Psychologie dynamique

Table des matières

Introduction ............................................................................................................................................. 1
Le sujet de l’inconscient .......................................................................................................................... 4
Après Freud ............................................................................................................................................. 5
Ego-psychology ...................................................................................................................................... 10

Introduction
La psychologie dynamique désigne l'étude et la compréhension de l'être humain dans sa
globalité en rapport avec son environnement et son entourage. Lors des séances de thérapie,
la psychologie dynamique s'appuie essentiellement sur la parole du patient qui doit y
participer de façon active.

Cette méthode tient compte des énergies internes et/ou externes qui orientent les choix du
sujet (souvent de façon inconsciente). Elle utilise les relations entre les personnes qui
composent un groupe de patients pour permettre la prise de conscience et le changement de
comportement des patients.

Symbolique (A) : côté du langage

➔ Perception de l’image, du regard, du mouvement
➔ Travail d’appropriation de cette image
Si nous n’avons pas le système de parole qui entoure l’image, nous ne pouvons pas percevoir
notre corps. >< animaux perçoivent leur corps sans la parole

Imaginaire (Q) : côté du miroir

Exemples :
- Enfant boit le lait au sein -> échange de regards -> désir de la mère : pas que du lait,
aussi du de l’amour, être proche, etc.
- Enfant autiste face au miroir ne se regarde pas, ne répond pas quand on l’appelle.
- Anorexie : pb pas seulement lié à la nourriture, il y a qqch de plus.
« Anorexie mange le vide/le rien » : manger est un acte

Tous nos discours viennent d’une opposition à un discours de qqun d’autre. Enfant essaye de
comprendre et chercher la limite de l’autre, « où je peux me mettre pour m’affirmer en tant
que sujet ? »

1
Jacques Lacan
« Parfois on est des étrangers à nous-mêmes » - rêves qui nous font peur, qui nous
angoissent

Grand autre - Lieu de la parole, le langage, la subjectivation - côté symbolique de l’être

humaine

Ordre symbolique : est le système de signes dans lequel l’homme se trouve plongé et il
formerait l’inconscient.

➔ Via la demande ça passe le désir de l’autre.

* Comment on peut se positionner face à parole des autres ? Face au désir des autres ?

NEVROSE PSYCHOSE

Personne consciente de sa maladie et pas Personne pas consciente de ces troubles et

d’altération avec la réalité perd contact avec la réalité
Ex : entendre des voix → certitude (=utilise
* Étude du Miroir : enfant prend conscience les paroles)
de son corps, à apercevoir son image dans
le miroir et commence à le distinguer des
autres corps - cette réflexion cherche à * Schizophrénie
préciser comment la conscience de soi se
crée et fonctionne à partir de son image
spéculaire.

* Complexe d’Œdipe : concept * Paranoïa

psychanalytique théorisé par Sigmund
Freud - désir inconscient d'entretenir un
rapport sexuel avec le parent du sexe
opposé, et le désir d'éliminer le parent rival
du même sexe.

Psychologie doit s’adapter car l’être humain change. Société change.

Société de fin 1800 est assez rigide. Pas toujours d’accord (classe moyenne ou aristocratie)
avec les scientifiques.
Evènement culturel allemand « tempête et passion » -> façon d’expliquer par la culture un
autre monde des possibles.
Baudelaire allait contre l’opinion de la société.

Evolution de la médecine psychiatrique :

- Cesare Lombroso

- Mesmer → mesmérisme = pratique : faire boire poissons aux patients et faire bouger
le liquide (magnétisme animal)
Pas de psychiatres à l’époque

- Jean Charcot (fin 1800) – Utilise une technique différente = hypnose

Contexte culturel faisait qu’un homme ne pouvait pas montrer ses faiblesses, donc que
femmes étaient considérées comme hystériques. Pas de raisons biologiques donc
médecins pensent que ça vient d’elles.
Hypnose efface la partie consciente, la partie visuelle → essayer de chercher qqch pas
à travers la parole consciente.
Après, toujours des symptômes mais moins graves que ceux qu’il y avait avant
l’hypnose.
On peut se permettre d’interroger la médecine officielle. Charcot arrive à dire qu’il y a
qqch qui se joue mais pas dans le domaine du visible.

Hypnose et Hystérie

La présence d’une extrême variété de symptômes qui ont en commun le fait de ne

correspondre à aucune logique identifiable sur le plan neurologique, et de disparaître
sous l’effet de la persuasion.

L’hystérie était alors exclusivement considérée comme une affection de la femme. La

conception de l’hystérie, maladie de la femme insatisfaite, s’inscrivait fort bien dans le
machisme de l’époque.

Monsieur Charcot avait en effet découvert l’hypnose et l’appliquait en public pour faire
disparaître les troubles allégués, au terme d’une crise que la suggestion déclenchait.
L’hypnose efface la partie conscient (visuelle) et essaye de chercher quelque chose au-
delà de la parole consciente.

