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PROFESSIONNALISANTE PRO/RCP3
Ingénieurs Maintenance
Travaux de maintenance ‐ Arrêts d'unité ‐
Opérations de démarrage
Hassi Messaoud ‐ Base 30 Mai – 4 Juin 2015
M. Antoine CASTANO
Partenaires en présence
Sommaire
Introduction
© 2015 ‐ IFP Training
RC ‐ SE TRA ‐ 03445_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 3
1 ‐ Introduction
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RC ‐ SE TRA ‐ 03445_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 5
2 – Propositions, attentes, refus des différents partenaires
Maintenance Fabrication
Les Propositions
Une expérience, un professionnalisme, Des installations sûres et assainies,
Une assistance, une disponibilité, Une aide dans le choix des urgences,
Des permis signés dans les délais,
Des délais respectés,
Des délais réalistes,
Une gestion sécurité des chantiers.
Une coordination de la sécurité des
interventions.
Les Attentes
Une cohérence entre les équipes en quart, Des entreprises intervenantes formées à la
sécurité,
Une disponibilité du matériel pour travaux,
La prise en compte des priorités,
Une réception des chantiers en commun.
Des plannings complets et bien structurés.
RC ‐ SE TRA ‐ 03445_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 6
2 – Propositions, attentes, refus des différents partenaires
Service Sécurité Entreprises Extérieures
Les Propositions
Disponibilité (en fonction des demandes), Disponibilité et professionnalisme,
Professionnalisme et savoir faire, Respect de règles de sécurité,
Capacité de réflexion sur les principaux Une organisation indépendante et
problèmes de sécurité, autonome,
Des interventions réalisées dans les délais,
Une présence lors des opérations à risques.
Mise en place de responsables qualifiés
(preneurs de permis).
Les Attentes
Une reconnaissance par les autres Une reconnaissance des difficultés de
partenaires de ses capacités, gestion des chantiers et des personnels,
Une reconnaissance de ses capacités à
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Être sollicité sur les problèmes de sécurité gérer la sécurité d’une intervention,
rencontrés sur les chantiers,
Une information totale et complète sur les
Un soutien lors des décisions liées à la risques liés aux interventions,
sécurité des chantiers. Une communication de qualité à l’égard de
tous.
RC ‐ SE TRA ‐ 03445_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 7
2 – Propositions, attentes, refus des différents partenaires
Les Refus
Maintenance
• Les fausse urgences et le manque de confiance,
• Les attentes pour mise à disposition (sauf incidents, …),
• Plusieurs interlocuteurs avec des avis différents sur une même intervention,
• Les modifications en cours de travaux adressées directement aux intervenants.
Fabrication
• Des travaux entrepris avant la signature des autorisations de travail,
• Des chantiers mal pilotés ou en désordre,
• Des interlocuteurs non qualifiés lors de prise de permis,
• Assurer seule la coordination des travaux, ou la sécurité des chantiers.
Service Sécurité
• De n’être consulté que trop rarement,
• D’être culpabilisé lors des arrêts ou suspension de travaux,
• Le « pressing » des autres partenaires lors des contrôles de sécurité (analyses d’atmosphère, …).
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Entreprises Extérieures
• Des équipements insuffisamment préparés pour les travaux,
• D’être fragilisées par le « pressing » des donneurs d’ordres (délais, prix, …).
Les attentes, les propositions, les refus des partenaires que sont :
• La Maintenance,
• La Fabrication,
• Le Service Sécurité,
• Les Entreprises Extérieures, …
…, témoignent de la nécessité de :
• Communication,
• Compréhension mutuelle,
• Reconnaissance réciproque.
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Ces situations démontrent également que nul ne peut se
passer de l’autre, que les problèmes sont les mêmes
pour tous, et que l’objectif est commun
RC ‐ SE TRA ‐ 03445_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 9
Gestion de la maintenance : de la
demande à la réception des travaux
Sommaire
1. Introduction
8. Bilans
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et de maitriser toutes ces contraintes
La réalisation des travaux sera meilleure si
le travail aura été bien préparé.
RC ‐ GM MET ‐ 05290_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 06/05/2015 2
2. Processus de gestion de travaux
1. DI ‐ Travaux en cours ‐
Plan préventif ‐ …
Travaux d’arrêt – Etudes
Intervention 3. Orientation de la complémentaires, . . .
d’urgence demande
5. Ordonnancement
6. Réalisation
7. Réceptions
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8. Bilans
Procédure standard de gestion des travaux
RC ‐ GM MET ‐ 05290_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 06/05/2015 3
2. Processus de gestion de travaux
1. La demande
Elle est rédigée sur papier ou outil informatique (SAP par exemple). Elle
se nomme Avis, Notification, Demande d’Intervention ou autre. Elle
porte un numéro unique et contient :
• L’équipement concerné
• La description sommaire de la demande
• La date de la demande et celle de fin souhaitée
• Elle peut provenir d’origines diverses :
− Demande de travaux
− Maintenance préventive
− Recommandation Inspection, etc.
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RC ‐ GM MET ‐ 05290_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 06/05/2015 4
2. Processus de gestion de travaux
2. Recueil et validation de la demande
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Délai de réalisation lié à l’urgence Durée du travail
convenue pour chaque travail et à estimée au départ
l’ordonnancement de tous les travaux
2. Processus de gestion de travaux
Aide à la rédaction d’une
Demande d’Intervention efficace
La pompe ne marche plus !
C O S S U
C : Constat (pré‐diagnostic)
O : Opérabilité (isolé, etc.)
S : Schéma éventuel
Le demandeur doit être précis dans sa
description pour une bonne prise en compte
de l’Avis. Pour cela il doit donner certaines S : Situation (secteur, installation)
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• Etc.
2. Processus de gestion de travaux
L’Ordre de Travaux (OT)
OT initialisé
Nomenclature
équipement
Achats
Préparation Pièces de
Outillage Réservations
gamme rechange
Elaboration d’un OT
No de l’OT
Liste des
opérations
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RC ‐ GM MET ‐ 05290_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 06/05/2015 10
2. Processus de gestion de travaux
de maintenance
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• pointe les demandes de travaux au fur et à mesure de leur
réalisation sur un O.T. permanent ouvert à concurrence d'une
certaine valeur globale
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2. Processus de gestion de travaux
3. Orientation de la demande
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2. Processus de gestion de travaux
5. Ordonnancement des activités
Travaux Opérations
préparés Prod/Logist. Elaboration du planning
Plans,
schémas etc E202
27 May '13
Indexation M T W T F
03 Jun '13
S S M T W T F
10 Jun '13
S S M T W T F S
17 Jun '13
S M T W
E202-1 03/06
E202-2 m onteur[2]
E202-3 echafaudeur[3]
E202-4 calorifugeur[2]
E202-5 m onteur[4];grue 10t[1]
Demande E202-6
E202-7
m onteur[2];grue 10t[1]
m onteur[4];grue 10t[1]
E202-8 nettoyeur[3];pom pe HP 800bars[1]
Intervention E202-9
E202-10
m onteur[2];grue 50 t[1];cam ion plateau[1
chaudronnier[2]
Ordonnancement E202-11
E202-12
E202-13
chaudronnier[4]
chaudronnier[2];repres
chaudronnier[4]
HSEQ – Permis –
E202-17
E202-18 m onteur[4];grue 50
E202-19 m onteur[2];grue
Disponibilité
intervenants
Planning et
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disponibilité
Production Matériel et Prise en compte
outils dispos. de la co‐activité
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d’optimiser les coûts sans travailler
dans l’urgence si ce n’est pas
nécessaire
2. Processus de gestion de travaux
Exemple de procédure de demande
de travaux supplémentaires
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2. Processus de gestion de travaux
7. Réception
EXEMPLE DE CLÔTURE DES
TRAVAUX SUR PERMIS
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RC ‐ GM MET ‐ 05290_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 06/05/2015 18
2. Processus de gestion de travaux
Exemple de PV de et fiche de non conformité
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− et l’EU (généralement représentée par le superviseur)
2. Processus de gestion de travaux
RECEP. FONCT. RECEP. TECHN. RECEP. E.E.
EXEMPLE DE RÉCEPTION DE TRAVAUX : POMPE CENTRIFUGE
Période de
Phase Travaux Réception Partielle Réception Finale
garantie
• Maîtrise du chantier • Vérification • Levée de réserves
Réception • Points de contrôle, mécanique statique • Calorifuges, échafaudages
Technique de Surveillance et • CRI • Plans TQC et documents
d’arrêt • Réserves
• Auxiliaires
• Tests procédés : P,T,F, …. • Contractuel
Réception
• Vérifications dynamiques:
Fonctionnelle fuites, vibrations, …
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2. Processus de gestion de travaux
8. Bilans
Une étude comparative est faite pour identifier les écarts par
rapport au cahier des charges et aux estimations.
Sommaire
Objectifs
Élaboration du planning
Contrôle de l'avancement
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OBJECTIFS DE LA PLANIFICATION
Faciliter l'exécution du projet
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Préparation détaillée
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• Délégation : vérifier la bonne prise en compte
Préparation détaillée
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Exemple de Gantt
Appel d’offres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXX
Approbation commande ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ X
Fabrication ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Plans de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXXX……………………………..XXX
Livraison compresseur ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXXXX
Réception machine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ X…………………….X
GC / Fondations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXXXXXXXXX
Réseaux enterrés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXXXX…………..X
Structures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXXXXX
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Installation compresseur ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ XXXXX
Réception production ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ X
Tests de performance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ X XXX
Préfabrication Montage
(14 j.) 15/10
(5 j.)
COMMANDE
25/10 DEMARRAGE
Début au plus tôt
Marge libre = 10 jours
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Début au plus tard
Exemple de Pert
0 Appel offres (1) 1 Fabrication (10) 11
‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐ ‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐ ‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐
0 1 11
Réception (1)
Approbation
4 12 14
‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐ ‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐ ‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐
Fondations (4) 9 Structures (3) 12 Installation (2) 14
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Intérêts du lissage :
• Évite des coûts inutiles (mob/démob)
• Améliore la sécurité (co‐activités)
• Facilite la communication
• Soude l'équipe de chantier
• Permet de faire face aux imprévus
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RC ‐ PR GES ‐ 07754_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 02/04/2012 10
Courbe de charge typique
% Avancement
100 %
Fin de chantier
Rythme de croisière
Accélération
Temps
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• PERT en général, avec plan de charge
• Découpe en tâches élémentaires
• Unités de temps : jours, voire heures
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Niveaux de détail du planning
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Contrôle de l’avancement
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Choisir des superviseurs de chantier expérimentés
Communiquer fréquemment avec l'équipe Projet
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Comment réduire le délai
Pour les petits et moyens projets,
ne pas faire une fixation sur le respect des délais…
Ce n'est jamais plus important que la Sécurité
C'est souvent moins important que le Coût du projet
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Parfois, ce n'est même pas important du tout…
Sommaire
1. Introduction
2. La gamme de coordination
3. La gamme d’exécution
5. Le graphe d’enchainements
6. Elaboration du planning
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© 2014 ‐ IFP Training
• Les estimations de
ressources
• Etc.
RC ‐ GM TXA ‐ 03670_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 2
1. Introduction
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Exemples de Fiches Techniques
1. Introduction
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Exemples de Fiches Techniques
RC ‐ GM TXA ‐ 03670_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 5
1. Introduction
Les risques financiers et humains liés aux travaux peuvent être bien supérieurs
au coût de réalisation et la responsabilité imputable à l’exécutant. Le
préparateur doit donc anticiper les contrôles nécessaires à une assurance
qualité compatible avec l’exigence de fiabilité de l’unité.
La gamme de coordination permet d’organiser le travail et de :
• réduire les pertes de temps liées à l’absence d’intervenants ou aux risques de co‐
activité
• réduire les délais liés aux attentes de documents (permis), matériels et autres
pièces de rechange, etc.
L’analyse intègre les contraintes de sécurité. Quand il est indispensable
d’analyser en détail les opérations que
l’exécutant doit effectuer, on établit une
gamme d’exécution.
