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U E 2.

6 Processus
psychopathologiques

TD n°2 :
La posture soignante en
psychiatrie

IFSI Pitié Salpetrière


Promotion 2014-2017
Formateurs : N. Cougnoux, I. Juif, G. Pascher, C. Petit
1
1ère Année – Semestre 2
I. Généralités.

2
La prise en charge infirmière du patient
atteint d’une pathologie psychiatrique
relève du code de Santé Publique,
livre III, titre 1er, relatif à la
profession d’infirmier ou d’infirmière .

3
Plus particulièrement, s’y trouve les
actes professionnels, propre au
domaine de la santé mentale.

4
Dans l’article R4311-6 (p.165) :
alinéas 1°,2°,3°,4° :

►L’entretiend’accueil du patient et de son


entourage (S2)

►Les activités à visée socio thérapeutique


individuelle ou en groupe

5
►La surveillance des personnes en
chambre d’isolement (S5)

►La surveillance et l’évaluation des


engagements thérapeutiques qui
associent l’IDE, le médecin et le patient
(S5).
6
Dans l’article R4311-5 ( p.165) :
alinéa 42° :

►L’observation et la surveillance des


troubles du comportement.

7
Dans l’article R4311-7 ( p.166) :
alinéa 42° :

►L’entretien individuel et l’utilisation au


sein de l’équipe pluridisciplinaire de
techniques de médiation (musique,
lecture, contes, théâtre) à visée
thérapeutique ou psychothérapeutique
(S5).
8
Dans l’article R4311-10 (p.167) :
alinéa 10° :

►La sismothérapie à visée psychiatrique


ou électro-convulsivo thérapie (ECT)
(S5)

9
►Le patient pris en charge en santé
mentale doit être traité avec le
respect et la sollicitude dus à la
dignité de la personne humaine en
tant que sujet

10
►C’est-à-direrespect de son intimité,
de sa vie privée, ainsi que de la
confidentialité des informations
personnelles, médicales et sociales le
concernant (charte de l’usager en
santé mentale) tout en tenant
compte des troubles du
comportement.

11
►Ces troubles peuvent l'entraîner vers
des conduites de replis, un isolement
social ou à des actes dangereux pour
lui ou pour autrui.

12
►Le travail infirmier en psychiatrie
s'articule autour de notions telles que
la disponibilité, l'écoute,
l'observation (pour comprendre la
situation), l'analyse des problèmes,
l'accompagnement, les actions de
soins (pour tenter de résoudre cette
situation).

13
►Le rôle de l’IDE est spécifique en terme
d’aptitude à se comprendre,
s’analyser, se contrôler pour
mieux comprendre et rassurer le
patient en état de souffrance
psychique.

14
►Une solide connaissance théorique des
traitements, des pathologies mentales
et de leur sémiologie constitue une
base de travail.

15
►En effet, les méconnaître, ne pas être
conscient des relations pouvant être
tissées entre le patient et le soignant,
ne pas pouvoir les dominer, c'est
prendre le risque de se mettre en
danger psychologiquement mais aussi
de devenir éventuellement soi-même
pathogène pour les patients.

16
Faire attention à garder une distance
relationnelle et à ne pas s’identifier aux
patients.

17
►Les tâches d'un infirmier sont multiples
et variées.

Il peut exercer dans des lieux aussi


différents qu'une salle de soins, un
atelier à visée thérapeutique, une
structure intra-hospitalière, extra-
hospitalière, ou à domicile (sectorisation).
18
►Letravail IDE s'inscrit dans la
continuité du soin et la cohérence
des équipes.

19
II. Projet de soins en
psychiatrie.

20
►Il s’élabore sur la base des
connaissances théoriques des
différentes situations cliniques
rencontrées et s'établit en collaboration
avec les différents intervenants.

21
►L'objet du projet de soins n'est pas
tant la guérison que la mise en
place d'actions permettant au
sujet d'être acteur de ses soins
et
d'accéder à un équilibre lui assurant un
confort de vie et une meilleure
réinsertion dans un milieu social.