L’hystérie obéit à des lois - Traumatisme - Rapport entre hypnose et hystérie, modèle
psychique à deux étages

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Le sujet de l’inconscient

Sigmund Freud (1856-1939, Londres) – Médecin

➔ Père de la psychanalyse → découverte du concept de l’« inconscient »

1er cas de Freud - ami à lui, consommateur d’héroïne :

- Essaye de guérir son ami en lui donnant de la cocaïne (info à vérifier).
- Commence à s’interroger différemment sur sa pratique.
- Prend connaissance de la technique de l’hypnose de Charcot. Passe un peu de temps à
l’hôpital et revient à Vienne, mais se rend compte que l’hypnose ne marche pas.
Hypnose ne permet pas à la personne de se rendre compte de ce qu’elle est en train
de dire, de s’en rappeler.

« L’interprétation des rêves », Freud (1900) → 1ère idée scientifique autour de ce sujet
= 1ère structuration de la pensée non consciente

1er topique : Système 2ème topique : Instances (1920)

• Inconscient : partie obscure • Ça : domaine pulsion – orifice

• Préconscient : partie de transition buccal, pas de règles, etc.
• Conscient : partie en contact avec • Surmoi : juge moral, « NON »
réalité • Moi

Système communique entre ces 3 éléments.
Processus d’aménagements.
Freud continue à voir des cas pour lesquels
ce système ne convient pas.
= théorie de base des écoles de psychologie
Freud se rend compte qu’à travers la parole,
on peut faire « marche arrière » = voir qqch
qui se présente au niveau du Moi mais dont
l’origine provient du Ca.

Libre association

Technique → Laisser la personne faire des liens, même si son discours n’a pas de sens.
Nous n’avons pas la possibilité d’y rentrer mais possibilité de questionner.
« Parle de ce que tu veux »

Vu que le Moi ne fait pas ce que Ça veut → culpabilité

Ex : je fais un rêve « je coupe avec un couteau qqch que je ne vois pas. Cependant, je vois
que qqun me regarde. Ça me fait penser au fait que je pratiquais le basket et que mon père
me regardait. Je me suis bloqué un jour sur le terrain à cause de ça. Puis, plus tard dans ma
vie, j’ai eu un chef et je checkais s’il me regardait. ». Puis le psychanalyste demande « donc
l’action n’est possible que si qqun vous regarde ? ». Réponse du sujet « oui. »
 = Symptômes
Es ou Ça Surmoi Moi
↓ ↓ ↓ Façon subjective et particulière d’être dans le
Pulsion Jugement Interaction monde
avec le Résultat des mouvements inconscients et qui est
monde déchiffré à travers la libre association

Libre association

Dans la psychose, ce schéma est moins structuré → Ne veut pas dire que les psychotiques ne
trouvent par un fonctionnement à travers le délire.
Mécanismes névrosés : « je suis coupable donc je me flagelle »

Les concepts Freudiens :

- Théorie de la sexualité
- Complexe d’Oediepe
- Symptômes
- Libres associations

Après Freud

Anna Freud (1895-1982)

➔

« Le Moi et les mécanismes de défense » (1936)

- Se concentre sur le Moi
- Dit qu’il faut se concentrer sur les mécanismes de défense
- Considère qu’il est difficile d’interpréter chez les enfants
- Permet de construire la théorie « Ego psychologie » (années 50 aux USA) qui nie la vie
inconsciente de l’être humain
Considérée comme la première psychanalyste à ouvrir le chemin de l’Ego Psychologie

Mélanie Klein (1886 – 1960) – Psychiatre, psychanalyste, pédagogue

- Était stagiaire dans l’endroit où travaillait Anna Freud en tant que médecin.
- A une pensée différente d’Anna Freud → nous pouvons travailler avec les enfants.

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 • Théorie du jeu : l’enfant n’a pas le même accès à la libre association que les adultes,
mais le jeu de l’enfant est une façon de symboliser la réalité autour de lui
→ relation avec sa mère, avec son corps, avec lui-même, avec ses relations avec le
monde externe
Le jeu donne la possibilité aux enfants de s’exprimer comme avec les libres
associations = moyen d’exprimer l’angoisse.

• Théorie des relations objectuelles : les objets, selon Freud, sont les éléments faits
pour expliquer la construction des éléments Ca/surmoi/moi (processus de
maturation). L’objet de l’enfant est l’élément fondamental pour se structurer
(construire un corps, une personnalité) et pour commencer à relationner avec le
monde.
Selon Klein, le monde objet de l’enfant et le Moi est déjà présent avant la naissance.
Elle dit que c’est presque une capacité innée.
Objet Kleinien = Tentative de symboliser les choses de l’instinct que l’enfant peut
utiliser pour se construire et pour permettre à l’enfant même de gérer ses angoisses
(mort, destruction corporelle. L’enfant utilise la relation d’objet car il y a déjà une
pulsion de mort chez lui.

