Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
I. Cadre du projet
Dans le cadre du financement additionnel du programme de réhabilitation des quartiers défavorisés financé
par la Banque Mondiale à travers la Caisse des Prêts et de Soutien des Collectivités Locales, le quartier de la
Liberté dans la Commune de Tinja – Gouvernorat de Bizerte a été choisi pour se bénéficier d’une intervention
d’amélioration de l’accès aux services de base des citoyens par la construction, la réhabilitation et l’extension
des réseaux d’infrastructures.
Situation du projet
Tinja est une ville du nord de la Tunisie située au bord du lac Ichkeul. Son nom dérive de celui de la cité
antique de Thimida.
Comme Menzel Bourguiba dont elle n'est distante que de quatre kilomètres, Tinja est située dans
l'isthme séparant le lac Ichkeul et le lac de Bizerte relié à la mer Méditerranée. Son nom est issu de l'oued
Tinja qui se jette dans le lac tandis qu'un canal de cinq kilomètres barré d'une écluse éponymes règlent les
échanges d'eau entre le lac d'eau douce et la lagune d'eau salée.
En effet, l'écluse ouverte l'hiver permet les échanges entre les deux milieux, notamment pour maintenir un
degré de salinité suffisant des eaux du lac afin d'éviter l'atrophie de la faune et de la flore. Des pêcheries sont
exploitées au niveau du canal.
Une importante zone industrielle est implantée et devrait profiter de la réfection de la route qui relie Tinja à
Menzel Bourguiba puis qui rejoint l'autoroute Tunis-Bizerte(A4).
Le terrain à la bordure de la RN11 qui est l’artère principale de la ville de Tinja n’est pas encore construite.
C’est Quartier construit d’une façon anarchique avec des impasses, des voies étroites, des largeurs
irrégulières, la qualité du bâti est moyen à médiocre avec des logements de types dar arbi, jumelé, en bande,
villas
Données du projet :
Lève topographie
Classe du trafic
Rapport géotechnique
Plan du quartier
Morphologie :
A part les voies principales du Quartier, le reste des voies forment un tissu urbain complètement désordonné
avec une voirie d'emprise variable, de largeur étroite. Les axes principaux ont subi à l’époque une intervention
partielle de revêtement en bicouche qui est actuellement fortement dégradé.
Nous avons constaté l'existence des terrains non construit qui limitent ce Quartier, la moyenne de surface par
logement est de 300m² ce qui génère une densité moyenne de l’ordre de 33 log/ha. Les logements sont en
majorité en RDC.
Typologie :
La typologie de logements rencontrée dans le quartier est partagée entre la Dar Arbi, jumelé et des logements
populaires avec un pourcentage faible de villa. La moyenne des superficies des logements est de l’ordre de
300 m²/Logements, la densité des logements est de l’ordre de 33 logts/Ha. La qualité du bâti rencontré sur les
lieux est en moyenne à médiocre.
Espace vert :
Il n’existe pas des espaces verts aménagés, ni prévus dans ce quartier, dont l’impact est atténué par la présence
des terrains non construits dans le Quartier.
Vu l’existence des terrains vierges, il sera utile de prévoir quelques aménagements pour annuler ce manque.