22
Les objectifs du travail en équipe sont :

►Assurer la coordination avec les autres


intervenants (ergothérapeutes, art
thérapeutes, psychologues…).

►Transmettre ses observations à


l’ensemble des intervenants
(transmissions écrites et orales).
23
►Assurer les soins prescrits.

►Vérifier l’atteinte des objectifs.

24
III. Le rôle infirmier .

25
►Etredisponible, écouter et
observer.

26
► Disponibilité : temps à consacrer
(physique), ouverture à autrui et à soi
(intellectuelle).
Le patient est un sujet unique (attention
à l’étiquetage).

► Tout cela permet une évaluation


dynamique de la personne soignée
(tout au long du suivi du patient, en intra et
extra hospitalier) et de l’efficacité de la
prise en charge thérapeutique.
27
► Deux phases dans la prise en charge :

comprendre (observer, évaluer)


et
résoudre (actions de soins).

28
1. Évaluation de l’état du patient.
►Les troubles du comportement
(agitation, compulsions, bizarreries,
phobies, fugue, non respect du
règlement, passivité, hyperactivité,
inhibition).

►Les troubles affectifs (anxiété,


pleurs, dépressions, état maniaque…).
29
►Les troubles cognitifs (conscience,
orientation temporo-spatiale, mémoire,
capacités intellectuelles).

►Les troubles somatiques (la qualité


du sommeil, retentissement
physiologique de la pathologie
psychiatrique…)

30
►La qualité du contact (par exemple:
patient opposant ou familier) et le
contenu du discours.

►La présentation du patient : son


hygiène, l’aspect extérieur de ses
vêtements.

31
►L’adaptation sociale dans le service
(solitaire, agoraphobe, peur du jugement
des autres…) et la relation avec les
proches (dépendance, conflits, relation
fusionnelle).

►Les réactions face aux situations


(adaptées, inadaptées).
32
Différentes situations de soins se
présentent que ce soit en
hospitalisation, en HDJ ou en extra
hospitalier.

33
2. L'accueil/rencontre du patient,
de sa famille, de ses proches.

C’est un moment essentiel de la


rencontre entre la personne souffrante
et les soignants. C’est à partir de ce
moment que se joue
« l’accrochage thérapeutique ».

34
L’accueil doit se faire dans un lieu
identifié et confidentiel (pas dans la
salle d’attente).

35
Les modalités de l’accueil peuvent être fonction :

►Des différents modes d’hospitalisation.

►Des lieux : structures intra ou extra


hospitalières.

36
►De facteurs divers :

Arrivée annoncée ou non (venant d’une


autre structure ou non).
L’urgence (agitation, violence).
L’état somatique.
L’état du comportement.
Le nombre de personnes qui accueillent le
patient.
La première hospitalisation ou non.
37
Le rôle IDE lors de l’accueil :

De la qualité de l’accueil dépendra la


qualité de la relation engagée avec le
patient : l’IDE qui gère l’accueil doit se
présenter, être disponible et attentif,
neutre.

38
►Évaluer la notion éventuelle d’urgence
et mettre en place le dispositif de soins
spécifiques (par exemple: en cas
d’agitation, le risque de passage à
l’acte, d’état confusionnel ou pré
comateux ou toute autre urgence).

39
►Vérifier les données
administratives (identité, couverture
sociale, nom des personnes à informer
et à ne pas informer de la présence du
patient, adresse et numéro de
téléphone du patient, de ses
proches…)

40
►Sinécessaire faire préciser par les
accompagnants les habitudes de vie du
patient et ses besoins fondamentaux.

41
►Faire avec diplomatie l’inventaire des
affaires personnelles du patient en sa
présence ainsi que d’autres agents du
service. Dire plus tôt « Je vais mettre
vos affaires en sécurité (sous clé) en
attendant l’entretien avec le
psychiatre ».

