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DE LA STATIQUE APPLIQUEE
Edition 2017
1
GUIDE PRATIQUE
DE LA STATIQUE APPLIQUEE
AVANT PROPOS
Depuis mon premier jour à l’université, j’étais à la recherche d’un cours qui sera pour
moi un bien acquis (bien maitrisé). Un adage dit : « la fois sans œuvre est morte », c’est
pourquoi pour bien comprendre un domaine scientifique il est important de réunir à la
fois (la théorie) et les œuvres (la pratique) c’est-à-dire savoir résoudre les problèmes,
les exercices ou les applications qui s’y rattachent. La statique est une discipline de base
pour ceux qui empreintes la science d’ingénieur en génie civil, c’est pourquoi, ce guide
comprend les lois, les principes et les notions fondamentales de la statique. Ainsi chaque
partie ou chapitre a deux phases : la phase théorique et la phase pratique. La théorie
énonce les principes et la marche à suivre pour une résolution meilleure des exercices
suivant 3 phases : faciles, moyens et complexes. Afin de faciliter la tâche aux lecteurs
dans la compréhension. Alors le niveau de l’étudiant en Statique pourra évoluer
graduellement. Les problèmes résolus sont consacrés à l’établissement des formules,
aux démonstrations des théorèmes et aux comparaisons des différentes méthodes. Dans
ce guide se trouve l’essentiel qu’un étudiant en science d’ingénieur doit savoir pour lui
permettre de bien aborder les cours connexe, notamment la Résistance des matériaux, la
Stabilité des constructions, Calcul des structures…
En finalité cet ouvrage c’est plutôt porté sur des grands principes, formules, méthodes,
démonstrations et calculs des structures isostatiques.
Le rôle d’un ingénieur civil étant primordial et capital parce que tout ouvrage
(structure) de génie civil doit être stable (statique) c’est pourquoi il est important que la
maitrise et la confiance soit en la personne qui calcul ou exécute enfin de garantir la
survie humaine ou environnemental sans danger.
Merci à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce guide. Je
pense à tous ceux dont les ouvrages, explications et cours ont servi d’un point d’appui
pour la réalisation de ce guide et ceux qui ont contribués moralement et physiquement
de loin ou de près, je pense plus particulièrement à :
Etant humain née et grandis dans les péchés, je suis sujet d’imperfection donc cet
ouvrage l’est aussi, c’est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir nous apporter
les suggestions, remarques et critiques scientifiques qui sont déjà les bienvenus envie
d’améliorer si une autres occasion nous le permettra.
𝐈 𝐞𝐫𝐞 PARTIE
N° UNITES CONVERSIONS
1. DERIVEE
2. INTEGRALE
2.1 INTEGRALE INDEFINIE
N° FORMULES FORMULES
1
∫ 𝑑𝑥 = 𝑥 + 𝑐 . ∫ 𝑎𝑑𝑥 = 𝑎𝑥 + 𝑐
2 𝑥 𝑛+1 1 (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑛+1
∫ 𝑥 𝑛 𝑑𝑥 = +𝑐 ∫(𝑎𝑥 + 𝑏)𝑛 𝑑𝑥 = +𝑐
𝑛+1 𝑎 𝑛+1
3 𝑑𝑥 𝑑𝑥 1
∫ = ln 𝑥 + 𝑐 . ∫ = ln(𝑎𝑥 + 𝑏) + 𝑐
𝑥 𝑎𝑥 + 𝑏 𝑎
4 1
∫ 𝑒 𝑥 𝑑𝑥 = 𝑒 𝑥 + 𝑐 . ∫ 𝑒 𝑎𝑥+𝑏 𝑑𝑥 = 𝑒 𝑎𝑥+𝑏 + 𝑐
𝑎
5 1
∫ sin 𝑑𝑥 = − cos 𝑥 + 𝑐 . ∫ sin(𝑎𝑥 + 𝑏)𝑑𝑥 = − cos(𝑎𝑥 + 𝑏) + 𝑐
𝑎
6 1
∫ 𝑐𝑜𝑠𝑥 𝑑𝑥 = 𝑠𝑖𝑛𝑥 ∫ cos(𝑎𝑥 + 𝑏) 𝑑𝑥 = sin(𝑎𝑥 + 𝑏) + 𝑐
𝑎
7
∫(𝑎 + 𝑏)𝑑𝑥 = ∫ 𝑎𝑑𝑥 + ∫ 𝑏𝑑𝑥
NB : Intégrale c’est chercher une fonction qui si on la dérive, elle donne la fonction qu’on
veut intégrer
Une intégrale est dite définie lorsqu’il y a la présence de bornes sur le signe d’intégrale
au cas contraire, elle est dite indéfinie.
𝑏
∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = [ 𝐹(𝑋)]𝑏𝑎 = 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎)
𝑎
Toutes les formules précédentes reste les mêmes, mais en cela s’ajoute les bornes
3. TRIGONOMETRIE
TABLEAU DES VALEURS TRIGONOMETRIQUE
𝟏𝒆𝒓𝒆 𝑸𝑼𝑨𝑫𝑹𝑨𝑵𝑻
𝟐𝒆𝒎𝒆 𝑸𝑼𝑨𝑫𝑹𝑨𝑵𝑻
𝟑𝒆𝒎𝒆 𝑸𝑼𝑨𝑫𝑹𝑨𝑵𝑻
𝟒𝒆𝒎𝒆 𝑸𝑼𝑨𝑫𝑹𝑨𝑵𝑻
- 0° et 180°
- 30°, 150°, 210° et 330°
- 45°, 135°, 225° et 315°
- 60°, 120°, 240° et 300
- 90° et 270°
C’est-à-dire si nous évaluons sin ou cos d’un angle donné qui sont en relation on aura la
même valeur tout en liant les signes par rapport au quadrant.
Par exemple (Sin 30° = sin 150° = sin 210 = sin 330 = 0,5) en ces réponses s’ajoute le
signe par rapport au quadrant
Un triangle est dit rectangle si l’un des angles est droit (90°)
𝑏
𝑠𝑖𝑛𝛼 𝑎 𝑏 𝑎 𝑏
𝑒𝑡 𝑡𝑔𝛼 = = 𝑐 = ∗ =
𝑐𝑜𝑠𝛼 𝑎 𝑐 𝑐
𝑎
AC = AB 𝑡𝑔𝛼 ; AB = AC 𝑡𝑔 𝛼 et BC = √𝐴𝐵 2 + 𝐴𝐶 2
La relation entre les angles et les côtés nous permette de déduire l’un ou l’autre.
α+ ɣ + β = 180°
𝑎 𝑐 𝑏
Ceci entraine que : sin 𝛽 = sin ɣ = sin 𝛼
𝑎2 = 𝑏 2 + 𝑐 2 − 2𝑏𝑐 cos 𝛽
𝑏 2 = 𝑎2 + 𝑐 2 − 2𝑎𝑐 cos 𝛼
𝑐 2 = 𝑎2 + 𝑏 2 − 2𝑎𝑏 cos ɣ
La statique ne considère que 2 axes (x et y), donc elle travaille dans un plan.
Une force est un vecteur, car elle a une direction, un sens (l’intensité) et le point
d’application.
Comme un vecteur à ces coordonnées dans le plan, de la même manière une force à ces
coordonnées dans le plan.
F = 𝐹𝑋 + 𝐹𝑌
𝑋
Cos θ = 𝐹 ⟹ 𝑋 = 𝐹 𝑐𝑜𝑠𝜃 donc 𝐹𝑋 = 𝐹 cos 𝜃
𝑌
Sin θ = 𝐹 ⟹ 𝑌 = 𝐹 sin 𝜃donc 𝐹𝑌 = 𝐹 sin 𝜃
𝑌
Cos θ = − 𝐹 ⟹ 𝑌 = −𝐹 cos 𝜃 donc 𝐹𝑌 = −𝐹 cos 𝜃
𝑋
Sin θ = −𝐹 ⟹ 𝑋 = −𝐹 sin 𝜃 donc X = −𝐹 sin 𝜃
CONCLUSION
Mais, ici, nous ne considérons que des systèmes des équations qui interviennent souvent
dans ce cours de la statique et qui sont simple à calculer.
𝐈𝐈 𝐢𝐞𝐦𝐞 PARTIE
STATIQUE
EQUILIBRE
L’état d’un corps qui repose sur des appuis ou abandonné à lui-même, mais ne pouvant
pencher ni d’un côté, ni de l’autre.
STABILITE
La stabilité caractérise un état qui ne peut être modifié sans apport extérieur.
LA RESISTANCE
La résistance d’une structure est sa capacité à supporter sans faillir une contrainte qui
lui est appliquée.
LA RIGIDITE
La structure ou la section ne doit pas subir des déformations excessive lorsqu’elle est
sollicitée
L’ENDURANCE
Un solide (S) en déplacement quelconque dans l’espace affine est repéré par un repère
R = (O, 𝑒𝑥 , 𝑒𝑦 , 𝑒𝑧 )
DEGRE DE LIBERTE D’UN SOLIDE (ddl) : par définition, le ddl d’un solide est ces
déplacements élémentaires
Une liaison élémentaire entre deux solides (𝑆1) et (𝑆2 ) est créée par le contact d’une
surface associée au solide (𝑆1) sur une surface associée à (𝑆2 ). Pour caractériser la
nature de leur liaison, il faut étudier les mouvements relatifs de (𝑆1) par rapport à (𝑆2 ).
Définition :
Le degré de liberté est donc une variable qui peut prendre deux états auxquels on peut
associer :
A chaque contact autorisant des déplacements entre deux ensembles matériels (𝑆1) et
(𝑆2 ). On définit un repère appelé repère local idéal qui permet d’exprimer simplement
les propriétés de contact.
Axe principal : axe de symétrie privilégié de la surface de contact s’il existe. Les deux
autres axes sont tels que le repère soit orthonormé direct.
Le tableau suivant résume les rotations (R) ou les translations (T) permises pour mes
onze liaisons usuelles :
- Liaison encastrement
- Liaison pivot
- Liaison glissière
- Liaison hélicoïdale
- Liaison pivot glissant
- Liaison sphérique à doigt
- Liaison rotule ou sphérique
- Liaison appui plan
- Liaison linéaire annulaire
- Liaison linéaire rectiligne
- Liaison ponctuelle
DEFINITION
L’appui à rouleau impose un seul blocage verticale, laissant libre les autres degrés de
liberté.
L’appui simple fixe impose deux blocages, horizontal et vertical, laissant la rotation.
ENCASTREMENT
APPUIS ELASTIQUE
L'appui élastique. Cet appui également appelé appui à ressort est un cas particulier de
l'appui à rotule. C’est aussi un appui dont le déplacement est proportionnel à la réaction.
2.1.5.1 DEFINITION
On appelle action toute cause sollicitant une structure ou une section de celle-ci c’est-à-
dire produisant un jeu des forces dans une structure.
On peut citer :
- le poids propre
- Les Charges
- Les Actions indirectes
- Les Actions dynamiques etc.
Les actions sont à priori connues, elles sont chiffrées avec une certaine précision.
DEFINITION
Les charges regroupent l’ensemble des actions qui peuvent envahir la construction en
fonction de sa destination, dites aussi charges utiles, vives, mobiles ou d’exploitation et
toutes les actions d’origine extérieure qu’on peut visualiser sous forme des forces.
- Charges concentrées
- Charges continues ou reparties
CHARGES CONCENTREES
- MOMENT APPLIQUE
Le moment c’est un couple.
Par couple, on entend l’ensemble de deux forces, d’intensité égale, de sens opposé et des
supports parallèles.
Avec M : le moment
REPARTITION UNIFORME
Cela sous-entend que la charge sur la structure est identique de point A au point B
CHARGE TRIANGULAIRE
NB : les charges sont des forces extérieurement appliquées sur la structure et son
connues.
Notons qu’une structure est aussi sollicitée par son propre poids.
𝑚𝑔 𝑚 𝑚
(1) Dans (2) : Ɣ = = g or = 𝝋 ⟹ Ɣ = 𝜑 ∗ 𝑔 (4)
𝑣 𝑣 𝑣
P=Ɣ∗V=𝝋𝑽𝒈
On a le poids :
- Linéaire : P = 𝛗 * S * g = Ɣ ∗ S
- Surfacique : P = 𝛗 * e * g = Ɣ ∗ e
- Volumique : P = 𝛗 * g = Ɣ
- Concentré : P = 𝛗 * V * g = Ɣ ∗ V
Ici, on peut comprendre que ce sont des actions qui ne peuvent se concrétiser d’emblée
sous forme des forces, mais font néanmoins naitre un jeu des forces internes dans une
structure :
- Variation de la température
- Tassement du sol
- Fluage
- Retrait des matériaux…
Les actions dynamiques sont celles qui entrent en interaction avec des oscillations
possible (vibration)
On peut citer :
- Vent
- Séismes
- Machines
- Explosions
- Etc…
DEFINITION
On appel force toute cause capable de modifier le mouvement d’un corps ou d’une
structure, et aussi de provoquer sa déformation
- Forces externes
- Forces internes
- Directement appliquée
- Indirectement appliquée
PRINCEPE D’EQUILIBRE
- Un système des forces est dit en équilibre si on l’applique à un solide, il ne
modifie pas l’état de repos ou de mouvement de ce solide
- un système des forces en équilibre est statiquement équivalent à zéro
C’est la loi de Newton, précisément la 3𝑖𝑒𝑚𝑒 loi de Newton, qui dit : “ un solide qui exerce
sur un autre une action reçoit de celui-ci une réaction qui a même support et grandeur
que l’action, mais lui est de sens contraire ”
Ici, en statique
L’étude complète d’une structure (ou section d’une structure) isostatique se résume
suivant ces 5 étapes :
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. SCHEMA DU CORPS RENDU LIBRE (S.C.R.L)
- LA RESULTANTE
- LE CENTRE DE GRAVITE
3. CALCUL DES REACTIONS
4. EFFORTS INTERIEURS
5. DIAGRAMME (M, N et T)
Soit R le nombre des réactions des appuis et E le nombre des équations d’équilibre
statique (3 équations d’équilibre statique)
NB : seules les structures isostatiques sont vues où étudier au premier Graduat (G1) en
science d’ingénieur et cet ouvrage ne fera pas l’exception.
2.2.2.1 LA RESULTANTE
DEFINITION
La résultante c’est la somme des forces appliquées sur un objet, une structure, sur un
point.
Autrement dit, la résultante est une SURFACE géométrique du type de chargement sur la
structure.
- q kg/m cette écriture veut dire après 1 mètre sur la structure on a une charge q
- Maintenant la résultante c’est la somme de tous les q après 1 mètre ce qui donne
pour toute la structure (F = q L)
Au lieu de la sollicitation par mètre, nous avons la sollicitation sur la longueur totale.
DETERMINATION DE LA RESULTANTE
𝑏
F = ∫𝑎 𝑝(∝)𝑑𝑥 Méthode mathématique
- F ou R : la résultante
- P (∝) : la fonction de la charge sur la structure
- a et b : ce sont les bornes du début et de la fin de la charge sur la structure
DEFINITION
C’est-à-dire après avoir trouvé la résultante des forces, il faut trouver son point
d’application sur la structure.
Avec :
𝐿 𝐿 2𝐿
𝑋𝐺 = 2 𝑋𝐺 = 2 𝑋𝐺 = 3
𝐷 𝐿
𝑋𝐺 = 𝑟𝑎𝑦𝑜𝑛 = =2
2
NB :
∑ 𝐹𝑋 = 0 𝑜𝑢 ∑ 𝐹𝐻 = 0 ; ∑ 𝐹𝑌 = 0 𝑜𝑢 ∑ 𝐹𝑉 = 0 et ∑ M = 0
EVALUATION DE MOMENT
Nous savons que le moment est un couple des forces, donc une rotation.
Ici nous adoptons le sens positif celui des aiguilles d’une montre.
