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MINISTERE DE L’INTERIEUR
PREFECTURE DES ARRONDISSEMENTS MOULAY RACHID
MARCHE N° ......................….
Marché passé par appel d’offres ouvert sur offres de prix en application
des dispositions de l’article 16 § 1 al. 2 et l’article 17 §1 et 3 al. 3 du décret
N° 2-12-349 du 8 Joumada 1er 1434 (20 Mars 2013) relatif aux marchés publics
Marché passé en vertu des dispositions de l’alinéa (al). 2, § 1 de l’article 16 et (§) 1de l’article
17et al. 3, § 3 de l’article 17du décret n° : 2-12-349 du 08 Joumada I 1434 (20 Mars 2013) relatif aux
marchés publics.
EN T R E
D’UNE PART
ET
Grands Travaux Bâtiments et routes représentée par Monsieur Houari Abdeslam, Gérant
Agissant au nom et pour le compte de la Société Grands Travaux Bâtiments et Routes
en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés.
Au capital de 7 200 000.00 DHS Patente N° 17817982
Registre de commerce de Meknès sous le N° 31749
Affilié à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale sous le N° 8699730
Faisant élection de domicile Rue 01 N°08 Lot Rizki Zitoune Meknès
Compte bancaire N° 127218212112589628000084
Ouvert au nom de la société à la banque populaire de Meknès agence d’Arfoud
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ARTICLE 1 : OBJET DU MARCHE :
Le présent marché a pour objet : Travaux de construction de l’Annexe Administrative Moulay
Rachid -lot unique- Sis à la Préfecture des Arrondissements Moulay Rachid.
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B - TEXTES SPÉCIAUX
ARTICLE 7 : NANTISSEMENT
Dans l'éventualité d'une affectation en nantissement, il sera fait application des dispositions de la
loi N° 112-13 relative au nantissement des marchés publics promulguée par le dahir n° 1-15-05 du 29
Rabii II (19 février2015), étant précisé que :
1- La liquidation des sommes dues par le maître d'ouvrage en exécution du marché sera opérée
par les soins du Monsieur le Gouverneur de la Préfecture des Arrondissements Moulay Rachid,
agissant au nom et pour le compte de l’Administration ;
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2-Au cours de l'exécution du marché, les documents cités à l'article 8 de la loi n°112-13 peuvent
être requis du maître d'ouvrage, par le titulaire du marché ou le bénéficiaire du nantissement ou de la
subrogation, et sont établis sous sa responsabilité.
3-Lesdits documents sont transmis directement à la partie bénéficiaire du nantissement avec
communication d'une copie au titulaire du marché, dans les conditions prévues par l'article 8 de la loi
N° 112-13.
4-Les paiements prévus au marché seront effectués par le trésorier préfectoral de Casablanca Nord
seul qualifié pour recevoir les significations des créanciers du titulaire du marché.
5-Le maître d'ouvrage remet au titulaire du marché une copie du marché portant la mention
« exemplaire unique » dûment signé et indiquant que ladite copie est délivrée en exemplaire unique
destiné à former titre pour le nantissement du marché.
Tout changement ultérieur dans la désignation du maître d’Œuvre, du bureau d’études, du bureau
de contrôle, du laboratoire ou dans l'étendue de leurs missions sera communiqué à
l'entrepreneur par ordre de service du maître d'ouvrage.
ARTICLE 11 : SOUS-TRAITANCE
Si l'entrepreneur envisage de sous-traiter une partie du marché, il doit notifier au maître
d'ouvrage :
➢ l'identité, la raison ou la dénomination sociale, et l'adresse des sous- traitants ;
➢ le dossier administratif des sous-traitants, ainsi que leurs références techniques et financières ;
➢ la nature des prestations et le montant des prestations qu'il envisage de sous-traiter ;
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➢ le pourcentage desdites prestations par rapport au montant du marché ; et une copie certifiée
conforme du contrat de sous-traitance.
Les sous-traitants doivent satisfaire aux conditions requises des concurrents conformément à
l'article 24 du décret du 20 mars 2013 relatif aux marchés publics.
La sous-traitance ne peut en aucun cas dépasser cinquante pour cent (50%) du montant du
marché ni porter sur le lot ou le corps d'état principal du marché (gros œuvre).
Les travaux énumérés ci-après ne peuvent faire l'objet de sous-traitance : les articles du gros
œuvre, étanchéité, électricité et plomberie.
Le titulaire du marché est tenu, lorsqu'il envisage de sous-traiter une partie du marché, de la
confier à des prestataires installés au Maroc et notamment à des petites et moyennes entreprises
conformément à l'article 158 de décret précité N° 2-12-349.
Le titulaire du marché demeure personnellement responsable de toutes les obligations résultant
du marché tant envers le maître d'ouvrage que vis-à-vis des ouvriers et des tiers. Le maître d'ouvrage
ne se reconnait aucun lien juridique avec les sous-traitants.
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Le cautionnement provisoire reste acquis au maître d'ouvrage notamment dans les cas cités à
l'article 18 du CCAGT.
Le cautionnement provisoire est restitué au titulaire du marché selon les dispositions de l'article
19, paragraphe 1 du CCAGT.
Le montant du cautionnement définitif est fixé à trois pour cent (3%) du montant initial du
marché.
Si l'entrepreneur ne réalise pas le cautionnement définitif dans un délai de vingt(20) jours qui suivent
la notification de l'approbation du présent marché, le montant du cautionnement provisoire fixé ci-
dessus reste acquis au maître d'ouvrage.
Le cautionnement définitif peut être saisi éventuellement conformément aux dispositions de
l'article 18, paragraphe 2 du CCAGT.
Le cautionnement définitif sera restitué, sauf les cas d'application de l'article 79 du CCAGT , ou
la caution qui le remplace est libérée à la suite d'une mainlevée délivrée par le maître d'ouvrage dès la
signature du procès- verbal de la réception définitive des travaux, s'il a rempli toutes ses obligations
vis-à-vis du maître d'ouvrage conformément aux dispositions de l'article 19, paragraphe 2 du CCAGT
.
ARTICLE 19 : APPROVISIONNEMENTS
Le présent marché ne prévoit pas d’acompte sur approvisionnements de matériaux et matières
premières destinés à entrer dans la composition des travaux objet du marché.
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ARTICLE 20 : RELATION ENTRE DIVERS ENTREPRENEURS SUR LE MEME CHANTIER
Conformément à l'article 32 du CCAGT, l'entrepreneur veillera au bon ordre du chantier, assurera
la coordination des travaux et la sécurité des travailleurs ainsi que les mesures à caractère commun.
Chaque entrepreneur doit suivre l'ensemble des travaux, s'entendre avec les autres entrepreneurs
sur ce que les travaux ont de commun, reconnaître par avance tout ce qui intéresse les réalisations,
fournir les indications nécessaires à ses propres travaux, s'assurer qu'elles sont suivies et, en cas de
contestation, en référer au maître d'ouvrage.
Un planning général, portant sur l'ensemble de ces travaux, est établi à cet effet par le maître
d'ouvrage et l'ensemble des entrepreneurs.
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conformément aux règles de l'art. A défaut, la réception ne sera pas prononcée, et le délai d'exécution
ne sera pas prorogé pour autant.
Le montant de chaque décompte est réglé à l'entrepreneur après réception par le maître d'ouvrage
de tous les métrés, situations et pièces justificatives nécessaires à sa vérification.
Seules sont réglées les prestations prescrites par le présent cahier des prescriptions spéciales ou par
ordre de service notifié par le maître d'ouvrage.
Sur ordre du maître d'ouvrage, les sommes dues à l'entrepreneur seront versées au compte bancaire
N° (RIB sur 24 chiffres)………………………………………………………..ouvert auprès
de……………(la banque, Barid banque ou la trésorerie générale du Royaume).
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Lorsque le plafond des pénalités est atteint, l’autorité compétente est en droit de résilier le marché
après mise en demeure préalable et sans préjudice de l'application des mesures coercitives prévues par
l'article 79 du CCAG-Travaux.
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1- : AMENDES POUR RETARD
Le respect de la date contractuelle de fin de travaux est subordonné au respect du planning
détaillé des travaux établit par la Maîtrise d'œuvre en collaboration avec les entreprises.
Lorsqu'en cours d'opération, il sera constaté par rapport à ce planning, un retard dans l'exécution
d'une ou plusieurs tâches entraînant un retard dans l'exécution des travaux, il sera appliqué en fin de
mois une pénalité provisoire de cinq (5‰) pour mille du montant des travaux par jour calendaire.
Le mois suivant, cette pénalité sera supprimé, diminuée, augmentée ou maintenue suivant
l'évolution du nombre de jours de retard imputables à l'entreprise.
A cet effet la maîtrise de chantier établira chaque mois un tableau d'avancement accompagné
éventuellement de proposition de pénalités ou de remboursement des retenues déjà effectuées à
ce titre.
Au cas ou les travaux ne seraient pas terminés dans les délais fixés et sans mise en demeure
préalable, sur simple confrontation de la date d'expiration du délai contractuel d’exécution et
de la date de réception provisoire, le montant des amendes sera ajouté aux pénalités visées ci-dessus.
Le respect de la date contractuelle de réception provisoire entraîne automatiquement le remboursement
des amendes correspondantes.
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En cas de non fourniture du dossier de recollement, il sera appliqué à l'entreprise une pénalité de
un pour cent (1%) du montant du marché initiale éventuellement majoré par les montants
correspondants aux travaux supplémentaires et à l’augmentation dans la masse des travaux.
Ces amendes seront appliquées sur simple constatation du dépassement de la date prévue aux
plannings ou fixées par inscription au procès-verbal des réunions de chantier.
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ARTICLE 35 : REGLEMENT DES DIFFERENDS ET LITIGES.
Si, en cours d'exécution du marché, des difficultés, différends ou litiges surviennent avec le maître
d'ouvrage et L’entrepreneur, ceux-ci s'engagent à les régler dans le cadre des stipulations des articles
81, 82,83 et 84 du CCAGT.
Lorsque ces litiges ne sont pas réglés conformément aux dispositions du premier alinéa du présent
article, ils sont soumis aux tribunaux compétents.
L’entrepreneur devra fournir dans les dix (10) jours qui suivront la notification de
l’approbation du marché, la justification par des éléments vérifiables, du potentiel industriel de
l’entreprise et de la possibilité d’exécution des travaux dans les délais impartis.
Ce document devra faire apparaître les moyens en personnel, matériel et locaux dont dispose
l’entreprise, ainsi que les possibilités d’approvisionnement et de stockage et les moyens financiers.
L'Entrepreneur devra également remettre dans le délai précité, les documents suivants :
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DESIGNATION DES ARTICLE DE
DELAIS
DOCUMENTS REFERENCE
07 jours calendaires à dater du
Installation et organisation lendemain du jour de la notification de 48
du chantier l’ordre de service de commencer les
travaux
07 jours calendaires à dater du
Désignation du responsable
lendemain du jour de la notification de 47
du chantier
l’approbation du marché
07 jours calendaires à dater du
Planning lendemain du jour de la notification de 13
l’approbation du marché
07 jours calendaires avant la réception
Plans de recollement 52
provisoire des travaux
Mémoire technique
07 jours calendaires à dater du
comprenant notamment le
lendemain du jour de la notification de 64
planning contractuel des
l’approbation du marché
taches et travaux
07 jours calendaires à dater du
lendemain du jour de la notification de
Agrément du matériel 49
l’ordre de service de commencer les
travaux
07 jours calendaires à dater du
Attestations d’assurance lendemain du jour de la notification de 18
l’approbation du marché
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à l’Administration la liste des personnes qui pourraient agir en son nom et pour son compte avec
leurs fonctions et références et qui assisteront à sa place à ces réunions.
Dans tous les cas, la présence aux réunions d’un responsable habilité à prendre des décisions
et les faire appliquer par son entreprise est indispensable, de manière qu’aucune opération ne pourrait
être retardée ou arrêtée par manque de pouvoir de décision. L’entrepreneur est tenu de fournir à
l’Administration et à sa demande tous les renseignements intéressants l’exécution et l’avancement des
travaux.
ARTICLE 43 : MODIFICATIONS
L’Administration se réserve le droit de modifier à tout moment, telle ou telle partie d’ouvrage
qu’elle jugera nécessaire pour une meilleure réalisation du projet. Il est précisé que seuls seront
considérés comme travaux modifiés et par suite réglés ou retenus à l’entrepreneur, les travaux dus à
des changements ordonnés par ordre de service de l’Administration.
Ces modifications doivent s’inscrire dans les limites fixées par les articles 55, 57,58 et 59 du
C.C.A.G.T.
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➢ Les dépenses se rapportant aux différents branchements provisoires pendant toutes la durée du
chantier.
Toutes les charges liées à la bonne exécution des travaux selon les règles de la profession
ARTICLE 46 : ECHANTILLONNAGE
L’entrepreneur devra soumettre à l’agrément du Maîtrise d’œuvre, un échantillon de chaque
espèce de matériau ou de la fourniture qu’il se propose d’employer. Il ne pourra le mettre en œuvre
qu’après acceptation donnée par ordre délivré par ce dernier.
L’entrepreneur devra présenter à toute réquisition les certificats et attestations prouvant
l’origine et la qualité des matériaux proposés.
Les matériaux destinés à l’exécution des travaux ne seront d’origine étrangère qu’en cas
d’impossibilité de se procurer des matériaux similaires de fabrication Marocaine.
Dans un délai de sept (7) jours à dater du lendemain du jour de la notification de l’ordre de service lui prescrivant
de commencer les travaux, l’entrepreneur doit indiquer la carrière de provenance du sable et l’estimation de la quantité à
extraire ou à produire. La carrière de provenance doit être autorisée selon la réglementation en vigueur.
1-Organisation du chantier
L'Entrepreneur assure l'organisation du chantier sur les instructions de la Maîtrise d'Œuvre et
Maître d’Ouvrage pour permettre à tout moment le déroulement des travaux dans les meilleures
conditions et dans les délais contractuels prévus.
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L'Entrepreneur doit mettre en place son propre personnel de contrôle de l'exécution et fournir à
la Maîtrise d'œuvre et Maître d’Ouvrage, tous renseignements nécessaires sur l'organisation et les
dispositifs de contrôle.
L'Entrepreneur fait son affaire auprès des services compétents de toutes démarches, autorisations et
règlement de frais de branchement au réseau de voirie ou autres sujétions ayant trait au chantier, il fait
établir notamment les branchements et de voirie canalisations pour la distribution de l'eau, de
l'électricité et du téléphone correspondant aux besoins de chantier.
L'Entrepreneur assure l'établissement et l'entretien des voies provisoires nécessaires à
l'approvisionnement du chantier, ainsi que la construction des installations de chantier et l'entretien de
toutes installations telles que hangars et magasins nécessaires pour une conservation de ces matériaux,
matériels et fournitures. Il règle tous les frais y afférents.
Il est interdit à l'Entrepreneur et à ses sous-traitants d'utiliser les locaux des bâtiments en cours
de construction pour leurs propres besoins tels que dépôts, magasins, bureaux, dortoirs.
L'attention de l’entrepreneur est attirée qu'il est formellement interdit de loger les ouvriers sur le
site du projet. L’entrepreneur devra construire des baraques de chantier en un endroit désigné par
l’administration.
L'Entrepreneur doit porter, sans délai, à la connaissance de la Maîtrise d'Œuvre et Maître
d’Ouvrage tout fait ou constatation de nature à engendrer des difficultés de raccordement des bâtiments
aux réseaux enterrés et à la voirie, même lorsque ceux-ci ne doivent pas être réalisés par ses soins.
2-Installation de chantier
Dès la réception de l'ordre de service prescrivant l'ouverture du chantier, l’entrepreneur remet
pour acceptation par la maîtrise d’œuvre, et le Maître d’Ouvrage un plan d’installation de chantier et
procèdera à l'installation de son chantier.
L'entrepreneur fait ses démarches auprès des régies et autorités locales pour toutes autorisations
ainsi que l’autorisation de l'occupation du domaine public.
Il obtient les autorisations d'utilisation du domaine public et règle les frais qui sont à sa charge.
L'Entrepreneur fait son affaire des réclamations de toute nature qui pourraient être présentées par les
Administrations ou collectivités publiques pour usage des voies ou des réseaux publics. Il en est de
même des travaux de nettoyage périodiques qui seraient exigés au même titre, le tout de manière que
le Maître d’Ouvrage ne puisse être recherché à ce sujet. L'Entrepreneur s'engage en tant que besoin à
garantir celui-ci de toute responsabilité à cette occasion.
L’entreprise doit assurer, à sa charge, les prestations, énumérées ci-après :
➢ L’amenée et fourniture de l'eau pour les travaux, l'eau potable pour les ouvriers et l'énergie
électrique nécessaire pour l'exécution des travaux quels que soient les frais à ce sujet (frais de
permission d'installation, de transport, d'acquisition).
➢ Les dispositions légales et réglementaires relatives à l'hygiène et la sécurité dans la mesure où ces
dispositions intéressant plusieurs entreprises.
La clôture du chantier : palissade en bardage Nervescode2.00 mètres de hauteur l'éclairage, le
nettoyage, l'entretien et le gardiennage général du chantier.
➢ Un panneau d’indication de chantier exécutée conformément au modèle établi par l’Architecte,
sera installé suivant les instructions de ce dernier ;
➢ Salle de réunion (5,00 m x 3,00m), équipée de chaises en nombre suffisant, tables et panneaux
d'affichage des plans et plannings, éclairage, téléphone, imprimante A3 couleur et un ordinateur
portable core i7, 15.6 pouces au choix du MO ;
➢ Sanitaires ;
➢ La fourniture des jeux de photos couleurs, format 18 x 24 cm du chantier, soit en cours d'exécution
6 photos prises au moins mensuellement aux emplacements définis par le Maître de l'Ouvrage, et
la Maîtrise d’œuvre, en trois exemplaires ;
➢ Un cahier de chantier en trifold ;
➢ L’entretien des voies d'accès et des voiries intérieures provisoires du chantier ;
➢ Le gardiennage du chantier ;
➢ Les frais d’enlèvement en fin de travaux de tous les matériels et matériaux ainsi que la remise en
état des lieux ;
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➢ Les frais de signalisation d’accès au chantier ;
➢ Les frais d’enlèvement en fin de travaux de tous les matériels et matériaux ainsi que la remise en
état des lieux ;
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ARTICLE 49 : AGREMENT DU MATERIEL
Dans un délai de sept (7) jours calendaires à dater du lendemain de l’ordre de service de
commencer les travaux, l’entrepreneur devra faire agréer, par l’administration, les dispositions
détaillées qu’il compte adopter et le matériel qu’il compte utiliser. L’administration pourra exiger que
soient modifiées ou complétées les dispositions envisagées si celles-ci paraissent insuffisantes, et si à
l’expérience, elles ne donnent pas satisfaction, en particulier, si l’usure du matériel est la cause d’une
qualité ou d’une cadence insuffisante dans l’exécution des travaux.
Après approbation des dispositions définitives, et après le choix définitif du matériel proposé,
l’entrepreneur aura à passer commande ferme de tous matériels, quelque qu’en soit l’origine. Il est
spécifié que l’agrément du matériel par l’administration ne diminue en rien la responsabilité de
l’entrepreneur, quant au respect des délais et aux conséquences dommageables que son utilisation
pourrait avoir à l’usage par des tiers.
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ARTICLE 53 : NETTOYAGE DU CHANTIER
L’entrepreneur devra assurer à sa charge et de façon régulière la propreté du chantier et veiller
à l’évacuation quotidienne des gravats ou débris relevant de la nature même de ses prestations.
Au fur et à mesure de l’avancement des travaux, l’entrepreneur doit procéder à ses frais au dégagement,
nettoiement et à la remise en état des emplacements mis à sa disposition par le maître d’ouvrage pour l’exécution
des travaux.
Le délai fixé pour le dégagement, le nettoiement et la remise en état des emplacements mis à la
disposition de l’Entrepreneur est fixé à 15 (quinze) jours du calendrier grégorien . En outre, une pénalité spéciale
de 1500,00 DH (mille cinq cent dirhams) par jour de calendrier sera appliquée, en cas de retard, à compter de
la date d’expiration du délai de 15 jours indiqué ci-dessus. Cette pénalité sera retenue d’office par le Maître
d’ouvrage sur les sommes qui seraient encore dues à l’entrepreneur.
A défaut d’exécution de tout ou partie de ces opérations dans les conditions prescrites, les matériels,
installations, matériaux des décombres et déchets non enlevés peuvent, après mise en demeure par le maître
d’ouvrage et à l’expiration d’un délai de quinze jours (15 jours) après cette mise en demeure, être transportés
d’office, suivant leur nature, soit en dépôt, soit à la décharge publique, aux frais et risques de l’entrepreneur.
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ARTICLE 60 : GARANTIE DÉCENNALE
A cet effet et avant le commencement des travaux, l’entrepreneur est tenu de présenter au maître
d’ouvrage l’engagement auprès d’une compagnie d’assurance et de réassurance de lui délivrer ladite
assurance.
La période de validité de cette assurance court depuis la date de la réception définitive jusqu’à
la fin de la dixième année qui suit cette réception.
En cas de changement dans la masse des travaux ou les différentes natures d’ouvrage, l’entrepreneur
doit se référer aux articles du C.C.A.G.T.
ARTICLE 63 : AUDIT
L’Entrepreneur remettra au Maître d’ouvrage, dans un délai de sept jours (07 jours) après la
date de notification de l’approbation du marché, un mémoire technique détaillé en trois exemplaires
pour l’ensemble des travaux du présent marché. Ce mémoire technique décrira le mode de réalisation
des ouvrages et les moyens qu’il compte utiliser, et sera accompagné de renseignements d’ordre
général, ainsi que du planning détaillé des essais de convenance, ou des autres essais requis.
Pendant toute la durée du chantier, l’entrepreneur est tenu de prendre, sous sa responsabilité et à ses frais,
dans le cadre des mesures générales qui peuvent être applicables en vertu des textes légaux ou réglementaires
ou prescrits pour le chantier en cause par les autorités désignées par le Maître d’ouvrage et en tenant compte
des sujétions normales d’exploitation du Maître d’ouvrage ou de celles qui sont fixées dans le C.P.S.
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1 – Toutes les mesures particulières de sécurité qui sont nécessaires en égard à la nature de ses propres
travaux et des matières qu’il emploie et aux dangers que celle-ci comporte, notamment en ce qui concerne les
dangers provenant de l’utilisation des matières dangereuses tels que : explosifs, carburants, les risques
d’incendie, les dangers d’origine électrique.
2 – Toutes les mesures communes de sécurité concernant l’hygiène, la prévention des accidents, la
médecine du travail, les premiers secours ou soins aux accidentés et maladies, ainsi que la protection contre
l’incendie, les dangers d’origine électrique pouvant être rendus nécessaire par la présence simultanée à
proximité de son chantier d’autres entrepreneurs se trouvant sur le site du chantier au moment où l’entrepreneur
doit commencer ses travaux ou s’y installer pendant l’exécution de ceux-ci.
En conséquence, il appartient à l’entrepreneur de donner à son personnel les instructions nécessaires et
de lui prescrire les consignes à observer concernant la prévention des accidents et dangers qui sont prévus par
les textes réglementaires.
En particulier l’entrepreneur est tenu d’établir des voies des circulations suffisantes et d’assurer d’une
manière permanente l’entretien des pistes ainsi que leur arrosage afin de prévenir les poussières. Par ailleurs, il
doit notamment, pour les chantiers en élévation, établir des accès provisoires commodes et sûrs (échelle,
passerelles de circulation etc..
Dans le cadre de la sécurité et au titre de la prévention des accidents l’entrepreneur doit prendre notamment
toutes les mesures efficaces et utiles concernant la circulation et le stationnement sur l’ensemble du chantier,
les dispositions individuelles (casques, gants, bottes, lunettes….) le secourisme, l’hygiène et la propreté, etc.
En ce qui concerne les mesures particulières de sécurité contre l’incendie et les dangers d’origine
électrique, l’entrepreneur est tenu :
* De prévenir à ses frais, les moyens nécessaires en matériel et en personnel pour la protection
contre l’incendie des chantiers et cantonnements.
* De donner les instructions nécessaires à son personnel pour la prévention des incendies et
risques d’origine électrique.
* D’adopter les dispositions constructives de façon à éviter tous risques d’incendie (matériaux
combustibles, conduits d’appel d’air, etc.) Tant pour les constructions provisoires reconnues nécessaires tels
qu’ateliers mobiles, abris de montage, vestiaires, bureaux, magasins, que pour les bâtiments définitifs abritant
les installations intérieures.
En cas de carence de l’entrepreneur, le Maître d’ouvrage prendra aux frais de l’entrepreneur les mesures
nécessaires, après mise en demeure de celui-ci restée sans effet.
En cas d’urgence ou de danger, ces mesures peuvent être prises sans mise en demeure.
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CHAPITRE II
PRESCRIPTIONS TECHNIQUES
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CHAPITRE II - CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
1 - GROS ŒUVRES
GENERALITES
Les travaux à réaliser pour le présent projet comprennent :
➢ Démolition du bâtiment existant
➢ Les terrassements généraux.
➢ Le béton armé en fondation.
➢ Les dallages et réseaux enterrés.
➢ Le béton armé en élévation.
➢ Les cloisonnements et les enduits.
➢ Les ouvrages et travaux divers.
ARTICLE 3 : IMPLANTATION
L'implantation sera effectuée obligatoirement, sous la responsabilité et à la charge de l'Entrepreneur,
par un géomètre dont l'agrément sera demandé par la Maîtrise d'Œuvre. Le Géomètre de l'entreprise
portera sur le plan de masse que lui remettra la Maîtrise d'Œuvre toutes les indications et côtes
nécessaires à la réalisation des travaux. La Maîtrise d'Œuvre vérifiera toutes les indications et côtes
portées sur ce plan.
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(installations, stockages, hébergements) ainsi que le matériel qu’il compte utiliser pour atteindre les
objectifs fixés par le planning de réalisation.
Il est spécifié que l’agrément du matériel par la Maîtrise d’œuvre technique ne diminue en
rien la responsabilité de l’entrepreneur quant au respect des délais et aux conséquences
dommageables que son utilisation pourrait avoir à l’égard des tiers.
En cours de travaux, la Maîtrise d’œuvre technique pourra exiger que soient modifiées ou
complétées les dispositions agréées initialement si celles-ci paraissent insuffisantes et si, à
l’expérience, elles ne donnent pas satisfaction à cause d’une qualité ou d’une cadence insuffisante
dans l’exécution des travaux.
ARTICLE 7 : REMBLAIEMENTS
Tous les remblais à réaliser seront, sauf spécifications contraires expresses ci-après, à exécuter
avec des terres en provenance des fouilles. Dans le cas où la nature des terres provenant des fouilles
ne permettrait pas l’exécution des remblais dans les conditions fixées par le DTU, il appartiendra à
l'Entrepreneur d’amener des matériaux de remblais conformes.
Les remblais seront exécutés par couches successives de 0,20 ou 0,30 m maximum, selon le cas.
La densité sèche après compactage sera au moins égale à 95 % de la densité sèche pour chaque
couche.
Préalablement à l’exécution de tous remblais, l’emprise devant être remblayée devra être
soigneusement nettoyée et débarrassée de tous gravois, déchets, matières végétales.
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Les transports des déblais pourront se faire par tous moyens, sous réserve du respect des
dispositions de l’article 4 du DTU 12.
Les déblais devant être évacués hors du chantier seront transportés par l’Entrepreneur à la
décharge à toute distance, et il fera son affaire des autorisations, droits éventuels,
Les déblais devant être utilisés ultérieurement en remblais seront mis en dépôt dans l’enceinte du
chantier.