Éviter de dire : « On vous garde vos


affaires et une explication précise vous
sera donnée en temps voulu ». 42
► Après ces formalités :
Présenter le service au patient (salle à manger,
téléphone, poste de soins, coin fumeur …).
Présenter les personnes ressources et expliquer
le rôle de chacun :
Lui remettre le livret d’accueil, la charte du patient
hospitalisé et le règlement intérieur propre à
l’hôpital et au service. L’informer sur les modalités
de son hospitalisation (SPDT : soins psychiatriques
à la demande d’un tiers ou SPDRE : soins
psychiatriques sur décision du Représentant de
l’Etat ).

Donner les informations concernant les visites, les


heures de repas, les permissions. 43
►L’IDE assistera à l’entretien
médical d’admission et consignera
les informations dans le dossier. Il
rassure le patient , l’informe des
examens à subir, le met en
confiance et lui précise que
l’équipe peut être sollicitée à tous
moments.

44
►La relation de confiance se travaille
dès l’arrivée et se poursuivra tout
au long du séjour.

►Être authentique dans les rapports,


être disponible (comprendre,
écouter) tout ceci témoigne de la
volonté d’apporter une aide et un
soutien au patient.
45
3. La garantie de la sécurité du
patient et des autres patients.

►Deux types d’inventaire :

- l’inventaire courant

- l’inventaire strict

46
►L’inventaire courant qui a pour but
d’assurer la sécurité des biens et des
personnes : Ôter tout objet électrique,
fils et cordons électriques, objets
coupants et/ou en verre. Les
médicaments et produits à risque
(lessive, dissolvant…). Lui faire vider
ses poches.

Ces objets sont gardés dans le poste


de soins à la disposition du patient en
fonction de ses besoins. 47
►L’inventaire strict : systématique dans
les services fermés (ou protégés) et
occasionnels ou ponctuels dans les
services libres. Il est plus complet que
l’inventaire courant et il est prescrit en
raison du danger :

- Laisser le minimum d’affaires dans la


chambre (gobelet, boisson, livres…).
- Ranger les autres affaires dans un placard
fermé à clé.
- Fermer le cabinet de toilette. 48
Objectifs :

• Éviter les risques d’auto et d’hétéro


agressivité.

• Éviter l’utilisation par d’autres patients


d’objets dangereux.

49
Fermeture à clé de toutes les
pièces sensibles (pharmacie, salle de
bain, cuisine etc.) et les différentes
portes d’accès à l’extérieur (selon
le mode d’hospitalisation)

50
4. La mise en place d'un cadre
contenant.
►Projet de soins en psychiatrie :

Favoriser la négociation, les contrats


de soins, l’adhésion et la participation
du patient au projet.

51
Expliquer ce qui motive les actions et
les points de vue professionnels.

Veiller à la cohérence des acteurs et


appliquer les conduites décidées en
équipe.

52
►Assurer une présence soutenue et
réconfortante.

Recadrer fermement les attitudes


contraires à la vie communautaire
(intrusion dans une autre chambre,
critique sur autrui, dégradation…).
Savoir être ferme pour faire
respecter le règlement intérieur.
Contrôler les retours de permissions :
vérifier les sacs, l’alcoolémie dans les
cas de sevrage… 53
Malgré la nécessaire mise en place d’un
cadre contenant, la prise en charge du
patient doit être la même que pour tout
patient hospitalisé, c'est-à-dire dans sa
globalité.

54
5. Le rôle de médiateur du soignant

Il va favoriser l'acceptation de la
maladie par le patient et son
environnement afin qu'il devienne
acteur de ses soins et prenne ou
reprenne sa place de sujet.

►Renforcer l’estime de la personne, la


féliciter sur ses progrès, son aspect
physique, ses qualités, ses actions… 55
►Rechercher et développer les centres
d’intérêt du patient pour favoriser son
épanouissement personnel.

►Accompagner psychologiquement la
famille et les proches. Souvent, 1 ou 2
IDE référents sont nommés, ils
deviennent alors les interlocuteurs
privilégiés du patient, notamment pour
les demandes particulières de
permission ou autre. 56
Attitudes du soignant et
distance thérapeutique

►L’IDE exerce dans un cadre


institutionnel de soins donc en accord
avec le projet de cette structure. Il est
porteur d’un projet de soins.