M=F*d
NB : - la distance à considérer est la distance celle qui est perpendiculaire entre la force
et le moment
𝑀𝐴 = 𝐹 ∗ 𝑑
𝑀𝐴 = 𝐹 ∗ 𝑑
𝑀𝐴 = 𝐹𝑌 ∗ 𝑑1 + 𝐹𝑋 ∗ 𝑑2
- Toutes les forces qui se situent sur le point choisi et les forces dont les lignes
d’actions se confondent avec celle du moment, le moment en ce point est nul
𝑀𝐴 = 0
Ici, le moment est nul parce que 𝐹1 ∶ se situe sur le point choisit et 𝐹2 : la distance d n’est
pas perpendiculaire au moment
𝑀𝐴 = 𝐹1 ∗ 𝑑1 + 𝐹2 (𝑑1 + 𝑑2 + 𝑑3 ) − 𝐹3 (𝑑1 + 𝑑2 + 𝑑3 + 𝑑4 ) − 𝑀
𝑀𝐵 = −𝐹1 ∗ 𝑑2 + 𝐹2 ∗ 𝑑3 − 𝐹3 (𝑑3 + 𝑑4 ) − 𝑀
𝑀𝐶 = 𝐹3 ∗ 𝑑5 − 𝐹2 (𝑑5 + 𝑑4 ) − 𝐹1 (𝑑2 + 𝑑3 + 𝑑4 + 𝑑5 ) − 𝑀
2.2.4.1 DEFINITION
Les efforts intérieurs sont des forces qui se développent au droit d’une coupe
(à l’intérieur de la structure).
2.2.4.2 HYPOTHESE
On a comme hypothèse : lorsqu’un corps est en équilibre, toutes ses parties les sont
aussi.
Ainsi, si on coupe un corps qui est en équilibre et l’on considère la partie gauche, la
partie droite, elle, aussi, est en équilibre sous l’action des forces externes et internes.
2.2.4.3 COMPOSANTES
L’effort normal est la composante N de la résultante qui représente la somme des forces
intérieures qui agissent suivant la normal de la section ou suivant l’axe longitudinal de la
structure.
RESUME ET SIMPLIFICATION
L’effort normal est la somme des forces qui comprime ou tend la structure. Donc
il est responsable de la traction ou de la compression
L’effort tranchant est la somme des forces qui tranche ou scie la structure. Donc il
est responsable de cisaillement
Moment fléchissant est la somme des forces qui peuvent engendrer la rotation
dans la structure.
EFFORT NORMAL
Effort normal est positif (+) si la force qui sollicite tire la structure (traction) et négatif
(-) si la force qui sollicite pousse la structure (comprime)
EFFORT TRANCHANT
Il est positif (+) si la force qui sollicite scie la structure dans le sens horlogique
Après
Il est négatif (-) si la force qui sollicite scie la structure dans le sens contraire des
aiguilles d’une montre
MOMENT FLECHISSANT
Il est positif (+) si après sollicitation la fibre supérieure est comprimée et la fibre
inferieure tendue.
Positif Négatif
Prenons une structure dont on veut étudier les efforts intérieurs, on procède par une
coupe
LES STRUCTURES
- POUTRES
- COLONNE
Le contraire
- PORTIQUE
Le contraire
- Des sections
- Des points caractéristiques ou des coupes
Les zones des coupes sont délimitées par des appuis, les points d’application de charge
concentrée et repartie, de moment et le point de changement brusque de copule
Dans cet exemple, les zones des coupes sont les suivantes : AB, BC, CD, DE, EF et FG
NB : les zones des coupures sont prises dans la structure du départ ou dans la structure
donnée
Ici nous considérons une poutre, on coupe une petite portion de poutre à une distance si
petite qu’on note dx.
𝐿 𝑑𝑥
F = PL = W dx et 𝑋𝐺 = 2 = 2
𝑑𝑥
∑𝑀𝐶 = 0 ⇒ ⟳ 𝑀 − (𝑀 + 𝑑𝑀) + 𝑇𝑑𝑥 − 𝑤𝑑𝑥 ∗ =0
2
𝑤𝑑𝑥 2 𝑤𝑑𝑥 2
⇒ M - M – dM +T dx - = 0 ⇒ −𝑑𝑀 + 𝑇𝑑𝑥 − =0
2 2
Comme nous avons considéré une petite distance, infiniment petite dx ; si nous l’élevons
au carrée (𝑑𝑥2 ) il devient tellement petite qu’on peut plus le considérer.
Exemple :
𝑑𝑀
De A vers B (de gauche à droite): T = et
𝑑𝑥
𝑑𝑀
De B vers A (de droite à gauche) : T = - 𝑑𝑥
Conclusion : si nous avons le moment (M), pour avoir l’effort tranchant (T) on doit
dérivée le moment (M) par rapport à X et pour avoir le moment (M) on intègre l’effort
tranchant (T) par rapport à X.
Dans cette partie, nous considérons deux grandes parties : les cas particuliers et les cas
complexes
N° STRUCTURES N° STRUCTURES
1 1’
L = 10m = 1000 cm
2 2’
3 3’
4 4’
5 5’
6 6’
7 7’
8 8’
9 9’
10 10’
11 11’
RESOLUTIONS
Exemple 1.
1. détermination de l’isostaticité
Appui A = 2 réactions
Appui B = 1 réaction
Somme 3 réactions
F = qL
(L : longueur et l : largeur)
1 𝐿 1 𝑙
1 𝑥 2 𝑙 1 𝑙2 𝑙
𝑋𝐺 = ∫ 𝑥 𝑞 𝑑𝑥 = 𝑞 ∫ 𝑥 𝑑𝑥 = [ ]0 = ( − 0) =
𝐹 0 𝑞𝑙 𝑜 𝑙 2 𝑙 2 2
𝐿
𝑋𝐺 =
2
On aura :
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 𝑞𝑙 = 0 (2)
𝑙 𝑞𝑙
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒⟳ ql2 − 𝑙 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = (3)
2
𝑞𝑙 𝑞𝑙
(1) dans (2) : 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 𝑞𝑙 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 𝑞𝑙 − 𝑉𝐵 = 𝑞𝑙 − ⇒ 𝑉𝐴 =
2 2
Exemple1’.
L = 10m = 1000 cm
𝟏𝒆𝒓 METHODE
1. vérification de l’isostaticité
cfr le point A
2. S.C.R.L
𝐿 10 10
F = ∫𝑂 𝑝(∝)𝑑𝑥 = ∫𝑜 5 𝑑𝑥 = 5 ∫0 𝑑𝑥 = 5[𝑥]10
0 = 5(10 − 0) = 50𝑁
1 𝐿 1 10 5 10 1 𝑥2 1 100
𝑋𝐺 = 𝐹 ∫0 𝑥𝑝(∝)𝑑𝑥 = 50 ∫0 5𝑥𝑑𝑥 = 50 ∫0 𝑥𝑑𝑥 = 10 [ 2 ]10
0 = 10 ( )=5m
2
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 50 = 0 (2)
𝟐𝒊𝒆𝒎𝒆 METHODE
NB : Ici, nous appliquons directement les formules obtenues après les démonstrations
𝐿 𝑞𝑙
F = q L ; 𝑋𝐺 = 2 et 𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = 2
Avec q = 5 N/𝑚2 et L = 10 m
10 5∗10
F = 5* 10 = 50 KN ; 𝑋𝐺 = = 5 𝑚 et 𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = = 25 𝑁
2 2
Exemple 2.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 2 réactions
Appui B = 1 réaction
Somme 3 réactions
Comme nous avons une charge qui varie, il faut avoir la fonction de la sollicitation pour
calculer.
Nous introduisons les axes pour avoir les coordonnées des points A et B selon X et Y
Avec 0 = 𝑋1 , 0 = 𝑌1 , L = 𝑋2 𝑒𝑡 P = 𝑌2
Nous avons une droite passant par deux points, d’où l’équation d’une droite passant par
deux points est donnée comme suite :
𝑌 −𝑌 𝑃−0 𝑃𝑋
Y - 𝑌1 = 𝑋2 −𝑋1 (𝑋 − 𝑋1 ) ⇒ 𝑌 − 0 = (𝑋 − 0) ⇒ 𝑌 =
2 1 𝐿−0 𝐿
𝑃𝑋
𝑌 = p (∝) = C’est la fonction de la charge sur la structure
𝐿
𝐿
𝐿 𝑙 𝑃𝑋 𝑃 𝐿 𝑃 𝑋2 𝑃𝐿2 𝑃𝐿
F = ∫0 𝑌𝑑𝑥 = ∫𝑜 𝑑𝑥 = 𝐿 ∫0 𝑋𝑑𝑥 = 𝐿 [ 2 ] = =
𝐿 𝑂 2𝐿 2
𝑃𝐿
F= 2
𝐵𝐻 𝐵𝐻
Ou F = surface du triangle = avec B = L ; H = P donc F =
2 2
1 𝐿 1 𝐿 𝑃𝑋 2 𝐿 𝑃𝑋 2 2 𝑋3 𝐿 2 𝐿3 2𝐿
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋 𝑃(𝛼) 𝑑𝑥 = 𝑃𝐿 ∫ 𝑋 𝑑𝑥 = ∫ 𝑑𝑥 = 2 [ ]0 = 2 ∗ =
𝐹 0 0 𝐿 𝑃𝐿 𝑂 𝐿 𝑙 3 𝐿 3 3
2
2𝐿
𝑋𝐺 =
3
∑ Fx = 𝐻𝐴 = 0 (1)
𝑃𝐿 𝑃𝐿
∑ Fy = 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = (2)
2 2
𝑃𝐿 2𝐿 𝑃𝐿
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ ∗ − 𝐿𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = (3)
2 3 3
𝑃𝐿 𝑃𝐿 𝑃𝐿 𝑃𝐿 𝑃𝐿
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = ⇒ 𝑉𝐴 = − 𝑉𝐵 = − ⇒ 𝑉𝐴 =
2 2 2 3 6
Exemple 2’.
avec L = 1200 cm = 12 m
𝟏𝑬𝑹𝑬 METHODE
1. DETERMINATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 2 réactions
Appui B = 1 réaction
2. S.C.R.L
A (0, 0) et B (12, 6)
𝑥
Y = 2 c’est la fonction de la charge sur la structure
12
𝐿 12 𝑥 1 𝑥2 1 122 1 144
F =∫0 𝑌𝑑𝑥 = ∫0 𝑑𝑥 = 2 [ 2 ] = 2[ − 0] = 2 ∗ = 36𝑁
2 0 2 2
12
1 𝐿 1 12 𝑥 1 1 12 2 1 𝑥3 1 123
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋𝑃(𝛼)𝑑𝑥 = ∫ 𝑥 ∗ 𝑑𝑥 = ∗ ∫ 𝑥 𝑑𝑥 = [ ] = ( − 0)
𝐹 0 36 0 2 36 2 0 72 3 0 72 3
𝑋𝐺 = 8 𝑚
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 36 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 36 (2)
∑𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 36 * 8 – 12 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 24 𝑁 (3)
𝟐𝒊𝒆𝒎𝒆 𝑴𝑬𝑻𝑯𝑶𝑫𝑬
Avec P = 6 N/m et L = 12 m
6𝑋 𝑋 6∗12 2∗12 6∗12 6∗12
Y = 12 = 2 , F = = 36 𝑁, 𝑋𝐺 = = 8𝑚, 𝑉𝐴 = = 12𝑁 𝑒𝑡 𝑉𝐵 = = 24𝑁
2 3 6 3
CONCLUSION
Exemple 3.
Ici, nous traitons que la résultante par 2 méthodes et les autres points cfr ou voir les
précédents
𝟏𝒆𝒓𝒆 𝑴𝑬𝑻𝑯𝑶𝑫𝑬
A (o, a) et B (L, b)
𝑌 −𝑌 𝑏−𝑎 (𝑏−𝑎) 𝑏𝑋 𝑎𝑋
Y –𝑌1 = 𝑋2 −𝑋1 (𝑋 − 𝑋1 ) ⇒ 𝑌 − 𝑎 = (𝑋 − 0) ⇒ 𝑌 = 𝑋+𝑎 ⇒𝑌= − +𝑎
2 1 𝐿−0 𝐿 𝐿 𝐿
𝐿 𝐿
𝐿 𝑏𝑋 𝑎𝑋 𝑏 𝑋2 𝑎 𝑋2 𝑏 𝐿2 𝑎 𝐿2 (𝑎+𝑏) 𝐿
R = ∫0 ( 𝐿 − + 𝑎) 𝑑𝑥 = 𝐿 [ 2 ] − 𝐿 [ 2 ] + 𝑎 [𝑋]𝐿𝑂 = 𝐿 ∗ −𝐿∗ + 𝑎𝐿 =
𝐿 0 0 2 2 2
1 𝐿 1 𝐿
𝑏𝑋 𝑎𝑋
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋 𝑌(∝) 𝑑𝑥 = (𝑎+𝑏)𝐿
∫ 𝑋( − + 𝑎) 𝑑𝑥
𝑅 0 0 𝐿 𝐿
2
2 𝐿 𝑏𝑋 2 𝑎𝑋 2 2 𝑏 𝑋3 𝑎 𝑋3 𝐿 𝑋2
𝑋𝐺 = 𝑎𝐿+𝑏𝐿 ∫0 ( − + 𝑎𝑋) 𝑑𝑥 = 𝑎𝐿+𝑏𝐿 (𝐿 ( 3 )𝐿𝑜 − ( ) + 𝑎 ( 2 )𝐿𝑂 )
𝐿 𝐿 𝐿 3 0
𝟐𝒆𝒎𝒆 𝑴𝑬𝑻𝑯𝑶𝑫𝑬
(𝐵+𝑏) ℎ (𝑎+𝑏) 𝐿
F = surface du trapèze = avec B = b ; b = a et h = L donc F =
2 2
Exemple 4.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
Ici, on a directement une résultante, car toutes charges concentrée est déjà la résultante.
𝐿
Donc F = P et 𝑋𝐺 = 2
∑ Fx = 0 ⇒𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 𝑃 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 𝑃(2)
𝐿 𝑃
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑃 2 − 𝐿𝑉𝐵 = 𝑂 ⇒ 𝑉𝐵 = (3)
2
𝑃 𝑃
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 𝑃 ⇒ 𝑉𝐴 = 𝑃 − 𝑉𝐵 = 𝑃 − 2 ⇒ 𝑉𝐴 = 2
Exemple 4’.
F = 10 T et 𝑋𝐺 = 2 𝑚
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 10 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 10 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 10 ∗ 2 − 4𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 5 𝑇 (3)
CONCLUSION : Si on a une poutre sur deux appuis simples, chargés au milieu par une
charge concentrée, il est logique que les appuis ne supportent que la moitié de la charge.
Exemple 5.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
Les sollicitations inclinées doivent être décomposée selon de X et Y parce que nous
sommes sur un plan à deux dimensions
−𝑃 −𝑃
Cos 60° = ⇒ 𝑋 = −𝑝𝐶𝑜𝑠 60° et Sin 60° = ⇒ 𝑌 = − 𝑃𝑆𝑖𝑛 60°
𝑋 𝑌
Ici également la résultante c’est la charge P (𝑃𝑋 ; 𝑃𝑌 ) et 𝑋𝐺 𝑐 ′ 𝑒𝑠𝑡 𝑙à 𝑜𝑢 𝑒𝑙𝑙𝑒 s’applique (a)
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 − 𝑃𝑋 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 𝑃𝑋 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 𝑃𝑌 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 𝑃𝑌 (2)
𝑃𝑌 ∗ 𝑎 − 𝑎𝑃 sin 𝜃
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑃𝑌 ∗ 𝑎 − 𝐿𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = ⇒ 𝑉𝐵 = (3)
𝐿 𝐿
𝑎 𝑝 sin 𝜃
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 𝑃𝑌 ⇒ 𝑉𝐴 = 𝑃𝑌 − 𝑉𝐵 = −𝑃 𝑆𝑖𝑛 𝜃 − 𝐿
sin 𝜃
⇒ 𝑉𝐴 = −(𝑃𝐿 + 𝑎 𝑃)
𝐿
Exemple 5’.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
∑ Fx = 0 ⇒ 𝑃𝑋 − 𝐻𝐵 = 0 ⇒ 𝐻𝐵 = 𝑃𝑋 = √2 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 𝑃𝑌 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 𝑃𝑌 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = −√2 (2)
−2√2
∑ 𝑀𝐵 = 0 ⇒ ⟲2𝑃𝑌 − 5𝑉𝐴 = 0 ⇒ −2√2 − 5𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = (3)
5
2√2 −3√2
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = −√2 ⇒ 𝑉𝐵 = −𝑉𝐴 − √2 = − √2 ⇒ 𝑉𝐵 =
5 5
Exemple 6.