Avant la mise en dépôt, ces déblais devront être purgés de tous débris végétaux et autres
matériaux inaptes au remblai. En cas d’éléments rocheux, ils devront être concassés afin que la
dimension maximale des plus gros éléments soit inférieure à 0,15 m dans leur plus grande
dimension.
DESIGNATION
PROVENANCE
DES MATERIAUX
Par le fait même du dépôt de son offre, l'Entrepreneur sera réputé connaître les ressources des
carrières, dépôts ou usines indiqués ci-dessus, ainsi que leurs conditions d’accès et d'exploitation.
Il est précisé que ces matériaux doivent être de bonne qualité, et que si ceux de la région proche du
chantier ne le sont pas, il sera exigé de l'Entrepreneur de se les procurer ailleurs.
Aucune réclamation ne sera recevable concernant le prix de revient à pied d'œuvre de ces matériaux.
L'Entrepreneur devra prendre toutes les dispositions utiles pour avoir sur le chantier la
quantité de matériaux vérifiés et acceptés indispensable à la bonne marche des travaux, et dont
l'échantillonnage aura été agréé par la Maîtrise d'Œuvre.
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La demande de réception d'un matériau autre que les matériaux préfabriqués devra être faite au
moins 4 jours avant son emploi ; pour les matériaux préfabriqués, ce délai sera d'un mois à pied
d'œuvre.
ARTICLE 12 : MATERIAUX
12.1- TRADITIONNELS
Tous les matériaux utilisés devront répondre aux normes en vigueur et être de bonne qualité,
ils doivent être soumis, préalablement aux essais d'agrément du Laboratoire dans les 15 jours qui
suivent l'ordre de service de commencer les travaux.
*SABLES ET AGREGATS
Les sables et les agrégats employés devront être conformes aux normes prescrites par le D.G.A.
Toutefois, dès l'ouverture du chantier, l'Entrepreneur devra soumettre à la Maîtrise d'Œuvre, les
essais de granulométrie, des agrégats et sables qu'il se propose d'employer, effectués par un
Laboratoire à la charge de l'Entrepreneur.
Pour les sables, le pourcentage en éléments de diamètre inférieur à 0.08 mm sera au maximum
de 4%.
Pour les agrégats, il sera possible d'utiliser soit des agrégats roulés, soit des agrégats
concassés ; ils devront en tous cas présenter un bon rapport de formes.
La constance des caractéristiques granulométriques des sables et agrégats approvisionnés est
exigés.
Le stockage des sables et agrégats s'effectuera sur une aire bétonnée parfaitement propre prévue
à cet effet.
*LIANTS
Les ciments seront livrés soit en sacs, soit en vrac. Toutefois, les ciments de classes
différentes de celles du ciment utilisé pour la confection du béton armé courant seront livrés
obligatoirement en sacs si l'Entrepreneur ne dispose pas d'un silo spécialement affecté à leur
stockage.
Pour tous les ouvrages, le ciment utilisé sera le CPJ 45 il doit être conforme aux NM 10.1.004.
*AGGLOMERES
Les éléments en agglomérés de béton prévus au marché, seront des éléments creux de bon
calibrage, et proviendront obligatoirement d'une usine agréée par l’Etat.
Il ne sera pas toléré de fabrication artisanale sur le chantier, mais une confection industrielle
sur le chantier peut être éventuellement acceptée après accord de la Maîtrise d'Œuvre sur les moyens
utilisés. Les blocs en agglomérés de béton seront soumis à des essais pour agrément, conformément
aux normes en vigueur.
*ELEMENTS EN CERAMIQUE
Les éléments en terre cuite prévus au marché seront des éléments creux de bon calibrage et
proviendront obligatoirement d'une usine agréée par la Maîtrise d'Œuvre. Ils doivent être conformes
aux normes en vigueur (NM ISO 13 006).
*ACIERS
Les aciers employés devront répondre aux normes en vigueur (NM 01 4 097), et être soumis à
des essais pour agrément.
L'Entrepreneur présentera un certificat d'origine de l'usine garantissant les caractéristiques des
aciers utilisés.
Aciers haute adhérence Fe E 500
Des essais de traction et de pliage à froid pourront être exigés. Les armatures devront être
exemptes de pailles, criques, stries, gerçures et soufflures ; elles devront être parfaitement propres
sans aucune trace de rouille adhérente, de peinture ou de graisse.
Page 30
12.2- MATERIAUX NON TRADITIONNELS
Les bétons doivent satisfaire à la norme N.M. 10.1.008. Ils sont donnés par classe comme
indiqué dans le tableau ci après.
L’Entrepreneur est tenu de faire réaliser à ses frais une étude de formulation par un laboratoire agréé.
La composition du béton doit être également étudiée en fonction de la classe d’exposition au sens de
la norme et de la qualité des parements à obtenir.
a- Le tableau suivant donne les classes à utiliser en fonction de la destination des bétons.
Classe de résistance à la
Cas courants d’utilisation
compression
B10 Bétons de propreté
COUCHE DE
DRESSAGE ENDUIT
MORTIER N°2 550 - 660 340 CIMENT - MORTIER
D’HOURDAGE
MAÇONNERIE
COUCHE DE
MORTIER N°3 250 200 660 340 DRESSAGE DU
MORTIER BATARD
COUCHE DE FINITION
MORTIER N°4 250 150 1000 -
MORTIER BATARD
COUCHE DE FINITION
MORTIER N°5 400 - 1000 - DU MORTIER CIMENT
LISSE
MORTIER DE REPRISE
MORTIER N°6 500 - 500 500 DE BETONNAGE
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CHAPE DE
MORTIER N°7 550 - 1000 - SCELLEMENT
550+ 5 KG MORTIER
MORTIER N°8 - 1000 -
DE SIKALITE HYDROFUGE
Conformément à la norme Marocaine, NM.10.01.F. 008. homologuée par arrêté n 1137-85 du 21 Safar 1406
(05/11/85) circulaire n 3/124/4126/DNRT du 06/02/89 relative au usage des ciments portland (C.P.J), le
dosage à titre indicatif des différents types de bétons est donné au Tableau suivant:
RESISTANCE
CLASSE DU BETON CLASSE DU CARACTERISTIQUE
DESIGNATION COURANTE DU BETON CIMENT SUR CYLINDREF CK
(MPA)
CLASSE B30
CPJ45
bétons de résistance mécanique élevée (éléments en béton
DOSAGE 400 KG 30
armé fortement sollicités & éléments en béton
PAR M3
précontraint.
CLASSE B25 CPJ45
bétons de résistance mécanique assez élevée (éléments des DOSAGE 350 KG 25
ouvrages en béton armé normalement sollicités). PAR M3
CLASSE B20 CPJ45
bétons de résistance mécanique moyenne (éléments des DOSAGE 300 KG 20
ouvrages en béton armé faiblement sollicités). PAR M3
CLASSE B15
CPJ35
bétons de résistance mécanique peu élevée (éléments peu
DOSAGE 300 KG 15
armés de petites dimensions, dallages et éléments
PAR M3
sollicités en compression)
CLASSE B10
CPJ35
bétons de résistance mécanique faible (éléments non
DOSAGE 250 KG 10
armés, peu sollicités, béton coulé en grande masse, gros
PAR M3
massif de fondations et béton de remplissage)
ARTICLE 14 : COFFRAGE
Les coffrages seront exécutés conformément aux plans armés.
Page 32
Les coffrages devront être suffisamment rigides pour que sous l'effet de la poussée du béton frais lors
de la vibration, ils ne prennent pas de "ventre" qui nuirait à l’aspect.
Les joints entre panneaux devront être suffisamment étanches pour ne pas laisser échapper de
laitance de ciment.
L’entreprise proposera à l’agrément du BET les systèmes de coffrages qu’elle comporte
utiliser dans le cadre des prescriptions techniques actuellement en vigueur.
L'Entrepreneur devra utiliser un produit de décoffrage à faire agréer par la Maîtrise d'Œuvre.
Il devra également vérifier qu'il n'y a pas de contre-indication d'emploi du produit utilisé en égard à
la nature du revêtement.
L'emploi du fuel est interdit.
ARTICLE 15 : CLASSSIFICATION ET DOSAGE DES MORTIERS
Tous les enduits devront être conformes aux prescriptions du DTU 26.1 "Travaux d'enduits aux
mortiers de liants hydrauliques".
➢ MORTIER N° 1 - MORTIER POUR HOURDAGE : MURS ET CLOISONS
- Sable 0,1/3,15 : 1.000 litres
- Ciment CPJ 35 : 350 Kg
➢ MORTIER N° 2 - MORTIER BATARD - CORPS D'ENDUITS
- Sable 0,1/3,15 : 1.000 litres
- Ciment CPJ 35 : 300 Kg
- Chaux grasse : 150 Kg
➢ MORTIER N° 3 - ENDUIT DE FINITION
- Sable 0,1/3,15 : 1.000 litres
- Ciment CPJ 35 : 200 Kg
- Chaux grasse : 150 Kg
➢ MORTIER N° 4 - GOBETIS - GLACIS D'APPUIS - ENDUITS GRAS LISSES
- Sable 0,1/3,15 : 1.000 litres
- Ciment CPJ 45 : 500 Kg
➢ MORTIER N° 5 - ENDUIT HYDROFUGE
- Sable 0,1/3,15 : 1.000 litres
- Ciment CPJ 45 : 400 Kg
- Hydrofuge : Suivant dosage prescrit par le fabricant.
ARTICLE 16 : ESSAIS
Chaque type de béton proposé fera l'objet d'essais par le Laboratoire et aux frais de
l'Entrepreneur.
Les résultats de ces essais seront consignés dans des procès-verbaux qui comporteront les
renseignements suivants :
*Nature des granulats et carrière d'origine.
*Granulométrie – granulat.
*Coefficient DEVAL des pierres à partir desquelles sera fabriqué le granulat.
*Caractéristiques du ciment et usine d'origine.
*Résultats d'analyse de l'eau dont l'emploi est prévu.
*Composition du béton (granulat, ciment, sable).
*Nature, marque et dosage des adjuvants éventuellement proposés avec copies obligatoires de
l'agrément C.S.T.B.
*Résultats des essais à la compression et à la traction à 7 et 28 jours sur 18 éprouvettes au
total.
*Résultats des 3 essais dits "Slump Test" de référence exécutée sur le béton ayant servi à
constituer les éprouvettes.
*Temps de malaxage préconisé pour le béton proposé.
Il sera également joint des échantillons de granulats proposés. Leur grosseur et leur nature
devront tenir compte de l'aspect du parement fini obtenu après coffrage.
Enfin l'Entrepreneur devra fournir d'une façon détaillée pour chaque partie d'ouvrage, le type de
béton qu'il propose d'employer.
Page 33
ARTICLE 17 : CONTROLE
Au cours du chantier, l'Entrepreneur sera tenu d'utiliser des matériaux ayant les mêmes
qualités et les mêmes dosages. Au cas, où pour des raisons diverses, l'Entrepreneur sera amené à
modifier l'origine de ses matériaux, il serait tenu d'effectuer une nouvelle série d'essais identiques à
ceux décrits précédemment pour justifier les caractéristiques des nouveaux types de bétons proposés.
L'Entrepreneur devra toujours pouvoir fournir la preuve de l'origine des matériaux
approvisionnés, et de leur qualité.
Des essais de résistance seront exécutés en cours de chantier pour chaque type de béton, et
tous les 50m3 mis en œuvre.
Ces essais, conduits suivant les normes en vigueur et sous la vérification du Laboratoire,
porteront sur la détermination des résistances à la compression sur cylindres à 7 et 28 jours sur 9
éprouvettes au sol par essai.
Dans le cas ou les résultats ne correspondraient pas, l’entrepreneur devra prendre toutes
dispositions pour l’amélioration des moyens mis en œuvre pour la confection des bétons.
Au cas où les résultats des essais de contrôle ne seraient pas ceux indiqués, les travaux de
bétonnage devront être immédiatement arrêtés et une nouvelles série d’essais sue d’autres prélèvement
devra être fait, les travaux ne pourront recommencer qu’après obtention de résultat correct à 7 jours.
Les prélèvements seront exécutés inopinément par le laboratoire et à la demande de la
Maîtrise d'Œuvre dans la limite de fréquence fixée plus haut, qui est bien entendu une fréquence
moyenne qui peut être soit augmentée, soit diminuée.
La fourniture des moules pour éprouvettes, les essais, les transports, les frais du Laboratoire
seront à la charge de l'Entrepreneur.
Au cas où les caractéristiques résultant des essais de contrôle seraient inférieures aux
caractéristiques exigibles, les mesures imposées pourront aller jusqu'à la destruction et la
reconstruction de ces ouvrages.
Cependant il pourrait être exigé que des essais de contrôle en place non destructifs soient
exécutés aux frais de l'Entrepreneur.
Dans ce cas, et si les essais confirment la mauvaise qualité des ouvrages, l'Entrepreneur
pourra proposer des mesures propres à remédier à la situation. Le Maître d'Ouvrage restera
cependant seul juge et sa décision finale sera sans appel.
Les frais de tous les essais sont à la charge de l'Entrepreneur.
Page 34
Le béton doit être mélangé conformément aux prescriptions de l'article 8.2 de la Norme
Marocaine N.M.10.03 F.009.
Le mélange doit être continu jusqu'à ce que la répartition des matériaux dans la cuve du
malaxeur ait une consistance uniforme et que la masse ait une couleur homogène.
Le temps de mélange pour chaque gâchée ne sera pas inférieur à la période minimale recommandée
par le fabricant.
Le volume des matériaux mélangés dans chaque gâchée ne doit pas excéder la capacité de la
bétonnière.
Chaque gâchée de béton doit être vidée complètement avant que le tambour du mélangeur
soit rechargé pour une nouvelle gâchée.
A chaque arrêt de travail, le tambour du mélangeur sera parfaitement nettoyé.
Le béton doit être transporté aussi vite que possible des lieux de fabrication à celui de coulage
sans ségrégation ou perte d'aucun élément tel que la laitance du ciment.
Tous les équipements utilisés pour le transport du béton devront être propres et nettoyés à chaque
arrêt de travail. Toutes additions d'eau supplémentaire dans le béton avant la mise en place est
formellement interdite.
Le béton doit être mis en place le plus rapidement possible après le mélange sans dépasser un
délai de 30 minutes. Il sera vibré ou pervibré selon le cas.
Au moment du coulage, une personne devra veiller continuellement à ce que les armatures et
les cales ne soient pas déplacées, et elle devra corriger et ajuster chaque armature qui viendrait à être
déplacée. Aucune eau ne doit être ajoutée au mélange après que le béton soit sorti de la bétonnière.
Avant toute opération de bétonnage un procès-verbal de réception des armatures sera établi par la
Maîtrise d'Œuvre.
L'Entrepreneur établira un relevé journalier des températures minimales et maximales qu'il
consignera dans un cahier réservé à cet effet et conservé sur le chantier pour être consulté à tout
moment par la Maîtrise d'Œuvre.
La température moyenne journalière sera le résultat de la moyenne arithmétique des
températures maximales et minimales enregistrées chaque 24 heures.
Il est précisé que des précautions particulières seront prises pour la mise en œuvre du béton
par temps chaud ou lorsqu'il y a des vents asséchants, en particulier le début du coulage ne sera fait
qu'à partir de 15 heures, et le lendemain, dès l'ouverture du chantier, le béton sera abondamment
arrosé et cette opération sera répétée pendant 7 jours.
De toute façon par temps chaud, la température du béton ne devra pas dépasser 15°C.
D'une manière générale, le béton pendant son coulage ne devra pas avoir une température inférieure
à 10°c et la température extérieure ne devra pas être inférieure à 5°C.
En dessous de cette température, le coulage du béton ne sera autorisé par la Maîtrise d'Œuvre
que si des méthodes de coulage spéciales sont adoptées.
Par ailleurs, la Maîtrise d'Œuvre devra approuver les méthodes proposées par l'Entrepreneur
pour le maintien de la température minimale du béton armé spécifié.
Avant tout coulage de béton sur corps creux, ceux-ci seront arrosés jusqu'à saturation, les
armatures des nervures et de la dalle de compression seront calées convenablement, la granulométrie
sera étudiée avant exécution.
L'enrobage des aciers sera particulièrement soigné dans les nervures.
L'Entrepreneur devra établir un calendrier de coulage où seront répertoriés tous les coulages
effectués avec précision de la date et de l'heure.
Ce calendrier sera disponible sur le chantier pour pouvoir être consulté à tout moment par la
Maîtrise d'Œuvre.
Le béton doit demeurer parfaitement homogène durant le coulage et doit être travaillé
soigneusement pour être réparti autour des armatures, des fixations et dans les angles de coffrage.
Ces opérations ne seront en aucun cas effectuées à l'aide du vibrateur, dont le rôle est de serrer le
béton après parfaite répartition dans les coffrages.
Page 35
Après coulage, le béton doit être protégé des conditions climatiques défavorables. Ces
dispositions seront prises pour éviter une excessive rapidité d'évaporation de l’eau sur toutes surfaces
des éléments coulés, pendant les fortes températures ou par assèchement par le vent.
Les systèmes et méthodes de protection envisagés par l'Entreprise seront toujours proposés à
l'approbation de la Maîtrise d'Œuvre avant le début des opérations de coulage des bétons.
Il est précisé que seront dus par l'Entrepreneur, tous joints de construction ou de dilatation
conformément aux règles en vigueur et au cas où une omission ou imprécision était décelée sur les
plans, l'Entrepreneur devra le signaler à la Maîtrise d'Œuvre qui prendra toutes les mesures utiles.
A tous joints de dilatation et de désolidarisation, il sera interposé un joint en matière rigide et
compressible de même épaisseur que le joint. Le joint sera constitué par un panneau en polystyrène
expansé mis en place contre la partie déjà exécutée et avant collage de la seconde partie.
Le calfeutrement des joints de dilatation, verticaux et horizontaux extérieurs se fera à l'aide
d'un mastic étanche élastique, au silicone de 1ère qualité et au choix de la maitrise d’Œuvre.
Page 36
Sous les parties décoffrées, des étais (chandelles) seront maintenus pendant le temps nécessaire, en
vue de parer aux surcharges éventuelles qui pourraient être appliquées en certaines parties des
ouvrages.
Il est interdit de faire supporter des charges quelconques au béton avant qu'il n'ait fait prise.
L'utilisation des planchers comme aire de stockage est interdite avant qu'ils n'aient fait prise.
Pour les éléments devant rester bruts, les coffrages devront être soignés, ils seront en bois
corroyé, en contre-plaqué traité spécialement, métalliques suivant l'aspect désiré par la Maîtrise
d'Œuvre.
Les parements seront parfaitement d'aplomb et de niveau. Les arrêtes seront vives, parfaitement
dressées et rectilignes.
Les reprises éventuellement nécessaires seront réalisées dès le décoffrage, et les marques de
reprise ne devraient pas être visibles.
Avant la construction, il sera réalisé un prototype de béton brut de décoffrage, en un panneau
de 1 m² et 10 centimètres d'épaisseur qui sera réalisé suivant les instructions de la Maîtrise d'Œuvre
quant à l'aspect final du parement vu.
L'exécution des parements sera entreprise après que la Maîtrise d'Œuvre aura approuvé le
prototype qui sera refait s'il y a lieu jusqu'à lui donner satisfaction.
Page 37
Les cadres ou pré cadres, selon le cas, seront posés lors du montage des cloisons. Seront exécutés
tous scellements, bourrage et garnissage au mortier.
La dernière rangée devra être parfaitement garnie au mortier sous le plancher haut de l'étage
pour assurer l'adhérence de la jonction. Dans le cas de l'exécution de double cloisons, toutes
précautions seront prises pour ne pas laisser tomber de mortier au fond du vide entre les deux
cloisons, des épingles seront mises en place pour la liaison des deux parois, acier doux - diamètre 6 à
raison de 1 au m² (acier galvanisé).
Au dessus de chaque ouverture, dans les cloisons simples ou doubles, il sera prévu un linteau
en béton armé, de dimensions en fonction de l'ouverture.
ARTICLE 23 : MISE EN OEUVRE DES ENDUITS
Les spécifications ci-après s'appliquent à tous les enduits extérieurs et intérieurs au mortier de
ciment ou bâtard selon le cas.
Pour tous les enduits spéciaux ou teintés le cas échéant, les produits entrant dans la
composition de ces enduits devront être de provenance et qualité agréées par la Maîtrise d'Œuvre.
Il est spécifié que l'incorporation dans les mortiers de produits spéciaux tels que plastifiants,
accélérateurs de prise, antigel, est interdite.
Les enduits extérieurs quels qu'ils soient devront toujours assurer l'étanchéité parfaite des
murs.
Les travaux d'enduits comprendront implicitement tous les ouvrages, accessoires nécessaires à une
finition parfaite et complète, notamment les arrêtes droites et arrondies, les cueillies, les gorges, les
glacis, les calfeutrements de menuiseries et autres, le grillage galvanisé aux liaisons béton - briques,
les filets et champs, les raccords ou bouchements et scellements,
Le respect de ces prescriptions reste impératif. Toute partie d'enduit n'ayant pas satisfait à ces
prescriptions sera démolie et refaite aux frais de l'Entrepreneur.
Les enduits seront exécutés conformément aux prescriptions et conditions du D. T. U. n° 26.1.
Le principe d'exécution étant :
Le gobetis au mortier n° 4 projeté fortement, la surface étant rugueuse, de 0,003 d'épaisseur
environ.
Corps d'enduit au mortier n° 2 appliqué en deux passes de 0,007 à 0,010 d'épaisseur
environ.
Couche finition au mortier n° 3 de 0,005 à 0,007 d’épaisseur environ.
Finition des enduits courants par lissage soigné au feutre, et par lissage à la truelle pour les
enduits lissés. Le saupoudrage au ciment pur ne sera pas admis.
La finition devra être de teinte uniforme, sans marque de reprise.
Le grillage galvanisé (maille 20 mm) destiné à éviter les fissures entre les éléments béton et les
remplissages en matériaux de nature différente devront être mis en place avec le plus grand soin. Ce
grillage sera incorporé à la couche formant le corps d'enduit, il débordera de 10 cm de chaque côté de
la jonction.
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Ils sont disposés de façon à délimiter des panneaux dont la diagonale sera de 7,00m pour les
dallages non couverts au moment de leur exécution et de 8,50m pour les dallages couverts.
Dans le cas de joints de retrait, on réalise des joints sciés ou on incorpore des profilés plastiques.
Leur hauteur sera de ¼ de l’épaisseur du dallage.
Dans le cas de joints de construction, il est recommandé de réaliser des joints à embrèvement
ou des joints en cornière. Les joints de construction traversent toute l’épaisseur du dallage.
* JOINTS DE DESOLIDARISATION
Le dallage doit être désolidarisé des parties de construction fondées sur une couche de sol
différente de celle du dallage (cas des poteaux, longrines, murs)
Dans le cas de poteaux, un joint d’isolement sera réalisé à 45° tout autour du poteau de manière à
diriger les fissures possibles.
*JOINTS DE DILATATION
- Sable De mer
- Ciment artificiel Des usines de ciment du Maroc classe
CPJ 35 et 45 livré obligatoirement en sac
de papier de 50 Kgs
Pur oxydé 90/40 des dépôts du Maroc
- Bitume Feutre bitume 36S VV. – HR. des dépôts
- Feutre et usines du Maroc
Feutre bitume 40T.V.
Par le fait même du dépôt de son offre, l'entrepreneur est réputé connaître les sources des
carrières, usines ou dépôts indiqués ci-dessus ainsi que leurs conditions d'accès et d'exploitation.
Aucune réclamation ne sera recevable concernant le prix de revient à pied d'œuvre de ces
travaux.
L'entrepreneur devra présenter à toute réquisition les certificats et attestations prouvant l'origine et la
qualité des matériaux.
Tous matériaux seront de 1ère qualité et répondront aux prescriptions du devis descriptif
technique et au D.G.A et NM et au document de référence DTM-DT-BC version de décembre 2019 .
ARTICLE 3 : VERIFICATION DES MATERIAUX
L'entrepreneur devra prendre toutes dispositions utiles pour avoir sur son chantier la quantité
de matériaux vérifiés et acceptés, indispensable à la bonne marche des travaux et dont
l'échantillonnage aura été agréé par la Maîtrise d'œuvre technique.
La demande de réception d'un matériau autre que les matériaux préfabriqués devra être faite
au moins 4 (Quatre) jours avant son emploi.
Page 39
Pour les matériaux préfabriqués ce délai sera de 15 (Quinze) jours à pied d'œuvre. Les
matériaux refusés par la Maîtrise d’œuvre technique seront évacués du chantier dans un délai de 24
heures.
Page 40
Les ouvrages d’étanchéité seront exécutés en se conformant aux dispositions du DTU 43.1 pour les
parties courantes et ouvrages particuliers notamment celles relatives aux matériaux indiqués au détail
descriptif chapitre III du présent document.
Préalablement à toute exécution, il sera procédé sous l’égide du bureau de contrôle et du bureau
d’étude aux essais d’identification des produits d’étanchéité par un laboratoire agrée, pour montrer
leur conformité aux prescriptions du présent marché.
Seuls les matériaux ayant fait l’objet d’avis technique favorable, accepté par le bureau de contrôle
seront admis sur le chantier.
Ces essais seront renouvelés chaque fois que la maîtrise d’œuvre technique le juge nécessaire
Page 41
3- MENUISERIE BOIT – ALUMINIUM ET FERRONNERIE
ARTICLE 1 : REFERENCES AUX TEXTES SPECIAUX
Indépendamment des textes généraux cités au C.P.S., l’entrepreneur devra exécuter tous ses travaux
ou installations conformément aux normes et règlements en vigueur au Maroc à la date de la remise
de son offre, ou à défaut, aux Normes Marocaines et Règlements Français, notamment :
Les normes Marocaines et à défaut les normes AFNOR, en particulier :
❖ NM 10.2.001 : Terminologie des portes et fenêtres ;
❖ NM 10.2.476 : portes en bois
❖ NM 10.2.002 : Fenêtres en bois ou en métal spécifications ;
❖ NM 10.2.003 : Fenêtres en bois ou en métal méthodes d’essais ;
❖ NM 10.2.035 : Dimensions des portes intérieures ;
❖ NM 10.2.036 : Dimensions des portes extérieures et des fenêtres ;
❖ NM 10.2.037 : Portes pleines intérieures en bois terminologie et caractéristiques
Générales ;
❖ NM 10.2.038 : Profilés d’aluminium destinés au bâtiment spécifications générales ;
❖ NM 10.2.039 : Anodisation des alliages d’aluminium destinés au bâtiment -
spécifications
Générales ;
❖ NM 10.2.046 : Fermetures pour baies extérieures équipées de fenêtres -
caractéristiques
Mécanique ;
❖ NM 10.2.047 : Fermetures pour baies extérieures équipées de fenêtres - méthodes
d’essais ;
❖ NM 10.2.048 : Fermetures pour baies extérieures équipées de fenêtres - spécifications
techniques ;
❖ NM 10.2.049 : Fermetures pour baies extérieures équipées de fenêtres - Volets roulants
- définition - clarification désignation ;
❖ NM 10.2.050 : Fermetures pour baies extérieures équipées de fenêtres - Fermetures à
tablier en profilés PVC ;
❖ NM 10.2.051 : Performances dans le bâtiment - présentation des performances des
fermetures pour baies extérieures de fenêtres ;
❖ NM 10.2.062 : Méthodes d’essais des portes – essais de choc de corps dur sur les
vantaux des portes ;
❖ NM 10.2.063 : Méthodes d’essais des portes – essais de déformation du vantail dans
son plan ;
❖ NM 10.2.065 : Méthodes d’essais de résistance à l’effraction par des moyens
destructifs des blocs - portes munis de leurs accessoires ;
❖ NM 10.2.066 : Portes - essai d’arrachement des vis ;
❖ NM 10.2.067 : Portes - mesurage des défauts de planéité locale des vantaux de
Portes ;
❖ NM 10.2.068 : Portes - essai d’immersion à l’eau froide de la partie inférieure du
vantail de la porte ;
❖ NM 10.2.070 : Portes - essais de cisaillement du plan d’assemblage des alaises des
vantaux de portes ;
❖ NM 10.2.102 : Quincaillerie - serrures - définition - classification - désignation ;
❖ NM 10.2.103 : Quincaillerie - caractéristiques générales des serrures de bâtiment ;
❖ NM 10.2.104 : Quincaillerie - serrures à mortaiser verticales - dites de 135 à gorges ou
à cylindres ;
❖ NM 10.2.105 : Quincaillerie - paumelles à lames pour menuiserie en bois ;
❖ NM 10.2.106 : Quincaillerie - serrures à mortaiser verticales - dites de 135 simples ;
❖ NM 10.2.108 : Quincaillerie - béquilles en alliage non ferreux et accessoires -
caractéristiques particulières ;
Page 42
❖ NM 10.2.113 : Quincaillerie - article de quincaillerie en applique - caractéristiques
générales ;
❖ NM 10.2.114 : Quincaillerie - ensemble entrées - béquilles - caractéristiques
particulières ;
❖ NM 10.2.116 : Quincaillerie de bâtiment - crémones - définition - classification-
désignation ;
❖ NM 10.2.117 : Quincaillerie de bâtiment - crémones - caractéristiques et essais ;
❖ N52.001 : Règles d’utilisation des bois dans les constructions ;
❖ B53.510 : Bois de menuiserie ;
❖ B 54.050 : Panneaux de fibres ;
❖ B54.100 et 110 : Panneaux de particules ;
❖ B54.150 : Contre-plaqué ;
❖ P26101 et 301 : Serrures ;
❖ P26.304 : Articles de quincaillerie en applique ;
❖ P26.314 : Serrures tubulaires ;
❖ P26.405 : Ensembles entrées béquilles ;
❖ D.T.U.36.1 (Juin 1966) relatif aux travaux de menuiserie bois.
