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Didactique du prof : Berrezzouk

Français. CRMEF Mohammed.


Settat.

La pédagogie

Du grec Paidagôgia (art d’élever un enfant, action de le conduire et l’accompagner)

Elle est une discipline qui se fixe comme objectif l’éducation de l’enfant.

Elle nécessite dans son déploiement trois choses :


1/ la science de l’enfant (la pédologie).
2/ la connaissance des techniques éducatives.
3/ l’art de les mettre en pratique.

Dans un article publiée dans Enfance, p. Louchet affirme que « la pédagogie a pour objet l’étude, le
choix, l’application d’actions éducatives, entreprises dans des cadres institutionnels donnés, et tendant
à réaliser des buts socialement définis par des considérations éthiques et philosophiques. »

Pour Françoise Clerc, la pédagogie est « l'ensemble des savoirs scientifiques et pratiques, des
compétences relationnelles et sociales qui sont mobilisées pour concevoir et mettre en oeuvre des
stratégies d'enseignement ».

La pédagogie et l’éducation

La pédagogie et l’éducation semblent deux pratiques intimement liées : étymologiquement, les deux
termes impliquent l’idée de « conduite », d’ « accompagnement ». Eduquer dérive de l’étymon
grec ducere qui signifie « conduire ». Cependant, s’il y a une différence entre les deux notions, elle se
situe à deux plans :
*L’éducation se définit comme fonctionnement pratique : la formation proprement dite des enfants.
*La pédagogie implique tout ce qui est théorique : les méthodes éducatives, la connaissance technique,
les conceptions scientifiques, philosophiques…

Dans son ouvrage, Education et sociologie, Durkheim écrit : « L’éducation, c’est l’action exercée par
les enfants et les adultes. (…) Il en est tout autrement de la pédagogie. Celle-ci consiste, non en action,
mais en théorie. Ces théories sont des manières de concevoir l’éducation, non des manières de la
pratiquer. (…) L’éducation n’est donc que la matière de la pédagogie. Celle-ci consiste dans une
certaine manière de réfléchir aux choses de l’éducation. » Nous lisons dans le même ouvrage
ceci : « L'éducation est l'action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore
mûres pour la vie sociale. Elle a pour objet de susciter et de développer chez l'enfant un certain nombre
d'états physiques, intellectuels et moraux que réclament de lui et la société politique dans son ensemble
et le milieu spécial auquel il est Particulièrement destiné. »

Toute pédagogie, de quelque école qu’elle se réclame, se doit en principe de tracer un objectif idéal
auquel elle aspire et qu’elle veut réaliser. Son objectif est de former et éduquer un enfant utile à la
société, capable de produire et de créer, apte à s’adapter aux exigences de la vie et aux besoins de la
société, habile à s’épanouir, aspirant à l’autonomie… C’est pour cette raison qu’elle doit être soutenue

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par une morale, une philosophie, une vision profonde. La pédagogie s’articule souvent autour de cinq
éléments : 1/l'apprenant. 2/ l'enseignant. 3/ le savoir. 4/la communication. 5/ la situation. Le tout est
ordonné vers une finalité (instruire ou éduquer, former... du côté du maître ; apprendre ou se socialiser,
s'épanouir, s'autonomiser... du côté de l'élève).

La pédagogie et la didactique

La pédagogie et la didactique sont deux disciplines qui s’articulent souvent autour de trois pôles :
l’enseignant (E), l’apprenant (A) et le savoir (S).