𝟏𝑬𝑹𝑬 𝑴𝑬𝑻𝑯𝑶𝑫𝑬
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
Comme nous avons une charge ayant la forme parabolique, il nous faut déduire la
fonction de cette parabole.
Nous introduisons les axes de X et Y pour avoir les coordonnées des points A, B et C
𝐿
A (0, 0) ; B (2 , 𝑃) et C (L, O)
L’équation d’une droite passant par 3 points : Y = A𝑋 2 + BX + C
Au point A (0, 0)
Y = A𝑋 2 + BX + C ⇒ 0 = A.02 + 𝐵 ∗ 0 + 𝐶 ⇒ 𝐶 = 0 (1)
𝐿
Au point B (2 , 𝑃)
𝐿 𝐿 𝐴𝐿2 𝐵𝐿
Y = A𝑋 2 + BX + C ⇒ P = A * (2)2 + B * 2 + C ⇒ P = + (2) avec C = 0
4 2
Au point C (L, 0)
C=0 (1)
𝐴𝐿2 𝐵𝐿
P= + (2)
4 2
𝐴𝐿2 + 𝐵𝐿 = 0 (3)
𝐵
De (3) : 𝐴𝐿2 + 𝐵𝐿 = 0 ⇒ 𝐴 = − (4)
𝐿
𝐵 𝐿2 𝐵𝐿 − 𝐵𝐿 𝐵𝐿 𝐵𝐿 4𝑃
(4) Dans (2) : P = - 𝐿 ∗ + = + = ⇒𝐵= (5)
4 2 4 2 4 𝐿
−4𝑃 1 4𝑃
(5) dans (4) : A = ∗ 𝐿 ⇒ 𝐴 = − 𝐿2
𝐿
4𝑃 4𝑃
Nous aurons enfin : Y = A𝑋 2 + BX + C = - 𝑋2 + 𝑋
𝐿2 𝐿
𝐿 𝑙 4𝑃 4𝑃 𝑙 4𝑃 𝑙 4𝑃
F = ∫𝑂 𝑌𝑑𝑥 = ∫𝑜 ( − 𝑋2 + 𝑋 ) 𝑑𝑥 = ∫0 − 𝑋 2 𝑑𝑥 + ∫0 𝑋𝑑𝑥
𝐿2 𝐿 𝐿2 𝐿
𝑙 𝑙
4𝑝 𝑥 3 4𝑝 𝑥 2 4𝑝 𝑙3 4𝑝 𝑙2 4𝑝𝑙 4𝑝𝑙 −8𝑃𝐿+12𝑃𝐿 4𝑃𝐿 2𝑃𝐿
F=- [3] + [ 2 ] = − 𝑙2 ∗ + ∗ =− + = = =
𝑙2 0 𝑙 0 3 𝑙 2 3 2 6 6 3
2𝑎𝑏 2𝑃𝐿
Ou F = surface demi parabole = avec a = P et b = L donc F =
3 3
1 𝐿 1 𝐿 −4𝑃𝑋 2 4𝑃𝑋
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋 𝑌𝑑𝑥 = 2𝑃𝐿 ∫ 𝑋 ( + ) 𝑑𝑋
𝐹 0 𝑂 𝐿2 𝐿
3
𝐿 𝑙 𝑙
3 −4𝑃𝑋 3 4𝑃𝑋 2 3 −4𝑝𝑥 3 4𝑝𝑥 2
= ∫ ( + ) 𝑑𝑥 = (∫ 𝑑𝑥 + ∫ 𝑑𝑥)
2𝑃𝐿 0 𝐿2 𝐿 2𝑝𝑙 𝑜 𝑙 2 0 𝑙
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
2𝑃𝐿 2𝑃𝐿
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = (2)
3 3
2𝑃𝐿 𝐿 𝑃𝐿
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ ∗ 2 − 𝐿𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = (3)
3 3
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
𝑙
Avec : 𝑎0 = 𝑥0 = 0; 𝑎1 = 𝑥1 = 2 ; 𝑎2 = 𝑥2 = 𝑙
𝑏0 = 𝑦0 = 0; 𝑏1 = 𝑦1 = 𝑝; 𝑏2 = 𝑦2 = 0
Exemple 6’.
𝟏𝑬𝑹𝑬 𝑴𝑬𝑻𝑯𝑶𝑫𝑬
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
Y = A𝑋 2 +BX + C
Au point A (O,O)
Au point B (2,5)
5= A*22 + 𝐵 ∗ 2 + 𝐶 ⇒ 5 = 4𝐴 + 2𝐵 (2)
Au point C (4,0)
0 = A* 42 + 4𝐵 ⇒ 16𝐴 + 4𝐵 = 0 ⇒ 4𝐴 + 𝐵 = 𝑂 (3)
C = 0 (1)
4𝐴 + 2𝐵 = 5 (2)
4𝐴 + 𝐵 = 𝑂 (3)
De (3) : B = - 4A (4)
−5
(4) dans (2) : 4A + 2B = 5 ⇒ 4A + 2 (-4A) = 5 ⇒ A = (5)
4
−5
(5) dans (4) : B = -4 * ⇒𝐵=5
4
−5𝑋 2
On aura : Y = A𝑋 2 +BX + C ⇒ Y = + 5𝑋
4
𝐿 4 −5𝑥 2 4 −5𝑥 2 4 −5 𝑥 3 4 𝑥2
F = ∫𝑂 𝑌𝑑𝑥 = ∫𝑜 ( + 5𝑥) 𝑑𝑥 = ∫0 𝑑𝑥 + ∫0 5𝑥𝑑𝑥 = [ ] + 5[ 2 ]40
4 4 4 3 0
−5 43 42 −320 80 40
F= ∗ +5∗ = + = = 13,3 𝑇
4 3 2 12 2 3
1 𝐿 1 4 5 3 4 −5𝑥 3
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋𝑌𝑑𝑥 = 40 ∫ 𝑋( − 𝑋 2 + 5𝑋) 𝑑𝑥 = ∫ ( + 5𝑥 2 ) 𝑑𝑥
𝐹 0 0 4 40 0 4
3
4 4
3 −5 𝑥 4 𝑋3 3 −5 44 43 3 −1280 320
= 40 { 4 [ 4 ] + 5 [ 3 ] } = 40 [ 4 ∗ +5∗ ] = 40 [ + ]=2m
0 0 4 3 16 3
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 𝑂 (1)
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
Comme le cas qui précède, nous introduisons les axes pour obtenir la fonction
Avec : 𝑎0 = 𝑥0 = 0; 𝑎1 = 𝑥1 = 2; 𝑎2 = 𝑥2 = 4
𝑏0 = 𝑦0 = 0; 𝑏1 = 𝑦1 = 5; 𝑏2 = 𝑦2 = 0
(𝑥−2)(𝑥−4) (𝑥−0)(𝑥−4) (𝑥−0)(𝑥−2) 𝑥(𝑥−4) 5𝑋 2 −20𝑋
Y = 0 (0−2)(0−4) + 5 (2−0)(2−4) + 0 (4−0)(4−2) = 5 =
2(−2) −4
−5𝑋 2
Y= + 5𝑋 (voir même fonction avec l’exemple 1)
4
Exemple 7.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
𝑀
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 = −𝑉𝐵 ⇒ 𝑉𝐴 = 𝐿
Exemple 7’.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
1
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 = −𝑉𝐵 ⇒ 𝑉𝐴 = 44
Exemple 8.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 2 réactions
2. S.C.R.L
𝐿
F = PL et 𝑋𝐺 = 2
𝑃𝐿2
⇒ − 𝑅𝐵 𝑠𝑖𝑛𝜃 ∗ 𝐿 − 𝑅𝐵 𝑐𝑜𝑠𝜃 ∗ 𝑎 − 𝑅𝐵 𝑠𝑖𝑛𝜃 ∗ 𝑎 = 0
2
𝑃𝐿2 𝑃𝐿2
⇒ 𝑅𝐵 (𝐿𝑠𝑖𝑛𝜃 + 𝑎𝑠𝑖𝑛𝜃 + 𝑎𝑐𝑜𝑠𝜃) = ⇒ 𝑅𝐵 = 2𝑠𝑖𝑛𝜃+2𝑎𝑠𝑖𝑛𝜃+2𝑎𝑐𝑜𝑠𝜃 (3)
2
𝑃𝐿2 𝑐𝑜𝑠𝜃
(3) dans (1) : 𝐻𝐴 = 2𝐿𝑠𝑖𝑛𝜃+2𝑎𝑠𝑖𝑛𝜃+2𝑎𝑐𝑜𝑠𝜃
𝑃𝐿2 𝑠𝑖𝑛𝜃
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 = 𝑃𝐿 − 2𝐿𝑠𝑖𝑛𝜃+2𝑎𝑠𝑖𝑛𝜃+2𝑎𝑐𝑜𝑠𝜃
Exemple 8’.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
6
F = 5*6 = 30 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 3𝑚
2 √2
tg θ = 2 = 1 ⇒ 𝜃 = 𝑎𝑟𝑐 𝑡𝑔 1 ⇒ 𝜃 = 45° avec cosθ = sinθ = 2
√2
𝑅𝐵𝑋 = −𝑅𝐵 𝑐𝑜𝑠𝜃 = −𝑅𝐵 𝑐𝑜𝑠45° = − 𝑅
2 𝐵
√2
Et 𝑅𝐵𝑌 = 𝑅𝐵 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 𝑅𝐵 𝑠𝑖𝑛45° = 𝑅
2 𝐵
√2 √2
∑ Fx = 0⇒ 𝐻𝐴 + 𝑅𝐵𝑋 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 − 𝑅 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 𝑅 (1)
2 𝐵 2 𝐵
√2 √2
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑅𝐵𝑌 − 30 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑅 − 30 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 30 − 𝑅 (2)
2 𝐵 2 𝐵
√2 √2
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒⟳30*3- 2 𝑅 −8 𝑅 = 0 ⇒ 90 − √2𝑅𝐵 − 4√2𝑅𝐵 = 0 ⇒ 90 − 5√2𝑅𝐵
2 𝐵 2 𝐵
⇒ 𝑅𝐵 = 9√2 (3)
√2
(3) dans (1) : 𝐻𝐴 = ∗ 9√2 ⇒ 𝐻𝐴 = 9𝐾𝑁
2
√2
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 = 30 − ∗ 9√2 = 30 − 9 ⇒ 𝑉𝐴 = 21𝐾𝑁
2
Exemple 9.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 3 réactions
2. S.C.R.L
F = P et 𝑋𝐺 = 𝐿
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 − 𝑃 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 𝑃 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑀𝐴 + 𝑃𝐿 = 0 ⇒ 𝑀𝐴 = −𝑃𝐿 (3)
Exemple 9’.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr la démonstration
2. S.C.R.L
8
F = 10 * 8 = 80 T et 𝑋𝐺 = 2 = 4𝑚
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 − 80 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 80 𝑇 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑀𝐴 + 80 ∗ 4 = 0 ⇒ 𝑀𝐴 = −320 𝑇𝑚 (3)
Exemple 10.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 2 réactions
Appui B = 2 réactions
NB : il existe des structures qui, à première vue, vous semble hyperstatique, mais en
réalité elles sont isostatiques composées, car elles ont des nœuds non rigide c’est-à-dire
des rotules.
2. S.C.R.L
𝐿
F = PL et 𝑋𝐺 = 2
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 − 𝐻𝐵 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 𝐻𝐵 (1)
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 𝑃𝐿 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 𝑃𝐿 − 𝑉𝐵 (2)
𝐿 𝑃𝐿
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑃𝐿 2 − 𝐿𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = (3)
2
𝑃𝐿 2𝑃𝐿−𝑃𝐿 𝑃𝐿
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 = 𝑃𝐿 − 𝑉𝐵 = 𝑃𝐿 − = ⇒ 𝑉𝐴 = (4)
2 2 2
𝐿 𝐿 𝐿 1 𝐿
F = PL or L = 2 ⇒ 𝐹 = 𝑃𝐿/2 et 𝑋𝐺 = 2 = 2 ∗ 2 = 4
𝑃𝐿 𝐿 𝐿 𝐿 2 𝐿 𝑃𝐿2
𝑀𝐶 = 0 ⇒ ⟲ ∗ + 𝐻𝐴 ∗ − 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = (𝑉𝐴 ∗ − )
2 4 2 2 𝐿 2 8
𝑃𝐿
(4) dans (1) : 𝐻𝐵 = 4
Exemple 10’.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr la démonstration
2. S.C.R.L
F = 80 KN et 𝑋𝐺 = 10𝑚
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 − 𝐻𝐵 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 𝐻𝐵 (1)
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 80 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 80 − 𝑉𝐵 (2)
Exemple 11.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
𝑌2 = 𝑌1 + 𝐾𝑋 2
Si x = 0 ⇒ 𝑌2 = 𝑌1 + 𝐾02 ⇒ 𝑌1 = 𝑌2 ⇒ 𝑌2 = 𝑃
𝑞
Si x = L ⇒ 𝑌2 = 𝑌1 + 𝐾𝐿2 ⇒ q = 0 + 𝐾𝐿2 ⇒ 𝑘 = 𝐿2
𝑞
Donc : Y = 𝑌1 + 𝐾𝑋 2 = P +𝐿2 𝑋 2 c’est la fonction de la charge sur la poutre
𝐿 𝑙 𝑞 𝑙 𝑙 𝑞 𝐿 𝑞 𝑙
F = ∫𝑂 𝑌𝑑𝑥 = ∫𝑜 (𝑃 + 𝐿2 𝑋 2 ) 𝑑𝑥 = ∫𝑜 𝑝𝑑𝑥 + ∫0 𝐿2 𝑋 2 𝑑𝑥 = 𝑃 ∫0 𝑑𝑥 + 𝐿2 ∫𝑜 𝑥 2 𝑑𝑥
𝑞 𝑋3 𝑞 𝐿3 𝑞 𝐿3 𝑞𝐿
F = P [𝑋]𝐿𝑂 + 𝐿2 [ 3 ]𝐿𝑂 = P(L - 0)+𝐿2 ( 3 − 0) = PL +𝐿2* ⇒ 𝐹 = 𝑃𝐿 −
3 3
1 𝐿 1 𝑙
𝑞𝑥 2 3 𝑙
𝑞 𝑙 3
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋 𝑌 𝑑𝑥 = 𝑞𝐿 ∫ 𝑥(𝑝 + )𝑑𝑥 = [𝑝 ∫ 𝑥 𝑑𝑥 + ∫ 𝑥 𝑑𝑥]
𝐹 0 𝑃𝐿 − 3 0 𝑙2 3𝑝𝑙 − 𝑞𝑙 0 𝑙2 0
𝐿 𝐿
3 𝑋2 𝑞 𝑋4 3 𝑃𝐿2 𝑞𝐿2 3𝑃𝐿 3𝑞𝐿
𝑋𝐺 = {𝑃 [ ] + 2 [ ] } = ( + )= +
3𝑝𝑙 − 𝑞𝑙 2 𝑂 𝐿 4 0 3𝑝𝑙 − 𝑞𝑙 2 4 6𝑃 − 2𝑞 12𝑃 − 4𝑞
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
𝑞𝐿 𝑞𝐿
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 𝑃𝐿 + = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 𝑃𝐿 − − 𝑉𝐵 (2)
3 3
𝑞𝐿 3𝑃𝐿 3𝑞𝐿
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ (𝑃𝐿 − ) (6𝑃−2𝑞 + 12𝑃−4𝑞) − 𝐿𝑉𝐵 = 0
3
3 𝑝2 𝐿2 𝑝𝑞𝐿2 𝑝𝑞𝑙2 𝑞2 𝑙2
⇒2 [3𝑃−𝑞 − 9𝑃−3𝑞 + 6𝑝−2𝑞 − 18𝑝−6𝑞] − 𝐿𝑉𝐵 = 0
𝑞𝐿 𝑞𝐿 𝑃𝑞𝐿 𝑞2 𝐿
(3) dans (2) : 𝑉𝐴 = 𝑃𝐿 − − 𝑉𝐵 = 𝑃𝐿 − −𝑃2 𝐿 − +
3 3 2 6
Exemple 11’.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
Si X = 0 ⇒ 𝑌2 = 𝑌1 + 𝐾𝑋 2 ⇒ 𝑌2 = 800 + 𝐾 ∗ 02 ⇒ 𝑌2 = 800
−100
Si X = 6m ⇒𝑌2 = 𝑌1 + 𝐾𝑋 2 ⇒ 400 = 800+ k * 62 ⇒ 400=800+36k ⇒ k = 9
100
On aura : Y = 𝑌1 + 𝐾𝑋 2 ⇒ 𝑌 = 800 − 𝑋 2 c’est la fonction
9
𝐿 6 100𝑥 2 6 6 100𝑥 2
F = ∫𝑂 𝑌𝑑𝑥 = ∫0 (800 − ) 𝑑𝑥 = ∫0 800 𝑑𝑥 − ∫0 𝑑𝑥
9 9
100 𝑋 3 6 100 63
F = 800 [𝑋]60 - [ 3 ]0 = 800 ∗ 6 − ∗ = 4000𝑁
9 9 3
1 𝐿 1 6
100𝑥 2 1 6
100𝑥 3
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋𝑌𝑑𝑥 = ∫ 𝑥[800 − ] 𝑑𝑥 = ∫ (800𝑥 − ) 𝑑𝑥
𝐹 0 4000 0 9 4000 0 3
6 6 6
1 100 6 3 1 𝑥2 1000 𝑥 4
𝑋𝐺 = [800 ∫ 𝑋𝑑𝑥 − ∫ 𝑥 𝑑𝑥 = {800 [ ] − [ ] }
4000 0 3 0 4000 2 0 3 4 0
1 62 1000 64 1
𝑋𝐺 = [800 ( − 0) − ( − 0)] = (14400 − 3600) = 2,7 𝑚
4000 2 3 4 4000
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
Ici, dans cette partie, nous appliquerons directement les formules, méthodes ou
principes déjà démontré. Si ce n’est pas le cas, on le fera directement lors de la
résolution.