Mois S O N D J F M A M J Jt A Total
P en % 6,6 13,1 13,5 12,8 14,2 12,2 10,2 8,4 5,3 2,0 0,5 1,5 100
1. Température
Les données sur les températures moyennes mensuelles maxima et minima, figurent dans le tableau suivant :
Caractéristiques S O N D J F M A M J Jt A Année
Mens moyen 23,7 18,9 14,6 11,6 11,1 11,2 12,2 14,3 18,2 22,6 25,4 26,4 17,5
Max °C 46 40,5 35,0 31,0 30,0 32,0 32,0 36 45 45 50,2 47,2 50,2
Min °C 8,5 3,0 1,2 -2,0 -3,0 -3,5 -3,5 -2,0 2,0 5,2 8,0 8,9 -3,5
2. Les vents :
Les vents sont généralement forts. Les vitesses inférieures à 1 m/s ne sont enregistrées que pendant 58 jours
par an alors que les jours de calme sont rares. Les vents dominants (200 jours par an) sont du secteur Nord-
Ouest et sont le plus souvent générateurs de pluies. Les vents du Sud soufflent pendant une cinquantaine de
jours par an et sont chauds et secs. Les vitesses moyennes et maximales instantanées du vent, enregistrées à la
station de Bizerte SM sur une période de 53 ans (1950-2003) sont indiquées dans le tableau suivant :
Mois S O N D J F M A M J Jt A Moyenne
Vitesse
moyenne 3.3 3.1 3.2 3.5 3.6 4.0 3.8 3.9 3.7 3.8 3.8 3.4 3.6
(m/s)
Vitesse
maximale 10.7 10.4 10.7 11.1 11.4 12.4 11.8 12 11.3 11.3 11.1 10.7 11.2
instantanée
(m/s)
Tableau 4 Vitesse moyenne et vitesse maximale instantanée du vent (1950-2003) Source : INM
Chapitre 2 : Etude hydrologique
I. Introduction
L’étude hydrologique est une partie très importante dans le calcul d’un réseau d’assainissement. Cette partie prend
toute son ampleur lorsqu’il s’agit de déterminer la quantité des eaux pluviales d’un bassin donné. Pour une étude
hydrologique, qui a pour but le dimensionnement d’un réseau de collecte et d’évacuation des eaux pluviales
En se basant sur les étapes de l’organigramme suivant pour atteindre le but de cette étude
Formule
Méthode
superficielle
rationnelle
(Caquot)
Débit de pointe
Débit de projet
II. Délimitation des bassins versants
Le bassin versant se définit comme l'aire de collecte qui recueillie les eaux de ruissellement, il concentre vers
le point de sortie appelé exutoire. Un bassin versant est caractérisé par sa surface, sa pente moyenne, sa
longueur hydraulique et son coefficient de ruissellement.
La délimitation des bassins versants se fait par Googl earth et en parallèle par Global Mapper.
Délimitation des bassins versants élémentaires, cette étape consiste à subdiviser le plan en sous bassins
élémentaires de l’amont vers l’aval.
Avant de commencer notre délimitation nous avons définissons le sens d’écoulement des eaux pluviales par
Global Mapper.
La surface A
La surface du bassin versant est la première et la plus importante des caractéristiques. Elle s'obtient par planimétrage
sur une carte topographique après que l'on y ait tracé les limites topographiques. La surface A d'un bassin s'exprime
généralement en km2.
1. La pente :
La pente moyenne de chaque bassin versant est estimée selon l'expression suivante :
Le coefficient de ruissellement exprime le rapport du volume ruisselé sur un bassin au cours d’eau d’une averse au
volume précipité
En zone rurale
Le coefficient de ruissellement dépend de la pente du bassin et de la nature des terrains rencontrés. On peut adopter
en première approximation les coefficients suivants
En zone urbaine
Le coefficient de ruissellement est assimilé au taux d’imperméabilisation (le rapport des surfaces imperméable aux
surfaces totales)
Projet routier :
Avec :
12 | P a g e
IV. Calcul le débit de pointe
Le débit de crues du projet est utilisé pour la conception et le dimensionnement des ouvrages
de protection contre les inondations. Le débit de crue est déterminé pour les périodes de retour
de 50 ans.
Cette méthode est le plus fréquemment utilisée pour calculer les débits maximums d'un
bassin versant urbain.
13 | P a g e
La formule est exprimée ainsi :
1 v 1 w
Q brute =K u × I u × C u × A u
Avec :
Qbrute : Le débit brut en m3/s de période de retour T.
I : la pente moyenne du bassin versant en m/m.
C : le coefficient de ruissellement.
A : la superficie du bassin versant en ha.
K, u, v et w dépendent des coefficients des Montana a et b :
Les coefficients de Montana a et b dépendent de la région géographique et de la période de
retour. Pour la détermination des coefficients de Montana a et b, on s’est référé aux courbes
IDF de la station pluviométrique la plus proche de la zone d’étude : la station de Bizerte SM.
