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La technique

Intro :
 Délimitation de la notion

L’importance prise par la science a permis le développement de différentes formes de technique qui
sont de plus en plus substituées à l’homme. H. Arendt, dans la condition de l’homme moderne a
étudié les différentes révolutions industrielles qui ont secoué l’humanité. Ajd’hui, la révolution
internet et la révolution de l’intelligence artificielle ont bouleversé nos vies. Nous trouvons des amis,
du boulot, nos amours par le biais des réseaux.

 Distinctions à établir

La technique c’est le savoir faire qui caractérise le sachant dans un domaine. C’est une forme de
connaissance qui proviens à la fois de la théorie et de l’expérience mais la technique est aussi une
civilisation technicienne ou l’homme est de plus en plus remplacé par la machine et ou la machine
(téléphone) deviens presque aussi centrale pour nous que nos proches. C’est aussi l’expression du
pouvoir bureaucratique qui gouverne a partir non pas de prise en compte des considérations de
l’humain mais uniquement en termes d’efficacité froide et rendement.

 Illustration artistique du thème

Les temps moderne de Chaplin montre les risques d’une société devenu folle a fore de rentabiliser à
outrance et de « progrès technicien »

La peur de la technique a cependant toujours existé. Les travailleurs ont toujours craint que leur
travail soit pris par la machine.

 Les enjeux contemporains

En 50 ans le monde a bcp changer, il change à une vitesse vertigineuse. Des outils qui étaient utiliser
hier sont déjà obsolètes. Il faut donc entrer dans le monde du travail à 30 ans pour avoir des
connaissance suffisante (études) sur la technique or à 50 ans on est considéré comme dépasser car
les techniques évoluent. Ces techniques ont rendu nos vies plus faciles, il est pus simple de rester
derrière un ordinateur que de sortir pour rencontrer de nouvelle personne et faire des effort.

I-La technique est-elle le diable, le monstre qui nous rend terriblement malheureux

Technophobe = personne qui déteste les nouvelles technologies. Philosophe allemand Heidegger est
a l’origine de ses opposants  texte : la question de la technique  le texte met en évidences le fait
que la technique est la marque de la volonté de puissance de l’homme. L’homme manifeste par le
progrès des techniques son désir de manipuler et contrôler le monde.

La technique se concentre sur l’utile or mes rapports à l’autre ne doivent pas seulement être
commandé par l’utilité Je peux avoir envie de me balader, d’aller voir un ami. Une rose na rien
d’utile. Il ne faut pas réduire toute l’amplitude du monde a ce qui est « intéressant ».

Derrière le pouvoir de la technique se dissimule celui de la science qui veut mettre en forme le réel et
imposer une seule vision du monde. Le technocrate est la marque de ce mode de raisonnement.
La technique se présente comme neutre. En réalité c’est une fausse neutralité  elle masque une
approche du monde qui est une approche tournée autour de la seule efficacité et d’une seule et
unique vision de la réalité. Elle exclut la pluralité des points de vue ainsi que des modes de réalisation
car la technique reste tout entière dominée par le souci de méthodes et d’outils

Pour Heidegger, la marque de la technique c’est la mise en demeure.

II- la civilisation technicienne n’est elle pas au contraire le début d’une nouvelle ère de prospérité t
de bonheur ?

Les nouvelles générations sont nées avec internet, les ordis et des outils techniques. Ne pouvons-
nous pas considérer au contraire qu’étant libérés des contraintes liées à certaines taches pénibles,
ces générations sont plus soucieuse d’écologie, de bien être, de développement des spiritualité ?
tout ceci ne serait-il précisément pas le produit de l’évolution des technique ?  Thèse développée
par Michael Serres dans son essai intitulé Petite Poucette  soutient que le numérique change
l’humanité dans un sens positif et qu’au lieu d’avoir peur de ces progrès il faudrait s’en réjouir. Il cite
de nombreux progrès réalisé par l’homme dans de nombreux domaine, google, Wikipédia. Il existe
de plus en plus de logiciels qui rendre la discussion, la rencontre plus aisée. Par exemple YouTube,
une personne peut partager ses idée.

