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Mécanique des Fluides

Programme :
Chapitre 01 : Hydroynamique des Fluides réels
1.1 Rappels d’hydrostatique
1.2 Pertes de charge
1.2.1 Notions de pertes de charge
1.2.2 Ligne de charge et ligne piézométrique
1.2.3 Système multiples de conduites
1.3 Nombres de Reynolds
1.3.1 Nombres de Reynolds
1.3.2 Ecoulements autour d’obstacles
1.1-Rappels d’hydrostatique
1- Définitions
• Définition des fluides
Milieu continu, déformable, pouvant s’écouler, isotrope, mobile,
doué de viscosité
Fluide = gaz et liquide (Cas limites : poudres, bitume, …)
• Différence gaz-liquide
Gaz : forte compressibilité, faible densité, occupe tout le volume.
• Situations dans lesquelles il n’y a pas de mouvement relatif
entre les particules fluides : fluides au repos, fluides
uniformément accélérés
Il n’y a pas de contraintes dues aux frottements
entre particules.

Les forces en jeu sont uniquement des forces de surface


dues à la pression.
Pression (unités - échelle)
Pression = Tension normale à la surface dirigée vers dS
l’intérieur de la masse de fluide (normale à la surface
pour un fluide parfait) dF

Pascal (Pa) = N/m2


Pression absolue et pression relative :
Pabs = Prel + Patm
Unités Abréviation Conversion en MPa
Atmosphère atm 0,1013
Bar bar 0,1000
Livre par pouce carré psi ou lbf.in-2 6,897 10-3
Kiloforce par centimètre carré kgf.cm-2 0,1019
Tonne-force par pouce carré tonf.in-2 194,4400
Dynes par centimètre carré dynes.cm-2 ou barye 10-5
Pièze piéze 10-3
Millimètre de mercure mm Hg ou torr 1,34 10-4
Mètre de colonne d’eau m CE 1,02 10-2
Pression (Pa)
(puissance décimale)
Les échelles de pression dans l’univers

Explosion nucléaire
22

20 Pression au centre des naines blanches


18

16 Pression au centre du soleil 2 Millions de


14
bars
Pression au centre de Jupiter
1 TPa 12 Limite de la pression
Pression au centre de la terre
10
atteinte en laboratoire
Pression au centre de la lune
1 GPa

Synthèse du diamant
8 Pression au fond de la fosse des Mariannes

Découpe jet d’eau


Agroalimentaire
Industrie pétrolière
6
Patm

Polyéthylène
0,1 MPa

Micro-organismes

Cellule à enclume diamant


4

Mammifères
2
1 Pa 0

-2

-4
Technologie du vide
-6
industrie
-8

-10
Vide interstellaire Laboratoire
-12
2 - Equation fondamentale de la Statique
On considère un élément de volume fluide de forme
parallélépipédique, de volume dV = dx.dy.dz,
dans un repère cartésien :

z
dz
(x,y,z)
y
x dx

dy
Faire le bilan des forces qui s’appliquent sur cet élément de volume
impose de distinguer :

• les forces de volume : le poids


• les forces de surface : les forces de pression
r r r
- p(z + dz) dx dy ez n = ez
z
dz
(x,y,z)
y
x r r dx
n = -ez r
p(z) dx dy ez
dy
Force de volume :
r r
L’expression du poids du fluide est donnée par dP = dm g = r dV g

Force de surface :
On peut décomposer cette force en ses trois composantes
r r r
dF = dFx e x + dFy e y + dFz ez
Puisqu’ici les forces de surface sont nécessairement normales,
la composante suivant z correspond aux forces de pression s’exerçant
sur les surfaces perpendiculaires à l’axe z.
r r r
- p(z + dz) dx dy ez n = ez
z
dz
(x,y,z)
y
x r r dx
n = -ez r
p(z) dx dy ez
dy

Donc : dFz = [p(z) - p(z + dz)] dx dy

Par un développement au premier ordre, on a :