Chaque O.T. doit être estimé (MO, fournitures et
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matériels) et vérifié en fin de réalisation. Écart
acceptable : environ 15 %
1. Introduction
Magasin de pièces
détachées de l’usine
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Exemple de liste de réservation de pièces
RC ‐ GM TXA ‐ 03670_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 8
2. La gamme de coordination
2 7 1 7 3 4 5 6
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Exemple de gamme de coordination d’activités 9
RC ‐ GM TXA ‐ 03670_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014
2. La gamme de coordination
1 Liste des activités : ensemble des tâches réalisées en continu par une même
équipe pour un même objectif
Exemple no1 : le coulage d’une dalle béton occupe une équipe de 3 personnes
pendant 1 jour, une “toupie” 3 fois pendant 1 heure. Le séchage dure 8 jours
a. En prenant la définition, il y a 5 activités :
− 3 activités “toupie” d’une heure chacune
− 1 activité “réglage, finition”, 3 maçons, durée un jour
− 1 activité “séchage” sans personnel, durée 8 jours
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b. Dans une approche plus large, on crée une seule activité de coulage de dalle
béton d’une durée de 9 jours avec une équipe moyenne de 3 personnes pendant
1 jour, la “toupie” étant intégrée. Il devient alors impossible de planifier l’activité
maçon ou la rotation de la “toupie”
2. La gamme de coordination
Exemple no2 : cas d’un échangeur. Les opérations intégrant la grue peuvent être
considérées ou pas comme des activités :
• Le démontage du fond de calandre nécessite l’utilisation d’une grue : le grutage peut être
considéré comme une activité réalisée en parallèle à celle du démontage ou l’intégrer à celle‐
ci. La première démarche a un intérêt si l’on se charge de la planification de la grue alors que
la seconde laisse à l’entreprise qui assure les travaux le soin d’organiser l’occupation de sa
grue.
NB : On peut laisser l’exécutant s’organiser pour utilisation de matériels banals, mais par contre
en cas de matériels très couteux (grues de 200 Ton par exemple), c’est l’entreprise utilisatrice qui
s’assure de la coordination de ce matériel très onéreux.
Exemple no3 : On regroupe les activités de plusieurs corps de métiers sous une seule
activité. Par exemple si un échangeur est démonté du site puis nettoyé et réparé en
atelier, et enfin réinstallé sur site on peut ne considérer que 3 activités : démontage sur
site, remise en état à l’atelier, remontage sur site.
• vue de l’atelier, la remise en état comporte plusieurs
activités
• Par contre pour le préparateur de l’entreprise utilisatrice,
cette décomposition peut être simple, rapide et suffisante,
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soit une seule activité
Il existe donc plusieurs possibilités de décomposition d’un travail
en activités. Ces méthodes sont indissociables de la politique de
maintenance et de l’expérience des préparateurs.
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2. La gamme de coordination
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SO Soudeur Tuyaut.
SS Soudeur Spécialiste (Inox)
RA Radiographie
SU Spécialiste Sécurité
TU Tuyauteur‐chaudronnier
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2. La gamme de coordination
3
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Tableau de temps moyens pour travaux de montage (bordereau tuyauterie)
RC ‐ GM TXA ‐ 03670_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 14
2. La gamme de coordination
5 Sécurité : Inclut toute action sécurité (plan de platinage, permis, etc.) dont l’exécutant
devra tenir compte
AT.P. Autorisation de travail permanent
AT.J. Autorisation de travail journalier
AT.Q. Autorisation de travail par quart d’exploitation
P Fe Permis de feu
P Pe Permis de pénétrer
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P Ci Permis de circuler
P Fo Permis de fouille
P Ga Permis de gammagraphie
5
T.S. Tenue spéciale
EAA Combinaison étanche à adduction air
CAA Cagoule à adduction d’air
PI Plan isolement
2. La gamme de coordination
Antécédents Subséquents
7 7
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2. La gamme de coordination
Antécédents et subséquents
• Celles qui précèdent strictement l’activité en cours s’appellent des antécédents,
celles qui la suivent immédiatement sont les subséquents
• L’enchaînement consiste à indiquer la ou les activités qui doivent être terminées
pour qu’une autre puisse débuter. On précise aussi la ou les activités qui pourront
commencer lorsque l’activité étudiée sera terminée
• Si une activité n’a pas d’antécédents, alors c’est la première à réaliser. Celle qui
termine les travaux n’a pas de subséquents
• Sur une gamme de coordination, il y a autant d’activités notées en antécédent
qu’en subséquent, ce qui permet de contrôler une erreur éventuelle
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se succèdent les unes aux autres
• On peut rajouter l’outillage spécifique à chaque tâche, des contrôles
particuliers ou autres travaux très spéciaux
RC ‐ GM TXA ‐ 03670_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 20
3. La gamme d’exécution
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Exemple de gamme d’exécution
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4. Cas particulier des travaux d’arrêt d’unité
PHASE 2 : Travaux sur appareils
• Platinage travaux
• Nettoyages, Ouverture, Inspection . . .
• Travaux mécaniques, chaudronnerie tuyauterie,
robinetterie Les différentes phases de
• Travaux électriques, travaux d’instrumentation travaux d’arrêt d’unité
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• Travaux neufs
• Réceptions ‐ Epreuves
• Fermeture
• Déplatinage maintenance
4. Cas particulier des travaux d’arrêt d’unité
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Gamme spécifique liée à des travaux d’arrêt
(épreuve réglementaire)
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4. Cas particulier des travaux d’arrêt d’unité
Préparation de travaux d’arrêt d’unité : Coordination Gammes et équipements
xxxx
F202
C201 Phase 1
B2013 Phase 1
Phase 1 Phase 2
E203 Phase 2
Phase 1 Phase 3
Phase 1 Phase 2
Phase 2 Phase 3
Phase 3 Phase 4
Phase 2 Phase 4
Phase 3
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Phase 4 Phase 5
Phase 3 Phase 5
Phase 4
Phase 4 Phase 5
Phase 5
Phase 5
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5. Le graphe d’enchaînements
Exemple de graphe
Activité 3
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Activité 6
/ 6 7 2
5,6 7 4 3
5. Le graphe d’enchaînements
Exemple de graphe
d’enchaînements lié à une
gamme de coordination
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• Le diagramme de Gantt :
Outil de présentation graphique de
la chronologie des différentes
activités
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RC ‐ GM TXA ‐ 03670_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 28
6. Élaboration du planning
Début au plus tôt
0 Activité A 5 Activité B
9
‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐ ‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐ ‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐
5 jrs 4 jrs
0 5 9
Début au plus tard
Activité C
6 jrs
/ 1 2 5
1 2 4 4
0 Act 1 5 Act 2 9 Act 4 12
/ 3 4 6
0 5 9 12
5 jrs 4 jrs 3 jrs 2,3,7 4 / 3
/ 5 7 3
/ 6 7 2
0 Act 3
5,6 7 4 3
3
6 jrs Act 7
3 jrs
Principe de construction du schéma :
0 Act 5 3 • dates au + tôt : de Gauche à Droite
3 3 jrs 6 • dates au + tard : de D à G
Act 6
La marge est la différence entre début
0
au plus tard et début au plus tôt.
4 2 jrs Lorsqu’il n’y a pas de marge c’est le
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chemin critique.
6. Élaboration du planning
/ 1 2 5
1 2 4 4
Activité 3
/ 3 4 6
2,3,7 4 / 3
/ 5 7 3
/ 6 7 2
Activité 5
Activité 7 5,6 7 4 3
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Activité 6
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• …
6. Élaboration du planning
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pour l’activité 6. La marge totale est la différence
entre les dates au plus tôt et dates au plus tard
d’une activité (différence entre début au plus tôt
et début au plus tard, ou bien différence entre fin
au plus tôt et fin au plus tard).
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6. Élaboration du planning
Gammes
+
Ressources
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du chantier
7. Nivellement des ressources
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Exemple de ressources non optimisées
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7. Nivellement des ressources
Ressources
Tâche B 201-05 déplacée du lundi début après midi
optimisées au mardi début après midi , sans affecter la date
finale de mise à disposition, tout en jouant sur les
marges « Totales » des tâches pouvant le supporter
Abaissement du sureffectif de 10 à 4
hommes/jour
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ÉCHANGEURS GAMME
— Quiz —
Vous avez en charge la préparation et la réalisation des travaux suivants concernant l’échangeur à
tête flottante ci-après de type AES. Cet échangeur est calorifugé.
Las travaux principaux prévus sont : le nettoyage, la visite et l’épreuve réglementaire côté faisceau
et côté calandre (on suppose qu’il n’y a pas de retubage).
3 - Pour chaque opération, décrire les risques à prendre en compte et les précautions que
vous proposez
4
2
9
08296_A_F
N° Opérations Intervenant Risques à prendre en compte et conséquences Précautions - Remarques
10
11
12
13
3
14
16
17
18
08296_A_F
Plaque Plaque Boîte de
tubulaire tubulaire distribution
arrière Calandre Tubes Tirant avant
Chicanes
Demi-lune
D MTE 005 B1
(contre-bride)
Application : organisation des travaux
Optimisation et nivellement des ressources
Application : planning de travaux
Démontage de l’échangeur Nettoyage en cours
Planning des travaux
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Fiche technique de l’échangeur
RC ‐ GM TXA ‐ 08751_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 2
Application : planning de travaux
Qu’en pensez‐vous ?
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RC ‐ GM TXA ‐ 08751_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 01/07/2014 4
Application : planning de travaux
Conclusion ?