Obligations particulières :
Les obligations de l’entrepreneur comportent non seulement l’observation des prescriptions
des textes énumérés ci-dessus, mais aussi l’observation de tout autre décret, arrêté, réglementation,
ou normes en vigueur à la date de la remise de l’offre et applicable aux travaux du présent marché
Dans le cas où un point du projet ne serait pas conforme à une publication en vigueur,
l’entreprise devrait le signaler avant la remise de son offre, tous les frais d’une modification du
projet, une fois le marché passé, seraient à la seule charge de l’entrepreneur.
Page 43
La provenance des matériaux destinés aux ouvrages devra être soumise à l’agrément de la
Maîtrise d’œuvre technique.
Avant tout commencement des travaux l’entrepreneur doit remettre à la Maîtrise d’œuvre
technique une liste des matériaux qui précisera pour chaque type, le fournisseur ou l’usine d’origine.
La désignation faite des matériaux à utiliser spécifiés dans le présent descriptive technique particulier
constitue la base de l’étude de prix que doit faire l’entrepreneur.
Dans le cas où celui-ci désirerait utiliser des produits d’une autre provenance, il devra
présenter simultanément un échantillon de l'Article prescrit par le présent devis accompagné de sa
fiche technique et un échantillon de l'article qu’il propose en remplacement auquel il joindra toute la
documentation nécessaire.
Dans ce cas, l’entrepreneur fournira également les sous détails de prix comparés de l’article
proposé et de l’article prescrit.
Page 44
La fabrication en série des menuiseries ne pourra commencer qu’après la réception définitive
et sans observation des prototypes. De ce fait, l’entrepreneur ne pourra arguer d’un quelconque retard
aussi bien dans ses commandes de quincaillerie et serrure que dans ses commandes de bois placides
et habillages.
Page 45
ARTICLE 8 : PROTECTION DES OUVRAGES
L’entrepreneur devra assurer la parfaite protection de tous ses ouvrages pendant toute la
durée du chantier et notamment lors du stockage des ouvrages en atelier ou sur le chantier.
En plus des protections de chantier, les ouvrages recevront, en usine, des protections provisoires
(films plastiques, cires ou paraffines).
L’enlèvement de ces protections reste à la charge de l’Entrepreneur du présent marché.
ARTICLE 9 : REVISION
En fin de chantier, l’entrepreneur devra la révision complète de tous les ouvrages qui auraient
été détériorés, le débouchage des trous de buées, le graissage de tous les axes et parties mobiles, la
vérification de tous les systèmes de manœuvre et de condamnation.
Page 46
13-4 : Résistance à une pression brusque
La classe V1 est celle retenue avec une pression de 900 Pa.
ARTICLE 14 : CALFEUTREMENT
Le calfeutrement et l’étanchéité doivent être réalisés de façon à ce que le joint entre fenêtre et
gros œuvre assure sur tout son périmètre, l’étanchéité à l’air et à l’eau, compte tenu des conditions
d’exposition et des mouvements différentiels prévisibles entre fenêtres et gros œuvre.
Le mode de calfeutrement à retenir dépend du système de pose retenu et la situation de
l’ouvrage voir paragraphe 5-32 du DTU 36-1.
Le choix du mode de calfeutrement doit être valable pour un support maçonnerie.
Calfeutrement en mastics :
Le calfeutrement entre le gros œuvre et le dormant ou le précadre des fenêtres peut être
réalisé à l’aide de mastics à base d’élastomères ou de mastics, du type plastique dont les qualités sont
appréciées sur la base des normes d’essais : NFP 85.501 à 506 ; NFP 85.511 à 515.
Page 47
17-1 :Produits sidérurgiques ferreux
Planéité des profilés à froid des tôles laminées à froid et laminées à chaud NFA 37101-46 402 ET
46 504 ;
❖ Tôle d’acier galvanisé NFA 36 321 – 36 322 ET 36 323 ;
❖ Tôle d’acier pré-laquée NFP 34 501 et 34 602 ;
❖ Métaux ferries pré-peints NFA 35 511 et 35 512 ;
❖ Tôle d’acier inox NFA 35 572 – 35 573 et 35 574 ;
❖ Revêtements métalliques dépôts électriques de NICKEL et de chrome NFA91 101 ;
❖ Galvanisation à chaud (immersion dans le zinc fondu) NFA 91 121 NFA 49 700 ;
❖ Métallisation au pistolet NFA 91 201.
17-2 : Aluminium
17-2-1-Normes
-Aluminium et alliage d'aluminium profilés et filés étirés d'usage courant, caractéristique N.F.A. 50
411 et 50 451 ;
-Aluminium, pièces coulées par gravité et moulées sous pression NFA 57 702 et 57 703 ;
-Traitement de surface des métaux, association de l'aluminium et de ses alliages N.F.A. 91 450 ;
-Les familles d'alliages d'aluminium utilisés sont celles classées en première catégorie de la norme
NFA 91 450, leur teneur en cuivre est limitée à 1 %.
17-2-2-Spécifications techniques détaillées
-Les menuiseries seront composées à partir des profils extrudés de première qualité et devront
correspondre aux caractéristiques EURAS - EWA - OAA et normes NFA 91450. Ceux ci seront
pleins ou tubulaires selon les normes du fabricant et les conditions de mise en œuvre ;
-Dans les ouvrants à battement le système devra toujours avoir un double battement, les profils
dormants et ouvrants comporteront les logements pour joints à lèvres assurant une parfaite étanchéité
à l'eau et à l'air ;
-L'entreprise devra fournir obligatoirement tous les échantillons de profilés qu'elle souhaite réaliser
ainsi que toutes leurs caractéristiques ;
-L'entrepreneur devra mettre en œuvre, l'ensemble des accessoires prévus dans la gamme choisie,
répondant aux exigences de classement (A.E.V) ;
-Les profilés aluminium devront répondre aux normes actuelles et aux exigences des nouvelles
réglementations officielles de la construction ;
-Les types de profilés et épaisseur des vitrages seront calculés selon le site et son exposition ;
-Le choix des matériaux doit être adapté à chaque partie d'ouvrage en fonction des caractéristiques
mécaniques (résistance et comportement à l'usure quels que soit les rayons de courbure) ;
-Dans le cas d'utilisation de l'aluminium Thermos laqué ou anodisé le label QUALANOD ou
QUALICOAT sera requis.
17-3 : Vitrages
*Les vitrages seront de première qualité ;
*Tous les vitrages feuilletés seront assemblés par un film butyral de polyvinyle (PVB) ;
*Tous les vitrages trempés seront trempés à plat.
17-4 : Elastomères pour pose des vitrages dans les ouvrages en aluminium
Vulcanisés à chaud, compacts homogènes, conformes à la NFP 85 301, en polychloroprène et NFP
47 901 pour les vitrages : feuilletés, trempés ou recuits, la pression de contact doit être limitée à :
Polyglass ou produits présentant les mêmes caractéristiques :
-1,0 daN/cm² en charge permanente ;
-2,0 daN/cm² en charge temporaire.
17-5 : Joint de collage des vitrages
Les joints de collage des vitrages des murs rideaux seront de première qualité à base mono ou
bi-composant, neutre à haut module ou neutre à moyen module.
Les mastics de collage doivent bénéficier d'un avis technique en cours de validité délivré par
un organisme agréé.
Page 48
L'opération de collage doit être contrôlée à la fabrication par le CEBTP où tout autre
organisme de contrôle agréé, le colleur doit être agréé par cet organisme.
17-6 :Fond de joint
Le choix de la nature des fonds de joints et cales des vitrages est laissé à l'initiative de
l'entrepreneur, son attention est attirée sur le risque d'incompatibilité de certains produits avec le
mastic de silicone des joints de collage des vitrages. Pour cette raison, des produits à base de silicone
semblent être privilégiés.
Les essais de compatibilité du mastic de collage avec tous les autres constituants se trouvant
en contact ou à proximité seront requis.
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ARTICLE 22 : PROTECTION PARTICULIERE DE L'ASPECT DE SURFACE CONTRE LES SALISSURES
LEGERES
Toutes les surfaces en aluminium doivent être protégées provisoirement par bandes adhésives
ou par vernis préalable approprié. Cette protection doit pouvoir s'enlever facilement avant la dernière
limite prescrite pour le produit concerné.
L'enlèvement de cette protection est à la charge du l’entreprise. Aucune protection provisoire
ne doit subsister à la réception.
Page 50
4 - REVETEMENT SOL ET MURS
Le présent cahier a pour but de définir les conditions d’exécution des travaux relatifs aux travaux de
revêtement des sols et murs.
Page 51
ARTICLE 4 : REVETEMENTS MURAUX SCELLES DESTINES AUX LOCAUX D’HABITATION DTU 55
4-1 : Prescriptions concernant les travaux
4-1-1 : Revêtements coulés sur places (granito)
Constitution :
* Après nettoyage et humidification du support il sera réalisé une couche de forme ou de base en
béton pour forme dosé à 250 kg de ciment CPJ 35 par m3 avec une épaisseur de 5 cm au minimum
bien damée.
* Pose des baguettes de plastique de 1,5 cm de largeur avec un mortier de ciment et suivant
calepinage arrêté par les Architectes.
* Une sous couche avec une laitance de ciment pour améliorer l’accrochage de la couche d’usure ou
de finition après humidification et nettoyage.
* Une couche d’usure de 1,5 cm d’épaisseur en mortier dosé à 500 kg de ciment CPJ 45 teintée à la
demande avec incorporation de marbre de différentes teintes, les grains de marbre doivent être
calibrés de 2 à 10 mm.
Les colorants employés pour teinter le ciment ne doivent se décomposer ni sous l’influence chimique
du béton, ni sous l’action du soleil, selon la nature des grains et leurs dimensions la proportion
visible du ciment ne doit pas dépasser 20 %
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ARTICLE 6 : REVETEMENTS PARTICULIERS
Le mode d’exécution du revêtement mural en carreaux de faïence émaillé sur les paillasses doit être
conforme aux prescriptions du chapitre IV du DTU 55 qui comprend notamment :
* Etat des supports de revêtement ;
* Mode de pose des carreaux.
ARTICLE 7 : REVETEMENTS DE SOL SCELLES
La constitution du granito coulé sur place, les définitions des supports de forme, les
tolérances sur le revêtement et l’aspect et nuance doivent être conformes aux prescriptions du DTU
52.1 chapitre 5 (prescriptions de pose propres aux diverses natures de revêtements).
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❖ NFB 61.302 : Carreaux de mosaïque ;
❖ Normes Marocaines (Article 6.4.1 du CPS).
Les revêtements posés à la colle (ou au ciment colle) seront obligatoirement réalisés avec des
produits ayant obtenus un avis technique du C.S.T.B. par les groupes spécialisés suivants :
❖ Groupe n° 12 : Revêtements de sol,
❖ Groupe n° 13 : Revêtements muraux.
Outre l’avis technique du C.S.T.B., le système de fixation de revêtements devra être accepté par le
Bureau d’études.
8-4 : Joints
Les joints de dilatation en plastique seront de la 1ère qualité de 1,5 cm et seront posés au coulis de
ciment teinté dans la couleur dominante du matériau.
Page 54
Nonobstant les travaux décrits précédemment, l’entrepreneur devra tous travaux nécessaires ou
fournitures pour une parfaite finition de ses ouvrages.
Aucune réclamation ne sera admise pour une omission quelconque qui pourrait se glisser dans les
plans ou pièces écrites concernant corps d’état, et qui serait contraire à la volonté du Maître
d’ouvrage.
De plus, l’entrepreneur est réputé connaître la climatologie locale, il ne pourra de ce fait, se prévaloir
de défauts qui pourraient se révéler après la pose des revêtements.
8-9 : Confection
Tous les mortiers de ciment ainsi que la couche de finition doivent être préparés de préférence au
malaxeur, les mortiers sont préparés au fur et à mesure de l’avancement des travaux.
L’emploi des mortiers desséchés ou ayant commencés à faire prise est interdit.
8-10 : Echantillon
Toutes les prestations dues au titre du présent marché doivent faire l’objet d’échantillon que
l’entrepreneur devra présenter à la Maîtrise d’œuvre technique pour approbation préalablement à
toute exécution.
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5- PLOMBERIE SANITAIRE
ARTICLE 1 : REFERENCES AUX TEXTES SPECIAUX
Indépendamment des textes généraux cités au CPS, les travaux d’installation du présent marché
doivent être exécutes conformément aux normes et règlements en vigueur au Maroc à la date de la
remise de l’offre, notamment :
❖ NM 10.4.001 : Terminologie et conditions minimales d’exécution des installations de
plomberie sanitaire ;
❖ NM 10.4.002 : Robinetterie de bâtiment – Robinets de puisage à soupape –
Spécifications techniques générales ;
❖ NM 10.4.004 : Robinetterie sanitaire – robinets simples et mélangeurs spécifications
techniques générales ;
❖ NM 10.4.006 : Robinetterie – méthodes d’essais – Caractéristiques d’étanchéité ;
❖ NM 10.4.007 : Robinetterie – méthodes d’essais – Caractéristiques de tenue en
pression ;
❖ NM 10.4.013 : Acoustique – mesurage en laboratoire du bruit des robinetterie et des
équipements hydrauliques utilisés dans les installations d’eau / Partie –1 : Méthode de
mesurage ;
❖ NM 10.4.014 : Acoustique – mesurage en laboratoire du bruit des robinetterie et des
équipements hydrauliques utilisés dans les installations d’eau / Partie –2 : Conditions de
montage et de fonctionnement des robinets de puisage ;
❖ NM 10.4.015 : Acoustique – mesurage en laboratoire du bruit des robinetterie et des
équipements hydrauliques utilisés dans les installations d’eau / Partie –3 : Conditions de
montage et de fonctionnement des robinets et des équipements hydrauliques en ligne ;
❖ NM 10.4.017 : Robinetterie de bâtiment – robinet d’arrêt à soupape, spécifications
techniques générales ;
❖ NM 10.4.018 : Protection externe des canalisations métalliques bandes adhésives et
bandes imprégnées spécifications générales ;
❖ NM 10.4.019 : Protection externe des canalisations métalliques techniques des essais –
comportement aux chocs thermiques des produits de protection ;
❖ NM 10.4.020 : Protection externe des canalisations métalliques – techniques des essais
contrôle de l’adhérence des produits de protection en bande adhésive ;
❖ NM 10.4.021 : Protection externe des canalisations métalliques des essais – Essai de
résistance au brouillard salin des produits de protection ;
❖ NM 10.4.022 : Protection externe des canalisation métalliques - Techniques des essais
- Essai de tractions des produits de protection en bandes ;
❖ NM 10.4.033 : Robinets à tournant sphérique en acier à brides ;
❖ NM 10.4.050 : Appareils sanitaires – spécification des matériaux utilisables ;
❖ NM 10.4.051 : Appareils sanitaires – méthodes d’essai de vérification des
caractéristiques des matériaux et des appareils ;
❖ NM 10.4.052 : Appareils sanitaires – baignoires en fonte émaillées ;
❖ NM 10.4.053 : Appareils sanitaires – Eviers ;
❖ NM 10.4.054 : Appareils sanitaires – Lavabos et lave mains ;
❖ NM 10.4.055 : Appareils sanitaires – Bidets ;
❖ NM 10.4.056 : Appareils sanitaires – Cuvettes de WC ;
❖ Le DTU 60 fixant les modalités et les règlements sur lesquelles les travaux de Plomberie
sanitaires seront réalisés par les bâtiments à usage d’habitation ;
❖ NF P 41.201 : Code des conditions minimales d’exécution de distribution d’eau ;
❖ DTU N° 43 : Etanchéité des toitures terrasses (pour eaux pluviales) ;
❖ Normes :
* NF D 18.201
* NF S 31.014 > pour acoustique robinetterie sanitaire
* NF S 31.015
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❖ Arrêté du 25 Juin 1980 modifié portant règlement de sécurité contre les risques d’incendie et
de panique dans les établissements recevant du public.
Pour la lutte contre l’incendie :
❖ Règles de l’A.P.S.A.I. ;
❖ Décret n°73.1007 du 31 Décembre 1973 relatif à la protection contre les risques d’incendie et
de panique dans les établissements recevant du public.
Obligations particulières :
Les obligations de l’entreprise comportent non seulement l’observation des prescriptions des
textes énumérés ci-dessus, mais aussi l’observation de tout autre décret, arrêté, réglementation ou
normes en vigueur à la date de la remise de l’offre et applicable aux travaux du présent marché.
Dans le cas où un point du projet ne serait pas conforme à une publication en vigueur,
l’entreprise devrait le signaler à la Maîtrise d’œuvre technique avant la remise de son offre. Tous les
frais d’une modification du projet, une fois le marché passé, seraient à la seule charge de l’entreprise.
Les ouvrages seront exécutés d’après les plans et documents de base remis à l’entreprise par
le Maître d’ouvrage. Les plans d’architecture restant toujours la base de l’ouvrage, tous les dessins
d’exécution devront s’y conformer. Les dessins d’exécution et détails des ouvrages seront établis par
l’entrepreneur. Ces plans devront faire apparaître les réservations dans les ouvrages en béton armé,
les besoins en fluides, les puissances électriques des appareils et toutes indications susceptibles
d’intéresser les divers corps d’état. Les plans d’exécution devront être soumis avant tout début
d’exécution de travaux ou d’installations, à l’examen et approbation de la Maîtrise d’œuvre
Technique.
Page 57
galvanisés EF et EC après finition des enduits par le gros œuvre. Seuls les colliers seront
posés et scellés avant application de dégrossi d’enduit ;
✓ Tous les raccords divers résultant de la fixation des appareillages ;
✓ Les produits et fourreaux à interposer sur les gaines et tuyauteries avant calfeutrement, au
droit des passages de parois ;
✓ Tous les supports de gaines, tuyauteries et appareils avec dispositifs anti-vibratiles ;
✓ Les percements qui n’auraient pas été demandés en temps utile et calfeutrement avec des
matériaux compatibles avec ceux des parois ;
✓ Le nettoyage et le rinçage de toutes les tuyauteries et appareils des circuits hydrauliques et
d’évacuation ;
✓ La protection anti-rouille des pièces ou métaux ferreaux et la peinture générale définitive des
installations à l’intérieur des locaux techniques ;
✓ L’entrepreneur s’assurera que les ouvertures, trémies, gaines, sont adaptées au passage et à la
visite des appareils, il signalera au Maître d’œuvre les mises au point qui pourraient être
nécessaires ;
✓ Les dispositions à prendre pour l’amenée à pied d’œuvre des matériels lourds ;
✓ Les dispositions concernant la sécurité de son personnel et celle des autres ouvriers travaillant
au voisinage de ses installations ;
✓ L’entrepreneur reste responsable des conséquences que peuvent avoir ses travaux sur la
solidité des constructions, ou des traces de fissures qui peuvent apparaître par la suite ;
✓ L’eau, l’électricité, les combustibles ainsi que tous ingrédients ou fluides, nécessaires pour
les essais sont compris dans le présent marché.
La provenance des matériaux, équipements et quincailleries destinés aux ouvrages devra être
soumise à l’agrément de la Maîtrise d’œuvre technique.
Avant commencement des travaux, il sera dressé par l’entrepreneur et remis au Maître
d’œuvre une liste des matériaux, équipements et matériels qui préciseront, pour chaque élément, le
fournisseur ou l’usine d’origine. La fourniture d’échantillons sera obligatoire pour certains
matériaux.
La désignation faite des matériaux et équipement à utiliser spécifiés dans le présent devis
descriptif, constitue la base de l’étude de prix que doit faire l’entrepreneur.
Dans le cas où celui-ci désirerait utiliser des produits d’une autre provenance, il devra
présenter simultanément un échantillon de l’article prescrit par le présent devis accompagné de sa
fiche technique et un échantillon de l’article qu’il propose en remplacement auquel il joindra toute la
documentation désirable et la liste des références. Dans ce cas, l’entrepreneur fournira également les
sous détails de prix comparés de l’article proposé et de l’article prescrit.
Les matériaux destinés à l’exécution des travaux seront d’origine marocaine ; il ne sera fait
appel aux matériaux d’origine étrangère qu’en cas d’impossibilité de se les procurer sur le marché
marocain. Les matériaux proviendront en principe des lieux ou de production suivants :
Par le fait même du dépôt de son offre, l’entrepreneur sera réputé connaître les ressources des
fabricants ou dépôts indiqués ci-dessus ainsi que leurs conditions d’accès et d’exploitation.
Page 58
Aucune réclamation ne sera recevable concernant le prix de revient à pied d’œuvre de ces matériaux.
Page 59
ARTICLE 6 : RELATIONS DE L’ENTREPRENEUR AVEC LE DISTRIBUTEUR
L’entrepreneur se mettra en rapport avec les services intéressés du distributeur pour obtenir
tous renseignements utiles pour l’exécution de ses travaux, il se soumettra à toutes les vérifications et
visites des agents de ces services et fournira tous documents et pièces justificatives demandés.
En particulier, l’entrepreneur devra respecter :
Les règlements particuliers imposés par les services locaux du distributeur avec lesquels
l’entrepreneur devra se mettre en rapport avant l’approvisionnement pour le matériel et avant
l’exécution pour les travaux.
Il devra faire connaître au Maître d’œuvre les dispositions du devis descriptif qui ne seraient
pas admises par le distributeur, faute de quoi, il devra prendre à sa charge tous les frais résultant des
modifications imposées par lui.
L’entrepreneur devra faire approuver les plans d’exécution établis par ses soins par la LYDEC
Les dimensions, dispositions et descriptions des ouvrages sont indiquées par les plans d’appel
d’offres et les termes du présent marché.
Aucune côte ne sera prise à l’échelle pour l’exécution des travaux. L’entrepreneur devra
s’assurer sur place avant, toute mise en œuvre, de la possibilité de suivre les côtes et indications des
plans et dessins.
En cas de doute, il en référera immédiatement à la Maîtrise d’œuvre technique.
Le maître d’ouvrage reste libre d’apporter aux dessins toutes modifications qu’il jugera utile,
en cours de travaux, pour des raisons de convenances économiques, techniques, artistiques ou autres
sans que l’entrepreneur puisse se refuser à leur exécution.
Les matériaux et appareils employés seront de premier qualité ; Ils devront être conformes
aux arrêtés et circulaires techniques en vigueur (voir Article N° 1 du présent paragraphe).
Chaque fois qu’il existe une estampille de qualité (NF-USE-SGM- ou un certificat de qualité délivré
par un organisme officiel), les matériaux et appareils seront revêtus de cette estampille ou admis à ce
certificat, ou bien seront de qualité équivalente.
Toutes les précautions seront prises pour assurer une distribution suffisante. L’entrepreneur
s’assurera du débit de chaque appareil.
Les percements, scellements, saignées seront faits le plus soigneusement possible, en mortier
de même composition que l’enduit en accord avec le maçon. En aucun cas, il ne sera fait de
scellement ou de percement dans un élément porteur (poutre, poteaux, nervure). En cas de nécessité,
la maitrise d’œuvre sera avisée. Les trous destinés, à recevoir les chevilles auront exactement la
dimension de la cheville qui doit pénétrer en force.
Les saignées ne devront jamais traverser une cloison de part en part, même dans les briques 3
trous.
Les trous faits dans les carreaux de faïence et dans les revêtements (sol ou vertical) seront
faits à la chignole et non au tamponnoir.
Toutes les canalisations seront montées sur colliers démontables et elles seront équipées de
compensateurs de dilatation.
En aucun cas les tuyaux et éléments en cuivre, ne seront encastrés dans la maçonnerie au
mortier ciment.
Dans les traversées de murs, cloisons, planchers, les canalisations seront protégées par des
fourreaux de diamètre approprié en tube galvanisé rugueux extérieurement pour permettre le
scellement. Ils dépasseront légèrement la surface de l’enduit. Aux traversées de planchers ils
dépasseront le nu du revêtement fini de 2 cm minium et seront munis d’un collet de fermeture.
Toutes les tuyauteries traversant les terrasses passeront dans les fourreaux (comme ci-dessus)
avec hébergement en tube de plomb dépassant la dalle de 0,15 m sur une plaque de plomb de 3 mm
d’épaisseur, avec gousset vissé sur le tube ou serré par collier.
Les tuyauteries enterrées seront bitumées et revêtues de bandes de 1ère qualité.
Elles seront exécutées par un ouvrier spécialisé (cintrage, brasure, manchonnage).
Page 60
Les jonctions entre les tubes galvanisés et les tubes en cuivre ou en plomb se feront au moyen de
raccords démontables et joints isolants. Dans le cas d’un raccordement en tube galvanisé sur tube
plomb, il sera fait usage d’un raccord mixte (raccord à souder à joint conique sur plomb et raccord
fileté sur tube fer).
Toutes dispositions seront prises pour assurer la libre dilatation des tuyauteries d’eau chaude.
L’entrepreneur devra prévoir dans ses prix unitaires tous les trous, percements, scellements et
raccordements du présent marché,
Page 61
1
K=
\ n–1
n = nombre d’appareils
*Pression d’eau
Toutes les sections seront déterminées de manière à obtenir une pression de 1,0 kg/cm² pour le point
le plus défavorisé. La vitesse dans les tuyauteries ne devra pas dépasser 1,5 m/s à l’intérieur des
bâtiments.