¶p
p(z + dz ) = p(z ) + dz
¶z
¶p ¶p
D’où : dFz = - dx dy dz = - dV
¶z ¶z ¶p
dFx = - dV
¶x
Et par analogie, sur les deux autres axes :
¶p
dFy = - dV
¶y
La force de surface se résume alors à :

æ ¶p r ¶p r ¶p r ö
dF = -çç ex + ey + ez ÷÷ dV
è ¶x ¶y ¶z ø

r
r Ñp º grad p
Soit : dF = -Ñp dV

r r
Au total, on a : dP = r dV g et dF = -Ñp dV

En vertu du Principe Fondamental de la Dynamique, l’ensemble des


forces agissant sur la particule fluide équivaut au produit de sa masse
par son accélération : r
dP + dF = r dV a
r r r
Par conséquent, on a : r dV g - Ñp dV = r dV a
r r r
D’où : r g - Ñp = r a
r r r
r g - Ñp = r a
r r
Si le fluide est au repos : a = 0
r r
Dans ce cas : Ñp = r g (Équation locale)

r r
Dans le cas d’un fluide au repos, en supposant que g = -gez , on a :

¶p ¶p ¶p
=0 =0 = -r g p( x, y , z ) = p( z )
¶x ¶y ¶z
dp
D’où : = -r g
dz

C’est l'équation différentielle à résoudre


pour connaître la pression en tout point
du fluide au repos.
3 - Application aux fluides incompressibles

Un fluide est dit incompressible si l’on peut considérer que sa masse


volumique est en tout point la même : te
r=C
Par ailleurs, on peut considérer que l’accélération de la pesanteur
est une constante :
g = Cte
dp
Par conséquent : = - r g = Cte
dz
Et par intégration :
dp
p( z ) =
ò dz ò ò
dz = - r g dz = - r g dz = - r gz + Cte

Soit : p(z ) + r gz = Cte


Puisque p(z ) + r gz = Cte
On a : p( z ) + r gz = Cte = p0 + r gz0
où p0 est la pression à l’altitude z0
z

Donc : p( z ) = p0 + r g(z0 - z )
p0 z0
h
g h hauteur de fluide sous
le niveau de référence

p z p( z ) = p0 + r gh

La plupart du temps, on prendra z0 = 0 le niveau de référence


correspondant à la surface libre du fluide où p0 = pa

Pour les applications numériques, on prendra la pression


atmosphérique standard : pa = 1,013.105 Pa
surface libre à la
z pression atmosphérique
atmosphère
pa
0 p(z)

r
z<0 g

liquide

p = pa - r g z
p = pa + r g h
Équilibre d’un fluide dans un
autre champ de force
• Accélération constante
On remplace g par j=g-a à Surface isobare perpendiculaire à j
Équilibre d’un fluide dans un
autre champ de force
• Rotation uniforme d’un récipient
4 - Application aux fluides compressibles
De façon générale, il s’agit des gaz puisque leur densité dépend
de la pression.

Pour simplifier l’étude, on prendra le cas d’un gaz parfait :

pV = nRT M : masse molaire du gaz


nRT
Soit : p= m nM n r
V Or : r= = Þ =
V V V M
rRT M
D’où : p = Þr = p la masse volumique est
M RT fonction de la pression
Þ compressibilité

En partant de l’équation fondamentale de la statique des fluides :


dp dp M dp M
= - r ( p) g Þ =- pg Þ =- g dz
dz dz RT p RT
dp M
Il faut donc intégrer :
ò p
=-
òRT
g dz + Cte

Constante si la température
M
Soit : ln p = - g z + Cte est homogène
RT
où la constante se définit par
te æ M ö
Donc : p( z ) = C expç - gz÷ rapport à la pression pour un
è RT ø niveau de référence

æ M ö
Ainsi, si p=p0 en z=z0, alors : p0 = Cte expç - g z0 ÷
è RT ø
æ M ö
Þ Cte = p0 expç g z0 ÷
è RT ø