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1 4
2 3
1 2 3 4 5
GASKET 1 2 3 4 5
Ext. 585 915 915 935 935
Int. 550 850 850 860 860 Item no.: E 203
TYPE I I I II II Area: Gasoline stabilization
Unit: 200
Material Metal- — — — —
plastic
Thickness 3 8 — — —
GENERAL INFORMATION
Manufacturer: Total weight (empty):
Type Expansion joint:
Heat transfer area Height:
Subject to codes: Yes No Position V H
Insulated Yes No
SHELL BUNDLE
Fluid: gasoline Material: Fluid: circulating gasoil refux Material:
Outer diameter: : 30” Lenght : Number of tubes: 620 Lenght: 3400
Thickness: Weight: Tube diameter Total weight :
Useful volume Annealed Oui Non Volume: SOUDE DUDGEON
Design pressure: Test fluid: water (min 6°C) Design pressure: Test fluid: water (min 6°C)
Test pressure: 33,2 Nett. chim. : Test pressure: 49,7 Chemical clean:
GASKET JOINTS
THREADED RODS DESIGNATION
No. SERIES JOINT Notes
L Nbr Material Liquid Input/Output
1 – 1' 8” 300 Spiral- 24 140 12 B7 Gasoline outlet
wound
2 – 2' 6” — — 20 125 12 — Gasoline inlet
3 – 3' 4” — — 20 110 8 — Gasoil outlet
4 – 4' 4” — — 20 110 8 — Gasoil inlet
a–b
D T 3184 C
c–d 5
1 - Isolement échangeur
2 - Démontages FC/TF/TD
pour test étanchéité
faisceau
4 - Démontage AE/D
pour sortie faisceau
5 - Montages
D et CB/TD/TF/JP
Pour épreuve faisceau
6 - Démontages
TF/ensembles DTD
JP sur tuy D
pour montage
D T 3185 D
8 - Montages FC
pour épreuve C
9 - Mise en ligne
échangeur
D T 3185 E
2 bis 2
Nettoyage faisceau
et calandres
3 bis 3
4 4
Réparation Nettoyage et
éventuelle réparations éventuels
6 6
7 3 bis
8 Bouchonnage tubes
9 4
D T 4284 A
05730_A_F
N° BR/OT/... Demandeur : Préparateur : Objet : Unité de Date :
temps :
rise
total
nne
Activités Activités Contraintes gros
Liste des activités Sécurité Qualité
Corps
Du
d'état
antécédentes subséquentes matériel
Équipe
N°
moyerée
Entrep
Temps
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
05730_A_F
Secteur :
Préparateu
05730_A_F
PLANNING TRAVAUX
Secteur :
Planning calendaire
Corps
d'état Planning par rapport à J-0
N° d'ordre
Entreprise
N° activités
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
05730_A_F
Secteur :
N° PLAN
re
N° CODE Date QUANTITÉ
rvice
ou dossier DÉSIGNATION MATIÈRE OBSERVATIONS
Nomb
MAGASIN réservation
Repè
en se re
technique Demandée livrée
Total :
— Exercice —
pan
By bas
it
déb ON
6 01
SC OF
F
2
pe
Pom he
ur rc
ate Ma
Vari 1
pe
Pom he M
Ma
rc 602
PB
A
601
PB
pe
lam
test
1
P60
D MAC 3158 A
05504_A_F
05504_A_F
N de la gamme N appareil :
GAMMEDECOORDINATION de coordination : Unité :
Secteur :
rise
t ot al
nne
Activités Activités Contraintes gros
Liste des activités
Corps
D
d'ét at
Équipe
antécédentes subséquentes matériel
Qualit é
Sécurit
N fiche
moyuerée
Ent rep
Temps
1 – – – – – –
2 – – – – – –
3 – – – – – –
4 – – – – – –
5 – – – – – –
6 – – – – – –
2
7 – – – – – –
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29 – – – – – –
30 – – – – – –
D GEN 1013 A
05504_A_F
N° de fiche N° appareil :
GRAPHE D’ENCHAÎNEMENT Unité :
Secteur :
Préparateu
D GEN 1013 G
3
05504_A_F
N° de fiche N° appareil :
PLANNING TRAVAUX Unité :
Secteur :
Planning calendaire
Corps
d'état Planning par rapport à J-0
N° d'ordre
Entreprise
N° activités
1
2
3
4
5
6
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8
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4
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28
29
30
D GEN 1013 C
Appel d’offres ‐ Contrats
Sommaire
1. Processus achats
2. Différentes qualifications des contrats
3. Comparaison contrat Achat‐Vente/contrat Entreprise
4. Le contrat d’entreprise
5. Obligations de moyens ≠ Obligations de résultats
6. Autres obligations de l’Entreprise Extérieure
7. Modes de rétribution du contrat d’entreprise
8. Différentes clauses d’un contrat
9. Exemple de structure d’un contrat de maintenance
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1 2 3 4 5 6 7 8
Sélection
APS – APD fournisseurs
Émission besoin Rédaction cahier Négociation
Stratégie Constitution Lancement Réception
par un service de des charges mise en forme Réalisation
d’approche du cahier des appel d’offres Paiement
l’entreprise technique du contrat
marché charges
commercial
Du besoin, ………, à l’acquisition d’un bien
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RC ‐ GM STR ‐ 04733_A_F ‐ Rév. 2 ‐ 20/10/2013 2
1 ‐ Processus achats
Service demandeur Service Achats Fournisseur
Naissance du besoin
Documentation
Définition du besoin : CCTP,
Spécifications, Résultats attendus
Réglementations Consultation
Proposition
Comparaison propositions, Première
sélection
Négociation
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Décision
Commande
RC ‐ GM STR ‐ 04733_A_F ‐ Rév. 2 ‐ 20/10/2013 3
1 ‐ Processus achats
Service demandeur Service Achats Fournisseur
Commande
Accusé réception
Vérification Cde/AR
Contrôles sécurité, qualité, quantité Mise à disposition
Transport
Contrôles Obligations de résultats
Documentation
Facturation
PV Réception Vérification Identité
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Paiement
Service Comptabilité
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2 ‐ Différentes qualifications des contrats
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RC ‐ GM STR ‐ 04733_A_F ‐ Rév. 2 ‐ 20/10/2013 6
4 ‐ Le contrat d’entreprise
“Le contrat d’entreprise est une convention par laquelle une personne
physique ou morale s’engage à exécuter un travail pour une autre
personne physique ou morale, de façon indépendante et sans la
représenter”
Nécessité du contrat
• Fixation des règles (techniques, liées à la sécurité, aux délais, au coût, à la
qualité, ….)
• Respect des règles fixées par les deux parties
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Il est recommandé :
• de bien étudier les avantages et inconvénients des deux types de contrats
• de décider avec l’entrepreneur ou le fournisseur retenu de la forme du
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contrat et de le spécifier
2 alternatives à
disposition de l’EU
Définir et
Demander
atteindre
des
un
résultat + moyens
+
+ +
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6 ‐ Autres obligations de l’Entreprise Extérieure
Coût d’un travail : il faut toujours penser que le coût final d’un
travail intègre au coût du travail sous‐traité :
• le temps passé par le personnel à préparer le travail
• à choisir l’entreprise
• à vérifier les prestations
• mais aussi les surcoûts dus aux pertes de production consécutifs à
des travaux mal faits et à la reprise de ceux‐ci
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7 ‐ Modes de rétribution du contrat d’entreprise
Degré d’urgence
Aléas envisageables
Dépense contrôlée
Rémunération aux heures passées, …
…, mais sous la responsabilité du chef de l’E.E
Tarifs horaires pour la main d’œuvre, le matériel
Pointage, Surveillance
Signature d’un “bon d’attachement”
Aucune stimulation de productivité pour l’E.E
Réservée plutôt pour les travaux supplémentaires
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(mais à négocier dès l’appel d’offre)
7 ‐ Modes de rétribution du contrat d’entreprise
Bordereau opérationnel
Découpage du travail en tâches unitaires
Affectation d’un nombre de points à chaque tâche unitaire
Négociation de la valeur du point
Contrôle (statistique) de l’adéquation nb points/Travail
réalisé
Permet au technicien d’engager rapidement un travail avec
l’assurance que l’aspect commercial est bien verrouillé
Évaluation rapide du coût de la prestation avant de lancer
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les travaux
Forfait
Soumission d’un devis
Préparation essentielle
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7 ‐ Modes de rétribution du contrat d’entreprise
Tableau de Synthèse
Délai entre
Travaux Contrôle
Préparation du contrat et Côntrole pour
supplémentaires surveillance des Remarques
contrat réalisation des bon à payer au contrat travaux
travaux
Forfait
Risque de supporter le coût de travaux
supplémentaires si le cahier des charges
Peut devenir complexe technique est trop flou
Bordereau
Éviter autant que
faire se peut
Dépense
contrôlée
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8 ‐ Différentes clauses d’un contrat
Conditions Générales
Conditions Générales Conditions Particulières
d’Achat d’Achat
Consignes Générales Consignes Particulières
de Sécurité de Sécurité
Conditions Générales Cahier des Charges
Techniques Technique Particulier
... ...
JURIDIQUES SÉCURITÉ
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FINANCIÈRES TECHNIQUES
Confidentialité
Conditions de paiement :
• Modalités
• Termes
• Modes
Déroulement du chantier :
• Consignes de Sécurité
• Responsabilité civile
• Discipline
• …
Attribution de juridiction
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Assurances
…
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8 ‐ Différentes clauses d’un contrat
Clauses préliminaires
Objet
Description prestation, limites
de fournitures, qualité,
obligation de résultat
Délai, planning
Prix
• Décomposition,
• Termes,
• Formule de révision
• ,…
Garanties particulières
…
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9 ‐ Exemple de structure d’un contrat de maintenance
6 – Clauses commerciales
2 – Objet du contrat • Prix – Rémunérations
• Engagement de résultats • Conditions de paiement
• Obligation de moyens • Garanties
• Pénalités
Contrat
• Bonifications
1 Page de garde • Assurances
2 Objet du contrat
4 – Étendue des opérations
3 Définitions contractuelles
• Lieux d’intervention 7 – Clauses d’organisation
• Contenu des opérations 4 Etendue des opérations
• Conditions d’exécution
• Délais d’interventions 5 Clauses techniques
• Hygiène et sécurité
• Empêchement et retards 6 Clauses commerciales • Protection de l’environnement
7 Clauses d’organisation • Sécurité
8 Clauses juridiques • Assurance Qualité
Annexes • Supervision / Gestion / Traçabilité
5 – Clauses techniques
8 – Clauses juridiques
• Vérifications et réceptions
• Droits de propriété
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• Informations techniques
Annexes • Confidentialité et Force majeure
• Pièces de rechange
• Responsabilité et règlement des litiges
• Consommables et matériaux
• Conditions de Modification et de Résiliation
• Lois applicables et Documents contractuels
• Validité du contrat – Dates et Durée
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10 ‐ Suivi du contrat
Ces différentes actions débouchent sur
la mise en place d’une politique
Qualité/Sécurité visant à optimiser les
prestations rendues
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été fixés à l’EE de façon contractuelle
10 ‐ Suivi du contrat
À ces indicateurs peuvent être associées des
bonus (encouragements) ou des malus (pénalités) afin de
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responsabiliser l’EE, d’améliorer son efficacité et
d’optimiser les coûts.
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• D’effectuer la réception des prestations réalisées
11 ‐ Suivi des travaux
Revue
de contrat
=
Pilotage
processus
via tableau
de bord
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11 ‐ Suivi des travaux
interventions 3,5
3
30,00
25,00
15,00
1,5
…) : exigence réglementaire 1
10,00
proactive
0 0,00
r
in
t
il
re
t
ai
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ie
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ou
vr
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Ju
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m
Ju
A
M
Fé
Ja
ct
te
O
ep
A.S.A mois 1er soins mois TF2 Glissant 12 mois TF3 Glissant 12 mois
dangereuses, ...) 6
5,00
Nb
Nb
5
4,00
4
3
2 2,00
profession 1
0
1,00
0,00
• …
r
in
t
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ou
vr
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Ju
M
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nv
m
Ju
A
M
Fé
Ja
ct
te
O
ep
S
30 98,00
92,00
O.E.E.
négociées dans le contrat)
Nb
15
90,00
10
88,00
• … 5 86,00
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0 84,00
in
t
r il
ut
ai
re
s
ie
ie
ille
br
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Ju
Av
Ao
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nv
Ju
em
M
Fé
Ja
ct
O
pt
Se
Nb pannes Heures de production perdues OEE
11 ‐ Suivi des travaux
140,00
urgences 90
80
120,00
70 100,00
• … 60
80,00
Nb
Nb
50
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60,00
40
30 40,00
20
20,00
10
0 0,00
r
in
t
r il
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s
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ie
ille
ar
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Ju
Av
Ao
ob
vr
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Ju
M
em
Fé
Ja
ct
O
pt
Se
Urgence 1 Urgences 2 NB OT
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11 ‐ Suivi des travaux
Contrôles
Réceptions
• Elles peuvent être partielles :
− Et déclencher un terme de paiement prévu suivant l’avancement des travaux
− Pour des éléments isolés (ballons, colonnes, machines, …)
− En atelier de préfabrication
− …
• ou finales :
− Conformité des circuits par rapport aux plans
− Conformité du bon montage des équipements
− Des épreuves finales
− Des essais de boucle en instrumentation et régulation
− …
• Ces diverses réceptions permettent de constater que les travaux
concordent avec le cahier des charges, et s’effectuent donc toujours de
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manière contradictoire entre :
− l’EE (généralement représentée par le chef de chantier)
− et l’EU (généralement représentée par le superviseur)
11 ‐ Suivi des travaux
Réceptions
• La réception est “l’acte par lequel le maître de l’ouvrage déclare accepter
l’ouvrage avec ou sans réserves. Elle intervient à la demande de la partie la
plus diligente, soit à l’amiable, soit à défaut judiciairement. Elle est, en
tout état de cause, prononcée contradictoirement” (Art. 1792‐6 CC)
• Est associé à l’acte de réception un transfert de responsabilités, ainsi
qu’une libération du mécanisme de paiement
• La réception doit se faire sur demande de l’EE quand elle aura elle‐même
vérifié la conformité de sa prestation avec la demande, le cahier des
charges, le contrat. Cette réception se matérialise par un procès‐verbal de
fin de travaux (clôture du document de travail)
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Réceptions
• Deux types de réception peuvent être évoqués :
− une réception technique dont le but est de vérifier que chaque phase
du travail a été réalisée correctement, conformément au cahier des
charges et à la gamme de travail.
