Churchill Reynaud

Points communs dans

le discours -Ils estiment également qu’après une période de forte prospérité,
l’économie américaine connaît une période de forte dépression illustrée par
la crise de 1929

-Selon eux, la crise touche tout le monde « tous furent frappés » Reynaud et
« la crise frappe tous les foyers modestes ou opulents »
=>Comme on le remarque sur le graphique, le taux de chômage a augmenté
d’un coup dans la majorité des pays à partir de 1929.

Comme Churchill l’avait rappelé « tout cela s’écroula d’un coup »,

Reynaud dit que les prix ont chuté : les prix sont passés de 100, indice base
100 en 1929 à environ 56, indice base 100 en 1929.
Donc cela laisse les pays agricoles et industriels ruinés car les travailleurs se
retrouvent avec des stocks invendus.

Différences dans le - Son discours est centré sur -Son discours explique que la crise a
discours Wall Street brisé la croissance économique aux
États-Unis pour finalement toucher le
-Les banques ont accordé trop de monde entier
prêts et se retrouvent alors en
déficit -Les cours se sont effondrés après les
Black Friday
-Plus autant de production
qu’avant -Fait référence aux crises cycliques :
situation qui était moins grave que la
-Plus de moyens d’échanges ou crise mais les prix avaient diminué de
de services entre les individus 15 %

- Il conclut sur le fait que les -« un pays où l’agriculture va mal, où le

foyers sont frappés par le krach
de Wall Street. En effet, la
plupart des foyers pensaient que
les entreprises étaient en bonne
santé car elles faisaient
augmenter le prix de leurs
actions et cachaient leur chiffre
d’affaire, ce qui les poussait à
acheter plus. Les foyers se sont
donc endettés auprès de banques
qui encourageaient la spéculation
et qui étaient incapables de les
rembourser.
textile va mal...est un pays qui peut
réserver des surprises » sous-entend que
la crise était inévitable car le système
économique n’est pas viable
-Il mentionne un autre sujet dont
Churchill n’a pas parlé : l’agriculture.
Les agriculteurs sont endettés auprès des
banques car ils ont décidé d’acheter pour
produire plus mais avec l’émergence de
la crise, ils ne pouvaient plus rembourser
leurs dettes et les prix de l’agriculture
ont donc chuté.