La pression de l’eau de ville à l’endroit du branchement est environ de 3 kg/cm² (à vérifier par
l’entrepreneur)
Page 62
En aucun point des distributions, la vitesse de circulation du fluide ne devra être supérieure à
1,00 m/s dans les canalisations horizontales.
Un système de vannes d’arrêt et de robinets de vidange sera prévu sur chacun des
branchements principaux de manière à permettre l’isolement d’une région avariée et obligatoirement
au pied de chaque colonne de départ.
Après pose, les canalisations recevront une couche de peinture anti-rouille après brossage
soigneux à la brosse métallique enlevant toutes traces d’oxydation.
L’entrepreneur sera tenu de fournir les plans de détails d’exécution des réseaux. Les tracés des
différents circuits de distribution (collecteurs horizontaux et colonnes montantes) et comporteront la
représentation des tés de branchement prévus, avec, pour chaque branche de té, les indications
suivantes :
-Débit à assurer par la canalisation ;
-Diamètre prévu ;
-Vitesse de fluide, perte de charge au mètre linéaire ;
-Emplacement des lyres de dilatation et des points fixes.
Page 63
Le raccordement avec l’étanchéité sera assuré par platine en plomb et collerette en Zinc,
maintenu par un collier à contrepartie démontable et deux boulons en acier galvanisé.
En tête de chaque ventilation, il sera prévu un hébergement en plomb et un grillage à mailles
en acier galvanisé.
Chaque appareil sanitaire sera raccordé à une chute par collecteur individuel de section
appropriée.
Les appareils seront reliés aux chutes et descentes par l’intermédiaire des tuyaux en PVC ou
en fer de diamètre approprié. Ces tuyaux seront posés sur colliers de première qualité.
Lorsque plusieurs appareils seront groupés sur le même collecteur, il sera prévu en bout de ce
collecteur un bouchon de dégorgement. La pente des canalisations, d’allure horizontale, sera de 1 à 3
cm par mètre.
10-6 : Hébergement
Les hébergements permettant le passage des ventilations primaires sur les toitures des
bâtiments seront réalisés en plomb 3 m/m avec platine de 0,50 x 0,50 m, manchon au diamètre
extérieur du tuyau de ventilation de 0,50 m de longueur, serrés sur le tuyau de ventilation par un
collier galvanisé.
10-7 : Gargouilles
Les gargouilles seront en plomb de 3 m/m avec plateau de 0,50 x 0,50 m, longueur de la
tubulure 0,50 m, équipées de crapaudine.
Page 64
La robinetterie doit être conforme aux prescriptions du cahier des charges du Syndicat
Général des Industries Mécaniques de Transformation des Métaux. Elle sera de série forte, bien
usinée, facile à monter, susceptible de travailler sans fatigue sous une pression de service de 7 bars et
de supporter une pression d’épreuve de 20 bars.
Cette robinetterie sera en laiton chromé. Les joints seront facilement démontables pour
faciliter les réparations d’entretien.
Les vidanges devront toujours présenter une section nette de passage. Les croisillons, tringles,
écrous placés en plein centre de l’écoulement sont interdits.
Dans tous les cas, chaque appareil ou chaque groupe d’appareils sanitaires sera isolé par un
robinet d’arrêt en bronze, de façon à éviter un arrêt d’une colonne montante pour une réparation de
robinet.
L’entrepreneur devra prévoir, dans ses prix unitaires la fourniture et la pose des appareils
sanitaires, de leur robinetterie, des canalisations de raccordement (cuivre) eau chaude et eau froide
suivant les sections :
✓ Douche……………………………………………….. 14/16
✓ Lavabos …………………………………………… 12/16
✓ Bidets …………………………………………………… 12/16
✓ W.C. ……………………………………………………… 12/16
✓ Baignoires……………………………………………. 14/16
✓ Eviers timbres ……………………………………………. .14/16
• Galvanisation
La galvanisation est faite à chaud pour immersion dans le Zinc en fusion. Le revêtement doit
être homogène sans solutions de continuité et sans tâche. La cristallisation doit être régulière. Le
poids de zinc par unité de surface doit être supérieur à 4g/dm².
• Raccords
Ils sont exempts de fentes, criques, soufflures est autres défauts, les raccords filetés ou
taraudés doivent satisfaire aux conditions suivantes : filetages entiers, calibrés et axés sur la pièce
elle même, les raccords en alliage de cuivre sont conformes aux prescriptions du cahier des charges
N°9 de la robinetterie du bâtiment (sauf §5 N° 6,8)
Les raccords en fonte malléable doivent satisfaire aux essais de pression intérieur et de
déformation.
Les raccords suivant la qualité de tube soit en fonte malléable, en acier doux ou en alliage de cuivre.
• Soudure et brasure
La soudure d’étain utilisée dans les travaux de plomberie ne doit pas contenir en poids moins
de 24 % d’étain. La brasure employée pour les travaux sur tube en cuivre est à base d’argent ou d’un
alliage de métaux d’apport dont le point de flexion (environ 800°) est inférieur à celui du cuivre.
La soude brasure employée pour les travaux sur tubes d’acier noir ou galvanisé est
ordinairement à base d’argent. Elle peut être constituée par laiton au silicium ou au phosphore.
• Fourreaux
Le diamètre intérieur doit être supérieur d’au moins 1 cm au diamètre extérieur de la
canalisation qu’il protège. La longueur du fourreau doit permettre une saillie de 0,5 cm au moins sur
Page 65
le parement du mur, traversée ou du plafond et de 3 cm sur niveau du revêtement de sol : carrelage,
dallage,
• Raccords filetés en acier
Les manchons filetés en acier doivent être conformes à la norme NFA49-100. Ils doivent être
galvanisés.
Toutefois, les manchons ayant servi à la protection des extrémités filetées des tubes (dits
« manchons bouts de barre ») sont interdits dans les installations relevant du présent document.
ARTICLE 13 : PRESCRIPTIONS GENERALES ( DTU 60-1 § 1,3 du chapitre 1)
*Epaisseurs et diamètres
Les diamètres extérieurs nominaux DN et les épaisseurs nominales (minimales) e : des tubes,
sont donnés en fonction de leur destination. Les tolérances sur les diamètres et les épaisseurs doivent
être conformes à celles données dans la norme NFT 54.003 § 4-3. Toutefois les tubes, dont le rapport
e/DN est inférieur à 0,05, n’ont aucune spécification à respecter en ce qui concerne le diamètre
extérieur quelconque..
Page 66
✓ Assemblage par raccords à bagues ;
✓ Assemblage à brides ;
✓ Piquage.
L’entrepreneur doit se conformer au DTU 60.1 chapitre V pour la réalisation de ces travaux.
Important :
D’une manière générale tous les travaux de soudage sur les tubes galvanisés doivent être réalisés au
GAZ-FLUX
14-3 : Canalisations apparentes
L’entrepreneur doit se conformer aux conditions du chapitre VI du DTU 60.1 qui fixent les
conditions sur lesquelles les travaux de canalisation apparentes sont réalisés dans les endroits
suivants :
✓ Locaux communs où il existe risque de condensations sur les canalisations ;
✓ Gaines galerie techniques ;
✓ Coffrage et faux plafonds ;
✓ Vides sanitaires.
Les canalisations exposées à une grande variation de température doivent être protégées par des
bandes adhésives on imprégnées.
ARTICLE 16 : ESSAIS
L’installation, après son achèvement fera l’objet des essais suivants ; effectués par le laboratoire
agrée :
✓ Essai d’étanchéité.
✓ Essai de circulation.
L’entrepreneur devra mettre à la disposition du BET, pendant toute la durée des essais, le
matériel de contrôle suivant :
✓ Manomètre de haute pression ;
✓ Pied à coulisse ;
✓ Débit – mètre ;
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ARTICLE 17 : PLANS D’EXECUTION ET DE DETAILS
Sur la base des plans d’architecture et des plans de principe des installations joints au dossier
d’appel d’offres, l’entrepreneur du présent marché aura à présenter, pour examen et approbation de la
Maîtrise d’œuvre technique, avant toute commande ou exécution, les plans de ses installations.
Ces plans devront être établis à une échelle minimale de 1/50 pour les plans d’ensemble et à l’échelle
de 1/20 pour les détails.
Les plans d’ensemble comporteront la légende du matériel et seront côtés conformément à
l’ossature en béton réalisée (dans le cas où ceux-ci le seraient) ou aux plans d’architecture.
Il sera établi des plans de détails divers pour :
*Les ouvrages de génie – civil.
*Les installations électriques avec les schémas unifilaires.
*Les installations de distribution (EC, EF et gaz) et d’évacuation, ainsi que les réservations dans
les ouvrages en maçonnerie.
*Des détails divers permettant la mise en œuvre de l’ensemble du matériel du présent marché.
ARTICLE 18 : ASSISTANCE TECHNIQUE – DOCUMENTATION
L’entrepreneur titulaire du présent marché devra l’assistance technique au Maître d’ouvrage
de tous les travaux faisant l’objet du présent marché. Il devra prévoir dans ses prix unitaires la
formation et l’information du personnel d’entretien chargé du fonctionnement des installations par un
Ingénieur ou un Technicien Supérieur Qualifié pendant une période de 15 (Quinze) jours qui pourra
se situer avant ou après la réception provisoire, à la demande du Maître d’ouvrage.
Lors de la réception provisoire, il sera remis au Maître d’ouvrage tous les documents
nécessaires concernant les installations réalisées et le matériel en place en 5 exemplaires.
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6 - ELECTRICITE – LUSTRERIE
ARTICLE 1 : OBJET
Le présent document définit les prescriptions générales que l'entrepreneur doit respecter pour
l'exécution des travaux objet du lot électricité. Il donne également la description des fournitures et
des travaux à réaliser listés dans le document intitulé "Clauses particulières et mode de règlement".
Les parties du présent document décrivant des fournitures ou travaux non listés dans les
"clauses particulières et mode de règlement" sont à considérer sans objet par l'entrepreneur.
En cas de contradiction, les prescriptions des "clauses particulières et mode de règlement"
priment sur celles du présent document.
ARTICLE 4 : REGLEMENTS
Les travaux seront exécutés suivant les règles de l'art, conformément aux normes, additifs,
décrets, arrêtés et règlements marocains en vigueur au Maroc à la date de la remise des offres, et
notamment, ceux applicables au présent projet, et cités ci-après :
4-1 : Réseaux
C11.001 : Textes Officiels relatifs aux conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les
distributions d'énergie électrique.
4-2 : Installations réglementées
C12.100 : Textes Officiels relatifs à la protection contre l'incendie dans les établissements qui
mettent en œuvre des courants électriques.
12.200 : Textes officiels relatifs à la protection contre l'incendie dans les établissements recevant le
public (ERP).
Décret N°88.1056 du 14 Novembre 1988.
4-3 : Installations électriques à haute tension
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NFC.13.100 : Postes de livraison établis à l'intérieur d'un bâtiment et alimentés par un réseau de
distribution publique de deuxième catégorie.
Arrêté du Ministère des TP et des communications N°566-70 du 02 Octobre 1971 portant
approbation du règlement pour la construction et l'installation des postes de livraison et de
transformation raccordés à un réseau de distribution d'énergie électrique publique ou privé de 2ème
catégorie.
4-4 : Installations à basse tension et équipements correspondants
NFC.15.100 : Installations électriques à basse tension.
C15.201 : Guide d'installations électriques des grandes cuisines.
C15.720 : Equipements de chauffage électrique.
4-5 : Autres installations
C17.200 : Installations d'éclairage public.
NFC.17.100 : Paratonnerre.
NFC.200.30 : Protection contre les chocs électriques
NFC.200-10 : Degré de protection des enveloppes d’appareillage électrique
Norme CEI831 : Condensateurs.
Norme NFC-54-100 : Condensateurs.
4-6 : Respect des règles de l'Art
Les dispositions techniques adoptées pour les ouvrages ainsi que les conditions de leurs
exécutions doivent être conformes aux règles de l'Art.
Sont notamment conformes aux règles de l'Art, le respect des prescriptions des textes officiels et des
organismes spécialisés mais aussi les recommandations des constructeurs.
Il convient également de rappeler que l'application du règlement ne résout pas tout, et que
l'Art de l'Ingénieur a un rôle essentiel, notamment pour traiter certains cas particuliers et certaines
situations spéciales.
ARTICLE 5 : MATERIEL ET MISE EN ŒUVRE
5-1 : Spécifications particulières
Normes U.T.E en particulier NF C15-100
5-2 : Spécifications générales
Les appareils seront neuf et de bonne qualité. Ils devront être conformes et la présentation
d’un procès verbal de conformité, délivré par un organisme habilité à cet effet, pourra être exigée
dans le cas où le matériel ne fait pas l’objet d’une norme U.T.E, celui ci devra présenter toutes les
qualités de solidité, de durée, d’isolement et de bon fonctionnement désirable.
La présentation d’un procès-verbal d’essais, de référence, pourra être exigée. Dans tous les
cas, l’entrepreneur devra, avant tout commencement d’approvisionnement, présenter un
échantillonnage ou un descriptif complet du matériel à mettre en œuvre et obtenir l’accord du Maître
de l’œuvre, notamment en ce qui concerne les appareils présentés comme similaires à ceux spécifiés
dans le devis descriptif technique.
L’entrepreneur ne pourra présenter aucune réclamation pour le refus d’un approvisionnement
de matériel non agrée.
Le matériel doit être de bon marque dans tous les cas ou les normes UTE en prévoient
l’attribution.
Les listes de matériels admis à la marque de conformité aux normes NF et USE sont données
par les publications périodiques de l’U.T.E.
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ARTICLE 7 : INDEPENDANCE DES INSTALLATIONS
Les installations électriques seront mises en œuvre de manière que soit exclue toute influence
matérielle dommageable entre celles-ci et les installations non électriques du bâtiment.
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✓ La fourniture de tous les matériaux et appareillages, leur transport, leur déchargement,
stockage et amenée à pied d'œuvre.
✓ La main d'œuvre et le matériel nécessaires à l'exécution des ouvrages.
✓ L'alimentation,, le raccordement ainsi que le réglage de tous les appareils et organes
nécessaires au bon fonctionnement des installations.
✓ La protection et la conservation des approvisionnements et ouvrages pendant la durée des
travaux et jusqu'à la réception des installations.
✓ La protection contre la corrosion de tous les éléments métalliques.
✓ Les scellements et rebouchages des trous, s’ils n'étaient pas exécutés correctement, ils
seraient refaits.
✓ La protection des ouvrages existants, la remise en état des ouvrages détériorés au cours des
travaux, les nettoyages en fin des travaux.
✓ Les essais préalables à la réception et l'entretien de l'installation pendant la période
correspondant au délai de garantie. A cet effet, l'entreprise prendra à sa charge une police d'assurance
qui couvrira l'entreprise entre la période de mise en service pour les essais de matériels appartenant
aux corps d'état secondaires, et la date de réception.
En aucun cas, l'entrepreneur ne pourra arguer de l'imprécision des plans, descriptifs et
documents annexes ou d'omissions, s'il y a lieu pour refuser d'exécuter, dans le cadre et les
conditions du marché, tout ou partie des ouvrages nécessaires au bon achèvement des travaux à
effectuer, et devra suppléer par ses connaissances professionnelles aux détails ou omissions
éventuels.
L'entreprise est tenue de prendre connaissance de l'intégralité des dossiers d'appel d'offres. Elle
ne pourra se prévaloir d'aucune omission dans le descriptif ou les plans.
ARTICLE 13 : DOSSIER DE RECOLLEMENT
A la fin des travaux, l’entrepreneur fournira l’ensemble des documents de recollement en 05
exemplaires dont 1 reproductible et un support informatique regroupant l’ensemble de ces documents
sous forme de fichiers.
De même l’entrepreneur fournira en 3 exemplaires dont 1 original, la documentation de tous
les équipements fournis.
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Respect des prescriptions de la norme NFC 15-100 Art.473.3.2.
15-1-4 : Interdit
- Utilisation du schéma TN-C :
*en aval d'un dispositif DR.
*en aval d'un schéma TN-S.
- Utilisation d'un conducteur PEN :
*dans les canalisations mobiles.
*dans les locaux à risque d'incendie sauf circuits traversant ces locaux.
*dans les locaux à risque d'explosion.
*de section inférieure à 10mm² en cuivre ou 16mm² en aluminium.
*commun à plusieurs circuits.
- Utilisation d'éléments conducteurs tels que chemins de câbles comme conducteur PEN.
- Sectionnement et coupure du conducteur PEN.
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régulièrement et tous les 25m approximativement afin de ne pas augmenter l'impédance de la boucle
de défaut.
Dans tous les cas où des incertitudes existeraient sur le fonctionnement des protections du fait
d'une trop forte impédance de la boucle de défaut, l'entrepreneur devra prévoir le renforcement des
liaisons équipotentielles à cet endroit, dans le but d'augmenter la valeur du courant de défaut
présumé.
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Toutes les portes seront pourvues de fermeture rapide et serrure de sécurité, suivant
l'importance de ces armoires, les portes pourront être à deux vantaux, à un vantail ou tout
simplement constituée par un simple portillon.
Lorsque les portes seront équipées d'appareils de mesure, de contrôle ou de commande, un
profilé en forme de "Z" et perforé sur toute sa longueur sera soudé à la fois sur la porte et le cadre
dormant à proximité des charnières pour permettre la fixation des barrettes des jonctions souples du
type de première qualité
Lorsque les armoires se trouveront placées dans des locaux humides ou poussiéreux, les
portes seront pourvues de joints pour assurer l'étanchéité.
La rentrée et la sortie des câbles seront réalisées par presse-étoupes.
Ces tableaux seront dimensionnés pour permettre, sans modification une adjonction
d'appareillage d'environ 20%.
Les tableaux se présenteront sous forme de tableaux encastrés ou apparents selon le désir du
Maître d’œuvre. Les tableaux apparents se fixeront sur mur au moyen de vis placées au fond du
tableau et se vissant sur des taquets préalablement scellés.
Les tableaux encastrés seront réalisés avec un boîtier de fond muni de pattes à sceller
permettant la mise en place de la tôlerie avant la pose de l'appareillage.
Tous les tableaux et coffrets seront munis de pochettes contenant les schémas unifilaires
correspondants.
18-3 : Jeu de barres
Les sections des jeux de barres et leurs fixations devront tenir compte de l'intensité nominale
débitée sur les tableaux majorés de 25% ainsi que de l'intensité de court-circuit pouvant être donnée
par les sources.
Le jeu de barres sera monté sur isolateurs porcelaine et serre-barres. Les isolateurs seront
montés sur ferrures, soigneusement fixés sur la partie arrière des armoires au moyen d'un châssis.
Les barres du jeu de barres seront peintes selon les couleurs conventionnelles.
Le jeu de barres sera isolé par un écran protecteur en matière isolante démontable au moyen
d'outils afin d'éviter les risques d'accident lors des interventions d'entretien ou de réparation.
En régime TN, le jeu de barres sera tripolaire en partie haute ou sur les côtés de l'armoire. La barre
PEN sera installée en partie basse et dimensionnée pour véhiculer les courants pouvant transiter par
le neutre.
18-4 : Mise à la terre
Ces tableaux et armoires comporteront une barre ou borne de terre selon l'importance, repérée
par un symbole sur laquelle seront connectées toutes les parties métalliques. Si un appareil alimenté à
une tension autre que T.B.T est fixé sur la porte, les vantaux de portes seront mis à terre par des
tresses.
18-5 : Câblage
18-6 Arrivée sur bornes sectionneur, interrupteur ou disjoncteur.
18-7 Bornes ou barrette de terre.
18-8 Bornes ou barrette du neutre.
Les liaisons entre jeux de barres et appareils de protection avec appareils de commande seront selon
leurs intensités en barres ou trolley ou fil U500V aux couleurs conventionnelles.
Ces fils seront équipés de cosses à serrage mécanique ou sertis.
Le raccordement entre les appareils de protection et les appareils de commande, télécommande,
contrôle et mesure placés sur la face mobile du tableau se fera au moyen de barrettes de connexion
placées l'une sur un profilé fixé sur le cadre dormant de l'armoire et l'autre sur la partie mobile.
Les liaisons entre barrettes seront réalisées en U 500 SV d'une longueur suffisante pour permettre
l'ouverture complète de la porte.
Le cheminement des câbles à l'intérieur de l'armoire se fera en nappes horizontales ou
verticales placées dans un conduit de filerie isolant ou judicieusement ligaturé ou mis dans des
goulottes avec couvercles.
Les entrées et sorties de câbles seront réalisés à travers des presse-étoupes.
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18-9 : Appareillage
L'appareillage à installer dans chaque tableau est décrit dans les spécifications définissant les
ouvrages à réaliser (clauses particulières) et les schémas unifilaires. Cependant, en cas de manque de
renseignements on peut se référer aux prescriptions ci-après :
18-9-1 : Généralités
Les armoires ou tableaux comprendront en principe :
* Une arrivée de câbles avec disjoncteur général ou interrupteur à coupure en charge.
Les différents départs seront protégés par disjoncteurs.
Dans certains cas, ces armoires peuvent être équipées d'un matériel différent de celui précité, seul le
schéma unifilaire du tableau et/ou les documents annexés au présent descriptif donneront la
composition exacte de l'appareillage qui le composera.
Les armoires et coffrets principaux seront équipés des signalisations suivantes :
*3 ampèremètres permettant la mesure de l'intensité sur chaque phase.
*1 voltmètre avec commutateur permettant la mesure de la tension entre phases et entre chacune des
phases et le neutre.
L'ensemble de ces appareils de mesure, contrôle, signalisation et commande sera du type encastré
pour tableau.
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La protection contre la corrosion comprend un décapage et un revêtement antiphosphatant,
deux couches d’apprêt anti-corrosif et deux couches de peinture glycérophtalique.
L'ensemble de l'installation B.T devra être traité sous l'impératif de limitation, voir de la
suppression de l'entretien préventif, principalement sous la forme de :
➢ L'accessibilité parfaite de l'appareillage permettant la surveillance, certains nettoyages sous
tension, l'examen des contacts de l'appareillage.
➢ Le déconnectage et le démontage rapide des appareillages, sans possibilité de mise hors
tension des appareils voisins.
➢ Les boulonnages, vissages, éclissages, traités de manière indesserrable, avec rondelles, freins,
rondelles de blocage, écrous NYL-STOP, principalement pour les connexions électriques.
➢ Les câbles raccordés sur les bornes ou plages par l'intermédiaire de cosse serties ou soudées.
➢ Chaque tableau général ou divisionnaire comprenant un compartiment renfermant les
cartouches de rechange par catégorie de fusibles dans les proportions de :
*1 cartouche de rechange pour 1 à 6 coupe circuits unipolaires installés.
*3 cartouches de rechange pour 7 à 12 coupe circuits unipolaires installés.
*6 cartouches de rechange pour 13 à 30 coupe-circuits unipolaires installés.
*8 cartouches de rechange pour 31 et au delà, coupe circuits unipolaires installés.
➢ Les circuits prioritaires et non prioritaires devront être différemment repérés dans les tableaux
et coffrets de raccordement.
➢ Les circuits d'éclairage, de sécurité, d'alarme, conçus pour pouvoir être facilement repérés en
suivant l'installation.
➢ Les phases repérées par les couleurs réglementaires pour l'ensemble des bâtiments quel que
soit le nombre de postes de transformation et correspondant exactement aux phases de distribution.
➢ Les distributions triphasées, et en particulier, les prises de courant triphasées branchées dans
le même ordre (un moteur asynchrone triphasé sur l'une quelconque des prises de l'un quelconque
des bâtiments, devra tourner dans le sens des aiguilles d'une montre pris comme référence).
18-13 : Equipements particuliers
Les armoires et tableaux doivent comprendre tous les équipements prévus, dans les schémas
unifilaires correspondants et les clauses particulières.
En particulier, dans le cas ou une gestion technique du bâtiment est prévue, il sera prévu un
emplacement suffisamment dimensionné pour la mise en place des sous stations et d’un bornier
général de communication. Toutes les informations seront ramenées sur ce bornier sous forme de
contacts secs.
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19-2 : Proximité des câbles d'énergie et des câbles de télécommande
Une distance minimale de 20cm doit être respectée au croisement d'une ligne d'énergie et
d'une ligne de télécommande.
Lorsqu'un câble d'énergie et un câble de télécommande ont un tracé parallèle, les distances
suivantes doivent être respectées :
*50 cm par rapport à un câble de télécommande enterré directement dans le sol.
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*Enlever du parcours tous les objets, cailloux, obstacles qui pourraient endommager le câble
pendant le tirage.
*Bien nettoyer les fourreaux et enterrés des fourreaux.
*Répartir les galets afin que le câble ne frotte pas sur le sol.
*Aménager les angles et particulièrement les entrées de fourreaux à l'aide de galets guidant le
câble horizontalement et verticalement (le câble ne doit pas frotter sur l'arrêté des entrées de
fourreaux.
*Faire des courbes les plus grandes possibles, ne jamais "casser" le câble pour lui faire
prendre la courbe.
TRES IMPORTANT :
Lorsque les câbles sont posés en tranchée ou sous fourreaux, un repérage du parcours serait
obligatoire. Les repères seront constitués par des bornes indestructibles, placées sur les parcours des
câbles, à chaque changement de direction et à chaque pénétration.
La distance maximale entre deux repères ne dépassera pas 75m.
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Plinthe de 1ère qualité, type DLP, dimension 150x55 (sauf précision contraire par les clauses
particulières) comprenant :
*Eléments droits avec couvercle.
*Cloison de séparation courante forts/courants faibles.
*Accessoires de finition tels que, embouts gauches ou droits, angle intérieur plat, ou externe variable,
dérivation plane.
*Divers accessoires.
Les câbles électriques ne font pas partie de la goulotte, il en est de même des appareillages.
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ARTICLE 22 : PETIT APPAREILLAGE
1/ Tous les appareillages de ce genre seront encastrés. Les interrupteurs, commutateurs seront
du type unipolaire 10A/250V, selon norme 61 110 et ses additifs.
les interrupteurs doivent être conforme aux NM 06.6.001.
2/ A touche basculante, avec mécanisme silencieux à ouverture et fermeture brusque,
totalement indépendant, leur enveloppe en matière isolante assurant une protection :
• Isolante dans les locaux secs (HO et H1)
• Contre les projections d’eau dans les locaux à risques (H3)
3/ Les prises de courant monophasé 10/16A-220V/I, selon norme 61.303 seront munies d’une
protection éclipsable sur les orifices des prises de courant.
4/ Les boites encastrées doivent permettre de loger correctement, après raccordement de
l’appareil, 10cm de longueur libre de conducteurs.
Les appareils sont fixés sur les boitiers par vis ou par griffes.
Les plaques de recouvrement doivent être isolantes.
Si plusieurs appareils sont placés côte à côte, une plaque de recouvrement commune sera utilisée.
5/ Les appareils destinés aux locaux à risques pourront être du type « en saillie » Ils devront
répondre aux spécifications du code AF ou HE de l’article 32 de la norme NFC 15-100.
6/ Les interrupteurs seront placés à 1,40m du sol fini. Les bords les plus proches de la plaque
de recouvrement ne seront jamais à moins de 5cm de toute huisserie, couvre-joint ou arête de mur.
7/ Les prises seront placées à 0,20m du sol fini (arase inférieure de la plaque) sauf indication
particulière.
8/ La réalisation d’un interrupteur comprend :
✓ L’interrupteur complet y compris mécanisme et enjoliveur.
✓ La boite d’encastrement ou dispositif de fixation
✓ Le conduit ou tout autre type de cheminement entre l’interrupteur et les foyers
lumineux qu’il commande.
✓ Le câble de liaison entre l’interrupteur et les foyers qu’il commande (section
2x1,5mm² cuivre pour un simple ou double allumage et 3x1,5 pour un va et vient).