Exemple 1.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 10
F = PL = 5 * 10 = 50 N et 𝑋𝐺 = 2 = = 5 𝑚 , avec P = 5 N/m et L = 10 m
2
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 50 − 20 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 70 − 𝑉𝐵 (2)
Exemple 2.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents (encastrement au point A)
2. S.C.R.L
10 ∗ 6 2𝐿 2∗6
F = PL/2 = = 30𝑁 et 𝑋𝐺 = = = 4𝑚, avec P = 10 N/m et L = 6m
2 3 12
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⟹ 𝑀𝐴 + 30 ∗ 2 + 10 ∗ 2 = 0 ⇒ 𝑀𝐴 = −80 𝑁𝑚
Exemple 3.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 4
F = PL = 10*4 = 40 N et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2𝑚
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 40 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 40 − 𝑉𝐵 (2)
Exemple 4.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
Ici, notre poutre a deux sollicitations différentes parties AB et BC
Partie AB : 0 ≪ 𝑋 ≪ 3𝑚
𝐿 3 5𝑋 3 5𝑋 3 5 𝑋2
F = ∫0 𝑌𝑑𝑥 = ∫0 ( 3 + 10) 𝑑𝑥 = ∫0 𝑑𝑥 + ∫0 10 𝑑𝑥 = 3 [ 2 ]30 + 10[𝑥]30
3
5 9
F = 3 (2 − 0) + 10(3 − 0) = 37,5𝑁
1 𝐿 1 3
5𝑋 1 3
5𝑥 2 3
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋𝑌𝑑𝑥 = ∫ 𝑥 ( + 10) 𝑑𝑥 = [∫ 𝑑𝑥 + ∫ 10𝑋𝑑𝑥]
𝐹 0 37,5 0 3 37,5 0 3 0
3 3
1 5 𝑋3 𝑋2 1 5 27 9 1 135 90
𝑋𝐺 = { [ ] + 10 [ ] } = [ ∗ + 10 ∗ ] = [ + ]
37,5 3 3 0 2 0 37,5 3 3 2 37,5 9 2
Partie CB : 0 ≪ 𝑥 ≪ 3m
𝐿 3 5𝑋 3 5𝑋 3 5 𝑥2
F = ∫0 𝑌𝑑𝑥 = ∫0 ( 3 + 25) 𝑑𝑥 = ∫0 𝑑𝑥 + ∫0 25𝑑𝑥 = 3 [ 2 ]30 + 25[𝑥]30
3
5 9 45 495
F = 3 ∗ 2 + 25 ∗ 3 = + 75 = = 82,5𝑁
6 6
1 𝐿 1 3
5𝑋 1 3
5𝑥 2 3
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋 𝑌 𝑑𝑥 = ∫ 𝑥 ( + 25) 𝑑𝑥 = [∫ + ∫ 25𝑥 𝑑𝑥]
𝐹 0 82,5 0 3 82,5 0 3 0
3 3
1 5 𝑋3 𝑋2 1 5 27 9 1 135 225
𝑋𝐺 = { [ ] + 25 [ ] } = [ ∗ + 25 ∗ ] = [ + ] = 1,55𝑚
82,5 3 3 0 2 0 82,5 3 3 2 82,5 9 2
Exemple 5.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents (encastrement au point A)
2. S.C.R.L
𝐿 4
Du point AB : F = PL = 10 * 4 = 40 N et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2𝑚
𝐿 4
Du point BC : F = PL = 5 * 4 = 20 N et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2𝑚
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 − 40 − 20 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 60𝑁
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑀𝐴 − 40 ∗ 2 − 20 ∗ 6 + 20 = 0 ⇒ 𝑀𝐴 = 180 𝑁𝑚
Exemple 6.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝑃𝐿 30 ∗ 9
F= = = 135 𝑁
2 2
2𝐿 2 ∗ 9
𝑋𝐺 = = = 6𝑚
3 3
Exemple 7.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 1 réaction
Appui B = 1 réaction
Appui C = 1 réaction
2. S.C.R.L
𝑃𝐿 45∗6 2𝐿 2∗6
Partie BE : F = = = 135 𝑁 et 𝑋𝐺 = = =4𝑚
2 2 3 3
𝑃𝐿 45∗3 2𝐿 2∗3
Partie EF : F = = = 67,5 𝑁 et 𝑋𝐺 = = =2𝑚
2 2 3 3
𝑦
tg 30 = 2 ⇒ 𝑦 = 2 𝑡𝑔30 = 2 ∗ 0,577 = 1,15𝑚
𝑦
tg 30 = 4 ⇒ 𝑦 = 4 𝑡𝑔30 = 4 ∗ 0,577 = 2,308 𝑚
𝑅𝐴 + 𝑅𝐶 − 𝑅𝐷 = −57,74 𝑁 (1)
𝑅𝐴 + 𝑅𝐶 + 𝑅𝐷 = 578,1 𝑁 (2)
𝑅𝐴 = 122,04 𝑁
𝑅𝐶 = - 180,32 N
𝑅𝐷 = 636,38 𝑁
Exemple 8.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les points 2.6.9
2. S.C.R.L
𝐿 4
F = PL = 10 * 4 = 40 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2𝑚
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 60 − 40 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 100 (2)
−3 440
⟹ 𝑉𝐵 = 𝐻𝐵 + (3)
9 9
Faisons la coupe au point C et considérons la partie droite.
⇒ 𝐻𝐵 = 74,67 𝐾𝑁 (6)
Exemple 9.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 3
F = PL = 10 * 3 = 30 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1,5𝑚
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 20 − 20 − 30 = 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 70 (2)
Exemple 10.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir le point 2.6.8
2. S.C.R.L
F = Pl = 15*2 =30 KN
𝐿 2
𝑋𝐺 = = = 1𝑚
2 2
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 − 30 − 8 − 5 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 43𝐾𝑁 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑀𝐴 − 5 ∗ 2 − 8 ∗ 4 − 30 ∗ 5 = 0 ⇒ 𝑀𝐴 = 192 𝐾𝑁𝑚
Exemple 11.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
F = PL = 40*4 = 160 dan
𝐿 4
𝑋𝐺 = = = 2𝑚
2 2
GUIDE PRATIQUE DE LA STATIQUE APPLIQUEE (PRINCIPES ET METHODES DE CALCUL)
REALISE PAR : L’Ir B.T.P OTEMAKUMI LOTENGO Merlin (OLM SUPREME) Page 74
75
Exemple 12.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 2
F = PL = 3*2 = 6 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1𝑚
2 √2
tgθ = 2 = 1 ⇒ 𝜃 = 45° et cos𝜃 = 𝑠𝑖𝑛𝜃 = = 0,707
2
𝑀𝐶 = 0 ⇒ −2𝐻𝐵 = 0 ⇒ 𝐻𝐵 = 0 (5)
Exemple 13.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 1 réaction
Appui B = 3 réactions
2. S.C.R.L
𝐿 6
F = PL = 12 * 6 = 72 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 3𝑚
∑𝐹𝑦 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 − 72 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 72 𝐾𝑁 (2)
𝐿 6
F = PL = 12*6 = 72 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 3𝑚
⇒ 𝑀𝐵 = −404 𝐾𝑁𝑚
Exemple 14.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfrles précédents ou voir les exemples sur l’encastrement
2. S.C.R.L
Recherche de l’angle d’inclinaison θ et la distance AB
8
tgθ = 3 = 2,7 ⇒ 𝜃 = 67,9° ; cos𝜃 = 𝑐𝑜𝑠69,4 = 0,352 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 𝑠𝑖𝑛69,4 = 0,936
L = AB = √32 + 82 = 8,5 𝑚
𝐿 8,5
F = PL = 20 * 8,5 = 170 KN et 𝑋𝐺 = 2 = = 4,25 𝑚
2
Exemple 15.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝑃𝐿 2∗3 2𝐿 2∗3
Partie AC = partie BC : F = = = 3 𝐾𝑁 et 𝑋𝐺 = = = 2𝑚
2 2 3 3
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 3 − 3 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 6 − 𝑉𝐵 (2)
Exemple 16.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = −𝑉𝐵 (2)
Exemple 17.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 2
Charge uniforme : F = PL = 5*2 = 10 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1𝑚
𝑃𝐿 2∗3 2𝐿 2∗3
Charge triangulaire : F = = = 3𝐾𝑁 𝑒𝑡 𝑋𝐺 = = = 2𝑚
2 2 3 2
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 10 − 10 − 3 − 6 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 29 − 𝑉𝐵 (2)
Exemple 18.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.RL
𝐿 4
Charge uniforme verticale : F = PL = 2 * 4 = 8 et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2𝑚
𝐿 3
Charge uniforme horizontale : F = PL = 1 * 3 = 3 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1,5𝑚
∑ Fy =0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 8 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 8 − 𝑉𝐵 (2)
Exemple 19.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 3 réactions
Appui B = 1 réaction
2. S.C.R.L
𝐿 1,5
Partie CD : F = PL = 10 * 1,5 = 15 KN et 𝑋𝐺 = 2 = = 0,75 𝑚
2
𝐿 5
Partie AD : F = PL = 10 * 5 = 50 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2,5 𝑚
𝑃𝐿 30∗3 2𝐿 2∗3
Partie BF : F = = = 45 𝐾𝑁 et 𝑋𝐺 = = = 2𝑚
2 2 3 3
3
𝑏 3 10𝑋 3 10𝑋 3 10 𝑥 2
F = ∫𝑎 𝑦𝑑𝑥 = ∫0 ( + 10)𝑑𝑥 = ∫0 𝑑𝑥 + ∫0 10 𝑑𝑥 = [ 2 ] + 10[𝑥]30
3 3 3 0
10 9
𝐹= ∗ + 10 ∗ 3 = 45 𝐾𝑁
3 2
1 𝑏 1 3 10𝑋 1 3 10𝑥 2
𝑋𝐺 = ∫ 𝑋𝑌𝑑𝑥 = ∫ 𝑥( + 10) 𝑑𝑥 = ∫ ( + 10𝑥) 𝑑𝑥
𝐹 𝑎 45 0 3 45 0 3
3 3
1 10 𝑋 3 𝑋2 1 10 27 9
𝑋𝐺 = { [ ] + 10 [ ] } = [ ∗ + 10 ∗ ]
45 3 3 0 2 0 45 3 3 2
∑𝐹𝑌 = 0 ⟹ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 + 𝑌 − 15 − 45 − 30 = 0 ⟹ 𝑉𝐴 = 15 + 45 + 30 − 𝑦 − 𝑉𝐵
𝑀𝐸 = 0 ⇒ ⟳ 30 ∗ 1 + 15 − 45 ∗ 1 + 2𝑉𝐵 = 0 ⟹ 𝑉𝐵 = 0 (4)
Exemple 20.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = −𝑉𝐵 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 50 ∗ 2 − 10𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 10 𝐾𝑁 (3)
Exemple 21.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 5
Partie AB : F = PL = 30 * 5 = 150 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2,5𝑚
Exemple 22.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 3
F = PL = 6 * 3 = 18 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1,5 𝑚
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 − 5 − 12 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 17 𝐾𝑁 (2)
∑ 𝑀𝐵 = 0 ⇒ −5 ∗ 2 + 12 ∗ 3 − 18 ∗ 6,5 − 8𝐻𝐴 − 𝑉𝐴 = 0
Exemple 23.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
F = PL = 3 * 8 = 24 KN
𝐿 8
𝑋𝐺 = = = 4𝑚
2 2
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 24 − 12 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 36 − 𝑉𝐵 (2)
⇒ 𝑉𝐵 = 21𝐾𝑁(3)
Exemple 24.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
∑ Fy =0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 + 𝑉𝐷 − 20 − 4 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 + 𝑉𝐷 = 24 (2)
⇒ 𝑉𝐵 + 2𝑉𝐷 = 17 (3)
𝐻𝐴 = 0 (1)
𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 + 𝑉𝐷 = 24 (2)
𝑉𝐵 + 2𝑉𝐷 = 17 (3)
𝑉𝐵 + 3𝑉𝐴 = 40 (4)
17 40 3𝑉𝐴
(5) 𝑑𝑎𝑛𝑠 (3) ∶ 40 − 3𝑉𝐴 + 2𝑉𝐷 = 17 ⟹ 𝑉𝐷 = − + (6)
2 2 2
17 40 3𝑉𝐴
(5) 𝑒𝑡 (6)𝑑𝑎𝑛𝑠 (2) ∶ 𝑉𝐴 + 40 − 3𝑉𝐴 + − + = 24
2 2 2
⟹ 2𝑉𝐴 + 80 − 6𝑉𝐴 + 17 − 40 + 3𝑉𝐴 = 48 ⟹ −𝑉𝐴 = 48 − 57 ⟹ 𝑉𝐴 = 9 𝐾𝑁 (7)
Exemple 25.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝑃𝐿 𝑙 1 𝑞𝑙 2𝐿 𝐿 1 𝐿
Partie BC : F = = 𝑞∗2∗2= 𝑒𝑡 𝑋𝐺 = =2∗2∗3=3
2 4 3
𝑞𝑙 5𝑙 5𝑞𝑙2
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ 𝑀 + ∗ = 0⇒ M=-
4 6 24
Exemple 26.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝑃𝐿 10 ∗ 4 2𝐿 2∗4
Partie AC = DB : F = = = 20 𝐾𝑁 𝑒𝑡 𝑋𝐺 = = = 2,7 𝑚
2 2 3 3
𝐿 6
Partie CD : F = PL = 10 * 6 = 60 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 3𝑚
⇒ 𝑉𝐵 = 50 𝐾𝑁 (3)
Exemple 27.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Cfr ou voir les précédents
2. S.C.R.L
𝐿 9
Charge uniforme AB : F = PL = 5 * 9 =45 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 4,5 𝑚
𝑃𝐿 6∗3 2𝐿 2∗3
Charge linéaire AC et DB : F = = = 9𝐾𝑁 𝑒𝑡 𝑋𝐺 = = = 2𝑚
2 2 3 3
𝐿 3
Charge uniforme CD : F = PL = 6 * 3 = 18 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1,5 𝑚
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 9 − 9 − 45 − 12 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 81 − 𝑉𝐵 (2)
Exemple 28.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A = 3 réactions
Appui C = 1 réaction
Appui E =1 réaction
PARTIE DE
𝑃𝐿 5∗4 𝑃𝐿 5∗4
On sait que 𝑉1 = ⇒ 𝑉𝐷 = = 3,3 𝐾𝑁 𝑒𝑡 𝑉2 = ⇒ 𝑉𝐸 = = 6,67 𝐾𝑁
6 6 3 3
PARTIE BCDE
𝐿 4
𝑅1 = 𝑃𝐿 = 5 ∗ 4 = 20 𝐾𝑁 𝑒𝑡 𝑋1 = = = 2𝑚
2 2
𝑃𝐿 5 ∗ 4 2𝐿 2 ∗ 4
𝑅2 = = = 10 𝐾𝑁 𝑒𝑡 𝑋2 = = = 2,67 𝑚
2 2 3 3
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐵 + 𝑉𝐶 + 𝑉𝐸 − 20 − 10 = 0
PARTIE ABCDE
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐵 + 𝑉𝐶 + 𝑉𝐸 − 45 − 10 = 0
B. EFFORTS INTERIEURS :
NB :
CAS PARTICULIERS
N° STRUCTURES N° STRUCTURES
1’ 4’
L = 10m = 1000 cm
2’ 6’
RESOLUTIONS
Exemple 1’
𝑃𝐿 5 ∗ 10
𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = = = 25𝑁
2 2
NB : On est directement au point 4, ce qui suppose les 3 points précédents ont été déjà
fait (vérification de l’isostaticité, schéma du corps rendue libre et calcul des réactions)
4. EFFORT INTERIEUR
A. Partie gauche
ZONE AB : 0 ≤ 𝑋 ≤ 10
𝐿 𝑋
F = PL = 5X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
∑ N = 0 ⇒ N + 𝐻𝐴 = 0 ⇒ 𝑁 = −𝐻𝐴 ⇒ 𝑁 = 0
∑ T = 0 ⇒ T + 5X - 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑇 = −5𝑋 + 𝑉𝐴 = 25 − 5𝑋
𝑋 5𝑋 2 5𝑋 2
∑ 𝑀𝑋 = 0 ⇒ ↺ 𝑀𝑋 + 5𝑋 ∗ 2 − 𝑉𝐴 𝑋 = 0 ⇒ 𝑀𝑋 = 𝑉𝐴 𝑋 − = 25𝑋 −
2 2
Donc ce identique
5𝑋 2
On retient : M = 25X - ; T = 25 – 5X et N = 0
2
5∗02
Si x = 0 ; M = 25*0 - = 0 ; T = 25-5*0=25
2
𝐿 10 5∗52
Si X =2 = = 5m ; M = 25*5 - = 125 − 62,5 = 62,5 et T = 5*5-25= 0
2 2
5 ∗ 102
Si X = 10m ; M = 25*10 - = 250 − 250 = 0 et T = 25-5*10=-25
2
5. DIAGRAMME
ZONE BA : 0 ≤ 𝑋 ≤ 10
𝐿 𝑋
F = PL = 5X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
∑ N =0 ⇒ N = 0
∑ T = 0 ⇒ T - 5X + 𝑅𝐵 = 0 ⇒ 𝑇 = 5𝑋 − 𝑅𝐵 = 5𝑋 − 25
𝑋 5𝑋 2 5𝑋 2
∑ M = 0 ⇒ ⟳ 5X * 2 − 𝑉𝐵 𝑋 + 𝑀 = 0 ⇒ 𝑀 = 𝑉𝐵 𝑋 − = 25𝑋 −
2 2
5𝑋 2
On retient que :𝑀 = 25𝑋 − ; T = 5𝑋 − 25 et N = 0
2
Si x = 0 ; M = 0 ; T = 25 et N = 0
Si X = 5m ; M = 62,5 ; T = 0 et N = 0
Si x = 10m ; M = 0 ; T = -25 et N = 0
NB :
- On appelle les lignes qu’on trace les diagrammes les lignes de fermeture.
