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Une partie importante de la recherche est concentrée aujourd’hui sur la nécessité d’économiser de
l’énergie en termes de consommation ou de ressources. Ceci nécessite, pour de nombreux mécanismes
de diminuer les frottements et de réduire l’usure. Le rendement des machines sera meilleur et les
pertes d’énergie seront minimes.
Much of the research is now focused on the need to save energy in terms of consumption or resources.
This requires, for many mechanisms, to reduce friction and to reduce wear. The efficiency of the
machines will be improved and the energy losses will be minimal.
IV.1 Définition
La lubrification est le fait d’apporter un corps (solide, liquide ou gazeux) entre deux solides en
mouvement relatif dans le but de favoriser le glissement entre deux surfaces frottantes. Le rôle de la
lubrification est multiple. Elle permet non seulement de réduire le frottement et l'usure,
mais aussi de dissiper la chaleur produite dans le contact, de protéger contre la corrosion et
d'empêcher le grippage.
• Solides
Graphite
Cires
Résines
Plastiques fluorés (PTFE)
Polyamides
Vernis de glissement
• Liquides
• Pâteux
Gazeux
TRIBOLOGIE
CHAPITRE 4 : Régimes de lubrification
ATMANI
• le film formé et maintenu doit se déformer facilement, sans se rompre par cisaillement.
• Onctuosité : C’est une variable que l'on ne sait pas encore chiffrer et qui qualifie le comportement
global des trois matériaux en présence, le lubrifiant et les deux pièces, compte tenu des traitements de
surface éventuels et de l'ambiance. Elle caractérise la plus ou moins grande solidité des manteaux
protecteurs ou epilamen formés par des assises moléculaires ; les molécules d’huiles sont soumises à
l’attraction moléculaire du métal des pièces frottantes et sont rangées côtes à côtes.
• Viscosité : Cette caractéristique très importante permet la création d’un film d’huile entre les
surfaces en mouvement. Elle résulte de la résistance qu’opposent les molécules constituant le fluide à
toute force tendant à les déplacer par glissement ; la viscosité est la propriété inverse de la fluidité.
Prenons l’exemple de la Figure 1 où un fluide visqueux est placé entre deux surfaces planes parallèles.
La surface supérieure est animée d’une vitesse constante V alors que la surface inférieure est
immobile. En raison de sa viscosité, le fluide adhère parfaitement aux parois. Un gradient de vitesse va
donc se créer dans la lame fluide. La résistance au glissement interne des molécules conduit à
l’apparition d’une contrainte de cisaillement σxy. Cette contrainte est liée au gradient de vitesse par la
loi de Newton :
dv
σ xy =τ=µ . equ. 1
dy
où µ est la viscosité dynamique du fluide. Donc plus un fluide est visqueux plus la contrainte de
cisaillement sera élevée pour une même valeur de gradient de vitesse . L’unité de viscosité est le Pa.s.
On utilise également la viscosité cinématique qui est le rapport entre la viscosité dynamique et la
densité du fluide :
TRIBOLOGIE
CHAPITRE 4 : Régimes de lubrification
ATMANI
µ
ν= equ. 2
ρ
L’unité de la viscosité cinématique est le m2/s.
Figure 1 : Écoulement d’un fluide visqueux entre deux surfaces planes parallèles.
Un bon rendement mécanique impose un lubrifiant très fluide mais la sécurité de fonctionnement liée
à l'épaisseur des films superficiels (rupture du film d’huile) le fait préférer très visqueux.
Pour les huiles, on fait référence à un indice de viscosité qui traduit la rapidité de la variation de la
viscosité avec la température.
Constitution
Les graisses sont des produits viscoplastiques à deux phases qui comportent :
• une phase liquide, huile minérale ou fluide synthétique, formant un support dispersant et
représentant parfois plus de 90 % du poids de la graisse,
• une phase solide dispersée se comportant en agent épaississant, généralement un savon métallique,
résultat de la réaction d'un acide gras (stéarique, oléique) avec un hydroxyde métallique (calcium,
lithium, sodium, aluminium, magnésium). Cette phase représente de 8 à 40 % du poids. Dans certaines
graisses, l'épaississant est un composé inorganique comme la bentonite, sorte d'argile possédant de
remarquables propriétés d'adsorption.
• des additifs solubles améliorant les performances : antioxydant, anti-usure, antirouille, extrême
pression, etc.,
Si le plan supérieur est incliné et que les profils de vitesse gardent la même allure, il y a un problème
de conservation de la masse. En effet les aires des deux triangles représentés sur la Figure 2(b) sont
différentes. Les profils de vitesse ne sont donc pas corrects et un autre phénomène doit se produire.