57
►Certaines attitudes vont favoriser la
relation :

- l’écoute,
- l’observation,
- l’empathie,
- le respect,
- l’ authenticité.

58
►Le soignant est garant de la
distance thérapeutique. Pour garder
cette distance, le soignant doit
travailler sur ses émotions, ses affects,
son agressivité, ses manifestations de
rejet ou de rapprochement vis-à-vis
d’un patient (transfert et contre-
transfert).
59
►Ce travail est essentiel pour
garder la bonne distance
thérapeutique .

► La notion d'une bonne distance


thérapeutique à trouver pour que
l'infirmier se situe dans le champ du
soin et de l'éducatif et non pas dans le
champ de l'affectif ou tout autre mode
de relation relevant des affects.
60
►Toujours utiliser le vouvoiement :
il est garant de la juste distance, évite
les dérives et inscrit le soignant dans
une relation thérapeutique distincte et
particulière.

61
►Le tutoiement peut être interprété
comme un manque de respect, une
manière d’affirmer son pouvoir ou
d’abaisser le patient. Il comporte une
notion d’intimité, de proximité, de
rapprochement et peut être
dommageable pour un patient en
quête de reconnaissance d’affection. Il
y a risque de confusion des rôles et de
perte de repères.

►Pour nommer le patient utiliser Mme


ou Mr X.
62
►D’autres facteurs sont également
garants de cette distance :

La façon de s’adresser au patient.


L ’intonation.
Le choix des mots.
Le contenu du discours.
L’authenticité de la relation.
La qualité d’écoute et d’échange.
63
►Attitude du soignant : être à l’écoute
du patient ce n’est rien dévoiler de sa
propre histoire. Le patient doit
connaître l’infirmier en tant que
soignant et non en tant qu’individu.

►Les réunions cliniques permettent de


prendre de la distance entre soignant
et soigné et contribuent à améliorer la
prise en charge thérapeutique
infirmière. 64
Attitudes délétères
►Pas d’attitude de rejet par rapport au
propos ou au comportement jugés
intolérables (souvent parce qu’ils
touchent les affects propres du
soignant).

►Ne pas forcer l’expression de la pensée


ou de délires que le patient ne souhaite
pas formuler. 65
►Ne pas juger les dires, les
comportements, les délires même s’ils
ont un côté étrange.

►Ne pas le contraindre à évoquer des


évènements ou un vécu trop
douloureux pour être assumé pour
l’instant.

►Éviter toute familiarité.


66
L’entretien infirmier

Dans la communication avec le patient


l’IDE doit être authentique.
Il engage sa personne, ses émotions,
ses affections.

►« Se connaître soi-même avant de


prétendre connaître les autres ».
67
►La relation de soins doit être vraie.
Elle ne doit jamais devenir trop proche
voire fusionnelle.
La notion de distance thérapeutique
est indispensable. L’empathie
(faculté de s’identifier à quelqu’un et
de ressentir ses émotions) ne peut se
confondre avec l’amitié, l’intimité, la
camaraderie.
68
►L’entretien se fait dans la chambre du
patient c’est un lieu calme, cela
favorise une meilleure écoute.

►L’entretien peut être formel ou informel


à l’occasion d’une promenade… et se
fait aussi à la demande du patient

69
Soins à types d’ activités socio-
thérapeutiques
Différents types d’activités :

►Des activités qui visent à la reprise


de conscience du corps :

des activités d’expression corporelle ou


verbale, de la gymnastique, des
séances de piscine, de balnéothérapie,
de maquillage et de coiffure… 70
►Des activités visant à l’acquisition
ou à la reprise des actes de la vie
quotidienne :

courses, cuisine, sorties avec repérage


de l’environnement.