Souvent, les gens confondent les deux termes, prenant l’un pour l’autre. Cependant, la pédagogie et la
didactique se distinguent selon l’accent qu’elles portent chacune sur l’un des pôles du modèle
triangulaire (voir le schéma). Ainsi, Labelle donne-t-il de la didactique une définition « double » qui la
placerait à la fois sur l’axe apprenant– savoir et sur l’axe enseignant – savoir. Pour lui, la pédagogie
est la conduite ou l’accompagnement de celui qui s’éduque, ou encore la relation d’éducation établie
entre l’éducateur et celui qui s’éduque. L’accent est mis sur les aspects relationnels de l’apprentissage.
La didactique, quant à elle, concerne l’accès au savoir par celui qui s’éduque ou encore l’activité
corrélative d’apprentissage et d’enseignement de celui qui vise à travers son éducation un
développement lié à l’exercice de ses facultés intellectuelles. L’accent est mis sur la dimension
proprement cognitive de l’activité éducative.

D’autres auteurs élargissent au contraire le champ d’application de la didactique jusqu’à lui faire
recouvrir la totalité des interactions du triangle pédagogique (en plaçant toutefois le savoir au centre de
ces relations). De ce point de vue, la didactique étudie donc les interactions qui peuvent s’établir dans
une situation d’enseignement – apprentissage entre un savoir identifié, un maître dispensateur de ce
savoir et un élève récepteur de ce savoir.

Dans le tableau ci-dessous, nous énumérons les différences entre les deux sciences en question :

Didactique Pédagogie
Le processus enseigner Le processus former
La relation E-S La relation E-A
Les pédagogies du contenu Les pédagogies de la relation
Dimension cognitive Aspects relationnels
Le moment didactique est centré sur la recherche Le moment pédagogique est centré sur l’action
La didactique relève d’une recherche disciplinaire (ex : la La pédagogie est une mise en œuvre pratique
didactique des langues)

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Les différentes méthodes/approches pédagogiques

✓ La pédagogie traditionnelle : Elle est centrée plutôt sur les savoirs constitués à transmettre et
sur le maître qui enseigne. L’élève, dans cette perspective, est relégué au second plan puisque
son rôle consiste seulement à mémoriser. Elle procède donc par la transmission des contenus
déjà structurés et insiste trop sur l’assimilation passive. On attend de l'élève "réponses,
performances, savoirs". C’est une pédagogie transmissive qui privilégie le rapport vertical où
l’enseignant, censé détenir tous les savoirs, les transmet à l’élève lequel est considéré comme un
simple réceptacle. Celui-ci ne témoigne point de prise d’initiative, de questionnements, de
créativité et d’autonomie. En conséquence, tout esprit de communication, de coopération,
d’ouverture n’est aucunement admissible dans le cadre de cette pédagogie.

✓ La pédagogie active : Comme l’indique son nom, cette pédagogie se trace comme prime
objectif de rendre l'apprenant acteur de ses apprentissages en vue qu'il construise ses savoirs à
travers des situations de recherche. Comme l’affirme avec justesse Jean Piaget, théoricien du
constructivisme, « on ne connaît un objet qu’en agissant sur lui et en le transformant ». Ainsi,
l’enseignement est-il centré sur l’apprenant et non plus sur les savoirs. Il fallait permettre à
l’élève de participer activement à la construction de ce savoir et non pas de le subir passivement.
Cette pédagogie cherche habilement à habituer l’élève à devenir autonome. A l’encontre de la
pédagogie traditionnelle qui est transmissive, cette pédagogie est participative.

✓ La pédagogie par objectifs : Cette pédagogie axe le processus de l’enseignement -


apprentissage sur des objectifs précis et fixés à l’avance et mobilise des techniques et des
méthodes opérationnelles permettant de conduire l’apprenant, lentement mais sûrement, vers la
réalisation de ces objectifs. Ces derniers doivent être évalués au fur et à mesure afin de vérifier
leur efficience, leur traduction en terme de savoir – faire et savoir – être. Dans la perspective de
cette pédagogie, on peut distinguer différents objectifs pris en compte lors d’un cours :
1- les objectifs généraux.
2-les objectifs spécifiques.
3-les objectifs opérationnels.