« Au-delà du principe du plaisir », Freud (1920) : reconnait qu’il y a un principe de plaisir dans
la vie humaine mais un au-delà aussi. Pour la première fois, il dit qu’il y a une récurrence dans
les symptômes. Lui fait penser que l’être humain a un noyau auquel il est attaché et qui est lié
à la souffrance. Tendance à se faire du mal lui-même.

Avant la naissance (dans le ventre de la maman), l’enfant combat ses pulsions et ses angoisses
comme la faim, la soif. Donc il commence à construire des objets dans son corps et commence
à construire une relation avec son Moi et ce qu’il y a hors de son Moi.
Ex : L’enfant a faim → ventre qui lui fait mal et lui demande à manger (objet) → pour éloigner
le danger (l’angoisse) de son Moi, il utilise l’objet pour attribuer à l’objet la pulsion de mort
donc la culpabilité de se désintégrer.
+- conscientiser que cette souffrance ne vient pas de lui mais de son estomac

Ces objets sont en relation avec le Moi : à travers ce processus de déplacement de l’angoisse,
je peux éloigner ce noyau primitif de moi. Equilibre constant.

2 moments clefs – 3 mécanismes :

1) 1ère étape - Schizo-paranoïde

= Enfant construit tout une série d’objet autour de lui (relation entre lui et le monde)
mais pas encore capable de dominer ses instincts.

Schize (grec) = diviser en 2

L’enfant a faim → pleure → lait DONC enfant commence à s’approprier le corps de l’autre. La
représentation qu’il a, la partie de l’objet (souffrance) est envoyée à la mère et l’autre partie
de l’objet il peut le garder chez lui.
Paranoïde : présence d’attitude de méfiance car objet peut se retirer (méfiance de savoir si le
sein va revenir, si ce sera le même sein, etc.)

→ Trois mois de vie. L’enfant est en relation avec des objets partielles. Dans cette phase
l’enfant utilise l’objet pour projeter sur lui les bonnes et le mauvaises sensations (bonnes
intérieur/mauvaises extérieur) et dans ce mouvement il essaie de protéger son Moi.

2) 2ème étape – Dépressive

= Enfant commence à se situer parce qu’on parle encore d’objet mais il commence à
l’intégrer globalement hors lui.

Dépressive parce qu’il comprend que ce n’est pas grâce à lui qu’il y a les objets (ça ne dépend
pas de lui). C’est la mère qui domine la scène, pas lui. Il dépend d’elle.

→ 4/6 mois de vie. L’enfant commence à vivre la présence du positif et du négatif sur le
même objet. Il vit la sensation que l’objet aimé puisse disparaître.

➔ Identification projective (résumé final de la théorie de Klein)

Nous y sommes confrontés tous les jours de notre vie.

Transfert Contre transfert

Chacun de nous envoie des choses à l’autre
(choses de notre vécu personnel)
A n’importe quel âge, à n’importe quel
moment
= déplacement de mes émotions sur l’autre
Réponse émotionnelle/pulsionnelle qui
passe du sujet qui reçoit le transfert à
l’autre

Déf. : En psychanalyse = projection Déf. : réaction inconsciente que ce dernier

émotionnelle de l'analysé sur la personne aura vis à vis de son patient et en réponse à
du thérapeute. ce transfert.

Exemple : la personne vient au service social en demandant du travail. L’AS fait des propositions
mais elles sont toutes refusées. La personne trouve des explications pour tout ce qu’elle refuse.
La personne finit par sortir en disant à l’AS qu’elle ne sait pas faire son travail.
➔ AS commence à sentir tous les éléments négatifs que la personne a rejeté sur lui. Il
commence à culpabiliser.
➔ Il pense que la personne est mise à mal à cause de lui

Si culpabilisation → IDENTIFICATION PROJECTIVE

= Mécanisme à travers le quelle une personne (ex : soignant, AS, psychologue) peut arriver à
s’identifier à l’objet projeté par le patient/usager.

Tous ces éléments sont faits pour créer un lien de confiance entre l’usager et nous.

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 A connaître
Analyse du jeu des enfants Stades de développement
Découverte de la position préœdipienne Fonctionnement à travers les objets introjectés
Position schizo-paranoïde et dépressive et projetés
Phénomène de l’identification projective

Donald Winnicott (1896-1971)

Il dit que nous pouvons aussi nous concentrer sur les adultes, pas que sur les enfants.
Ecole de la relation d’objet (// Mélanie Klein)

Klein dit que tout est dans les mains de l’enfant. Winnicott prend en compte l’entourage, ce
qui peut stimuler l’enfant.