− une réception fonctionnelle ayant pour objectif de constater que le
matériel ou l’installation ayant fait l’objet d’une intervention,
fonctionne correctement, dans les conditions requises de sécurité
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RECEP. FONCT. RECEP. TECHN. RECEP. E.E.
11 ‐ Suivi des travaux
EXEMPLE DE CLÔTURE DES
TRAVAUX SUR PERMIS
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Raffinage-Chimie
———
I - AVERTISSEMENT ..................................................................................................................... 1
IV - LEVAGE ..................................................................................................................................... 9
V - TUYAUTERIE ........................................................................................................................... 11
IX - ÉCHAFAUDAGES .................................................................................................................... 36
X - CALORIFUGE .......................................................................................................................... 37
I- AVERTISSEMENT
Ce document a été établi en 2013, en France, à partir de diverses bases de données concernant les marchés
de travaux de maintenance et travaux neufs, et validé à partir de l’expérience de diverses entreprises
d’ingénierie et de maintenance. Les ordres de grandeur de coûts ne permettent en aucune façon de
réaliser des estimations engageantes. L’utilisation de ce document est donc limitée à l’enseignement et la
pratique des différentes méthodes d’estimation pour les stagiaires.
Il appartient à chaque entreprise de développer ses propres bases de donnés de coûts et de les mettre
régulièrement à jour en fonction des contraintes de réalisation des travaux dans les unités (en opération
ou lors d’arrêts), des conditions locales du site et des variations économiques (inflation, coût de l’énergie,
hausse de prix des matières premières, variations des taux de change des monnaies, etc.).
II - GÉNIE CIVIL
Importance relative du poste « génie civil » pour un projet d’investissement
(Note 1) Les petits massifs comprennent les dés de béton pour les échelles, divers ancrages de supports de tuyauterie ou
d'instruments locaux, ainsi que tous les autres petits ouvrages non représentés sur les plans d'implantation préliminaires
servant à l'établissement d'un devis.
04466_A_F © 2013 - IFP Training
2
Dallage
Ignifugeage
Cuvettes de rétention
Le coût du béton armé comprend le terrassement, le
béton de propreté, le ferraillage, le coffrage, le béton et 700-900 €/m3 de béton
le remblayage
Fondations profondes
Le coût du béton armé comprend le terrassement, le
béton de propreté, le ferraillage, le coffrage, le béton et 900-1000 €/m3 de béton
le remblayage
Dalle au sol (épaisseur béton 25 à 30 cm) Le coût
comprend les caniveaux, les massifs de pompes et les 600-900 €/m2 de surface
petits massifs de charpente métallique
- Acier 80 kg/m3
2m 300 kg/mL
Fabrication Montage
Charge 5 tonnes/m2
Structure 1 tonne/m2
Racks sans aérocondenseurs
IV - LEVAGE
Importance relative du poste « levage » pour un projet d’investissement
Fours et chaudières
Colonnes 9 heures/tonne
Échangeurs 6 heures/tonne
Aérocondenseurs 18 heures/tonne
+ 30 heures par moteur électrique
V- TUYAUTERIE
Importance relative du poste « tuyauterie » pour un projet d’investissement
1- MÉTHODES D'ESTIMATION
Le poste tuyauterie est l'un des plus important, aussi bien pour la fourniture du matériel, que pour la
préfabrication, le montage et la réception.
Il existe de nombreuses méthodes pour estimer les coûts de ce poste en fonction des documents et
des informations disponibles. Six méthodes sont décrites ci-dessous :
a - L'estimation factorielle
Elle est basée sur des ratios statistiques tirés d'expériences précédentes à partir de l'estimation du
coût des équipements principaux. Cette méthode peut être appliquée uniquement sur les projets de
construction de nouvelles unités.
Compresseurs centrifuges
Pompes volumétriques
Échangeurs tubulaires
Pompes centrifuges
Ballons horizontaux
Aérocondenseurs
Ballons verticaux
Réservoirs
Colonnes
Fours
Montage 26% 40% 26% 40% 40% 15% 26% 26% 20% 15%
Préfabrication & montage 39% 60% 39% 60% 60% 23% 39% 39% 30% 22%
b - L'estimation préliminaire
Elle peut compléter l'estimation factorielle, lorsqu'un plan d'implantation de l'unité de procédé est
disponible. Elle est basée sur une densité de matériel de tuyauterie, y compris les accessoires et la
robinetterie, par rapport à la surface totale de l'unité pour laquelle il existe des statistiques.
À titre d'exemple :
Densité du matériel de tuyauterie, accessoires et robinetterie = 80 kg/m² d'unité
Ratio masses accessoires et robinetterie/masse longueurs droites
Détermination du diamètre moyen et schedule
Estimation de la masse globale du matériel
Estimation des coûts sur base de prix moyens au kg
Application des rendements horaires de préfabrication et de montage
selon le diamètre moyen
Le coefficient de complexité mesure le ratio de la masse des accessoires (coudes, tés, réductions,
brides, etc.) à la masse des longueurs droites (tubes nus).
Ce coefficient est plus élevé dans les unités compacte et complexe, donc il est plus élevé dans une
unité "type FCC" que dans une unité "type gaz plant". La part du montage est donc
proportionnellement plus forte lorsque le coefficient de complexité augmente. Par expérience, on
trouve que le coefficient de complexité varie très peu pour des unités semblables mettant en œuvre le
même procédé.
Dans l'exemple du tableau ci-dessous, le coefficient de complexité d'unités de procédé vaut 1,3 pour
l'acier carbone et 1,5 pour l'acier inoxydable.
Elle est basée sur les métrés de longueurs droites à partir des P&ID's préliminaires des unités, des
plans d'implantation des équipements principaux et des plans de masse de la plate-forme.
C’est une variante adaptée à l'estimation des travaux de maintenance qui est également basée sur les
métrés de longueurs droites à partir des P&ID's des unités de procédés et des plans d'implantation.
Établissement de prix unitaires des fournitures par mètre linéaire, par diamètre et par classe
de tuyauterie pour tout le matériel de tuyauterie, accessoires et robinetterie confondus
À l'aide des bordereaux utilisés par l'entreprise, établissement de coûts unitaires de dépose,
préfabrication et repose par mètre linéaire de tuyauterie, par diamètre et par classe de
tuyauterie sur base de tracés isométriques typiques
Estimation des fournitures et des travaux de maintenance sur base des coûts unitaires établis
par mètre linéaire, par diamètre et par classe.
e - L'estimation intermédiaire
Elle est établie en cours des études de détail de projets de construction nouvelles unités. Elle est
basée sur des métrés de longueurs droites mesurés à partir des P&ID's de procédé approuvés, des
plans de tuyauterie (de la maquette plastique ou de la maquette virtuelle conçue par ordinateur en
3 dimensions), sur les tracés isométriques des lignes critiques déjà sortis et sur les schémas des
circuits de distribution des utilités.
de préfabrication et de montage
À partir des tracés Utilisation du bordereau d'unités d'œuvre de tuyauterie pour l'établissement
isométriques des du devis de préfabrication et de montage
lignes critiques
Estimation des fournitures sur la base de prix unitaires pour chacun des
composants du matériel
f - L'estimation définitive
Elle est basée sur les métrés détaillés des tracés isométriques approuvés "bons pour construction",
sur lesquels sont repérés les soudures en position et la construction des tronçons préfabriqués
(spools)
Comme il existe de nombreuses variantes de bordereaux d'unités d'œuvre, certains simples, d'autres
plus complexes, il est très important que le donneur d'ordre et les preneurs d'ordres
(soumissionnaires) s'accordent sur la version spécifique du bordereau qui est utilisé pour établir le prix
définitif du marché de fabrication et de montage de la tuyauterie.
4- TRAVAUX DE SOUDURE
Le ratio “heures par pouce diamètre” est une méthode rapide pour estimer la durée des travaux de
soudure de tuyauteries. Il permet de déterminer le nombre d’heures du personnel d’exécution (le
soudeur + son aide) mais n’inclut pas les heures indirectes (comme par exemple le temps du chef
d’équipe ou du superviseur de travaux).
Le ratio de 1 heure par pouce est typiquement utilisé pour les travaux sur le terrain. Application :
Ce ratio s’applique bien pour des soudures acier carbone faites sur le terrain, et ne nécessitant pas de
précautions spéciales. Il est toutefois considéré comme trop conservatif pour les soudures faites en
atelier, pour lesquelles ce temps peut être diminué de 30 %.
À l’inverse, pour l’inox et les autres aciers spéciaux, il peut s’avérer insuffisant.
Certains grands donneurs d’ordre de la pétrochimie indiquent que, même pour les travaux sur le
terrain, ils considèrent ce ratio comme un peu conservatif, et que l’application de techniques de
soudage performantes et l’optimisation des pratiques de maintenance permettent pour l’acier au
carbone de diminuer ce temps de l’ordre de 25 %.
Enfin, la mise en place de bordereaux pour les travaux de tuyauteries permet au donneur d’ordres de
s’affranchir du temps passé à la réalisation des soudures.
1 - TRAVAUX DE PLATINAGE
(Pose + dépose de platines, y compris mise en place de joint définitif)
DN tuyauterie en pouce Série 150 Série 300 Série 600 Série 900
≤ 1 1/2" 0,5 h 0,5 h 0,5 h 1h
2" 1h 1h 1h 1,5 h
3" 1,5 h 1,5 h 2h 2h
4" 2h 2h 2,5 h 2,5 h
6" 2,5 h 3h 3,5 h 4h
8" 3,5 h 4h 5h 5,5 h
10" 4,5 h 5h 6h 7h
12" 5h 6,5 h 7,5 h 8,5 h
14" 6h 7,5 h 8,5 h 10 h
16" 7h 8,5 h 10 h 11,5 h
18" 8h 9,5 h 11,5 h 13 h
20" 9h 10,5 h 12,5 h 14 h
24" 10,5 h 13 h 15 h 17 h
30" 16 h 19 h 22 h 25,5 h
Sans ARI + pose tampons 1,5 h/pouce 1,5 h/pouce 1,5 h/pouce 0,75 h/pouce
Avec ARI + pose tampons 2,5 h/pouce 2, 5 h/pouce 2,5 h/pouce 1,25 h/pouce
28
Pour série 300 RF (PN 50)
26 compter le même temps pour
un diamètre inférieur de 20 %
24
II
I
22
20 III
18
21
16
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14
D MEQ 3088 A
Durée en heures • hommes
22
DN vanne en pouce Série 150 Série 300 Série 600 Série 900
2" 3h 3h 4h 5h
3" 4,5 h 5h 6h 7h
4" 5h 6h 7h 8h
6" 7h 8,5 h 10 h 11,5 h
8" 10 h 11 h 12,5 h 14,5 h
10" 11 h 13 h 15,5 h 17,5 h
12" 13 h 15,5 h 18 h 21 h
14" 15 h 18 h 21 h 24 h
16" 17 h 20,5 h 24 h 27 h
18" 19 h 23 h 26,5 h 30,5 h
20" 21 h 25 h 29 h 33,5 h
DN tuyauterie en pouce Série 150 Série 300 Série 600 Série 900
≤ 3/4" 1h 1h 1h 1h
1" 1h 1h 1h 1,5 h
11/2" 1,5 h 1,5 h 1,5 h 1,5 h
2" 1,5 h 1,5 h 1,5 h 2h
3" 1,5 h 1,5 h 2h 2h
4" 2h 2h 2,5 h 2,5 h
6" 2h 2h 2,5 h 2,5 h
8" 2,5 h 2,5 h 3h 3h
10" 2,5 h 3h 3h 3,5 h
12" 3h 3h 3,5 h 4h
14" 3h 3,5 h 4h 4h
16" 3,5 h 4h 4h 4,5 h
18" 3,5 h 4h 4,5 h 5h
20" 4h 4,5 h 5h 5,5 h
24" 4,5 h 5h 5,5 h 6h
Entretien de base 9h 11 h 13 h 14 h
Remplacement de 2
glaces et 4 joints + 1,5 h + 1,5 h + 1,5 h + 1,5 h
9- ÉPREUVE HYDRAULIQUE
(Temps pour le remplissage, la mise en pression et la vidange)
2 m3 15 h 100 m3 36 h 700 m3 65 h
10 m3 18 h 400 m3 47 h 900 m3 75 h
20 m3 20 h 500 m3 55 h 1000 m3 80 h
D MEQ 1257 A
Plateau à clapets - détails de différents types de clapets
Barrage
Plaques
démontables
constituant Plaque du
la surface déversoir
du plateau
Plaques de fixation
du déversoir
Support
de poutre
D MEQ 2206 A
Virole de
la colonne
D MEQ 1396 A
12 - GARNISSAGE
(Utilisation éventuelle d'une grue non comprise)
Garnissage première génération Rashing ring Garnissage première génération Selles de Berl
(diamètre = rayon)
15 - MANUTENTION DE CATALYSEUR
Exemple n°1 : Réacteur d'hydrodésulfuration de gazole
Distributeur entrée
Passage canne
Gaz thermométrique
Liquide Cheminée
Liquide
LT
Plateau distributeur
Billes d'alumine 150
∅3/4"
Paniers
Lit catalytique
Acier au carbone
Placage 18 Cr 8 Ni
LT
45°
Billes d'alumine
150
∅1/4"
Billes d'alumine
∅3/4"
Collecteur sortie
D MEQ 015 B
Orifice de vidange
Acier au carbone
Diffuseur
Bouclier
Ciment
réfractaire
Acier inox
Céramique
Catalyseur
Tube
central
Grille
Toile
métallique
Céramique
D MEQ 045 A
Travaux Travaux
Description de l'opération Unité
sans ARI sous azote
Pré-bagging m3 5 m3/h -
Autres travaux
- dépose/repose scallops 20 scallops 7h -
- dépose/repose cheminée 1 cheminée 3h -
- dépose/repose crépine 1 crépine 3h -
Remplissage de catalyseur
- à la chaussette m3 10 m3/h 8 m3/h
- en dense m3 8 m3/h 6 m3/h
VII - INSTRUMENTATION
Importance relative du poste « instrumentation » dans un projet d’investissement
Lorsque le nombre de vannes de régulation et le nombre de vannes TOR n’est pas encore connu, on
peut prendre un ratio du tableau qui suit.