La Figure 3 présente une expérience qui reproduit la Figure 2. Un tapis roulant entraîne de l’huile
sous un plan incliné fixe. Des tubes manométriques placés sur le plan incliné mettent en évidence la
création d’un champ de pression lors de la mise en mouvement du tapis. Cette pression va bien sûr
modifier les profils de vitesse de façon à assurer la conservation de la masse.
Un volume élémentaire de fluide est isolé, comme sur la Figure 4. Il est soumis à des pressions p et
des contraintes de cisaillement τ. La somme des forces suivant ⃗x conduit à la relation suivante :
equ. 3
TRIBOLOGIE
CHAPITRE 4 : Régimes de lubrification
ATMANI
Figure 3 : Écoulement entre un tapis Figure 4 : Étude d’un volume élémentaire
roulant et un plan incliné. de fluide.
Sous l’hypothèse que la pression ne varie pas suivant l’épaisseur du film et qu’elle est donc
uniquement une fonction de x. Il vient alors :
equ. 4
Le cisaillement τ a été remplacé par le gradient de vitesse (equ.1), d’après la loi rhéologique du fluide.
Cette relation peut être intégrée par rapport à y pour exprimer le profil de vitesse :
equ. 5
Les constantes a et b sont calculées en utilisant l’hypothèse que la vitesse du fluide est égale à celle
des parois :
equ. 6
— une composante générée par le gradient de pression dp/dx. C’est la composante de Poiseuille;
Suivant le signe du gradient de pression, le profil de vitesse pourra avoir différentes allures comme
illustré sur la Figure 5. Si le gradient de pression provoque un écoulement inverse de suffisamment
grande amplitude, il est possible d’obtenir une recirculation du fluide. Même si l’exemple traité ici est
relativement simple il montre que les profils de vitesse dans les films minces sont la somme d’un
profil parabolique (Poiseuille) et d’un profil linéaire (Couette).
Ces résultats vont permettre d’expliquer la pression générée dans l’expérience de la Figure 3. Comme
le montre la Figure 6, le gradient de pression est positif sur la partie gauche du plan incliné alors qu’il
est négatif dans la partie droite. Les profils de vitesse obtenus ont alors des allures différentes mais
TRIBOLOGIE
CHAPITRE 4 : Régimes de lubrification
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permettent d’assurer la conservation de la masse car les aires des profils de vitesse sont identiques.
Finalement, on peut conclure que lorsque le plan est incliné, une pression est naturellement générée de
façon à assurer l’équilibre des débits de fluide et la conservation de la masse.
Figure 5 : Profils de vitesse dans un film Figure 6 : Relation entre le profil de
mince. pression et les champs de vitesse pour un
plan incliné.
equ. 7
equ. 8
La résolution de cette équation donne la distribution de pression dans le contact à partir de l’épaisseur
du film h, la vitesse de glissement U et la viscosité du fluide µ. C’est la version unidimensionnelle de
l’équation de Reynolds.
Les surfaces sont séparées par un fluide newtonien de densité ρ et de viscosité dynamique µ.
L’écoulement du fluide est régit pas les équations de Navier-Stokes (1).
Afin d’aboutir à l’équation de Reynolds il est nécessaire de simplifier ces équations. Pour cela, les
termes seront adimensionné pour évaluer leur ordre de grandeur, avec L la longueur caractéristique
suivant x et y, h l’épaisseur caractéristique de film et V la vitesse caractéristique des parois. La densité
et la viscosité sont supposées constantes. Les grandeurs sans dimension s’expriment :
— L’écoulement est laminaire et le nombre de Reynolds suffisamment petit pour que l’inertie du
fluide soit négligeable;
En raison des contraintes de cisaillement dues à la viscosité du fluide, des forces de frottement sont
générées dans les deux directions :
Enfin, il est possible de calculer les débits de fluide sur les frontières du domaine :
Figure 8 : Représentation des forces et Figure 9 : Surfaces en mouvement relatif
débits dus à l’écoulement en film mince. dans un repère polaire
La nature et les propriétés du frottement de glissement entre deux surfaces dépendent d'un
certain nombre de paramètres essentiels :
la géométrie des surfaces mises en présence, tant au niveau macro-géométrique qu'au niveau
micro-géométrique,
les charges appliquées,
les vitesses de déplacement,
la présence ou l'absence de lubrifiant (frottement médiat ou immédiat),
les propriétés du lubrifiant, lorsque l'on en fait usage.
Dans le cas particulier du frottement sec ou immédiat, les matériaux sont choisis pour leur
compatibilité en frottement et aucune introduction de lubrifiant n'a lieu. Le contact réel se fait a priori
non pas sur ces matériaux eux-mêmes mais sur les couches de gaz et d'impuretés diverses
adsorbées sur les surfaces. Le glissement est relativement difficile, il donne lieu à de
l’échauffement, à des arrachements et éventuellement à des microsoudures si les matériaux
présentent une affinité chimique. Les surfaces s’usent rapidement.
