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Stockage Ifp
Stockage Ifp
PROFESSIONNALISANTE PRO/EXP4 GROUPE 1
Ingénierie Gaz‐GNL
Equipements statiques pour des applications
spécifiques au GNL
HMD / Base 24 –16‐21 mai 2015
M. Christian FREY
Tubes acier
Matériels de tuyauterie et capacités
Tubes acier
− La résistance chimique
− La résistance thermique
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Désignation complète d’un tube
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I.1 – Expression du diamètre
Exemple :
• Appellation NPS : 1/2, 3/4, 1, 1 1/4, 1 1/2, 2, 3, 4" (inches
nominaux)
• L'abréviation OD signifie “Outside diameter” (diamètre
extérieur).
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1 ‐ Normes américaines ANSI
Il y a peu de temps, le diamètre était encore repéré par un nombre appelé Nominal Pipe Size NPS ou diamètre
nominal exprimé en pouce (“).
Dans le cas d’un tube obéissant à ces normes, le diamètre extérieur correspond à une valeur qui peut être lue
sur catalogue ou sur les normes de tubes. Les tableaux en annexe donnent quelques exemples de relation entre
NPS et diamètres extérieurs réels.
On peut observer qu’il n’y a pas de corrélation directe entre le NPS et le diamètre extérieur réel jusqu'au NPS
12” inclus.
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I.1 – Correspondance pouce/cm
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1 inch = 25,4 mm
Exemples
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Un tube NPS 14’’ a un diamètre extérieur réel de 14’’ x 25,4 mm =
355,6 mm
I.2 – Expression du diamètre en norme française
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2 – Normes françaises AFNOR
Dans la norme NF comme dans la norme ISO, le tube est repéré par la valeur réelle de son diamètre extérieur
exprimée en millimètres.
Il faut noter que les anciennes normes françaises définissant les tubes par des diamètres nominaux DN,
dénomination à proscrire aujourd’hui.
Il y a concordance entre les diamètres extérieurs des tubes aux normes américaines et aux normes françaises.
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I.2 – Expression du diamètre des composants de tuyauterie
DN = NS x ~ 25
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Les américains dans le but de s’adapter au système métrique ont adopté récemment la normalisation ISO pour exprimer les diamètres nominaux
(DN) de leurs composants de tuyauterie en les repérant par des nombres entiers 15 (1/2”), 20 (3/4”) … 600 (24”).
On peut remarquer que dans beaucoup de cas les DN sont obtenus en multipliant le nombre de pouces du NPS par 25.
Exemple : l’ancienne dénomination NPS 14” devient DN 350.
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Sommaire
I. Diamètre des tubes
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L'épaisseur des tubes est obtenue par un calcul faisant intervenir :
• Les conditions d'utilisation (pression, température)
• La nuance utilisée
• La surépaisseur de corrosion éventuelle
• La tolérance de fabrication
Comme le diamètre, l’épaisseur des tubes est exprimée différemment suivant les normes américaines et les normes françaises.
II.1 – Expression de l’épaisseur en norme américaine
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L’épaisseur est définie par un nombre repère appelé schedule. Il est nécessaire de consulter un catalogue ou une
norme pour trouver la valeur réelle de l’épaisseur du tube en fonction du diamètre nominal et du schedule.
Pour un tube en acier au carbone la définition de son Schedule (Sch) est donnée par la relation suivante
SCH. = 1000 P / S
Avec :
P : pression intérieure sollicitant le tube
S : contrainte admissible par l’acier à la température maximale d’utilisation (même unité pour P et S)
Cette relation est limitée à la détermination de l’épaisseur d’un tube ne subissant pas de phénomène de
corrosion.
Par exemple, un tube supportant une pression de 40 bar et constitué d’un acier capable de supporter une
contrainte admissible de 1000 bar aurait un schedule minimum de 40.
Les normes ANSI ont défini des valeurs standards de Schedules (10, 20, 30, 40, 60, 80, 100, 120, 140, 160). A
chaque diamètre nominal de tube sont attribuées plusieurs valeurs de Schedules donc d’épaisseurs.
Les tableaux en annexe montrent les différents Schedules existants pour quelques diamètres nominaux.
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II – Schedule
Tube de 3’’ de schedule
40, 80, 160
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On observe qu’à diamètre nominal égal, plus le schedule est grand, plus l’épaisseur du tube est élevée
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II.2 – Expression de l’épaisseur en norme française
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2. Normes françaises
L’épaisseur d’un tube est exprimée en millimètres. Des gammes d’épaisseurs sont proposées en fonction du
diamètre extérieur du tube et du numéro de la norme qui identifie le type de tube et ses conditions d’utilisation
et de livraison.
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Sommaire
I. Diamètre des tubes
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III – Supportage des tuyauteries
Pour la limitation des
déformations et
contraintes mécaniques
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Les tuyauteries sont soumises à différentes sollicitations :
• Poids de la tuyauterie vide, de ses accessoires et, éventuellement du liquide contenu
• Pression intérieure
• Effet du vent
• Coups de bélier, vibrations
• Effets dus à la dilatation
Ces sollicitations engendrent des déformations et des contraintes mécaniques de traction, de flexion et de
torsion qu’il faut contenir dans des limites acceptables.
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III – Supportage des tuyauteries
Support guidé
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Support à ressorts
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On distingue principalement :
• Les supports de reprise de poids
− Sur tuyauterie horizontale, ils ont pour rôle de limiter la flèche
− Sur tuyauterie verticale, ils reprennent le poids pour éviter de fortes sollicitations mécaniques sur
les raccordements aux liaisons avec les appareils ou les machines tournantes
• Les guidages ont pour rôle d’assurer le libre déplacement de la tuyauterie dans une ou deux directions
tout en contrôlant et en limitant le déplacement dans les autres directions.
• Les ancrages ont pour rôle d’immobiliser la tuyauterie en un endroit appelé point fixe. La liaison entre la
tuyauterie et la structure sur laquelle est fixée l’ancrage doit être la plus rigide possible.
D’autres types de supports peuvent équiper les tuyauteries par exemple les supports à réaction variable ou
constante appelés couramment supports à ressort. Ils ont pour but de reprendre le poids d’une tuyauterie pour
éviter les charges importantes sur les équipements tout en l’accompagnant dans son déplacement. C’est le cas
des supports pour les lignes chaudes dont la dilatation est importante.
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Sommaire
I. Diamètre des tubes
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IV.1 – Choix des matériaux
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L’acier au carbone non allié
Utilisable entre – 29⁰C et + 425⁰C. Toutefois, cet acier ne résiste pas à l’oxydation à chaud, ni à la plupart des
agents chimiques, qui entraînent des phénomènes de corrosion.
Les aciers faiblement alliés
Pour résistance mécanique à haute température : par addition de molybdène et de chrome dont la teneur reste
égale ou inférieure à 5 %, on obtient des aciers utilisables jusqu’à 590⁰C. Ces aciers sont aussi appelés aciers de
fluage (le fluage est le phénomène d’allongement progressif des tubes au cours du temps sous l’effet de la
température et des sollicitations mécaniques).
Pour résistance mécanique à basse température : par addition de nickel (dont la teneur peut être inférieure ou
égale à 9 %), on obtient des aciers utilisables jusqu’à – 196⁰C. Ces aciers sont appelés aussi aciers de résilience
(la résilience est la résistance aux chocs).
Aciers fortement alliés ou inoxydables et les superalliages
Ces aciers hautement alliés sont utilisés dans les cas suivants :
• Résistance mécanique à haute et très haute température
• Résistance chimique selon concentration et température des agents corrosifs
Ils sont obtenus par addition de chrome et de nickel dont les proportions peuvent varier de 17 à 40 % pour le
chrome et de 8 à 50 % pour le nickel. D’autres éléments peuvent être ajoutés à ces aciers (cobalt, tungstène,
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vanadium, etc.). Suivant leur composition ils peuvent résister à des températures limites allant de + 1200⁰C à –
196⁰C.
D’autres compositions d'alliages existent et sont utilisables pour des services particuliers. Ils sont parfois
désignés par des noms d'origine commerciale par exemple : Hastelloy ‐ Incoloy ‐ Uranus ‐ etc.
IV.1 – Différents types d’aciers
Matériaux :
COÛT d’un tube par rapport à l’acier
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IV.1 – Matériaux plastiques et composites
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Tuyauteries SVR sur réseaux d’eau
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Les matériaux plastiques et les composites
A côté des aciers on rencontre de plus en plus, notamment dans l'industrie chimique, des tubes en matériaux
plastiques ou en matériaux composites.
Ils sont réalisés en PVC, polyéthylène (PE) polypropylène (PP), polyfluorure de vinylidène (PVDF), stratifié verre‐
résine (SVR) ou Glass Reinforced Plastic (GRP).
Le SVR est couramment utilisé dans les réseaux incendie.
Leurs caractéristiques d'utilisation sont les suivantes :
• Bonne résistance aux agents chimiques
• Mauvais comportement à la température (jusqu’à 100⁰C maximum pour certains)
• Grand coefficient de dilatation (beaucoup plus que l’acier)
• Assemblage des pièces de raccord délicat
• Très mauvais comportement au feu (sauf SVR)
• Sensible aux à‐coups de pression et aux coups de bélier
Pour des services sévères sur le plan de l’agressivité du produit on utilise des tubes en acier revêtus
intérieurement de matériaux résistants à la corrosion : émail vitrifié, résines époxy, graphite, zinc
(galvanisation).
Les tuyauteries sont dans ce cas conçues en éléments démontables fabriqués en atelier pour assurer la qualité
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du revêtement interne. Les interventions pour réparation sont délicates sur site et exigent une intervention
d’atelier.
IV.2 – Conséquences d’un mauvais choix
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Ruptures de tuyauteries :
incendie et pollution
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Un mauvais choix du matériau ou des conditions process non respectées peuvent entraîner :
• Des corrosions
• Des ruptures de lignes
• Des fissurations
• …
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Raccords ‐ Brides ‐ Joints
Matériels de tuyauterie et capacités
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Les raccords
Raccords SOCKET WELDING (SW) et vissés (T)
Raccords à souder en bouts (Butt Welding)
Coudes à coupes d’onglets
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Les raccords
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Chaque raccord est caractérisé par son diamètre nominal, son mode de raccordement au tube, sa série et le
matériau constitutif :
• Le diamètre nominal est celui du tube sur lequel il se raccorde
• Le mode de raccordement
• La série traduit l’aptitude à résister à une pression intérieure à une température de référence (100⁰F
pour les raccords).
• Deux séries nominales ont été établies : 3000# et 6000#. Le sigle # signifie psi et correspond à la pression
intérieure maximum supportable à 100⁰F (37,8⁰C). Si la température est supérieure à 100⁰F, la pression
maximum supportable diminue.
• Le matériau constitutif. Comme pour les tubes, il doit être choisi en fonction des conditions opératoires
et de la corrosivité du produit.
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Avec les types de raccordement SOCKET WELDING :
le tube pénètre dans le raccord et la liaison entre tube et raccord
est réalisée par un cordon de soudure extérieur
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Les raccords SOCKET WELDING (en français = emboîté‐soudé) sont utilisés pour des diamètres inférieurs ou égaux à 1 1/2”. Ils sont fabriqués par
forgeage ce qui leur confère des épaisseurs importantes et une variété dimensionnelle limitée.
Raccords vissés
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Exemples de raccords
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Raccords à souder bout en bout
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Les raccords à souder bout en bout les plus courants sont :
• les coudes qui sont formés en partant d’un tube
• les tés extrudés à partir d’un morceau de tube
• les caps forgés à partir de plaques
• les réductions obtenues par rétreinte d’une portion de tube
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Les coudes à coupes d’onglets sont réalisés à partir d’éléments de tube coupés suivant un angle qui correspond au nombre d’éléments désirés puis
assemblés par soudure.
Ils sont utilisés pour les gros diamètres pour lesquels il n’existe pas toujours de coude préfabriqués cintrés. Ces derniers en effet sont fabriqués à la
demande et ne sont pas toujours disponibles dans des délais acceptables pour le chantier.
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Les brides
Description
Type de brides
Faces de brides
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Description des brides
Description
Le raccordement de tuyauteries
par des brides comprend :
• Deux brides : assurer la
transmission de l’effort de
serrage pour comprimer le
joint d’étanchéité
• Un joint : empêcher les fuites
de fluide
• La boulonnerie : provoquer
l’effort de serrage nécessaire à
la compression du joint
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L’assemblage constituant le raccordement des tuyauteries par des brides comprend :
• Deux brides dont le rôle est d’assurer la transmission de l’effort de serrage dans le but de comprimer le
joint d’étanchéité
• Le joint qui doit empêcher les fuites du fluide vers l'extérieur si la tuyauterie se trouve sous pression
intérieure ou les entrées d'air dans le cas de tuyauteries soumises au vide
• La boulonnerie dont la fonction est de provoquer l’effort de serrage nécessaire à la compression du joint
Une bride se compose d’un plateau percé de trous pour le passage de la boulonnerie. Ce plateau comporte d’un
côté une face usinée pour le contact avec le joint et de l'autre côté une extrémité prévue pour le raccordement
avec le tube.
Des précautions très particulières doivent être prises pour le serrage des brides afin de ne pas déformer le joint
et de garder le parallélisme des faces de contact. L’ordre de serrage dans le cas de 8 tiges filetées pourra être
celui représenté ci‐dessous.
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Caractérisation des brides
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Les planches ci‐dessus montrent pour les différentes séries la dimension de la pression admissible en fonction de la température.
Types de brides
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Types de brides
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Types de brides
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Types de brides
Brides à orifice
• Ces brides sont des accessoires d’instrumentation et sont conçues
pour porter des plaques à orifice calibré destinés à faire des
mesures de débit par pression différentielle.
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Les prises de pression sont aménagées dans les plateaux. Ceux‐ci doivent être suffisamment épais, ce qui exige la série PN 50 au
minimum.
Ces brides sont livrées par paire et équipées de vis de décollement qui facilite le changement de plaque à orifice sur un circuit.
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Les faces de bride sont de différentes définitions en fonction du service et du type de joint monté dans l’assemblage.
Le joint couvre toute la surface de la bride pour éviter la déformation des plateaux par flexion que ne supportent pas des matériaux
cassants comme la fonte ou certains alliages d’aluminium.
Compte tenu de l’importante surface de contact la compression du joint n’est pas très importante ce qui limite l’utilisation de ces faces
aux conditions modérées de pression.
Faces de brides
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Ce type de face est le plus répandu. La surface de contact est réduite, et peut recevoir différents usinages : faces lisses, faces striées à
rainures triangulaires, concentriques ou spiralées, à fond arrondi spiralées.
Le choix de l’usinage se fait en fonction du type de joint : des joints durs exigent des faces lisses ou à rainures à fond arrondi, les joints
tendres correspondent à des faces striées à fond triangulaire.
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Le joint est dans ce cas un anneau métallique de section oblongue qui se loge dans deux gorges de forme trapézoïdale aménagées
dans les brides.
En position opérationnelle le joint prend appui sur les flancs des gorges ce qui assure une double étanchéité linéaire.
Cet assemblage convient notamment pour les températures élevées et/ou les hautes pressions, celles‐ci ne pouvant être supportées
par un joint non métallique.
Faces de brides
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L’assemblage à simple ou double emboîtement est constitué par une bride à face mâle ou “saillie”, une bride à face femelle ou “creux”
entre lesquelles est placé le joint.
Ce type de face est utilisé dans les échangeurs de chaleur pour l’assemblage des plaques tubulaires. On le rencontre également sur les
assemblages de chapeau de corps de robinet ainsi que dans l'industrie chimique.
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Faces de brides
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Elle est utilisée à haute pression (1000 bar et plus) et l’usinage de la portée de joint se fait dans le tube (épais compte tenu de la
pression) comme le montre le schéma ci‐dessus.
Les plateaux de bride sont vissés sur le tube, le joint est de forme hémisphérique et les usinages dans le tube sont des cuvettes
tronconiques
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Les joints
Joints tendres
Joints métalloplastiques
Joints métalliques
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Les joints
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1. Les joints tendres
Ces joints tendres sont couramment utilisés dans les industries chimiques et pétrolières. Ce sont souvent des
joints composés d'un mélange d’élastomères, PTFE, fibres synthétiques.
Pour améliorer la résistance mécanique, une trame métallique très fine peut être noyée à mi‐épaisseur au
moment de la fabrication.
Il existe également des joints tendres moulés composés le plus souvent de polymères fluorés qui possèdent une
bonne résistance aux agents chimiques.
Les substituts des joints amiante‐élastomère sont à fibres synthétiques + liant ou en graphite laminé armé ou
non. Ils sont utilisables à basse température et entre 200 à 550⁰C suivant leur nature. Les joints en polymères
fluorés sont limités à environ 200⁰C.
2. Les joints métalloplastiques
Ils sont de deux types principaux :
• Les joints du premier type sont constitués d’une enveloppe métallique enrobant un composé élastomère formant l’âme du
joint
• Les joints spiralés sont constitués d’une bande de graphite, nonas, céramique, mica ou PTFE, enroulée en spirale en même
temps qu’un feuillard métallique généralement inox en forme de V.
3. Les joints métalliques
Constitués en métal massif ou en feuilles minces ondulées, ils sont utilisés pour des conditions de service très
sévères en pression et en température. On en trouve quatre types principaux :
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La boulonnerie
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1. Les boulons
Ils sont utilisés pour des installations travaillant à faible pression et en particulier pour les tuyauteries
souterraines.
Les boulons ne sont disponibles que pour certaines longueurs spécifiques. Il est donc nécessaire de disposer d’un
stock pour chaque longueur et pour chaque diamètre.
aux “bolts tensioners” (prétention mécanique de la tige avant serrage des écrous).
Sommaire
Obturateurs de robinetterie
Robinets
Dispositifs de manœuvre des robinets
Robinets particuliers : robinets cryogéniques
Clapets de non retour
Soupapes
Disques de rupture
Purgeurs
Filtres
Voyants de circulation
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Obturateurs réversibles
Joints de dilatation
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Obturateurs de robinetterie
Vannes
à sièges obliques à sièges parallèles
Soupapes
à siège plan à siège conique pointeau équilibrée
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D MEQ 2016 A
Commentaires sur la diapositive précédente
La robinetterie est constituée par l’ensemble des appareils destinés à arrêter ou à contrôler le débit d’un fluide
dans une ligne de tuyauterie.
Le type de robinetterie utilisé est fonction du rôle à remplir (réglage du débit ou sectionnement), de la nature du
fluide, des conditions d’opération.
Dans un robinet, l’organe d’obturation est commandé de l’extérieur, soit manuellement (volant), soit par un
moteur ou servomoteur pneumatique ou hydraulique.
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Obturateurs de robinetterie
Tournants
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Clapets
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Robinets
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Robinet vanne à passage direct
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Commentaires sur la diapositive précédente
Robinet vanne
• Dans ce type de robinet, l'obturateur, commandé au moyen d'une tige, se déplace linéairement et perpendiculairement au
sens de circulation de la veine fluide ; ses deux portées d'étanchéité, appelées "portages", viennent s'appuyer en fin de
course de fermeture sur deux autres portées solidaires du corps de vanne, qui leur font face et appelées "sièges". Si les faces
des sièges sont parallèles, le déplacement de l'obturateur s'effectue parallèlement à leur plan ; si elles sont obliques,
l'obturateur se déplace alors dans un plan médian.
• C'est un robinet d'isolement qui de par sa construction ne peut réaliser de réglage de débit même en début d'ouverture, car
dans cette configuration d'utilisation, il se produit alors une érosion sur les bords des sièges et de l'obturateur, provoquant la
destruction des portées d'étanchéité. Les robinets à vanne se différencient les uns des autres par la constitution de leur
obturateur. Un robinet à vanne, appelé communément robinet‐vanne ou vanne, est constitué généralement des éléments
suivants :
− un corps prévu pour tenir aux effets de la pression de service et dont les extrémités sont en concordance avec les
impositions de la spécification de tuyauterie. Ce corps est élaboré par procédé de moulage, de forgeage ou en
construction mécano‐soudée. Il reçoit les sièges d'étanchéité, rapportés par vissage ou emboîtement et pointées
par points de soudure
− un couvercle ou chapeau qui obture le corps et qui est destiné à recevoir l'ensemble de manœuvre et son dispositif
d'étanchéité. L'étanchéité du plan de liaison avec le corps est réalisée par l'emploi d'un joint en matériaux souple
(matériaux de synthèse remplaçant les joints en amiante‐élastomère)
− une tige de commande avec son dispositif d'entraînement, ce dernier étant relié au chapeau par l'intermédiaire de
l'arcade. Cette tige de manœuvre est dans la majorité des cas à filetage extérieur, donc non soumise à l'action du
fluide ; cette tige se déplace linéairement à l'extérieur du corps par entraînement du volant de manœuvre et devient
ainsi un indicateur de position pour l'obturateur qui est à l'intérieur du corps. La tige monte ou descend, le volant
reste en position fixe. L'inconvénient de cette conception est de présenter, en position d'ouverture, un
encombrement important dans l'environnement du robinet à vanne. A l'autre extrémité de la tige de commande, le
dispositif d'attelage avec l'obturateur est équipé d'un ensemble d'étanchéité arrière dite de “back seating”
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− un dispositif d'étanchéité ou "presse‐étoupe" au droit du passage de la tige de commande. Dans la grande majorité
des constructions cette étanchéité est réalisée à partir d'un empilage de tresses, immobilisées entre une bague de
fond et le fouloir
− un obturateur, équipé ou non de bagues de portage, avec son dispositif d'accouplement à la tige de commande.