Que nous le voulons ou non, il va falloir vivre avec le développement du numérique et de


l’intelligence artificielle. Ces outils vont révolutionner nos vies comme la machine a vapeur qui a
permis le développement de mégalopoles.

III- Peut-on allier bien être et progrès technique ? Dans l’affirmative, comment faire ?

La technique en soi est un épiphénomène. En d’autres termes, elle n’est pas significative en soi. Elle
n’est que le reflet de nos sociétés et de l’homme. Si l’homme est bien éduqué, il peut utiliser la
technique a bon conscient par contre si il ne l’est pas cela peut devenir un outil de mort. Fraude met
sa en évidence dans le malaise dans la culture. Il y a deux forme de pulsion a l’œuvre de nos société :
les pulsion de vie et celle de mort.la culture et la technique peuvent tout aussi bien servir l’une que
l’autre.

Il ne faut pas être naïf derrière ceux qui se drapent sous le savoir du technicien. Christopher Lasch a
dénoncé l’évolution actuelle de nos sociétés vers un certain narcissisme dans sn livre la culture du
narcissisme. L’homme a naturellement tendance a pensé plutôt a lui mais il y a toujours des êtres
qui manipuleront la technique pour opprimer les autres.

Il ne faut pas craindre la technique et se refugier dans un endroit loin du monde et éloigné de toute
culture. L’homme est un être de culture. Les innovations technologiques peuvent apporter un certain
bonheur si nous savons les utiliser. La technique est la condition de l’homme moderne, comme
Arendt le montre dans son ouvrage qui porte ce titre. C’est un être qui fabrique et qui travaille. Il a
donc inventer des outils pour l’aider or il ne faut pas être esclave de ces outils et passer a coter de
l’essentiel de la vie. Il faut sens doute plus encore en ces temps de domination technique revenir a
l’essentielle de l’homme : l’amitié, l’amour, l’âme.

Pour Kant, ce qui caractérise l’humanité c’est que l’homme est avant tut une fin plus qu’un moyen
pour nos semblable. C’est ce qu’il appelle l’impératif pratique qu’il expose dans ses fondements de la
métaphysique des mœurs.
Le travail
Intro :
 Délimitation de la notion

Aujourd'hui on parle plus de chômage que de travail. Ce sont les sans emploi qui nous
préoccupent. Paul Lafargue a écrit un livre dans lequel il revendique un droit à la paresse.
Face à un monde moderne qui idéalise celui qui travaille, Lafargue souligne les bienfaits du
non-travail. En effet, le terme vient du latin tripalium qui signifie instrument de torture. Une
phrase circule désormais sur les réseaux sociaux : trouver un travail que nous aimons et
nous n'aurons plus l'impression de travailler.

 Distinctions à établir

Le travail ce n'est pas le loisir. Qu'est ce qui les distingue ? Deux éléments : en premier lieu,
il n'y a pas de travail sans efforts. Au contraire, le loisir représente le relâchement et le
laisser aller et le laisser faire. De plus, il ne peut y avoir de travail sans un certain art qui y
est lié. Il n'y a pas besoin d'entraînement particulier pour profiter de ses loisirs même si
certains ne savent pas quoi faire lorsqu'ils ne travaillent pas.

Mais cela ne s'explique-t-il pas par le fait que ce sont des workaholic comme on le dit
aujourd'hui. Burn out est un terme de plus en plus évoqué dans le monde contemporain pour
évoquer la souffrance qui est désormais ressentie au travail. Harcèlement moral. Nombre de
salariés se plaignent désormais de pressions psychologiques au travail. Le travail n'est plus
partagé par le grand nombre et ceux qui travaillent doivent travailler de plus en plus. Le
nombre des actifs tend de plus en plus à diminuer.

Travail et harcèlement. On évoque de plus en plus aujourd'hui la question du harcèlement au


travail. Cela s'explique-t-il par ce que Christopher Lasch appelle dans son livre, La culture du
narcissisme par le fait que certaines personnes vides et pauvres d'esprit cherchent par le
pouvoir obtenu dans le travail à combler le vide de leur vie.