Dans le cas du frottement médiat, le lubrifiant est toujours choisi pour son affinité avec les
surfaces mais aussi pour ses propriétés de volume, en particulier pour sa viscosité. La quantité
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CHAPITRE 4 : Régimes de lubrification
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importante de lubrifiant permet à de nouvelles molécules de prendre la place de celles qui ont
pu être chassées des contacts d'aspérités sous l'effet de conditions de température et de
pression trop sévères. Par ailleurs et surtout, il s'agit de rechercher des conditions de
fonctionnement telles que les charges soient supportées, si possible en totalité, par le produit
tiers introduit entre les surfaces. L'idéal est que ce produit puisse constituer une couche, un
film, suffisamment épais pour séparer complètement les pièces en présence, de façon à éviter
toute possibilité de contact entre solides ; on espère ainsi à la fois rendre le mouvement plus
facile et supprimer totalement l'usure. Outre sa fonction d'interposition, le lubrifiant va aussi
permettre d'évacuer une partie importante des calories.
Le lubrifiant ne peut assurer une certaine portance que s'il est mis sous pression grâce au
mouvement relatif des pièces elles-mêmes ou, si ce n'est pas possible, par une alimentation
forcée.
Si le patin est immobile, sous charge, depuis un certain temps, on peut considérer que le lubrifiant
présent entre les deux pièces dans les espaces dus aux diverses sortes de défauts de surface se trouve à
la pression ambiante. Les charges sont alors entièrement supportées par les aspérités ; ces dernières
sont recouvertes de couches de molécules adsorbées, liées rigidement aux substrats et capables
d'empêcher ou au moins de minimiser les contacts directs des deux matériaux de base.
Si le patin glisse très lentement, la pression dans le lubrifiant reste nulle ou extrêmement faible et les
charges sont encore entièrement supportées par les aspérités ; le coefficient de frottement reste, très
logiquement, à peu près au même niveau que dans le cas de la lubrification limite.
Si la vitesse augmente, le lubrifiant se trouve de mieux en mieux « pris au piège » dans le mécanisme,
de sorte que sa pression croît ; il suffit pour s'en assurer de percer un petit trou dans le patin. Plus le
glissement est rapide, plus la pression s'élève et plus la portance qui en résulte permet de décharger les
aspérités. En même temps, le coefficient de frottement diminue, ce qui va bien sûr dans le sens
recherché. Nous sommes ici dans une phase dite de frottement onctueux, au cours de laquelle
l'onctuosité joue encore un rôle déterminant.
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Si la vitesse devient suffisamment grande et si le contexte mécanique le permet, le patin finit par se
soulever ; le lubrifiant « capturé par surprise » n'a pas le temps de s'évacuer et le glissement a lieu sur
une couche fluide en forme de coin qui supporte maintenant la totalité des charges. Nous entrons là
dans le domaine de la mécanique des fluides, le coefficient de frottement ne baisse plus, au contraire,
il augmente avec la vitesse et peut même, parfois, tendre vers l'infini. Sauf dans un cas très particulier,
ce régime, appelé frottement hydrodynamique, ne peut s'établir que dans des mécanismes
suffisamment « ouverts » pour que le coin d'huile puisse se former ; il faut pour cela que le patin
puisse à la fois se soulever et s'incliner car la mise en pression du fluide nécessite un écoulement
convergent. Il faut aussi que le patin soit chargé vers l'arrière, un peu, mais pas trop.
Très souvent, le régime de lubrification peut changer fondamentalement pendant les diverses
phases de fonctionnement d'un mécanisme. Il faut donc étudier toutes les situations possibles
pour atteindre une fiabilité satisfaisante, limiter les résistances passives et donc les pertes
d'énergie, tout en assurant la sécurité du mécanisme lui-même et de son environnement.
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Lubrification limite
On parle de « lubrification limite » lorsqu'un lubrifiant est présent en très faible quantité,
formant à la surface des pièces des couches très minces, éventuellement quasi mono-
moléculaires et généralement non régénérables en cas de destruction ; l'épaisseur du film
lubrifiant est insuffisante pour isoler complètement les solides en contact. Ces couches,
encore appelées « épilames » ou « epilamens », doivent évidemment être formées de produits
capables de se lier très fortement aux substrats, la force de ces liaisons caractérisant une plus
ou moins grande onctuosité. L'aptitude du lubrifiant à former une couche adhérente, appelée
onctuosité, est ici une qualité primordiale. Par rapport au frottement sec, disons que l'on a
remplacé une « pollution naturelle » des surfaces par une « pollution contrôlée ».