L'obturateur se présente sous la forme d'un coin usiné de façon à retarder au maximum le contact entre celui‐ci et
les sièges, afin d'en diminuer l'usure
Robinet à soupape
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Robinet à soupape
• C'est un organe de robinetterie destiné à la réalisation d'opérations de réglage de débit, par création de
pertes de charge dans l'écoulement du fluide. Il est construit jusqu'au diamètre DN 150 à 200. L'obturateur
appelé soupape ou clapet, est commandé par une tige se déplaçant perpendiculairement au plan de son
siège et parallèlement à l'axe d'écoulement du fluide au droit de ce siège. L'étanchéité à la fermeture est
obtenue par application du clapet sur son siège, généralement à contre‐courant du sens de circulation du
fluide. C'est, en conséquence, un appareil à sens de circulation unidirectionnelle et la dissymétrie est à
observer lors de l'opération de montage. Les caractéristiques générales de construction des robinets à
soupape sont très proches de celles des robinets à vanne ; ils sont constitués de :
− un corps, destiné à contenir les effets de la pression et recevoir les internes et le siège rapporté en
matériau résistant très efficacement aux conséquences de l'abrasion causée par le laminage
pendant la phase de début d'ouverture. Les extrémités du corps sont équipées afin d'être en accord
avec la spécification de tuyauterie sur le mode de raccordement avec les tubes. Le corps est fermé
par le chapeau recevant l'arcade et le dispositif de manœuvre de la tige de commande ainsi que
l'ensemble destiné à assurer l'étanchéité au passage de cette tige
− la tige de commande, solidaire du clapet qui est lui‐même éventuellement guidé dans son
déplacement sur les grands diamètres et les fortes pressions. Dans ce type de robinet, le volant est
en général solidaire de la tige et se déplace avec les mouvements du clapet ; ce déplacement se
réalise sur une course beaucoup plus faible que dans les robinets à vanne.
• La conception du dispositif d'étanchéité est identique à celle décrite pour les robinets à vanne. Les
différents robinets à soupape se distinguent entre eux par la forme de leur clapet et de leur siège
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conjugué. L'écrou de tige est fixe car solidaire du chapeau ; en conséquence la tige et le volant se
déplacent lors des manœuvres. Pour les petits diamètres, le clapet prend une forme très conique et on
parle alors de robinet à pointeau. Pour les réglages très précis ce pointeau est appelé aiguille. Les robinets
à soupape sont équipés en général d'un système de back‐seating.
Robinet à soupape inclinée
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Commentaires
C'est un robinet à soupape dont la direction de déplacement de l'obturateur est inclinée par rapport au sens de circulation du fluide, de
façon à limiter les changements de direction du fluide et donc à réduire les pertes de charge
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Robinet papillon
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L'obturateur a la forme d'un disque circulaire, se déplaçant dans un mouvement de rotation perpendiculaire à la
direction du fluide. Pour les diamètres importants, le fluide ne changeant pas de direction, la perte de charge est
plus réduite qu'avec un robinet à soupape. On peut par profilage du papillon, diminuer encore cette perte de
charge.
On distingue deux types de robinet à papillon :
• les robinets à papillon non étanche
Le contact de l'obturateur sur le corps est un contact métal sur métal et de ce fait, la fonction étanchéité
n'est pas assurée. Ils sont utilisés pour assurer la fonction de réglage sur des lignes de gaz, d'air et d'eau
sous faible pression et grand débit.
• les robinets à papillon étanche
La constitution de ce type de robinet est identique à la précédente, mais l'étanchéité à la fermeture est
obtenue par contact d'un élément souple sur un autre élément plus compact, grâce à la présence d'une
garniture déformable, en matériau compatible avec le fluide, qui est soit placé sur le pourtour de
l'obturateur, soit sous la forme d'un revêtement interne du corps pouvant assurer dans ce cas une
protection anticorrosion du corps. Cette garniture limite, en général, l'usage du robinet face à l'action de la
température.
Sur petit diamètre, la manœuvre s'effectue en prise directe par l'intermédiaire d'un levier ; sur les grands
diamètres, cette manœuvre est effectuée par l'intermédiaire d'un démultiplicateur.
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Robinet à tournant conique
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Souvent appelé "robinet à boisseau", ce type d'équipement est composé d'un corps (le boisseau) dans lequel
vient s'incorporer une pièce de forme conjuguée, l'obturateur (ou tournant) pièce mise en mouvement autour
de son axe de rotation qui est confondu avec l'axe de l'évidement du corps. Le boisseau et le tournant sont
percés d'orifices appelés lumières qui viennent se contrarier à la fermeture et se superposer à l'ouverture, selon
la position angulaire du tournant. La forme géométrique du tournant détermine la forme de la lumière,
rectangulaire pour les tournants cylindriques, trapézoïdale pour les tournants coniques et circulaire pour les
tournants sphériques. La disposition des tubulures est en général, dans les industries pétrochimiques, en
opposition mais il existe des robinets à trois, voire quatre tubulures.
Les principales parties constitutives d'un robinet à tournant sont :
• un corps évidé sur lequel sont implantées des tubulures de raccordement aux tuyauteries
• un obturateur, prolongé d'une tige de commande dont l'extrémité est usinée afin de recevoir un carré de
manœuvre, dispositif dit "quart de tour" sur les modèles non motorisés
• un couvercle de fermeture qui reçoit le dispositif d'étanchéité de passage de la tige de commande
En fonction de la forme du tournant on distingue :
• les robinets à tournant conique (plug valve) dans lesquels la lumière du tournant est trapézoïdale. Il en
existe deux types :
− le type standard ‐ petite base du tronc de cône en bas
− le type inversé ‐ petite base du tronc de cône en haut
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• les robinets à tournant cylindrique (plug valve cylindrical), dans lesquels la lumière du tournant est
rectangulaire
Les robinets à tournants cylindrique et conique sont utilisés uniquement pour la fonction
sectionnement.
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Robinet à tournant sphérique
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Robinet à tournant sphérique
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Dans ce type de robinet, le tournant est une sphère percée d'un orifice circulaire. La conception de ce type
d'organe permet, sur certains, de pouvoir effectuer une opération de régulation de débit.
La sphère peut être introduite dans un corps en éléments soudés (robinet indémontable sur les petits diamètres)
ou par la partie supérieure du corps (type top entry) ; sur d'autres conceptions le corps est en plusieurs parties
avec un plan de liaison perpendiculaire à l'axe principal du robinet (type end entry).
L'étanchéité est assurée par des garnitures en matériau plastique (le plus souvent en PTFE) ce qui en limite
l'emploi face à la température. En cas d'utilisation sur des fluides inflammables, ils doivent être équipés de
sièges dit "sécurité feu", afin d'assurer, après destruction éventuelle par l'action de la température, une
étanchéité, par contact métal sur métal ; dans cette configuration ultime, il est à remarquer que la manœuvre en
est alors impossible.
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Robinet à piston
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Ce type d'organe de robinetterie est un compromis entre le robinet à soupape (déplacement parallèle au sens de
circulation du fluide au niveau du siège) et le robinet à tournant (obturateur de forme cylindrique).
Le piston en se déplaçant dans un anneau percé de lumières, appelées lanternes, permet le réglage du débit de
fluide. L'étanchéité externe est réalisée par des rondelles souples placées au‐dessus de la lanterne. L'étanchéité
interne est réalisée par des rondelles souples placées au‐dessous de la lanterne. La reprise des étanchéités, tant
interne qu'externe, se font en même temps par serrage des écrous de chapeau.
Le serrage à la clé à vanne n'a donc aucun effet sur l'étanchéité mais détruit le robinet par rupture de la tige
filetée.
Son emploi est sélectionné lors de service sur des réseaux de fluide tel que la vapeur, l'eau surchauffée et les
fluides thermiques. Ses conditions de service sont limitées à une température d'environ 340 à 400°C et pour
des diamètres de DN 200 (limité en pratique à DN 50 sur beaucoup de sites). Ce type de robinet est très souvent
connu sous son appellation commerciale de "Robinet à piston KLINGER".
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Commentaires
Dans ce type de robinet, l'obturateur est une membrane souple insérée entre le corps et le chapeau du robinet. La fermeture ou
l'ouverture sont réalisées par déformation de la membrane, sous l'action de la tige de commande. L'avantage de ce système est d'isoler
le mécanisme de commande du fluide, et de supprimer le presse‐étoupe.
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Dispositifs de manœuvre
des robinets
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Dispositifs de manœuvre des robinets
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Commentaires
Afin de faciliter la manœuvre des robinets placés à un niveau élevé, on utilise un volant à chaîne. Pour les vannes dont le volant est situé à un niveau
bas, la commande peut s’effectuer par l’intermédiaire d’une tige d’extension.
Sur les gros robinets‐vannes, la manœuvre peut être effectuée par l’intermédiaire d’un renvoi d’angle, et lorsque l’effort est trop important on utilise
une commande par réducteur ou par servomoteur parfois équipé d’un indicateur de position.
Précautions à l’ouverture
Précautions à la fermeture
Contrôle de l’étanchéité
Tenue en température
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Utilisation de la robinetterie
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À l'ouverture du robinet : ouvrir l'opercule totalement jusqu'à sa position de butée. Dans le cas de commande par tige filetée et
volant, après manœuvre, fermer l'opercule d'un quart de tour afin de dégager le filetage et ne pas rester coincé en position
d'ouverture, ce qui permet une libre dilatation et le maintien en état du système "Back seating".
À la fermeture du robinet : fermer l'opercule modérément, puis ouvrir légèrement cet opercule, afin de réaliser un court laminage
entre le siège et l'opercule pour assurer un autonettoyage de ce siège. Puis fermer complètement l'obturateur. L'emploi abusif de
clé de manœuvre peut détériorer irrémédiablement le siège d'un robinet. Ne jamais forcer la manœuvre de l'opercule, qui peut se
trouver bloqué par un objet étranger.
Contrôle des robinets peu utilisés
• Il est important d'effectuer périodiquement dans la mesure du possible une manœuvre, même partielle de l'opercule des
robinets dont l'usage est réduit. Cela est nécessaire pour vérifier le bon fonctionnement éventuel du robinet en cas de
besoin.
Contrôle de l'étanchéité
• Fuite au joint du chapeau : resserrer légèrement en service la boulonnerie, symétriquement, sinon changer le joint.
• Fuite à la garniture : resserrer légèrement les garnitures, en service si besoin est, par action alternée sur les tiges filetées et
fixation de la bride fouloir. Il est important que le fouloir ne pénètre pas dans son logement d'une profondeur supérieure à 2
anneaux de tresse.
• Si la fuite persiste en position ouverte, elle peut être étanchée par le dispositif de back seating afin d'éviter une érosion de la
tige de manœuvre au niveau de la garniture.
• En aucun cas ce dispositif d'emploi temporaire ne doit être utilisé pour effectuer un changement de garniture en service.
Lubrification des organes
• Lubrifier avec des graisses adaptées, les écrous, les tiges de manœuvre et les engrenages pour diminuer les efforts lors des
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Robinetterie cryogénique
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Pour les applications à basse ou très basse température, la robinetterie se singularise par :
• la conception de la vanne : l'utilisation d'un corps de robinet fortement allongé permet, en plaçant la garniture à
grande distance du corps de vanne, d'éviter le gel du presse‐étoupe. En effet, un passage de tige de vanne long et
étroit, placé en position verticale ou oblique, permet la vaporisation, par déperdition thermique vers l'extérieur,
du liquide véhiculé, ce qui crée un tampon isolant de vapeur sous la garniture
• la nature des métaux utilisés
• l'utilisation de PTFE, vierge ou chargé, pour la garniture de presse‐étoupe. Ce matériau a en particulier un très bon
comportement mécanique et chimique dans ces zones de fonctionnement.
Le schéma ci‐dessus représente la conception d'un robinet cryogénique à soupape comparée à celle du robinet classique.
Pour les applications à basse température sur les liquides volatils, les fuites au presse‐étoupe de la vanne se traduisent
par l'émission de gaz, ou Composés Organiques Volatils, dans l'atmosphère. Les contraintes environnementales imposent
de réduire ces émissions, ce qui amène à utiliser des technologies de PE adaptées :
• fouloirs de presse‐étoupe à tension ajustée en continu par rondelles‐ressort inversées
• orifice de récupération des fuites vers torche
• étanchéité arrière par portée sur épaulement de tige
• et, sur le modèle ci‐dessus, connexion pour extraction hydraulique de la garniture
L'étanchéité arrière, entre l'enceinte sous pression du robinet, et la garniture, est assurée par une portée d'étanchéité de
la tige prenant appui sur un siège usiné dans le chapeau :
• jusqu'au PN100, bague en acier inoxydable sertie dans une gorge de la tige et prenant appui dans un cône de
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faible angle formant siège dans le chapeau
• cône usiné sur le collier porte‐opercule d'un robinet‐vanne
• cône usiné sur la tige
• et, pour les plus hautes performances, portée mobile sphérique s'ajustant sur un siège conique, plus soudures
étanches entre clapet et portée, ainsi qu'autour de la goupille de clapet.
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Clapets de non retour
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Clapets de non retour à battant
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Les clapets de non‐retour sont des organes de robinetterie possédant un obturateur libre dont les mouvements ne sont asservis qu'au
sens de circulation du fluide, et à son débit. De par leur conception, ceux‐ci ne laissent passer le fluide que dans un sens prédéterminé
et en conséquence leur montage est imposé par le sens de circulation des fluides.
Ils ne sont pas étanches. Ils n’isolent donc pas une tuyauterie.
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Différents types de clapets de non retour
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Clapet de retenue à levée verticale
• La conception de ce type de clapet de non‐retour appelé aussi clapet à piston est identique à celle des
robinets à soupape, l'obturateur étant guidé dans son mouvement de levée à l'intérieur de l'appareil.
• Ils sont utilisés sur les circuits vapeur et lorsque les fréquences d'ouverture et de fermeture sont assez
grandes car ce système est plus résistant que le clapet à battant.
• Selon leur diamètre, les raccordements sont à brides ou vissés ou socket welding.
Clapet à bille ou à boule, clapet à piston
• Ce type d'appareil est identique au clapet de retenue à levée verticale, mais l'obturateur est remplacé par
une bille, une boule ou un piston.
Clapet sandwich
• C'est un clapet à battant dont l'encombrement, réduit au maximum, permet le montage entre brides et
contre‐brides.
Clapet à double battant (duo‐check)
• Le battant est constitué par deux demi‐battants articulés dans l'axe de la tuyauterie, la fermeture est
facilité par l'action d'un ressort.
Clapet de pied avec crépine
• Ils sont destinés à maintenir en charge la ligne d'aspiration d'une pompe, dans une capacité située à un
niveau inférieur. Leur conception est celle d'un clapet de retenue à levée verticale, dont l'orifice d'entrée
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est muni d'une crépine. Le clapet peut dans certains modèles être remplacé par une bille.
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Soupapes de sécurité
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Définition
Ressort
Clapet
D MEQ 2047 A
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Commentaires
Les soupapes de sécurité sont munies d'un clapet fermé par un ressort taré en général à 10 % au‐dessus de la pression de service. Le
fluide exerce une pression en dessous du clapet, imposant par là un sens de montage à respecter.
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Soupape de sécurité conventionnelle
Commentaires sur la diapositive précédente
Le schéma précédent décrit une soupape conventionnelle.
Les soupapes sont constituées d'une façon générale par :
• un corps en acier moulé équipé de deux raccordements généralement à bride et d'équerre, un des orifices
de raccordement étant relié à l'équipement à protéger (le plus souvent sur une tubulure de celui‐ci),
l'autre étant raccordé à un réseau de torche ou à l'atmosphère
• un siège, vissé ou soudé sur le corps, en acier inoxydable à portée stellitée, associé à une ou deux bagues
de réglage d'ouverture
• un chapeau ou arcade supportant l'ensemble du dispositif antagoniste de force (ressort et son dispositif
de réglage) ; ce chapeau peut être complètement étanche sur les fluides de procédé ou à arcade ouverte
sur les réseaux de vapeur
• un équipage mobile constitué de la tige, avec le clapet à sa partie inférieure et du dispositif d'appui et de
réglage du ressort. Cet ensemble, ainsi que les divers éléments de guidage intermédiaire, étant construit le
plus souvent en acier inoxydable
• un ressort prenant appui sur la partie supérieure du chapeau et exerçant sa réaction sur le clapet par
l'intermédiaire d'une rondelle d'appui, plaquant ainsi le clapet sur son siège
• un bouchon obturateur à la partie haute de l'arcade assurant l'étanchéité du chapeau si besoin et
protégeant également le dispositif de vérification et d'essai en marche. Sur les soupapes ouvertes
(utilisées sur les réseaux vapeur), à la partie haute du chapeau, il est à noter la présence d'un levier de
décharge manœuvrable manuellement afin de s'assurer du bon état de fonctionnement de la soupape
(blocage éventuel par une action corrosive ou mécanique)
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Commentaires
Le schéma ci‐dessus décrit une soupape équilibrée. Elle est munie d'un soufflet qui protège le ressort et élimine l'effet des contre
pressions aval.
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Soupape de sécurité avec levier de manœuvre
(circuit vapeur d’eau)
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Commentaires
Les soupapes de sécurité placées sur les réseaux vapeur sont munies d'un levier permettant de décoller de temps à autres le clapet de
son siège.
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Interlock sur soupape de sécurité
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Commentaires
Lorsque plusieurs soupapes sont disposées en parallèle elles sont munies d'un dispositif de sécurité empêchant un isolement complet de la capacité
protégée. Les soupapes sont soumises à un contrôle périodique de tarage afin de s'assurer de leur bon état de fonctionnement.
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Disques de rupture
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Différents types de disques de rupture
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Les disques de rupture constituent un dispositif de protection contre les surpressions ou les dépressions. Ils sont
constitués par un clinquant de métal ou de graphite calculé pour se rompre à une certaine valeur de surpression
ou de dépression.
Les disques de rupture sont généralement installés en amont des soupapes, pour les isoler des produits
corrosifs.
Ils peuvent également être installés seuls comme dispositifs de relâchement unique.
Ils comportent généralement une indication de rupture du disque par mesure de pression, local ou relié en salle
de contrôle.
Deux grandes catégories de matériaux sont utilisés :
• disques métalliques constitués d'une quinzaine de matériaux différents. Trois grandes conceptions
technologiques sont proposées :
− disque conventionnel dôme, le dôme est dans la direction de l'action de la pression de rupture et
se rompt sous l'action d'une force de tension
− disque dôme inverse, le dôme fait face à la direction de la pression de rupture et se rompt sous
l'action d'une force qui le gauchit, le plie ou le cisaille
− disque de rupture avec ligne de fente prédécoupée, il est alors constitué de deux ou plusieurs
couches, l'une d'entre elles étant fendue ou rainurée de façon à contrôler le plus exactement la
pression de rupture
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• disques de sécurité en graphite. Ils sont constitués par un disque en graphite comportant un voile de
rupture étalonné avec une grande précision de façon à obtenir une libération de la surface active quasi
instantanée en se déchirant sous l'action de la pression. Ils ont un tarage beaucoup plus précis au niveau
de la pression d'éclatement que les disques métalliques, mais présentent, lors de leur éclatement,
l'inconvénient de se pulvériser en petites particules dans toute la tuyauterie aval
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Purgeurs de condensats
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Définition
Commentaires
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Principe basé sur la différence de En présence d’eau : ouvert
densité entre l’eau et la vapeur En présence de vapeur : fermé
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Purgeur à flotteur fermé
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Dans ce type de purgeurs, le mécanisme s'apparente à celui d'une chasse d'eau.
Ils sont utilisés sur des services où une grande variation de débit d'évacuation de condensat est recherchée, sans
toutefois dépasser sa capacité d'évacuation maximale.
C'est un modèle de purgeur très fiable, peu sensible aux effets du gel, car à l'arrêt il ne contient, à l'intérieur du
corps, qu'une petite quantité d'eau.
Par contre le flotteur, enceinte fermée, craint énormément les conséquences de l'action des coups de bélier et
de la corrosion des condensats, parfois agressifs.
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Purgeur à flotteur ouvert
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Dans ce type de purgeur, le flotteur est ouvert à sa partie inférieure et l'alimentation en condensats s'effectue à
l'intérieur de ce flotteur.
Lorsque le condensat traverse le purgeur le flotteur reste sur la base inférieure du corps et permet l'évacuation
du condensat par l'orifice, alors ouvert, situé à la partie supérieure de ce même corps.
Lorsque la vapeur arrive à l'intérieur du flotteur, elle le remplit provoquant son élévation, qui a pour
conséquence de fermer l'orifice d'évacuation.
La vapeur contenue dans le flotteur se condense alors, diminuant la flottabilité de celui‐ci, qui dans sa chute
provoque la réouverture de l'orifice d'évacuation des condensats.
À la partie supérieure du flotteur, un orifice de très petit diamètre a été percé afin de permettre l'évacuation des
incondensables qui pourraient se concentrer dans le flotteur et bloquer ainsi le fonctionnement du purgeur.
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Principe basé sur la différence
de température qui règne à
l’intérieur du purgeur
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Purgeur thermostatique à dilatation de métal
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Purgeurs thermostatiques
• Les purgeurs de cette famille s’ouvrent ou se ferment en fonction de la température régnant à l’intérieur
du purgeur. Ils séparent l’eau de la vapeur par différence de température.
Principe basé sur la différence
de température qui règne à l’intérieur
du purgeur
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Purgeur thermostatique équilibré (dit à capsule)
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Purgeurs thermostatiques à soufflet équilibré
• L'élément fonctionnel est un soufflet monté dans le corps du purgeur. À la partie inférieure du soufflet est
monté un clapet, qui dans son déplacement, peut obturer l'orifice d'évacuation. Ce soufflet est rempli d'un
mélange d'eau et d'alcool qui possède un point d'ébullition inférieur à celui de l'eau. Lorsque la vapeur
arrive dans le purgeur, le liquide se trouvant dans le soufflet se vaporise sous l'action de la montée en
température et entraîne la dilatation du soufflet qui ferme alors l'orifice d'évacuation. Le clapet reste
fermé jusqu'à ce que la chaleur contenue dans le purgeur soit évacuée, principalement par convection,
afin de permettre grâce à la contraction du soufflet la réouverture de l'orifice d'évacuation. À froid ce type
de purgeur est en position d'ouverture totale, permettant ainsi un démarrage extrêmement rapide de
l'installation grâce à l'évacuation des condensats et des gaz ; il est donc très efficace en début de service.