9/ La réalisation d’une prise de courant comprend :
✓ La prise de courant complète y compris mécanisme et enjoliveur.
✓ La boite d’encastrement ou dispositif de fixation.
10/ La réalisation d’un bouton poussoir comprend :
✓ Le bouton poussoir y compris mécanisme et enjoliveur.
✓ La boite d’encastrement ou dispositif de fixation.
✓ Le conduit, out tout autre type de cheminement, depuis le tableau électrique ou
un autre bouton poussoir.
✓ Le câble depuis le tableau électrique ou un autre bouton poussoir (section
2x1,5mm² cuivre).
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Les hublots ou appareils fermés seront dimensionnés pour supporter l’échauffement dû à la
lampe, sans aucune altération même s’ils sont équipés d’une ampoule de puissance supérieure à celle
prévue au marché.
Dans le cas d’appareils à incandescence alimentés en TBT < 50V classe III. Ils devront être
raccordés à un transformateur de sécurité agrée, Le primaire de ce transformateur sera considéré
comme une installation de classe I ou II et par conséquence la masse du transformateur sera reliée à
la terre. Les transformateurs doivent être installés dans un endroit facilement accessible et bien
ventilé et seront placés à proximité des luminaires, afin de limiter la chute de tension de distribution
TBT.
Il sera prévu un transformateur pour un appareil d’éclairage TBT.
2-Appareils fluorescents
Ces appareils seront équipés de leurs tubes et dispositifs d'allumage.
Allumage à starter sauf précision.
Appareils compensés à cos-0,9. minimum.
Température de couleur suivant affectation des locaux. (IRC)
Bruit minimum.
Norme :
Les appareils seront réalisés conformément à la norme UTE 71.210 relative à la définition et
aux essais de ballast.
Ils devront répondre aux conditions d'essais du Laboratoire Général des Industries électriques avec :
*Epreuve hygroscopique.
*Mesure des résistances d'isolement.
*Niveau de bruit des ballasts (maximum : 18dB).
*Contrôle de l'isolement entre spires.
*Vérification des tensions à vide.
*Vérification des courants de préchauffage.
*Mesure de la puissance et du courant fourni aux lampes.
*Vérification des tensions aux bornes du starter.
*Mesure de la puissance du courant absorbé au secteur et du facteur de puissance.
*Forme d'onde des courants fournis aux lampes.
*Forme d'onde du courant absorbé par l'ensemble.
*Echauffement anormal.
*Essais diélectriques après échauffement.
*Ballast : classe de température TW130.
Echantillons :
Pour permettre la coordination des différents corps d'état intéressés par la pose des matériaux
et pouvoir apprécier l'aspect esthétique des luminaires et faire des mesures d'éclairement et de
lumière, il sera demandé à l'entreprise, la fourniture et la pose de luminaires par zone qui serviront de
prototypes.
L'entreprise s'engage, par la remise de sa soumission, à modifier certains détails pour mise en
conformité avec les desiderata du Maître d'œuvre et du Maître de l'Ouvrage.
Tôlerie :
Le caisson du luminaire sera réalisé en tôle d'acier pliée d'une épaisseur minimale de 6/10mm pour
obtenir une rigidité suffisante.
Il sera recouvert, après dégraissage et phosphatation, d'une peinture laquée blanche cuite au
four à 180°C.
Le caisson des luminaires encastrés devra remplacer une plaque de faux plafond et sera
prévue pour permettre la fixation du luminaire sur la dalle béton à l'aide de 4 tiges filetées de
diamètre 8 minimum. La fixation des appareils sera indépendante du faux plafond sauf accord
explicite du Maître d'œuvre et du Maître d'ouvrage.
Equipement électrique :
L'ensemble de l'appareillage électrique aura un facteur de puissance de 0,85 minimum et
l'effet stroboscopique devra être compensé.
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L'ensemble de l'appareillage sera monté sur une platine démontable et fixée au corps de
l'appareil par des écou à oreilles. Allumage à starter.
A l'exception des tubes, aucun appareillage ni filerie ne sera visible pour une personne placée
directement sous l'appareil.
Ballast faible perte et super-silencieux (de 1ère qualité).
3- Appareils a décharge
*Lampes à vapeur de mercure.
Température de couleur : 3300k
IRC : 60
*Lampes à vapeur de sodium haute pression.
Température de couleur : 1400 à 2150k
IRC : maxi 65
*Lampes à iodures métalliques
Température de couleur : 3000 à 5600.
IRC : 70 à 92
*Lampes à vapeur de sodium basse tension monochromatique 200Ims / W
Les lampes à décharge seront toutes alimentées par l’intermédiaire d’un ballast permettant de limiter
et d’ajuster le courant de la lampe.
Ces ballasts seront associés à un amorceur afin d’établir une mise sous tension des lampes avec
amorçage des lampes à décharges.
Dans tous les cas, l’appareillage comprenant « ballast amorceur » sera installé dans des
coffrets étanches
4-Mise en œuvre
La mise en œuvre des appareils d'éclairage sera complète, de la fourniture de l'appareil à la pose et
aux essais.
La mise en œuvre se déroulera de la façon suivante :
*Fourniture sur le chantier suivant un planning pré-établi, les appareils d'éclairage étant entièrement
câblés et prêts à la pose, cette fourniture sur le chantier s'effectuant par zone, étage
*Déchargement et stockage de préférence sur le plateau de travail.
*Raccordement.
Nous attirons tout particulièrement l'attention de l'entreprise sur la propreté et la perfection
des peintures. Par conséquent, le stockage devra être particulièrement soigné, le local de stockage si
possible chauffé, et dans tous les cas, ces locaux devront être propres et ne présenter aucune trace
d'humidité.
Tout appareil d'éclairage stocké dans un lieu humide sera systématiquement refusé.
Après le déballage des luminaires, les emballages seront évacués hors du chantier, cette
évacuation étant à la charge du l’entrepreneur.
L'entreprise aura à sa charge l'ensemble de coordination avec le spécialiste de faux plafonds (trame,
percement,).
5-Essais et réception
5-1 : Vérification de l'état des appareils
A la réception provisoire, il pourra être procédé à l'inspection de :
*L'état des peintures.
*La rigidité et la stabilité des fixations.
*L'alignement des appareils.
5-2 : Essais électriques et photométriques
*Mesures d'éclairement.
*Mesures de luminance.
*Mesures d'isolement de circuits.
*Compensation de l'effet stroboscopique et du facteur de puissance.
*Mesures de consommation.
Essais d'allumage.
Tout ouvrage qui ne répondra pas aux caractéristiques demandées sera systématiquement refusé.
Page 83
ARTICLE 24 : ECLAIRAGE DE SECURITE
1- Classification
Le type de l'éclairage de sécurité prévu est précisé par les clauses particulières.
2-Eclairage de sécurité par blocs autonomes
2-1 : Réglementation
L'installation devra être conforme à l'arrêté du 28 Février 1968 sur les conditions auxquelles
doivent répondre les blocs autonomes d'éclairage de sécurité, et à la norme NFC 63.800 concernant
les dispositifs pour la mise en service automatique de l'éclairage de sécurité et de panique et à l'arrêté
du 30 Août 1976.
Tous les blocs autonomes doivent être commandés par un bouton poussoir permettant en une
seule commande de les mettre à l’état de repos (prévoir unité de pilotage et bus de commande).
Ils seront étanches dans les locaux humides.
2-2 : Constitution des blocs autonomes
Les blocs autonomes de sécurité auront une capacité minimale d'une heure. Ils se
composeront de :
1 boîtier en matière plastique translucide avec ou sans inscription « "sortie » « sortie de secours »
ou flèches (suivant les utilisations).
*1 chargeur incorporé, avec transformateur dévolteur.
*1 système de charge automatique avec relais de tension.
*1 relais à manque de tension.
*1 batterie cadmium-nickel sans entretien, assurant une autonomie d'une durée d'une heure et demi-
*1 dispositif de mise au repos à installer à proximité du tableau divisionnaire concerné.
*1 ensemble optique doté d'ampoules normalisées à haut rendement lumineux et à grande durée de
vie.
2-3 : Distribution
Identique à la distribution éclairage.
Interdiction absolue d'effectuer des dérivations à l'intérieur des blocs.
Page 84
3-Equilibrage des phases
L'équilibrage des phases sera observé au niveau de chaque armoire, tableau ou coffret.
L’entrepreneur devra procéder à cet équilibrage avant la réception provisoire.
Page 85
7 - PEINTURE – VITRERIE
2- VITRERIE
✓ DTU 39 : Miroiterie - vitrerie
✓ NM 13-4-001 : Verres plans – terminologie
✓ NM 13-4-002 : Verre à vitre – généralités
✓ NF B 32-002 : Verre étiré - généralités
✓ NF B 32-003 : Glace non colorée - généralités
✓ NF P 78-301 : Verre étiré pour vitrage du bâtiment
✓ NF P 78-302 : Glaces pour vitrage de bâtiment
✓ NF P 78-305 : Verre armé plan pour vitrage de bâtiment.
✓ NP P 78-331 : Mastic à l'huile de lin
Page 86
L'entrepreneur devra tous les travaux de sa profession nécessaires au compte achèvement des
ouvrages.
Les travaux de peinture vitrerie comportent la fourniture et la mise en œuvre de tous les
produits, matériaux et engins nécessaires à la réalisation des ouvrages définis par le Devis Descriptif.
Obligations particulières :
Les obligations de l'entreprise comportent non seulement l'observation des prescriptions des
textes énumérés ci-dessus, mais aussi l'observation de tout autre décret, arrêté, réglementation ou
normes en vigueur à la date de la remise de l'offre et applicable aux travaux du présent marché.
Dans le cas où un point du projet ne serait pas conforme à une publication en vigueur,
l'entreprise devrait le signaler à la Maîtrise d’œuvre technique avant la remise de son offre. Tous les
frais d'une modification du projet une fois le marché passé seraient à la seule charge de l'entreprise.
Sont à la charge du l’entrepreneur :
✓ La reconnaissance préalable des supports ;
✓ La protection des ouvrages non peints ;
✓ Les opérations préparatoires en fonction du support et du degré de finition ;
✓ L'exécution des couches de peinture compris rebouchages et ponçages éventuels entre
chacune d'elles ;
✓ Les raccords de peinture après ajustage de menuiseries.
✓ L'entrepreneur devra le nettoyage usuel des locaux en fin de chantier, pour permettre leur
mise en service.
✓ L'entrepreneur devra tous traitements et protections imposés par le présent marché et les
cahiers des charges.
✓ L’entrepreneur devra toutes dispositions à prendre pour l'amenée, à pied d'œuvre, de ses
matériels lourds.
L'entrepreneur devra les dispositions concernant la sécurité de son personnel et celle des autres
ouvriers travaillant au voisinage de ses installations.
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En vue d'un fini général sans reproches des peintures et pour dégager sa responsabilité,
l'entrepreneur devra, avant exécution, signaler tous les raccords et imperfections à faire reprendre par
les autres corps d'état, tels que enduits mal faits ou cloqués, plinthes non poncées, mauvais
scellements, fissurations .
Tous les sols devront être efficacement protégés afin de ne pas être tâchés.
Chaque opération dans le déroulement des travaux de peinture pourra faire l'objet d'un constat, les
couches de peinture devront se différencier par une légère nuance de teinte, la dernière couche étant
bien entendu, au ton exact défini par la Maîtrise d'œuvre technique.
L'attention de l'entrepreneur est attirée sur le fait que les menuiseries et quincailleries posées
avec une couche d'impression n'impliquent pas obligatoirement que cette impression ne soit pas à
refaire.
Les travaux tels que le nettoyage final des lieux sont à la charge de l'entrepreneur et devront être
exécutés de façon parfaite, les sols en mosaïque, les plinthes et leur retour horizontal devront être
lessivés à plusieurs reprises au savon noir de première qualité, l'acide chlorhydrique étant
formellement interdit (sauf accord de la Maîtrise d'œuvre Technique).
Les hauts et bas de portes hors vue devront être peints, les serrures des portes bloquées
devront être nettoyées avec quincailleries, crémones, targettes, paumelles ; toutes les paumelles ou
charnières perforées devront être huilées.
Le blanc de zinc devra être obligatoirement composé d'un minimum de 99,6% d'oxyde de
zinc portant le label de qualité cachet vert.
Tout produit destiné à remplacer l'huile de lin pure est formellement interdit.
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Avant de reposer les parcloses, on procédera au bourrage en fond, et en avant feuillure, puis on
lissera parfaitement les tranches d’épaisseur.
Une fois la vitrerie posée, un marquage de 1ère choix aux deux faces sera exécuté.
ARTICLE 9 : CALCUL DU VITRAGE RECTANGULAIRES
Vitrage pris en feuillure sur 4 côtés
a/ Vitrage dont le rapport L/l est inférieur ou égal à 3 :
SP
e= ------
\ 72
b/ Vitrage dont le rapport L/l est supérieur à 3 :
l\ P
e = -----------
4,9
P = Pression du vent sur le vitrage en Pa.
S = Surface de la vitre en m²
e = Epaisseur du vitrage en mm
L est l dimension du vitrage en m
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CHAPITRE III
DEFINITION ET DESCRIPTION DES PRIX DES
OUVRAGES
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1- DEMOLITION - GROS ŒUVRE
L’entrepreneur sera tenu responsable de toutes les dégradations qu’il pourrait occasionner au
bâtiment existant ou partie d’ouvrage à conserver lors de l’exécution de ses travaux.
Dans le cas ou il estimerait que ce certaines précautions particulières devraient être prises, il devra en
aviser la Maitrise d’œuvre avant exécution. Toutes dégradations ou tous manquements aux sujétions
ci-dessus seront reprises aux frais de l’entrepreneur après établissement d’un procès verbal définissant
les malfaçons constatées et les conséquences prévisibles. Les prix remis par l’entrepreneur devront
tenir compte de toutes les sujétions d’exécution, main d’œuvre, échafaudages, étaiements, évacuation
des gravois et matériaux non récupérables aux décharges publiques.
L’entrepreneur devra se rendre personnellement compte sur place pour apprécier, à son point
de vue et sous sa responsabilité, la nature, l’importance et la difficulté des travaux de démolition
et de reprise à effectuer avec le plus grand soin avec un matériel léger et une main d’œuvre
hautement qualifiée. Aucune réclamation, notamment de supplément de prix ne sera admise en
cas de sous estimation des travaux.
1-DEMOLITION
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Ouvrage payé à l’ensemble des travaux
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TERRASSEMENT
Généralités
Avant d’entamer les travaux l’entrepreneur devra au préalable :
✓ Procéder, par un géomètre agrée, à l’implantation du bâtiment dans le site destiné à l’abriter sur la base
du plan de masse de l’architecte et du plan de coffrage des fondations et la faire réceptionner par la
maîtrise d’œuvre.
✓ Demander à la maîtrise d’œuvre toutes précisions et indications nécessaires quant à l’emplacement et
la désignation des ouvrages à démolir ou à conserver et des travaux de terrassements.
✓ Prendre toutes les précautions qui s’imposent pour préserver la sécurité des personnes, et en particulier
contre la chute de débris de démolitions et la propagation des poussières, travaillant dans les locaux
voisins et ceux qui effectueront les travaux de terrassements ou de démolition (Balustrades, gardes
corps, filets, clôture).
✓ Prendre toutes les précautions nécessaires afin de préserver la stabilité des ouvrages avoisinants touchés
par les terrassements ou par la démolition (Etaiement, renforcement).
✓ Établir un plan d’installations du chantier à soumettre à la maîtrise d’œuvre pour avis.
✓ Remettre les certificats de conformité des grues destinées au chantier avant leur montage.
✓ Ces prescriptions sont valables pour tous les travaux à exécuter et sont comprises dans les prix unitaires.
Les fouilles, dans tout terrain de toute nature seront exécutées aux endroits désignés par le laboratoire et la
maîtrise d’œuvre.
Les dimensions horizontales sont celles figurant sur les plans de béton armé. Toute sur largeur nécessaire
doit être incluse dans le prix unitaire. Toutes les terres terrassées doivent être identifiées en vue de leur
réutilisation en remblais et seront stockées aux endroits indiqués par la maîtrise d’œuvres.
Les dimensions verticales seront sanctionnées par un PV de réception de fond de fouille par le laboratoire
et prise en attachements contradictoires en présence du représentant maître d’ouvrage, de la Maitrise
d’œuvre et de l’entreprise.
Aucun travail de béton ou de maçonnerie ne sera entrepris avant l'accord du B.E.T. Les profondeurs
dépassant les côtes admises par le maître d'Ouvrage et le B.E.T. ne seront pas payées.
Les prix de règlement comprennent toutes sujétions de boisage, talutage, blindage, épuisement des eaux,
relèvement des terres, de stockage provisoire des terres propre aux remblais ou plantations, rechargement
des terres stockées et leur transport aux endroits de leur réutilisation et évacuation des terres impropres ou
excédentaires à la décharge publique autorisée ainsi que le déracinage des arbres et arbustes.
NOTA : l’entreprise pourra présenter une solution pour la réalisation des fouilles et à valider par la maitrise
d’œuvre. Tous les frais de cette solution sont à la charge de l’entreprise.
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Les déblais provenant des fouilles pourront être utilisés en remblaiement, s’ils présentent les
caractéristiques nécessaires après établissement des essais d’identification par un laboratoire agrée la charge
de l’Entrepreneur avec accord du Maître d’Ouvrage.
Ouvrage payé au mètre cube théorique pour toutes profondeurs, sans aucune majoration pour façon de talus
et foisonnement, dans tous terrains. Aucune démolition ne sera effectuée sans l’accord de l’Architecte, le
BET et le Maître d’Ouvrage. Toute détérioration des ouvrages avoisinants les zones de démolitions seront
refaites à la charge de l’Entrepreneur.
Ouvrage payé au mètre cube théorique d’après les attachements représentant l’état des lieux avant et
après les fouilles, sans majoration d’aucun foisonnement
TRAVAUX EN FONDATIONS
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Le prix du règlement comprendra le coffrage, le damage et toutes sujétions de mise en œuvre. Les
attachements signés contradictoirement sont indispensables.
Ouvrage payé au mètre cube théorique pour toutes sections, suivant les largeurs prévues sur les plans et
hauteurs déterminées par le B.E.T.
Ouvrage payé au mètre cube
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Le ferraillage sera exécuté conformément aux règles de l’art, suivant plans détails de béton armé compte
tenu des recouvrements, chapeaux, renforts, crochets, ainsi que celles qui seront demandées par les
représentants du Maître d’Ouvrage.
Les armatures doivent être exemptes de toute substance susceptible de compromettre l’adhérence parfaite
au béton. Elles doivent être mises en place dans le respect du nombre, dimensions, formes et positions. Ils
doivent être :
− attachées entre elles avec du fil de fer recuit, en tout point d’intersection, pour qu’elles constituent une
cage rigide capable de rester exactement en place sans subir aucune déformation ou torsion en cours de la
coulée.
− suffisamment calées de façon à être rigoureusement à leur place. Les cales d’écartement doivent être
parfaitement noyées dans le béton. Elles doivent avoir 4 à 5cm d’épaisseur pour garantir un enrobage
correct des aciers.
Le prix s’applique aux ouvrages de fondation compris entre la partie supérieure des semelles et le niveau
de l’arase supérieure brute des dallages en béton ou des terrains aménagés.
Les poids des aciers pris en compte résulteront du mètre des longueurs prises par le poids théorique du
mètre linéaire en tenant compte des recouvrements, crochets et sans plus-values de majoration pour chutes,
fils de ligature, coupes, cintrages, tolérances de laminage, manutention en toute hauteur, mise en place dans
les coffrages.
Ce prix sera réalisé conformément aux plans Béton Armé fourni par le BET et approuvés par le BCT.
Ouvrage payé au kilogramme théorique y compris chutes
Le principe de l’assainissement sera conforme aux plans fournis par l’Architecte, les fouilles en tranchées
dans tout terrain sur largeur permettant la mise en œuvre des buses. Le dressage du fond de fouille et sa
mise en pente conforme au réseau de branchement seront compris.
Avant d’entreprendre les travaux, l’entrepreneur devra s’assurer que les côtes du F.R et du F.E de l’égout
public permettent le branchement au point prévu.
Page 96
➢ l’exécution des traversées de toutes natures ;
➢ la mise en place d’un lit de pose sous les canalisations en sable sur une épaisseur de 10 cm en terrain
meuble ou en gravette 15/25 sur une épaisseur de 15 cm en terrain rocheux.
➢ l'exécution des remblais primaires des tranchées sur 0,30 au-dessus de la génératrice supérieure des
canalisations en terre meuble inerte et criblée ou sable 0/10, compacté à 90 % de l'O.P.M.
➢ l'exécution des remblais secondaires exécutés avec des matériaux de remblai dépourvus d’éléments
supérieurs à 60 mm par couches successives de 0,20 m d’épaisseur, compacté à 95 % de l'O.P.M.
➢ Le criblage, arrosage, compactage.
➢ Les essais de contrôle du laboratoire
➢ La pose dans l'embarras des étais, nappe phréatique, ouvrages existants, câbles.
➢ Essais d’agrément et essais de contrôle (essais d'écrasement, d'étanchièté et d’écoulement).
➢ Le raccordement des buses aux regards et caniveaux sera parfaitement soigné.
Les canalisations seront payées au mètre linéaire, mesures prises à l’horizontale sur l’axe après construction
sans majoration pour joints ou pièces spéciales, y compris traversées de tout ouvrage, linteaux de
protection, raccords, parties courbes, inclinées, mais sans déduction des vides provenant des pénétrations,
des amenées, des canalisations diverses, des regards.
Ouvrage payé au mètre linéaire y/c raccordement au regard de branchement d’égout public
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d'épaisseur minimum avec un ferraillage en quadrillage HA8 e=20. Le radier formera cunette d'écoulement.
Les tampons seront exécutés en dallettes de béton armé de 7 cm d'épaisseur, ceux se trouvant au niveau des
dallages seront munis d'un double cadre cornière galvanisé et d'un système de levage escamotable.
Y compris toutes sujétions pour fourniture, étaiement, blindage, matériel divers, fabrication, transport,
manutention, accessoires, coupes, raccordement aux canalisations, main d'œuvre et mise en œuvre.
Le prix de règlement s’entend pour l’ouvrage complètement terminé y compris toutes sujétions de
fourniture, de main d’œuvre, de mise en œuvre, de terrassement dans tous terrains, de remblaiement et
d’enlèvement des terres excédentaires aux D.P autorisées, la façon des cunettes au fond du regard, enduits
lissés au mortier gras de ciment, tampon en béton avec anneau de levage escamotable, étanchéité des joints.
Ouvrage payé à l’unité
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DALLAGES ET FORME
PRIX N°16. : APPORT ET MISE EN PLACE D'UN TOUT VENANT COMPACTE POUR
DALLAGE EXTERIEUR ET INTERIEUR
Remblai en tout venant 0/60 insensible à l’eau de 20 cm d’épaisseur, indice de plasticité IP<12 à soumettre
à l’approbation du Laboratoire y compris essais d’identification à la charge de l’entreprise. Exécuté sur le
remblai ordinaire, ce prix comprend :
.Nettoyage du sol de fond de fouille.
.Compactage du sol de fond de fouille.
.Fourniture et mise en place de tout venant.
.Arrosage avec de l'eau et compactage par couche de 20 cm, compactage par le passage du rouleau
vibreur.
.Mise à niveau à la côte définitive.
.Toutes sujétions nécessaires.
L’emploi de graves, déchets de briques, d’agglos ou de béton est rigoureusement interdit.
Le tout venant sera mis en place suivant indications du laboratoire après compactage. Il sera pilonné, arrosé
et bien compacté. L'indice de compactage doit être au moins de 95% de l'OPM.
Tout venant proposé et avant son utilisation, devra faire l’objet d’une identification et subira par la suite des
essais de compactage par le même laboratoire à la charge de l’entreprise.
Ouvrage payé au mètre carré, y compris fournitures, main d'œuvre et toutes sujétions d’exécution
TRAVAUX EN ELEVATION
GENERALITES
Les ouvrages de béton armé en élévation seront réalisés en béton B25 obligatoirement vibré ou pervibré.
Ils comprennent le coffrage, le décoffrage, les étais et toutes sujétions de mise en œuvre à toute hauteur,
la fabrication exclusive aux engins mécaniques, le dosage à l’aide des caisses, les essais de granulométrie
et de résistance, les protections solaires et thermiques. Le prix de règlement comprend toutes sujétions
pour parties courbe à simple ou double courbure, pentes, formes irrégulières, trous trémies, engravures
suivant détails et coupe. Ces bétons seront payés au mètre cube théorique suivant les plans d’exécution
de B.A., les trous ou trémies de moins de 0,10 m² non déduits. Les aciers seront comptés ailleurs. Les
huiles de décoffrage seront à soumettre à l’agrément de la maitrise d’œuvre. L’Entrepreneur devra tenir
compte dans ces prix unitaires de ces sujétions de mise en œuvre et fourniture.
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PRIX N°18. : BETON POUR BETON ARME EN ELEVATION POUR TOUT OUVRAGE
Les ouvrages en béton armé en élévation (poteaux, voiles, poutres, auvents, porche d’entrée), seront réalisés
en béton B25 ou B30 dosé à 350 Kg/m3 de ciment CPJ 45, obligatoirement vibré ou pervibré, exécuté
conformément aux plans de détail établis par le Bureau d'Étude et approuvés par le Bureau de contrôle pour
toutes ouvrages.
Y compris réservations de toutes dimensions, fourniture et mise en place de fourreaux en PVC, les
traversées de toutes sections et polyester pour joints.
Le prix comprend également Acrotère, couronnement d’acrotères, dallettes couvres joints, les larmiers, les
joints creux et la façon de courbures et de pentes ou de formes irrégulières de toute épaisseur.
Ce prix comprend également le coffrage soigné pour les poteaux et voiles apparents.
De même, il ne sera pas tenu compte d’aucune plus-value pour la difficulté de réalisation des éléments
courbes, circulaires ou décoratifs de divers ouvrages et façades.
Ce prix sera exécuté conformément aux plans BA réalisé par le BET et approuvés par le BCT.
La fabrication sera réalisée exclusivement à l’aide du béton prêt à l’emploi ou à l’aide des centrales à béton,
le cas échéant à l’aide de la bétonnière pour les ouvrages de faibles importances ou de petites quantités.
Sans plus-value pour incorporation éventuelle d’adjuvants.
Ouvrage payé au mètre cube théorique, y compris toute sujétions d’exécutions
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chutes, fils de ligature, coupes, cintrage, façon de formes diverses et complexes, tolérances de laminages,
manutentions en toute hauteur, mise en place dans les coffrages, ….
Ouvrage payé au kilogramme théorique y compris chutes
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Ouvrage payé pour l’ensemble au mètre carré réellement exécuté mesuré entre nus intérieur des poutres, y
compris ferraillage, coffrage, décoffrage, étaiements, poutrelles simples, jumelées ou triplées,
renforcements, réservations nécessaires pour les lots techniques, l’occlusion des hourdis de rives, les frais
d’établissement des plans de pose ainsi que toutes sujétions de fourniture, de mise en œuvre et de finition
Sans aucune plus-values pour pente ou forme irrégulière.
Ouvrage payé au mètre carré théorique des plans de béton armé entre nu intérieur des poutres
compris toutes sujétions d’exécution, de coffrage et étais
MACONNERIES ET CLOISONNEMENTS
Les briques creuses céramiques répondront à la norme P13.301 et auront les caractéristiques fixées par
l’article 18 du D.G.A. Elles devront avoir reçu l’agrément du Maître d’Œuvre.
