Tartuffe.

Acte III Scène 3

vers 916 de la didascalie «il lui met la main sur le genou»

jusqu’au vers 966 «ah ! Pour être dévot, je n’en suis pas moins homme»

1) En quoi le début de la scène est-il comique ?

2) A quel vers Tartuffe commence t-il véritablement sa déclaration ? Quelles étapes a
t-il suivi avant d’en arriver là ?
3) Analysez la stratégie argumentative de Tartuffe dans les vers 933 «l’amour qui
nous attache aux beautés éternelles» au vers 960 «Heureux, si vous voulez,
malheureux, s’il vous plait »

- montrez quel glissement il effectue du général au particulier

- Montrez comment Tartuffe construit un discours flatteur envers Elmire pour la
séduire (regardez quels champs lexicaux s’entrecroisent, et le rôle des parallélismes,
notamment)
- Quel est finalement l’argument de Tartuffe pour justifier qu’il soit
amoureux d’Elmire ?

4) Montrer que la réplique d’Elmire montre qu’elle n’est pas dupe de Tartuffe
5) Commentez la réplique « Ah ! Pour être dévot, je n’en suis pas moins homme »
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Acte IV scène 5
du vers 1476 « mais si, d’un œil bénin... » jusqu’au vers 1519 « la faute
assurément n’en doit pas être à moi »

1) Comment interprétez-vous la toux répétée d’Elmire ?

2) Quelles formules utilise Tartuffe pour vaincre l’hésitation d’Elmire ?
a) Montrez que Tartuffe utilise le vocabulaire religieux et philosophique pour
convaincre Elmire.
b) Montrez qu’il la rabaisse à son rôle de femme
c) Vers 1502 : quels arguments utilise ici Tartuffe ? En quoi est-ce l’expression
parfaite de son hypocrisie ?
3) Expliquez le rôle (et la présence) de la didascalie « c’est un scélérat qui parle »
4) Examinez le double discours d’Elmire : à qui s’adresse t-elle (regardez quel
pronom est employé) ? Pourquoi en arrive t-elle à de telles extrémités ?