• Ce type de purgeur est par contre très fragile face aux coups de bélier et il faut porter une attention très
grande à son contexte d'implantation afin d'éviter toutes les rétentions d'eau en amont, causée par une
longueur droite de tuyauterie trop importante ou par la présence d'un point bas ; de même il est
insensible aux effets du gel s'il est dans une situation où le drainage du corps est correctement effectué.
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Purgeurs thermodynamiques
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Le corps du purgeur comporte un chapeau, un disque et deux sièges annulaires.
Une seule pièce en mouvement : le disque
Les condensats et l’air passent dans la chambre de réchauffage avant d’entrer dans la capsule. Ils repoussent le
disque vers le haut et s’écoulent vers l’orifice de sortie.
Lorsque la vapeur arrive, sa grande vitesse crée une dépression sous la face inférieure du disque et exerce, par
sa pression , une force sur la face supérieure du disque. Celui‐ci est plaquée sur le siège empêchant le passage de
la vapeur vers l’orifice de sortie.
Ce type de purgeur fonctionne par cycles. Le cycle de fonctionnement et fortement influencé par la température
extérieure. Il est très sensible à l’érosion et aux traces de pollution qui peuvent être contenus dans le condensat
ou la vapeur.
Théoriquement, ce type de purgeur est apte à fonctionner dans toutes les positions, mais son rendement est
optimum en position d’installation horizontale.
La contre pression admissible à la sortie est limité à 80 % de la pression entrée. Sur des purgeurs “haute
pression”, on peut descendre jusqu’à 50 %.
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Purgeur à orifice fixe
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Les condensats passent à travers l’orifice et s’évacuent normalement vers le ballon de récupération.
Lorsque les condensats sont remplacés par de la vapeur, la perte de charge est si importante que seul un faible
débit massique de vapeur sort du purgeur.
L’air est aussi évacuée en continu.
Avantages :
• Pas de pièces mobiles
• Fuites de vapeurs très réduites
• Évacuation en continu des condensats sans à‐coups
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Différents types de filtres
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Les filtres
Ils sont de plusieurs types :
• filtres montés directement dans la tuyauterie : chapeau chinois, trapézoïdal
• filtre cartouche pour les petits diamètres Ø < 2 »
• filtre panier monté sur la tuyauterie pour les gros débits
• filtre en dérivation dans un té
Ces filtres sont caractérisés par leur coefficient de passage qui doit toujours être supérieur à 3.
Coefficient de passage = Surface de vide du filtres/Section droite inférieure de la tuyauterie
Les filtres sont le plus souvent installés en amont des pompes et des purgeurs pour les protéger des corps
étrangers qui pourraient les détériorer.
Ils sont dits temporaires s'ils restent en place uniquement pendant la mise en marche d'une installation.
Ils sont dits permanents s'ils restent en place pendant toute la durée de vie de l'installation.
Les filtres doivent être surveillés périodiquement. Les petits filtres sont démontés et nettoyés régulièrement,
l'état d'encrassement des plus gros filtres peut généralement être suivi par un indicateur de pression
différentielle entre l'amont et l'aval du filtre.
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Voyants de circulation
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Voyants de circulation
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Ils permettent d'observer la circulation du fluide dans la tuyauterie. On les trouve souvent sur les retours de condensats des purgeurs et
sur les circuits de réfrigération et de lubrification des grosses machines.
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Obturateurs réversibles
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Placés entre deux brides, ils ont deux positions possibles. Dans l'une ils laissent passer le liquide, dans l'autre
position ils arrêtent la circulation. On les utilise chaque fois que l'on veut isoler un tronçon de tuyauterie avec
certitude qu'il n'y aura pas de fuite.
Les joints "Hamer" se montent sur la tuyauterie comme un robinet à souder en bout et permettent une
manœuvre rapide de l'obturateur. Il suffit pour cela de desserrer la bride, de basculer l'obturateur, et de
resserrer la bride. On les trouve essentiellement sur les tuyauteries sous contrôle douanier.
Les joints "ONIS" permettent une manœuvre encore plus aisée par simple manipulation d'un levier qui écarte ou
resserre les deux flasques en contact avec le joint.
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Joints de dilatation
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Joints de dilatation
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Commentaires
Ils permettent d'absorber des déformations axiales ou radiales ou des rotations lorsqu'une tuyauterie travaille à forte température. On
les utilise chaque fois que la souplesse naturelle de la tuyauterie ne permet pas d'absorber les efforts provoqués par les dilatations.
Soupapes de sécurité
Définition
Soupape de sécurité
‐ conventionnelle ‐
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RPCI ‐ Formation de base opérateurs ‐ BE MTU ‐ 00899_C_F 3
Soupapes de sécurité
Soupape de sécurité
— Équilibrée à soufflet —
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RPCI ‐ Formation de base opérateurs ‐ BE MTU ‐ 00899_C_F
00899_C_F rév 2 du 28/10/2009 5
Soupapes de sécurité
Interlock sur
soupape de sécurité
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Traçage
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RPCI ‐ Formation de base opérateurs ‐ BE MTU ‐ 02127_A_F 3
Maintien en température des équipements et des
tuyauteries
2 solutions :
• Eau tempérée
• Résistance électriques
Utilisation d’un réseau de vapeur basse pression
La vapeur est distribuée dans des petits tubes autour de la
tuyauterie process ou des équipements
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Traçage à la vapeur
Détails de disposition et de montage
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Principe de l’installation
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Tuyauteries à double enveloppe
Pour longueur de tronçon de 6 m environ
Précautions :
‐Prévoir un poste de purge à chaque tronçon.
‐ Les lignes sont posées avec une légère pente.
‐ Entrée de la vapeur en point haut
‐ Point de purge en point bas.
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Pour relier plusieurs tronçons
Précautions :
‐ Ne pas dépasser une longueur de 24 à 30 m sous
les climats tempérés et de 12m dans les zones
froides
‐ Prévoir un pontage haut et bas de tous les
tronçons intermédiaires
Schéma de montage incorrect
Pourquoi?
Le passage du condensat contrarie l’écoulement de
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la vapeur
Traçage électrique
3 types :
‐Réseaux électriques classiques
‐ Réseaux auto‐régulateurs
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‐ Traçage par effet de peau
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Traçage électrique
Quand la
température
augmente, la
résistance croît,
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ainsi la chaleur
fournie diminue
Conducteur électrique en cuivre =
câble porteur
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Comparaison des différentes méthodes de traçage
Bonne Bonne
Efficacité Excellente (à très bonne avec ciment (très bonne avec ciment
conducteur) conducteur)
Température d’équilibre de Assez bien connue
Prévisible avec précision Mal connue (sauf avec ciment)
la tuyauterie (surtout si traceur auto‐régulant)
Limite connue
Consommation Prévisible, assez élevée Mal connue (assez élevée)
(faible si auto‐régulante)
Facile et rapide
Mise en service Longue Longue
(automatisation possible)
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Calorifugeage ‐ Isolation
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Calorifugeage
Avec un matériau isolant
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Isolation type “conservation de la chaleur”
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Matériel thermique
Matériel thermique
PRESENTATION
Lois de transfert de chaleur
Application aux échangeurs de chaleur
Technologie de différents types d’échangeurs
• tubulaires
• à plaques
• aéroréfrigérants
• fours
• vaporiseurs
• électriques
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Matériel thermique 2
Lois de transfert de chaleur
Conduction
Convection
Radiation
Chaleur spécifique, chaleur latente
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Matériel thermique 3
Principes fondamentaux
Transfert d’énergie
• D’un fluide à haut niveau thermique vers un fluide à plus bas niveau
thermique, transfert d’autant plus grand que la différence de température
est grande
• Radiation
Matériel thermique 4
Conduction
Loi de Fourier Conductivité thermique (W/m.K)
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débits
Matériel thermique 5
Quelques rappels sur les unités
Matériel thermique 6
Conductivité thermique (λ)
Métaux
• Cuivre 400 W/m.K
• Aluminium 235 W/m.K
• Fer 80 W/m.K
• Acier 55 W/m.K
• Inox 304 15 W/m.K
Verre
• Plaque de verre 1.3 W/m.K
• Laine de verre 0.04 W/m.K
Divers
• Eau 0.6 W/m.K
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• Poussières 0.14 W/m.K
• Polystyrene expansé 0.035 W/m.K
• Air 0.024 W/m.K
Matériel thermique 7
Convection
Température paroi
(°K)
Température
ambiante (K)
En général
•hgaz < hliquide
•hHC visqueux < hHC non visqueux
•hHC < heau
Convection naturelle W / m² . °K
• Air (ambiance calme) 5 ‐ 10
• Air (avec un vent de 40 km/h) 40
• Fumées (zone de convection) 50
Convection forcée
• Gaz 25 – 250 (mais augmente rapidement avec la pression)
• Liquide 50 ‐ 20 000
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Convection avec changement de phase
• Vaporisation ou condensation 2 500 ‐ 100 000
Matériel thermique 9
Radiation
Loi de Stephan‐Boltzmann
Emittance Stephan‐Boltzmann constant
5.6704 x 108 W/m2.K4
Le transfert de chaleur global est souvent la
combinaison de ces 3 modes de transfert :
conduction, convection et radiation !
Convection
Conduction Conduction
Radiation
Convection
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Radiation
Matériel thermique 11
Duty (kW) Q M C p T
Différence de température
Débit massique (kg/s) entrée/sortie (°K)
Duty
(kW) Q M Chaleur latente ‐ Kj / Kg
Débit massique (kg/s)
Vaporisation ou condensation d’un fluide (changement de phase) = CHALEUR
LATENTE
• Chaleur latente = différence d’enthalpie entre la phase liquide et la phase vapeur
CHALEUR
CHALEUR SPECIFIQUE (Cp) SPECIFIQU
CHALEUR LATENTE
DE GAZ E (Cp) DE
kJ/kg
kJ/kg.K LIQUIDES
kJ/kg.K
Méthane 2.20 ‐ 510
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Matériel thermique 13
Tube
Plaque de distribution
Boîte de retour
ou fond de
Calandre calandre
Plaque tubulaire Chicane
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Boîte de distribution
Matériel thermique 14
Échangeur tube/calandre – Plaque tubulaire fixe
CHICANES
BOITE DE CALANDRE
DISTRIBUTION BOITE DE
RETOUR
T1 t2
t1
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T2
PLAQUES TUBULAIRES
Matériel thermique 15
CHICANES
BOITE DE BOITE DE
DISTRIBUTION CALANDRE RETOUR
T1 t2
CLOISON
t1
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T2 TETE
FLOTTANTE
PLAQUES TUBULAIRES
Matériel thermique 16
Échangeur tube/calandre – Intêret d’une tête flottante
Technologie à plaques tubulaires fixes
• Avantages : Construction simple, économique et compacte
• Inconvénients : Expansion thermique du faisceau proscrite
Nettoyage chimique uniquement (tubes en U)
• Domaine application
• Fluide propre côté calandre
Fluide non corrosif uniquement
• Faible DT entre les tubes et la calandre (<50°C)
Technologie à tête flottante
• Avantages : Nettoyage mécanique possible
• Expansion thermique du faisceau permise
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• Conséquences ‐ Technologie très fréquemment utilisée
Matériel thermique 17
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Technologie des échangeurs de chaleur
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Matériel thermique 19
Tubes et calandre
Double tube Échangeurs de chaleur tubulaires
Plaques démontables
Plaques ailetées‐brasées / soudées
Échangeurs à plaques
Cryogéniques bobinés
Packinox
Aéroréfrigérants
Réchauffeurs directs et fours
Échangeurs pour vaporisation de gaz naturel liquéfié et d'azote liquide ‐ Open Rack
Vaporizer (ORV)
Submerged Combustion Vaporizers (SCV)
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Matériel thermique 20
Échangeurs tubes / calandre
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Matériel thermique 21
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Matériel thermique 22
Échangeurs tubes / calandre – Faisceaux de tubes
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Matériel thermique 23
Le plus fréquent
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Helixchanger
Matériel thermique 24
Échangeurs tubes / calandre – Types de calandre
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Matériel thermique 25
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Matériel thermique 26
Échangeurs tubes / calandre – Standard TEMA
Types de boites de retour (ou fond de calandre)
FOND FLOTTANT AVEC
CONTREBRIDE
DEMONTABLE
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Matériel thermique 27
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Matériel thermique 28
Échangeurs tubes / calandre – Maintenance
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BOUCHONS
Matériel thermique 29
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Matériel thermique 30
Design des échangeurs tubes / calandre
Passes multiples
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Matériel thermique 31
Design des échangeurs tubes / calandre
Espacement entre les chicanes
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Matériel thermique 32
Design des échangeurs tubes / Calandre
Approche ou potentiel thermique
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•
Matériel thermique 33
Approche
• Ne peut pas être égale à zéro – sauf surface d'échange infinie
• Recommandations pour le dimensionnement d'échangeurs
• Permet d'estimer la température minimale à atteindre
Approche optimale
• Approche = approche optimale si toute surface additionnelle ne peut
pas être rentabilisée en récupération d'énergie
• Dépend de la technologie de l'échangeur, du duty, des hypothèses
de coût d'amortissement
− Faisceau et calandre 8°C ‐ 10°C
− Echangeurs à plaques 2°C ‐ 5°C
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Matériel thermique 34
Design des échangeurs tubes/calandre – Pas des tubes
Pas triangulaire
Flux calandre
‐ Plus de tubes (+15%)
‐ Nettoyage chimique
Pas carré
Flux calandre
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‐ Nettoyage mécanique
Matériel thermique 35
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Matériel thermique 36
Design des échangeurs tubes / calandre
Choix du fluide côté tubes – Calandre
Côté tube
• Fluide sous la plus haute pression
• Fluide haute température
• Fluide salissant
• Fluide corrosif
• Fluide entraînant dépôts, sédiments – eau de mer
• Vapeur
Côté calandre
• Le fluide de plus haute viscosité
• Le fluide qui doit être vaporisé
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• Le fluide de plus fort débit
Matériel thermique 37
Design des échangeurs tubes / calandre – Implantation
Zone Maintenance
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Matériel thermique 38
Double tubes
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Matériel thermique 39
Échangeurs double tube
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Matériel thermique 40
Échangeurs double tube
Tube extérieur
AVANTAGES
• Economique
Tube intérieur
• Entretien facile
• Robuste
• Pression & température : pas de limitation
INCONVÉNIENTS
• Faibles débits uniquement
• Surface d'échange limitée : 10 m² ‐ 15 m² maximum
− tube intérieur: 1" 1/4 ‐ 3"
− tube externe : 2" ‐ 4"
− longueur de tube: 12 ft ‐ 20 ft
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• Encombrement au sol
Matériel thermique 41
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Échangeurs cryogéniques bobinés
Spiral Wound Heat Exchangers (SWHE)
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Matériel thermique 43
Échangeurs cryogéniques bobinés application typique
FLASH GAS
(Fuel Gas)
‐150°C ‐160°C + NITROGEN
EXEMPLE D'UN PROCÉDÉ DE LIQUÉFACTION DE GAZ C3‐
45 1
MR (avec l'accord APCI) bar bar
LNG
CYCLE Faisceau
PROPANE froid
faisceau
chaud
GAZ 30°C
50
bar
‐ 35 °C
Echangeurs tubes ou plaques
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CYCLE REFRIGERANT
(N2, C1, C2, C3)
Matériel thermique 44
Échangeurs cryogéniques bobinés technologie
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Matériel thermique 45
Échangeurs cryogéniques bobinés fabrication
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Accord de LINDE
Matériel thermique 46
Échangeurs cryogéniques bobinés en fabrication
Autorisation LINDE Autorisation LINDE
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Autorisation LINDE Autorisation LINDE
Matériel thermique 47
Échangeurs cryogéniques bobinés en opération
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mche ‐ arun
Matériel thermique 48
Échangeurs cryogéniques bobinés – Caractéristiques
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Configuration des flux
• Opération verticale
• Plusieurs fluides côté tubes, un seul côté calandre
Matériel thermique 49
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Échangeurs à plaques
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Matériel thermique 51
Plaques démontables
Ensemble de plaques métalliques
Joints d'étanchéité périphérique déterminant les canaux
de circulation et la surface effective d'échange
PRESSION MAXIMALE : 25‐30 bar
TEMPERATURE MAXIMALE : 250°C
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Matériel thermique 53
Plaques démontables
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Matériel thermique 54
Plaques démontables
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Matériel thermique 55
Plaques démontables
AVANTAGES
• Très compact (faible rétention de liquide, moins de matériau, peu d'espace pour les
opérations de maintenance)
• Performance adaptable en cours d'exploitation par modification de la surface (adjonction de
plaques) ou de l'efficacité (changement du groupage)
• Coefficient d'échange élevé
• Possibilité d‘utiliser un seul échangeur pour le transfert thermique de plusieurs fluides
simultanément
• Faible approche (2 to 5°C)
• Bonne résistance à l'encrassement
LIMITATIONS
• Utilisation limitée à des conditions de pression et température peu sévères
• Bouchages potentiels des canaux
• Design breveté
Utilisations répandues
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Matériel thermique 56
Plaques démontables – Applications
Glycol Gaz vers pipeline ou
contacteur recyclage
Échangeurs à plaques
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Matériel thermique 57
Plaques soudées
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Matériel thermique 58
Plaques soudées
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Matériel thermique 59
Plaques soudées
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Compabloc (Alfa Laval) Alfarex (Alfa Laval)
Matériel thermique 60
Plaques soudées
Avantages :
Bonne étanchéité
Utilisation possible de fluides corrosifs
Plage d'utilisation plus large par rapport aux plaques démontables :
• T° : de ‐50°C jusqu'à +300°C
• Pression : jusqu'à 40 bars
Limitations :
Ne résiste pas aux fortes P (par exemple arrêts‐redémarrages fréquents)
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Matériel thermique 61
Échangeur à plaques spiralées
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Matériel thermique 62
Échangeur à plaques spiralées
Avantages
•Température : jusqu'à 400°C
•Adapté aux fluides chargés
•Surface d'échange élevée pour un faible encombrement
au sol
•Peu de maintenance : auto‐nettoyant par entraînement
de dépôts
•Pas de pollution croisée entre canaux
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Limitations
•Pression inférieure à 20 bar
•Risque de bypass en cas de défaillance joints
Matériel thermique 63
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Aéroréfrigérants
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Matériel thermique 65
Aéroréfrigérants – Technologie
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Matériel thermique 66
Aéroréfrigérants – Tubes ailetés
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Matériel thermique 67
Aéroréfrigérants – Boites de distribution
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Matériel thermique 68
Aéroréfrigérants
Tirage forcé Tirage induit
AVANTAGES : AVANTAGES :
Faisceau protégé par hotte, à l’abri des précipitations
Le ventilateur n’est pas dans l’air chaud,
Meilleure répartition de l’air à travers le faisceau
Plus faible consommation de puissance
Convection naturelle plus importante
Plus grande facilité d’entretien Meilleure accessibilité au faisceau
Arbre court
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LIMITATIONS :
LIMITATIONS : Ventilateurs dans l'air chaud
Tubes soumis aux intempéries Assemblage plus difficile
Matériel thermique 69
Aéroréfrigérants – Performances
SURFACE AILETEE
= 7 à 20
SURFACE NUE
Régulation par
• Volets ajustables
• Ventilateurs à pas variable
• Recirculation de l'air chaud
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Matériel thermique 70
Aéroréfrigérants – Caractéristiques
AVANTAGES
• Simple
• Air très accessible
LIMITATIONS
• Faible coefficient d'échange thermique surface importante au sol
requise
• Approche élevée
• Température de l'air
• Recirculation d'air chaud
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Matériel thermique 71
Échangeurs, fours et chaudières
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Matériel thermique 72
Réchauffeurs indirects
Chaleur générée par la combustion de fuel
Tube de chaudière localisé dans une capacité contenant un liquide (eau, ..)
Utilisations typiques
− Gaz de tête de puits (prévention des hydrates)
− Transport du gaz (prévention des hydrates)
− Brut (traitement émulsion, dégazage)
− Vaporisation des GPL ou GNL(SCV)
− Rebouilleur (colonne de stabilisation du brut…)
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Matériel thermique 73
Réchauffeurs indirects – Principe
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Matériel thermique 74
Réchauffeurs directs et fours
Pas de bain intermédiaire
Domaine d’utilisation :
• Puissance thermique importante
• Températures élevées
Différents types
• Cabine
• Cylindrique vertical
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combustible (corrosion)
Matériel thermique 75
Fours – Technologie
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Type VERTICAL CYLINDRIQUE Type CABINE
Matériel thermique 76
Fours – Technologie
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Type VERTICAL CYLINDRIQUE Type CABINE
Matériel thermique 77
Fours – Technologie
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Matériel thermique 78
Fours – Performances
Énergie absorbée
Efficacité...E=‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐
Énergie apportée
• Efficacité zone de radiation : 50 to 55%
• Efficacité globale (Convection + Radiation) : 75 to 90%
Energie apportée par le combustible
• PCI : Pouvoir Calorifique Inférieur Quantité d’énergie libérée par la combustion
• PCS : Pouvoir Calorifique Supérieur = PCI + chaleur condensation de la vapeur produite par la
combustion
Perte énergétique
• À travers la paroi ~ 1 à 2%
Excès d’air
• Par rapport à la stœchiométrie de la réaction de combustion. ~ 2 ‐ 3% O2 dans les fumées
• Optimum à trouver pour assurer une combustion complète et limiter les pertes énergétiques
Tirage
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Tirage forcé
naturel
Fuel Oil 20‐25% 5‐15%
Fuel Gas 10‐15% 5‐10%
Matériel thermique 79
Chaudières – Technologie
• technique la plus classique pour la production de
vapeur.
• La vapeur est générée en chauffant un important
volume d’eau, au moyen de fumées produites par
combustion de gaz ou fioul et circulant dans des
tubes immergés.