✓ La pédagogie documentaire : La pédagogie documentaire vise en premier lieu l’autonomie de


l’élève. Dans cette optique, ce dernier ne doit pas attendre qu’on lui dispense un savoir. Celui-
ci est à reconstruire à travers des recherches à effectuer en dehors de la classe. Ainsi, l’apprenant
va-t-il lui-même s’approprier ce savoir en cherchant l’information dans des documents et en la
restituant selon ses attentes, ses objectifs et ses besoins. La pédagogie documentaire vise
également le développement de l’esprit critique chez l’élève. Celui-ci, face à une palette variée
de documents, se trouve appelé à en faire le tri, à avoir un esprit synthétique, à apprendre à
valider l’information, à reconnaître la pertinence d’un document par rapport à une manne
documentaire accrue, à réfléchir à un plan rigoureux où sera moulé les idées retenues, à rédiger
un texte qu’il présente à ses camarades etc. Enfin, la pédagogie documentaire a pour objectif
immédiat l’utilisation des outils d’un centre de ressources (bibliothèque, centre de
documentation, Internet…) par l’élève, puisqu’ avant de pouvoir apprendre avec des documents,
il faut au préalable maîtriser les outils de recherche.

✓ La Pédagogie différenciée : Cette pédagogie pose comme postulat de départ que, dans une
classe donnée, l’enseignant est nécessairement confronté à l’hétérogénéité des apprenants sur
plusieurs plans : cognitif, social, affectif…Face à cette réalité, il tentera de trouver une réponse
par le biais des pratiques adaptant à chaque élève les programmes d'études, l'enseignement et le
milieu scolaire. Bien souvent, l'enseignant ne va plus être le centre de la classe mais va mettre
l'enfant ou l'activité comme intérêt central. « L'idée d'une nécessaire différenciation rationnelle

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de la pédagogie pour faire face à la diversité des publics présents dans les classes hétérogènes
est le produit d'un conflit devenu insupportable entre cette diversité et l'unité réalisée des
programmes et des méthodes. », écrit Louis Legrand dans son ouvrage Les pédagogies
différenciées.