Les briques seront hourdées au mortier n°6. Les joints horizontaux et verticaux seront parfaitement remplis
et essuyés.
Les vides de section supérieure à 0.50 m² seront déduits.
Les 2 parois seront liaisonnées par des boutisses à raison d’au moins 1 au 2 m².
La fourniture et mise en place des briques creuses posées sur chants au mortier de ciment avec joint de 10
mm environ.
La fourniture et mise en place d’épingles en acier doux de diamètre 6 mm protégées par deux couches de
minium de plomb et disposées en Z au travers de la double cloison. Ces attaches disposées en quinconce
ne seront pas éloignées l'une de l'autre de plus de 1 m en plan et de 0,50 m en élévation.
Toutes sujétions nécessaires y compris tête de double cloison en béton armé, linteaux, et raidisseurs pour
toute ouverture dans les cloisons.
Ces travaux n’entraînent aucune plus-value, ils doivent être compris dans le prix unitaire.
Ouvrage payé au mètre carré
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ENDUITS
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OUVRAGES DIVERS
Pour surélever la partie basse des placards, douches et tout emplacement désigné par l’Architecte,
réalisation d’un béton de type B10 y compris pilonnage, calage et réglage du béton aux niveaux demandés,
rebouchage des trous, bourrage des joints des cadres ou autres, finition de l’enduit des murs et parois après
mise en œuvre du béton et exécution d’une chape de lissage incorporée au mortier gras.
Ouvrage payé au mètre carré réellement exécuté et y compris plus-values pour petites ou faibles
surfaces, façon de formes irrégulières, courbes ou inclinées ainsi que toutes sujétions de fourniture,
de difficulté de mise en œuvre et de finition
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2- ETANCHEITE
GÉNÉRALITÉS
Les travaux seront exécutés conformément aux règles de l'Art, aux modes d’emplois et d’application
renseignées dans chaque avis technique pour les différents produits d’étanchéité proposés et en particulier
aux prescriptions des normes marocaines NM 10.8.913.
L’Entrepreneur doit présenter avant tout commencement des travaux les avis techniques CSTB ou le
certificat de conformité à la NM délivré par IMANOR, les échantillons et les catalogues du procédé et des
produits de l'étanchéité et de l'isolation thermique proposés, pour approbation du BCT et accord du Maître
d'Ouvrage assisté par la maitrise d'Œuvre avant toute exécution;
L'entrepreneur doit s'assurer que ces supports sont exempts de défauts susceptibles de nuire à la bonne
exécution et à la tenue du complexe étanche.
Au moment de l'application du revêtement d'étanchéité, l'aire devra être absolument sèche, propre, solide,
débarrassée de toutes balèvres ou matières qui seraient susceptibles de modifier la forme ou la qualité de ce
revêtement.
L'entrepreneur réceptionnera les supports, dalles, canalisations d'eau ou d'électricité traversant les terrasses
et demeurera responsable de l'étanchéité qu'il aura réalisée sur ces supports.
Les couvertures devront présenter une fois terminées, des surfaces parfaitement régulières et bien
dégauchies, dans tous les sens, les faîtages devront être bien rectilignes, sans inflexions ni irrégularités
d'aucune espèce. Toutes les rencontres des lucarnes, gaines, Ainsi que les pénétrations des coupes seront
parfaitement raccordées avec les revers de couvertures.
Des essais de mise en eau seront effectués sauf dans le cas de toitures inclinées pour vérifier la tenue de
revêtement de l'étanchéité. A cet effet, on établira le niveau d'eau à quelques centimètres au-dessous des
points hauts des solins. On maintiendra le niveau pendant 72 heures. Aucune trace d'humidité ne devra
apparaître sur les plafonds ou sur les murs dans les dix jours qui suivent l'essai.
Au cas où des prélèvements seraient prescrits, ceux-ci devront être effectués au plus tard le jour de
l'achèvement des travaux d'étanchéité proprement dits et avant la protection. Ces prélèvements à la charge
de l'entrepreneur seront limités à un échantillon par terrasse d'une surface inférieure à 500 m².
Le rebouchage soigné, avec recouvrement sera effectué immédiatement.
Tous les ouvrages d’étanchéité seront garantis durant une période de 10 ans (DIX ANNEES) à compter de la
réception définitive. Cette garantie s’appliquera tant à l’étanchéité proprement dite qu’aux reliefs et aux
protections. L’entrepreneur devra compléter la présente offre par un certificat de garantie décennale établi
sur papier timbré.
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PRIX N°31. : ÉTANCHÉITÉ EN BICOUCHE
Localisation : terrasse non accessible et accessible et balcon
L’étanchéité sera posée en adhérence totale par soudage de deux membranes (épaisseur 2 et 4 mm) en
feuilles de bitumes modifiés élastomères SBS ou APP.
Elle est réalisée comme suit :
• Une couche d’enduit d’imprégnation à froid (E.I.F)
• Une première couche en membrane SBS ou APP, soudée au chalumeau, le recouvrement minimal entre
panneaux en longitudinale et de 10 cm et de 15 cm en transversale.
• La deuxième couche en membrane SBS ou APP, soudé au chalumeau sur la première couche, le
recouvrement minimal entre panneaux en longitudinale et de 10 cm et de 15 cm en transversale.
Le renforcement nécessaire suivant les normes dans les zones techniques est compris dans ce prix.
La mise en œuvre est effectuée suivant les instructions du bureau de contrôle et du bureau d’études et selon
la fiche technique du produit.
Le procédé et produits utilisés doivent impérativement être soumis à l’approbation du BCT et à l’avis du
Maître d’Ouvrage. L’ensemble sera exécuté conformément au DTU .43.1
Le prix de règlement s’entend pour l’ouvrage complètement terminé sans plus-value pour chutes, déchets,
dispositions et fournitures imposées par le mode de pose du produit.
Ouvrage payé au mètre carré, vu en plan, mesures prises entre nus acrotères ou de poutres, compris
toutes sujétions d’exécution
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PRIX N°34. : ETANCHEITE LEGERE POUR SALLES D’EAU
L'étanchéité légère remontera de 40 cm sur les murs et de 1 m sur les murs coté receveur de douche et
prolongée de 50 cm au droit des portes et comprendra :
Étanchéité des salles d’eau aux sols, y compris les relevés, procédée par feutre bitumé, système adhérent,
composé de :
- 1 Couche d'imprégnation
- 1 couche d’enduit d’application à chaud à base de bitume 1.50 Kg/m²
- 1 Feutre 36 S
- 1 couche d’enduit d’application à chaud à base de bitume 1.50 Kg/m²
- géotextile densité 150g/m² avec gravier de 10 à 20 cm d’épaisseur pour drainage pour les jardinière
Le prix de règlement s’entend pour l’ouvrage complètement terminé y compris toutes sujétions de
fourniture, de main d’œuvre, de mise en œuvre, d’essais, lit de sable provisoire de protection de 2 cm
d’épaisseur et sans plus-value pour chutes, déchets, dispositions et fournitures imposées par le mode de
pose du produit. L’ensemble sera exécuté conformément au DTU43.1, y compris toutes sujétions de
fourniture et de pose.
Ouvrage payé au mètre carré développé compris toutes sujétions d’exécution et de fourniture
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3-FAUX PLAFONDS
Généralités :
Les plans d’exécution et les notes de calcul sont à la charge de l’entreprise, et doivent être approuvés par
le Bureau de Contrôle.
L’Entrepreneur devra bien vérifier les plans et détails de l’architecte, pour apprécier à son point de vue
et sous sa responsabilité, les quantités, la nature, l’importance et la difficulté des travaux à réaliser, aucune
plus-value ne sera accordée après validation de son offre.
L’entreprise doit inclure dans ces prix unitaires au mètre carré le recoupement vertical des faux
plafonds (suivant instruction notice de sécurité incendie et de la maîtrise d’œuvre) par des panneaux en
plâtre M0 et conformément aux recommandations du bureau de contrôle. Les détails d’exécutions seront à
la charge de l’entreprise et devront être approuvés par le bureau de contrôle.
Les prestations ci-dessus mentionnées sont réputées incluses dans les prix de l’entreprise, sans
qu’il soit besoin de les mentionner à nouveau.
Fourniture et pose de faux plafond modulaire acoustique PACIFIC de 600x600mm de 1ère qualité,
réalisé suivant plans de calepinage de l’architecte :
Caractéristiques techniques :
✓ Dimension : 600x600mm
✓ Épaisseur : 15mm
✓ Classe d’absorption Européenne : B
✓ Absorption acoustique (αw) : 0.80
✓ Réaction au feu : A1
✓ Résistance à l’humidité (RH%) : 100
✓ Réflexion de la lumière : Jusqu'à 85%.
✓ Bords : A15
✓ Aspect : La face apparente sera pourvue d'un voile de verre Blanc et Lisse.
✓ Structure T15 et accessoires : de la gamme du faux plafond PACIFIC.
Mise en œuvre
✓ Ce faux plafond devra être installé et mise en œuvre par une main œuvre qualifié conformément
aux instructions de la fiche technique du fabricant et de la maîtrise d’œuvre et à la norme NFP
68203-1 et 2, réf. DTU 58.1 édition 2008
Y compris toutes les sujétions d'exécution nécessaires, telles que coupes, angles, façon arrêtes, petites
surfaces, fixations, façon de raccordement des parties horizontales et verticales, raccordements aux
maçonneries adjacentes, calfeutrements, passage des canalisations, décrochements, retours, retombées,
gorges arrondies ou joints en retrait, et toutes les découpes ou réservations pour appareils ou lustrerie quel
que soit le nombre.
Ouvrage payé au mètre carré, l’ensemble de ces travaux doivent être exécutés conformément aux règles de
l’art, au DTU, aux normes et aux directives et plans de finitions de l’Architecte, y. compris toutes sujétions
de fourniture et pose.
La surface à prendre en compte est la surface vue en plan, c’est à dire la surface plane projetée au sol, sans
aucune plus-value pour faux plafond de petites surfaces.
Payé au mètre carré
PRIX N°37. : FAUX PLAFOND EN STAFF LISSE Y/C JOINT CREUX ET PEINTURE
Les plans d’exécution et les notes de calcul sont à la charge de l’entreprise, et doivent être approuvés
par le BET et Bureau de Contrôle.
L’entreprise devra bien vérifier les plans de repérages et les détails de l’architecte afin de bien chiffrer
son offre, aucune plus-value ne sera accordée après validation de son offre.
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Les prix de règlement comprennent tous travaux préparatoires, découpes, raccords, ajustages,
assemblages, scellement divers et façons de trous réserves pour spots (y compris aide à la pose de ces
appareils), suspentes, échafaudages, protection des sols et des murs et, en règle générale, tous travaux,
toutes fournitures et toutes finitions nécessaires à la bonne tenue des ouvrages et permettant d’obtenir
une exécution et finition conforme aux règles de l’art.
Le prix au mètre carré des faux plafonds comporte également la fourniture et la pose de trappe de visite
(bois, de même nature que le faux plafond) au choix de l’architecte suivant plan et détail de la maîtrise
d’œuvre.
L’entreprise doit inclure dans ces prix unitaires au mètre carré la fourniture et la pose d’une ossature
intermédiaire dans le cas d’une hauteur importante entre le support (dalle, plancher) et le faux plafond,
l’entrepreneur doit réaliser une structure intermédiaire entre ces derniers (en métallique galvanisée),
aussi il doit fournir les plans d’exécution et les notes de calculs de cette structure, aucune plus-value
au supplément.
L’Entrepreneur devra bien vérifier les plans et détails architecte, pour apprécier à son point de vue et
sous sa responsabilité, la nature, l’importance et de la difficulté des travaux à réalisées, aucune plus-
value ne sera accordée à après validation des prix unitaires. Le prix comprend également la fourniture
et application d’une peinture acrylique, glycérophtalique sur faux plafonds des salles d’eau ou
décorative sur un faux plafond décoratif, panneaux en plâtre sculpté et arcades de 1ère marque, teintée
au choix de l’Architecte.
Ce prix rémunère la fourniture et la pose de faux plafond en plaques de staff lisse de toutes nature y
compris joints creux, joints apparents, corniches décoratives, gayza en staff lisse, plafond en staff strié,
Coupoles en staff lisse, etc. de toutes dimensions et formes horizontal, vertical, incliné et courbe, etc….
formant des surfaces unies avec joints apparents. Ces plaques seront suspendues de 1,00 x 1,00 m de
2 cm d’épaisseur obtenues par moulage de 2 couches de plâtre à modeler, rejetées à la brosse avec
interposition d’une couche de filasse de chanvre et seront posées et fixées avec suspentes galvanisées
enrobées de plâtre et filasse y compris armatures éventuelles selon dimensions et poids et
conformément aux DTU et aux instructions du BCT et de la Maîtrise d'Œuvre. Le nombre et type de
fixation sera arrêté avec le bureau de contrôle suivant le support et les dimensions des plaques. Les
joints entre les plaques seront repris au plâtre blanc fin, les arrêtes devront être parfaitement rectiligne.
La tolérance de planimétrie ou d’alignement ne doit excéder 2mm sous une règle de 2.00 m. Un soin
particulier doit être pris pour les fixations des faux plafonds sur les planchers hourdis. L’ensemble
devra être d’une finition irréprochable, et d’une planimétrie parfaite.
Le prix comprend toutes les sujétions d’exécution nécessaires, telles que coupes, angles, façon
d’arrêtes rectilignes, joints creux périphérique de toutes dimension, joints apparents de toutes
dimension, fixation pour toutes hauteurs, structure intermédiaire, façon de raccordement des parties
horizontales et verticales et obliques, raccordement aux maçonneries adjacentes, calfeutrement,
passage de canalisations décrochements, retombées, retours, cache rideaux, gorges lumineuses,
réservations pour grilles de soufflages et de reprises, réservations pour luminaires, suivant plans et
détails fourni par l’architecte.
Avant la mise en œuvre, il sera réalisé un échantillon suivant instructions du maître d’œuvre et refait
Jusqu’à lui donner satisfaction. La pose et la mise en œuvre doit être conformément aux prescriptions
des spécifications techniques du CPT, aux règles de l’art, aux normes en vigueur, ainsi qu’aux
recommandations de DTU.
Ouvrage payé au mètre carré à toutes hauteurs de plénum, y compris toutes sujétions de fourniture,
mise en œuvre et finition suivant plans de calepinage établis par l’architecte, et plans d'exécution remis
par l'entreprise titulaire du marché, y compris finition en taloche, joint creux, nettoyage, peinture
imprégnation, rebouchage, peinture en deux couche de finition de marque 1er choix, échafaudage et
toute de fourniture et main d’œuvre.
La surface à prendre en compte est la surface vue en plan, c’est à dire la surface plane projetée au sol,
sans aucune plus-value pour faux plafond de petites surfaces y compris joints de toutes natures et cache
rideaux.
Payé au mètre carré
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PRIX N°38. : FAUX PLAFOND EN PLAQUES DE PLATRE BA13 HYDROFUGE
Ce prix rémunère ,la fourniture et la pose de faux plafond en plaques ,de plâtre lisse type BA13 de haute
dureté ,conformes à la norme NF P 72-302 à joints non apparents, constitué par vissage de plaques de plâtre
,type BA13de première qualité, avec avis technique validé par le bureau de contrôle, posé sur une ossature
métallique, secondaire liée à une ossature primaire horizontale suspendue par pattes à la structure support,
permettant d’atteindre la hauteur du plenum voulue selon plans de calepinage, détails et directives de
l’architecte.
L’ensemble ,devra être d’une finition irréprochable, et d’une planimétrie parfaite et comprend toutes les
sujétions d’exécution nécessaires, telles que coupes, angles, façon d’arrêtes rectilignes, joints creux
périphérique de toutes dimensions, traitement des joints par bandes à joints ratissées et collées, joints
apparents de toutes dimension, fixation pour toutes hauteurs, structure intermédiaire, façon de
raccordement des parties horizontales ,et verticales et obliques, raccordement aux maçonneries adjacentes,
calfeutrement, passage de canalisations décrochements, retombées, retours, cache rideaux, gorges
lumineuses selon détails de l’architecte, réservations pour grilles de soufflages et de reprises, réservations
pour luminaires suivant plans et détails fournis par l’architecte.
Y compris toutes sujétions de mise en œuvre et de finition conformément aux règles de l'art, aux D.T.U,
aux Directives du Bureau de Contrôle et de la Maîtrise d'Œuvre.
Avant la mise en œuvre, il sera réalisé un prototype de faux plafonds en plaques de plâtre type BA13, qui
servira comme échantillon, il sera réalisé suivant instructions du maître d’œuvre et refait jusqu’à lui donner
satisfaction.
La pose et la mise en œuvre doit être conformément aux prescriptions des spécifications techniques du CPT
et aux instructions de la fiche technique du produit, aux règles de l’art, aux normes en vigueur, aux
recommandations de DTU.
Ouvrage payé au mètre carré à toutes hauteurs de plénum, y compris toutes sujétions de fourniture, mise
en œuvre et finition suivant plans de calepinage établis par l’architecte, et plans d'exécution remis par
l'entreprise.
La surface à prendre en compte est la surface vue en plan, c’est à dire la surface plane projetée au sol, sans
aucune plus-value pour faux plafond de petites surfaces
Payé au mètre carré
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4- REVETEMENTS DE SOLS ET MURS
Généralités :
L’Entrepreneur devra bien vérifier les plans et détails de l’architecte, pour apprécier à son point de vue et
sous sa responsabilité, la nature, l’importance et de la difficulté des travaux à réalisées, aucun plus valus
ne sera accordé à après validation de son offre.
Un triage des plaques et des carreaux et des marbres est obligatoire avant la pause, les éléments non
conformes aux échantillons validés seront rejetés.
La reprise des enduits en mortier de ciment au-dessus des plinthes est à la charge de l’entreprise.
Les destinations des revêtements seront suivants plans de calepinage de l’architecte.
L’épaisseur définitive de la forme sera arrêtée en cours des travaux, en fonction des niveaux et suivant les
instructions de la maîtrise d’œuvre, l’entreprise devra bien vérifier les niveaux lors de la visite des lieux,
aucune plus-value sur l’épaisseur ne sera accordée après validation de l’offre
Les colles utilisées pour la pose des revêtements et le mortier du jointement devront obligatoirement avoir
des avis techniques validés par le bureau de contrôle
Un échantillon de pose à soumettre à l’architecte pour approbation.
Les prestations ci-dessus mentionnées sont réputées incluses dans les prix de l’entreprise, sans
qu’il soit besoin de les mentionner à nouveau.
REVETEMENTS DE SOLS ET MUR
PRIX N°39. REVÊTEMENT SOL EN MARBRE GRIS Y COMPRIS BANDE EN MARBRE NOIR
ET PLINTHES
Localisation : RDC hall
Fourniture et pose de revêtement sol en marbre GRIS et de 2cm d’épaisseur, y compris bande périphérique
en marbre Noir exécuté suivant plans de calepinage de l’architecte, et comprenant :
✓ Préparation des supports suivant directifs du DTU 52.1, y compris lit de pose au mortier de ciment
dosé à 300kg/m3.
✓ Pose des plaques en marbre suivant plan de détail et calepinage de l'architecte, à l’aide d’un mortier-
colle de 1ère qualité, bénéficiant d’avis technique favorable pour cet usage.
✓ Remplissage des joints à l’aide d’un mortier de jointement couleur au choix du maitre d’Œuvre, de
1ère qualité bénéficiant d’avis technique favorable.
✓ Masticages, polissages, ponçages et aspect de surface du marbre suivant instructions et
recommandations de l’architecte
Nb : Le prix au mètre carré aussi la fourniture et la pose de plinthes de 7 a 10 cm de hauteur en
même marbre sans plus value
L'ensemble exécuté conformément aux règles de l'art et aux normes et DTU en vigueur, y compris toutes
sujétions de mise en œuvre et de finition.
Payé au mètre carré
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✓ Préparation des supports suivant directifs du DTU 52.1, y compris lit de pose au mortier de
ciment dosé à 300kg/m3.
✓ Pose des plaques en marbre suivant plan de détail et calepinage de l'architecte, à l’aide d’un
mortier-colle de 1ère qualité bénéficiant d’avis technique favorable pour cet usage.
✓ Remplissage des joints à l’aide d’un mortier de jointement couleur au choix du maitre d’œuvre,
de 1ère qualité, bénéficiant d’avis technique favorable.
✓ Masticages, polissages, ponçages et aspect de surface du marbre suivant instructions et
recommandations de l’architecte
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PRIX N°43. REVÊTEMENT SOL EN CARREAUX DE GRÉS CÉRAME DE 25X50 CM
ANTIDÉRAPANT
Revêtement de sol en carreaux grés cérame antidérapant de 25 x 50 cm 1ère choix, échantillon et teinte
à soumettre à l’approbation au maître d’œuvre et le maître d’ouvrage, posés au mortier de ciment,
suivant dessins et calepinage du maître d’œuvre.
Le principe de la pose est comme suit :
- Le support de 5cm d’épaisseur minimum et plus si nécessaires pour motifs de niveau général ou de
tubages importants, sera exécuté au mortier dosé à 250 Kg de ciment. Les carreaux seront posés au
cordeau à bain soufflant de mortier. Le mortier devra refluer dans les joints du travail de pose, il sera
procédé au nettoyage du mortier qui reflue des joints, afin d’éviter le ternissage des carreaux.
- Les joints au ciment blanc, teintés à la demande, devront être faits avant le séchage du mortier de
pose (au moins en fin de chaque journée).
- L’entrepreneur devra prévoir dans ses prix, toutes les sujétions de pose et d’exécution telles que
gorges, coupes droites ou biaises, angles, chutes, casses, équerres, colles, etc…
- Tolérances : 0,5mm pour les alignements
-Fournitures et pose des plinthes, de même nature que revêtement sol de 7 cm de hauteur y/c arrondi,
gorge et toutes sujétions
Sans plus-value pour parties et faible largeur, plinthes, seuils ou assimilés, retombées, bandes droites
de tous dessins ou dimensions, etc…, déduction faite des vides et parties non revêtues.
Payé au mètre carré vu en plans, sans plus-value pour calepinage et plinthe.
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PRIX N°45. REVÊTEMENT DES MARCHES EN MARBRE TRAVERTIN ET CONTRE
MARCHE EN CARREAUX COMPACTO Y COMPRIS PLINTHE
Fourniture et pose des marches en marbre Travertin de 3 cm d’épaisseur et contre marche en carreaux
COMPACTO, exécutées suivant plans de calepinage de l’architecte, et comprenant :
➢ Préparation des supports suivant directifs du DTU 52.1, y compris lit de pose au mortier de
ciment dosé à 300kg/m3.
➢ Pose des marches en plaque de marbre Travertin de 3 cm d'épaisseur, à incrustation de gomme
antidérapante et débord de nez de marche en double suivant détail de l’architecte, et les contre
marches en granit de même nature, y compris masticage et finition suivant directives et
indications de l’architecte,
➢ Remplissage des joints par mortier de jointoiement bénéficiant d’avis technique favorable pour
cet usage type SIKA 1ère qualité.
➢ Le prix au mètre linéaire comporte aussi la fourniture et la pose des plinthes de 7 à 10 cm
rampantes ou crémaillères en marbre ou carreaux de même nature et suivant détail de
l’architecte.
L'ensemble exécuté conformément aux règles de l'art, aux D.T.U. y compris toutes sujétions de mise
en œuvre et de finition.
Payé au mètre linéaire
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Revêtement de la face intérieure en marbre noir absolu de la partie supérieure de 33 cm de hauteur et la
partie inférieur de 65 cm de hauteur.
Habillage de la face extérieure en zellige Beldi dimension couleur et motif au choix de l’architecte.
Le prix comprend aussi :
- La forme de pose.
- Colle approprié
- La fourniture et la pose du marbre noir absolu de 2cm poli et lustré pour comptoir et plan de travail
y compris plinthe et crédence.
- La moulure du comptoir et du plan de travail du marbre noir absolu au choix de l’administration et
de l’Architecte.
- Le remplissage des joints.
- La protection pendant la durée du chantier.
Échantillon à présenter au choix de l’administration et de l’Architecte.
L’ouvrage sera payé y compris toutes les sujétions de fourniture, de pose, de réservations,
des exécutions de retour, retombée, relevé, découpes, ponçage, polissage, et tous travaux nécessaires
à la bonne finition.
Ouvrage payé au mètre linéaire vu en plans, sans plus-value pour retombées et face extérieure, fini
en parfait état, y compris toutes fournitures nécessaires à la mise en en œuvre.
PRIX N°48. : REVÊTEMENTS VASQUE EN MARBRE NOIR OU BLANC Y/C RETOMBÉE
Fourniture et pose du marbre noir ou blanc au choix de l’architecte au niveau de certaines paillasses du
support des vasques.
Le prix comprend :
- La forme de pose.
- Colle approprié
- La fourniture et la pose du marbre granit de 2 cm poli et lustré.
- Le remplissage des joints.
- La protection pendant la durée du chantier.
Échantillon à présenter au choix de l’administration et de l’Architecte.
L’ouvrage sera payé y compris toutes les sujétions de fourniture, de pose, de réservations,
des exécutions, de retour et de retombée jusqu’à 0,25 m et de relevé de 20 cm de hauteur le long
du mur, découpes, ponçage, polissage, et tous travaux nécessaires à la bonne finition.
Ouvrage payé au mètre carré vu en plans, sans plus-value pour retombées, fini en parfait état, y compris
toutes fournitures nécessaires à la mise en en œuvre
Payé au mètre carré
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5- MENUISERIE BOIS, ALUMINIUM ET METALLIQUE
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1 serrure à mortaiser à foliot de 1ère qualité
comprenant :
✓ 1 serrure à mortaiser à foliot à équerre, têtière et gâche acier réf 345 1 canon de sûreté des 2 côtés
réf 6260
✓ 1 ensemble de porte de la ligne Montréal réf 7789 ou équivalent, anodisé argent, comprenant : 1
béquille mâle et 1 béquille femelle
✓ 1 carré de 7x7 en acier flottant 2 entrées à trous de vis
✓ 2 vis à douille M4 (les vis ne seront pas apparentes)
✓ bouton de condamnation pour porte WC
✓ 1 buttoir à tige fileté, monture en laiton poli réf 2067130 diamètre 30 mm
L'ensemble sera exécuté conformément aux règles de l'art, aux normes et aux recommandations des D.T.U.
en vigueur, aux plans et détails et directives de l’architecte, y compris toutes sujétions de mise en œuvre,
d'ajustage, de finition et de fonctionnement
Payé au mètre carré
PRIX N°50. PORTES EN BOIS MASSIF CAPITONNÉES
Exécutées suivant détail de l’Architecte, ouvrant à la française, cadre en sapin rouge, exécutées suivant détail
de l’Architecte, ouvrant à la française, cadre en Hêtre , vantail d’épaisseur fin 41 mm en bâti plein,
chambranle en bois hêtre , le tout capitonné sur les 2 faces, fixation par baguette sur les 4 champs, 10 boutons
en cuir de 40mm de diamètre pour capiton, mousse de 5cm d’épaisseur, revêtement en similicuir haute qualité
couleur au choix du maître d’ouvrage et de l’Architecte.
Quincaillerie ;
Pattes à scellements, 8 paumelles électriques de 140/55mm, 1 serrure à mortaiser « a goupilles » à canon
monobloc avec 3 clefs, garniture complète de 1ère qualité comprenant béquilles, entrées, tiges vis, etc...
1 ou2 verrous verticaux pour fixation des vantaux, 1 ou 2 butoirs caoutchouc à tige filetée, monture laiton poli
de BRICARD.
Un échantillon est à soumettre à l’approbation de l’architecte.