• Production souvent inférieure à 25 t/h, générant de
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la vapeur saturée à une pression inférieure à une
vingtaine de bar
À TUBE DE FUMÉES À TUBES D'EAU
Matériel thermique 80
Chaudières à tubes d'eau – Technologie
Eau admise par le ballon supérieur
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Circulation naturelle via la différence
de densité
Matériel thermique 81
Chaudières à tubes d'eau – Technologie
Surchauffeur
Ballon supérieur
Zones d'échange
Chambre de
brûleurs combustion
Surchauffeur
Ballon inférieur
brûleurs
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Matériel thermique 82
Vaporiseurs de GNL
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Matériel thermique 83
Open Rack Vaporizers (ORV)
Système
d’approvisionnement en eau
de mer important (pompes,
tuyauteries…)
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Matériel thermique 84
Submerged combustion vaporizers (SCV)
~1.5% autoconsommation
énergétique
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Matériel thermique 85
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Réchauffeurs électriques
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Matériel thermique 87
Réchauffeurs électriques
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Matériel thermique 88
Recommandations
pour le choix d’un échangeur thermique
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Matériel thermique 89
Charge thermique
Approche thermique
Materiau Facteurs
Pression et température Acier 1.0
Inox 3.0
Incoloy 7.0
Exigences de nettoyage Titanium 10.0
Type de fluide
Matériel thermique 90
Échangeurs de chaleur – Applications
Faisceau et calandre
• Tous types d'applications (les plus utilisés)
• Température d'approche 8‐10°C (min.)
Double tube
• Idem ci‐dessus mais limité aux faibles charges thermiques
• contre courant vrai = croisement de température possible
Plaques
• Eau de mer / eau de refroidissement
• Température d'approche 2‐5°C
• Faible pression
plaques ailetées brasées Aluminum
• applications cryogéniques (« boîte froide »)
Plaques spiralées
• Unités de liquéfaction (essentiellement échangeurs cryogéniques ‐ MCHE)
Aéroréfrigérants
• Toutes applications de refroidissement
• Pas d'eau de refroidissement
• Température d'approche 10 min – 28°C
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Électrique
• Flare drum heater
• Rebouilleur TEG
Matériel thermique 91
Principes
• Q = U * A * DTM = U * A * (F * DTLMcc)
• Différence de Temp plus élevée Plus de Transfert thermique
• Vitesse plus élevée – Coefficient de transfert amélioré
• Surface élevée – transfert thermique favorisé
• Résistance = somme des résistances
• Flux thermique entrant = flux thermique sortant
Échangeurs
• Standard Industriel – Tubes & calandre – vérification du design
simple
• À plaques – plus petit, plus léger, pression plus élevée
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Matériel thermique 92
Stockages atmosphériques
Stockages atmosphériques
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Aspects de technologie communs
aux différents types de bacs
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Toit
Stockages atmosphériques 3
Principaux éléments constitutifs
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Réservoir à toit fixe – Type GIS
Stockages atmosphériques 4
Fondations des réservoirs
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• Anneau de pierre concassée ou de gravier
• Radier béton
• Radier béton sur pieux
Stockages atmosphériques 5
Fond de bac
Stockages atmosphériques 6
Détection fuites sous réservoir
Les fuites à travers le fond des réservoirs doivent être détectable par
l'observation à la périphérie du réservoir
Fond réservoir Sable
Ligne détection
Ligne détection fuite
fuite
Couvercle
Gravier drain Anneau béton
Puit détection
fuite
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Anneau en béton avec système de
détection périphérique de fuites
Ligne détection fuite
Stockages atmosphériques 7
Détection fuites sous réservoir
Réservoir
Couvercle Fondation
Puit détection
fuite Au moins 8 lignes avec espacement
max 10m autour fondations
1 ligne au centre
Ligne détection fuite
Ligne de 3m intérieur fondation
1. Détection réalisée en matériaux
non corrosifs (ex. : PVC ou
fibre de verre) et ont des fentes
le long des tuyaux afin de maximiser
les chances de détecter les fuites
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2. Pipe de 50 mm
3. Chaque extrémité de détection de fuite doit avoir un puits de contrôle
Stockages atmosphériques 8
Fonds, double fonds de réservoir
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Stockages atmosphériques 9
Fonds, double fonds de réservoir
1 Tôle de robe (virole)
2 Bordure annulaire
3 Tôle de fond
4 Plat de soutien
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Stockages atmosphériques 10
Tôles de fond en
cours de pose
Plaque de tôles se recouvrant
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et soudées entre elles
Stockages atmosphériques 11
Robe de bac
Empilage vertical de
bandes de tôle soudées
• Largeur : 1,8 à 2,4 m
• Longueur : jusque 10 m
Résistance
• Pression latérale d’eau
• Vent latéral
• Tremblement de terre
• Dépression : quelques
mbar
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Stockages atmosphériques 12
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Stockages atmosphériques 13
Ceinture de renforcement / Toit
Toit
• Toit fixe ou flottant
• Bac de stockage d’eau : toit souvent
supprimé
Stockages atmosphériques 14
Bacs à toit fixe
Toit fixe
Autres équipements
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Stockages atmosphériques 15
Toit fixe
Toit supporté
• Poteaux intérieurs
Toit autoportant
• Supporté à la périphérie
• Petits diamètres Toit conique supporté
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Toits fixes autoportants
Stockages atmosphériques 16
Bacs à toits fixes
Affectation
• Stockage d’eau, d'hydrocarbures peu
volatiles du type brut dégazé, fuel ou
bitumes qui génèrent de faibles
émissions à l'atmosphère (pression
interne en marche normale est quasi
nulle)
• Pression de stockage – 5 à 25 mbars
Conception
• Toit légèrement conique ou sphérique autoportant, dimension
limitée par poids de la charpente
• Toit légèrement conique ou sphérique sur poteaux avec ou sans
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charpente. Dimensions illimitées mais < 60 000 m3
• Toit sphérique : 0.8 x Diamètre < Rayon toit < 1.5 x D (général ~ 1.2D)
• Le plus économique à installer, construction simple
Stockages atmosphériques 17
Réservoir à toit fixe
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Réservoir à toit fixe – Type GIS
Stockages atmosphériques 18
Les évents
Remplissage du réservoir :
attention à la surpression !
Vidange du réservoir :
attention à la mise sous vide !
Variation de température :
dilatation
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Stockages atmosphériques 19
Les soupapes de respiration
Résistance (en mbar) à :
Groupe Appellation Type de produits stocké
la pression la dépression
Basse pression
G1 (conique) 5 – 2,5 non volatils (gazole)
toits coniques
Moyenne
G2 (bombé) 25 –5 volatils (essence)
pression © 2015 ‐ IFP Training
Stockages atmosphériques 20
Les moyens de protection contre les suppressions
accidentelles
Membrane de sécurité
Clapet d’explosion
Tôle de déchirure
• Tôle assemblée faiblement – Se déchire en cas de surpression
Cordon d’étanchéité
• Entre le toit et la cornière supérieure
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Stockages atmosphériques 21
Les arrête‐flamme
Stockages atmosphériques 22
Protection contre les rejets atmosphériques
Produits volatils
• Sécurité
• Environnement
Trou de jauge échantillonnage toit fixe
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Stockages atmosphériques 23
Bacs à toits fixes : incidents types (1/2)
Stockages atmosphériques 24
Bacs à toits fixes : incidents types (2/2)
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Stockages atmosphériques 25
© 2015 ‐ IFP Training
Bacs à toit flottant
Toits flottants
Béquilles
Évacuation des eaux pluviales
Systèmes de joint
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Aspiration flottante
Stockages atmosphériques 27
Bacs à toits flottants
Affectation : bac destiné au
stockage des HC les plus volatiles
Conception : bac sans toit fixe
dans lequel est placé une structure
qui flotte à la surface du liquide
pour éviter la formation d'un ciel
gazeux
Conduite entrée et sortie du produit souvent unique
Espace vapeur en surface est éliminé
Maintien d’un volume d’eau pour fonctionnement anodes. Barrage de 1
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Stockages atmosphériques 28
Toit flottant
Avantages
• Réduction des
pertes par évaporation
• Diminution
des risques d’incendie
• Diminution de la
pollution atmosphérique
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Stockages atmosphériques 29
Types de toit flottant
Stockages atmosphériques 30
Types de toit flottant
Double pont
• Flottabilité (surcharge)
• Drainage (eaux de pluie)
• Vulnérabilité aux vents
• Isolation thermique
Toit simple
• Écran intérieur : évaporation du
produit réduite
• Toit fixe : protège des
intempéries
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Stockages atmosphériques 31
Béquilles
2 types de béquilles
• Béquilles à réglage fixe
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Stockages atmosphériques 32
Béquilles
• Béquilles casse‐vide
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Stockages atmosphériques 33
Soupapes automatiques, casse vide
Bonne position
‘’basse’’:
Toit posé
Mauvaise position
‘’haute’’
Bonne
position
‘’basse’’
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Stockages atmosphériques 34
Évacuation des eaux pluviales
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Stockages atmosphériques 35
Drain d’évacuation des eaux de pluie / Drain secours
Évacuation eau
Crépine évacuation eau de pluie
de pluie
Drain secours
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Stockages atmosphériques 36
Systèmes de joint
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Stockages atmosphériques 37
Systèmes de joint
Joints secs
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Stockages atmosphériques 38
Joint d'étanchéité toit / robe
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Stockages atmosphériques 39
Aspiration flottante
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Stockages atmosphériques 40
Protection contre les risques
d’incendie des bacs
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Stockages atmosphériques 41
Dispositif d’arrosage des bacs
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Stockages atmosphériques 42
Dispositif d’injection de mousse
À l’intérieur du bac à toit fixe
À l’extérieur d’un bac à toit
flottant, sur le joint d’étanchéité
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Stockages atmosphériques 43
Barrage & dispositif mousse toit flottant
Injection automatique
mousse
Boite à
mousse
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Injection à l’extérieur du bac à toit flottant sur le joint. La
barrière soudée sur le toit permet de retenir la mousse
sur la périphérie et recouvrir le joint
Stockages atmosphériques 44
Dispositif d’injection de mousse
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Stockages atmosphériques 45
Barrage & dispositif mousse toit flottant
Boite mousse
Pièges ‘’à cailloux’’ réseau
incendie et pré mélange
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Entrée air
Stockages atmosphériques 46
Dispositif d’injection de mousse
© 2015 ‐ IFP Training
Stockages atmosphériques 47
Bacs à toits flottants : Incidents types
Déformation toit
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Stockages atmosphériques 48
© 2015 ‐ IFP Training © 2015 ‐ IFP Training
49
Perte du toit
Stockages atmosphériques
Réchauffage – Maintien en
température
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Stockages atmosphériques 51
Les systèmes de réchauffage
© 2015 ‐ IFP Training
Stockages atmosphériques 52
Les systèmes de réchauffage
© 2015 ‐ IFP Training
Stockages atmosphériques 53
Les serpentins de réchauffage
• Épingle
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Stockages atmosphériques 54
Matériel d’homogénéisation
Objectif de l’homogénéisation
Techniques d’homogénéisation
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Stockages atmosphériques 55
Objectif de l’homogénéisation
Stockages atmosphériques 56
Techniques d’homogénéisation
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Stockages atmosphériques 57
Techniques d’homogénéisation
© 2015 ‐ IFP Training
Stockages atmosphériques 58
H1‐2 STOCKAGE DES GAZ LIQUÉFIÉS EN
SPHÈRES
Réception ‐ Mélange
Sommaire
Sphères atmosphériques
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RC ‐ PP STT ‐ 01362_B_A 3
Sphères atmosphériques
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Le schéma ci‐dessous représente les principaux équipements
d’un réservoir sous pression
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RC ‐ PP STT ‐ 01362_B_A 5
Sphères sous talus
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RC ‐ PP STT ‐ 01362_B_A 7
Corrosion et protection contre la corrosion
Corrosion et protection contre la corrosion
Enjeu de la corrosion dans l’industrie
Effets direct et indirect
Coût
• Directs: dégradation des installations
• Indirects: arrêt des installations pertes de production
Environnement
• Pollution
Chaque année, ¼ de l’acier
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Corrosion et protection contre la corrosion 2
Enjeu de la corrosion dans l’industrie
Exemples…
Fuite de gaz
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Fragilisation par corrosion
Corrosion et protection contre la corrosion 3
Enjeu de la corrosion dans l’industrie
Exemples…
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Explosion d’un pipeline de gaz due a
une corrosion sous contrainte
Corrosion et protection contre la corrosion 4
Enjeu de la corrosion dans l’industrie
Exemples…
Réservoir de stockage percée due a
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une corrosion interne
Corrosion et protection contre la corrosion 5
Enjeu de la corrosion dans l’industrie
Exemples…
Corrosion et protection contre la corrosion 6
Définition
Réaction d’oxydo‐réduction
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Corrosion et protection contre la corrosion 7
Définition
ACIER TUBE
ENERGIE
OXYDE DE
FER
Corrosion et protection contre la corrosion 8
Processus de corrosion
Dans l’Oil & Gas, les températures sont en général en dessous 200oC
Corrosion (corrosion humide) ne se produit que lorsque:
− Métal en contact avec l’eau liquide
− ET les espèces corrosive sont présente dans l’eau
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Corrosion et protection contre la corrosion 9
Processus de corrosion
Cellule électrochimique
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Corrosion et protection contre la corrosion 10
Processus de corrosion
Cellule électrochimique
AGENT RÉDUCTEUR : le métal
Fe, Cu, Al, Zn,..
Le métal est oxydé à l ’anode → Corrosion
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L’anode se corrode tandis que la cathode non. Il y a une différence de
potentiel entre l’anode et la cathode.
Corrosion et protection contre la corrosion 11
Potentiels normaux d ’électrode à 25°
(mesures par rapport à l ’électrode à hydrogène)
Au 3+ + 3e‐ Au 1,50 v
Pt 2+ + 2e‐ Pt 1,19 v
Ag + + e‐ Ag 0,80 v
Production pétrolière : paramètres de corrosion
PARAMETRES PRINCIPAUX
• Oxygène: O2 → O2 + 4H+ + 4e‐ 2H2O
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− → Piqûration des aciers inoxydables en présence de O2
• Couplages galvaniques / courants vagabonds
Corrosion et protection contre la corrosion 13
Facteurs de corrosion
PARAMÈTRES SECONDAIRES
• température
• pression
• pH
• minéralisation
• vitesse de circulation
• présence de certaines bactéries
• contraintes dans le matériau (corrosion sous tension)
• géométrie des assemblages
• présence dans l'écoulement de particules solides (sable par
exemple)
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Corrosion et protection contre la corrosion 15
Différents types de corrosion
Corrosion généralisée – Corrosion avec O2
Exposition à l’air humide
• Exemple: acier au carbone En contact avec l’eau de mer
Effluent contenant de l’eau mis en contact à
l’air ou l’eau aéré
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Corrosion et protection contre la corrosion 17
Différents types de corrosion
Corrosion Galvanique
Contact
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Corrosion Galvanique
Corrosion et protection contre la corrosion 18
Différents types de corrosion
Corrosion Galvanique
Exemples: Exemple
Tube en
acier inox
• assemblage de bride avec 2 métaux
différent
• assemblages soudés hétérogènes et
mixtes
• Canaux d’échangeur de chaleur en
acier et tubes en laiton Chicane en acier
au carbone
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Corrosion et protection contre la corrosion 19
Différents types de corrosion
Corrosion Acide (CO2 et H2S corrosion)
• “Corrosion Acide"
Fe + H2S Fe2+ + S2‐ + H2
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Exemples…
Corrosion de brides par le CO2
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Corrosion de tubings de puits
par le CO2
Corrosion et protection contre la corrosion 21
Différents types de corrosion
Corrosion Acide (CO2 et H2S corrosion)
Iron carbonate
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Corrosion speed: 1 to 2.5 mm/year
Corrosion et protection contre la corrosion 23
Différents types de corrosion
Top‐Of‐Line (TOL) corrosion
Corrosion et protection contre la corrosion 24
Différents types de corrosion
Corrosion Microbiologique (MIC)
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Corrosion et protection contre la corrosion 25
Différents types de corrosion
Corrosion Microbiologique (MIC)
Prévention de la MIC:
• Injection de Chlore dans les pompes de relevage d’eau de mer
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Corrosion et protection contre la corrosion 27
Protection contre la corrosion
Considérations de design
Epaisseur du pipe:
• Design mécanique + corrosion premise défini par les règle d’engineering et
qui dépendent de la pression de service, du matériau et de la température
Corrosion et protection contre la corrosion 28
Protection contre la corrosion
Revêtement
Revêtement Anti‐corrosion :
• Ils constituent une barrière physique entre le milieu agressif et le
métal à protéger
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Corrosion et protection contre la corrosion 29
Protection contre la corrosion
Injection d’Inhibiteurs
2 types de produits:
• Bases neutralisante
− Dérivé d’Amine comme MDEA augmentation du pH
• Bases formant un film
− Amines grasses absorbe à la surface du métal, création d’un film
protecteur
Plus fréquemment utilisés dans O&G
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Corrosion et protection contre la corrosion 30
Protection contre la corrosion
Injection d’Inhibiteurs
Injection Continue
• Méthode d’injection la plus commune
• Points d’injection
− Le plus tôt possible dans le système production fond de puit
− Dans les réseaux d’huile, de gaz et d’eau
• Dosage typique
− 5 à 15 L/ Mm3 de gaz pour les condensats des tuyaux de gaz
− 10 ppm/eau pour tuyaux de pétrole avec des T < 40°C
− 20 to 30 ppm/eau pour des T < 60°C
− 50 ppm/eau pour des T < 90°C
− 100 to 150 ppm les T plus grandes ou quand la BSW > 50 %
• Le dosage d’inhibiteur est majorée lorsque la BSW est faible
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− Car une proportion significative d’inhibiteur est en fait dissoute dans le
pétrole là où il n’est pas utile.
Corrosion et protection contre la corrosion 31
Protection contre la corrosion
Injection de Biocide
Rôle du Biocide:
• Tue la majorité des bactéries présente dans l’eau
Point Injection :
• A l’aspiration des pompes d’injection d’eau
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Corrosion et protection contre la corrosion 33
Protection contre la corrosion
Protection Cathodique
Pipeline enterré protégé par l’utilisation d’anode Tête de puits montées avec anodes
sacrificielle sacrificielles
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Corrosion et protection contre la corrosion 34
Protection contre la corrosion
Protection Cathodique
Types d’anodes
• anodes à base de zinc
• anodes à base d ’aluminium
• anodes à base de magnésium
enterrées (réservoirs)
Corrosion et protection contre la corrosion 35
Protection contre la corrosion
Protection Cathodique
Exemples d’installation d’anodes sacrificielles
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Corrosion et protection contre la corrosion 36
Protection contre la corrosion
Protection Cathodique
Corrosion et protection contre la corrosion 37
Protection contre la corrosion
Protection Cathodique
Protection Cathodique par courant imposé
Masses anodiques utilisées
• structures enterrées: acier, ferro‐silicium, graphite
• Structures offshore: titane/platine, nobium/platine,
tantale/platine
Exemple:
canalisation enterrée
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Corrosion et protection contre la corrosion 38
Protection contre la corrosion
Protection Cathodique
Critères de protection
Acier dans le sol: potentiel < ‐0,85 v / électrode Cu/CuSO4
Acier en eau de mer: potentiel < ‐0,80 v / électrode Ag/AgCl
(Des valeurs plus basses sont recommandées si possibilité d ’activité de BSR)
Remarque:
Corrosion et protection contre la corrosion 39
Protection contre la corrosion
Vitesse de Corrosion
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Corrosion et protection contre la corrosion 40
Corrosion par crevasse
Exemple 1
Corrosion et protection contre la corrosion 41
Corrosion par crevasse
Exemple 2
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Corrosion et protection contre la corrosion 42
Corrosion par piqure
Exemple 1: microphotographie
Corrosion et protection contre la corrosion 43
Corrosion par piqure
Exemple 2
Tube en acier inoxydable X6Cr17 (ferritique à 17% Cr)
(AISI 430 )
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Corrosion et protection contre la corrosion 44
Corrosion par piqure
Exemple 3
Corrosion et protection contre la corrosion 45
Corrosion par piqure
Exemple 4
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Corrosion et protection contre la corrosion 46
Corrosion intergranulaire
Exemple 1
Milieu: HNO3
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Corrosion et protection contre la corrosion 47
Corrosion sous contraintes
Exemple 1
© 2015 ‐ IFP Training
Corrosion et protection contre la corrosion 48
Corrosion sous contraintes
Exemple 2
Corrosion et protection contre la corrosion 49
Fatigue / corrosion
Exemple
Réduction soudée en acier Duplex 2205 au refoulement d ’une pompe triplex.