Le tableau suivant donne les valeurs des paramètres de Montana pour cette station :
Comme d’habitude on calcule les paramètres K, u, v et w qui dépendent des coefficients des Montana
a et b et les paramètres d’ajustement .Les coefficients de Montana sont a=42.88 b=−0.752
1 v 1 w
Q P=m × K u × I u ×C u × A u
Avec
M : allongement de BV
14 | P a g e
( )
b
0.5
K= a×( )
6.6
U =1−0.287 × b
V =−0.41× b
W =0.95+0.507 × b
L
M=
√A
Paramètres Période de retour T=50ans
a 42.88
b -0.752
K 10.94
1
7.11
Ku
u 1.22
v 0.31
w 0.56
X -0.52
L
M=
√A
Avec
A : La surface du bassin en (m2)
L : Longueur du plus long cheminement hydraulique en(m)
Pour tenir compte de la forme plus ou moins ramassée des sous-bassins, un coefficient correcteur m est
appliquée au calcul des débits. Ce coefficient m est déduit du coefficient d’allongement du bassin M exprimé
d’après une formule basée sur la surface et le plus long parcours hydraulique du sous-bassin
puis l’obtention du coefficient correcteur (m) est tiré par l’application de la formule
suivante :
15 | P a g e
X
M
m=( )
2
BV1-EP1 : (EXEMPLE)
Calcul des débits bruts
0.25 0.82 0.46
Qbrute =7.11 × I ×C ×A
3
Qbrute =… … … 2.82 … … m /s
Avec
M X
m=( ) ; X =…−0.52 … .
2
L
M= =… … 1.642 … …. . m=…1.108 . .
√A
3
Q p=Q brute ×m=… …3.134 … … … … . m / s
BV1-EP2 :
Calcul des débits bruts
0.25 0.82 0.46
Qbrute =7.11 × I ×C ×A
3
Qbrute =… … … 2.155 … … … … … … m /s
L
M= =… 1.89 … … … m=… …1.03 … … … … …
√A
16 | P a g e
3
Q p=Q brute ×m=… … …2.219 … … … … … m / s
BV2-EP2 :
Calcul des débits bruts
0.25 0.82 0.46
Qbrute =7.11 × I ×C ×A
3
Q p=Q brute ×m=… … …3.985 … m /s
Collecteur BV A (ha) C L (hm) I (m/m) Qbrute M m 𝑸𝒑
EP1 BV1 3,27 0,9 2,97 0,004 2,828 1,642 1,108 3,134
EP2 BV1-EP2 2,01 0,9 2,68 0,0033 2,155 1,89 1,03 2,219
BV2-EP2 4,29 0,85 2,27 0,0033 2,914 1,096 1,367 3,985
BV3-EP2 1,44 0,9 1,67 0,0033 1,849 1,392 1,208 2,232
EP3 BV1-EP3 3,39 0,9 2,4 0,0032 2,72 1,304 1,249 3,398
EP5 BV1-EP5 4,96 0,9 3,14 0,0033 3,265 1,41 1,199 3,916
Le domaine de validité est donc défini par les caractéristiques de ces bassins pilotes, c’est à dire :
A 200 Ha
17 | P a g e
Les pentes doivent être comprises entre 0,2 % et 5 %
Pour l’assemblage de bassins élémentaires, le rapport de la pente maximale à la pente minimale ne doit pas
dépasser 20.
Imax 20 Imin
D’après le plan des bassins au dessus on a : ( déterminer pour chaque assemblage est ce que
les réseau sont en série ou en parallèle)
Ass1 :
Ass2 :
Ass3 :
Ass4 :
Ass5 :
18 | P a g e
Le principe de calcul d’assemblage
L’assemblage des bassins se fait selon le réseau d’écoulement proposé en vue de suivre l’évolution du
débit dans les collecteurs de l’amont vers l’aval.