Ratio nombre de boucles par équipement Mini Moyen Maxi
(procédés batch ou continu)
Nombre de boucles par équipement 0,1 à 0,3 0,3 à 0,5 0,5 à 0,6
Nombre de vannes TOR par équipement 0,2 à 0,9 0,4 à 1,6 0,9 à 2,2
Ration nombre moyen de boucles équivalentes par
équipement 0,7
3 - COÛT DU MONTAGE
INSTRUMENTATION - RÉGULATION
Vapeur
VARIABLE le débit
REGLANTE du liquide
BOUCLE DE RÉGULATION
PI Vapeur
TI PRC
TI FIC
Charge
D PCD 387 A
LRC
TRC
TI
Liquide
VIII - ÉLECTRICITÉ
Importance relative du poste « électricité » par rapport au coût du matériel principal dans un projet
d’investissement.
2- COÛT DU MONTAGE
Coût moyen du montage 40 % du coût des fournitures
3- COÛTS MOYENS
Distribution électrique
Le coût moyen comprend :
- le départ du tableau MCC
- les liaisons de puissance du tableau MCC au moteur
- les liaisons de commande/signalisation entre le tableau et la salle de contrôle - depuis le
récepteur jusqu'au poste électrique
Exclusions :
- le moteur électrique
- la partie amont de distribution et transformation.
Puissance - basse tension Par 100 mL de cheminement
0 kW - 11 kW 5 k€/100 mL
15 kW - 37 kW 8 k€/100 mL
40 kW – 90 kW 10 k€/100 mL
100 kW – 180 kW 18 k€/100 mL
Puissance - haute tension Par 100 mL de cheminement
50 kW – 500 kW 45 k€/100 mL
500 kW – 1000 kW 50 k€/100 mL
1000 kW – 2000 kW 60 k€/100 mL
Eclairage en unité et bâtiments 60 à 70 €/m2
Traçage électrique 120 à 150 €/mL
IX - ÉCHAFAUDAGES
1- BORDEREAU TYPE
X- CALORIFUGE
Importance relative du poste « calorifuge » par rapport au coût du matériel principal dans un projet
d’investissement.
Jeu de Arrêt de
Coude, Vanne y
Diamètre de brides tôle, cap,
cintrage Té Réduction Casse Support compris
la tuyauterie isolé sur collerette,
à 90° brides
ligne découpe
½" à 1"1/2 1,0 m 1,0 m 0,20 m 1,6 m 0,5 m 0,3 m 0,5 m 2,5 m
2" à 3" 1,2 m 1,0 m 0,25 m 2,0 m 0,6 m 0,3 m 0,5 m 3,0 m
4" à 6" 1,4 m 1,2 m 0,30 m 2,2 m 0,7 m 0,3 m 0,5 m 3,5 m
8" à 12" 2,0 m 1,5 m 0,50 m 2,7 m 1,0 m 0,3 m 0,5 m 4,0 m
14" à 20" 2,5 m 1,8 m 0,75 m 3,0 m 1,25 m 0,3 m 0,5 m 4,5 m
22" et + 3,5 m 2,0 m 1,00 m 3,4 m 1,75 m 0,3 m 0,5 m 5,0 m
50 (1) 5
40 (2) 4
Poids (kg)
30 3
Surface (m2)
20 2
10 100
60
5 50
4 40
3 30
2 20
Base :
Fond elliptiques 2/1
Nombre 2
1 10
Épaisseur 1 mm
0,5 5
0,4 4
0,3 3
0,2 2
D MEQ 2142 B
0,1
1 2 3 4 5 6 7
Diamètre virole (m)
— Exercice —
DESCRIPTION DE L’INTERVENTION
Coupe et soudure
en position
1200
DN
100
900
800
500
EL
4000
Code Intitulé
1200
DN
100
900
800
500
EL
400
D CONS 1055 C
0
DN
100
900
800
500
EL
400
D CONS 1055 C
1200
DN
100
900
800
500
EL
400
D CONS 1055 C
0
Valeur du
Code Intitulé Diamètre Valeur Matière - Schedule - Série PN Coefficient Quantité Points Prix (euros)
point
SOUS-TOTAL 1 : 0,055
TOTAL
Reporter tous les éléments sur la feuille de bordereau ci-après et estimer le coût total de cette
7
4- Autre méthode d'estimation de l'intervention. Pour cela utiliser le document "Estimation des
Travaux" (04466).
a - Estimer l'intervention en utilisant la méthode des "coûts unitaires au mètre linéaire" de tuyauterie.
Conclusion ?
ESTIMATION DE TRAVAUX
— Application —
Consigne locale
4 - 20 m A FRC 4 - 20 m A
signal de mesure signal de commande
Régulateur
FT
D IRA 2077 A
Organe de réglage
Capteur
BALLON DE PROPYLÈNE
— Analyse - Gamme - Planning —
— Exercice —
Phase 1
On a constaté une fuite sur le piquage de purge (n°6) de l'appendice nécessitant une réparation
immédiate. Vous êtes chargé de mener à bien cette opération dans sa globalité (préparation, planning,
contacts avec les entreprises et autres services, suivi de la réalisation, bilans, …).
Le ballon n'a pas de revêtement intérieur anticorrosion et ne nécessite pas de nettoyage interne.
La soupape ne comporte pas de vanne d'isolement et le réseau dans lequel elle "crache" reste en service
pour les autres unités restées en fonctionnement …
L'unité 4800 fait partie de toute une zone "rouge" hors feu.
Sauf les exploitants qui travaillent en quart et les soudeurs (pour la réparation) qui pourront travailler en 3x8 h
si nécessaire, tous les autres corps de métiers ne travaillent qu'en 2x8 h (quarts du matin 6h00-14h00 et
d'après-midi 14h00-22h00).
L'arrêt de l'unité et la mise à disposition du ballon par l'exploitant nécessitent 16 heures. Dans la mesure où
les opérations d'assainissement présentent de sérieux risques, l'exploitant interdit tout travail sur place
durant ce temps.
Le ballon est donné isolé par vannes, non platiné, "propre" (pas de nettoyage nécessaire).
Après platinage et ouverture, une aération forcée (2 heures environ) est nécessaire.
Le ballon étant soumis, une épreuve officielle est faite après réparation et un dossier est établi.
Compte tenu de l'emplacement de la fuite (sur l'appendice sujet à de la corrosion due à la présence d'eau) et
de l'état constaté lors du dernier arrêt réglementaire du ballon, le service inspection préconise de remplacer
les 2/3 inférieur de l'appendice.
Par ailleurs il veut que toutes les soudures soient radiographiées 100 % avant recuit ; des radios après
recuit ne sont pas nécessaires a priori.
Les composants (tubes, caps, brides, …) sont disponibles au magasin ou dans un délai de 2 heures (à
l'extérieur).
TRAVAIL DEMANDÉ
Phase 1
– Lister les documents que vous aurez, en tant que préparateur, à générer ou les renseignements que vous
devez fournir.
Phase 2
N° Appareil : B4812
RÉSERVOIR DE STOCKAGE Unité : 48 SUD
– Fiche technique – Secteur : PROPYLÈNE
9 10 11 12 13
8B
1
Anti-vortex LG/LT
14 8A
7B
3 + 1250
LG
2 0,000 4 5
7A
6
OBSERVATIONS :
Pose le par Pose le par Pose le par Pose le par Pose le par Pose le par Pose le par Pose le par Pose le par Pose le par
13
ENTRÉE DN 150
9 10 11 12
Pose le par Pose le par
8b
PURGE RAPIDE DN 150
1
Pose le par Pose le par
4
LG
Anti-vortex
14
PURGE DN 50
6
SORTIE DN 150
05293_A_F
30
28
Pour série 300 RF (PN 50)
26 compter le même temps pour
un diamètre inférieur de 20 %
24
II
I
22
20 III
18
16
5
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14
Durée en heures • hommes
D MEQ 3088 A
N° de la gamme N° appareil :
05293_A_F
GAMME DE COORDINATION de coordination : Unité :
Secteur :
rise
total
nne
Activités Activités Contraintes gros
Liste des activités Sécurité Qualité
Corps
Du
d'état
antécédentes subséquentes matériel
Équipe
N°
moyerée
Entrep
Temps
1
2
3
4
5
6
7
8
6
9
10
11
12
Planning calendaire
Corps
d'état Planning par rapport à J-0
N° d'ordre
Entreprise
N° activités
1
2
3
4
5
6
7
8
9
7
10
11
12
13
14
N° PLAN
re
N° CODE Date QUANTITÉ
rvice
ou dossier DÉSIGNATION MATIÈRE OBSERVATIONS
Nomb
MAGASIN réservation
Repè
en se re
technique Demandée livrée
8
Sommaire
1. Rôle d’un arrêt
2. Dates et durées d’un arrêt
3. Contraintes imposées par un arrêt
4. Conditions et outils pour respecter ces contraintes
5. Organisation de la préparation d’arrêt
6. Le travail de la préparation
7. Conditions pour respecter les objectifs
© 2015 ‐ IFP Training
© 2015 ‐ IFP Training
Arrêts inter campagnes
Arrêts programmés
2 – Dates et durées d’un arrêt
Durée
• Fonction des travaux à réaliser,
• Compromis entre coût de réalisation et coût du manque de production
• Résultats des habitudes, des us et coutumes …
• Volonté de travailler en journée normale pour des raisons de sécurité, de
suivi de travaux, de coût, …
• Fixée « arbitrairement » par une instance …
Marche des unités
Dates
Travaux préparatoires à l’arrêt Travaux post arrêt
Finitions
Travaux d’arrêt
© 2015 ‐ IFP Training
Production arrêtée
Arrêt
Préparation Isolement Bilans
De l’arrêt Assainissement MAJ
RPCI ‐ MT TXA ‐ 05736_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 4
3 – Contraintes imposées par un arrêt
Respect de la sécurité
• Définition de règles strictes
• (In)formation du personnel
• Délivrance d’un permis définissant les règles à observer
Respect du coût
• Bien connaître les travaux à effectuer, et limiter les imprévus
• Optimiser le travail des entreprises
• Obtenir des prix de réalisation les plus intéressants, et maîtriser les surcoûts
Respect des délais
• Coordonner les activités
• Réduire les pertes de temps
• Avoir la meilleure efficacité possible
Respect de la qualité
• Contrôle sur le terrain
• Formalisation et mise en place de documents
• Réactivité
© 2015 ‐ IFP Training
Respect de l’environnement
• Gestion des déchets (tri sélectif, DIB, Calorifuges, …
• Gestion des eaux de lavage, effluents dirvers, huiles de vidange, etc…
4 – Conditions et outils pour respecter ces contraintes
Conditions
Nécessité de définir
• La politique de sous‐traitance à mettre en place
• Les limites de responsabilités des personnes concernées
• Les méthodes de travail nécessaires (entre autre) à :
− Un recueil exhaustif des demandes et besoins
− Une analyse rationnelle des travaux (saisie informatique)
− L’établissement des dossiers « équipements et travaux »
− L’approvisionnement des matériels et leur stockage
− La consultation des entreprises et l’analyse des réponses
• En cas de sous‐traitance de la préparation, les documents qui serviront à
cette préparation, leur lieu de stockage, leur accès, …
• Les échéances de la préparation : planning et ressources
• Les moyens pour assurer la gestion financière de l’arrêt
© 2015 ‐ IFP Training
Ceci doit faire l’objet d’un certain formalisme, et peut constituer ce que l’on
appelle parfois le livre d’organisation de la préparation (L.O.P.)