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Corrosion et protection contre la corrosion 50
Fatigue / corrosion
Exemple 2
Corrosion et protection contre la corrosion 51
Pollution ferreuse
Exemple
Milieu: atmosphère
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Corrosion et protection contre la corrosion 52
Corrosion érosion
Exemple1
Corrosion et protection contre la corrosion 53
Corrosion érosion
Exemple 2
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Corrosion et protection contre la corrosion 54
Cavitation
Exemple 1
Corrosion et protection contre la corrosion 55
Cavitation
Exemple 2
Aubage de pompe centrifuge en fonte au nickel
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Corrosion et protection contre la corrosion 56
Cavitation
Exemple 3
Corrosion et protection contre la corrosion 57
Corrosion par les ferro‐bactéries
Exemple
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Corrosion et protection contre la corrosion 58
Cloquage par l ’hydrogène
Exemple
Acier au carbone
Corrosion et protection contre la corrosion 59
Fissuration due aux acides polythioniques
Exemple
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Corrosion et protection contre la corrosion 60
Corrosion par ammoniaque
Exemple
Robinet en bronze
Corrosion et protection contre la corrosion 61
Fissuration intergranulaire
Exemple
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Corrosion et protection contre la corrosion 62
Électrotechnique
Fondamentaux
SOMMAIRE
1. Fondamentaux d’électrotechnique
• Redresseurs
• Onduleurs
• Batterie
LE COURANT ÉLECTRIQUE
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Une intensité de 1 A correspond à un débit d’environ 6x1018
électrons/sec
1. Fondamentaux d’électrotechnique
LE COURANT ÉLECTRIQUE
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 5
1. Fondamentaux d’électrotechnique
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ANALOGIE AVEC L’HYDRAULIQUE
HYDRAULIQUE ÉLECTRICITÉ
Pression – Chute de pression Tension – Chute de tension
Débit Intensité
Pour deux tuyaux, la résistance Pour deux conducteurs, la
opposée au passage de l’eau résistance opposée au passage
est fonction : du courant dépend :
• De la qualité du • Du matériau (Cu, Al.)
matériau(frottements) • De la longueur
• De la longueur • De la section
• De la section
À section et longueurs égales, l’aluminium est
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environ 1,6 fois plus résistant que le cuivre
1. Fondamentaux d’électrotechnique
LE COURANT CONTINU
La loi de joule peut être utilisée pour calculer la puissance dissipée dans un
appareil :
P = W/t = R.I².t/t = R.I²
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P = Puissance ‐ l’unité est le WATT (W) est ses multiples très couramment
utilisés que sont le KILOWATT (KW = 1000W) et le MÉGAWATT (MW = 106W)
1. Fondamentaux d’électrotechnique
EN RÉSUMÉ
INTENSITE I Ampère A
TENSION U Volt V
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RESISTANCE R Ohm
PUISSANCE P Watt W
LE COURANT ALTERNATIF
La tension alternative « pousse » les électrons dans un sens puis
dans l’autre à intervalles de temps régulier
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ou 60 Hertz (symbole : Hz)
1. Fondamentaux d’électrotechnique
LE COURANT ALTERNATIF
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NOTION D’IMPÉDANCE
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U = Z.I
1. Fondamentaux d’électrotechnique
NOTION D’IMPÉDANCE
NOTION D’IMPÉDANCE
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 15
1. Fondamentaux d’électrotechnique
PUISSANCE EN COURANT ALTERNATIF
En courant continu, une seule intensité une seule puissance : P=U.I
En courant alternatif, 3 sortes d’intensité 3 puissances :
• La puissance apparente (S) :
calculée avec l’intensité apparente : S =U x I Unité : Voltampère (VA)
• La puissance active (P) :
calculée avec l’intensité active : P = U x Ia Unité : Watt (W)
• La puissance réactive (Q) :
calculée avec l’intensité active : Q = U x Ir Unité : VoltAmpère Réactif (VAR)
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Le terme cosϕ est appelé facteur de puissance
EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 16
1. Fondamentaux d’électrotechnique
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 17
1. Fondamentaux d’électrotechnique
PUISSANCE EN TRIPHASE
Puissance apparente S 3 U I
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 19
1. Fondamentaux d’électrotechnique
NOTION D’ÉLECTRO‐MAGNÉTISME
NOTION D’ÉLECTRO‐MAGNÉTISME
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 21
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2. Notion de réseau électrique
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• Les coûts d’exploitation (OPEX)
• La sécurité
• …
2. Notion de réseau électrique
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 25
2. Notion de réseau électrique – Exemple
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 27
3. Production électrique : l’alternateur
ALTERNATEURS
Dans un alternateur triphasé, la partie fixe de la machine, ou stator, est constituée par un
ensemble de trois bobinages décalés entre eux d’un angle de 120 degrés ; la partie mobile,
ou rotor, constitue l’électro‐aimant
ALTERNATEURS
Le Rotor est un empilement de tôles qui forme les pôles et portent un
Bobinage destiné à produire un champ magnétique tournant. Il tourne à
l’intérieur du stator
L’excitatrice fournit un courant continu qui alimente le bobinage rotor,
généralement au moyen d’un plateau redresseur à diodes tournantes
Le stator est constitué d’une couronne de tôles magnétiques empilées
qui comportent des encoches dans lesquelles sont logés 3 bobines ou
enroulement statoriques
La rotation du champ magnétique à la vitesse du rotor induit des
tensions dans les enroulements du stator
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En réglant le courant d’excitation, on fait varier le champ magnétique,
donc la tension induite dans le stator
3. Production électrique : l’alternateur
ALTERNATEURS
ALTERNATEURS
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 31
4. Les moteurs
MOTEURS
Énergie électrique Énergie mécanique
Moteur
fournie utile
Pertes d'énergie
MOTEURS
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 33
4. Les moteurs
MOTEURS
Fonctionnement
N= 2.f.60/p = vitesse de synchronisme en tour par minutes
p étant le nombre de pôles
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MOTEURS
Fonctionnement du moteur synchrone
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• exemples d'utilisation : vitesse variable (avec des commandes à onduleurs
à thyristor‐ pour des puissances > 1000 kW)
4. Les moteurs – Moteurs asynchrone
MOTEURS
• C’est le moteur le plus répandu dans l’industrie : 80% des moteurs sont
des moteurs asynchrones
− Le plus simple
− Le plus robuste
− Le moins onéreux
• Leur gamme de puissance s’étale de quelques watts à une dizaine de
mégawatts
• Moteur dit à cage d’écureuil (ou à rotor en court‐circuit)
− Le rotor est constitué de barres conductrices (Cu ou Al)
− Elles sont Disposées suivant les génératrices d’un cylindre
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− Elles sont court‐circuitées à leurs extrémités. Elles sont noyées dans le fer du
rotor
MOTEURS : LE ROTOR
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 37
4. Les moteurs – Moteurs asynchrone
MOTEURS : STATOR
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Le champ magnétique résultant « tourne » à la même fréquence f que
le courant
4. Les moteurs – Moteurs asynchrone
MOTEURS
Caractéristiques : moteur asynchrone
• L’attraction/répulsion mutuelle entre pôles statoriques et
rotoriques développe le couple moteur; ce couple est le couple
électromagnétique
• Le couple électromagnétique résulte des courants induits, et donc
des variations de flux
• À vide, la vitesse du rotor est très proche de la vitesse du champ
tournant, mais reste toujours inférieure d'ou le nom de machine
asynchrone
La vitesse diminue avec la charge
• L’écart entre la vitesse réelle et le synchronisme est le glissement
(de l’ordre de 2%)
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• Le moteur asynchrone démarre seul
4. Les moteurs – Moteurs asynchrone
MOTEURS
• Avantages
− Simplicité
− Couple maximal au démarrage
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• Inconvénients
− Courant d ’appel
− Chute de tension aux bornes des équipement voisins
EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 42
4. Les moteurs – Moteurs asynchrone
Nombre de démarrages
• Le nombre de démarrages consécutifs autorisés des machines en
ligne directe dépend essentiellement des caractéristiques de la
charge (courbe de couple en fonction de la vitesse de rotation,
inertie) ainsi que du type et de la conception de la machine
• Des démarrages répétés trop proches ou avec une charge trop
importante augmentent la température de façon anormale ainsi
que les contraintes de la machine, ce qui raccourcit sa durée de vie
et peut entraîner même des pannes
• Sur les moteurs HT, les relais de protection « calculent » l’état
thermique du moteur et peuvent interdire un démarrage tant que
la machine n’est pas suffisamment refroidie
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• En règle générale, le nombre maximum de démarrages consécutifs
d’un gros moteur est de 3 à froid et 2 à chaud et le cumul des
démarrages sur un an est de 1000
EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 43
4. Les moteurs – Moteurs asynchrone
Plaque signalétique
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 45
5. Équipements de réseau électrique – Transformateurs
TRANSFORMATEURS
Un transformateur est destiné
à adapter le niveau d’une
tension alternative à son
utilisation
• Transformateur élévateur
• Transformateur abaisseur
Constitution
• Un circuit magnétique (noyau), fait d’un assemblage de tôles feuilletées
ayant de bonnes propriétés magnétiques
• Deux enroulements indépendants appelés primaire et secondaires
bobinée sur un noyau magnétique communs
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EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 47
5. Équipements de réseau électrique – Transformateurs
TRANSFORMATEURS
Fonctionnement
Tension alternative appliquée
à un enroulement :
Création dans le noyau d’un flux
alternatif de même fréquence
Ce flux provoque l’apparition d’une tension induite aux bornes du
second enroulement, également de même fréquence
− Si le premier enroulement (primaire) contient N1 spires et qu’on lui
applique la tension U1
− Si le second enroulement (secondaire) contient N2 spires. Alors aux
bornes de ce dernier apparaîtra une tension U2 telle que :
U2 N2
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U1 N1
Le rapport U2/U1 =k est appelé rapport de transformation (il est aussi
égal au rapport des intensités I1 / I2)
TRANSFORMATEURS
Caractéristiques principales
• La puissance nominale : Elle est toujours donnée en kVA (ou MVA)
• Les tensions nominales : Primaire et Secondaire A VIDE
• Les intensités nominales : Primaire et Secondaire
• La tension de court‐circuit (donné en % de la tension nominale)
• Le rendement : Très élevé sur les gros transformateurs (> 98%)
• Le refroidissement : Les enroulements sont parcourus par de fortes
intensités, d’où un échauffement par effet Joule qu’il faut évacuer
• Il y a plusieurs moyens de refroidissement que l’on peut combiner
Circulation d’air, naturelle ou forcée ‐ Circulation d’huile, naturelle ou forcée ‐
Hydro‐réfrigérant
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• Les huiles sont : de l’huile minérale (le + fréquent) – de l’huile aux silicones
(inflammabilité + basse mais…) – des esters synthétiques (encore peu répandu)
5. Équipements de réseau électrique – Transformateurs
Transformateur immergés
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À remplissage intégral Respirant
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• Tableaux fixes
• Tableaux débrochables
5. Équipements de réseau électrique –
Tableaux de distribution
Tableaux terminaux
Tableau secondaire
Tableau HT fixe
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Tableau général BT débrochable
EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 52
5. Équipements de réseau électrique –
Tableaux de distribution
APPAREILLAGE
Rôle
• Raccordement des lignes aux sources d’énergie
• Raccordement des utilisateurs
Fonctions assurées
• Sectionnement : Isolement/coupure : garantit la mise hors tension
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5. Équipements de réseau électrique –
Tableaux de distribution
APPAREILLAGE
APPAREILLAGE
Choix de l’appareillage
Il dépend de la fonction a assurer et des caractéristiques du réseau :
• Tension nominale ‐ Fréquence de manœuvres ‐ Courant nominal – Calibres ‐
réglages ‐ Pouvoir de coupure ‐ …
Le sectionnement
• Pour Isoler un circuit, il faut couper tous les pôles
• La coupure doit se faire à vide (un sectionneur n’a pas de pouvoir de coupure)
• Elle doit être visible (sécurité)
La commande
• Appareils qui permettent la coupure en charge par action volontaire
• Interrupteurs : pouvoir de coupure égal au minimum au courant le plus fort en
exploitation normale du circuit
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• La manœuvre peut être manuelle ou automatisée par l’adjonction de relais de
protection
5. Équipements de réseau électrique –
Équipements de protection
APPAREILLAGE
La protection
• Appareils possédant l’une des fonctions suivantes
− Coupure des courants dus aux surcharges ou aux courts‐circuits
− Surveillance d’une grandeur électrique dans un circuit
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5. Équipements de réseau électrique –
Équipements de protection
Exemples de
disjoncteurs
Modulaires
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BT MASTERPACT HT Discontacteur
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5. Équipements de réseau électrique –
Équipements de protection
APPAREILLAGE
Appareils de protection
Les fusibles
• Éléments fusibles capables d’interrompre un circuit en cas de
surintensité
• Très fort pouvoir de coupure et temps d’action très rapide
• On les associe à d ’autres appareils (contacteurs, interrupteurs,
disjoncteurs) pour assurer la protection contre les courts‐circuits
• pour les petites puissances (éclairage) ils peuvent assurer la
protection contre surcharges ET courts‐circuits (fusible dit gG)
• Ils ne sont pas conçus pour les fonctions de commande
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5. Équipements de réseau électrique –
Équipements de protection
précédentes
− Adapté notamment aux départs moteurs : l’inertie du thermique laisse
passer la pointe au démarrage et le magnétique protège des fortes
surintensités
EP ‐ 22355_a_F_ppt_01 ‐ Fondamentaux d'électrotechnique 60
5. Équipements de réseau électrique –
Contacteurs
APPAREILLAGE
Contacteurs : pouvoir de coupure égal au minimum au courant le plus
fort en exploitation normale du circuit
La manœuvre est commandée électriquement par une bobine de
commande
Ils sont conçus pour un très grand nombre de manœuvres
Exemples Exemples de
d’interrupteurs contacteurs
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5. Équipements de réseau électrique –
Redresseurs
REDRESSSEURS
Un redresseur associé à une batterie est communément appelé
“Alimentation à courant Continu sans coupure”, le plus souvent
désigné par “DC UPS” (abréviation anglaise de DC Uninterruptible
power supply DC)
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ONDULEURS
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aux caractéristiques de la charge ou assurer un isolement
galvanique entre utilisation et batterie
5. Équipements de réseau électrique –
Onduleurs
ONDULEURS
Schéma de principe
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Voie By‐pass
composée d’un
transformateur + un
interrupteur statique
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5. Équipements de réseau électrique –
Batteries
BATTERIES
Principe
• Une cuve isolante contenant un électrolyte – un acide dilué par
exemple – contient deux électrodes dont les surfaces vont
chimiquement se combiner avec l'électrolyte
• À ce stade, il n'y a pas de différence de
potentiel entre elles
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BATTERIES
Sur nos installations, le courant continu est utilisé pour
• Les auxiliaires de commande
• Le contrôle et la signalisation
• L’instrumentation (SNCC, capteurs…)
• Les équipements devant assurer la sécurité sécurité (balisage, protection
incendie, télécommunications….
• Certaines installations sont exclusivement alimentées en courant continu
quand il n’est pas possible ou pas économiquement justifié d’installer une
source alternative
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de conserver l’installation dans de bonnes conditions pour le redémarrage
et d ’assurer leur mise en sécurité en cas de problème important
• Il est primordial qu’elles soient parfaitement entretenues
5. Équipements de réseau électrique –
Batteries
BATTERIES
Une batterie est caractérisée par
• Son type
− Batteries au plomb
− Batteries alcalines
− Pour chaque type, il y a des éléments ouverts et étanches (dits à
recombinaison de gaz)
• Sa capacité
− C’est la quantité de courant qu’elle peut restituer pendant un temps t
− La capacité s’exprime en général en ampères‐heures à un régime de
décharge donné
• Sa tension par élément :
− 2 Volt pour une batterie au plomb
− 1.4 Volt pour une batterie alcaline
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BATTERIES
La batterie est un équipement réversible
On peut la recharger plusieurs fois avec un chargeur (cycles charge/décharge)
Le nombre de cycles et la façon dont ils sont effectués influent sur la durée de
vie, ainsi que leurs conditions d’installation (température ambiante)
L’entretien doit être correctement effectué
• Surveillance du niveau d’électrolyte
• Surveillance de la densité de l’électrolyte
• Propreté des connexions
Précautions
• Ventilation des locaux
• Bacs de rétention (acide)
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• Vêtements protecteurs, gants lunettes pour leur manipulation
• Ne jamais utiliser les mêmes outils pour des batteries d’électrolytes différents
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé
Instrumentation & Contrôle de procédé
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 2
Pourquoi devons‐nous contrôler le procédé ?
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 3
Domaines
Capteurs procédé
Vannes de régulation
Analyseurs en ligne
Informatique industrielle
• Systèmes de contrôle
• Systèmes de sécurité
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(Soupapes)
Implication en Engineering, Construction, Commissioning et Operation
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Mesures process
Niveau Densité
Pression
Viscosité
Température
Point éclair
Vibration
Pression de vapeur
Radiation: UV/IR
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Point de trouble
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 5
Documents de base
PIDs
Logigrammes de sécurité
Matrices causes/effets
Notes process
Directives, réglementations
Référentiel Compagnie
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 6
Documents produits
Analyses fonctionnelles
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 7
Identification des instruments
GS EP INS 102 (Total)
Base ISA‐5.1
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 8
Identification des instruments
Plan de Circulation des fluides ‐ Piping & Instrumentation Diagram (P&ID)
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 9
Abréviations
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 10
Identification des instruments
Examples
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 11
P&ID ‐ Exemple
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 12
Signaux standards
Pneumatique
• 0.2‐1barg
• 3‐15psig
Electrique analogique
• 4‐20mA
Electrique TOR
• 0‐24Vdc
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 13
Signaux standards
EXEMPLE
Un transmetteur de température avec une échelle de 160°C aura les signaux de sortie suivants
Transmetteur électronique:
Température
0 40 80 120 160
(deg C)
Signal en sortie
4 8 12 16 20
( mA)
Transmetteur pneumatique:
Température
0 40 80 120 160
(deg C)
Signal en sortie
0.2 0.4 0.6 0.8 1
( barg)
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(psi) 3 6 9 12 15
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 14
Exercice
PT‐A et PT‐B sont 2 transmetteurs de pression .
Leurs signaux sont additionnés par le sommateur PY.
PI‐C affiche le résultat.
Compléter le tableau
PT
A
PY PI
C
C = A+B
PT
B
Pression Sortie Sortie Echelle
entrée pneumatique électrique transmetteurs
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(BAR) (BAR) (MILLIAMPS)
A 22 ? ? 0‐100 bar
B 14 ? ? 0‐40 bar
C ? ? ? ?
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 15
Boucle de régulation
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 16
Éléments constituant une boucle de régulation
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 17
Boucle de régulation
Réaction du Procédé
Premier ordre sans temps mort
Second ordre sans temps mort
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 18
Boucle de régulation
Point de consigne
Régulateur
Point de consigne Signal sortie
Mesure
procédé
I
Capteur P
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Vanne de contrôle
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 19
Représentation de la même
boucle de contrôle sur le
schéma P&I
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 20
Fonctions du régulateur
Fonctions du régulateur
• Procédé
» Maintenir une valeur à son "Point de consigne" (prédéterminé)
» Atténuer l'impact des perturbations du procédé
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 21
Fonctions du régulateur
Fonctions du régulateur
• Opérateur
» Donner les informations et permettre les commandes
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 22
Fonctions du régulateur
Vue des paramètres
d’un régulateur de débit
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 23
Régulateur
Point de
consigne
PID Algorithme
Erreur Command K (t ) P
(t ) ( t ) dt
d (t )
I
D
dt
Mesure
Commande
Capteur Vanne
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analogique
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 24
Paramètres du contrôleur
Terme proportionnel
Le terme proportionnel, le gain, vient modifier la sortie par une valeur proportionnelle à la valeur
actuelle de l'erreur.
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PV tracé en fonction du temps pour trois valeurs de Kp
(Ki et Kd maintenus constants)
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 25
Paramètres du contrôleur
Terme intégral
La partie intégrale (parfois aussi appelée RAZ) est proportionnelle à la fois à la grandeur et à la durée
de l'erreur
Iout
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PV tracé en fonction du temps pour trois valeurs de Ki
(Kp et Kd maintenus constants)
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 26
Paramètres du contrôleur
Terme dérivé
Le taux de modification de l'erreur de procédé est calculé par la détermination de la pente
de l'erreur en fonction du temps (soit sa dérivée première par rapport au temps) et par
multiplication de ce taux de modification par le gain dérivé Kd.
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PV tracé en fonction du temps pour trois valeurs de Kd
(Kp et Ki maintenus constants)
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 27
Paramètres du contrôleur : points clés
Kp: Gain proportionnel – un Kp très élevé signifie généralement une réponse plus
rapide car, plus l'erreur est grande, plus la compensation du terme proportionnel
est grande. Un gain proportionnel beaucoup trop grand entraînera l'instabilité et
l'oscillation du procédé.
Ki: Gain Intégral – un Ki très élevé implique que les erreurs d'état stabilisé sont
éliminées plus rapidement. Le compromis est largement dépassé : une erreur
négative intégrée pendant une réponse transitoire doit être remplacée par une
erreur positive avant d'atteindre l'état permanent.
Kd: Gain dérivé – un Kd très élevé diminue la différence, mais ralentit la réponse
transitoire et peut entraîner une instabilité due à l'amplification du bruit du signal
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 28
Réglage des paramètres du contrôleur
Essais et erreurs
• La méthode de réglage par les essais et les erreurs est basée sur la méthode par
tâtonnement.
− Dans cette méthode, l'action proportionnelle est le contrôle principal, alors que les actions
intégrales et dérivées l'affinent.
− Le gain du contrôleur, Kc, est ajusté avec les actions intégrales et dérivées maintenues à un
minimum, jusqu'à l'obtention du rendement souhaité.
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 29
Réglage des paramètres du contrôleur
Méthode de réglage d'une boucle fermée Ziegler‐Nichols
Basée sur une réponse transitoire à échelon d'un système.
La détermination de la valeur du gain ultime, Ku, est réalisée en trouvant la valeur du gain
proportionnel pur qui fait osciller indéfiniment la boucle de contrôle en conditions
stabilisées. © 2015 ‐ IFP Training
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 30
Réglage des paramètres du contrôleur
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 31
Paramètres du régulateur PID
Action Proportionnelle (seule)
Différents gains
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 32
Paramètres du régulateur PID
Action Proportionnelle (seule)
Gain trop élevée
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 33
Paramètres du régulateur PID
Paramètres P,I
Même réglage, différentes condition de procédé
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 34
Paramètres du régulateur PID
Action Dérivative
Risque d’instabilité
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 35
Boucle complexe
Analysons l’effet d’une augmentation de pression dans le ballon:
- DP vanne de cont:rôle
- niveau ballon
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 36
Boucle complexe
Voir Changement de pression
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 37
Complex control loop
Split‐range (1)
Plage fractionnée
• Configuration "engazage ‐ dégazage"
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EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 38
Boucle de contrôle complexe
Plage fractionnée (2)
Au fur et à mesure que le signal de sortie du contrôleur de pression augmente, la vanne d'exportation
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(vanne 1) commence à s'ouvrir et continue à s'ouvrir jusqu'à ce qu'elle soit ouverte à 50 %.
