité : « je veux arrêter de réfléchir »
- Symptôme au niveau de la pensée
- Non exécution de ses pensées
Quand leur ressources psychique n’arrive plus a gérer le conflit psychique cela va se traduire par des actes
La pensées c’est comme une sorte de broderie qui se tissent et qui s’emmêlent.
Le but est de retrouver constamment le fil conducteur.
Tant que les idées se limite à la pensées on est bon, sinon on se retrouve dans un autre registre.
C’est ces repères qui vont nous permettre de faire des diagnostics cliniques
L’écoute, qu’est ce que l’on écoute ?
Le symptôme, les actes manqués et les rêves, sont des manifestations de l’inconscient
Le symptomes à un sens, un mode de manifestation et un contenu, il est étroitement lié à la vie psychique du
malade.
Le mode de manifestations du symptôme est différent d’une névrose à une autre, d’une structure à une autre.
La névrose obsessionnelle:
• Maladie moins spectaculaire que la névrose hystérique
• Il n’a pas de manifestations somatique
• La maladie relève du domaine privé du malade
• Les symptômes se manifestent dans la sphère psychique
• Toute manifestation ou comportement de sa part qui fait écho à cette impulsion, il le prend pour une
réalisation
• C’est toujours l’un ou l’autre des facteurs qui va dominer le tableau clinique et qui va donner le nom à la
maladie.
• Le déplacement du symptômes est un des principaux caractère de la maladie.
• La fonction du doute dans la névrose obsessionnelle est un doute qui s’attache aux choses les plus
certaines.
• Traits contradictoires de caractères qui rend l’orientation difficile
Le sens de l’action obsédante est lié à un événement réel qui à eu lieux dans la vie de la patiente et qui lui est
revenu sous forme de souvenirs. Dix ans auparavant, le jour de sa nuit de noces, le mari n’a pas pu honoré
son épouse.
À travers cette action obsédante, par identification au mari, la patiente rejoue la scène de cette nuit de noces.
Elles répète la scène significative et traumatisante.
En rejouant cette scène et l’a complétée, corrigée. Elle corrige aussi l’impuissance du mari.
Freud fait dans un premier temps une distinction entre un cérémonial et un cérémonial pathologique.
Le cérémonial est empreint de rigidité et sa réalisation demande un nombre de sacrifices.
Le patient fait preuve d’une minutie exagérée et essaye de justifier ses actes par des raisons rationnelles.
Les deux cas cités par Freud illustre que les deux patientes sont restées fixées à un certain fragments de leur
passé.
Chapitre 18: Rattachement à une action traumatique : L’inconscient.
- Freud reprend les deux cas du chapitre 1è en abordant leur rattachement au passé.
- C’est des actions passé qui emprisonnent les patientes (du futur)
- Les névroses sont fixés au moment de l’action traumatique
- Chaque névrose comporte une fixation/ mais pas chaque fixation conduit à la névrose
- Perte d’interêt pour le présent et le futur <=> fixation lors de l’action traumatique
Une des questions que se pose Freud dans ce chapitre est comment est ce qu’on tombe malade?
Dans les deux cas qu’il à présenté, ce qui est évident est que les deux malades sont restés attaché à un
fragment de leur histoire.
Pour le premier cas la malade est restée fixée à cette nuit de noces ou le mariage n’a pas pu être consommé.
Elle a développé des symptomes sous forme d’action obsédante dont elle ignorait le sens. Freud est partie du
principe que ces symptomes exprimaient quelques choses et qu’il fallait trouvé ce sens caché.
Dans le deuxième cas la patiente présente des symptomes sous formes de rituels. Le sens de ce rituel lui
échappe et l’analyse à permis de faire le lien entre ses actes et ce qui à pu les produire.
Le père en tant qu’objet oedipien. La patiente est fixée à une partie de son histoire infantile au moment du
complexe d’oedipe.
Pour répondre à la question de comment s’est produite la maladie ou la névrose chez ces deux patientes.
Il introduit son exposé par une analogie entre les névroses traumatiques et les névroses spontanées.
Les névroses traumatiques sont un type de névrose ou l’apparition des symptômes est consécutives à un choc
émotionnel lié à une situation ou le sujet à senti sa vie en danger.
Dans ce cas suite à un événement réel qui menace la vie de la personne et qui provoque un choc émotionnel,
la personne va développer un ensemble de symptômes dont les contenus sont déterminés par ce traumatisme.
Pour Freud est considérée comme traumatisme tout événement qui en l’espace de peu de temps apporte dans
la vie psychique un surcroit d’excitation.
Le sujet à une difficulté à supprimé ou à assimilé ce surplus d’excitation par les voies normales. Ce qui a
pour effet de perturber l’énergie pulsionnel (énergie).
Première expérience:
Un malade que l’analyste souhaite libérer de ses symptômes, lui oppose une résistance violente, qui persiste
pendant toute la durée du traitement.
Affirmer cela au malade qui ne se rend pas compte de tous les phénomène de la résistance qu’il présente,
ainsi qu’à son entourage, paraîtrait invraisemblable.
Cette résistance du malade se manifeste sous des formes variées, souvent difficile à reconnaître: cela
s’appelle se méfier du médecin et se mettre en garde contre lui.