Les caractéristiques équivalentes de caquot calculées à partir des caractéristiques des sous bassins
assemblés .il y a 2 types d’assemblage : soit en série ou en parallèle.
On dit que deux bassins en série quand les deux bassins ayant u même collecteur c’est-à-dire l’un verse
dans l’autre.
On dit que deux bassins en parallèle quand chaque bassin a un collecteur c’est-à-dire que les deux
bassins versent dans un autre bassin.
Ces formules qui diffèrent selon que les bassins constituant le groupement sont en « série » ou en
« parallèle », sont exprimées ci-après
Avec : L (Qp max) est la longueur du plus long parcours du bassin avant le plus fort débit de
pointe individuel
Ass1 :BV1-EP5 avec BV1-EP2
- Superficie équivalente
19 | P a g e
Aéq =∑ A j=… …6.97 … … ….. ha
- Pente Iéq
I éq=… 0.0033 … …
- Coefficient d'allongement M éq
M éq =
∑ L j =… … … 2.2 … .
√∑ A j
- Coefficients de correcteur m
X
M
m=( éq ) =… … 0.95 … ..
2
- Le débit réel
3
Q Ass1 =Q brut × m=… … 3.54 m / s … … …
20 | P a g e
Temps de concentration Tc :
Le temps de concentration est défini comme le temps que met la goutte d’eau la plus
hydrologiquement éloignée de l’exutoire pour parvenir à celui-ci, ou c’est Le temps en un
point donné ou l’intervalle de temps requis pour que le débit à ce point devienne maximum,
Ceci se produit lorsque toute la surface desservie par un puisard contribue au débit.
L’estimation de ce temps de concentration nécessite l’emploi de formules empiriques.
On cite quelques formules empiriques, qui estiment le temps de concentration des bassins
versants (PASSINI, VENTURA, KIRPICH), utilisant les caractéristiques morpho-
dynamiques des bassins.
Puisque les surfaces des différents bassins versant sont inférieures à 25 km² nous avons utilisés la
formule de Ventura :
(mn)
S : superficie en Km2
21 | P a g e
Intensité de la pluie I (T) :
L’intensité des pluies peut être déterminée par les formules suivantes :
Avec :
a, b : coefficients de Montana
S
S < 25 Km2 25 à 50 50 à 100 100 à 150 150 à 250
« Km2 »
Exemple de calcul
BV1-EP1
22 | P a g e
Collecteur BV A (ha) C L (hm) I (m/m) Tc i Qp
L I
N° Ass A (ha) C
(hm) (m/m)
Tc i Qp
Conclusion :
assemblage
debit par méthode rationelle debit par méthode caquot choix de debit
23 | P a g e
ass1 0,052 3,539 3,539
ass2 0,068 4,997 4,997
ass3 0,074 4,783 4,783
ass4 0,106 8,5 8,5
I. Introduction :
L’étude hydrologique est une partie très importante dans le calcul d’un réseau d’assainissement.
Cette partie prend toute son ampleur lorsqu’il s’agit de déterminer la quantité des eaux pluviales
24 | P a g e
d’un bassin donné. Pour une étude hydrologique, qui à pour but le dimensionnement d’un réseau de
collecte et d’évacuation des eaux pluviales, on est contraint de passer par certaines étapes qui seront
illustrées ultérieurement.
Q=V × S
Avec :
Q = Débit connu en m3 /s
S = Section recherchée en m2
Le calcul des ouvrages se, fait à l’aide de la formule de Manning Strickler. L’écoulement est
supposé uniforme, la ligne d’eau est parallèle à la ligne de pente du radier.
Avec :
Sm : surface mouillée en m²
25 | P a g e
Sm
Rh : Le rayon hydraulique en (m) avec Rh = les calculs sont effectués à pleine section,
Pm
D
alors Rh = (pour une conduite circulaire).