 Illustrations artistiques du thème

Les temps modernes. Charlie Chaplin. Film qui montre admirablement la montée du
taylorisme et l'aliénation au travail. Ressources humaines de Laurent Cantet. Film qui met en
évidence la difficulté du chômage et la dureté des conflits sociaux dans la France
contemporaine.

L'ensemble des romans d'Emile Zola permet de mettre en évidence la dureté du monde du
travail dans la France qui s'industrialise. On peut ainsi lire L'Assommoir qui évoque le monde
ouvrier ou sa dureté. Ou bien Germinal qui traite du monde des mineurs ou encore l'Argent
qui met en évidence le monde de la bourse et du capital.

 Les enjeux contemporains de la notion

La société dans laquelle nous vivons voit de plus en plus de personnes connaissant une
souffrance au travail. Christophe Dejours est un des grands spécialistes français de la
question. On lui doit notamment Finvention d'une nouvelle forme de science: la
psychodynamique du travail. Il évoque notamment les sentiments de perte de dignité qui
affectent nombre de nos contemporains qui travaillent mais aussi leur sentiment de perte de
valeur dans leur lieu de travail. Pour lui notamment cela vient de la disparition d'une certaine
loyauté que l'entreprise pouvait avoir à l'égard de ses salariés.
Aujourd'hui, ce ne sont plus que le profit et la concurrence entre individus qui semble primer.
De plus, pour lui, plus que le burn out c'est l'expérience de la solitude au travail qui pose
réellement problème Pour Dejours tout vient de nous. Si nous cessions d'encourager des
pratiques de gestion inhumaines, celles-ci finiraient par disparaître. Or nous ne cessons de
les alimenter. D'autres explications sont cependant proposées. Dans un texte intitulé L'ère
du vide, Gilles Lipovestky évoque la perte de sens généralisée qui domine dans nos
sociétés.

Certains évoquent aussi des écarts sociaux et culturels de plus en plus importants au sein
de nos sociétés et qui mettent en évidence des difficultés de plus en plus grandes pour les
salariés à communiquer entre eux mais aussi avec leurs élites. Le déclin des syndicats est
également peut-être un des éléments de la situation ainsi qu'u paupérisation de plus en plus
conséquente des class's moyennes dans les pays occidentaux

I. Quelle est l'origine de notre obligation de travailler ?

Devons-nous travailler? Lorsque Ton constate ce qui se produit dans nos sociétés nous
nous rendons à l'évidence d'une montée en puissance d'une caste qui ne travaille plus mais
aussi d'un ensemble de personnes qui sont privés de travail soit parce qu'elles ont été
contraintes soit parce qu'elles ne souhaitent plus participer à ce système. Dans la chanson
Foule sentimentale, Alain Souchon évoque ce mal être

Certains interprètent encore le passage de la Genèse dans lequel Adam et Eve sont obligés
de travailler pour vivre comme une punition. Ils en déduisent que le travail est la marque d'un
péché originel. Pourtant à aucun moment le Texte évoque l'idée d'un travail qui conduirait à
la souffrance. L'homme devra travailler à la sucur de son front. Travailler donne des larmes
pour le corps et parfois pour l'esprit mais en aucune manière le travail doit être source de
souffrance pour la Bible. Les hébreux sont sortis de l'esclavage car l'esclavage est la pire
des choses.

On peut voir dans l'épisode de la Genèse comme la punition juste d'un Dieu juste qui voulait
donner aux hommes ce qu'ils souhaitaient à savoir devenir des créateurs. Le travail permet
de devenir un créateur. L'homme ne devient donc homme véritablement que lorsqu'il crée et
œuvre.

Travailler c'est ceuvrer. Les Textes bibliques condamnent fortement la paresse qui mène le
plus souvent à la misère nous disent-ils. Durkheim soutiendra une thèse similaire dans
certains de ses textes. Il écrit ainsi :L'oisiveté est mauvaise conseillère pour les collectivités
comme pour les individus... Quand les forces morales d'une société restent inemployées,
quand elles ne s'engagent pas dans quelque ceuvre à accomplir, elles deviennent de leur
sens moral et s'emploient d'une manière morbide et nocive. Emile Durkheim L'éducation
morale.