Pendant les premiers 50 % du signal de sortie du contrôleur, la vanne de torche (vanne 2) reste fermée et
ne commencera à s'ouvrir que lorsque le signal de sortie du contrôleur aura dépassé les 50 %.
La vanne 2 est saturée totalement ouverte avec un signal de sortie du contrôleur de 100%
39
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 39
Boucle complexe
Contrôle de proportion
Fuel Gas
A/F ratio 14:1
FT
X
* 14
SP
FC
PV
Y1 FT
Air de combustion
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Le point de consigne du régulateur de débit d’air est 14 fois le débit de fuel‐gas
EP 20302_f_A_ppt_00 Introduction à l'Instrumentation et Contrôle de Procédé 40
Capteurs & transmetteurs
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs
Capteur
Le capteur transforme la valeur physique du procédé en une grandeur
mécanique pouvant être détectée et ainsi mesurée.
Capteur de:
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 2
Chaîne de mesure
Conversion
du signal
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 3
Caractéristiques des capteurs
Précision et exactitude (l’incertitude)
Fidélité / Répétabilité
Temps de réponse
Linéarité
Hystérésis
Dérive
Bruit
Le capteur doit être sensible au paramètre à mesurer
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 4
Caractéristiques des capteurs
Linéarité Hystérésis
Temps de réponse
Mobilité
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 5
Capteurs numériques
Smart transmitters / capteurs intelligents
Conversion analogique digitale faite dans le transmetteur
Meilleure précision
Nombreuses informations d’état du capteur disponible
Signal 4‐20mA habituel disponible
Informations numériques disponibles en direct (fieldbus) ou superposées
au 4‐20mA
Télé réglage
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Possibilité de contrôleur intégré
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 6
Capteurs numériques
Le module de communication permet :
De régler le transmetteur à distance ;
De brancher plusieurs transmetteurs sur la même ligne.
Le microcontrôleur permet :
De convertir la mesure en une autre grandeur, appelée grandeur secondaire. Par
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exemple, il peut convertir une mesure de différence de pression en niveau.
De corriger l'influence des grandeurs d'influence sur la mesure.
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 7
Capteurs numériques
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 8
Protection des instruments
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 9
Protection des instruments
Contient l'explosion & prévient la propagation
Enveloppe antidéflagrante d
des flammes
Sécurité accrue e Pas d'arcs, d'étincelles ou de surfaces chaudes
Sans étincelles n Pas d'arcs, d'étincelles ou de surfaces chaudes
Énergie limitée de la température de surface et
Sécurité intrinsèque i
des étincelles
source d’ignition maintenue constamment
Immersion dans l'huile o
immergée dans l'huile
Enveloppes à surpression
p Le gaz protecteur contient une source d"ignition
interne
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Du remplissage fin enrobe la source
d‘inflammation de telle sorte qu'un arc qui se
Remplissage de sable q
forme dans le carter ne peut pas enflammer
l'atmosphère combustible environnante
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 10
Précautions minimales
Spécification correcte (fiche de données)
Technologie adaptée
Mise en oeuvre correcte
Maintenance adaptée
Étalonnage périodique
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 11
Principales mesures
I. Pression
II. Température
III. Débit (couvert par le module de formation Comptage & Allocation)
IV. Niveau
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 12
I. Mesure de pression
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 13
I. Mesure de Pression
Définition pression
Pressions relative et absolue
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 14
I. Mesure de Pression
Système SI
Unités usuelles
− bar 100 000 pascal
− Atm 101 300 pascal
− mm Hg 133.3 pascal
− mCe 9810 pascal
− psi 6900 pascal (0.069 bar)
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(1 bar=14.5 psi)
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 15
I. Mesure de Pression
1. MANOMÈTRES HYDROSTATIQUES
Tube en U
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 16
I. Mesure de Pression
2. MESURE PAR DÉFORMATION D’UN CORPS SOLIDE
Manomètre à Manomètres métalliques (indicateurs locaux)
Manomètre membrane
classique
A : tube BOURDON
B : tube hélicoïdal
C : membrane plate
D : membrane ondulée
E : capsule
F : soufflet
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Manomètre pressostat
Manomètre électronique
KOBOLD
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 17
I. Mesure de Pression
2. MESURE PAR DÉFORMATION D’UN CORPS SOLIDE
Capteurs électroniques (transmission)
Élément primaire)
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Capteurs piezorésistif ou jauge de contrainte
La résistance d’un filament varie avec la pression
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 18
II. Mesure de Pression
2. MESURE PAR DÉFORMATION D’UN CORPS SOLIDE
Capteurs électroniques (transmission)
Armature
mobile
Armatures
fixes
Huile pour
transmission
pression
© 2015 ‐ IFP Training
P = Patm P > Patm
Capteurs capacitifs
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 19
I. Mesure de Pression
2. MESURE PAR DÉFORMATION D’UN CORPS SOLIDE
Capteurs électroniques (transmission)
c
© 2015 ‐ IFP Training
Capteurs capacitifs
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 20
I. Mesure de Pression
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 21
I. Mesure de Pression
2. Mesure par déformation
Capteurs électroniques (transmission)
Pressostats
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 22
I. Mesure de Pression
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 23
I. Mesure de Pression
Dispositifs de protection
Vibration Fluides corrosifs
Connection flexible
Fluides chauds membrane
huile capillaire
Tube
flexible
huile
Surpression
Membrane
clapet
manomètre
Ressort réglage
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Ecrou
réglage
Clapet
Procédé
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 24
I. Mesure de Pression
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 25
I. Mesure de Pression
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 26
II. Mesure de température
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 27
II. Mesure de température
PUITS THERMOMÉTRIQUE THERMO‐ÉLÉMENT
© 2015 ‐ IFP Training
Raccordé à une conduite Intégré dans le puits
ou une capacité du thermométrique
procédé
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 28
II. Mesure de température
Dilatation de liquide
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 29
II. Mesure de température
1. THERMOMÈTRES À DILATATION THERMIQUE
DILATATION THERMIQUE D'UN SOLIDE
Capteur bimétallique droit
L'augmentation de la température
provoque une déformation par
dilatation thermique différentielle
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Thermomètres bimétalliques
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 30
II. Mesure de température
Dilatation de métal
On utilise deux lames de métaux différents collées ou soudées dans
le sens de la longueur. Les métaux utilisés doivent avoir des
coefficients de dilatation très différents pour avoir une
déformation maximum.
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 31
II. Mesure de température
1. THERMOMÈTRES À DILATATION THERMIQUE
DILATATION THERMIQUE D'UN LIQUIDE
© 2015 ‐ IFP Training
Thermomètres à dilatation de liquide
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 32
II. Mesure de température
2. TEMPERATURE SENSORS FOR TRANSMISSION
SENSORS BASED ON THERMOCOUPLE
Hot point Cold point
Voltage measurement
© 2015 ‐ IFP Training
Measurement principle
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 33
II. Mesure de température
Thermocouples
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 34
II. Mesure de température
Montage des thermocouples
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 35
II. Mesure de température
Nature des couples/différence de potentiel
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 36
II. Mesure de température
− Thermocouples
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EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 37
II. Mesure de température
Utilisation thermocouples
− Avantages
» Robuste et économique
» Résiste aux vibrations
» Réponse très rapide
» Très hautes température
− Inconvénients
» Nécessite câble de compensation
» Nécessite une compensation de soudure froide
» Mesures très ponctuelles
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 38
II. Mesure de température
THERMORÉSISTANCE ‐ SONDE Pt 100
• Fil de platine
• T augmente longueur du conducteur augmente
résistance augmente
R=R0(1+t)
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 39
II. Mesure de température
2. TRANSMETTEURS DE TEMPERATURE PAR TRANSMISSION DE COURANT ELECTRIQUE
Exemples de résistances en platine
© 2015 ‐ IFP Training
Thermorésistence
Pt100 ROSEMOUNT Détails du capteur
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 40
II. Mesure de température
Avantages des RTD
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 41
II. Mesure de température
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 42
II. Mesure de température
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 43
© 2015 ‐ IFP Training
III. Mesure de débit
(couvert par le module de formation Comptage &
Allocation)
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 45
III. Mesure de débit
MESURE DÉBIT VOLUMIQUE DELTA P
© 2015 ‐ IFP Training
Principe
Perte de pression statique due à la mise en
vitesse du fluide dans la restriction
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 46
III. Mesure du débit
DEBITMÈTRES À PERTE DE CHARGE STATIQUE
Plaques à orifice
© 2015 ‐ IFP Training
Type Venturi
Différents types d'orifices
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 47
III Mesure de débit
DÉBITMÈTRE À PRESSION DYNAMIQUE
Tube de Pitot / Annubar
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 48
III Mesure de débit
DÉBITMÈTRE À SECTION VARIABLE
F : Pression dynamique du
fluide
A : Force d’Archimède
W W : Poids
© 2015 ‐ IFP Training
Rotamètre
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 49
III. Mesure du débit
DÉBITMÈTRES ÉLECTROMAGNÉTIQUES
Connexion
électrique
La tension induite dans un conducteur se
déplaçant dans un champ magnétique est
proportionnelle à sa vitesse
Le conducteur est le fluide lui‐même, qui
Mesure de la
© 2015 ‐ IFP Training
doit présenter une conductibilité
tension induite
électrique suffisante.
Revêtement
isolant
Génération d'un
champ
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs
magnétique 50
III. Mesure du débit
DÉBITMÈTRES À ULTRASONS
Émetteur/Transmetteur A Émetteur/Transmetteur B
Débit
fluide
Une onde sonore évolue plus rapidement dans le sens du
débit que dans le sens opposé au débit.
© 2015 ‐ IFP Training
Principe de la mesure (effet DOPPLER )
Types ULTRAFLUX
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 51
III. Mesure du débit
DÉBITMÈTRES À VORTEX
© 2015 ‐ IFP Training
Le fluide est dévié vers les deux côtés de la barre
introduite dans la conduite, ce qui génère des
turbulences en vortex.
La fréquence d'apparition des vortex est directement
proportionnelle à la vitesse du débit.
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 52
III. Mesure du débit
DÉBITMÈTRES MASSIQUES CORIOLIS
pas de débit
type MICRO‐MOTION
forces CORIOLIS à un débit donné
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 53
III. Mesure du débit
DÉBITMÈTRES À TURBINE
Les débitmètres à turbine utilisent l'énergie mécanique du fluide pour faire tourner un rotor dans l'écoulement
du flux. Les pales du rotor transforment l'énergie du flux en énergie rotationnelle. L'arbre du rotor tourne sur les
© 2015 ‐ IFP Training
paliers.
Le mouvement des pales est détecté magnétiquement, chaque pale produisant une impulsion. Lorsque le
déplacement du fluide s'accélère, cela génère plus d'impulsions. Le transmetteur électronique traite le signal
de l'impulsion pour déterminer le débit du fluide.
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 54
III. Mesure du débit
DÉBITMÈTRES VOLUMÉTRIQUES
© 2015 ‐ IFP Training
Les débitmètres volumétriques piègent le fluide pour mesurer son débit.
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 55
III. Mesure du débit
TECHNOLOGIES DÉBITMÈTRES – AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 56
IV. Mesure de niveau
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 57
IV. Mesure de niveau
Détermination de la position de la surface de séparation entre 2 éléments, généralement
• Liquide/gaz
• Liquide/liquide (interface)
par rapport à un point de référence
La mesure peut se faire par le plein (référence basse) ou par le creux (référence
haute)
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 58
IV. Mesure de niveau
Remplissage
• Mesure directe du niveau (jaugeage du réservoir)
• Vases communicants (indicateur de niveau)
• Principe d'Archimède (flotteurs, plongeur)
• Principe hydrostatique
• Condensateur
• Radioactif
Creux
• Radar
• Ultrasons
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 59
IV. Mesure de niveau
1. MESURE DIRECTE DE NIVEAU
INDICATEUR DE NIVEAU
Vanne à boisseau
sphérique
(isolement
automatique en cas
d'endommagement
du verre)
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 60
IV. Mesure de Niveau
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 61
IV. Mesure de niveau
2. MESURE PAR PRESSION HYDROSTATIQUE
La hauteur est convertie en pression (poids)
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 62
IV. Mesure de niveau
2. MESURE PAR PRESSION HYDROSTATIQUE
CAS D’UN RESERVOIR OUVERT A L’ATMOSPHERE CAS D’UN RESERVOIR FERME
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 63
IV. Mesure de niveau
2. MESURE PAR PRESSION HYDROSTATIQUE
Vapeurs condensables
Transmetteur à
membranes déportées
Colonne de
référence
Condensation pot
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 64
IV. Mesure de niveau
Lecture directe à flotteur
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 65
IV. Mesure de niveau
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 66
IV. Mesure de niveau
Niveau à plongeur
Mesure du poids apparent d’un plongeur partiellement immergé dans un liquide
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 67
IV. Mesure de niveau
Niveau à plongeur
Transmetteur
Tube de
torsion
Connexions
à la capacité
© 2015 ‐ IFP Training
Plongeur
MASONELLAN type
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 68
IV. Mesure de niveau
Jauge à flotteur
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 69
IV. Mesure de niveau
4. CAPTEURS RADIOMÉTRIQUES
MANOMÈTRES ULTRASONORES DE NIVEAU
Mesure du temps "t" entre l'émission des pulsations par le capteur et leur réception après
réflexion sur une surface liquide.
D=V.t/2 où V est la vitesse du son dans le gaz
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 70
IV. Mesure de niveau
4. CAPTEURS RADIOMÉTRIQUES
CAPTEURS DE NIVEAU RADAR
Identique à la mesure aux ultrasons mais avec une fréquence 10 GHz au lieu de 50 kHz
Contrairement aux capteurs ultrasonores, la mesure
ne dépend pas de la composition de la phase gazeuse
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 71
IV. Mesure de niveau
5. MESURE PAR RAYONNEMENT
Micro ondes guidées
Des trains d’ondes haute fréquence sont
émis et suivent une tige métallique ou un
câble.
Les ondes sont réfléchies par la surface du
produit et reviennent au point d’émission.
L’électronique mesure le temps d’aller‐
retour et le convertit en indication de
niveau.
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 72
IV. Mesure de niveau
4. CAPTEURS RADIOMÉTRIQUES
CAPTEURS DE NIVEAU RADIOACTIFS
L'absorption des rayonnements de la source radioactive dépend de
l'épaisseur et de la densité du produit
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 73
IV. Mesure de niveau
SONDE RAYON GAMMA
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 74
IV. Mesure de niveau
4. CAPTEURS RADIOMÉTRIQUES
CAPTEURS DE NIVEAU RADIOACTIFS
•Capables de "voir" la différence entre l'huile et l'eau beaucoup plus facilement que les sources de rayons
© 2015 ‐ IFP Training
gamma normales, et capables de "voir" les couches de mousse.
•Information et position complète sur la densité des phases xx ‐ y compris (sans limitation) gaz, huiles,
émulsions, eau, sable/solides, condensats, couches de chiffons?xx /complexes, mousses et mixtes.
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 75
IV. Mesure de niveau
5. CAPTEURS DE CAPACITÉ
Mesure du changement de capacité d'un condensateur comme
fonction de la constante diélectrique du fluide contenu entre ses électrodes.
Capacité du condensateur
Constante diélectrique
Zone des électrodes du condensateur
Distance entre les électrodes
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 76
IV. Mesure de niveau
5. CAPTEURS DE CAPACITÉ
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20636_a_F_ppt_03 Capteurs 77
Vannes de régulation
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves
La Boucle de régulation et ses éléments
Consigne
Transmetteur
Variable mesurée Régulation Récepteur
Régulateur
Consigne Signal de commande
Capteur + Alimentation
Transmetteur
Vanne régulatrice
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 2
Caractéristiques des vannes
Coefficient de débit (Cv)
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 3
Vanne de régulation automatique
Caractéristiques des vannes
Caractéristique à égal pourcentage :
Les obturateurs ont une forme telle que
chaque incrément de la course de la vanne
augmente le débit d'un certain
pourcentage du débit précédent.
Caractéristique linéaire :
Caractéristique de flux inhérente qui pour des
incréments égaux de la course fournit des
incréments égaux du coefficient de débit,
Cv
Caractéristique Ouverture rapide :
Un coefficient de débit maximum est réalisé
avec une course minimale de l'obturateur
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 4
Vanne à mouvement linéaire
Robinet à soupape
Membrane
ACTIONNEUR
Ressort
PARTIE
CONNEXION
Dispositif
d'étanchéité
Corps de vanne
Obturateur
© 2015 ‐ IFP Training
CORPS DE
VANNE
Siège
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 5
Vanne à mouvement linéaire
À SIMPLE ORIFICE
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 6
Vanne à mouvement linéaire
À DOUBLE ORIFICE
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 7
Vannes à déplacement linéaire
Types de clapets
DIFFERENTES GEOMETRIES DE CLAPETS CHARACTERISTIQUES DES VANNES
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 8
Vanne à mouvement linéaire
Position par manque d'air
TYPES D'ACTIONNEURS ACTION DE L'OBTURATEUR
Directe
Directe
© 2015 ‐ IFP Training
Inverse
Inverse
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 9
Vanne à mouvement linéaire
Position par manque d'air
Actions à sécurité intégrée
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 10
Vanne à mouvement linéaire
© 2015 ‐ IFP Training
SIMPLE SIÈGE ‐ ACTIONNEUR DIRECT SIMPLE SIÈGE ‐ ACTIONNEUR INVERSÉ
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 11
Vanne à déplacement linéaire Cage
Whisper
Trim®
Linear
characteristic
Quick opening
characteristic
© 2015 ‐ IFP Training
Exponential Cavitrol®
Characteristic Fisher types
Vanne à cage équilibrée
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 13
Vanne à mouvement linéaire
Vanne de régulation
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 14
Vanne à déplacement linéaire 3 voies
mélange répartition
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 15
Vanne à déplacement linéaire
Angle
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 16
Positionneur
Le positionneur fixé à l’arcade de la vanne est relié à la tige de commande
du clapet par un mécanisme recopiant sa position.
Il nécessite sa propre alimentation pneumatique pour actionner la vanne.
© 2015 ‐ IFP Training
- De vaincre les efforts de friction de la tige au niveau du packing et
d’éviter une hystérésis importante.
- De répondre rapidement aux variations de position du clapet dues aux
variations de pression différentielles causées par le process.
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 17
Vanne papillon
© 2015 ‐ IFP Training
NELES JAMESBURY
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 18
Vanne à obturateur rotatif excentré
© 2015 ‐ IFP Training
grosses particules des surfaces de portée. Une fois le contact
avec le siège réalisé, une poussée supplémentaire de
l'actionneur produit une déformation élastique ou flexion du
bras de l'obturateur, créant ainsi une fermeture étanche fiable et
reproductible. (CAMFLEX‐Masoneilan)
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 19
Actionneurs
Pneumatique
• Air instrument
• Gaz instrument
Hydraulique
Électrique
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 20
Actionneurs
Actionneur à membrane à enroulement
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 21
Cavitation/vaporisation
La vaporisation en elle‐même ne
provoque pas de dégâts. Le risque pour la
vanne arrive quand la vapeur chute
presque aussitôt après l'évaporation
lorsque la vitesse diminue et que la
pression augmente.
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 22
Cavitation/vaporisation
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 23
Cavitation
Vanne à boisseau sphérique anti‐cavitation
Vanne Q-
trim®
Q-ball®
P1
Une plaque
Q-Trim®
P2
© 2015 ‐ IFP Training
Pas de Q-
Trim® Pv
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 24
Cavitation
Vanne linéaire anti‐cavitation
Obturateur étagé Cage à plusieurs étages
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20304_e_A_ppt_00 Control Valves 25
Actionneurs de vannes Tor
(Tout Ou Rien ou on‐off)
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR
Utilisation
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 2
Assemblage
Une vanne TOR est constituée d’un ACTIONNEUR et d’une VANNE.
• La plupart des actionneurs sont pneumatiques, ils peuvent être électriques ou
hydrauliques pour certaines applications.
• La plupart des applications se font avec des vannes plein passage (full‐bore)
• Les actionneurs peuvent être quart de tour ou multi‐tours.
• Les vannes ouvertes ne doivent pas causer de pertes de charge. Elles doivent être
étanches à la fermeture.
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 3
Actionneurs pneumatiques
ACTIONNEURS SIMPLE EFFET
La pression de l’air agissant sur le piston génère une
force qui s’oppose au ressort et déplace la tige de
l’actionneur.
En cas de perte de pression d’air le ressort ramène le
piston à sa position de repos
La tige est reliée à une crémaillère et un pignon
© 2015 ‐ IFP Training
entraînant la vanne en rotation
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 4
Actionneurs pneumatiques
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 5
Actionneurs pneumatiques
ACTIONNEURS DOUBLE EFFET
Il n’y a pas de ressort de rappel.
Il y a deux connexions pneumatiques, quand une est
alimentée la seconde est mise à l’atmosphère et le
piston se déplace.
En cas de perte d’alimentation d’air le piston reste en
position.
La vitesse de déplacement du piston est
proportionnelle à la pression d’air
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 6
Actionneurs hydrauliques
Ils peuvent être à simple ou à double effet.
Ils ne peuvent pas être dépressurisés localement et donc nécessitent une ligne de retour vers un
réservoir hydraulique pour fonctionner en circuit fermé.
La pression opératoire est dans une plage de 30 à 300 bars (à comparer à l’alimentation
pneumatique de 7 bars)
Ils sont utilisés pour des vannes installées sur des process haute pression où des actionneurs
pneumatiques seraient très encombrants.
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 7
Actionneurs électriques
Un moteur électrique actionne un ensemble de pignons qui entraîne la vanne.
La vanne peut être quart de tour ou multi‐tours.
Ils peuvent produire des couples importants avec des temps de fermeture important (10 à
180 s).