✓ La pédagogie d’intégration et l’approche par les compétences : Cette approche est intervenue
à un moment où la pédagogie par objectifs se trouvait dans une impasse. Certes, la PPO tend à
ce que l’apprenant réussisse à « savoir faire » quelque chose (l’objectif atteint par l’élève) au-
delà de la simple acquisition des savoirs, des connaissances, des techniques…Néanmoins, la
maîtrise d’un certain nombre de « savoir-faire », tous aussi importants les uns que les autres,
restent cloisonnés, compartimentés, fragmentés et disjoints les uns des autres. Autrement dit, ils
ne constituent point un tout intégré permettant d’affronter une situation réelle de manière
performante. Cela nous ramène à dire qu’ « une compétence n’existe qu’en présence d’une
situation déterminée, par l’intégration de différentes capacités elles-mêmes constituées par
des connaissances et des savoir-faire. Ces trois éléments sont indispensables pour constituer la
compétence. Par exemple, pour pouvoir “conduire une voiture sur le chemin du travail”, un
individu peut avoir acquis les multiples capacités nécessaires (changer de vitesse, freiner, évaluer
une distance,…), mais ne pas atteindre la compétence parce que ces capacités ne seraient pas
intégrées les unes aux autres. S’il lui manque une capacité requise, il sera également incompétent.
Enfin, il peut se révéler compétent dans une situation (conduite normale), mais ne pas l’être dans
une autre situation (conduite par temps de neige). » (Les manuels scolaires au service d’une
pédagogie de l’intégration Exemple d’un manuel d’éveil aux sciences sociales et naturelles.
François-Marie GERARD et Xavier ROEGIERS)
Dans ce cadre, il y a une interaction solide entre la Pédagogie de l’Intégration et la l’Approche
par les Compétences. La pédagogie de l’intégration (PI) n’est en fait que la mise en œuvre de
l’approche par les compétences (APC). Elle est, dans cette perspective, un cadre référentiel, une
sphère méthodologique où seront opérationnalisées les compétences de l’apprenant et ce dans
des situations concrètes et effectives. Les compétences ainsi ciblées au sein de l’école doivent
trouver un terrain d’application, c'est-à-dire être mises en pratique à travers des activités dites
d’intégration. Le prime objectif de la PI consiste essentiellement à mieux ouvrir l’école sur son
environnement, à jeter des passerelles entre la vie en classe et la vie en société. Suite aux études
et recherches menées en vue de diagnostiquer les défauts et remédier aux « maladies » de
l’enseignement au Maroc, on a constaté de près qu’il y a une grande rupture entre la société et
l’école. Dans le Guide de la Pédagogie de l’Intégration dans l’Ecole marocaine, publié par Le
ministère de l’Education nationale, nous lisons ceci : « Il existe un fossé entre la vie à l’école,
qui consiste souvent à apprendre des savoirs « scolaires » et la vie en société à laquelle cette
même école devrait préparer les apprenants. Les apprenants, habitués dès leur plus jeune âge,
à aborder des savoirs de façon transmissive et à les apprendre par coeur pour les restituer le
jour de l’examen, n’ont pas les outils qui leur permettent de se débrouiller dans des situations
de la vie quotidienne. L’école produit dès lors des jeunes qui ont acquis des connaissances
pendant plusieurs années, mais qui sont incapables d’utiliser ces connaissances dans la vie de
tous les jours. » Un tel constat, amer et décevant, met l’accent sur le fait que les savoirs acquis
au sein de l’école ne sont pas insérés dans la vie sociale de l’élève. Cela a poussé donc les
acteurs du champ de l’éducation et de l’enseignement, après mûres réflexions et intenses
concertations, à adopter sérieusement la pédagogie de l’intégration et la mettre en exercice au
primaire à partir de cette année scolaire (2009-2010).
La pédagogie de l’intégration se fixe quatre objectifs :
1- Donner du sens aux apprentissages en situant ces apprentissages dans un contexte
significatif pour l’élève en relation avec des situations concrètes qu’il va rencontrer plus tard
ou qui ont du sens pour lui.

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2- Distinguer ce qui est essentiel de ce qui est moins important, en insistant sur les
apprentissages qui sont importants, soit parce qu’ils sont utiles dans la vie de tous les jours, soit
parce qu’ils constituent les fondements des apprentissages suivants.

3- Apprendre à utiliser ses connaissances en situation, en ne se contentant pas de remplir la


tête de l’élève de connaissances diverses, mais en visant également à faire établir le lien entre
ces connaissances et des valeurs, ou finalités des apprentissages, telles par exemple faire de
l’élève un citoyen responsable, un travailleur compétent, une personne autonome.

4- Etablir des liens entre différentes notions apprises, en cherchant par là à répondre à un des
grands défis de notre société qui est de garantir à chaque élève qu’il puisse mobiliser
effectivement ses connaissances et ses compétences pour lui permettre de résoudre utilement une
situation qui se présente à lui, mais aussi, si possible, pour lui permettre de faire face à une
difficulté imprévue, à une situation qu’il n’a jamais rencontrée.

[Documents1]