La culture est l'environnement de l'homme. Il ne peut vivre dans une nature qui n'est pas
contenue et ce même si celle-ci ne doit pas être ignorée ou violentée. Ce qui transforme la
nature en culture n'est autre que le travail qui est donc indispensable pour l'homme s'il veut
être homme.

Freud pourtant évoque, dans un ouvrage qui porte ce titre, un malaise lié à la culture. D'où
vient-il ? Il peut provenir de la morale très forte que les individus ont intégrée et qui peut les
conduire parfois à se brimer, à détruire leur vie et leur bonheur en pensant se dépasser au
travail et en acceptant toutes les humiliations pour y parvenir.
II. Une société juste est-elle une société qui récompense les travailleurs ?

La nécessité d'une importance du travail afin de construire la société est répartir les
richesses a été développée par les penseurs anglo-saxons des Lumières que l'on a parfois
appelé les individualistes possessifs de manière un peu péjorative.

S'opposant à la société d'Ancien Régime qui permettait aux mieux nés de prendre le pouvoir
et de le moins chanceux- pour conserver en abusant bien souvent de leurs privilèges en
prenant les autres leurs esclaves, des auteurs comme J. Locke ont démontré qu'une société
ne pouvait que périr si elles ne mettaient pas au pouvoir des hommes qui avaient le goût de
l'effort et du travail juste et correctement reconnu. En effet, il était impensable pour lui, de
laisser se perpétuer un système de rentes qui ne faisaient qu'affaiblir la société.

Encore que la terre et toutes les créatures inférieures soient communes et appartiennent en
général à tous les hommes, chacun pourtant a un droit particulier sur sa propre personne sur
laquelle nul ne peut avoir aucune prétention. Le travail de son corps et l'ouvrage de ses
propres mains, nous le pouvons dire sont son bien propre. Tout ce qui a été tiré de l'étatde
nature par sa peine et son industrie appartient à lui seul car cette peine et son industrie étant
sa peine et son industrie propre, personne ne saurait avoir droit sur ce qui a été acquis par
cette peine et cette industrie surtout s'il reste aux autres assez de semblables et d'aussi
bonnes choses communes. Locke Second traité de gouvernement civil.

Défendant la liberté, ces auteurs s'opposaient également à la vision élitaire et aristocrate du


monde qui était défendue par leurs opposants car elle divisait fortement la société en deux
groupes : les esclaves travaillant pour tout le monde et à un faible prix (dont il était considéré
que leur travail ne leur appartenait pas alors que Locke nous rappelle qu'il est notre bien) et
les rentiers ne travaillant pas et faisant travailler les autres tout en gagnant beaucoup
d'argent en ne faisant rien sinon naître dans le bon endroit de la société.

Dans la Théorie de la justice, J Rawls va soutenir l'idée d'une nécessité de répartir


équitablement le travail en donnant à chacun la chance - quelle que soit son milieu de
naissance - d'accéder aux postes les plus élevés s'ils le méritent. Pour cela, il faut selon lui
favoriser la discrimination positive. Ce principe est désormais contesté par certains.
Pourtant, dans notre pays aujourd'hui et d'une manière générale dans l'ensemble des pays
occidentaux se développent des systèmes de quota.
III. La crise du modèle moderne axé sur le travail.

Le philosophe Jean François Lyotard, dans La condition post-moderne met en évidence le


fait que nos sociétés contemporaines sont dans le flou à l'égard des grandes notions qui ont
structuré la société moderne. Cette société fonctionnait sur la science, la technique et le
travail comme valeur première. Cependant désormais il semble que le travail lui-même soit
remis en cause