RPCI ‐ MT TXA ‐ 05736_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 7
6 – Le travail de la préparation d’arrêt
© 2015 ‐ IFP Training
• Bonne connaissance des dossiers (liste de travaux, intervenants,
mode d’intervention, …)
7 – Conditions pour respecter les objectifs
Sommaire
1. Contexte de l’étude
2. Analyse des postes budgétaires
3. Comparaison des avancements chantier
4. Comparaison des effectifs
5. Productivité de chantier
6. Prévision coût final
7. Estimation ‐ Extrapolation des coûts relatifs
© 2015 ‐ IFP Training
8. Conclusions
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI ‐ GM TXA ‐ 05737_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 3
1 – Contexte de l’étude
Similitudes
Projet « A » Projet « B »
Projet « A » Projet « B »
© 2015 ‐ IFP Training
afin de contrôler
l’évènement
1 – Contexte de l’étude
Périmètres respectifs
Projet « A » Projet « B »
Sécurité au travail Aucun accident avec arrêt 1/10ème des stat. nationales
Projet « A » Projet « B »
Maintenance
21% Travaux neuf
79%
Travaux neufs
76
%
Maintenance
© 2015 ‐ IFP Training
24%
Deux projets semblables en terme de
répartition de la nature des travaux
2 – Analyse des postes budgétaires
Répartition par Famille de dépense
Projet « A » Projet « B »
Préparation
Préparation maximisée Imprévus
Main d’œuvre Préparation minimisée
= 13,31%
3,86% =
Imprévus diminués 47,77%
Imprévus augmentés
Matériel
22,17%
Main d’œuvre Matériel
51,13% 35,06
© 2015 ‐ IFP Training
Imprévus Préparation
1,28% 25,42%
RPCI ‐ GM TXA ‐ 05737_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 8
3 – Comparaison des avancements chantier
Comparaison des Courbes d’avancement
Avancement
physique à la
remise en produit
98,35%
Avancement
physique à l’arrêt
94,58%
des unités
25,02%
94,58%
Durée arrêt
81/2 semaines
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI ‐ GM TXA ‐ 05737_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 9
3 – Comparaison des avancements chantier
Les avancements physiques des deux chantiers suivent des profils de courbes
semblables (voir page précédente) : le projet « A » et le projet « B » ne sont
décalés que de quelques pourcents
Mais l’avancement physique du projet « A » était de 25% à l’arrêt de l’unité,
contre seulement 19% pour le projet « B »
A la remise en produit, les avancements physiques respectifs étaient de 98,4%
pour le projet « A », contre seulement 94,6% pour le projet « B »
La clôture finale du projet « A » a été prononcée 5 semaines (S29 au lieu de S34)
avant celle du projet « B » ! ! !
Constat
Beaucoup plus de travaux du projet « B » se sont réalisés
avec l’unité en redémarrage.
© 2015 ‐ IFP Training
=> Risque Sécurité
« B » a débuté Durée arrêt
plus tardivement 81/2 semaines
la préparation
Aléas et imprévus dans la …, mais la bonne
MAD et le début de chantier préparation du projet
© 2015 ‐ IFP Training
se traduisent pour les deux « A » lui permet de
redresser la barre plus
projets par des attentes, …
rapidement que « B »
4 – Comparaison des effectifs
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI ‐ GM TXA ‐ 05737_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 13
4 – Comparaison des effectifs
Projet « A » : Effectifs planifiés et réels
Sureffectif mieux
amortis et maîtrisé
plus rapidement
Durée arrêt
81/2 semaines
Sous‐effectif commun
aux deux projets en
début d’arrêt
© 2015 ‐ IFP Training
Sureffectif important
et tardif ( => impact
sur le coût)
Projet « B » : Effectifs planifiés et réels 14
RPCI ‐ GM TXA ‐ 05737_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015
5 – Productivité de chantier
Profits et pertes de chantier
=
© 2015 ‐ IFP Training
Déterminés par
Qualité et la Profondeur de la Préparation
5 – Productivité de chantier
Cumul heures prévues
Productivité cumulée =
Cumul heures réalisées
Fin chantier « A » :
+ 0,015
1
Fin chantier « B » :
‐ 0,22
© 2015 ‐ IFP Training
Durée arrêt
81/2 semaines
Comparaison entre :
• Prévisions bonnes à 6% pour le projet «A » à – 18 mois de la fin d’arrêt.
• Prévisions bonnes à 6% pour le projet «B » à – 2 mois de la fin d’arrêt
© 2015 ‐ IFP Training
pour d’autres investissements productifs
• Une forte dépense de préparation augmente la précision et la sensibilité
des prévisions de coût
6 – Prévision coût final
25,00% Prévisions
bonnes et stables
20,00%
à 6% dès – 18
15,00% mois de la fin de
l’arrêt
10,00%
5,00%
Deltaprévision A
0,00%
Deltaprévision B
-5,00%
-10,00%
Prévisions
-15,00%
bonnes et stables
à 6% à – 2 mois
© 2015 ‐ IFP Training
-20,00%
de la fin de l’arrêt
-25,00%
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18
Mois de Projet
© 2015 ‐ IFP Training
Projet « A » plus couteux si la préparation avait été réduite ( « A »
< « AB » )
Projet « B » moins couteux si la préparation avait été doublée pour
atteindre le niveau de celle du projet « A » ( « BA » < « B » )
RPCI ‐ GM TXA ‐ 05737_A_F ‐ Rév. 1 ‐ 06/05/2015 19
=
=
© 2015 ‐ IFP Training
© 2015 ‐ IFP Training
.… , et représente la meilleure garantie du succès d’un projet
Application : phases de Mise en Service
Fin des travaux de construction
Réception Réception
PHASE Précommissioning Commissioning Démarrage
Provisoire définitive
ACTIONS
RESPONSABLE
© 2015 ‐ IFP Training
Temps
I - INTRODUCTION ........................................................................................................................ 1
IV - CONCLUSIONS ....................................................................................................................... 20
I- INTRODUCTION
Les activités de :
− commissioning (préparation au démarrage)
− démarrage
− réception provisoire
− et réception définitive
représentent les étapes ultimes de la réalisation d’un projet où il sera confirmé si ce dernier est un succès ou
un échec.
En général, ces étapes sont menées par des équipes indépendantes des équipes de construction.
Il faut intégrer dans le planning du projet les séquences et les contraintes de démarrage dès l’avant-projet. Il
est donc toujours nécessaire de préparer ces étapes bien longtemps avant la fin de la construction.
Le planning détaillé du commissioning et démarrage est inclus dans le Plan d’Exécution du Projet (PEP).
La mise en route représente un volume très important d'opérations spécifiques et rigoureuses qui sont
effectuées après la fin du montage des équipements.
Ces opérations n'ont lieu qu'une fois dans la vie de l'installation et conditionnent non seulement la difficulté ou
la facilité de sa mise en production, mais en grande partie son comportement durant toute son
existence.
Définitions :
Il est important de définir de manière claire et exhaustive la répartition des responsabilités des
différents acteurs, en partant des études jusqu’au fonctionnement industriel de l’installation.
Cette répartition n’est pas reproduite d’un projet à l’autre car elle dépend du type d’organisation et des
contrats passés entre les sociétés.
System breakdown Punch list closing Final checking Steady Equipment Contractual
(opérational operation reliability control
Static inspection of Dynamic inspection tests)
equipment of equipment Contractual Replacement or
Désaération repair of
Hydraulic tests Cleaning / flushing Plant defective parts
and dry out Oil-in Performance
Cleaning and flushing test run in
Leak tests Start-up to steady
Control based on steady state operation
PID’s Start up of specific conditions
networks (safety,
Punch-lists utilities,..)
Catalyst and
chemical product
loading
− un pilotage du projet (impliquant une "vue de projet") par systèmes fonctionnels permettant
ainsi à la maîtrise d'ouvrage de prendre ses décisions selon les fonctionnalités assurées par
ces systèmes
− un ordonnancement des tâches (études, approvisionnement, travaux, essais) qui permet de
s'assurer d'avoir l'installation disponible au moment du démarrage
− une structuration de l'ouvrage en systèmes fonctionnels, cohérente avec la vision de son
exploitation ultérieure
− une simplification du processus de réception. Elle assure la réception du projet au fur et à
mesure de l’avancement plutôt que l’ensemble du projet au dernier moment.
Exemples de systèmes
Un système comprend tout ce qui concourt directement à sa fonction opératoire : équipements, lignes,
instruments de contrôle et de régulation, alimentations d'énergie correspondants, ...
Un sous-système correspond à une partie d'un système réalisant une fonction opératoire moindre,
avec peu ou pas d'interférence avec le reste du système ou de l'ouvrage.
b - Quelques règles
Lorsqu'un élément concourt au fonctionnement de plusieurs systèmes, il est affecté dans le système
correspondant à sa fonctionnalité opératoire principale.
Le découpage en systèmes est exhaustif et un élément ne peut pas appartenir à plusieurs systèmes.
Par extension, l'aménagement de plate-forme, les bâtiments, ..., correspondant à l'environnement des
systèmes procédé et utilités sont listés comme des systèmes. Ils peuvent aussi être découpés en
sous-systèmes (ex : local compression d'air, aménagement d'une salle de contrôle).
− 001 à 099 pour les systèmes "procédé" (distillation atmosphérique, la distillation sous vide,
hydrodésulfuration, hydrotraitement, isomérisation, reforming catalytique, alkylation, FCC,
viscoréduction, unité de séparation de soufre, gas plant, etc.)
− 101 à 199 pour les systèmes "logistique" (stockage, pipeline, chargement et déchargement,
etc.) et les systèmes "offsite ou support procédé" (tels le réseau torche, l’incinérateur, les
réseaux d’égouts, les bacs de slops, le traitement des eaux usées, etc.)
− 201 à 299 pour les systèmes de "production d’utilités" (génération de vapeur, la
cogénération, la station de compression et de séchage d’air, la préparation d’eau
déminéralisée, etc.)
− 301 à 399 pour les réseaux de "distribution d’utilités" (l’énergie électrique, les vapeurs HP,
MP et BP, l’azote, le gaz combustible, l’air d’instrumentation, l’air de service, l’eau de
réfrigération, l’eau de service, l’eau potable, etc.)