Lubrification onctueuse
La couche de lubrifiant est plus épaisse, elle commence à porter une partie des charges mais il subsiste
des contacts entre les aspérités des pièces. Quelques contacts locaux métal / métal subsistent. La
plupart des contacts se fait épilamen/épilamen. Le coefficient de frottement se trouve
diminué et le glissement favorisé. Il y a moins d’arrachements et de micro soudures. L’usure est
moins rapide que dans le cas du frottement sec. En général, les pressions sont plutôt importantes et
les vitesses relatives plutôt faibles.
Lubrification « mixte »
Lubrification fluide
Lorsque le lubrifiant (fluide, liquide ou gaz) sépare nettement les surfaces en mouvement
relatif, on dit qu’on est en régime de lubrification fluide. L’épaisseur du film fluide doit alors
être beaucoup plus grande que les irrégularités de surface. C’est le régime le plus recherché,
car d’une part, le frottement est très faible, parce que seules les forces de viscosité s’opposent
au mouvement, et que d’autre part, l’usure adhésive est nulle puisqu’il n’y a plus de contact
direct entre les surfaces.
En lubrification hydrodynamique, les surfaces sont séparées par un film de fluide visqueux dont la
pression est générée par le mouvement relatif des surfaces qui forment un espace convergent ; Il n’y a
aucun contact direct entre les surfaces, une couche de lubrifiant les sépare en permanence. Le
frottement est très réduit et l’usure est presque nulle.
Si la pression unitaire des pièces en contact n’est pas trop élevée et que la
vitesse relative des surfaces est importante, les deux surfaces se séparent
par une montée en pression de l’huile interposée : le lubrifiant liquide est
entraîné et mis sous pression par le mouvement relatif des surfaces. Il
sépare totalement ces dernières et supporte l'intégralité des charges, grâce à
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CHAPITRE 4 : Régimes de lubrification
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sa viscosité, qui correspond à sa résistance à l'écoulement. Ce phénomène est favorisé par la formation
d’un coin d’huile.
La lubrification hydrodynamique est utilisée (principalement) pour réduire le frottement dans les
guidages d’arbre. On trouve deux types de guidages présentés sur la figure 14 : les paliers
hydrodynamiques pour les charges radiales et les butées hydrodynamiques pour les charges axiales
(exemples Fig.15).
Lubrification « pseudo-hydrodynamique »
L'huile arrive dans le contact par capillarité et forme un film lubrifiant par effet d'entraînement mais ce
film ne peut pas véritablement être mis sous pression et supporter les charges. C'est ce qui se passe par
exemple dans les coussinets autolubrifiants en bronze poreux.
Lubrification élastohydrodynamique
C'est un cas particulier du précédent, lorsque la pression dans le film liquide est suffisante pour
déformer localement les solides en contact, comme c'est le cas lors du fonctionnement des engrenages
(Figure 16). Cette déformation change la géométrie du film et la répartition des pressions, mais aussi
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CHAPITRE 4 : Régimes de lubrification
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les caractéristiques des lubrifiants : à 7 000 bars et 100 °C (conditions fréquentes dans les contacts), la
viscosité des huiles naphténiques peut être multipliée par 100 000.
Lubrification hydrostatique
Elle consiste à envoyer, à l'aide d'une pompe ou d'un compresseur, un liquide ou un gaz sous pression
pour séparer les surfaces qui peuvent alors être ou non en mouvement relatif (Figure 17). Elle est la
garantie d'un frottement extrêmement faible et d'une absence quasi totale d'usure mais il faut une
source d'énergie extérieure.
Il est possible d’utiliser un gaz comme lubrifiant. Pour utiliser un gaz, il faut s’assurer qu’il
existe toujours un film qu’il soit aérodynamique, c’est à dire généré par une vitesse ou
aérostatique, c’est-à-dire généré par une source extérieure de pression.
La figure 18 présente des exemples de paliers et butées pour lesquels la séparation des
surfaces est assurée par un film d’air. Le film peut être crée par le mouvement des surfaces
(lubrification aérodynamique). Dans ce cas, il est courant d’utiliser des surfaces rainurées. La
lubrification à air est utilisée dans les applications où de grandes vitesses sont atteintes. L’air
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est intéressant pour les applications où un niveau de propreté élevé est requis. Enfin, la
lubrification à air est retenue pour les applications à faible frottement.
En résumé
Lubrifiant solide :
Principales propriétés :
Principales propriétés :
Lubrifiants liquides :
Prévient toute forme d’usure (sauf fatigue) en éliminant tout contact solide/solide entre les
aspérités ;
Diminuent et éliminent la chaleur générée par le frottement.
Principales propriétés :
Références bibliographiques
3. Frêne G., Nicolas D., Deugueurce B., Berth D., Godet M., Lubrification hydraudynamique :
Paliers et butées, [éd.] Eyrolles. Collection de la Direction des Etudes et Recherche d'Eléctricité de
France. 1990, 72.
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