é M ù
Donc : p( z ) = p0 exp -
êë RT g( z - z )
0 ú
û
5 - Forces hydrostatiques
On peut désormais s’intéresser à la détermination des forces
s’exerçant sur les surfaces solides immergées.
r
n
r
On sait que dF = - p n dS est la force de M
pression élémentaire s’exerçant sur la surface
élémentaire dS. dS
dF

Pour connaître la force totale s’exerçant sur une surface S, il suffit


d’intégrer dF sur cette surface S :

r
F =
òS
- p n dS
Cas particulier d’une plaque plane :

r
g
r
0 dF = - p n dS
h1 où p = p0 + r g h
r

r
donc F =
ò
- p n dS
S

n ß
r
dF
F = -n
ò (p
S
0 + r gh ) dS

F = -nç p0S + r g h dS ö÷
surface S h2
è S ò
ø

p0
r gh
h avec
ò h dS = h S
S
G

profondeur du barycentre de la surface


Cas particulier d’une plaque plane :

r Par conséquent :
g
r
F = -nS (p0 + r ghG )
0

h1
h1 + h2
hG =
2
r
n Remarque :

Si on néglige l’épaisseur de
dF la plaque, une force de
surface S h2 direction opposée mais
de même intensité s’applique
sur la face opposée
Þ la résultante des forces
p0 h
r gh de pression s’exerçant sur
la plaque est donc nulle.
Cas particulier d’une paroi :

r p
g 0
r
0
F 1 = -n1S (p0 + r ghG )
r
h1 F 2 = -n2Sp0

La pression atmosphérique
r s’applique de part et d’autre
r n1 de la paroi
F2 r
n2
F = F1 + F2
r h2 r
F1 F = - r ghG Sn1
p
0 ou bien
h
r
F = r ghG Sn2
Détermination du point d’application d’une force hydrostatique :

Si F est la force hydrostatique s’exerçant sur une surface S, alors


on peut avoir besoin de connaître le point d’application A de cette
force.
Il faut alors calculer le moment
de la force par rapport à un
O point O quelconque, puis
Point d’application
identifier ce moment à la
M résultante des moments
élémentaires par rapport à ce
r dF
n même point O :
A r
OA Ù F = ò OM Ù dF
S

surface S F Remarque :
Il est en général commode de
choisir un point O appartenant
à la surface
Exemple : cas d’une paroi
r r r r r
OA Ù F = ò OM Ù dF
S
Þ OA.F e1 Ù e2 =
r
òS OM.dF e1 Ù e2
r
r e3 e3
g
O
ß
0
r OA.F = ò OM.dF
e3 r S
¤ e2 h
dF F = Fhydro - Fatmo
r M
e1
F = (p0 + r ghG ) S - p0S
r
n
F = r ghG S = r g H2 S
A
OM = h
dF = r ghdhL
H
H
ò0 h.r ghdhL
OA =
h r g H2 S
H
ò0 h.r ghdhL r gL 2 H3
H 2 2
OA =
r g H2 S
=
rg2 S
H ò0
h dh = 2
H 3
Þ OA = H
3
L.H
H
ò0 h.r ghdhL
OA = r O 0
r g H2 S g r
e3 r
¤ e2 h
∫h2ds Ix
dF
moment d’inertie r M
e1 2
H r
OA= 3 n
h GS moment statique F
A
Ix = IG + hG2S
OA = hG +IG/hG S
H
La distance entre le centre de poussée et le
cdg est égale au rapport du mt d’inertie par
rapport au cdg de la paroi au mt statique

h
Effort exercé sur un objet totalement immergé :
(Poussée d’Archimède)

r
g On sait que la force exercée par le fluide
sur le solide immergé s’exprime comme :
r
F =
ò S
- p n dS

La formule du gradient permet de passer


d’une intégrale de surface à une intégrale
de volume : r r
òò f n dS = òòò Ñf dV
S V

Dans le cas présent, si l’on identifie le scalaire f à la pression,


on obtient :
r r
F =-
òòòV
Ñ p dV
Forces de pression sur une surface
cas particuliers

• importance de la pression : Tonneau de pascal.