− 401 à 499 pour la sécurité et la protection incendie (la station de pompage de l’eau
incendie, le réseau de distribution de l’eau incendie et de mousse, les détecteurs de gaz
inflammables, les détecteurs de flamme et de fumée, les sirènes d’alarme et d’évacuation,
etc.)
- 501 à 599 pour les "systèmes instrumentés" (le système numérique de conduite centralisée,
les automates de sécurité, etc.)
- 601 à 699 pour les "systèmes d’information et de télécommunication" (réseau d’ordinateurs
et l’intranet, le courrier électronique, la gestion documentaire, les logiciels type SAP, le
téléphone, les communications radio, etc.)
- 701 à 799 pour les systèmes "bâtiments et génie civil" (bâtiment administratif, le laboratoire,
la salle de contrôle, les ateliers, le magasin, le garage des pompiers, etc.)
Travaux de construction
b - Les activités
Activités de Précommissioning
La réception contradictoire est organisée par les équipes projet (maître d’œuvre et client) avec la
participation de l’équipe de mise en route, de l’exploitant et du bailleur de licence
On classe les réserves par ordre de criticité. Exemple dans le tableau suivant :
Classement
URGENCE
des réserves
Peuvent être terminés par le maître d’œuvre après le démarrage de l’installation, selon
C un calendrier établi de commun accord avec l’exploitant
Il est important de bien distinguer la réception mécanique de la fin des obligations du maître d'œuvre.
En effet le maître d’œuvre n’a pas nécessairement terminé toutes ses obligations lors de la signature
du procès verbal de réception mécanique.
Il reste encore à lever les dernières réserves (type B et C) selon le calendrier approuvé par l’exploitant
pendant la phase de commissioning tels que :
Lorsque les réserves sont levées, un procès verbal d’achèvement mécanique confirme la fin du
précommissioning pour chaque système.
D SEC 3674 A
Il est signé par :
Le système faisant l’objet du procès verbal est déclaré prêt pour la phase de "commissioning". Ce
procès verbal permet de formaliser la transmission de chacun des systèmes par l’équipe projet à
l’équipe de mise en route.
La liste des réserves (type B et C) restant à résoudre doit être annexée au procès verbal d’achèvement
mécanique avec un calendrier de résolution de ces réserves.
4- COMMISSIONING
Le commissioning est la préparation finale au démarrage de l’installation :
Lorsque ces opérations sont terminées, l’exploitant, aidé des services de maintenance, d’inspection et
de sécurité, vérifie que les installations sont prêtes à recevoir la charge et à démarrer.
Dans la plupart des cas (mais cela dépend des contrats passés), le commissioning est réalisé par
l’équipe d’exploitation et/ou de mise en route des installations.
À la fin du commissioning, un permis de démarrage est signé par toutes les parties concernées.
D SEC 3674 A
L’unité est alors "prête à démarrer" (RFSU - "Ready for Start Up").
Durant cette phase, les capacités et les circuits sont remplis progressivement. Ils sont menés
graduellement à leurs conditions d’opération stable.
Les installations entrent en exploitation industrielle et commerciale lorsque leur marche est stabilisée et
que la qualité des produits obtenus est conforme aux spécifications.
D SEC 3675 A
Pompe verticale à barrel Pompe process
Pour les machines tournantes, il faut réaliser des essais dynamiques préliminaires couvrant l’ensemble
de leurs points de fonctionnement.
Ces essais permettent de couvrir l’enveloppe opératoire des machines, telle que définie aux cahiers
des charges, et non pas un seul point de fonctionnement. Une durée d’essai de 72 heures est
généralement nécessaire.
Activités de démarrage
Ces essais, basés sur une procédure détaillée et durant généralement 72 hrs, permettent de vérifier
contractuellement les paramètres d’exploitation garantis au cahier des charges, à savoir :
7- RÉCEPTION PROVISOIRE
Le représentant du maître de l’ouvrage et l’exploitant confirment par écrit la réception provisoire des
installations lors de la réussite de tous les essais de performance. Les résultats techniques sont
enregistrés.
– le bailleur de licence
– le maître d'œuvre et ses fournisseurs
La période de garantie mécanique commencée lors de la mise en service des installations, se poursuit
généralement au delà de la réception provisoire.
Le maître d’œuvre, pour son propre compte et à travers lui pour le compte du bailleur de licence et des
fournisseurs, a l’obligation de remplacer ou réparer à ses frais tout matériel défectueux. Il doit aussi
corriger les défauts ou omissions résultant d’erreurs commises dans les études, la fabrication et la
construction jusqu’à l’expiration des garanties mécaniques.
9- RÉCEPTION DÉFINITIVE
À la fin de la période de garantie mécanique, le maître de l’ouvrage et le maître d’œuvre signent le
procès verbal de réception définitive par lequel le maître d’œuvre est déchargé de ses dernières
obligations contractuelles.
D SEC 3674 A
− le maitre d’ouvrage
− le maître d’œuvre - entreprise d’ingénierie et construction
− le bailleur de licence
− l’équipe de projet du maître d’ouvrage
− l’équipe de mise en route
− l’exploitant
Bailleur Maître
de licence d’œuvre
Engineering Construction
Maître
d’ouvrage
Eq.projet
Maître ouvrage
PréComm et Comm
Maître ouvrage
Mise en route
exploitants
D SEC 3664 A
Signature de contrat
07322_A_F © 2013 - IFP Training
16
− dans un contrat clé en main EPCCS, le maître d’œuvre doit rester sur le site pour assurer
ses obligations et porter assistance technique au client avec ses fournisseurs et ses sous-
traitants jusqu’au "procès-verbal de réception provisoire ou définitive" quel que soit le
moment du transfert de responsabilité
HIS
TO
RA RIC
TIO AL
S
D SEC 1822 A
− selon la taille du projet, il peut exister d'autres formes de contrats : par exemple, les études
d'ingénierie sont réalisées par le maître d'œuvre, les achats (procurement) étant réalisés
directement par le maître d'ouvrage
2- LE MAÎTRE D’OUVRAGE
Le maître de l’ouvrage peut :
Le manuel opératoire :
− il est en général, réalisé par le maître d’ouvrage en coordination avec le bailleur de licence
La mission de l’équipe de mise en route est définie dans le Plan d’Exécution du Projet (PEP). Dans la
plupart des cas, il s'agit d'une équipe d'exploitants qui auront la responsabilité de l'installation,
renforcée par des spécialistes.
Il est très important que l’exploitant participe activement aux activités de commissioning.
Démarrage de l'installation
3- LE MAÎTRE D’ŒUVRE
Le maître d’œuvre fournit au maître de l’ouvrage une installation industrielle, construite selon le cahier
de charges et à opérer avec le procédé du bailleur de licence.
Le Maître d’Œuvre est aussi responsable de la réception mécanique des installations avec le
maître d’ouvrage
4- LE BAILLEUR DE LICENCE
Les obligations et les responsabilités du bailleur de licence sont :
5- LES EXPLOITANTS
Le personnel d’exploitation est étroitement associé aux opérations de préparation à la mise en route et
assure les opérations du premier démarrage sous la direction technique du responsable de
démarrage.
Il importe que les rôles des équipes d'exploitation et de mise en route soient bien définis.
Ils sont principalement chargés des activités normales d'exploitation nécessaires à la bonne marche
quotidienne des opérations, auxquelles se rattacheront des activités de contrôle ou de supervision et
de mise en service spécifique.
Les exploitants
IV - CONCLUSIONS
Les problèmes intervenant dans les démarrages se traduisent par différentes contraintes.
Une méthode rigoureuse d'analyse des tâches doit être mise en place et être utilisée de manière identique
par tous les services.
Il faut faire un planning rigoureux, avec des phases claires et précises. Les consignes opératoires sont aussi
rigoureuses et précises
Sommaire
1. Contrôle des équipements sous pression
a. Rappels réglementaires
b. Les risques liés aux épreuves
4. La préservation
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RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 2
Voici ce qui peut arriver
Éclatement d’une ligne lors d’un test pneumatique
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 3
1 ‐ Contrôle des équipements
sous pression
a ‐ Rappels réglementaires
© 2013 ‐ IFP Training
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 4
Rappels réglementaires
Directive 97/23/CE Décrets du 2 avril 1926 et du
Equipements sous pression neufs 18 janvier 1943.
destinés à être installés dans Réglementent la construction et
l’Union Européenne. l’emploi en France des appareils
Définit : sous pression de vapeur ou de
• Les exigences essentielles de sécurité gaz comprimés, liquéfiés ou dissous.
• Les procédures d’évaluation de leur conformité
Décret du 13 décembre 1999 modifié
• Transposition en droit français de la directive européenne
• Dispositions applicables aux ESP installés en France
Arrêté du 15 mars 2000 modifié
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Définit les règles pour l’exploitation des ESP
Circulaire BSEI du 6 mars 2006
Définit les conditions d’application de l’arrêté de mars 2000
Conception et construction
Fabrication réglementée
Citerne chez le fabricant
Marquage “CE”, apposé par le fabricant
dans l’Union Européenne garantit la
conformité de l’équipement
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la réglementation
Contrôle à la construction par un organisme habilité
Spécifications de l’utilisateur
CODAP: ESP non soumis à l’action de la flamme
COVAP: Générateurs de vapeur
CONCEPTION Codes ASME “American Society
FABRICATION of Mechanical Engineers”
CONTROLES
CODETI : Tuyauteries
API 530 : Fours
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Décret 13‐12‐99 et Arrêté du 15‐03‐00 sur les ESP
Exploitation des ESP : Inspections périodiques
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Vérification des accessoires de sécurité (par exemple soupapes, disques
de rupture, …)
Exploitation des ESP : Requalifications périodiques
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l’équipement en service compte tenu de sa Pression Maximale Admissible et
de sa température admissible, multipliée par le coefficient 1,25.
− La pression maximale admissible multipliée par le coefficient 1,43”
Aspect réglementaire
CND en cours
Pression de rupture = ~50 b
Pression d’Epreuve (Requalification)
= 1,5*PMS = 16,5 b
Pression Maximale de Service (PMS)
= 11 b
Pression de Service = 10 b
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Exemple d’un ballon séparateur en service
Épreuve hydraulique
Exemple d’épreuve en atelier
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 17
Épreuve hydraulique
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RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 18
1 ‐ Contrôle des équipements
sous pression
b ‐ Les risques liés aux épreuves
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© 2013 ‐ IFP Training
Exemple de rupture d’une canalisation
pendant une épreuve hydraulique
Les risques liés aux épreuves
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Exemple de destruction lors d’un test
pneumatique à 120 bar sur des équipements
en cours de construction
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 21
Les risques liés aux épreuves
Allongement Allongement
élastique plastique
‐ Réversible ‐ ‐ Irréversible ‐
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F F
22
RC OP ADE 07325 A F Rév 3 10/03/2013
Les risques liés aux épreuves
Allongement Rupture
élastique fragile
‐ Réversible ‐
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F F
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 23
Les risques liés aux épreuves
0⁰C pour les aciers alliés au Mo, Mo‐Mn et Cr‐Mo
0⁰C à ‐ 40⁰C pour les aciers carbone
< ‐ 196⁰C pour les aciers inox
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F F
TEMPÉRATURE
DE TRANSITION
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 24
Les risques liés aux épreuves
Température en dessous de laquelle
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le métal devient fragile
Exemple de rupture d’une colonne par non
respect de la température minimale d’épreuve
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 25
Les risques liés aux épreuves
Autre exemple de rupture
d’une colonne
© 2013 ‐ IFP Training
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 26
2 ‐ Nettoyage de base
des équipements
© 2013 ‐ IFP Training
© 2013 ‐ IFP Training
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 28
Objectifs et préparation du nettoyage
Nettoyage à effectuer sur des lignes neuves
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 29
Préparation des opérations de nettoyage
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• les critères de réception du nettoyage (visuelles, US, autres ….)