Plus personne aujourd'hui en Europe ne parvient désormais à croire en la méritocratie. Le


système scolaire autrefois destiné à sélectionner les élites travailleuses a été dénoncé
comme lieu de la reproduction sociale. C'est la thèse défendue par Bourdieu et Passeron
dans le livre qui porte ce nom. Pour eux, l'école n'est pas un espace de méritocratie. Il ne fait
que reproduire les privilèges des classes dominantes.
De plus, le chômage de masse a plongé une bonne partie de la population dans la misère
alors que les inégalités ne reposent plus bien souvent sur le mérite. Pour Yves Charles
Zarka: On voit donc en quoi la modernité politique est liée à l'utopie où le travail est conçu
comme fondement exclusif de la valeur et vecteur d'une libération de l'homme et de la
société. Or le travail est entré en crise... Premièrement, on ne peut plus dire que le travail est
l'unique fondement de la valeur...que l'on pense par exemple à la valeur d'un top model ou
d'un footballeur....Deuxièmement, les progrès considérables de la technique, de
l'informatique s'ajoutant aux effets de la mondialisation dans un contexte de déséquilibre
considérable entre les pays riches et les pays pauvres produisent le phénomène de pénurie
du travail, si troisièmement, il difficilement compréhensible lorsque l'on s'en tient aux
schémas anciens. n'est plus possible de concevoir le travail ni comme l'instrument de la
formation de la nature, ni comme le vecteur privilégie d'une libération sociale de l'homme. Si
le travail forme, il déforme et défigure également Y C Zarka. Figures du pouvoir. Puf 2001
Quelque chose a donc bougé dans la relation que les sociétés occidentales entretiennent
avec le travail et cette « chose » n'a pas encore été bien analysée.

Il est fort possible qu'outre les informations sociales et économiques proposées par Y C
Zarka nous assistions à la confrontation de deux logiques qui ne parviennent plus à
cohabiter: la première tient le travail pour nécessaire et cherche à en faire le cœur de la
société. En revanche la seconde croit plus aux valeurs de don et de sacrifice ainsi que de
gratuité. Entre les deux une troisième gouverne peut-être et elle n'aurait pour seul objectif
que de profiter du sacrifice de ceux qui croient en lui pour en abuser et tirer bénéfice du
travail de ceux qui espèrent en lui afin de profiter de leur peine.

Ces trois logiques s'ignorent peut-être. Elles ne parviennent sans doute plus à cohabiter
aisément compte tenu de la crise sociale et économique évoquée plus avant qui oblige en
effet à prendre de fortes décisions. Les plus faibles souffrent donc plus que les autres de
cette guerre qui ne dit pas son nom. Ils sont mis sur le bas-côté et nul ne leur dit précisément
ce qui est en train de se passer. Pendant ce temps des schémas dépassés sont
prétendument proposés pour expliquer notre monde. Ils ne font qu'entretenir la confusion.
Dans un texte devenu un best-seller mondial et intitulé Père riche père pauvre, R. Kyosaki
met en scène son père enseignant cultivé qui a fini sur la paille et un oncle riche qui a fait
très peu d'études mais qui a très vite compris les règles de la société contemporaine
construite autour des valeurs de l'individualisme et de la débrouillardise. Pour lui, la culture
est dévalorisée et elle a fini par rendre les hommes malheureux. Ce qu'il faut avant tout c'est
penser à se trouver des moyens de capitaliser plutôt que de travailler.

Autrefois, on apprenait aux individus à trouver un travail. Désormais ceux qui travaillent et
qui enseignent sont méprisés selon lui. Pourtant, ce qui détermine de plus en plus des
parents et des personnes à choisir un lieu de vie ce sont les universités, les écoles et les
lieux de formation de qualité qui existent dans cette zone. Pour Kyosaki cela résulte d'un
aveuglement des classes moyennes qui craignent pour la réussite de leurs enfants et qui ne
veulent pas que ceux-ci vivent plus mal qu'eux mais selon lui elles se trompent en misant sur
l'enseignement. Pourtant, les pays riches sont ceux qui ont développés des universités et
des écoles de qualité. De plus, Kyosaki se contredit lui-même car après s'être enrichi, il a fait
le métier critiquer de son père : il est devenu enseignant.

Il est indéniable cependant aujourd'hui de noter qu'aux temps d'Aristote, il était honteux pour
un homme accompli de ne pas enseigner aux jeunes générations ce qu'il avait appris or il
semble aujourd'hui qu'il soit devenu honteux pour un homme (et selon les avis de certains)
de devenir enseignant

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