• si la pression est constante, la résultante sur une
surface fermée est nulle (conduites)
• étude des discontinuités = importante
Équilibre de corps flottant.
Théorème d’Archimède

• Les forces exercées sur un solide complètement immergé


admettent une résultante égale et de sens opposé au poids du
fluide déplacé et le centre d’application (CP) est le centre de
gravité du fluide déplacé.
• Le solide est en équilibre stable si le centre de gravité G est
au-dessous du centre de poussée CP.(NB : si confondu =
équilibre indifférent)
• Pour les corps partiellement immergés (ex : bateau), le
centre de poussée de la partie immergée appelé « centre de
carène » est généralement au-dessous du centre de gravité.
L’équilibre de l’ensemble s’articule autour d’un métacentre M
qui doit être au-dessus du centre de gravité.
Théorème d’Archimède
• Tous corps solide immergé dans un fluide subit de la part de
celui-ci une poussée dirigée vers le haut, égale au poids du
volume du fluide déplacé.

• Le centre de poussée est appelé “ centre de carène ” , il est


confondu avec le centre de gravité de la partie immergée.

• Le théorème d’Archimède s’applique aussi au corps flottant, dans


ce cas la poussée d’Archimède est égale au poids du fluide
déplacé par la partie immergé.

• Pa = r g Vimmergé

• Il est valable aussi pour un système fluide : Pa = årig Vi


Stabilité des flotteurs M
métacentre

O
G C’
Tangage
C

M
Plan de flottaison
Carène
G
m= MG hauteur métacentrique
a = GC C’ C
m<0 équilibre instable
m= I/V - a
m=0 équilibre neutre
I:mt d’inertie de la surface de flottaison/à l’axe de
rotation m>0 équilibre stable
1.2 Pertes de charge
1.2.1 Notions de pertes de charge
1.2.2 Ligne de charge et ligne piézométrique
1.2.3 Système multiples de conduites
1.2.1 Notions de pertes de charge
1. Régimes d’écoulement – Nombre de Reynolds
1883
Osborne Reynolds (1842-1912)
Physicien britannique né à Belfast
(Irlande) le 23 août 1842 et mort à
Watchet (Somerset-Angleterre) le 21
février 1912.

Il est admis au Queens Collège de Cambridge


(Université) est en sort diplômé en 1867
(il fréquente les mêmes cours que Rayleigh).

Ses premiers travaux concernent le magnétisme et l'électricité, mais


il se concentre bientôt sur l'hydraulique et l'hydrodynamique.

Après1873, il étudie les changements de régime lors des écoulements


; passage d'un écoulement laminaire à un écoulement turbulent.
Filet coloré
Régime laminaire
Re < 2000

Filet coloré
Régime
intermédiaire
2000<Re <4000

Filet coloré
Régime turbulent
Re > 4000
1 cSt =
10-6 m²/s

m : viscosité dynamique , en Pascal.seconde (Pa.s) ou Poiseuille (Pl) -


1 Pa.s =1 Pl autres [CGS] : Poise (Po) 1 Pl = 10 Po = 1000 cPo
n : viscosité cinématique , en m²/s - (rappel : m = n / r) autres [CGS] :
Stoke (St) ou centistokes (cSt) 1 m²/s = 10 000 St = 10-6 cSt
Écoulements avec pertes d'énergie
Pour les liquides en mouvement, les forces tangentielles existent : ce
sont les forces de viscosité, qui donc développent un certain travail.
Ainsi on ne peut plus parler de conservation d'énergie le long d'un
filet liquide : en fait il y a perte progressive d'énergie mécanique, et
la formule de Bernoulli devient plus générale, soit :

z1+(p1/rg)+a1(v12/2g) = z2+(p2/rg)+a2(v22/2g)+DH1-2
DH : perte d'énergie d'une particule (par unité de poids) entre deux
extrémités de trajectoire,
a : coefficient de répartition des vitesses.
les valeurs de z, p, v et DH, sont des valeurs moyennes dans chaque
tranches liquides de l'écoulement.
Interprétation graphique de l’équation de Bernoulli