• l’analyse des risques liés à ces opérations
Préparation des opérations de nettoyage
Purge / Drain
Dépose des
Dépose filtre niveaux du
à l’aspiration ballon
et injection
d’eau
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Repérage sur PID du nettoyage de lignes d’aspiration de pompes
Purge / Drain
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 31
Préparation des opérations de nettoyage
Purge / Drain
Injection d’eau de
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lavage Circuit de lavage
Repérage sur PID du nettoyage de lignes
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 32
Préparation des opérations de nettoyage
Travaux de construction
en cours de finition
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Échangeur à plaques à by‐passer
pendant le nettoyage
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 34
Préparation au nettoyage : échangeurs tubulaires
Il faut déposer les têtes des échangeurs qui n'ont pas été by‐
passés et les nettoyer
TYPE A
TYPE B
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D MTE 324 A
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Échangeurs démontés après lavage
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 36
2 ‐ Nettoyage de base
des équipements
b ‐ Opérations de nettoyage
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© 2013 ‐ IFP Training
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 38
Opérations de nettoyage
JP
O
(3) F O F
Flexible
EAU
D PCD 1425 U
O Pompe mobile
F
Exemple de nettoyage de lignes par circulation d’eau
au moyen d’une pompe mobile
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Remarque : cette méthode ne convient pas pour les circuits de grand diamètre
supérieur à DN200. Dans ce cas, le nettoyage doit se faire par tronçons
Nettoyage par circulation d’eau
BP
BP BP
• remplissage partiel de la capacité à BP
l’eau BP
ballon de réception
D PCD 2190 N5
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Nettoyage d’une capacité par
chasse à l’eau
Nettoyage à l’eau
Mise en place d’un racleur pour
le nettoyage d’une conduite
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 43
Soufflage des lignes
Dépose d’équipements pour la
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réalisation d’un soufflage
Soufflage des lignes
Ouverture d’une vanne en Ouverture d’une vanne en
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extrémité de circuit ou disque début de circuit ou disque
d’éclatement d’éclatement
Soufflage des lignes
Schéma de la production d’air sec Ensemble de compresseurs d’air mobiles
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pour des opérations de soufflage
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Exemples de qualité d’air
Mesure du point de rosée à
l’extrémité d’une tuyauterie
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 48
Soufflage des lignes
Dispositif de protection à
l’extrémité d’un soufflage
Débris
après
soufflage
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Exemple de soufflage à l’air avec projection d’eau (pendant/après)
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 49
Soufflage des lignes
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RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 50
Soufflage des lignes
Bride à ouvrir
pour soufflage
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l’air comprimé au sol dans une zone balisée avant montage.
Nettoyages spécifiques à la vapeur
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Principe d’une gare racleur
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 54
Risques liés au nettoyage
Extrémité d’une tuyauterie soufflée à Le racleur transformé en missile
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l’air comprimé + racleur renverse un engin de chantier
Fondation du réservoir
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Le gonflage non prévu d’un petit réservoir par de l’air comprimé
l’arrache de sa fondation et le projette en hauteur dans la
superstructure de l’unité
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 56
Risques liés au nettoyage
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RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 58
Cas général pour les machines tournantes
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RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 60
Cas général pour les machines tournantes
Manchettes d’aspiration à déposer pour
lavage des lignes
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 61
Cas général pour les machines tournantes
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Remise en conformité
des pompes
Cas général pour les machines tournantes
Le clapet anti‐retour est‐il remonté
dans le bon sens d’écoulement ?
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RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 64
4 ‐ La préservation
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© 2013 ‐ IFP Training
Protection plastique
Ligne mal préservée après nettoyage
sur brides
RC ‐ OP ADE ‐ 07325_A_F ‐ Rév. 3 ‐ 10/03/2013 66
Préservation
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Préservation par mise sous azote de l’équipement
Application : réception matériel
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Débutaniseur projet initial
RC ‐ OP ADE ‐ 07328_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 26/05/2011 1
Application : réception matériel
Travail demandé
1. Répondre au questionnaire en pages
© 2011 ‐ IFP Training
suivantes
Application : réception matériel
Elle s’ouvre plus rapidement
Le soufflet protège le ressort et l’ensemble mobile,
par exemple en cas de fluide corrosif
Elle permet d’avoir une pression de tarage inférieure
Elle permet d’éliminer l’effet de la contre‐pression
aval
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Elle se démonte plus facilement
Oui Non
© 2011 ‐ IFP Training
RC ‐ OP ADE ‐ 07328_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 26/05/2011 4
Application : réception matériel
Oui Non
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Nom : Nom :
Position de montage : Position de montage :
© 2011 ‐ IFP Training
Horizontale Horizontale
Verticale Verticale
Indifférente Indifférente
RC ‐ OP ADE ‐ 07328_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 26/05/2011 6
Application : réception matériel
Disque de rupture RO
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Soupape Tuyau tracé à la vapeur
Application : réception matériel
Support à ressorts
Support guidé
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© 2011 ‐ IFP Training
RC ‐ OP ADE ‐ 07328_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 26/05/2011 10
Application : réception matériel
2. Un traçage de ligne sert à repérer si la ligne se tord sous l’effet de la to
3. Le calorifugeage sert à conserver de la chaleur ou du froid selon l’application
4. Un élément de robinetterie ne doit jamais être calorifugé (gêne manœuvres)
5. L’entrée d’eau dans un calorifuge abîme ce dernier
6. Un traçage à la vapeur doit comporter des purgeurs
7. La laine de verre est un bon isolant pour les très basses températures
8. La mousse de polyuréthane est un bon isolant pour les très basses to
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9. Les tôles extérieures de calorifuge isolent les tubes de la to extérieure
10. Le traçage électrique est la plus coûteuse des techniques de traçage
Ligne
d’alimentation
vapeur
Alimentation
vapeur d’un
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échangeur
Application : réception matériel
Schéma de
principe d’un poste
de purge
Agencement d’un
poste de purge sur
un échangeur
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Suivant le schéma joint, la tige doit‐elle
dépasser de l’écrou de chaque côté ?
Si oui, de combien ?
Doit‐on graisser les tiges filetées dans le cas des produits suivants ?
Un hydrocarbure
Vapeur
Eau
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Oxygène
Application : réception matériel
2. Une bride DN 150 correspond à un diamètre 6’’
3. Il existe des brides iso PN 50 DN 50
4. Si l’on peut observer l’inscription 100 sur une bride, c’est obligatoirement
l’indication de son DN
5. Une bride série 150 peut résister à 150 Bar à la température ambiante
6. Une bride PN 20 peut résister à 20 Bar jusqu’à 400oC
7. Toutes les brides possèdent des faces surélevées
8. Une bride PN 50 peut se raccorder à une bride série 300 si celle‐ci possède
le même DN et le même type de face
© 2011 ‐ IFP Training
9. En cas d’urgence, il est possible de monter un joint spiralé sur des brides
RTJ
10. Le Viton résiste bien aux hydrocarbures
Quels sont les contrôles à effectuer sur les
assemblages par brides ?
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RC ‐ OP ADE ‐ 07328_A_F ‐ Rév. 0 ‐ 26/05/2011 16
Commissioning, démarrage et
réception des installations
1 ‐ Commissioning
MEC
ELEC
INST
Sub/System
Dossier
PIPING
© 2013 ‐ IFP Training
Telec
om
RFC Certificate
RC ‐ OP ADE ‐ 07336_C_F ‐ Rév. 0 ‐ 18/02/2013 2
Commissioning
démarrage
• …
© 2013 ‐ IFP Training
Systèmes
Planning Commissioning
100%
90%
80%
72,1%
70%
© 2013 ‐ IFP Training
63,6%
60%
54,1%
50%
47,7%
41,1%
40%
34,4%
30% 28,9%
24,1%
20% 18,7%
15,1%
10% 10,5%
4,8%
0% 0,6%
9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5
Séchage des équipements
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Séchages des équipements
• Le séchage
• Les tests d’étanchéité
• La désaération
• Remplissage et démarrage
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Exemple d’équipements à sécher
Séchages des équipements
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– 15⁰C en mode standard
– 60⁰C avec sécheurs
Séchages des équipements
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ATTENTION (!)
• L’équipement doit être construit pour
résister au vide
• L’équipement est jointé avec des platines
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III ‐ Tests d’étanchéité
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2 ‐ Tests d’étanchéité sous pression
Attention ! Dans le cas d'un test avec un gaz, en cas de rupture brutale,
l’énergie emmagasinée est 10 000 fois plus importante qu’avec un
liquide
10 bar abs. 10 bar abs.
V = 10 m3 V = 10 m3
AIR EAU
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E = 2,3 x 10 7 J (1) E = 2 x 10 3 J
D TH 1244 A
Soit 5,1 kg de TNT !! Soit 0,4 g de TNT !!
(1) : 1 kg de TNT 4,5 x 10 6 J
Énergie emmagasinée dans un équipement
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2 ‐ Tests d’étanchéité sous pression
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Recherche de fuites après mise en service
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3 ‐ Test sous vide
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2 ‐ Désaération à l’azote
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2 ‐ Désaération à l’azote
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2 ‐ Désaération à l’azote
Application : calculer le volume d’azote nécessaire à cette désaération
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2 ‐ Désaération à l’azote
F O F
PG PG
PG
F F F
O O O
Oxygène 20,8 % vol Oxygène 2 % vol Oxygène 2 % vol
F O O LSH O LSH F
Azote 98 % vol O Azote 98 % vol O LSH
LG LC LG LC LG LC
O O O
O = ouvert O = ouvert O = ouvert
F F F = fermé F = fermé F = fermé
D PCD 2190 J6
F F F F F
F
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COMPRESSION DÉTENTE
Exemple de concentration d’O2 après un cycle
de compression‐détente
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2 ‐ Désaération à l’azote
Application
1. Déterminer le nombre de cycles requis pour éliminer l’air d’un ballon et
réduire la concentration d’oxygène à 1000 ppm.
− C0 = 20,9 % volume
− C1 = 1000 ppm
− PC = 4 bar relatif
− PD = PATM
− n = cycles
• V = Nm3
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− Déterminer le volume d’azote en Nm3 requis pour réduire l’oxygène du même
ballon contenant 25 Nm3 d’air aux conditions normales par la méthode de
cycles de compression ‐ détente
• V = Nm3
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3 ‐ Désaération à la vapeur d’eau
mise en température)
ATTENTION ! !
• En cas d’alimentation insuffisante
au cours de l'opération, ou lors du
refroidissement, la vapeur se
condense et la pression baisse : il
y risque de mise sous vide !
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4 ‐ Désaération à l’eau
si possible : Réseau
fermé F
O
• remplissage jusqu'à O
débordement aux évents en F
PG
Flexible d'eau si
pas de ligne fixe
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1 ‐ Maîtrise des risques liés aux modifications
d’exploitation
• Vérification de la conformité du changement
et validation
• Archivage sur site
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Par leur signature, les représentants certifient qu’ils ont tous vérifié l’état de
préparation des installations pour assurer un démarrage dans les meilleures
conditions de sécurité.
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2 ‐ Démarrage : exemple de Permis de Démarrage
Liste de contrôle n° 1 EXPLOITATION
..………
Le signataire certifie que tous les points ci‐dessus ont été vérifiés et que, en ce qui le concerne, l'unité
Nom : peut être démarrée.
Date Signature
L'ingénieur d'Exploitation ‐ M. .....................................
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permettent d'ajuster les conditions de
fonctionnement pour obtenir les
produits aux conditions recherchées
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2 ‐ Démarrage
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1 ‐ Stabilisation
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2 ‐ Tests Run
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Raffinage-Chimie
———
STRIPPER
6 5 1
VAPEUR DE
STRIPPING
9 FT
3 2
FCV
D PCD 2684 A
8 7
Commissioning et démarrage : Questionnaire final
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+ 40oC/heure
+ 60oC/heure
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Commissioning et démarrage : Questionnaire final
Le permis de démarrage
Le procès verbal de réception mécanique
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Commissioning et démarrage : Questionnaire final
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Commissioning et démarrage : Questionnaire final