Ils peuvent être installés loin des commande de séquence (> 500 m). © 2015 ‐ IFP Training
Courtesy of BERNARD
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 8
Accessoires
ELECTRO‐VANNE TROIS VOIES
Noyau magnétique Indicateur de pression
Ressort
Alimentation
Échappement
Energisé Dé‐énergisé
Quand la bobine est alimentée le noyau magnétique est déplacé.
Port P communique avec la sortie
Quand la bobine n’est plus alimentée le noyau magnétique est
© 2015 ‐ IFP Training
repoussé par le ressort .
Port 3 communique avec l’échappement.
Port air supply est fermé.
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 9
Accessoires
ELECTRO‐VANNE QUATRE VOIES VOIES
Quand la bobine est alimentée la tige du pilote se déplace vers la gauche et
le ressort est comprimé
Port : 1‐2; 4‐5 communiquent
© 2015 ‐ IFP Training
Quand la bobine n’est plus alimentée le ressort repousse la tige vers la
droite
Port 1‐4; 2‐3 communiquent.
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 10
Vanne TOR et système de sécurité
EXEMPLE AVEC ACTIONNEUR SIMPLE EFFET
Une boucle de sécurité simple comprend:
• un capteur
• une sortie logique automate
• une vanne TOR (failed closed)
Opération normale
• La sortie de l’automate est fermée, la LSOV est alimentée, l’air passe des ports 1 à 2 et la SDV est ouverte
En cas d’arrêt
• La sortie de l’automate est ouverte, la LSOV n’est plus alimentée et l’actionneur est dépressurisé au travers des port 2‐3
La SDV est fermée par le ressort de rappel
© 2015 ‐ IFP Training
•
Perte des sources d’énergie
• En cas de perte d’air la SDV ferme au travers des ports 2‐1
• En cas de perte d’électricité la LSOV n’est plus alimentée et l’actionneur est dépressurisé au travers des port 2‐3
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 11
Vanne TOR et système de sécurité
EXEMPLE AVEC ACTIONNEUR DOUBLE EFFET
Opération normale
• LSOV est alimentée, l’air va à l’actionneur au travers des ports 1‐2 alors que la
chambre du bas est purgée par les ports 4‐5. La SDV est ouverte
En cas d’arrêt
• LSOV n’est plus alimentée, l’air va à l’actionneur au travers des ports 1‐4 alors que
la chambre du haut est purgée au travers de 2‐3. La SDV est fermée.
Perte des sources d’énergie
• En cas de perte du réseau d’air la SDV reste ouverte grace au secours de la réserve
© 2015 ‐ IFP Training
d’air maintenue pressurisée par le clapet. Il est encore possible de fermer la vanne
en cas de shutdown.
• En cas de perte d’alimentation électrique la LSOV n’esy plus alimentée, l’air va à
l’actionneur par les ports 1‐4 pour fermer la SDV.
EP 20638_a_F_ppt_03 Actionneurs vannes TOR 12
Capteurs feu & gaz
EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors
Détection gaz
Détection de la concentration de gaz
• Détecteurs de gaz catalytiques
• Détecteurs de gaz à infrarouge (IR)
Détection des fuites de gaz
• Signature de fuite ultrasonore
• Détecteurs de basse température
Basés sur le principe qu'un débordement de gaz liquéfié est généralement plus froid que
la température ambiante.
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Détecteurs de gaz
CAPTEURS CATALYTIQUES
L'un des d'eux est imprégné d’un catalyseur qui favorise l’oxydation, l'autre est
traité pour éviter l’oxydation.
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Détecteurs de gaz
DÉTECTEURS DE GAZ HYDROCARBURES À INFRAROUGE
Basés sur la capacité des gaz hydrocarbures à absorber les rayons IR à 3,4µm
environ.
Le détecteur IR mesure l'intensité de deux longueurs d'ondes: la longueur d'onde
d'absorption du gaz cible et une autre à l'extérieur de cette dernière.
La comparaison des deux signaux obtenus donne la concentration de gaz cible.
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Détecteurs de gaz
DETECTEURS INFRAROUGES DE GAZ (HYDROCARBURES)
PONCTUELS INFRAROUGE BARRIÈRE INFRAROUGE
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Détecteurs de gaz
DÉTECTEURS DE GAZ HYDROCARBURES À INFRAROUGE
10 % de
LIE
Détecteur à trajet ouvert Détecteur à trajet ouvert
30 % de 10 mètres
LIE
100 % de
LIE
Relevé du détecteur ponctuel Relevé du détecteur à trajet ouvert
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• 100 % de LIE • %LIE/100 x d = 0.1 x 10 = 1 LIE.m
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Détecteurs de gaz
DÉTECTEURS DE FUITE ULTRASONIQUES
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Détecteurs gaz toxique
INFRARED HYDROCARBON GAS DETECTORS
H2S LASER INFRAROUGE
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Détection de gaz toxiques
Arrête-flamme
Détecteur semi‐conducteur
Céramique
• Absorption spécifique du gaz par un semi‐conducteur à
oxyde de métal (MOS) Capteur
• Modification de la conductivité d'un semi‐conducteur
Chauffage
proportionnelle à la concentration du gaz
• Température maintenue au‐dessus de 100°C Thermistance
− Pour réduire les effets de la température ambiante et de
l'humidité
• Réponse: en ppm de H2S
− Plage de concentration : 0 – 100 ppm H2S
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Emplacement et positionnement des capteurs de gaz
INCORRECT
Gaz lourd
CORRECT Gaz léger
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Source Source
de la libération de gaz de la libération de gaz
EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors 10
Détecteurs de feu
Il existe trois moyens
principaux de détecter un feu
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Détecteurs flamme
Spectres
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Détection incendie, la flamme
Détection IR
Détection UV
• Convient aux applications avec :
• Détecte tous les feux (H et/ou C)
− feux d’hydrocarbures
• Sensibilité (trop) élevée − environnements industriels (activités industrielles
• Convient aux environnements intérieurs et chaudes, sales)
contrôlés. − Applications avec de grandes quantités de
• Ne pas installer dans des zones exposées à de contaminants atmosphériques
hauts niveaux de contaminants atmosphériques • Les détecteurs IR ne conviennent pas pour les feux non
ou de vapeurs atténuantes ou d'huile sur les hydrocarbures
optiques • Sensibles au rayonnement du corps noir (ex.
échappements chauds)
Détection UV/IR
Triple IR (IR à triple gamme d'ondes)
• Intégrité optique automatique
• Performance garantie pour les différents combustibles
• Faible susceptibilité aux déclenchements dangereux
intempestifs
• Plage globale de détection accrue
• Ne pas installer dans des zones exposées à de • Le cône de vision amélioré apporte une meilleure
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hauts niveaux de contaminants atmosphériques performance en dehors de l’axe du faisceau
ou de vapeurs atténuantes
• Les optiques chauffées augmentent les performances
• Non recommandée pour la détection des feux dans des conditions difficiles
d'hydrogène • Excellent rejet du rayonnement IR ambiant
EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors 13
Détection incendie, la flamme
Cône de vision
• La zone de forme conique s'étend au‐delà des optiques du détecteur
• L'axe central assure la sensibilité la plus élevée
• La plage de détection maximale dépend du type de capteur & de combustible
• Une protection optimale du dispositif ne laisse aucun vide dans l'implantation des cônes
de vision.
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Détection incendie, la flamme
L'emplacement des détecteurs est critique à chaque fois que le vote est utilisé
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Détecteurs incendie, la flamme
Vidéo‐détection de flamme par CCTV
Système de détection entièrement autonome
et indépendant ; il combine imagerie couleur,
traitement numérique du signal et
algorithmes logiciels pour traiter les images
vidéo en direct et interpréter les
caractéristiques d’une flamme.
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Détection incendie, la fumée
DÉTECTEURS DE FUMÉE À CELLULE PHOTOÉLECTRIQUE
En conditions normales, la lumière de la source de gauche a une trajectoire droite et manque le capteur.
Mais lorsque la fumée entre dans la chambre, les particules de fumée dispersent la lumière et une certaine
quantité de lumière touche le capteur :
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Détecteurs fumée
Capteur Système
Laser d’aspiration
Réseau de prélèvement
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Filtre
EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors 18
Détecteurs fumée
DÉTECTEURS IONISATION
Les détecteurs à ionisation contiennent une substance radioactive qui émet des particules
alpha.
Ces particules, en se heurtant à l'oxygène et à l'azote dans l'air produisent des ions qui
conduisent l'électricité et permettent la circulation continue d'un courant électrique entre deux
électrodes.
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Les particules alpha sont absorbées par la fumée qui pénètre dans la chambre de détection, ce
qui cause une baisse de courant et déclenche une alarme.
EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors 19
Détection incendie, la chaleur
DÉTECTEURS À BOUCLE FUSIBLE
Élément fusible mis sous pression avec de l’air instrumentation et fondant à une
température prédéterminée (79 °C à 96 °C).
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EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors 20
Détection incendie, la chaleur
DÉTECTEURS THERMOSTATIQUES (TS)
DÉTECTEURS THERMODYNAMIQUES (thermovélocimétrique ‐ ROR)
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Div. ‐ Document de référence
EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors 21
Détection d'incendie, choix du capteur (exemple)
Situation Type de détecteur
Têtes de puits FP xx
Procédé UV/IR ou IR3
Machines
Enceinte de turbines à gaz
UV/IR ou IR3 + RoR
tout équipement, en zone ouverte
UV/IR ou IR3
Équipement non HC, entraîné par un
Fumée + RoR
moteur électrique
Bâtiments
Quartiers vie fumée + RoR
Enceinte Utilités fumée
Local électrique fumée + TS
Magasins & dépôts fumée + TS
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EP 20306_c_A_ppt_00 Fire Gas Detectors 22
Système Numérique de Contrôle
Commande (SNCC)
Système Instrumenté de Sécurité (SIS)
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System
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Système Numérique
de Contrôle Commande
SNCC
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 3
Principes SNCC
Contrôleur
Interface de
communication
Mémoire
HM
programme
I
Unité centrale
Mémoire
données
Transmetteur de pression Vanne de contrôle
Vanne TOR
Transmetteur de température Interfaces Interfaces
d’entrées de sorties Moteur
contact
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Relais
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 4
Principes SNCC
SNCC et API ont fortement convergé, le choix de l’un ou l’autre dépend de l’application, des
importances relatives des automatismes et de la régulation et du volume d’information à
traiter.
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Les systèmes de contrôle globaux d’installations sont constitués de SNCC auxquels sont reliés
des API
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 5
Structure générale d'un S.N.C.C.
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 6
Avantages & inconvénients des SNCC
Avantages
• Permet d’acquérir un nombre énorme d’informations
• Puissance de traitement
• Souplesse
• Possibilité de distribution des traitements
• Intégration dans le système global d’information
Inconvénients
• Durée de vie fonction de l’évolution de l’informatique
• Inflation de données
• Risques de perte de compétences
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• Décalage opérateur/procédé
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 7
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 8
Éléments d’un système
Hardware
• Poste de conduite (Human Machine Interface HMI)
• Contrôleurs
− Procédé
− Sécurité
• Réseau de communication
• Interfaces de communication, serveurs
• Poste de travail Engineering
Software
• Operating System software
• Application software
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 9
HMI (Interface Homme‐Machine)
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Contrôleur
Emerson Delta V
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Contrôleur
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 12
Topologie du réseau
Bus Avantages
Connexion facile d'un ordinateur ou d'un périphérique à un bus linéaire.
Requiert moins de longueur de câble qu'une topologie en étoile.
Inconvénients
Tout le réseau s'arrête en cas de rupture dans le câble principal.
Une terminaison doit être installée à chaque extrémité du câble vertical.
Difficile d'identifier le problème en cas d'arrêt de l'ensemble du réseau.
Étoile
Avantages
Facile à installer et à câbler.
Aucune interruption du réseau lorsque les appareils sont connectés ou
retirés.
Facile de détecter les pannes et de démonter les composants.
Arbre concentrateurs.
Avantages
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Câblage point à point pour les segments isolés.
Soutenue par plusieurs vendeurs de matériels et de logiciels.
Inconvénients
La longueur totale de chaque segment est limitée par le type de câblage
utilisé.
Si la ligne verticale est rompue, tout le segment tombe.
Plus difficile à configurer et à câbler que d'autres topologies.
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 13
Structure générale d'un S.N.C.C.
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 14
Système Instrumenté de Sécurité
SIS
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 15
But d’un Système Instrumenté de Sécurité
Attention:
- Les systèmes de sécurité ne suppriment pas tous les dangers (par exemple points chauds)
- Les séquences de sécurité doivent être sures et conduire à un état final stable.
- Des cas particuliers (modes dégradés ou opérations simultanées ne peuvent pas être
toujours couvertes par des séquences automatiques.
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 16
Principe de base des risques
RISQUE
=
PROBABILITÉ x CONSÉQUENCES
PROBABILITÉ RÉDUITE
RISQUE
OU
RÉDUIT
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CONSÉQUENCES RÉDUITES
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 17
Principe de base des risques
PFD RÉDUIT
(PFD = Probabilité de défaillance à la demande) MOINS
OU
D'ACCIDENTS
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DEMANDE RÉDUITE
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 18
Risques et Réduction des Risques
RISQUE RISQUE
RÉSIDUEL RÉEL TOLÉRABLE RISQUE INITIAL
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La réduction du risque est réalisée par des systèmes liés à la sécurité et les
installations externes de réduction des risques
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 19
Protection multi‐couches
USS
Process Shutdown System:
Trips & actions associées (PSS) ESD / F&G
PSV HIPS
Emergency Shutdown System:
Emergency SD actions (ESD) PSS
ALARMS
Fire & Gas System:
F&G détections/actions CONTROL
SYSTEM
PROCESS
Ultimate Safety System:
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 20
Système Instrumenté de Sécurité/Automate de sécurité
Normes IEC
• Approche probabiliste .
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• S’appliquent aux matériels et logiciels.
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 21
Entrée Sortie
PT PSHH Solveur logique
SDV
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 22
Système Instrumenté de Sécurité (SIS) /Automates du système
de sécurité
Niveau d'intégrité de sécurité (SIL)
• Les niveaux d'intégrité de sécurité sont des classes discrètes, numérotées de 1 (niveau le plus
bas) à 4 (niveau le plus élevé).
• Ils donnent une répartition artificielle en quatre classes des valeurs de l'intégrité de sécurité
requise par chaque fonction de sécurité (résultant de l'analyse des risques et des dangers).
• Le SIL est une exigence : la probabilité moyenne de défaillance à la demande (PFDavg) du
système physique de sécurité qui est supposé fonctionner selon cette exigence doit
correspondre à la bonne classe SIL.
• Il est totalement inacceptable d'indiquer le SIL d'un composant isolé. La PFDavg déterminée
pour l'ensemble du système, tel que construit, installé et en service est le seul critère
acceptable permettant de définir si le système satisfait ou non à l'exigence SIL initiale (et celle‐
ci doit être satisfaite pour chaque fonction de sécurité)
• Faire état du SIL d'un composant (n) est inepte et erronée. Le libellé correct est :
Ce système convient aux applications liées à la sécurité jusqu'au SIL 3
(IEC 61508) et Cat.4 (EN 954‐1) considérant les résultats du test rapport‐
no.: 968/EZ 164.03/05 daté du 15‐09‐2005.
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 23
Système Instrumenté de Sécurité (SIS) /Automates du système
de sécurité
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 24
Système Instrumenté de Sécurité (SIS) /Automates du système
de sécurité
Contraintes architecturales
La PFD peut être améliorée par des tests plus fréquents
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Une redondance minimum du matériel est nécessaire pour pallier une fréquence d'essais
irréaliste
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 25
Système Instrumenté de Sécurité (SIS) /Automates du système
de sécurité
Tolérances aux défauts
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 26
Architecture Typique
Données(4)
solveurs
PCS 2 PSS ESD Données
F&G logiques
(4)
(3)
gauche
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Remarques: Seuls les Liaisons d' action sont représentées Légende: PKGE Packages
(1) Logement + Détecteurs de fumée de bureaux adressables Liaison matérielle
(2) Arrêt des ensembles d'équipements chauffés Liaison série
(3) Un bus de données dupliqué est une alternative acceptable 1 bus de données simple
(4) Les liaisons PSS/ESD/F&G pour les données uniquement sont des liaisons série
2 bus de données dupliqué
(bus de données dupliqué/multiplié par trois)
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 27
Fiabilité‐Disponibilité
Fiabilité
• Probabilité qu'un appareil remplira sa fonction dans les conditions spécifiées pour une
période spécifiée ou une demande spécifiée
– Comment augmenter la fiabilité ou réduire la probabilité de défaillance à la
demande (PFD) ? PFD = f( ,T)
En sélectionnant un composant avec un faible taux de défaillance
En réduisant l'intervalle de test T (par an)
Disponibilité
• Proportion de durée totale pendant laquelle un composant, un équipement ou un
système fonctionne de la manière souhaitée
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 28
Système numérique dans son environnement
Configuré selon
les specifications projet: Control logic,
Safety charts..Etc.
Alimentation PLC ou Contrôleur
Electrique
220VAC secourue Compresseur
CPU
d’air ou
Unité
hydraulique
Entrée Entrée Output Output
Mod Mod Mod Mod
Analog Digital Analog Digital
Alimentation
electrique 24VDC
secourue
TT
I/P SOV
Capteurs analogiques
PT, FT, TT, ST…. Capteurs TOR
Detecteur F&G PSL, LSL,
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ZIO, ZIC,..
Vannes de contrôle Vannes TOR
PCV,TCV,FCV…. ESDV,SDV,….
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 29
Architectures redondantes
Redondance applicable
• Aux unités centrales
• Aux cartes entrées / sorties
• Aux cartes d’alimentation
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 30
Redondances
Canal simple
Alimentation
électrique
Simple PLC ou Contrôleur 24 VCC
Chien de garde
(surveillance)
Capteur A
Entrée Sortie
ANA
CPU
TOR
& Commutateur PLC
Unité hydraulique
ou compresseur
Air instrument
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Marche normale commutateur PLC est FERMÉ
Arrêt commutateur PLC est OUVERT SOV
Vanne sécurité
normalement
sous tension
31
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System FC
Redondances
Canaux double
24VDC
Alimentation 1oo2 logique de
Single PLC or Controller
PLC Double ou Contrôleur secourue
Chien de garde
votation
(surveillance)
Capteur A
Sortie
Entrée
CPU Numérique &
Mod Mod
Chien de garde
(surveillance)
Capteur B
Entrée
Sortie Air Instrument
CPU Numérique &
Mod Mod
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24VDC
Alimentation 2oo2 logique de
Single PLC or Controller
PLC Double ou Contrôleur secourue
Chien de garde
votation
(surveillance
Capteur A
Sortie
Entrée Numérique
CPU &
Mod Mod
Chien de garde
(surveillance
Captueur B
Entrée
Sortie Instrument Air
CPU Numérique
Mod &
Mod
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marche Normal PLC switch est FERMÉ SOV
Arrêt PLC switch est OUVERT
Safety Valve (FC)
Normally active
33
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System FC
Redondances
Vanne de sécurité normalement énergisée (actionneur à simple effet)
24VDC
Alimentation
2oo3 logique de
PLC Triple ou Contrôleur
Single PLCor
Dual PLC orController
Controller secourue votation
Chien de garde
(surveillance)
Capteur A
Sortie
Entrée
CPU Numérique &
Mod Mod
Chien de garde
(surveillance)
Unité
Capteur B
Sortie
hydraulique ou
Entrée compresseur
CPU Numérique &
Mod Mod Air instrument
Chien de garde
(surveillance)
Capteur C
Sortie
Entrée
CPU Numérique &
Mod Mod
SOV
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Safety Valve
Normally active
marche Normal PLC switch est FERMÉ
Arrêt PLC switch est OUVERT
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 34
Système Instrumenté de Sécurité/Automate de sécurité
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 35
Système Instrumenté de Sécurité/Automate de sécurité
Cas particulier de SIS: HIPS
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« Solid state logic solver »
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 36
Système Instrumenté de Sécurité/Automate de sécurité
Cas particulier de SIS: HIPS
250
80
E E
X1 X3 X2
I I
SFC
800
450
I*
1410
SYSTEM RACK
19 INCH X4
1575
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Armoire HIPS TOP VIEW
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 37
SDV classique
Panneau de contrôle vanne
sécurité HIPS
2 HIPS SOVs
2 PSS SOVs
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3 SOV TESTING OVERRIDE
RESET
LOCAL COMMAND
2 QEVs
PST
FST
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 38
Installation type SNCC
JB JB
Site -Zone1
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Capteurs Vannes
Les marshalling cabinets sont très importants pour les revampings
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 39
Exemple d’architecture: FPSO Girassol
Computer room
Control room
HMI
PDS Maint
Interfaces
PCS PSS F&G ESD Packages Sub Tele HCS ECS Metering Analysers
[SIL2] [SIL3] [SIL3] CS sea metry
DCS
Locaux techniques
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 40
Exemple de réalisation: FPSO Girassol
Displays 620
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Engineering 38000 h
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 41
Évolutions
• Avantages
− Réduction des coûts
− Harmonisation de procédures de gestion
− Télémaintenance
• Inconvénients
− Tributaires des évolutions de Windows et des révisions de logiciels
− Durée de vie des matériels (PC) réduite
− Vulnérabilité accrue (virus)
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 42
Évolutions
E/S déportées (Remote I/Os)
Local technique
Technical rooms Réseau
ICSS A A
Network
équipement de
Communication
communication
Equipment
Marshalling Cabinets
Contrôleur Interface Redundant FO Cables
0,8m communication with separate
Réseau networks and
equipment pathways
Controlle
0,8m r Réseau B
ICSS Network B
IO Cards équipement de
Communication
communication
Equipment
Réseau local
JBJBs avec
JB
cartes E/S
Site ‐Zone1
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Capteurs Vannes
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 43
Évolutions
E/S déportées (Remote I/Os)
Avantages
• Diminution des câbles multipaires
• Suppression de marshalling cabinets
• Réduction surface locaux techniques
• Réduction besoins HVAC
Inconvénients
• Limitation d’utilisation en zones explosibles
• Maintenance en zones explosibles
• Compatibilité des matériels
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 44
Évolutions
Réseau de terrain (Fieldbus)
Local technique
Technical rooms Réseau A
ICSS Network A
équipement de
Communication
communication
Equipment
Controller Network
Interface
Interface
Réseau
Réseau B
ICSS Network B
équipement de
Communication
communication
Equipment
Local Field Bus
network
JBs with
Capteurs I/O Cards Vannes
Smart Smart
Field -Zone1 Area
Site ‐Zone1
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Sensors Valves
EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 45
Évolutions
Réseau de terrain (Fieldbus)
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 46
Évolutions
Réseau de terrain (Fieldbus)
Avantages
• Idem remote I/Os
• Possibilité de régulation locale
Inconvénients
• Difficulté d’ingénierie
– Localisation des algorithmes de contrôle
– Définition des segments
• Philosophie de contrôle hétérogène
– SIS
– Packages
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EP 20307_f_A_ppt_01 Digital Process Control Safety System 47
Banc de comptage
commercial
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial
Comptage commercial huile : Principaux Objectifs
Calcul des Volumes Net aux conditions
standard
• Conditions Standard
− T°C: 15 °C et P: 1,01325 bar a
− T°F: 60°F et P: 14,696 psi a
• 60°F = 15.56 °c
• Volume Net standard = Vol Gross (brut) Standard – Eau
– Sédiment
Mesure Qualité de l’huile
• API (MV)
• BSW ou teneur en eau et teneur en sédiment
• RVP
• Sel ..