71
►Des activités qui visent à
réinvestir le contact et les
références sociales par le plaisir
de la réalisation :

préparer des boissons et les faire


partager en discutant autour d’une
émission de télé, parler d’un thème
commun, atelier photo, atelier vidéo,
jardinage.
72
►Des activités visant à la
réinsertion sociale des repas
thérapeutiques:

l’apprentissage de la confection d’un


plat, du choix du menu, de la gestion
du budget, de l’organisation de
l’espace et du temps…
L’instauration des relations d’échange
et la convivialité et l’engagement dans
le groupe. 73
Objectifs de ces soins :

Lutter contre l’isolement social en


favorisant une ambiance conviviale
dans l’unité de soins et les échanges
interpersonnels :inciter le patient à
sortir de sa chambre, lancer des
conversations.

74
Favoriser la participation à certains
loisirs :jeux de société, activités
manuelles, en privilégiant les
activités en groupe.

75
Faire retrouver au patient le contact
avec la réalité dans une relation de
plaisir :participation, écoute,
échange, réalisation,
accomplissement.

76
Au cours des activités l’IDE doit
réguler le fonctionnement du
groupe, gérer l’agressivité, rappeler
les règles de la vie en communauté.

77
6. L'observance et l'efficacité du
traitement

►Surveiller la prise du traitement


(devant soi, vérifier l’ingestion : faire
boire 1 verre d’eau entier puis après la
prise, faire parler le patient …) afin
d’éviter le stockage (TS)
78
►Informer et éduquer le patient par
rapport au traitement (ne pas arrêter le
traitement même quand le patient se
sent mieux)

►Surveiller l’efficacité et l’innocuité des


traitements (diminution d’un délire,
disparition des idées suicidaires etc.
apparition d’effets secondaires)
79
En résumé dans la relation avec le
patient et sa famille

►Écouter et favoriser l’expression


de l’angoisse, du mal être et
détecter les propos délirants.

►Rassurer.

►Canaliserles comportements
inadéquats. 80
►Observeret noter les
comportements.

►Apaiser par sa compréhension son


écoute.

►Susciter le dialogue et la
participation à la vie du service.
81
Conclusion.

82
►Chaque pathologie demande une
conduite personnalisée, cependant
quelques règles communes favorisent
la communication soignant-soigné et
une prise en charge de qualité du
patient :

- Nécessité d’avoir des connaissances


théoriques (pathologiques,
médicaments…).
83
- Nécessité d’avoir des connaissances et
des aptitudes dans le domaine de la
communication.

84
►Les actions de soins infirmiers auprès
des personnes atteintes de pathologies
psychiatriques se répartissent
schématiquement en actions sur le
plan social et environnemental,
physique, psychique et éducatif.

85
►L’infirmière travaille dans une équipe
pluridisciplinaire (ergothérapeute,
assistante sociale, psychiatre,
psychologue, art-thérapeute …) ceci
permet de partager, réfléchir et de
prendre des décisions en équipe, lors
des réunions de travail.

86
Présentation des
consignes et
des groupes

Pour le TD N°3
87
groupe classe thérapeutique 1
Les antidépresseurs / consignes
Les antidépresseurs : ► Groupes
► la définition
► les indications A1 A2 A3
AHIL Alissia CECE FOUSSARD
► les 5 classes et les (référent mail) Coralie Victoria
illustrer par un nom de BARRADUC CLEMENT GAUVIN Julie
spécialité Leonard BOLLEE
Marie-
► les effets secondaires Amélie
(indésirables) communs BENMILOUD DA SILVA F. HAMMOUDAN
aux 5 classes Inès Vania Marie
► les contre indications BORDIS Amélie DIER HETTIARACHC
Philippe HIGE Anne
majeures
BOUILLOT DRIES HUSSET Aude
► les précautions d’emploi Sloane Nassima
► la surveillance infirmière CANAL Lili ETEVE KERDRANVAT
Claire-Soizic Laurent
LAVIGNE 88
Andrée
groupe classe thérapeutique 1
Les antidépresseurs / consignes
Les antidépresseurs : ► Groupes
► la définition
► les indications
B1 B2 B3
LE CAER Tiffanie PELTIER SAGOT Nicolas
► les 5 classes et les Charlotte (référent mail)
illustrer par un nom de MANGEOT PINSON Roxane SEFERIAN
spécialité Matthieu Sophy