L’exemple donnée par Freud pour illustrer cette résistance est celle du patient qui bien qui souffrant d’une
rage de dent, oppose une grande résistance au dentiste.
- Deuxième injonction: écarter toute critique, quelle qu’elle soit, dirigée contre ce qu’il trouve et qu’il serait
tenté d’exclure.
- Et enfin rappeler au patient que le succès et surtout la durée du traitement dépendent de la fidélité avec
laquelle il se conformera à cette règle fondamentale de l’analyse.
2 règles:
Libre association: Tout dire dans l’ordre ou ses pensées se présentent à lui
Abstinence: Le patient ne peut pas faire le passage à l’acte ( par rapport au thérapeute)
Chapitre 20: Sexualité, sexualité infantile et perversions:
Aucun signe ne permet d’affirmer que les différentes manifestations de la sexualité infantile sont de nature
sexuelles et ce jusqu’a l’âge de 3 ans.Contrairement aux perversions sexuelles des adultes qui elles sont
palpables et ne prêtent à aucune confusion (elles sont bien le signe d’un processus sexuel).
Le lien qui existe entre sexualité infantile et la perversions c’est que dans les deux cas de figure, la sexualité
et la procréation ne coïncident pas.
Pour Freud le sexuel n’est pas le génital, le génital à pour but la procréation alors que le sexuel à pour but
une satisfaction.
Dans la sexualité infantile les tendances sont au départ auto érotiques. Les tendances sadico-anale sont une
organisation prégénitale. Cette organisation est la dernière phase qui précède celle où s’affirme le primat des
organes génitaux (d’abord le primat du phallus).
Pendant la période de latence le développement sexuel subit un temps d’arrêt ou de ralentissement (6 à 8 ans)
c’est lors de cette période que la plupart des événements et tendances psychique sont frappés d’amnésie
infantile. Ces oublis sont l’effet du refoulement.
Il y’a refoulement car il y’a une nouvelle information qui s’intègre, et va y donner une interprétation
nouvelle et un affect associé.
Freud donne l’exemple des névroses de transfert (névrose obsessionnel, névrose hystérique) ou on retrouve
ces deux sortes de régression. Ce que l’on retrouve le plus souvent chez les névrosés c’est une régression
vers les objets oedipiens.
Dans le chapitre 22 Freud insiste et nous mets en garde contre le fait de faire une confusion entre la
régression et le refoulement.
La notion de refoulement n’a aucun rapport avec la notion de sexualité.
Le refoulement: C’est un processus grâce auquel un acte susceptible de devenir conscient. (faisant partie de
la préconscient) devient inconscient.. Ou encore lorsque un acte psychique inconscient par l’intermédiaire de
la censure ne réussit pas à devenir conscient ou intégrer le registre du préconscient. La notion du refoulement
est une notion spatiale.
Pour Freud les hommes deviennent des névrosés lorsqu’ils sont privés de satisfaire leur libido, et que les
symptômes viennent remplacer chez eux la satisfaction qui leur ai refusée. La privation est une condition
importante à l’étiologie des névroses. Mais alors de quelle privation s’agit-il?
Freud donne une articulation entre la fixation et la privation afin de donner une explication à l’étiologie des
névroses » la fixation de la libido constitue dans l’étiologie des névroses, le facteur prédisposant interne, et la
privation le facteur accidentel, extérieur.
Ceci à pour conséquence que le patient n’aura plus l’énergie psychique nécéssaire à l’exécution des taches de
la vie quotidienne.
La production de fantaisies:
Les évènement infantiles dégagés par l’analyse ne sont pas toujours vrai ni tout à fait faux.
- Quel est donc la fonction du fantasme dans la production des symptômes ?
- Quel est sur le plan technique l’attitude à adopter face aux évènements racontés par le patient?
Dans le monde des névrosés c’est la réalité psychique qui joue le rôle dominant.
Chez l’enfant ses productions imaginaires lui permettent e réaliser ses désirs mais sous une forme qui prend
en compte l’épreuve de réalité.
Freud donne comme exemple, des productions fantasmatiques, les rêves éveillés.
Pour Freud les rêves éveillés sont le noyau et le prototype du rêve nocturne.
Les rêves éveillés peuvent être soient conscient ou inconscient.
Ces rêves éveillés inconscients peuvent être à la source aussi bien du rêve nocturne que symptômes
névrotique.
C’est le rôle que joue la fantaisie dans la formation
C’est grâce aux représentations qui continuent d’exister au niveau des fantaisies.
Ces représentations qui jouissent de tolérance par le moi tant que la quantité d’énergie et la poussée de la
pulsion ne pousse pas à la réalisation.
Pour les facteurs étiologique de la névrose il est important d’introduire la quantité d’énergie donc le point de
vue économique.
Freud avance que le conflit psychique n’éclate qu’a partir du moment ou le sujet atteint une certaine
intensité.
Les prédispositions humaines sont qualitativement identique et ne diffèrent entre elles que par leur
proportions quantitatives.
Freud précise qu’il nous donne un éclairage sur la névrose hystérique et la formation du symptômes quant à
la névrose obsessionnelle, les grandes lignes sont les mêmes mais avec une variation.
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Nota Bene:
*Selon Freud il est impossible d’éduquer, de gouverner, et de psychanalysé.