Exemple 2’
𝑥 𝛼
Y (α) = 2 = 2 c’est la fonction de la charge sur la structure
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AB : 0 ≤ 𝑋 ≤ 12𝑚
𝑋 𝑥𝛼 𝑥 𝛼𝑥 𝑥 𝛼2
M = 𝑉𝐴 𝑋 − ∫0 𝑌(𝛼)(𝑋 − 𝛼)𝑑𝛼 = 12𝑥 − ∫0 (𝑥 − 𝛼)𝑑𝛼 = 12𝑥 − [∫0 𝑑𝛼 − ∫0 𝑑𝛼 ]
2 2 2
𝑋
𝑋 𝛼2 1 𝛼3 𝑋 𝑋2 1 𝑋3 𝑋3 𝑋3 𝑋3
= 12X – 2 [ 2 ]0𝑋 + 2 [ 3 ] = 12𝑋 − 2 ( 2 ) + 2 ( 3 ) = 12𝑋 − + = 12𝑋 − 12
0 4 6
𝑑𝑀 𝑥2
T= = 12 −
𝑑𝑥 4
𝑑𝑀 𝑑 𝑋 𝑑 𝑑 𝑥
Ou T = = 𝑑𝑥 (𝑉𝐴 𝑋 − ∫0 𝑌(𝑋 − 𝛼)𝑑𝛼) = (𝑉𝐴 𝑋) − [∫0 𝑦(𝛼) (𝑥 − 𝛼)𝑑𝛼]
𝑑𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑥
𝑑 𝑥 𝑑 𝑋3 𝑋2
T = 𝑉𝐴 − 𝑑𝑥 [∫0 𝑦(𝛼) (𝑥 − 𝛼)𝑑𝛼] = 𝑉𝐴 − 𝑑𝑥 ( 12 ) = 12 - 4
𝑥2
⟹ 12 − = 0 ⟹ 𝑋 2 = 12 ∗ 4 ⟹ 𝑋 = √12 ∗ 4 ⟹ 𝑋 = 6,928 𝑚
4
Si x = 0 ; M = 0 ; T = 12
Si x = 6,928 m ; M = 55,4 ; T = -4
Si x = 12 m ; M = 0 ; T = -24
1. DIAGRAMME
STRUCTURE
Exemple 4’
F = 10 T ; X = 2m et 𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = 5𝑇
4. EFFORT INTERIEUR
Z0NE AC : 0 ≤ 𝑋 ≤ 2m
∑ N = 0 ⇒ N + 𝐻𝐴 = 0 ⇒ 𝑁 = 0
∑ M = 0 ⇒ ↺ M - 𝑉𝐴 𝑋 = 0 ⇒ 𝑀 = 𝑉𝐴 𝑋 = 5𝑋
𝑑𝑀
T= = (5𝑥)′ = 5
𝑑𝑥
Si x = 0 ; M = 0 ; T = 5 et N = 0
Si x = 2m ; M = 10 ; T = 5 et N = 0
ZONE CB : 2m ≤ 𝑥 ≤ 4𝑚
∑N=0⇒N=0
∑ M = 0 ⇒ ↺ M + 10(X-2) - 𝑉𝐴 𝑋 = 0 ⇒ 𝑀 = 5𝑋 + 20 − 10𝑋 = 20 − 5𝑋
𝑑𝑀
T= = (20 − 5𝑥)′ = −5𝑁
𝑑𝑥
Si x = 2m ; M = 1ONm ; T = -5N
Si x = 4m ; M = 0 ; T = -5N
5. DIAGRAMME
STRUCTURE
Autre procédure : Si nous voulons fuir trop des charges au lieu de considérer le tronçon
CB (2𝑚 ≤ 𝑋 ≤ 4𝑚), nous pouvons considérer la zone BC (0 ≪ 𝑋 ≪ 2)
ZONE BC : 0≤ 𝑋 ≤ 2m
∑N=0⇒N=0
∑ M = 0 ⇒ ⟳ M - 𝑉𝐵 𝑋 = 0 ⇒ M = 𝑉𝐵 𝑋 = 5𝑋
𝑑𝑀
T=- = −(5𝑥)′ = −5
𝑑𝑥
Si x = 0 ; M = 0 ; T = - 5
Si X = 0 ; M = 10 ; T = - 5
CONCLUSION
Les valeurs trouvées dans la zone BC et CB sont identiques. Donc, on peut faire l’un ou
l’autre cas sans crainte.
RESUME
Se réfèrent à sa définition (N), dans toutes les structures qui ne seront pas sollicitées par
des forces qui compriment ou qui tendent ou des forces dont leurs lignes d’action ne se
confondent pas à la ligne d’action de la structure
Donc, pour gagner le temps, on projettera d’avance ou pour plus de précision calculer.
𝑑𝑀 𝑑𝑀
2. T = 𝑑𝑒 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑎 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑇 = − 𝑑𝑥 de droite à gauche
𝑑𝑥
3. Les zones d’études de gauche à droite ou vice versa dépendent de vous.
Les 3 exemples précédents ont prouvés que cela n’influence à rien les résultats finals
Comme la portée de notre poutre est de 10m, on devrait normalement étudier l’allure
des diagrammes M, N et T à tout point X (c’est-à-dire de X= 0 à 10) m
X M T X M T
Si x = 0 M=0 T = 25 SI X = 6 M = 60 T=-5
SI X = 1 M = 22,5 T = 20 SI X = 7 M = 52,5 T = - 10
SI X = 2 M = 40 T = 15 SI X = 8 M = 40 T = - 15
SI X = 3 M = 52,5 T = 10 SI X = 9 M = 22,5 T = - 20
SI X = 4 M = 60 T=5 SI X = 10 M=0 T = - 25
SI X = 5 M = 62,5 T=0
MOMENT
EFFORT TRANCHANT
Pour éviter tous ces longs calculs et démonstration, on choisit des points
caractéristiques ou clef. Les deux sommets de l’intervalle de la zone, le point
d’application de la résultante et les points d’application des forces concentrées, etc
Exemple 6’
5𝑋 2 5𝛼2
Y (x) = − + 5𝑋 ⟹ 𝑌(𝛼) = − + 5𝛼 c’est la fonction sur La structure
4 4
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AC : 0 ≤ 𝑋 ≤ 4𝑚
𝑋 𝑥 5𝛼2
M = 𝑉𝐴 𝑋 − ∫0 𝑌(𝛼)(𝑋 − 𝛼)𝑑𝛼 = 6,65𝑥 − ∫0 (− + 5𝛼)(𝑥 − 𝛼)𝑑𝛼
4
𝑋 −5𝑋𝛼2 5𝛼3
M = 6,65X - ∫0 ( + + 5𝑋𝛼 − 5𝛼 2 ) 𝑑𝛼
4 4
𝑋 𝑋
5𝑋 𝛼3 𝑋 5 𝛼4 𝛼2 𝛼3 5𝑋 4 5𝑋 3
M = 6,65X + [ ] − 4 [ 4 ] − 5𝑋[ 2 ]0𝑋 + 5 [ 3 ] = 6,65𝑋 + −
4 3 0 0 0 48 6
′
𝑑𝑀 5𝑋 4 5𝑋 3 20𝑥 3 15𝑥 2 5𝑥 3 5𝑥 2
T= = (6,65𝑋 + − ) = 6,65 + − = 6,65 + −
𝑑𝑥 48 6 48 6 12 2
Si x = 0 ; M = 0 et T = 6,65
Si x = 2m ; M = 8,3 et T = 0
Si x = 4m ; M = 0 et T = - 6,65
5. DIAGRAMME
CAS COMPLEXES
Exemple 29.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
𝐿 4
Zone AB : F = PL = 6 * 4 =24 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2𝑚
𝐿 2
Zone BC : F = PL = 6 * 2 = 12 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1𝑚
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 24 − 12 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 36 − 𝑉𝐵 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 24 ∗ 2 + 12 ∗ 5 − 4𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 27 𝐾𝑁 (3)
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AB : 0 ≤ 𝑋 ≤ 4
𝐿 𝑋
F = PL = 6X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ⟳ M +6X * 2 − 𝑉𝐴 𝑋 = 0 ⇒ 𝑀 = 𝑉𝐴 𝑋 − 3𝑋 2 = 9𝑋 − 3𝑋 2
𝑑𝑀
T= = 9 − 6𝑥
𝑑𝑥
Si x = 0 ; M = 0 et T = 9
Si x = 2m ; M = 6 et T = - 3
Si x = 4m ; M = -12 et T = - 15
ZONE CB : 𝑂 ≪ 𝑋 ≪ 2
𝐿 𝑋
F = PL = 6X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
𝑋
∑ M = 0 ⇒ 𝑀 + 6𝑋 ∗ 2 ⇒ 𝑀 = −3𝑋 2
𝑑𝑀
T = − 𝑑𝑥 = −(−3𝑋 2 ) = 6𝑥
Si x = 0 ; M = 0 et T = 0
Si x = 1 ; M = -3 et T = 6
Si x = 2 ; M = -12 et T = 1
5. DIAGRAMME
STRUCTURE
Exemple 30.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
1. S.C.R.L
𝐿 1
Zone CA et BD : F = PL = 8 * 1 = 8 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 0,5𝑚
𝐿 5
Zone AB : F = PL = 8 * 5 = 40 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2,5𝑚
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 8 − 8 − 40 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 56 − 𝑉𝐵 (2)
3. EFFORT INTERIEUR
ZONE CA : 0 ≤ 𝑋 ≤ 1
On coupe
𝐿 𝑋
F = PL = 8X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ↺ 𝑀 + 8𝑋 ∗ 2 = 0 ⇒ 𝑀 = −4𝑋 2
𝑑𝑀
T= = (−4𝑥 2 ) = −8𝑥
𝑑𝑥
Si x = o ; M = 0 et T = 0
Si x = 0,5m ; M = -1 et T = -4
Si x = 1m ; M = -4 et T = -8
ZONE AB : 1≤ 𝑋 ≤ 6
on coupe
𝐿 𝑋
F = PL = 8X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ↺ M + 8X * 2 − 𝑉𝐴 (𝑋 − 1) = 0 ⇒ 𝑀 + 4𝑋 2 − 𝑉𝐴 𝑋 + 𝑉𝐴 = 0
⇒ M = 𝑉𝐴 𝑋 − 4𝑋 2 − 𝑉𝐴 = 28X – 4 𝑋 2 − 28
𝑑𝑀
T= = 28 − 8𝑥
𝑑𝑥
Si x = 1m ; M = -4 et T = 20
Si x = 3,5m ; M = 21 et T = 0
Si x = 6m ; M = -4 et T = - 20
ZONE BD : 6𝑚 ≪ 𝑋 ≪ 7𝑚
On coupe
𝐿 𝑋
F = PL = 8X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ↺ M - 𝑉𝐵 (𝑋 − 6) − 𝑉𝐴 (𝑋 − 1) + 8𝑋 ∗ 2 = 0
Si x = 6 ; M = -4 et T = 8
Si x = 6,5 ; M = -1 et T = 4
Si x = 7 ; M = 0 et T = 0
4. DIAGRAMME
STRUCTURE
Exemple 31.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
1𝑒𝑟𝑒 METHODE
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 20 − 20 − 20 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 60 − 𝑉𝐵
∑𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 20 * 2 + 20 * 3 + 20 * 4 – 6 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 30𝑁
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AC : 0≪ 𝑋 ≪ 2𝑚
∑ M = 0 ⇒ ↺ M - 𝑉𝐴 𝑋= 0 ⇒ 𝑀 = 𝑉𝐴 𝑋= 30X
𝑑𝑀
T= = 30
𝑑𝑥
Si x = 0 ; M = 0 et T = 30
Si x = 2m ; M = 60 et T = 30
ZONE CD : 2m ≪ 𝑥 ≪ 3𝑚
Si x = 2m ; M = 60 et T = 10
Si x = 3m ; M = 70 et T = 10
Z0NE DE : 3m ≪ 𝑥 ≪ 4m
∑ M = 0 ⇒ ↺ M+20 (X - 3) + 20 (X - 2) – 𝑉𝐴 𝑋 = 0
𝑑𝑀
T= = −10
𝑑𝑥
Si x = 3m ; M = 70 et T = - 10
Si x = 4m ; M = 60 et T – 10
ZONE EB : 4m ≪ 𝑥 ≪ 6m
∑ M = 0 ⇒ ↺ M + 20 (X - 4) + 20 (X - 3) + 20 (X - 2) - 𝑉𝐴 𝑋= 0
Si x = 4m ; M = 60 Nm et T = - 30 N
Si x = 6m ; M = 0 et T = - 30 N
5. DIAGRAMME
STRUCTURE
𝟐𝒆𝒎𝒆 METHODE
∑𝑃 20 + 20 + 20
𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = = = 30 𝑁
2 2
6. EFFORT INTERIEUR
T : comme nous avons des charges concentrées, on calcul directement les valeurs de T,
tout en respectant le signe.