• Valorisation des caractéristiques des objets externes : 1ère critique de Klein

Il y a aussi les objets externes ! Ex : la maman → elle peut répondre de façon adéquate aux
besoins de l’enfant. (Pas forcément que la maman)
Il faut comprendre les relations entre la mère et l’enfant.
Si l’enfant est capable de créer des objets internes, c’est parce que qqun à l’extérieur qui lui a
permis de le faire (création de relations plutôt stables avec le monde extérieur).

Nous pouvons faire un parallèle avec le thérapeute → remettre un peu de lien, réaménager

➔ Importance de la figure de la mère

➔ Relation mère/enfant

• Phases du développement : 3 étapes pour devenir adulte

Totalement dépendant de l'Autre

Mère + enfant = élément unique (s'appartiennent l'un à l'autre)
Mère capable de prévoir les besoins de l'enfant (compréhension
Dépendance empathique = holding) → préoccupation empatique/maternelle primaire
Absolue Mère "suffisamment bonne" : possibilité de se tromper, pas reproduire
l'erreur. Donner la possibilité de ne pas sentir l'angoisse
Holding+SB = début construction du Moi

Moment où enfant commence à se rendre compte qu'il est dépendant de

Dépendance sa mère et de tous les soins qu'elle lui donne
Relative
 Si mère ne répond pas aux besoins → enfant ressent de l'angoisse car
doute du fait qu'il pourra survivre
Enfant s'identifie aux actes de sa mère - ex : répondre avec sourire →
remarque qu'il y a son Moi et le non-Moi (Autre)

(Vers) « Vers » car indépendance n'est jamais absolue. Toujours avec qqun, nous
Indépendance demandons de l'aide. - Ex : besoin de parler, etc.

Qui peut aider à passer les différentes étapes ? La mère.

Nous évoluons comme ça mais il est possible que nous retombions « en arrière » (maladie,
perte de boulot, etc.)

• Le Soi et le Moi

1er psychanalyste qui a parlé du Soi.

Soi [soi central] = ensemble de toutes les attitudes, les possibilités, les prédispositions à
construire une image du corps. → Génétique, KK héréditaire
Résumé : personnalité globale de qqun.
Il peut se développer à travers les rencontres de vie → Interaction entre le sujet et son
entourage

Une fois que le Moi est suffisamment développé, l’enfant aura conscience de son Soi
personnel.
Il y a le Moi, mais aussi l’environnement. Une fois que l’environnement commencera à
reconnaitre des possibilités, etc.

Moi = Organisation de la réalité psychique de la personne qui lui permet de penser « je

suis », càd de se vivre en tant qu’unité subjective
➔ Non-moi : monde extérieur, au-delà/différent de moi

« Le Moi n’est pas patron/chef/maître chez lui ». Pourquoi ? Base de l’expérience freudienne
(actes manqués, lapsus, rêves) = donner l’intégrité à l’être humain.

Moi
Le Moi organise le Ca et le Surmoi selon Winnicott

Ça Sur-moi

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 • Développement des fonctions psychiques

Lié à trois processus fondamentaux :

1) Intégration (HOLDING) : personne sensée intégrer qqch de sa réalité psychique.

Acte de l’enfant doit correspondre à l’acte de l’Autre
Si fonction holding est niée, l’enfant peut avoir une sensation de :
o Tomber pour toujours (pas soutenu par l’Autre)
o Être sans aucune relation avec le corps : dissociation de son corps pour éviter
l’angoisse qu’il ressent
o Être sans orientation (perdu)
= Organisation qui permet au sujet de dire « je suis »

2) Personnalisation (HANDLING) : possibilité d’acquérir un chemin corporel et

l’installation du psychisme dans le corps

3) Relation d’objet : construction de la relation avec l’Autre à travers l’usage d’un objet
privilégié et qui lui permet de gérer l’angoisse face à la distance avec la mère.

Ego-psychology
“Psychologie du Moi” – USA, période après années 50

[Auteurs non abordés au cours : Erikson Erik, Ernst Kris et Rudolph Loewenstein]

Heinz Hartmann : « Psychologie du moi et problèmes d’adaptation » (1939)

- Hartmann fuit l’Allemagne pour aller à Londres. Il le traduit en Anglais.
Pas de circulation du livre étant donné que nous sommes en période de 2ème GM.
1946 : Livre commence à circuler à nouveau.
1958 : Commercialisé aux USA → succès énorme dans la société américaine
- Autonomie primaire de la fonction du Moi : selon lui, le Moi et ses fonctions ont une
autonomie primaire, càd que le moi ne répond pas au Ca et au Surmoi.
Indépendant des autres instances.

• Collaborer avec la partie du moi libre des conflits

• Moi en tant que productif, projeté vers la plénitude de la vie
• Adaptation à la réalité
• Moi protégé par les défenses conscientes