L’ensemble de l’ouvrage devra être exécuté conformément aux plans et détails de l’Architecte, aux règles de
l’art, aux recommandations des DTU et normes en vigueur, y compris toutes sujétions de fourniture, de pose,
quincaillerie, poignets de mise en fonctionnement et de finitions.
Ouvrage paye au Mètre carré,
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-étagères fixe et étagères mobile tous les 40cm en bois massif épaisseur 22mm avec alaises périphérique
en hêtre étuvé de 22mm.
Échantillons à soumettre à l'approbation de l'architecte.
L'ensemble sera exécuté conformément aux règles de l'art, aux normes et recommandations des D.T.U en
fugueur, aux plans et détails de l'architecte.
Finition : Très soignée, en peinture au pistolet aspect et couleur à soumettre à l’approbation du maitre
d’ouvrage et au maitre d’œuvre.
Ouvrage payé au mètre carré, y compris toutes sujétions de fourniture, de pose et de scellement.
Payé au mètre carré
FFINITION : Très soignée, en peinture au pistolet aspect et couleur à soumettre à l’approbation du maitre
d’ouvrage et maitre d’œuvre.
Exécuté suivant les plans de l’Architecte, échantillon à soumettre à l’architecte et au maître d’ouvrage y
compris accessoires, fournitures, peinture et toutes sujétions de fourniture et exécution. Le tout suivant les
plans et détails de l’Architecte et toutes sujétions.
Payé au mètre carré
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MENUISERIE ALUMINIUM
GENERALITES :
Généralités
Toutes les menuiseries Aluminium seront de la gamme de 1ère qualité et devront obligatoirement
être posées par un poseur agréé.
Les matériaux aluminium, (tôle, profilé, quincailleries et serrureries) seront de première qualité et
répondront aux prescriptions édictées dans le R.E.E.F. par l’association française de normalisation
(AFNOR) et de l’EWA. Les dessins de principe seront fournis par l’architecte.
Les dimensions portées sur les plans sont celles de travaux complètement terminés,
l’entrepreneur sera tenu de vérifier les cotes et les niveaux.
Au cas où l’entrepreneur constaterait des omissions ou des anomalies dans ces détails, il devra en
avertir l’architecte et obtenir son agrément avant d’adopter une solution différente.
Les dessins de détails d’exécution (tôle, profilé, quincailleries et serrureries) seront établis par
l’entrepreneur et soumis à l’agrément de l’architecte et du bureau de contrôle.
Les scellements devront faire l’objet d’une étude particulière pour tenir compte des structures qui
doivent recevoir ces menuiseries.
L’entrepreneur fournira à l’appui de son offre, les schémas et notices permettant d’apprécier la qualité
de fabrication des matériaux proposés.
Les menuiseries seront de couleur au choix de l’Architecte et exécutées selon les normes. Tous les
accessoires visibles seront du même ton que la menuiserie.
Les prix unitaires comprendront : les pré cadres en acier galvanisé ou en aluminium, les cadres
dormants et les vantaux en profilés aluminium, toutes les quincailleries et serrureries de
condamnation, les par closes à clips, les joints Néoprène pour vitrage, les couvres joints, les brosses
et joints d’étanchéité, les rejets d’eau, les profilés et façon de trou pour l’évacuation des eaux de
condensation, les vitrages, etc.., ainsi que coupes, chutes, mise en œuvre, façon, transport, montage
provisoire, montage définitif, mise en place, réglage, calage, ajustage, échafaudage à toutes
hauteurs, frais d’épreuve et toutes autres sujétions.
Les profilés de menuiseries devront recouvrir les pré-cadres de sorte que ces derniers ne soient
jamais visibles. Les pré cadres devront répondre à trois contraintes principales :
• Permettre le rattrapage des tolérances admissibles par le gros œuvre
(normes N.P.01.101)
• Assurer l’étanchéité entre les dormants et le gros œuvre
• Faciliter la mise en place des menuiseries permettant un réglage et une étanchéité
conformes aux règles de l’art.
Les échantillonnages des articles de quincaillerie, de profilés acier et aluminium et de vitrage devront
être présentés à l’agrément de l ‘Architecte et de la Maîtrise d’Ouvrage.
Les profilés tubulaires, dormants et ouvrants, sont assemblés au moyen d’équerres à pion, à visser ou
à sertir. Les traverses et plinthes sont assemblées soit par tasseaux, soit par vis dans des alvéoles
prévus à cet effet. Toutes ces pièces d’assemblage sont obligatoirement en aluminium et/ou inox. Les
coupes seront étanchées avec un produit de 1ère qualité, les cages d’équerre le seront avec un mastic
de type silicone.
L’étanchéité se fait par joint EPDM anti-pince doigt dans le cas de va et vient avec norme. Vitrage
triple antieffraction, constitué de 3 verres de 6mm avec 2x6 films PVB de 0,38mm, de 1ère qualité,
(pour les portes extérieures) ou double vitrage clair 8 mm (pour les portes intérieures) maintenu par 2
joints en EPDM et une par close d’une hauteur minimum de 21 mm (fond de feuillure). Les parcloses
doivent obligatoirement être du côté intérieur de la construction.
Le verre de première qualité, sera de type (simple, feuilleté) l’épaisseur définitif du vitrage de chaque
ouvrage sera définie après établissement des notes de calculs et plans d’exécutions à la charge de
l’entreprise et validées par le bureau de contrôle. La nature et la teinte du vitrage seront à soumettre pour
approbation par le maitre d’ouvrage
Le ferrage est assuré par des pivots haut et bas, avec mécanisme encastré dans le sol. Le pivot haut,
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les contre-plaques sont encastrés dans les feuillures prévues à cet effet dans les profils, évitant ainsi
des usinages importants qui affaibliraient la bonne tenue de la porte. Toutes ces pièces, prises dans
la structure des profils, seront en aluminium et/ou inox. Leur modèle sera adapté aux poids et
dimensions des menuiseries.
La fermeture se fait par serrure à 2 points sur les portes, avec pêne commandé par béquille
aluminium et pênes de sécurité haut et bas en feuillure, commandés par tiges encastrées dans la
tubulure des profils et par cylindre européen.
Le corps de la serrure est encastré dans la tubulure de l’ouvrant.
Adjonction de verrous en feuillure où en applique sur le vantail semi -fixe en
modèle 2 vantaux. L’étanchéité au sol se fait par seuil plat avec joints EPDM
L’étanchéité entre le dormant et le support se fera au moyen de cordon de mastic silicone de 1ère
qualité (appliqué en accord avec les spécifications d’utilisation) et de fond de joint posé dans les
emplacements prévus à cet effet dans le profil.
La finition sera assurée par l’adjonction de bavette à l’extérieur, et par couvre-joint à l’intérieur.
NB / le profil et la gamme de l’aluminium à déterminer en fonction des dimensions, cela veut dire
que les dimensions grandes seront du profil très puissant et résistant de tel façon d’éviter les
déformations et pour supporter le poids du vitrage
N.B :
Les détails de menuiserie remis par l'architecte sont des détails de principe.
Les prestations ci-dessus mentionnées sont réputées incluses dans les prix de l’entreprise, sans
qu’il soit besoin de les mentionner à nouveau.
Elles seront réalisées en série 16 de la gamme Profils système de première qualité approuvés y compris un
vitrage BI STADIP 6.6/2.
* Pré cadres
Pré cadres en tôle pliée galvanisée de 20/10° d’épaisseur
* Profiles
Les profilés constituant seront obtenus par extrusion de l'aluminium sur une presse de 2200 tonnes (filage à la
presse). Ils sont réalisés en alliage d'aluminium n° 6060 (AGSTS) selon les normes NFA 5041 I, NFA 50710,
NF EN 573.3, NF EN 755.1, NF EN 755.2. (À justifier)
*Protection
Par anodisation chimique bénéficiant du label "QUALANOD. AWAA. EURAS", teinte naturelle et teinte
bronze. Les profilés sur stock sont disponibles en finition anodisée classe 20 (20 à 24 microns) selon la norme
NFP 24.351 et NFA91.450.
▪ Par thermo laquage polyester bénéficiant du label "QUALICOAT", l'épaisseur minimum de la protection est
de 60 microns pour les surfaces continuellement visibles. teintes RAL et TERRA CIGALA à soumettre pour
approbation par le maitre d’ouvrage. qualité Bord de mer.
▪ La gamme proposée doit garantir un laquage de 10 ans.
*Dormant
Tubulaire d'une épaisseur de 46mm avec possibilité de rapporter des tapées pour la reprise du doublage.
*Ouvrant
Tubulaire de forme rectiligne. Leur épaisseur est de 46mm.
*Assemblage
▪ L'assemblage des dormants et des ouvrants s'effectue au moyen d'équerres à visser en 4 points ou à sertir +
collage.
▪ Toutes ces pièces d'assemblage sont obligatoirement en aluminium et\ ou inox.
▪ Les coupes seront étanchées avec un produit de type de première qualité.
▪ Vitrage Clair en TRISTADIP de verre 6 mm collés via un film PVB de 2 millimètre, maintenu par 2 joints
en EPDM et une parclose clipée d'une hauteur minimum de 20 mm (fond de feuillure).
▪ Les parcloses doivent obligatoirement être du côté intérieur de la construction.
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▪ Un film adhésifs sera mis en place pour la continuité des motifs de façade et il sera communiqué par
l’architecte, son mode de pose, sa qualité sera approuvé avec la maitrise d’œuvre avant l’exécution.
*Drainage
Le drainage des eaux d'infiltration éventuelle se fait par des trous oblongs dans la traverse basse-ouvrant et mise
en place de busettes avec clapets anti-retour.
*Système de pose
La pose se fera selon convenance avec la maitrise d’Œuvre :
▪ En pose directe avec pattes en acier protégé soudé sur la structure métallique.
▪ Ferrage sur pivot :
▪ Le pivot est encastré au sol, un pivot libre est intégré en partie haute du dormant, le bras dans la traverse
basse. Le ferrage sur pivot est obligatoire pour la porte va et vient et possible pour la porte simple action.
▪ Ferrage sur paumelle :
▪ le ferrage est assuré par des paumelles aluminium en applique réglables. Elles sont réversibles et se posent
à l'assemblage des cadres, sur l'ouvrant et le dormant par contre-plaques à l'intérieur des profilés. Leur nombre
sera adapté aux poids et dimensions des menuiseries (à justifier auprès du fabricant).
▪ Verrouillage :
▪ La fermeture se fait selon exigence architecte et maitre d’ouvrage :
▪ Par serrure à 3 points, avec pêne commandé par béquille aluminium et pêne de sécurité basculant en acier
inoxydable commandé par cylindre européen certifié A2P et béquille aluminium.
▪ Par serrure à tringle haute et basse obligatoirement dans le cas de montage anti pince doigt. Par serrure à
rouleau de 3 points avec poignée de poussée. Par barre anti panique et crémone pompier (Prévoir la pose de la
barre anti panique et crémone pompier livré par le client).
▪ Poigné en INOX 316 80cm de coté intérieur et extérieur (Modèle à faire approuver)
*Couvre joint :
▪ Type aluminium compris colle sur la face libre du joint au mastic élastomère de première qualité.
Payé au mètre carré
Page 122
en EPDM et une parclose clipée d'une hauteur minimum de 20 mm (fond de feuillure).
▪ Les parcloses doivent obligatoirement être du côté intérieur de la construction.
▪ Un film adhésifs sera mis en place pour la continuité des motifs de façade et il sera communiqué par
l’architecte, son mode de pose, sa qualité sera approuvé avec la maitrise d’œuvre avant l’exécution.
*Drainage
Le drainage des eaux d'infiltration éventuelle se fait par des trous oblongs dans la traverse basse-ouvrant et mise
en place de busettes avec clapets anti-retour.
*Système de pose
La pose se fera selon convenance avec la maitrise d’Œuvre :
▪ En pose directe avec pattes en acier protégé soudé sur la structure métallique.
▪ Ferrage sur pivot :
▪ Le pivot est encastré au sol, un pivot libre est intégré en partie haute du dormant, le bras dans la traverse
basse. Le ferrage sur pivot est obligatoire pour la porte va et vient et possible pour la porte simple action.
▪ Ferrage sur paumelle :
▪ le ferrage est assuré par des paumelles aluminium en applique réglables. Elles sont réversibles et se posent
à l'assemblage des cadres, sur l'ouvrant et le dormant par contre-plaques à l'intérieur des profilés. Leur nombre
sera adapté aux poids et dimensions des menuiseries (à justifier auprès du fabricant).
▪ Verrouillage :
▪ La fermeture se fait selon exigence architecte et maitre d’ouvrage :
▪ Par serrure à 3 points, avec pêne commandé par béquille aluminium et pêne de sécurité basculant en acier
inoxydable commandé par cylindre européen certifié A2P et béquille aluminium.
▪ Par serrure à tringle haute et basse obligatoirement dans le cas de montage anti pince doigt. Par serrure à
rouleau de 3 points avec poignée de poussée. Par barre anti panique et crémone pompier (Prévoir la pose de la
barre anti panique et crémone pompier livré par le client).
▪ Poigné en INOX 316 80cm de coté intérieur et extérieur (Modèle à faire approuver)
*Couvre joint :
▪ Type aluminium compris colle sur la face libre du joint au mastic élastomère de première qualité.
Payé au mètre carré
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la liste ci-dessous n’est pas limitative
✓ La fermeture se fait par coquille simple ou double, mécanisme de fermeture intégré dans le tubulaire
du profilé
✓ Paumelles seront en aluminium et/ou inox. Leurs nombres et leurs modèles seront adaptés aux poids
et dimensions des menuiseries.
✓ Loqueteaux
✓ oreillettes
✓ 2 équerres par châssis basculants
Toutes les quincailleries se posent après assemblage du dormant et de l’ouvrant
L’ensemble de l’ouvrage devra répondre aux classements A.E.V minimum exigé A3 E3 V2, il devra être
exécuté conformément aux plans et détails de l’architecte, aux règles de l’art, aux recommandations des
DTU et normes en vigueur, y compris toutes sujétions de fourniture, de pose, de mise en fonctionnement
et de finitions.
L’entreprise devra remettre avant toute exécution les notes de calcul, les plans et détails d’exécution
qu’elle devra faire approuver par la maitrise d’œuvre et le bureau de contrôle.
Au cas où les notes de calcul et les plans d’exécution établis par l’entreprise et visés par le BCT précise
que les caractéristiques du Profils Systèmes série 16 ou similaires sont insuffisants pour l’ensemble vitré
en aluminium, il sera passé directement au profilé à caractéristiques techniques supérieures sans aucune
plus-value ou indemnisation de quelque sorte que ce soit y compris, éventuellement, structure de
renforcement appropriée et toutes sujétions de mise en œuvre et de finition.
Payé au mètre carré
Fourniture et pose Fenêtre fixe, bascule, à frappe ou coulissantes, en aluminium thermolaqué avec label
Qualicoat, RAL couleur à soumettre pour approbation par le maitre d’ouvrage et le maitre d’œuvre, le profilé
sera de la gamme profils système de première qualité, exécutée conformément aux plans et détails de
l’architecte :
Fourniture et montage d'un mur de mur rideau en aluminium avec parties fixe et parties ouvrante réalisé via
le système VEC suivant plans et détails de l’architecte, avec rupture de pont thermique, d’aluminium du
Maroc profile de 1ère qualité avec structure portante calculée pour une surcharge minimale due à l'action du
Page 124
vent de 100 kg/m², composée d’un réticule avec une séparation entre les montants de 150 cm et une distance
entre les axes du plancher ou les points d'ancrage de 500 cm
Profil pour l'ancrage ponctuel du verre ; couvercle enjoliveur en aluminium, en arrêt du profil d'ancrage du
verre, grille traditionnelle, finition- RAL couleur à soumettre pour approbation par le maitre d’ouvrage et le
maitre d’œuvre
surface transparente ou opaque selon choix de l’architecte fixe réalisée avec double vitrage trempé à contrôle
solaire, ensemble formé de verre extérieur trempé, à contrôle solaire, couleur bleu de 6 mm, lame d'air
déshydraté avec un profilé séparateur en aluminium et un double scellage péri métrique avec silicone, de
6 mm, et verre intérieur FLOAT incolore de 6 mm d'épaisseur.
Comprend accessoires de mur rideau pour le système VEC , éléments d'ancrage et de fixation ; scellage de la
zone opaque avec de la silicone neutre ELASTOSIL 605 "SIKA"; ancrages de fixation en acier, composés d'une
plaque unie au plancher et d'un profil angulaire pour fixation des montants au bâtiment; les liaisons entre le mur
et l'ouvrage, réalisées en tôle d'aluminium de 1,5 mm d'épaisseur. Totalement monté.
L’entreprise devra remettre avant toute exécution les notes de calcul, les plans et détails d’exécution
qu’elle devra faire approuver par la maitrise d’œuvre et le bureau de contrôle.
L’ensemble de l’ouvrage devra être exécuté conformément aux plans et détails de l’architecte, aux règles
de l’art, aux recommandations des DTU et normes en vigueur, y compris toutes sujétions de fourniture,
de pose, de mise en fonctionnement et de finition
Payé au mètre carré
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- Les supports de pose
- Les écarteurs
- Les plaquettes de lestage
- Les chaînettes bas de bande
- Les barrettes hautes de bande
- Les lames en PVC de 89 mm de largeur et de 0,28 mm d’épaisseur
- Les chaînettes d’orientation
- Les axes de guidage à trois voies
- Les cordons de commande
- Les contrepoids de cordon
- La cantonnière
- Le boîtier de commande
Ouvrage payé au mètre carré fourni et posé y compris angle en carré ou rond et toutes sujétions de
fourniture, finition, pose et de fixation.
L’ensemble de l’ouvrage sera payé au mètre carré
Page 126
MENUISERIE METALLIQUE
L’entrepreneur aura à sa charge l’établissement de l’ensemble des plans d’exécution, détails de fixation et
scellement des huisseries métalliques ou bois et les notes de calcul, et devront être approuvés par le bureau de
contrôle et l’architecte préalablement à l’exécution.
L’Entrepreneur devra bien vérifier les plans et détails de l’architecte, pour apprécier à son point de vue et sous
sa responsabilité, la nature, l’importance et la difficulté et les quantités des travaux à réaliser. Aucune plus-
value ne sera accordée après validation de son offre.
Accessoires et quincailleries à soumettre pour approbation par le maitre d’ouvrage et le maitre d’oeuvre seront
de 1èrequalité et selon les normes en vigueur. L’entrepreneur doit présenter une liste complète des marques,
références et fiches techniques avec catalogues.
L’entrepreneur fournira tous les éléments de quincaillerie nécessaires pour un fonctionnement parfait des
ouvrages, même si certaines spécifications les concernant ont été omises dans les devis descriptifs.
Visseries en acier inoxydable.
L’ensemble des menuiseries métalliques et ferronneries seront galvanisé à chaud en application des directives
de la norme ISO 13461 - 14713 et NFA A 35503. pour utilisation en ambiance marine agressive suivant les
recommandations de la maîtrise d’œuvre et du bureau de contrôle. Le traitement devra avoir la validation du
laboratoire.
L’Entrepreneur est tenu, avant d’entreprendre la fabrication des ouvrages définies par ses dessins d’exécution,
de vérifier sur place les dimensions des ouvrages, de leur exactitude, leur planéité par rapport au sol et au
plafond.
Mise en œuvre des ouvrages :
✓ Préparation des pièces : les bords des pièces à souder seront dressés avec soin suivant les formes prévues
par les dessins.
✓ Les parties à souder et l'électrode devront être bien sèches, les surfaces des cordons de soudure devront
être aussi régulières que possible et débarrassées de scories et du laitier.
✓ La surface de chaque passe de soudure sera soigneusement débarrassée de scories et du laitier par
piquage au marteau à pointe et nettoyage à la brosse avant exécution de la passe suivante ; la même
précaution sera prise lorsqu’il faudra continuer une soudure ou raccorder deux soudures.
✓ Une grande attention sera portée sur l'ordre d'exécution des soudures de manière à réduire au minimum
les tensions et déformations dues aux effets caloriques
✓ L’entreprise doit appliquer une peinture riche en zinc à tous les endroits où la protection aura été détruite
(chocs, soudures, assemblages mécaniques)
Les prix remis par l’Entrepreneur comprendront toutes fournitures, poses et scellement dans le gros œuvre,
équipements, quincaillerie, serrurerie, vitrage, ajustage et d’une façon générale, toutes sujétions concernant les
travaux décrits dans la généralité
Les prestations ci-dessus mentionnées sont réputées incluses dans les prix de l’entreprise, sans qu’il soit
besoin de les mentionner à nouveau.
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PRIX N°61. MOUCHARABIÉ EN TÔLE GALVANISÉ ÉPAISSEUR 6 MM MINIMUM DÉCOUPE
LASER
Fourniture et pose de tôle métallique galvanisé à chaud de 6mm d’épaisseur minimum, perforée
découpée au laser y compris la structure métallique galvanisé à chaud de sa fixation et sa pose le tout
suivant le plan de l’architecte. Le tout doit être conforme au plan d’exécution de l’entreprise et approuvé
par le maitre d’ouvrage, l’architecte et le bureau de contrôle.
Échantillon à faire approuver par l’architecte.
FINITION : peinture en époxy en four appropriée
Ouvrage payé au mètre carré y compris toutes sujétions nécessaires pour scellement, fixation, fourniture,
galvanisation à chaud, peinture, pose et mise en œuvre.
Payé au mètre carré
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6- PEINTURE ET ENDUIT MONOCOUCHE
Généralités :
L’entrepreneur devra impérativement faire procéder à la réception des différentes étapes de ses travaux par
le Maître d’Ouvrage, l’architecte et le BET comme la réception des supports, de l’enduit et chaque couche
de peinture.
Les peintures utilisées seront de marque de premier choix. L’entreprise doit présenter de l’ensemble des
produits (Fiches techniques, catalogues, échantillons) avant le commencement des travaux de peinture.
Les surfaces prises en compte au mètre carré, sont celles calculées à base de la vue en plans et en façades
sans majoration ou plus-value pour partie courbe, inclinée, remontée et retombée, corniches de toutes
dimensions, recouvrement, joints creux ou saillants, fentes décoratives, gorges lumineuses et cache
rideaux, etc….
Travaux préparatoires du support sont inclus dans le prix unitaire et réalisés conformément aux
spécifications du CPT et les instructions de l’avis technique du produit.
Une couche supplémentaire pourra être exigée si la couverture du support de la peinture n’est pas parfaite.
Les essais et les tests de peinture seront réalisés sur chantier par un laboratoire agréé aux frais de
l’entreprise, à savoir :
• Test de temps de séchage, apparence et opacité de formation de film à basse température.
• Test de frottements.
• Test de fissuration, résidu et adhésion humide.
• Test pour de la non propagation des flammes.
• Test de résistance aux abrasions.
Les produits de peinture devront obligatoirement avoir les certificats de classifications conformément aux
normes en vigueur et au DTU 59.1.
Un échantillon de chaque type de peinture est à soumettre à l’architecte et le maître d’ouvrage pour
approbation avant le commencement des travaux.
L’entrepreneur devra impérativement faire procéder à la réception des différentes étapes de ses travaux par le
Maître d’Ouvrage, l’architecte et le BET (réception des supports, de l’enduit, de chaque couche de peinture).
Le produit équivalent proposé doit être de la même (qualité, aspect et prix) que les produits prescrits dans le
devis descriptif (produits pour une finition soignée), l’entreprise doit présenter à la maîtrise d’œuvre (dossiers
techniques, catalogues, échantillons) de l’ensemble des produits pour avis et approbation avant le
commencement des travaux.
Les surfaces prises en compte au mètre carré, sont celles calculées à base du vues en plans et en façades sans
majoration ou plus-value pour partie courbe, inclinée, remontée et retombée, corniches de toutes dimensions,
recouvrement, joints creux ou saillants, fentes décoratives, gorges lumineuses et cache rideaux.
Une couche supplémentaire pourra être exigée si la couverture du support de la peinture n’est pas parfaite.
Les prestations ci-dessus mentionnées sont réputées incluses dans les prix de l’entreprise, sans
qu’il soit besoin de les mentionner à nouveau.
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- Égrenage, ponçage et époussetage des supports.
- Imprégnation du support par une couche d’imperméabilisant appliquée selon fiche technique du produit.
- Application d’une impression spéciale sur murs extérieurs appliquée selon fiche technique du produit.
- Rebouchage des fissures et aspérités de surface avec un enduit de façade extérieurs, appliqué
conformément au DTU 59.1.
- Egrainage de l’enduit au papier abrasif fin et époussetage.
NB : l’entreprise doit respecter l’ensemble des étapes prescrites dans la fiche technique de la peinture
choisie.
Finition
Application de deux couches peinture mate à base de résines acryliques, diluées et exécutées conformément
aux instructions de la fiche technique du produit, Teinte au choix de l’architecte.
Une couche supplémentaire pourra être exigée si la couverture du support de la peinture n’est pas
parfaite.
L'ensemble exécuté conformément aux règles de l'art aux prescriptions du D.TU. 59.1, y compris toutes
sujétions de mise en œuvre et de finition, tous vides déduits.
Ouvrage payé au mètre carré
PRIX N°70. PEINTURE SUR MUR ET PLAFOND DES SALLES D’EAU FINITION LAQUÉE
BRILLANTE
Peinture glycérophtalique laquée finition brillante, appliquée sur murs et plafonds intérieurs, lavable et
résistante à l’humidité, de première qualité, teintée à soumettre pour approbation par le maitre d’ouvrage
et le maitre d’œuvre exécutée comme suit :
• Égrenage, ponçage et époussetage des supports.
• Application d’une couche d'impression de 1ère qualité, adaptée à la nature du support et au type
de peinture et sera appliquée selon les instructions la fiche technique du produit.
• qualité pour intérieur, appliquée conformément aux instructions de la fiche technique du produit
et au DTU 59.1.
• Égrainage de l’enduit au papier abrasif fin et époussetage.
Application de deux couches peinture glycérophtalique laquée, diluées conformément aux instructions de
la fiche technique du produit, teinte à soumettre pour approbation par le maitre d’ouvrage
L'ensemble exécuté conformément aux règles de l'art aux prescriptions du D.TU. 59.1, y compris
toutes sujétions de mise en œuvre et de finition, tous vides déduits
Payé au mètre carré
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7- COURANTS FORT-COURANTS FAIBLES
1- COURANT FORT
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CABLE DE RACCORDEMENT
Câble de raccordement fourni et posé du type U 1000 R02V, y compris fourreau, chemin de câble ou
en enterrée sous tube en polyéthylène annelé double paroi rigide sous chaussé ou souple sous trottoir
de diamètre Ф100, Ф 150, grillage avertisseur y compris terrassement, remblais, évacuation,
accessoires de pose et de fixation, y compris percements, saignées des dalles au niveau des gaines,
toutes sujétions de fournitures et raccordements,
Câble de raccordement fourni et posé du type U 1000 RVFV en enterrée, y compris tube en
polyéthylène annelé double paroi rigide sous chaussé ou souple sous trottoir de diamètre Ф100, Ф
150, grillage avertisseur y compris terrassement, remblais, évacuation et toutes sujétions de
fourniture et de pose,
Câble de raccordement fourni et posé du type CR1, y compris fourreau, ou en enterrée sous tube en
polyéthylène annelé double paroi rigide sous chaussé ou souple sous trottoirde diamètre Ф100, Ф
150, grillage avertisseur y compris terrassement, remblais, évacuation, accessoires de pose et de
fixation, y compris percements, saignées des dalles au niveau des gaines, toutes sujétions de
fournitures et raccordements,
Câble de raccordement fourni et posé du type U 1000 RVFV en enterrée, y compris tube en
polyéthylène annelé double paroi rigide sous chaussé ou souple sous trottoir de diamètre Ф100, Ф
150, grillage avertisseur y compris terrassement, remblais, évacuation et toutes sujétions de
fourniture et de pose,
accessoires de pose et de fixation, y compris percements, saignées des dalles au niveau des gaines,
toutes sujétions de fournitures et raccordements.