AC : 𝑅𝐴 = 30
CD : 30 – 20 = 10
DE : 10 – 20 = - 10
EB : - 10 – 20 = - 30
Exemple 32.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
𝐿 6
Partie AC : F = PL = 5 * 6 = 30 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 3𝑚
6
Tg𝜃 = 4,5 = 1,33 ⟹ 𝜃 = 53,06 ; 𝑐𝑜𝑠𝜃 = 0,6 𝑒𝑡𝑠𝑖𝑛𝜃 = 0,799
∑ Fx = 0 ⇒ - 𝐻𝐵 + 30 = 0 ⇒ 𝐻𝐵 = 30 𝐾𝑁 (1)
∑ Fy = 0 ⇒𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 20 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 20 − 𝑉𝐵 (2)
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AC : 0 ≪ 𝑋 ≪ 6𝑚
𝐿 𝑋
F = PL = 5X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
∑ N = 0 ⇒ - N + 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑁 = 𝑉𝐴 = 7,5 𝐾𝑁
𝑋 5𝑋 2
∑ M = 0 ⇒ ↺ M + 5X * 2 = 0 ⇒ 𝑀 = − 2
𝑑𝑀
T= = −5𝑥
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = 7,5 KN ; T = 0 et M = 0
Si x = 6m ; N = 7,5 KN ; T = - 30 KN et M = - 90 KNm
ZONE CD : 0 ≪ 𝑋 ≪ 3𝑚
𝐿 6
F = PL = 5 * 6 = 30 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 3𝑚
∑ N = 0 ⇒ - N + 30 = 0 ⇒ N = 30 KN
∑ M = 0 ⇒ ↺ M + 30 * 3 - 𝑉𝐴 𝑋 = 0 ⇒ 𝑀 + 90 − 7,5𝑋 = 0 ⇒ 𝑀 = 7,5𝑋 − 90
𝑑𝑀
T= = 7,5
𝑑𝑥
ZONE DE : 3𝑚 ≪ 𝑋 ≪ 7,5𝑚
𝐿 6
F = PL = 5 * 6 = 30 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 3𝑚
∑ N = 0 ⇒ - N + 30 = 0 ⇒ N = 30 N
∑ M = 0 ⇒ M + 20 (X - 3) + 30 * 3 - 𝑉𝐴 𝑋 = 0 ⇒ M + 20X – 60 + 90 – 7,5X = 0
⇒ M = - 12,5X – 30
𝑑𝑀
T= = −12,5
𝑑𝑥
𝑌
Tg θ = 𝑋 ⟹ 𝑌 = 𝑋 𝑡𝑔𝜃 = 1.333𝑋
∑ M = 0 ⇒ ⟳ M – 𝑉𝐵 𝑋 + 𝐻𝐵 𝑌 = 0 ⟹ 𝑀 = 𝑉𝐵 𝑋 − 𝐻𝐵 𝑌
Si x = 0 ; N = - 28 KN ; T = 16,5 KN et M = 0
7. DIAGRAMME
STRUCTURE
Exemple 33.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
𝐿 3
Partie DE : F = PL = 10 * 3 = 30 KN et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1,5𝑚
4 √2
Tgθ = 4 = 1 ⟹ 𝜃 = 45°; 𝑐𝑜𝑠𝜃 = 𝑠𝑖𝑛𝜃 = = 0,707
2
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 20 − 30 − 20 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 70 ⇒ 𝑉𝐴 = 70 − 𝑉𝐵 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 20 ∗ 2 + 30 ∗ 5,5 + 20 ∗ 7 − 10 ∗ 2 − 14𝑉𝐵 = 0
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AC : 0 ≪ 𝑋 ≪ 2
𝑦
tgθ = 𝑥 ⟹ 𝑦 = 𝑋𝑡𝑔𝜃 = 𝑋
∑ M = 0 ⇒ ↺ - 𝑉𝐴 𝑋 + 𝑀 = 0 ⇒ 𝑀 = 𝑉𝐴 𝑋 = 46,79𝑋
Si x = 0 ; N = - 33,08 N ; T = 33,08 N et M = 0
ZONE CD : 2 m ≪ 𝑋 ≪ 4 𝑚
∑ T = 0 ⟹ T – 𝑉𝐴 𝑠𝑖𝑛𝜃 + 20𝑠𝑖𝑛𝜃 = 0
ZONE DE : 0 ≪ 𝑋 ≪ 3𝑚
𝐿 𝑋
F = PL = 10X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
∑N=0⇒N=0
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ↺ M + 10𝑋 ∗ 2 + 20(𝑋 + 2) − 𝑉𝐴 (𝑋 + 4) = 0
Si x = 0 ; N = 0 ; T = 26,79 N et M = 147,16Nm
Si x = 3 m ; N = 0 ; T = - 3,21 N et M = 183 Nm
ZONE BG : 0 ≪ 𝑋 ≪ 2 𝑚
Si x = 0 ; N = - 9,34 N ; T = - 23,48 N et M = 0
ZONE GF : 2 m ≪ 𝑋 ≪ 4 𝑚
∑ M = 0 ⇒ ⟳ M + 10 (y – 2) - 𝐻𝐵 𝑌 − 𝑉𝐵 𝑋 + 𝑀 = 0
ZONE FE : 0 ≪ 𝑋 ≪ 3𝑚
∑ N = 0 ⇒ - N – 10 + 𝐻𝐵 = 0 ⟹ N = - 10 + 𝐻𝐵 = −10 + 10 = 0
Si x = 0 ; N = O ; T = - 23,21 N et M = 112,84 Nm
Si x = 3 m ; N = 0 ; T = - 23,21 N et M = 183 Nm
5. DIAGRAMME
STRUCTURE
Exemple 34.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
𝐿 10
F = PL = 5 * 10 = 50 N et 𝑋𝐺 = 2 = = 5𝑚
2
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 50 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 50 − 𝑉𝐵 (2)
𝐿 5
F = PL = 5 * 5 = 25 N et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 2,5 𝑚
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AD : 0≪ 𝑋 ≪ 2,5𝑚
∑ N = 0 ⇒ - N + 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑁 = 𝑉𝐴 = 17,5 𝑁
∑ M = 0 ⇒ ↺ M - 𝐻𝐴 𝑋 = 0 ⇒ 𝑀 = 𝐻𝐴 𝑋 = 10𝑋
𝑑𝑀
T= = 10
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = 17,5 N ; T = 10 N et M = 0
Si x = 2,5m ; N = 17,5 N ; T = 10 N et M = 25 Nm
ZONE DE : 2,5m ≪ 𝑋 ≪ 5𝑚
∑ N = 0 ⇒ - N + 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑁 = 𝑉𝐴 = 17,5
⇒ M = - 20X + 75
𝑑𝑀
T= = −20
𝑑𝑥
Si x = 2,5 m ; N = 17,5 N ; T = - 20 N et M = 25 Nm
Si x = 5 m ; N = 17,5 N ; T = - 20 N et M = - 25 Nm
ZONE EC : 0 ≪ 𝑋 ≪ 5𝑚
𝐿 𝑋
F = PL = 5X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
∑ N = 0 ⇒ - N + 30 - 𝐻𝐴 = 0 ⇒ 𝑁 = −𝐻𝐴 + 30 = −10 + 30 = 20
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ↺ 5X * + 30 ∗ 2,5 − 5𝐻𝐴 − 𝑉𝐴 𝑋 + 𝑀 = 0
2
5𝑋 2 5𝑋 2
⇒ + 75 − 5(10) − 17,5𝑋 + 𝑀 = 0 ⇒ + 75 − 50 − 17,5𝑋 + 𝑀 = 0
2 2
5𝑋 2
⇒M=- + 17,5𝑋 − 25
2
𝑑𝑀
T= = −5𝑥 + 17,5
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = 20 ; T = 17,5 N et M = - 25
SI x = 5 ; N = 20 ; T = - 7,5 et M = 0
ZONE CF : 0 ≤ 𝑥 ≤ 5
∑ N = 0 ⟹ - N - 𝐻𝐴 + 30 = 0 ⟹ 𝑁 = 30 − 𝐻𝐴 ⟹ 𝑁 = 30 − 10 = 20
𝑋
∑ M = 0 ⟹ ⟲ M + 5X * + 30 ∗ 2,5 − 5𝐻𝐴 − 𝑉𝐴 𝑋 = 0
2
5𝑋 2 5𝑋 2
⟹M+ + 75 − 5 ∗ 10 − 17,5𝑋 ⟹ 𝑀 = − + 17,5𝑋 − 25
2 2
𝑑 𝑀𝑋
T= = −5𝑋 + 17,5
𝑑𝑥
Si x = 5 ; N = 20 ; T = - 7,5 et M = 0
Si x = 10 ; N = 20 ; T = - 32,5 et M = - 100
ZONE BF : 0≤ 𝑥 ≤ 5
∑ N = 0 ⟹ - N + 𝑉𝐵 = 0 ⟹ 𝑁 = 𝑉𝐵 ⟹ 𝑁 = 32,5
∑ M =O ⟹ ⟳ 𝐻𝐵 𝑋 + 𝑀𝑋 = 0 ⟹ 𝑀𝑋 = −𝐻𝐵 𝑋 ⟹ 𝑀𝑋 = − 20𝑋
𝑑 𝑀𝑋
T=- = 20
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = 32,5 ; T = 20 et M = 0
Si x = 5 ; N = 32,5 ; T = 20 et M = - 100
DIAGRAMME
Effort normal
Effort tranchant
Moment
Exemple 35.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2. S.C.R.L
𝐿 1
Partie CD et EF : F = PL = 2 * 1 = 2t et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 0,5 𝑚
𝐿 3
Partie CE : F = PL = 2 * 3 = 6t et 𝑋𝐺 = 2 = 2 = 1,5 𝑚
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 + 2 − 2 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 − 6 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 6 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟲ 𝑀𝐴 + 3 ∗ 2 − 2 ∗ 3 = 0 ⇒ 𝑀𝐴 = 0 (3)
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE CD : 0≪ 𝑋 ≪ 1𝑚
∑N=0⇒N= 0
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ↺ M + 2𝑋 ∗ 2 = 0 ⇒ 𝑀 = −𝑋 2
𝑑𝑀
T= = - 2X
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = 0 ; T = 0 et M = 0
Si x = 0,5 m ; N = 0; T = - 1 et M = - 0,25
Si x = 1 m ; N = 0; T = - 2 et M = - 1
ZONE EF : 0 m ≪ 𝑋 ≪ 1 𝑚
∑N=0⇒N= 0
𝑋
∑ M = 0 ⇒ ⟳ 2𝑋 ∗ 2 + 𝑀 = 0 ⇒ 𝑀 = −𝑋 2
𝑑𝑀
T=- = 2𝑋
𝑑𝑥
Si x = 0 m ; N = 0 ; T = 0 et M = 0
Si x = 0,5 m ; N = 0 ; T = 1 et M = 0,25
Si x = 1 m ; N = 0 ; T = 2 et M = - 1
ZONE AB : 0 ≪ 𝑋 ≪ 2,5 𝑚
∑ N = 0 ⇒ - N + 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑁 = 𝑉𝐴 = 6
∑ M = 0 ⇒ ↺ 𝑀𝐴 + 𝐻𝐴 𝑋 + 𝑀 = 0 ⟹ 𝑀 = 0
𝑑𝑀
T= =0
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = 6 ; T = 0 et M = 0
SI x = 2,5 ; N = 6 ; T = 0 et M = 0
ZONE CB : 0≤ 𝑥 ≤ 1,5
∑ N = 0 ⟹ N + 2 = 0 ⟹ 𝑁 = −2
𝑋
∑ M =O ⟹ ⟳ 2𝑋 ∗ 2 + 𝑀𝑋 + 2 ∗ 0,5 = 0 ⟹ 𝑀𝑋 = −𝑋 2 − 1
𝑑 𝑀𝑋
T= = − 2𝑋
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = - 2 ; T = 0 et M = - 1
Si x = 1,5 ; N = - 2 ; T = - 3 et M = - 3,25
ZONE EB : 0≤ 𝑥 ≤ 1,5
∑ N = 0 ⟹ N + 2 = 0 ⟹ 𝑁 = −2
𝑋
∑ M = 0 ⟹ ⟳ M + 2X * 2 + 2 ∗ 0,5 = 0 ⟹ 𝑀 = −𝑋 2 − 1
𝑑 𝑀𝑋
T=- = 2𝑋
𝑑𝑥
Si x = 0 ; N = - 2 ; T = 0 et M = - 1
Si x = 1,5 ; N = - 2 ; T = 3 et M = - 3,25
DIAGRAMME
Moment
Effort tranchant
Effort Normal
Exemple 36.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A : 2 réactions
Appui B : 2 réactions
3
tgθ = 10 = 0,3 ⟹ 𝜃 = 16,69 ⟹ cos θ = cos 16,69 = 0,957 et sin θ = sin 16,69 = 0,287
2
tg α = 5 = 0,4 ⟹ 𝛼 = 21,8 ⟹ cos α = cos 21,8 = 0,928 et sin α = sin 21,8 = 0,371
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 − 𝐻𝐵 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 𝐻𝐵 (1)
𝐿 5
F = PL = 27 * 5 = 135 N et X = 2 = 2 = 2,5 𝑚
337,5 2 2
⟹ 𝑉𝐵 = + 𝐻𝐵 = 67,5 + 𝐻𝐵 (4)
5 5 5
2
(4) dans (3) : 15 (67,5+5 𝐻𝐵 ) + 𝐻𝐵 = 3037,5
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AC : 0 ≤ 𝑋 ≤ 10 𝑚
𝑦
tg𝜃 = ⟹ 𝑦 = 𝑥𝑡𝑔𝜃 = 0,3X
𝑥
𝐿 𝑋
R = PL = 27X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
⟹N=27x sinθ - 𝑉𝐴 sin 𝜃 − 𝐻𝐴 cos 𝜃 = 27𝑋 ∗ 0,287 − 221,786 ∗ 0,287 − 289,285 ∗ 0,957
⟹ N = 7,749 X – 340,498
Si x = 0 ; N = - 340,498 ; T = 129,224 et M = 0
Si x = 5 m ; N = - 301,753 ; T = 0 et M = 337,505
Si x = 10 m ; N = - 263 ; T = - 129,166 et M = 0
ZONE BC : 0 ≤ 𝑋 ≤ 5 𝑚
𝐿 𝑋
R = PL = 27X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
27𝑋 2
⟹𝑀=− − 289,285𝑋 ∗ 0,4 + 183,214𝑋 = - 13,5 𝑋 2 + 67,5𝑋
2
Si x = 0 ; N = - 336,429 ; T = - 62,697 et M = 0
Si x = 5 m ; N = - 286,344 ; T = 62,583 et M = 0
NB : 𝐻𝐴 𝑋 𝑡𝑔 ∝ parce que M = F * d
𝑦
Avec : M : moment ; F : force et d : distance ; F = 𝐻𝐴 𝑒𝑡 𝐻𝐵 ; d = y or tg α= 𝑋
⟹ 𝑌 = 𝑋 𝑡𝑔 𝛼
Donc : M = 𝐻𝐴 𝑋 𝑡𝑔 ∝
DIAGRAMME
EFFORT NORMAL
EFFORT TRANCHANT
MOMENT
Exemple 37.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
Appui A : 2 réactions
Appui B : 2 réactions
2
tgθ = 3 = 0,66 ⟹ 𝜃 = 33,69 ⟹ cos θ = cos 33,69 = 0,832 et sin θ = sin 33,69 = 0,55
∑ Fx = 0 ⇒- 𝐻𝐴 − 𝐻𝐵 + 1 = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = −𝐻𝐵 + 1 (1)
𝐿 3
F = PL = 17 * 3 = 51 N et X = 2 = 2 = 1,5 𝑚
⟹ 𝐻𝐸 = 13,08 𝑁 (5)
4. EFFORT INTERIEUR
ZONE AB : 0 ≤ 𝑋 ≤ 4 𝑚
∑ N = 0 ⟹ - N + 𝑉𝐴 = 0 ⟹ N = 𝑉𝐴 = 50,34 N
∑ M = O ⟹ M + 𝐻𝐴 𝑋 = 𝑂 ⟹ 𝑀 = −𝐻𝐴 𝑋 = −12,08𝑋
𝑑𝑀
T = 𝑑𝑋 = −12,08
Si x = O ; N = 50,34 ; T = - 12,08 et M = 0
ZONE BC : 0 ≤ 𝑋 ≤ 3 𝑚
𝐿 𝑋
R = PX = 17X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
Si x = 3 m ; N = 9,582 ; T = 7,676 et M = 0
ZONE ED : 0 ≤ 𝑋 ≤ 4𝑚
∑ N = 0 ⟹ N - 𝑉𝐸 = 0 ⟹ N = 𝑉𝐸 = 51,66 N
∑ M = O ⟹ ⟲ M + 𝐻𝐸 𝑋 = 𝑂 ⟹ 𝑀 = −𝐻𝐸 𝑋 = −13,08𝑋
𝑑𝑀
T=− = 13,08
𝑑𝑋
Si x = O ; N = 51,66 ; T = 13,08 et M = 0
ZONE DC : 0 ≤ 𝑋 ≤ 5 𝑚
𝐿 𝑋
R = PL = 17X et 𝑋𝐺 = 2 = 2
𝑋
∑ M = 0 ⟹ ⟲ M - 17X * 2 + 𝑉𝐸 𝑋 − 𝐻𝐸 (𝑋𝑡𝑔𝜃 + 4) = 0
17𝑋 2
⟹𝑀= − 51,66𝑋 + 13,08𝑋 ∗ 0,66 + 4 ∗ 13,08⟹ M = 8,5 𝑋 2 − 43,027𝑋 + 52,32
2
Si x = 3 m ; N = 10,52 ; T = 78,219 et M =0
DIAGRAMME
EFFORT NORMAL
EFFORT TRANCHANT
MOMENT
𝐓𝐑𝐄𝐈𝐋𝐋𝐈𝐒
4.1 DEFINITION
Un treillis est un système triangulé formé des barres
On nomme indifféremment treillis, triangulation ou structure réticulée, un
ensemble des barres, assemblées les unes aux autres à leurs extrémités
articulées, de manière à former une structure portante stable plane ou spatiale
Une barre est un élément constitutif d’un triangle pour un treillis
Un nœud est le point de concoure des barres ou le point de rencontre des barres
de treillis
ISOSTATICITE EXTERNE
Un treillis est dit isostatique extérieurement si les nombres des réactions égales au
nombre d’équation d’équilibre
3 équations d’équilibre : ∑ Fx ; ∑ Fy et ∑ M
3 réactions : 𝑅𝐴 , 𝑅𝐵 𝑒𝑡 𝐻
ISOSTATICITE INTERNE
Un treillis est dit isostatique intérieurement si le nombre des barres égales à deux fois le
nombre des nœuds soustrait de trois.