« Ce qui caractérise l’approche par compétences, c’est que les objectifs d’enseignement n’y sont plus
de l’ordre de contenus à transférer mais plutôt d’une capacité d’action à atteindre par l’apprenant.
Une compétence ne se réduit ni à des savoirs, ni à des savoir-faire ou des comportements.
Ceux-ci ne sont que des «ressources» que l’élève ne doit d’ailleurs pas forcément «posséder», mais
qu’il doit être capable de «mobiliser» d’une façon ou d’une autre, en vue de la réalisation d’une
tâche particulière. Une compétence, dit l’un des promoteurs de cette approche, est «une réponse
originale et efficace face à une situation ou une catégorie de situations, nécessitant la mobilisation,
l'intégration d'un ensemble de savoirs, savoir-faire savoir-être...» [Bosman et al. 2000]. Selon un
document d’analyse publié par la Fondation Roi Baudouin, à la demande du gouvernement flamand,
la compétence est «la capacité réelle et individuelle de mobiliser, en vue d’une action, des
connaissances (théoriques et pratiques), des savoir-faire et des comportements, en fonction d’une
situation de travail concrète et changeante et en fonction d’activités personnelles et sociales» [De
Meerler 2006]. Beaucoup d’auteurs insistent également sur le fait que la tâche à réaliser pour prouver
sa compétence doit être «inédite» : l’élève (ou le travailleur) compétent doit pouvoir se débrouiller
dans des situations nouvelles et inattendues, même si elles restent évidemment confinées dans le cadre
d’une «famille de tâches» déterminée [Bosman et al. 2000, Roegiers 2001].
L’approche par compétences est née de la rencontre d’une double attente du monde de l’entreprise—
disposer d’une main d’oeuvre adéquatement formée et rationaliser ses coûts de formation — et de
conceptions pédagogiques axées sur le résultat individuel plutôt que sur les savoirs — la pédagogie
par objectifs inspirée du behaviorisme anglo-saxon et le cognitivisme [Bosman et al. 2000]. Certains
affirment qu’elle puiserait également ses racines dans l’école pédagogique du constructivisme : nous
montrerons plus loin pourquoi cette prétention nous semble non seulement infondée mais à l’exact
opposé de la réalité. Dans le monde anglo-saxon, après une période d’accalmie, l’approche par
compétences est revenue sur le devant de la scène. Depuis la publication du célèbre rapport «A nation
atrisk», sur l’état calamiteux de l’enseignement américain [US Department of Education 1983], on
n’y parle plus que d’éducation axée sur les résultats (outcome-based education), de
performances,d’excellence, de standards de contenu (ce qu'un individu doit être capable de réaliser
ou d'accomplir) et de standards de performance ou benchmarks (repères de niveau qui permettent
d'expliciter un standard de contenu au regard d'un niveau de formation). C’est dans ce contexte que
l’approche par compétences y fait aujourd’hui un grand retour. »
Source : L’approche par compétences : une mystification pédagogique Par Nico Hirtt. Article publié
dans L’école démocratique, n°39, septembre 2009.

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[Document 2]

Les objectifs de l’approche par les compétences de base

On peut dire que cette approche poursuit essentiellement trois objectifs principaux (Roegiers, 2000).
(1) Il s’agit tout d’abord de mettre l’accent sur ce que l’élève doit maîtriser à la fin de chaque année
scolaire, et en fin de scolarité obligatoire, plutôt que sur ce que l’enseignant(e) doit enseigner. Le rôle
de celui(celle)-ci est d’organiser les apprentissages de la meilleure manière possible pour amener ses
élèves au niveau attendu.
(2) Il s’agit également de donner du sens aux apprentissages, de montrer à l’élève à quoi sert tout ce
qu’il apprend à l’école. Pour cela, il est nécessaire de dépasser des listes de contenus-matières à
retenir par cœur, des savoir-faire vides de sens, qui trop souvent ennuient l’élève, et ne lui donnent
pas l’envie d’apprendre. Au contraire, l’approche par les compétences lui apprend à situer
continuellement les apprentissages par rapport à des situations qui ont du sens pour lui, et à utiliser
ses acquis dans ces situations.
(3) Il s’agit enfin de certifier les acquis de l’élève en termes de résolution de situations concrètes, et
non plus en termes d’une somme de savoirs et de savoir-faire que l’élève s’empresse souvent
d’oublier, et dont il ne sait pas comment les utiliser dans la vie active. En cela, l’approche par les
compétences de base est une réponse aux problèmes d’analphabétisme fonctionnel.
Source : Xavier Roegiers, La pédagogie d’intégration en bref, 2006

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