► les effets secondaires MARTINETTI


MONGE Laure
RAKOTOMANANA
Rivo
SORET Aude

(indésirables) communs M’NEMOI Fazina RAMNARAIN SOUMBOUD


aux 5 classes Sabrina Tatiana
► les contre indications MOUREY Anais RITOUX Nicolas TOPART
majeures Louise
NGUYEN QUANG ROULLAND Lucie VALLEE
► les précautions d’emploi Linh Margaux
► la surveillance infirmière NYAKE EBENDE ROZAN Perrine RIVIERE
Rosine Coraline
89
groupe classe thérapeutique 2
Les anxiolytiques / consignes
► Groupes
Les anxiolytiques (benzodiazépines
et les non benzodiazépines : A1 A2 A3
carbamates et AKAR Angelina CHAOUCHE GARGARIN
antihistaminiques) Narimane Fernando
► la définition BAXAS Christine COGNY Tom GERARD
► les indications Bénédicte
► les 3 classes et les illustrer par BERBAR Nazhia DABI Solène HATHARASINGHA
un nom de spécialité K. Anesta

► les effets secondaires BOUDERLIQUE DJERMANOVIC HOAREAU Elodie


Alicia Zdenko
(indésirables) aux 3 classes
BOUJENAH DUGUEN IVANOFF Karine
► les contre indications majeures
Souraia Eugénie
de chaque classe
CARDIN Claire ETIEN Erryn KESSE Lauren
► les précautions d’emploi
(référent mail)
► la surveillance infirmière
CARRE Fanny FORTASSIN LAPOULE LOPEZ
Laure Milena
CARVALHO 90
Joanna
groupe classe thérapeutique 2
Les anxiolytiques / consignes
► Groupes
Les anxiolytiques (benzodiazépines
et les non benzodiazépines : B1 B2 B3
carbamates et
antihistaminiques) LE DOZE PERES SAINT AIME
Maureen FERREIRA Samantha
► la définition Melissa
► les indications MARANDON PIGEOT SAINTUREL Cyril
► les 3 classes et les illustrer par Emilie Jeremy
un nom de spécialité MARTINON RAYMOND SOUCHON
Lorine Kerline Amandine
► les effets secondaires
(indésirables) aux 3 classes MORENO RUIZ REY HERME TARTU Julie
Amelia Laurent
► les contre indications majeures
de chaque classe MOUSSELIN RITTAUD TOUATI Saliha
Pauline Alexia
► les précautions d’emploi
NOCENTE ROUSSELLE VILLACEQUE
► la surveillance infirmière Béatrice Marion Lucie (référent
mail)
OURABAH RULLE William ZOLA Christelle
91
Hakim
groupe classe thérapeutique 3
Les neuroleptiques / consignes
Les neuroleptiques ou ► Groupes
antipsychotiques
► la définition A1 A2 A3
► les indications ALBERTINI CHERMONT GARRIDO
Anabelle Lourde-Marie Hippolyte
► les 4 classes et les (référent mail)
illustrer par un nom de BALAVOINE Osia COLAS GUEUNIER
spécialité Philomène Mathilde
BENTORCHA DE OLIVEIRA HATRY
► les effets secondaires Amel GOMES Filipe Amarande
(indésirables) aux 4 BOUGEARD DOERFLINGER HOEPFFNER
classes Lucille Lucien Nathalie
► les contre indications BOURJA Anais DUPONT JEANNETTE
Maeva Jenna
majeures de chaque classe
CAROFF FAKIR Ilias KIAVILA
► les précautions d’emploi Alexandra Ella
► la surveillance infirmière
92
groupe classe thérapeutique 3
Les neuroleptiques / consignes
Les neuroleptiques ou ► Groupes
antipsychotiques
► la définition B1 B2 B3
► les indications LECOMTE PERILLAT SALINAS
Letizia Jessicka Jessica
► les 4 classes et les MARTIN PINTER Gaëlle SISSOKO
illustrer par un nom de Marie-Pierre Koudedia
spécialité MAUBERT RANAIVOSON SOUCHARD
Ophélie Diari Max
► les effets secondaires
(indésirables) aux 4 MOKEDDEM
JONCHERE
RIBEIRO
Elisabeth
TALAWA
Sylvie
classes Morjana
► les contre indications MZE RIVIERE TREMBLAY
MDOIHOMA Camille Fiona
majeures de chaque classe Saouda (référent mail)
► les précautions d’emploi NOELLE ROY Pauline VIOLLEAU
Marion Emeline
► la surveillance infirmière
93
groupe classe thérapeutique 4
Les hypnotiques / consignes
Les hypnotiques ► Groupes
► la définition
► les indications
A1 A2 A3
ALIM Lyes CHEVALIER GAUDAIRE
► les 3 classes et les Clémence Anais
illustrer par un nom de BEDOS Marie COLLET Julia GUILLON
spécialité Gwenaëlle