Payé au mètre linéaire
Câble de raccordement fourni et posé du type U 1000 R02V, y compris fourreau, chemin de câble ou
en enterrée sous tube en polyéthylène annelé double paroi rigide sous chaussé ou souple sous trottoir
de diamètre Ф100, Ф 150, grillage avertisseur y compris terrassement, remblais, évacuation,
accessoires de pose et de fixation, y compris percements, saignées des dalles au niveau des gaines,
toutes sujétions de fournitures et raccordements,
accessoires de pose et de fixation, y compris percements, saignées des dalles au niveau des gaines,
toutes sujétions de fournitures et raccordements.
Payé au mètre linéaire
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TABLEAUX ELECTRIQUES
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Page 134
PRIX N°83. : CHEMIN DE CABLE 315x 63mm
Fourniture et pose de chemin de câble réalisé en tôle perforée galvanisée, compris supports suspentes
et toutes sujétions de mise en œuvre en position verticale et horizontale.
Les supports seront en profilés galvanisés en bain chaud.
Les cheminements indiqués serviront de base, l’entrepreneur doit tenir dans ses prix l’adaptation aux
contraintes et aux sections transportées tout en respectant les règles de l’art.
Ouvrage payé au mètre linéaire du chemin de câble, fourni et posé, compris toutes fournitures
nécessaires, et toutes sujétions d'exécution, (pose et scellements, raccordements, peinture définitive,
et protection antirouille des ouvrages métalliques,).
Payé au mètre linéaire
ECLAIRAGE DE SECURITE
PRIX N°86. : BLOC DE SECOURS D'ÉVACUATION 45 LM Y COMPRIS CÂBLE
Fourniture et pose, aux endroits indiqués sur les plans, de foyers autonomes d'éclairage de sécurité
qui se composera d'un bloc chargeur à batterie cadmium nickel ayant une heure d'autonomie, suivant
FN 71.800
Les blocs seront de première qualité.
Ce prix comprendra aussi la fourniture et la pose coffret de télécommande modulaire équipé de deux
boutons "allumage et extinction ".
Il permet de tester la totalité de l'installation sans coupure de courant secteur.
Le module de télécommande sera installé dans les tableaux divisionnaires pour les circuits
d'éclairage proviennent de ce tableau et permettra la télécommande des blocs autonomes d'éclairage
de sécurité (BAES) alimentés à partir du même tableau.
En règle générale, chaque tableau sera équipé de son propre coffret de télécommande.
L'entrepreneur devra prévoir dans son prix, la fourniture et la pose des appareils sur les éléments
maillés, les alimentations par câbles depuis le tableau.
Ouvrage payé à l'unité, fourni et posé, y compris les câbles d’alimentation 4x1.5m² ainsi que
toutes sujétions de fournitures, d'exécution et de pose.
Payé à l’unité
Page 135
L’ouvrage fourni, posé et raccordé y compris câblage et toutes sujétions de fourniture et pose sera
payé à l’unité
PRIX N°88. : BLOCS DE TÉLÉCOMMANDE D'ÉCLAIRAGE DE SÉCURITÉ.
Ce prix comprendra la fourniture et la pose d’un bloc de télécommande modulaire de la marque du
premier choix, équipé de deux boutons « allumage et extinction »
Il permet de tester la totalité de l’installation sans coupure de courant secteur
Chaque tableau divisionnaire sera équipé d’un bloc de télécommande permettant la télécommande des
blocs autonomes d’éclairage de sécurité (BASE) alimentés à partir de ce tableau
L’ouvrage, y compris pose, câblage, raccordement, essais et toutes sujétions de fourniture et mise en
œuvre sera payé à l’unité
Payé à l’unité
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ALIMENTATION PRISES DE COURANT ET ALIMENTATION DIVERSES :
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PRIX N°101. : GOULOTTE EVOLUTIVE 50 x 170 DLP
Rémunère la fourniture, la mise en place et le raccordement de goulotte évolutive de première qualité
avec 3 compartiments inégaux, comprenant. :
Le corps de la goulotte.
Le couvercle de la goulotte.
Les cloisons de fractionnement et de séparation
Les accessoires de finition : embouts gauche et droits, angles intérieures et extérieures variables, angles
plats variables, dérivation avec séparateurs, dérivations planes, joints corps couvercles, agrafes pour
tenue des câbles, embases pour colliers dans goulotte et accessoires divers pour montage de prises
série MOSAIC et divers.
Fourniture, pose et raccordement y compris.
Payé au mètre linéaire complet en ordre de marché y compris percement, scellement
raccordements et toutes sujétions de fournitures et de pose
Page 138
FOURNITURE ET POSE LUSTRERIE :
2-COURANTS FAIBLES
Les descriptifs des lots CFA sont donnés à titre indicatif avec les renseignements sur le fonctionnement
et les normes. L’entreprise adaptera et prévoira le matériel et les accessoires nécessaires en fonction
de la marque choisie en respectant les normes et le fonctionnement demandés et/ou nécessaire.
A-DETECTION INCENDIE
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-Double détection
-Mise en/hors service des points ou zones de détection
-Mise en essai de l'installation
-Recherche de point de détection.
-Téléchargement des niveaux de sensibilité de chaque détecteur interactif..
-Configuration automatique à la mise en service ou suite à une opération de maintenance par
reconnaissance des points de détection connectés sur les lignes.
-Sauvegarder les événements avec date et heure
-Il devra être équipé de :
-Cartes électroniques pour prendre en charge les boucles de détection incendie. Chaque boucle doit
permettre dans un premier temps de recevoir 100 dispositifs de déclenchement identifiables
individuellement.
-Centrale modulaire, numérique à 8 boucles extensibles à 16, avec possibilité de brancher la ligne en
3 modalités différentes, tout en garantissant à priori l’apprentissage automatique du point (détecteur,
dispositif, bouton,….).
-Programmation automatique des adresses.
-Les voyants de signalisation (évacuation générale, feu, veille restreinte, dérangement, hors service,
test général, sous tension, etc.).
-Les boutons poussoirs de commande (arrêt signal sonore, défilement, etc.)
-Un commutateur à clef pour la mise hors service de la centrale
-Un écran LCD avec Afficheur alphanumérique, permettant le dialogue
Homme machine, comprenant l'heure, la date, le type d'événement, le libellé du point, la zone, le
quantitatif des feux et des dérangements avec possibilité d’afficher tous les composant de système,
de vérifier ; de modifier l’état de celui-ci, de régler la seuil de sensibilité des détecteurs.
-Un clavier alphanumérique pour programmation.
-La centrale doit pouvoir être connectée à un ordinateur, à une imprimante.
-Les interfaces pour une liaison ordinateur, imprimante
-Les interfaces nécessaires pour être associé au CMSI
-Les interfaces pour une imprimante fil de l'eau avec sauvegarde des informations.
-Les interfaces pour report d'alarme
-Les contacts de dérangement et de défauts
- tous les interfaces et les équipements nécessaires pour répondre aux exigences des normes et
règlements en vigueur.
-Réarmement manuel et automatique des détecteurs.
-Alarme pour dépose non autorisée des détecteurs.
Un centralisateur de mise en sécurité incendie sera associé à la centrale d'alarme et permettra à partir
d'information et d'ordres de commandes manuelles et automatiques de commander les équipements
assurant les fonctions nécessaires à la mise en sécurité du bâtiment.
-Commande arrêt des caissons d’air neuf.
-Commande de fermeture des clapets coupes feu.
-Commande sur le trafic des ascenseurs (empêcher les ascenseurs de s’arrêter à l’étage en feu).
-Commander la mise en marche des caissons de désenfumage.
-Etc.
FONCTIONS :
-La commande des organes et équipements de désenfumage, de surpression Coffrets de relevage.
Asservissements techniques et ce via 3 types de commande au choix (commande à manque de
tension. à émission impulsionnelle. à émission continue)
-Le contrôle de position des organes de mise en sécurité.
-La mise en sécurité globale ou par zone.
Il devra être équipé de :
-Des unités de gestion d'Alarme conforme à la norme NFS 61 936 pour gérer l’ensemble des
diffuseurs sonores. Une unité de gestion d'alarme sera affectée uniquement au parking.
-Une unité de signalisation conforme à la norme NFS 61-935
Page 140
-Une unité de commandes manuelles et automatique centralisées (UCMC) permettant la commande
manuelle et automatique des dispositifs de mise en sécurité incendie. Le CMSI peut également
déclencher automatiquement les dispositifs de mise en sécurité incendie sur ordre du SDI.
-Un coffret commande «arrêt pompier» conforme aux exigences des normes NFS 61-932/37/49 livré
avec jeu de 2 clés
Le centralisateur de mise en sécurité adressable incendie doit gérer un ensemble de points répartis
dans tout l’établissement. Chaque point est un dispositif actionné de sécurité pouvant être commandé
selon tous les types de commande définis par la norme : temporisé.
à émission, à rupture, avec ou sans contrôle de position l’état de chaque DAS peut être identifiable
individuellement sur l’afficheur LCD avec le texte clair de sa localisation.
La centrale sera équipée d'une source d'alimentation de secours installée à proximité de la centrale.
L'équipement d'alimentation sera composé d'une batterie d'accumulateurs au Cadmium Nikel et d'un
chargeur automatique du type à redresseur prévu pour être alimenté sous 220V, 50Hz.
La batterie aura une capacité suffisante pour assurer l'alimentation des sonneries du système complet
pendant la période normalisée, et ceci en cas d'arrêt du chargeur.
La centrale doit être équipée du système de contrôle et surveillante de l'ensemble chargeur batterie.
Ouvrage de la centrale de sécurité incendie en ordre de marche complètement équipée et installée, y
compris système de détection incendie SDI, chargeur batteries, batteries, tout l'appareillage de
gestion des asservissements, tous les dispositifs adaptateur de commande, tous les dispositif de
commande avec signalisation, les connexions, les câbles d'alimentation électrique depuis TGBT
(secouru), les boites de jonction, les boites de sorties, le conducteur de terre, accessoires et toutes
sujétions de fourniture
Travaux exécutés aux règles de l’art et suivant recommandation BET
Echantillon à soumettre pour approbation de l’architecte, maitre d’ouvrage et BET
Ouvrage payé à l’ensemble
Page 141
PRIX N°111. : DETECTEUR THERMOVELOClMETRIQUE ADRESSABLE
Fourniture et installation d'un détecteur automatique thermo vélocimétrique d’incendie type
adressable conformément aux normes et règlements, en vigueur, y compris les connexions et
accessoires.
Il aura des caractéristiques minimales suivantes :
Conforme à la norme EN54
Sensible aux élévations de température
Température ambiante -10°C + 50°C
Humidité ambiante = 85% à 40C°.
Tension de fonctionnement 24 VCC
Un socle universel permettant l’interchangeabilité des détecteurs à fermeture ¼ de tour.
Résistance de charge
Liaison des déclencheurs manuels ou détecteurs automatiques depuis la centrale ou le détecteur
précédent (déclencheur ou boîte de jonction) en câbles 9/10ème de catégorie C2 (type SYT1) placés
sous conduits non propagateur de flamme
Ouvrage payé à l’unité, y compris toutes sujétions de fourniture et de pose
PRIX N°112. : DECLENCHEUR MANUEL ADRESSABLE
Les déclencheurs manuels seront en boîtier bris de glace.
Ils seront installés à 1,30m au-dessus du sol, à chaque niveau à proximité des cages d’escaliers et
issues de secours.
Ils se présenteront sous la forme d’un boîtier métallique de couleur rouge, permettant la liaison avec
le poste de surveillance, muni de clé pour les services d’entretien et de sécurité.
Le réarmement s’effectuera à l’aide d’une clef spéciale, sans démontage de l’appareil.
Les boucles seront réalisées en câble 1 paire 8/10ème ou 9/10éme.
Ouvrage payé à l’unité, y compris toutes sujétions de fourniture et de pose
Page 142
Les câbles seront conformes aux règles de raccordement de l’APSAD, et seront sélectionnés selon
tableau du chapitre II.
Ouvrage payé à l’unité, fourni, raccordé et posé selon les règles de l’art, raccordement en ordre de
marche, le branchement d’incendie, ainsi que les scellements, calfeutrements soignés, rebouchages,
raccords d’enduit et toutes sujétions de fourniture et de pose,
Ouvrage payé à l’unité.
PRIX N°115. : CABLAGES
Rappel de la norme NF S 61932 (§ 6.1.3 et § 6.1.4):
« Les lignes de télécommande par émission de courant (et les lignes de contrôle) » doivent être
réalisées, soit en câbles de la catégorie CR1 (au sens de la norme NF C 32-070), soit en câbles de la
catégorie C2 (au sens de la norme NF C 32-070) placés dans des cheminements techniques protégés.
Toutefois, elles peuvent être réalisées en câbles de la catégorie C2 et sans protection contre l’incendie
dès qu’elles pénètrent dans la zone de mise en sécurité (Z.S.) correspondant aux D.A.S. qu’elles
desservent.’’
Ouvrage de câble, payé à l’ensemble, comprenant les câbles nécessaires pour le fonctionnement de
l’installation, conformément aux normes selon le synoptique et plans joints, incluant les alimentations,
les commandes et les signalisations des volets, des clapets, des ventouses, et des coffrets de relayage
de désenfumage, ainsi que les câbles des détecteurs, des déclencheurs manuels, et des diffuseurs
sonores, et tout autre câble nécessaire au fonctionnement, cité ou non cité, fourni et posé selon les
règles de l’art, raccordement en ordre de marche sur la centrale d’incendie et les périphériques.
Ouvrage payé à l’ensemble
Le système de pré câblage informatique et téléphone proposé sera conforme aux spécifications
internationales et aux standards de l’hôtellerie. Répondant aux normes en vigueurs
Le système de pré câblage comprendra les principaux éléments suivants :
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- Traitement antirouille et peinture en poudre époxy (finition parfaite) couleur à soumettre pour
approbation par le maitre d’ouvrage.
- Étiquettes de repérages points de distribution et par blocs de panneaux suivant leurs destinations.
- Bandeaux électriques avec disjoncteur 8 prises électriques 2P+T pour l’alimentation de l’armoire :
Switch, modem, Ouvrage payé à ensemble y compris toutes sujétions de fourniture et de pose.
- Passes fils à brosse pour maintenir les cordons de brassage. Ils seront de 19 pouces entre panneaux.
L'ensemble des modules et équipement seront homogènes de même marque.
Ouvrage payé à l'ensemble du coffret, fourni, complet, posé et raccordé, testé, en ordre de
marche, y compris toutes sujétions de pose et de raccordement
CORDONS
Spécifications
- Câble patch CAT 6A F/FTP, gaine PVC
- Plugs Catégorie 6 de-embedded
- Plugs à barre d’engagement avec pièces métalliques de contrôle d’impédance.
- Câblage droit, 4 paires RJ45 / RJ45
- Impédance 100 Ohms
- Longueurs: 0,5 / 1 / 2 / 3 / 5 mètres
- Code couleur EIA / TIA 568 B
- Surmoulage noir
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Surmoulage a profil étroit
Conformes aux normes conforme aux normes : TIA/EIA 568-B.2.1, FCC part 68(dimensions et
tolérance du connecteur), ISO60603-7, ISO/IEC 11801 :2002, EN 50173 :2002
Ouvrage payé à l’unité
C-VIDEO-SURVEILLANCE
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PRIX N°124. : CAMERA IP FIXE INTERIEUR 4MP H264 JOUR/NUIT.
Marque de première qualité.
4MP IR VF DOME
Caméra couleur, DOME fixe, intérieur, fonction Jour/Nuit. avec filtre IR
Résolution TVL : 480 Minimum
Flux double H.264 et MJPEG
Jusqu’à 20 i/s @2048x1536
Mécanisme orientable sur 3 axes.
Objectif varifocal motorisé pour réglage à distance.
Iris auto réglage P-Iris
IR intelligent
Audio dans les deux sens
Une sortie alarme et une entrée capteur
Support carte SD (SD/SDHC) intégré pour stockage local
Enregistrement par logiciel de management (Windows et Mac)
Alimentation DC 12V/AC24V/ PoE (IEEE 802.3af)
Détection de mouvement, alarme effraction, masquage privatif.
Onvif Compatible.
Câblages informatiques.
Ouvrage payé à l’unité, y compris câblage, fourreautage toutes sujétions de fournitures, de pose
et de réglage
Page 146
Enregistrement média interne de 100 jours
Processeur Intel Core i5 ou i7
RAM 4 Gb
USB 3.0
Compression vidéo : H.264, MPEG4, MJPEG
Enregistrement à séquence programmable en temps réel sur 24 heures.
Recherche à grande vitesse des alarmes.
Recherche vidéo à grande vitesse.
Capable de trouver rapidement une image à une date donnée
Enregistrement continu, cyclique et sur alarme sur disque dur ?
En réseau un enregistreur doit être capable d’enregistrer et de visualiser toutes les
Caméras installées.
Protocole TCP/IP routable pour communication en intranet.
Mise à jour rapide de l’image.
Plein écran, Quad, Multiplexage.
Programmation du système accessible par code personnel d’identification, avec affichage des valeurs
par défaut et des dialogues de paramétrage
Indication à l’écran de l’état des caméras, des alarmes du système
Réglage de la qualité de l’image
Réglage de la cadence d’enregistrement de 1 à 50 images/seconde par caméra.
Fonctionne sous Windows pour l’exploitation rapide et indexée.
L’enregistreur doit travailler en multitâches, il continue d’enregistrer les caméras
pendant la relecture et la transmission.
Le logiciel du système doit déclencher l’enregistrement sur une simple détection de
mouvement dans un secteur tracé par l’intermédiaire de ce logiciel, pour chacune des
caméras (pour augmenter le temps de stockage)
Câblage et connexions
Ouvrage payé à l’ensemble, y compris câblage, fourreautage toutes sujétions de fournitures, de
pose et de réglage
Page 147
8- CLIMATISATION - VMC
A/ CLIMATISATION
Page 148
PRIX N°129. : SPLIT-SYSTEME MURAL PUISSANCE FRIGORIFIQUE TOTALE : 9000 BTU
La climatisation sera assurée par un split système réversible avec système de régulation intégré, froid
et chaud ayant les caractéristiques suivantes :
De marque de première qualité
Alimentation 220V -50 HZ.
Le niveau sonore doit être impérativement : 35 dbA.
Comprenant :
NOTA :
Les travaux de génie civil et de maçonnerie les raccordements électriques sont à la charge du présent
prix. Tout socle anti-vibratile sera composé d’une dalle flottante posée sur un lit de liège.
L’entreprise doit remettre les plans de réservation au lot gros œuvre avant tout commencement des
travaux.
Ouvrage payé à l’ensemble, en fourniture et pose, y compris raccordement électrique et toute
sujétion de matériel et mise en œuvre suivant les règles de l’art, les normes et règlements en
vigueur
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Ouvrage payé à l’ensemble, en fourniture et pose, y compris raccordement électrique et toute
sujétion de matériel et mise en œuvre suivant les règles de l’art, les normes et règlements en
vigueur
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Raccordement par viroles circulaires normes Eurovent.
Turbine : Centrifuge à réaction.
Taille : C 100 (aubes en matière plastique).
Équilibrage dynamique.
Montée directement sur le moteur.
Motorisation : Moteur à rotor extérieur, monophasé 230 V - 50 Hz, IP 44, classe E.
Vitesse variable par dévoltage.
Les Tés en tube acier galvanisé.
Ouvrage payé à l’ensemble, fourni posé en ordre de marche, y compris les raccordements
aérauliques et électrique, les plots antivibratiles et toutes sujétions de pose
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9 – PLOMBERIE SANITAIRE - PRODUCTION D’EAU CHAUDE -
PROTECTION CONTRE INCENDIE.
A-EVACUATION EAUX PLUVIALES, EAUX USEES ET EAUX VANNES
Les entreprises doivent tenir compte dans leur prix de tout accessoires et matériels pour les sélections
répandant aux demandes du présent marché en matière de puissance, débit, pression et protections.
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PRIX N°145. : BRANCHEMENT SUR COMPTEUR D’EAU POTABLE
Le branchement au réseau eau potable s’effectuera à partir de la vanne ou la bride pleine au niveau de
la nourrice existante.
Le branchement eau potable comprendra la fourniture et pose de :
➢ Vannes d'arrêt de calibre correspondant au branchement.
➢ Clapet de retenue
Ouvrage payé à l’ensemble y compris fourreaux de sortie du regard compteurs, terrassements
dans terrains toutes nature et toutes sujétions d’exécution
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PRIX N°150. : TUYAU EN POLYETHYLENE RETICULE DE DIAM 16/20
Même descriptif que l’article 149
Ouvrage paye au Mètre linéaire fourni, pose y compris gaine de protection, coupes, pièces de
raccord, essais, percements, scellement, fourreaux, remplissage des trous et toutes sujétions de
fourniture et de pose
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C/ APPAREILS SANITAIRES
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Le procédé d’injection permet d’épouser les formes du ballon et donc d’éviter les ponts thermiques ou
les déperditions de chaleur,
L’isolation en mousse polyuréthane haute densité sans CFC,
Un thermostat de sécurité réglable,
Thermomètre,
Voyant lumineux,
Câble de raccordement avec prise,
Alimentation eau froide et départ eau chaude en flexible.
Le prix inclus aussi l’alimentation électrique de l’appareil depuis le tableau électrique par un câble
U1000RO2V et de section adéquate à la puissance de l’appareil. Ce câble sera posé sous conduits ICD
APE encastrés ou/et sous conduits type flexibles dans les vides de construction.
Ouvrage payé à l'unité y compris toutes sujétions d’exécution
D/ ACCESSOIRES SANITAIRES
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E/ PROTECTION INCENDIE (EXTINCTEURS PORTATIFS)
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10- ASCENSEUR
PRIX N°172. FOURNITURE ET POSE ASCENSEUR ELECTRRIQUE POUR 4 PERSONNES
Fourniture et pose d’un ascenseur électrique type Gearless à traction directe avec un entraînement à
variation de fréquence sans local de machinerie pour 4 personnes de capacité : 320Kg de 1ère choix.
Vitesse (m/s) 1.00 m/s avec Var. Fréq.
Nº d'arrêts/accès 6 arrêts avec 6 accès
Course environ 22 m.
Tension 380V / 220V - 50 Hz
Manœuvre Universelle U_1
Standard Produit avec conformité à la norme : EN81 1
Parachute : cabine a prise instantanée avec effet amorti déclenché par un limiteur de vitesse
Contrepoids : cadre métallique, non parachuté spécialement conçu pour recevoir les éléments de
charge.
La garantie de maintenance de l’ascenseur est d’au moins trois (3) ans à compter de la réception définitive
des travaux.
CABINE
Métallique constituée de panneaux nervurés extérieurement avec ventilation naturelle intégrée dans le
bandeau de commande
Dimensions (a x f x h) 1000 x 1100 x 2100 mm.
1-Parois fond en Panneau Neocompact Couleur au choix de l’architecte ou en acier inoxydable brosse
avec Miroir Paroi sur toute hauteur sur la paroi latérale
2-Parois latéral en Panneau Neocompact Couleur au choix de l’architecte ou en acier inoxydable
brosse. Main courante en inox sur la paroi latérale
Éclairage
Éclairage efficient avec arrêt automatique et Panneau Led
Revêtement sol
Marbre selon le choix de l’architecte y compris la Plinthe
Plafond en inox avec éclairage
Panneau de commandes
Finition Inox ou verre trempé ·
- 1 Plaque de prescriptions.
- 1 Eclairage de secours.
- 1 Bouton d’alarme.
- 1 Confirmation visuelle et sonore des appels.
- 1 Clavier avec boutons poussoirs pour désignation des niveaux
et voyant lumineux indiquant l’enregistrement de l’appel.
- 1 Bouton de réouverture de porte.
- 1 Contrôle de surcharge.
- 1 Eclairage de la cabine à réduction automatique.
- 1 sirène d’alarme en cabine.
- Evacuation automatique .
- Liaison interphone.
- Code pin
Tableau de commande au palier avec boutons poussoirs et voyant lumineux indiquant l’enregistrement
de l’appel
- Indicateur de position à tous niveaux.
- Dispositif prioritaire pompie
PORTE DE CABINE
Porte automatique à 2 vantaux à ouverture latérale à entraînement par opérateur éléctro-mécanique à
vitesse continue réouverture automatique sur obstacle. Dimensions 800 mm x 2000 mm
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Type de vantail Porte normale en Inox brosse·
PORTES PALIERES
Automatique à deux vantaux à ouverture latérale
Dimensions 800 mm x 2000 mm
Type de vantail Porte normale en Inox brosse ·
MANŒUVRE ET ACCESSIBILITE
Collective descente
Directe à la montée, collective à la descente, d’un rendement
élevé.
La manœuvre collective descente enregistre les appels paliers, et les ordres donnés en cabine.
La sélection des étages étant faite, le voyant des boutons d’appels devient lumineux en signe
d’enregistrement.
La cabine dessert à la montée les ordres donnés en cabine dans l’ordre logique sans tenir compte
des appels paliers.
elle n’inverse son sens de marche que lorsque tous les ordres donnés en cabine sont satisfaits,
et que le niveau le plus haut
demandé ait été atteint.
A la descente, tous les ordres cabine ainsi que tous les appels paliers sont satisfaits.
A l’arrivée de la cabine, l’indicateur de direction précise sur le tableau palier le sens du prochain
déplacement.
Tableau de commande en verre trempé, comprenant :
GAINE
Dimensions (L x P)
* Largeur minimale de gaine: 1400 mm
* Largeur minimale de gaine: 1400 mm
Hauteur sous dalle MINIMAL 3400 mm
Cuvette 1400 mm
OPTIONS ÉCO-EFFICIENCE
Entraînement basse consommation : Système avec moteur à traction directe et contrôle électronique
avec grand rendement énergétique pendant la marche.
Arrêt automatique éclairage cabine : L’éclairage s’éteint automatiquement lorsque la cabine est au
repos, avec temporisation programmable (entre 0 et 999 minutes), ce qui augmente la durée de vie des
lampes et permet une importante économie d'énergie.
OPTIONS ADAPTABILITÉ
Contrepoids latéral droite
Y compris le tableau de protection avec Disjoncteur Différentiel pour Moteur et Circuit commande
et Arrivée de deux câbles distincts de 380V et 220V jusqu’à l’armoire de l’ascenseur, une
garantie de 3 ans et de maintenance comprenant changement des pièces de rechange, attestation
de stabilité par le bureau de contrôle, tout les travaux doit être conforme au règle de l’art et les
normes en vigueur notamment les :
NM.06.3.013 ;NM.10.8.001 ;NM0.8.006 ;NM.ISO.4190-1 ;NM.10.8.008 ;NM.10.8.011;
NM.10.8.012; NM.10.8.013; NM.10.8.014 ; NM.10.8.015 ; NM.10.8.017 ; NM.10.8.018 ;
NM.10.8.021.EN81-20 ;EN81-50 ;EN81-80 ;ENF EN 81-73
Ouvrage payé à l’ensemble.
NB : la garantie de maintenance de l’ascenseur est d’au moins trois (3) ans à compter de la
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réception définitive des travaux.
CHAPITRE IV
BORDEREAUX DESPRIX – DETAIL ESTIMATIF
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