4
Collecteur en béton 70
[ ]
5 3
3 8
Q Ass5 × 4
D= =¿
π × K s× √I
26 | P a g e
[ ]
5 3
3 8
Q BV 1−EP 1 × 4
D= =1.360
π × K s ×√ I
Collecteur EP2(Ass3)
[ ]
5 3
3 8
Q Ass3 × 4
D= =1.651
π × K s× √I
[ ]
5 3
3 8
Q BV 1−EP 3 ×4
D= =1.462
π × Ks ×√ I
Collecteur EP5
[ ]
3
5
D= Q BV 1−EP 5 ¿ × 4 ¿ ¿ π × K s × √ I =¿1.533
8
3
On peut aussi de déterminer les diamètres des collecteurs à partir du L’abaque suivant :
27 | P a g e
Figure 6 Abaques "Réseaux pluviaux en système unitaire au séparatif"
Remarque :
Vérification d’auto-curage
Pour assurer des conditions d’auto-curage dans les réseaux d’évacuation des eaux pluviales, la
vitesse d’écoulement pour le un dixième du débit à pleine section doit être supérieure ou égal
à 0,6 m/s. Toutefois la vitesse doit rester inférieure à 4 m/s pour éviter les dégradations des
joints et l’abrasion des conduites
28 | P a g e
V ps V V 1
Collecteu 3
Q (m /s ¿ i(m/m)
Dch Qps ¿ rQ rv rH 10
D
r (mm) (m/s )
¿ (m/s )
EP1 3,134 0,004 1,5 4,066 0,77 1,11 0,66 2,30 2,56 1,38
EP2(ass3) 4,78 0,0033 1,8 6,006 0,80 1,11 0,68 2,36 2,62 1,42
EP3 3,40 0,0032 1,5 3,637 0,93 1,1 0,72 2,06 2,27 1,24
EP4(ass4) 8,5 0,0035 2,2 10,562 0,80 1,11 0,68 2,78 3,09 1,67
EP5 3,92 0,0033 1,8 6,006 0,65 1,08 0,68 2,36 2,55 1,42
2 Q ps
Q ps =K s × R h × √ I × S m
3 Avec V ps=
S
29 | P a g e
V Q
r v= Et rQ=
V ps Q ps
V 1 =0.6 ×V ps
D
10
On a
V 1 ≥ 0.6 m/s
D
10
H
h
Condition de remplissage :
h
=0.8 Donc h=0.8 × H
H
h=0.8 x H
la section mouillée :
Sm=0,8 x b x H
30 | P a g e
Calcul du périmètre mouillé en (m) :
Pm = b + 2h
Sm 0,8 x b x H
Rh= =
Pm 1.6 ×h+ b
Donc
( ) × √ I ×0,8 x b x H
2
0,8 x b x H 3
Q=70 ×
1.6 × h+b
Q
0.5 m/ s ≤ =V ≤ 4 m/s
Sm
( ) × √ I ×0,8 x b x H
2
0,8 x b x H 3
Q=70 ×
1.6 × h+b
¿ 70 × ( 1.6 × 1.5+ 2 )
0,8 x 2 x 1.5 23
× √ 0.0033× 0,8 x 2 x 1.5=6.46 m3 / s
2. Recommandations pratiques
Les conduites sont généralement des dalots de sections rectangulaires en béton armé
(souvent coulés sur place). Si le débit est faible on peut utiliser des buses de diamètre
intérieur 1200 mm.
31 | P a g e
Les conduites utilisées doivent être étanches et résistants aux charges routières.
Les dalots doivent être posés sur une couche de 10 cm de béton de propreté
La vitesse maximale ne doit pas dépasser 4 m/s.
Des regards de visites doivent être réalisés tous le 50 m au maximum.
Pente
BV Débit Qp
Collecteur Iéq Variante1 Variante2 Choix
drainé (m3/s)
(m/m)
Des regards de collecte des eaux appelés regards à grille ou regards avaloir sont
implantés aux bords des chaussées et qui se déchargent dans le dalot.
Conclusion
Comme cité ci – dessus, vu le niveau bas de ce Quartier, les eaux pluviales ne peuvent pas
sortir du Quartier gravitairement et stagnent longtemps dans le Quartier en causant des
problèmes d’inondation et d’hygiène pour les habitants.
32 | P a g e