La courbe obtenue par le calcul de [z + (p/rg) + (v²/2g)] pour


chaque point est la ligne de charge d'un filet liquide; et la
pente représente la perte d'énergie ou perte de charge par
unité de longueur (et par unité de poids) le long de la
projection horizontale du mouvement.
Exemple (mouvement du point A au point B) :
La perte de charge est :
•proportionnelle au débit (ou à la vitesse), inversement
proportionnelle au diamètre, dépendante de la rugosité du tube,
•fonction du Nombre de Reynolds.
Les phénomènes d'écoulement sont beaucoup plus complexes et la
détermination du coefficient de perte de charge résulte de mesures
expérimentales. En régime turbulent l'état de la surface devient sensible
et son influence est d'autant plus grande que le nombre de Reynolds Re
est grand. Tous les travaux ont montré l'influence de la rugosité et on
s'est attaché par la suite à chercher la variation du coefficient l en
fonction du nombre de Reynolds Re et de la rugosité k du tuyau.
C'est ce qui explique la diversité des formules qui ont été proposées pour
sa détermination (Colebrook, Hazen-Williams, Darcy-Weibach)
La formule de Colebrook est actuellement considérée comme celle qui
traduit le mieux les phénomènes d'écoulement en régime turbulent.
Méthode de Colebrook ( formule universelle) :

Résultant des expériences de Nikuradzé (1933), la formule de Colebrook


est sans doute la plus connue et utilisé dans le monde, soit :

L'utilisation directe de cette formule demande, du fait de sa forme implicite, un


calcul par approximations successives ; on emploie aussi en pratique des
représentations graphiques (abaques).
Et donc pour simplifier la relation précédente, on peut chercher à savoir si
l'écoulement est hydrauliquement lisse ou rugueux pour évaluer la prédominance
des deux termes entre parenthèses dans la relation de Colebrook.
Remarque.
Il est fait appel à des formules empiriques plus simples valables pour des cas
particuliers et dans un certain domaine du nombre de Reynolds, par exemple :
Formule de Blasius (pour des tuyaux lisses et Re < 105) : l = 0,316 Re-0,25
Formule de Blasius (pour des tuyaux lisses et Re < 105) : l = 0,316 Re-0,25

Formule de Von Karman (pour des tuyaux lisses et Re > 105) :

2,51/Re√λ)

Formule de Nikuradsé (pour des tuyaux rugueux ) : l = 0,0587(K/D)0,1858

Formule de Nikuradsé (pour des tuyaux rugueux )


Exemple de coefficients de rugosité (canalisation)
Nature du matériau k (mm) Nature k (mm)

Acier neuf 0,05 Béton neuf (centrifugé) 0,04


revêtement plastique et lisse non 0,03 moules lisses 0,4
poreux 0,03 moules grossiers 2,0

Fonte neuve 0,5


revêtement bitume 0,12 Fibro-ciment neuf 0,06
revêtement ciment 0,07

Aluminium neuf 0,02 Grès vernissé 0,08

Cuivre et Plomb neuf 0, 01 Plastique 0,002

Laiton 0,003 Bois 0,3

Canalisations Contenant k (mm)


corrodables et/ou
dépôts possibles : Eaux filtrées, pratiquement à l'équilibre 0,50

Eaux brutes peu chargées, non chlorées 1,00

Eaux chargées ou corrosives, ou agressives


2,00
(ou incrustantes)
1.3.2 Ecoulements autour d’obstacles
1.3.2 Ecoulements autour d’obstacles

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