► les effets secondaires BENDRIMIA DEMBELE Fily HERBINET


Soumaya Lauriane
(indésirables) aux 3
BIDIE Grace DOMINICE Eva HORCHOLLE
classes Florence
► les contre indications BOUHADANA DOS SANTOS JUBIN
majeures de chaque classe Maud ANDRADE
Anthony
Noémie

► les précautions d’emploi BOUZERARA FILLATOF KOLODZIEJ


► la surveillance infirmière Katia MARTEAU Mallaury
Caroline
CARRE Fanny 94
(référent mail)
groupe classe thérapeutique 4
Les hypnotiques / consignes
Les hypnotiques ► Groupes
► la définition
► les indications B1 B2 B3
LUFUANKENDA PERTHUE SAUVEUR
► les 3 classes et les Evodie Lucie Maurane
illustrer par un nom de MARTIN Claire PLANTE SOLIVEAU
spécialité Sarah Sandra
► les effets secondaires MIFTARI RAULINET TALARMIN
Valerina Julie Guillaume
(indésirables) aux 3
classes MORIN Diane
(référent mail)
RIBEIRO
Amandine
TASSIN
Céline
► les contre indications NADAUD Léa RICHARD TURRA Estelle
majeures de chaque classe Mathilde

► les précautions d’emploi NOGAREDES ROUAUD ZERBIB


Frédérique Swann Barbara
► la surveillance infirmière

95
groupe classe thérapeutique 5
Les normo thymiques / consignes
Les normo thymiques ou ► Groupes
thymorégulateurs
► la définition A1 A2 A3
► les indications AMAJOU CHLOUS GAUNAND
► les 3 classes et les illustrer par Chourok Priscilla Gabrielle
(référent mail)
un nom de spécialité
BELGHOUL DA SILVA HABRA
► les effets secondaires
Fayçal BARROS Hanane
(indésirables) aux 3 classes Melody
► les contre indications majeures BEVILACQUA DIALLO HACOON
de chaque classe Carmen Coumba Jeremy
► les précautions d’emploi BOUHLEL DOS REIS HOUSSIN
► la surveillance infirmière Selma Eugénie Mathilde
BRUN Estelle EL-AHRECHE KARSENTY
Nawal Emma
CARREIRA FILY Emeline LAIB Amina
GOUVEIA Laura
CAUDAN FORRESTAS LARRIEU
Laurence Thibault Marianne 96
groupe classe thérapeutique 5
Les normo thymiques / consignes
► Groupes
Les normo thymiques ou
thymorégulateurs
► la définition
B1 B2 B3
MALERBI PHONGTHISOUK SCHMITT
► les indications Vincent Vincent Mélanie
► les 3 classes et les illustrer par MARTINELLI PORTES Virginie SOLMEZ
un nom de spécialité Colombine (référent mail) Céline
► les effets secondaires MION RAMDOUR SUMBUL
(indésirables) aux 3 classes Mathilde Clotilde Gözde
► les contre indications majeures MOULY RIOULT TETTY
de chaque classe Juliette Guillaume Clotilde
► les précautions d’emploi NEUCIN ROUDAUT Lison VACHON
Sarah Céline
► la surveillance infirmière
NWOSU RUFFRAY ZINGILE
Charline Laurine Axell
PAMY Alexis

97

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