B = 2N – 3
Si B > 2N – 3 : Hyperstatique
Si B = 2N – 3 : Isostatique
Si B < 2N – 3 : Hypostatique
Il existe 4 méthodes permettant le calcul des efforts dans les barres d’un treillis.
Pour calculer un treillis, on étudie l’équilibre successif de chaque nœud par les équations
d’équilibre déjà connue.
Exemple
∑ Fx = 0 ⇒ P
∑ Fy = 0 ⇒ F
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 𝑜𝑢 ↺ 𝐹 ∗ 0 + 𝑃 ∗ 0 = 0
Donc pour un treillis nous allons considérer que 2 équations d’équilibre par nœud
∑ Fx et ∑ Fy
On établit l’équilibre des nœuds après avoir remplacé chaque barre concourant au nœud
par l’effort correspondant. On détermine les efforts inconnus, qui ne devraient pas être
plus de deux par nœud.
C’est pourquoi, pour faciliter le calcul, on commence toujours avec un nœud ayant 2
barres ou deux inconnues pour faciliter l’étude.
METHODE DE RITTER
Cette méthode consiste à couper le système en deux parties, et considérer les équations
d’équilibre de la statique de l’une de deux parties.
La section devrait être choisie pour qu’il y ait au maximum 3 efforts inconnus. La coupe
idéale est donc celle qui ne sectionne que 3 barres ; elle s’appelle coupe simple ou
section simple.
METHODE GRAPHIQUE
Cette méthode est basée essentiellement sur la méthode des nœuds qui consiste à
représenter l’équilibre des nœuds par des polygones des forces.
- Les barres d’un treillis sont essentiellement sollicitées par un effort Normal de
traction ou de compression.
- Ms : membrure supérieure
- Mi : membrure inferieure
- d : diagonale
- M : montant
a)
Ce treillis n’est pas stable, car il peut se déformer en losange et s’écraser complètement
b)
Un treillis de 3 barres formant un triangle constitue une structure stable, qui ne peut pas
s’aplatir. Ce treillis est rigide
Ce terme rigide ne veut pas dire indéformable, mais seulement peut déformable dans
son ensemble.
C’est pourquoi le triangle est donc la forme la plus simple du treillis ; c’est aussi sa
cellule de base, car on peut former un grand treillis par juxtaposition des triangles, d’où
le nom triangulation.
Si deux barres concourent en un nœud non chargé, l’effort normal est nul
N𝟏 = N𝟐 = 𝟎
N𝟏 = 𝑵𝟐 et 𝑁3 = 0
𝑁1 = 𝑁2
𝑁1 = 𝑁2 𝑒𝑡 𝑁3 = 𝑁4
Les treillis sont le plus souvent exécutés en acier, aluminium ou en bois, rarement en
béton
- Pont
- Toiture des halls
- Bâtiment
- Les engins de levage
- Poutre de planchers
- Etc.
Ce sont des treillis dans lesquels aucun nœud ni aucune coupe ne permet de
calculer directement des efforts
On emploi simultanément des coupes et des nœuds et/ou des fragments de
treillis pour obtenir n équations à n inconnues.
On applique la méthode simultanée des nœuds (méthode combinée) : cette
méthode combine la méthode d’équilibre des nœuds et l’équation des fragments
(coupe) par des treillis qui ne sont pas des triangulations simples bien que la
structure soit isostatique.
EXEMPLE
a) b)
NB : La bonne résolution d’un treillis passe par la maitrise des résolutions des triangles.
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
EXTERIEURE
Appui A = 1 réaction
Appui B = 2 réactions
INTEREIURE
2. S.C.R.L
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = −𝑉𝐵 (2)
3
Tg θ = 2 = 1,5 ⇒ 𝜃 = 56,3° ; cos θ = cos 56,3 = 0,55 et sin θ = sin 56,3 = 0,83
NŒUD B
−𝑏 −69,6
∑ Fx = 0 ⇒ - 𝑏1 − 𝑏3 𝑐𝑜𝑠𝜃 = 0 ⇒ 𝑏3 = 𝑐0𝑠𝜃1 = ⇒ 𝑏1 = −127,1𝑁
0,55
RESUME
La longueur des barres 2 et 3 sont déterminées par les simples relations des triangles cfr
le rappel mathématique (triangle rectangle).
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2N = B + R ⇒ 2 * 8 = 13 + 3 ⇒ 16 = 16 ; d’où le treillis est isostatique et rigide
2. S.C.R.L
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 10 − 10 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 20 − 𝑉𝐵 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 2 ∗ 10 + 4 ∗ 10 − 6𝑉𝐷 − 5 ∗ 2 = 0
∑ Fx = 0 ⇒ 𝑏1 + 𝐻𝐴 = 0 ⇒ 𝑏1 = −𝐻𝐴 = −5 𝑁
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑏2 + 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑏2 = −𝑉𝐴 = −11,7 𝑁
NŒUD E
NŒUD B
⇒ 𝑏6 = 6,7 𝑁
NŒUD F
NŒUD C
⇒ 𝑏12 = 8,4𝑁
NŒUD G
NŒUD H
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑏13 = 0
RESUME
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2N = B+R ⇒ 2 * 6 = 8 + 3 ⇒ 12 > 11
Dans une première vue, nous avons l’impression d’avoir un système hypostatique, or
cette structure ne remplisse pas vraiment les conditions d’un treillis (triangulation)
1𝑒𝑟𝑒 ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒𝑠𝑒 : On appelle nœud, le point de rencontre des barres (2,3…) et non le
point de concoure d’une barre, or par le point A passe une et une seule barre donc
2𝑖𝑒𝑚𝑒 ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒𝑠𝑒 : Un treillis est une suite des triangles, or les points ACB ne forment pas
un triangle. Donc, la barre N° 1 ne fait pas parti du treillis (on a 7 barres)
2N = B + R ⇒ 2 * 5 = 7 + 3 ⇒ 10 = 10
2. S.C.R.L
∑ 𝐹𝑌 = 0 ⟹ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 9 = 0 ⟹ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 9 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⟹⟳ −𝑉𝐵 + 3 ∗ 9 = 0 ⟹ 𝑉𝐵 = 27 𝐾𝑁 (3)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑏1 + 𝑉𝐴 = 0 ⇒ 𝑏1 = −𝑉𝐴 = 18 𝐾𝑁
NŒUD B
1
Tgθ = 2 ⇒ 𝜃 = 26,6° ; 𝑐𝑜𝑠𝜃 = 𝑐𝑜𝑠26,6 = 0,89 𝑒𝑡 sin 𝜃 = 𝑠𝑖𝑛26,6 = 0,45
∑ Fx = 0 ⇒ −𝑏2 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 0 ⇒ 𝑏2 = 0
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑏3 + 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑏3 = −𝑉𝐵 = −27 𝐾𝑁
NŒUD C
Tg θ = 2/1 ⇒ θ = 63,4° ; cos θ= cos 63,4= 0,45 et sin θ = sin 63,4 = 0,89
NŒUD D
Tg θ = 2/1 ⇒ θ = 63,4° ; cos θ= cos 63,4= 0,45 et sin θ = sin 63,4 = 0,89
𝑏 −17,99
∑ Fx = 0 ⇒ - 𝑏4 + 𝑏7 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 0 ⇒ 𝑏7 = 𝑠𝑖𝑛𝜃
4
= ⇒ 𝑏7 = −20,2 𝐾𝑁
0,89
⇒ 𝑏6 = −17,91 𝐾𝑁
NŒUD F
1
tgθ = ⇒ 𝜃 = 26,6° ; 𝑐𝑜𝑠𝜃 = 𝑐𝑜𝑠26,6 = 0,89 𝑒𝑡 sin 𝜃 = 𝑠𝑖𝑛26,6 = 0,45
2
tg θ = 2/1 ⇒ θ = 63,4° ; cos θ= cos 63,4= 0,45 et sin θ = sin 63,4 = 0,89
RESUME
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2N = B + R ⇒ 2 * 8 = 13 + 3 ⇒ 16 = 16 ; d’où le treillis est isostatique et rigide
2. S.C.R.L
2
Tgθ = 4 ⇒ 𝜃 = 26,6° ; 𝑐𝑜𝑠𝜃 = cos 26,6 = 0,89 𝑒𝑡𝑠𝑖𝑛𝜃 = sin 26,6 = 0,45
4
Tg α = ⇒ 𝛼 = 63,4° ; cos α = cos 63,4 = 0,45 et sinα = sin 63,4 = 0,89
2
∑𝑃 10 + 10 + 10
𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = = = 15 𝐾𝑁
2 2
4. EFFORT DANS LES BARRES
Nous avons un treillis symétrique. Par treillis symétrique on entend un même
chargement, une même distance et une même configuration des barres de part et
d’autres
Donc, on va calculer une partie et l’autre partie est déduite par symétrie
NŒUD A
NOEUD C
∑ Fx = 0 ⇒ - 𝑏1 + 𝑏4 = 0 ⇒ 𝑏4 = 𝑏1 ⇒ 𝑏4 = −29,6 𝐾𝑁
∑ Fy = 0 ⇒ 10 + 𝑏3 = 0 ⇒ 𝑏3 = −10 𝐾𝑁
NOEUD F
⇒ 𝑏5 = −11,1 𝐾𝑁 (2)
NOEUD G
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑏7 = 0
Par symétrie :
RESUME
EXERCICES SUPPLEMENTAIRES
N° STRUCTURES N° STRUCTURES
1 2
3 4
5 6 AU CHOIX
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
EXTERIEUREMENT
3 réactions – 3 équations d’équilibre = 0 ; d’où, le treillis est isostatique extérieurement
INTERIEUREMENT
B = 2N – 3 ⇒ 17 = 2 * 10 – 3 ⇒ 17 = 17 ; d’où le treillis est isostatique intérieurement
2. S.C.R.L
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 2 − 2 − 2 − 2 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = 10 − 𝑉𝐵 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 2 ∗ 4 + 2 ∗ 8 + 2 ∗ 12 + 2 ∗ 16 + 16𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 5 𝑁 (3)
On remplace la partie coupée par les forces élastique. Pour que le treillis soit en
équilibre ; on peut dire que “la somme des moments des toutes les forces par rapport à
un point quelconque du système est égale à zéro”
8 4𝑉𝐴
∑ 𝑀𝐶 = 0 ⇒ ⟳ −2 ∗ 4 + 4𝑉𝐴 + 4𝑏8 = 0 ⇒ 𝑏8 = 4 − = 2 − 5 ⇒ 𝑏8 = −3 𝑁
4
∑ 𝑀𝐻 = 0 ⇒ ⟳ −4𝑏6 − 2 ∗ 4 − 2 ∗ 8 + 8𝑉𝐴 = 0
⇒ 𝑏6 = 2 + 4 − 2𝑉𝐴 = 6 − 2 ∗ 5 ⇒ 𝑏6 = 4 𝑁
4
tgθ = 4 ⇒ 𝜃 = 45°; cos 45 = sin 45 = 0,707
Exemple 2. On désire trouver l’effort normal dans les barres 2 et 15 du treillis suivant
1. VERIFICATION DE L’ISOSTATICITE
2N = B + R avec N = 9 ; B = 15 et R = 3
2. S.C.R.L
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 = −𝑉𝐵 (2)
1𝑒𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒 ∶
∑ 𝑀𝐹 = 0 ⇒ ⟳ −4𝑏2 + 5 ∗ 2 + 10 ∗ 4 = 0 ⇒ 𝑏2 = 12,5 𝑇
2𝑖𝑒𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒 :
7.7 CAS PARTICULIER OU DES CHARGES NE SONT PAS APPLIQUEES AUX NŒUDS
MAIS SUR LES BARRES
Ici, nous considérons le cas où les charges sont appliquées sur les barres. Or, on sait
qu’une structure en treillis n’est sollicitée qu’aux nœuds.
Donc, nous serons censés ramener ces charges aux nœuds où elles se situent.