Émission du Bill of Lading avec volumes nets en
Barils à 60 °F & 14.696 psi a , masse dans le
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vide et poids dans l’air
(Masse Volumique dans l’air kg/m3 = MV dans
le vide kg/m3 – 1,1kg/m3)
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 2
Conversion m3 / barils
Table ASTM 52
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 3
Conversions
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 4
Méthode pour calcul volume commercial
Chiffres officiels donnés par le terminal
Mesure statique : paramètres de réservoirs de stockage
• Précision
− 0.3 % ‐ 0.4 % réservoirs terrestres
− > 0.5% citernes F(P)SO (mouvements du stockage).
− > 0.5% citernes pétrolier (mouvements du stockage).
• Manque de flexibilité opératoire. Réservoirs immobilisés.
Mesure dynamique avec utilisation d’un banc de comptage avec compteurs à
turbines.
• Précision
− 0.1 % ‐ 0.15 %
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 5
Parallèle : banc comptage / jaugeage réservoir
Banc de Comptage avec turbine Jaugeage Réservoir terre
Volume Mesure nombre tours compteur
Mesure hauteur liquide
Calibration compteur en usine :
Mesure hauteur interface Eau/huile
obtention K facteur: tours / m3
Barémage réservoir; Table barème: m3 par cm
Température Mesure T° huile au compteur Mesure T° huile dans réservoir
puis composite du chargement
Calibration Calibration périodique de chaque compteur Barémage réservoir tous les 10 ans
avec boucle d’étalonnage.
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Epalement boucle étalonnage tous les 3 à 4 ans
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 6
Banc de comptage : Schéma type
Sortie
Tranquilliseur et Compteur
FCV
Filtre
PDI
FT
TI PI 3: Echantillonneur
FT
TI PI
PDI
1: Lignes comptage
FT
TI PI
Boucle
2: Boucle
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Entrée étalonnage
4: Calculateurs et
superviseurs
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 7
Banc de comptage : Description
Collecteurs entrée et sortie.
Lignes de comptage (N+ 1 recommandé)
Chaque ligne comprend :
• Une vanne entrée
• Un filtre avec mesure DP
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 8
Banc de comptage : Description
Chaque ligne comprend :
• Une vanne entrée,
• Un filtre avec mesure DP,
• Un tranquilliseur de débit,
Tranquilliseur
Compteur turbine
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 9
Banc de comptage : Description
Chaque ligne comprend : Compteur
• Une vanne entrée volumétrique
• Un filtre avec mesure DP
• Un tranquilliseur de débit
• Un compteur (turbines recommandées) avec 2 détecteurs
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 10
Banc de comptage : Description
Chaque ligne comprend :
• Une vanne entrée
• Un filtre avec mesure DP
• Un tranquilliseur de débit
• Un compteur (turbines recommandées) avec 2 détecteurs
• Capteurs de mesure Pression &
Température
TT
PT
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 11
Banc de comptage : Description
Chaque ligne comprend :
• Une vanne entrée,
• Un filtre avec mesure DP,
• Un tranquilliseur de débit,
• Un compteur (turbines recommandées) avec 2
détecteurs,
• Capteurs de mesure Pression & Température,
• Vanne de contrôle du débit,
• Vannes Double block & bleed sortie ligne et
sortie vers boucle étalonnage.
Vanne étalonnage
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FCV
Vanne export
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Échantillonneur automatique
10 000 grabs,
Unités d’échantillon de
1 ou 1,5 cm3 récupérées
Soit total de 10 ou 15 litres
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 13
Banc de comptage : Description
Chaque ligne comprend :
• Une vanne entrée,
• Un filtre avec mesure DP,
• Un tranquilliseur de débit,
• Un compteur (turbines recommandées) avec 2 détecteurs,
• Capteurs de mesure Pression & Température,
• Vanne de contrôle du débit,
• Vannes Double block & bleed sortie ligne et sortie vers boucle étalonnage
Un échantillonneur automatique.
Une boucle étalonnage des compteurs avec vanne 4 voies.
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Boucle étalon et sphère
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Vanne 4 voies
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 16
Banc de comptage : Description
Collecteurs entrée et sortie.
N+ 1 lignes de comptage (recommandé)
Chaque ligne comprend :
• Une vanne entrée,
• Un filtre avec mesure DP,
• Un tranquilliseur de débit,
• Un compteur (turbines recommandées) avec 2 détecteurs,
• Capteurs de mesure Pression & Température,
• Vanne de contrôle du débit,
• Vannes Double block & bleed sortie ligne et sortie vers boucle étalonnage
Un échantillonneur automatique.
Une boucle étalonnage des compteurs.
Calculateur de volume général, calculateur d’étalonnage.
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Superviseur pour gestion et conduite du banc de comptage.
Imprimantes pour: alarmes, rapports d’étalonnage, tickets.
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 17
Calculateurs et superviseur
Le système logiciel du banc se compose de:
• Calculateurs Lignes, calculateur étalonnage et système de supervision
L'architecture du système intègre trois niveaux:
• Niveau 1 ‐ Calculateurs Lignes, calculateur étalonnage
• Niveau 2 ‐ système de supervision et OPC (Process Control Object) Server
en charge de collecter et transférer des données depuis / vers les autres
niveaux
• Niveau 3 – ICSS Integrated Control and Safety System
Chaque niveau reçoit et / ou transmet des informations, valeurs,
mesures, résultats de calcul ...…
Supervisory
Computer
Niveau 2
OPC
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Server
Niveau 3 ICSS
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 18
Calculateurs et superviseur
Le Flow Metering Superviseur est principalement en charge de:
• Communiquer avec calculateurs de ligne / étalonnage via double
redondante lien
• Fournir un interface calculateurs, boucle étalon et échantillonneur,
• Organise les étalonnages,
LINE #1 LINE #2 LINE #3 LINE #4 PROVER
• Imprime / sauvegarde les rapports, FLOW FLOW FLOW FLOW FLOW
COMPUTER COMPUTER COMPUTER COMPUTER COMPUTER
• Archive les alarmes / évènements,
Supervisory
Computer
• Communique avec ICSS via le Serveur OPC,
OPC
• Contrôle les débits( total / lignes ) en fonction des quantités à charger, Server
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• Contrôle changement de ligne sur détection d’un défaut
ICSS
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 19
Turbine comptage : pâle hélicoïdale
Volume Vi = N / K avec:
N nombre impulsions;
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K : K factor (étalonnage usine)
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 20
Calcul Volume : Volume Indiqué
Étape 1
Vi = N/K
Exemple :
• Nombre impulsions N: 117 480 pulses
• Compteur K facteur : 24 pulses / m3
• Volume indiqué Vi = 117 480 / 24 = 4 895,00m3
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 21
Étalonnage : calibration des compteurs
Calibration, étalonnage: opération qui établit sous des conditions spécifiées du
site, relation entre valeurs indiquées par le compteur et valeur indiquée par le
volume de référence de la boucle (aux conditions standards).
Résultat d’étalonnage est un facteur ( Meter Factor ).
MF = Volume standard boucle / Volume standard Compteur
MF = Vp std15°c / Vm std15°C (Vp Volume Prover / Vm Volume Meter)
• Vm15 = V standard Meter =cNn/K0 x Ctlm x Cplm x Ctsm x Cpsm
• Vreference15 = V standard Prover = Vp std15°c = Vp x Ctlp x Cplp x Ctsp x Cpsp
Résultat d’étalonnage des compteurs sont enregistrés dans des rapports
d’étalonnage, analysés et archivés dans le dossier de métrologie du terminal.
Fréquence étalonnage (recommandation):
• Un par chargement
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• Puis ex. un par mois si démonstration de la stabilité du MF
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 22
Boucle étalonnage : Description
Equipements principaux: Détecteurs
sphère
Vanne 4 voies.
2 gares de sphère dont une à
ouverture rapide pour visite sphère.
Longueur de stabilisation de débit.
Volume étalon entre détecteurs
passage de sphère.
Détecteurs passage de sphère (4 recommandés et décalés).
Capteurs de mesure Pression & Température.
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FCV pour contrôle débit avant et pendant étalonnage compteur.
Piquages entrée et sortie boucle pour calibration de la boucle étalon.
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 23
Principe étalonnage compteur
Mettre en série le compteur à étalonner avec un volume étalon de référence. Ici un bac avec 2 détecteurs
de passage d’un piston. Le piston se déplace:
• du détecteur 1 Volume = 0,
• jusqu’au détecteur 2= volume étalon
Mesurer (N,P,T) du compteur et calculer le volume standard donné par le compteur
Mesurer (P,T) du volume étalon et Calculer volume standard étalon ( Volume étalon est connu)
Comparer les 2 volumes standard MF (Meter Factor) = Vétalon15 / Vm15 (rapport très proche de 1).
Piston
Détecteur 2
Volume étalon
= Vol référence
Détecteur 1
T P
T P
FT
N
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Calculateur
étalonnage
m: meter (compteur)
N – Plm ‐ Tlm
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 24
Principe étalonnage compteur
• Lancement de l’’étalonnage
Volume étalon=Volume référence
Détecteurs sphère
TI PI
N
FT
N = 0 TI PI
Plm Tlm Plp Tlp
Calculateur
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étalonnage stand‐by
m: meter (compteur)
p: prover (boucle étalon)
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 25
Principe étalonnage compteur
TI PI
FT
N ‐ Plm ‐ Tlm TI PI
TI PI
FT N plus enregistré TI PI
Plm Tlm Plp Tlp
Calculateur
• Fin run d’étalonnage: étalonnage stand‐by
Fin enregistrement N, Plm et
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Tlm
Fin enregistrement Plp et Tlp
m: meter (compteur)
p: prover (boucle étalon)
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 26
Étalonnage : Principe
Sens : ALLER
Compteur Vanne
Fermée
PDI
FT
TI PI
Détecteurs de sphère Sphère calibrée
Sens: RETOUR
Volume étalon de
référence TI PI
Vanne 4 voies
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Boucle étalonnage
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 27
Étalonnage : Principe
Sens : RETOUR
Compteur Vanne
Fermée
PDI
FT
TI PI
Détecteurs de sphère
Volume étalon de
référence TI PI
Vanne 4 voies
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Boucle étalonnage Sphère calibrée
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 28
Étalonnage : Principe
Volume étalon Vp est souvent 2 fois le volume de la boucle localisé entre 2 détecteurs.
Soit un aller et retour de la sphère.
Vp est mesuré en usine puis périodiquement re‐mesuré sur site par un organisme agréé.
(5 ans maxi)
Incertitude sur le volume 0.03 à 0.05%.
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Procédure Standard selon API MPMS: 5 runs consécutifs acceptables Répétabilité entre
les runs : < à 0.05 % .
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 29
Étalonnage : Principe
Exemple de résultats d’étalonnage :
Résultats des runs MF
− 1 0.9999
− 2 0.9997
− 3 1.0005
− 4 1.0004
− 5 1.0001
− 6 1.0003
− 7 1.0002
Les 5 derniers runs sont OK
MF est 1.0003
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 30
Calcul Volume : Volume Mesuré Vm
Étape 2
Vi = N/K Vm = Vi x MF = N/K x MF
Exemple :
• Nombre impulsions N: 117 480 pulses
• Compteur K facteur : 24 pulses / m3
• Volume indiqué Vi = 117 480 / 24 = 4 895,00m3
• MF = 1.0003
• Vm = 4 896,46 m3
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 31
Calcul Volume : Volume Standard V15
Étape 3
Vi = N/K (étape 1) Vm = Vi x MF = N/K x MF (étape 2)
Vm std15°C = N/K x MF x Ctlm x Cplm x … x … (étape 3)
Exemple :
• Nombre impulsions N: 117 480 pulses
• Compteur K facteur : 24 pulses / m3
• Volume indiqué Vi = 117 480 / 24 = 4 895,00m3
• MF = 1.0003
• Vm = 4 896,46 m3
• Ctlm 0.97585
• Cplm 1.00152
• Volume standard Vstd 15= 4 785,48 Sm3
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• Il y a aussi correction pour l’influence de T°C et P sur l’acier (steel) du
compteur Ctsm x Cpsm.
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 32
Échantillonneur automatique
Norme ISO 3171
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 33
Schéma de principe échantillonneur automatique
• 10 000 grabs (unités d’échantillon) de 1 ou 1,5 cm3),
Banc de comptage
• Soit total de 10 ou 15 litres récupérés à la fin du chargement
• Volume à charger est saisi dans le calculateur (ex: 950 000 bbls)
• Calculateur divise gvolume à charger par 10 000 (ex: 950 000/10 000 = 95 bbls)
• 1 unité d’échantillon est récupérée à chaque 95 bbls passés
1 impulsion envoyée / 95 bbls)
LI
1 unité d’échantillon
récupérée / 95 bbls) Calculateur banc
Superviseur
Calcul: du Vol. chargé du
Nbre unités d’échantillon du PF
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m: meter (compteur)
PF: Ferformance Factor
LI: Level Indicator
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 34
Échantillonneur automatique: Equipements
Containeur, réceptacle
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Montage échantillonneur
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 35
Procédures échantillonnage
Échantillons représentatifs pour analyse laboratoire et parties (terminal, client …)
• Teneur en (eau & Sédiment) BSW par centrifugation
− ou Teneur en eau (méthode distillation ou Karl Fisher) et Teneur en Sédiment
• Masse Volumique
• API gravity
• Teneur en sel
• Point écoulement
• RVP , tension de vapeur
• Teneur en produits toxiques ….
Échantillonneur automatique proportionnel au débit (donné par banc de comptage 1 prélèvement
tous les X barils)
ou échantillonneur automatique proportionnel au temps (affichage période en manuel 1
prélèvement tous les X secondes).
Échantillonnage automatique selon norme ISO 3171.
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Mode de prélèvement: 10 000 prélèvements de ( 1cc or 1.5 cc ) pendant toute la durée du
chargement. Soit un volume total de 10 ou 15 litres.
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 36
Procédures échantillonnage
Pas d’eau libre : eau est en suspension. Test de profil :
Échantillonnage à différents points.
Bon mélange si vitesse du produit au point Passage d’un produit avec Teneur en eau
de prélèvement > 1.8 m/s. connue et vérification des teneurs aux
différents points échantillonnés.
Mélangeur
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EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 37
Procédures échantillonnage
Pas d’eau libre, eau en suspension.
Bon mélange si vitesse du produit au point de prélèvement > 1.8 m/s.
Échantillonnage avec sonde localisée dans le milieu de la conduite.
© 2015 ‐ IFP Training
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 38
Procédures échantillonnage (2/2)
Pas d’eau libre, eau en suspension.
Bon mélange si vitesse du produit au point de prélèvement > 1.8 m/s.
Échantillonnage avec sonde localisée dans le milieu de la conduite.
Échantillonnage sous pression pour éviter vaporisation.
Critère d’un bon fonctionnement de l’échantillonnage, suivi en continu du facteur de
performance de l’échantillonneur.
• 0.9 < Facteur de Performance < 1.1
• Performance Factor PF à l’instant t =
Volume théorique à t / Volume échantillonné et mesuré à t
Volume théorique à t = nombre de prélèvement à t X volume du prélèvement (1 ou 1.5 cc)
Ce suivi permet de détecter un mauvais fonctionnement le l’échantillonneur:
• Communication Calculateur Echantillonneur en défaut (pas de remplissage, PF augmente bien au‐
delà de 1)
© 2015 ‐ IFP Training
• Sonde d’échantillonnage bouchée (pas de remplissage, PF augmente bien au‐delà de 1)
• Sonde d’échantillonnage fuyarde, passante (remplissage rapide, PF diminue en deçà de 1)
EP 20682_a_F_ppt_01 ‐ Banc de comptage commercial 39
Comptabilité matière
Mise en œuvre de compteurs
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF
Sommaire
Ensemble de mesurage
Réglementation
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 2
Classification et technologie des compteurs
Compteurs étanches
• Les compteurs sont dit étanches quand la fuite interne est
extrêmement limitée par des joints (ensembles de mesurage routiers
des station services).
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 3
Classification et technologie des compteurs
Exemples de compteur volumétrique à fuite interne
• Les compteurs à palettes
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 4
Classification et technologie des compteurs
Compteur‐turbines
• Le liquide provoque la rotation d’un organe mobile
à pales avec une vitesse proportionnelle au débit.
• Un dispositif électronique (double) enregistre le
nombre de tour et par conséquent le volume de
liquide qui a traversé le compteur.
• Un tranquilisateur,en amont, de la turbine
redresse la veine fluide dont la rotation fausserait
la mesure.
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 5
Généralités
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 6
Classification et technologie des compteurs
Débitmètres à ultrasons
• Il s’agit de mesurer le temps de propagation, entre 2 sondes,
d’ultrasons produits par un quartz
• Les mesures de TAB et TBA permettent le calcul de la vitesse moyenne
du produit:
© 2015 ‐ IFP Training
• Certains appareils fonctionnent par
réflexion du signal acoustique:
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 7
Classification et technologie des compteurs
Compteur massiques à effet Coriolis
• Mesure directe du débit massique.
• Egalement utilisables pour la mesure de d
• Un tube en « U » est mis en oscillation
(bobine électromagnétique), le fluide suit le
mouvement du tube. © 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 8
Ensemble de mesurage
© 2015 ‐ IFP Training
• Des organes de commande
• Des dispositifs de sécurité
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 9
Ensemble de mesurage
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 10
Ensemble de mesurage
Le dégazeur est inefficace pour les produits très visqueux,
il convient dans ce cas de concevoir l’installation pour que
les entrées d’air soient impossibles
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 11
Ensemble de mesurage
Les purgeurs
• Ils sont utilisés sur des stockages en charge pour protéger les compteurs
contre les passages d’air à la mise en route ou lorsqu’il n’y a plus de
liquide
• Ils évacuent aussi les éventuelles poches de gaz
Les condenseurs
• Ils permettent de condenser les gaz qui se forment à l’arrêt: installation
de GPL
• Ils sont associés à des vannes de maintien de pression placées en aval du
compteur: pression de maintien 1 bar au dessus de la TV du produit.
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RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 12
Ensemble de mesurage
Constante de mesure
• Pour que l’indication du compteur soit égale à la quantité distribuée, il faut que
le volume de liquide dans la tuyauterie soit le même avant et après la
distribution. C’est ce que l’on appelle la constante de mesure
• Ils faut que la tuyauterie soit toujours
− Complètement vide
− Ou complètement pleine
Distribution tuyauterie Distribution tuyauterie vide
pleine
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Solution
interdite
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 13
Ensemble de mesurage
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 14
Réglementation
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 15
Etalonnage et courbe d’erreur
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 16
Méthode d’étalonnage
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 17
Méthode d’étalonnage
Jauges‐étalon
• Elles sont couramment utilisées pour l’étalonnage des compteurs
(jusqu’à 200 m3/h).
• Pour l’étalonnage des compteurs de chargement des camions‐
citernes, elles ont généralement un volume de 5.000 l
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 18
Méthode d’étalonnage
Tubes‐étalon
• Il permettent de vérifier sous la pression d’essai, les compteurs sans qu’il soit
nécessaire d’arrêter l’écoulement, ils prennent le relais de la jauge‐étalon
lorsque:
− Le débit est important (jauge de trop grand volume)
− Produits spéciaux tels que GPL, FOL,..
− Compteur utilisé de façon permanente
− Le comptage se fait par un turbine: la turbine doit être étalonnée en continu
(sans arrêt de l’écoulement)
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 19
Méthode d’étalonnage
Tubes‐étalon (suite)
• Les tubes‐étalons peuvent être unidirectionnel ou bidirectionnel dans ce cas,
la sphère se déplace à l’intérieur du tube dans les 2 sens :
Emetteur d’impulsion
© 2015 ‐ IFP Training
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 20
Méthode d’étalonnage
Pistons‐étalon (suite)
• Le volume de référence est déterminé par la course constante d’un piston
• L’intérêt est d’avoir un encombrement réduit, c’est pourquoi ils sont appelés
« compact provers »
• Leur volume de référence est beaucoup plus faible, il nécessite la méthode du
double chronomètre.
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RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 21
Méthode d’étalonnage
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RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 22
Comptage haute précision
• Calcul du volume à 15°C en fonction
de la masse volumique mesurée
• Correction de la dilatation du
compteur en fonction de la
température et de la pression
• Correction de compressibilité du
produit
• Correction de l’erreur du compteur
en fonction du débit ou du rapport
débit/viscosité
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RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 23
La performance des Compteurs
RPCI. ‐ PP STT 01487 AF 24