Ce Transfer s’effectue comme pour le calcul des réactions d’une poutre sur deux appuis
simple ainsi ces valeurs seront transmises aux nœuds.
Exemple 1.
On aura
𝑃𝐿
On sait que : 𝑅𝐸 = 𝑅𝐹 = 2
Exemple 2.
𝑃𝐿
𝑅𝐸1 = 𝑅𝐹 = 2
𝐿 𝑃𝐿 𝐿 1 𝐿 𝐿
𝑅 = 𝑃𝐿 𝑜𝑟 𝐿 = ⇒𝑅= 𝑒𝑡 𝑋 = = ∗ =
2 2 2 2 2 4
𝑃𝐿 𝑃𝐿
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑅𝐷 + 𝑅𝐸2 − = 0 ⇒ 𝑅𝐷 = − 𝑅𝐸2 (1)
2 2
𝑃𝐿 3𝐿 3𝑃𝐿2 1 3𝑃𝐿
∑ 𝑀𝐷 = 0 ⇒ ⟳ ∗ − 𝐿𝑅𝐸2 = 0 ⇒ 𝑅𝐸2 = ∗ 𝐿 ⇒ 𝑅𝐸2 = (2)
2 4 8 8
𝑃𝐿 3𝑃𝐿 𝑃𝐿
(2) dans (1) : 𝑅𝐷 = − ⇒ 𝑅𝐷 =
2 8 8
3𝑃𝐿 𝑃𝐿 7𝑃𝐿
Donc 𝑅𝐸 = 𝑅𝐸1 + 𝑅𝐸2 = + =
8 2 8
Exemple 3.
on aura
𝑃
On sait que : 𝑅𝐸 = 𝑅𝐹 = 2
𝐈𝐕 𝐢𝐞𝐦𝐞 𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄
STATIQUE GRAPHIQUE
(GRAPHOSTATIQUE)
NB : - Elles exigent des figures tracées à une échelle donnée ou choisie et un minimum
de soin doit être apporté aux tracés pour obtenir des résultats précis
-Attention : faites correspondre les explications aux dessins vus que ces dessins
ne sont pas tracer en échelle
CAS DES 2, 3 OU PLUSIEURS FORCES CONCOURANTE A UN POINT
DEFINITION : par forces concourantes à un point on entend les forces dont les directions
convergent vers un point.
Condition : ∑ F = 0 ; pour qu’il y ait équilibre il faut que le contour soit fermé
C’est-à-dire : 𝐹1 + 𝐹2 + 𝐹3 + ⋯ = 0
EXEMPLE
Graphique dynamique
R = 𝐹1 + 𝐹2 + 𝐹3 = 0 ⟹ R = 3,2 cm = 80 t
Echelle : 2 cm = 50t
Graphique dynamique
Echelle 50t = 4 cm
EXPLICATION
On aura :
- On mène P//P’, on sait que l’origine d’une force est l’extrémité de l’autre (ce
principe nous permet d’avoir (𝑅𝐴 𝑒𝑡 𝑅𝐵 )
- On mène 𝑅𝐴 //𝑅′𝐴 au point b comme extrémité de 𝑅′𝐴
- On mène 𝑅𝐵 //𝑅′𝐵 au point a comme origine de 𝑅′𝐵
- Enfin nous avons un triangle abc avec ab = P’, bc = 𝑅′𝐴 et ac = 𝑅′𝐵
Si nous mettons P en échelle on peut lire 𝑅𝐴 𝑒𝑡 𝑅𝐵.
EXEMPLE
Echelle : 3 cm = 75t
Après résolution, on a le résultat suivant, la ligne d’action doit passer par la rotule
EXERCICES
Exemple 1.
EXEMPLE 2.
CE = √12 + 42 = 4,123 𝑚
𝐿1 12
𝑅𝐴𝐷 = 𝑃𝐴𝐷 ∗ 𝐿𝐴𝐷 = 1,5 ∗ 12,816 = 19,224𝑡 ; 𝑋𝐴𝐷 = = = 6𝑚
2 2
𝐿2 4
𝑅𝐶𝐸 = 𝑃𝐶𝐸 ∗ 𝐿𝐶𝐸 = 1,2 ∗ 4,123 = 4,947𝑡 ; 𝑋𝐶𝐸 = = = 2𝑚
2 2
Echelle : 5t = 1 cm
3. LA RESULTANTE FINALE
Au point A
𝑅𝐴 = 3,6𝑐𝑚 = 18𝑡
Au point B
𝑅𝐵 = 4,1𝑐𝑚 = 20,5𝑡
CHAPITRE 7. TREILLIS
METHODE DE CREMONA
C’est-à-dire on associe à chaque nœud, le polygone des forces qui lui sont appliquées.
NB : -Pour faciliter la construction graphique, un nœud ne peut pas avoir plus de deux
inconnues
EXERCICES
Exemple 1.
Equilibre du nœud A
- Sens des barres ; on sait que si la barre sort du nœud elle est tendue (+) et dans le
cas contraire elle est comprimé (-)
Exemple : la barre 1 est tendue, la barre 2 est comprimée
Si une barre est tendue à un nœud (exemple A) elle est aussi au nœud B ou C, ainsi pour
la barre comprimée
EXEMPLE 2.
200
Résolution : 𝑅𝐴 = 𝑅𝐵 = = 100 𝐾𝑔, par symétrie
2
Echelle : 3 cm = 200 KN
Nœud A
Nous avons choisi le nœud A. on mène 𝑅𝐴 //𝑅′𝐴 a partir de 0, de T on mène une droite
2’//2, Du point 0 on mène une droite 1’//1, j’ai un triangle OTU.
Du point U on mène 𝑅𝐵 //𝑅′𝐵 , du point T on mène 3’//3 nous avons un triangle UVT.
EXEMPLE 3.
200
Résolution : 𝑅𝐴 = 𝑅𝐵 = = 100 𝐾𝑔
2
Echelle : 2 cm = 100 kg
- Nœud E avec 5 barres (2, 3, 5, 6 et 200 kg, donc 3 sont connues 2,5 et 200 kg et 3
et 6 inconnues) comme 2 et 5 sont déjà tracé nous allons construire à partir
d’eux.
Départ le point R (2’ et 5’) qui se termine au point P, à partir P on mène 200 kg, à partir
de S on mène (6’//6) , à partir de R on mène (3’//3). Enfin on a un polygone RQPST
𝐕 𝐢𝐞𝐦𝐞 𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄
𝐋𝐄 𝐂𝐀𝐒 𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐔𝐋𝐈𝐄𝐑𝐒
EXEMPLE
Calculer les grandeurs des forces A, B et C qui font équilibre au moment M donné ci-
dessous.
3
tgℇ = 2 = 1,5 ⟹ ℇ = 56,31 ⟹ cos 56,31 = 0,55 𝑒𝑡 sin 56,31 = 0,832
∑ 𝐹𝑌 = 0 ⟹ 𝐴𝑌 + 𝐶𝑌 − 𝐵 = 0 ⟹ −𝐴 sin 𝛼 − 𝐶 sin ℇ − 𝐵 = 0
⟹ B = - 1,5656 C (5)
Cette méthode n’est applicable que pour des charges concentrées ou après avoir
concentré les forces repartie sur des poutres simplement appuyée.
NB : - il faut bien vérifier les calculs par d’autres méthodes pour plus de fiabilité
- Si les forces ne sont que concentrées, nous partirons de gauche vers la droite
pour la réaction 𝑅𝐴 et de droite vers la gauche pour la réaction 𝑅𝐵
- S’il y a des charges reparties nous partirons de gauche vers la droite pour la
réaction 𝑅𝐵 et de droite vers la gauche pour la réaction 𝑅𝐴
On utilise la règle de 3 simples
EXERCICES
Exemple 1.
4𝑎 𝑎 𝑎 𝑃𝑎
a→ 𝑋 ⇒ 𝑋 = = 𝐿 𝑑𝑜𝑛𝑐 ∶ 𝑉𝐴 = 𝑃𝑋 = 𝑃 ∗ 𝐿 =
4𝐿 𝐿
4𝑏 𝑏 𝑃𝑏
b→ 𝑋 ⇒ 𝑋 = 4𝐿 = 𝐿 𝑑𝑜𝑛𝑐: 𝑉𝐵 = 𝑃𝑋 = 𝐿
𝐿
Si a = b =
2
Appui A = Appui B
4
L→4
𝐿 4 𝐿 1
→𝑋⟹𝑋= ∗ =
2 4𝐿 2 2
1 𝑃
𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = 𝑃𝑋 = 𝑃 ∗ =
2 2
Exemple 2.
4𝑎 𝑎
a→ 𝑋1 ⇒ 𝑋1 = =
4𝐿 𝐿
4(𝑎+𝑏) 𝑎 𝑏
a + b → 𝑋2 ⇒ 𝑋2 = =𝐿+𝐿
4𝐿
4(𝑎+𝑏+𝑐) 𝑎 𝑏 𝑐
a + b + c → 𝑋3 ⇒ 𝑋3 = = 𝐿+𝐿+𝐿
4𝐿
𝑎 𝑎 𝑏 𝑎 𝑏 𝑐
Donc 𝑉𝐴 = 𝑞𝑋1 + 𝑃𝑋2 + 𝑇𝑋3 = 𝐿 𝑞 + (𝐿 + 𝐿 ) 𝑃 + (𝐿 + 𝐿 + 𝐿) 𝑇
4𝑑 𝑑
d→ 𝑋1 ⇒ 𝑋1 = =
4𝐿 𝐿
4(𝑐+𝑑) 𝑐 𝑑
c + d → 𝑋2 ⇒ 𝑋2 = =𝐿+𝐿
4𝐿
4(𝑏+𝑐+𝑑) 𝑏 𝑐 𝑑
b + c + d → 𝑋3 ⇒ 𝑋3 = = 𝐿+𝐿+𝐿
4𝐿
𝑑 𝑐 𝑑 𝑏 𝑐 𝑑
Donc 𝑉𝐵 = 𝑇𝑋1 + 𝑃𝑋2 + 𝑞𝑋3 = 𝐿 𝑇 + (𝐿 + 𝐿 ) 𝑃 + (𝐿 + 𝐿 + 𝐿 ) 𝑞
Exemple 3.
4∗2 1
2 m → 𝑋1 ⇒ 𝑋1 = 4∗10 = 5
4∗5 1
5 m → 𝑋2 ⇒ 𝑋2 = 4 ∗ 10 = 2
4∗7 7
7 m → 𝑋3 ⇒ 𝑋3 = 4 ∗ 10 = 10
1 1 7
Donc 𝑉𝐴 = 6𝑋1 + 8𝑋2 +10𝑋3 = 5 ∗ 6 + 2 ∗ 8 + 10 ∗ 10 = 12,2 𝐾𝑁
4∗3 3
3 m → 𝑋1 ⇒ 𝑋1 = 4∗10 = 10
4∗5 1
5 m → 𝑋2 ⇒ 𝑋2 = 4∗10 = 2
4∗8 4
8 m → 𝑋3 ⇒ 𝑋3 = 4∗10 = 5
3 1 4
Donc 𝑉𝐵 = 10𝑋1 + 8𝑋2 + 6𝑋3 = 10 ∗ 10 + 2 ∗ 8 + 5 ∗ 6 = 11,8 𝐾𝑁
Exemple 4.
𝑃𝐿 5∗4 2𝐿 2∗4
R= = = 10𝑁 et X = = = 2,67 𝑚
2 2 3 3
On aura
4∗2 1
2 m → 𝑋1 ⇒ 𝑋1 = 4 ∗ 8 = 4
4 ∗ 6,67 6,67
6,67 m → 𝑋2 ⇒ 𝑋2 = =
4∗8 8
1 6,67
Donc 𝑉𝐵 = 5𝑋1 + 10𝑋2 = 4∗5+ ∗ 10 = 9,5875 𝑁
8
4 ∗ 1,33 1,33
1,33 m → 𝑋1 ⇒ 𝑋1 = =
4∗8 8
4∗6 3
6 m → 𝑋2 ⇒ 𝑋2 = 4 ∗ 8 = 4
1,33 3
Donc 𝑉𝐴 = 10𝑋1 + 15𝑋2 = ∗ 10 + 4 ∗ 5 = 5,4125 𝑁
8
EXEMPLE 5.
𝐿 4
R = PL = 5 * 4 = 20N et X = 2 = 2 = 2 𝑚
On aura
4∗3 1
3 → 𝑋1 ⟹ 𝑋1 = 4 ∗ 12 = 4
4∗7 7
7 → 𝑋2 ⟹ 𝑋2 = 4 ∗ 12 = 12
4 ∗ 11 11
11 → 𝑋3 ⟹ 𝑋3 = 4 ∗ 12 = 12
1 7 11
𝐷𝑜𝑛𝑐 𝑉𝐵 = ∗3+ ∗ 20 + ∗ 2 = 14,249 𝑁
4 12 12
Par rapport au point B
4
12 → 4
4∗1 1
1 → 𝑋1 ⟹ 𝑋1 = 4 ∗ 12 = 12
4∗5 5
5 → 𝑋2 ⟹ 𝑋2 = 4 ∗ 12 = 12
4∗9 9 3
9 → 𝑋3 ⟹ 𝑋3 = 4 ∗ 12 = 12 = 4
1 5 3
𝐷𝑜𝑛𝑐 𝑉𝐴 = ∗2+ ∗ 20 + ∗ 3 = 10,751 𝑁
12 12 4
Cette méthode consiste à calculer les moments aux points caractéristiques ou points
singulier sans passer par des coupes des zones
EXERCICES
EXEMPLE 1.
∑ Fx = 0 ⇒ 𝐻𝐴 = 0 (1)
∑ Fy = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 − 5 − 7 − 9 = 0 ⇒ 𝑉𝐴 + 𝑉𝐵 = 21 ⟹ 𝑉𝐴 = 21 − 𝑉𝐵 (2)
∑ 𝑀𝐴 = 0 ⇒ ⟳ 5 ∗ 2 + 7 ∗ 5 + 9 ∗ 9 − 14𝑉𝐵 = 0 ⇒ 𝑉𝐵 = 9 (3)
𝑀𝐴 = 𝑀𝐵 = 𝑉𝐴 ∗ 0 = 0
𝑀𝐶 = 2 ∗ 𝑉𝐴 = 2 ∗ 12 = 24
𝑀𝐷 = 5 ∗ 𝑉𝐴 − 5 ∗ 3 = 5 ∗ 12 − 15 = 45
𝑀𝐸 = 9 ∗ 𝑉𝐴 − 5 ∗ 7 − 7 ∗ 4 = 9 ∗ 12 − 35 − 28 = 45
𝑀𝐵 = 14 ∗ 𝑉𝐴 − 5 ∗ 12 − 7 ∗ 9 − 9 ∗ 5 = 14 ∗ 12 − 60 − 63 − 45 = 0
EXEMPLE 2.
𝐿 4
R = PL = 5 * 4 = 20 et X = 2 = 2 = 2 𝑚
𝑃 5+20+5
Par symétrie : 𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = ∑ 2 = = 15 𝑁
2
𝑀𝐴 = 𝑀𝐵 = 𝑉𝐴 ∗ 0 = 0
𝑀𝐶 = 1 ∗ 𝑉𝐴 = 15
𝑀𝐷 = 3 ∗ 𝑉𝐴 − 5 ∗ 2 = 3 ∗ 15 − 10 = 35
22
𝑀𝐸 = 5 ∗ 𝑉𝐴 − 5 ∗ 4 − 5 ∗ = 5 ∗ 15 − 20 − 10 = 45
2
𝑀𝐹 = 7 ∗ 𝑉𝐴 − 5 ∗ 6 − 20 ∗ 2 = 7 ∗ 15 − 30 − 40 = 35
𝑀𝐺 = 𝑉𝐵 ∗ 1 = 15 ∗ 1 = 15
Au point E c’est le point ou applique la résultante de la force uniforme, on sait que dans
ce genre de cas on a :
𝑋 𝑃𝑋 2 𝐿
Px * 2 = comme X = 2 (parce que à ce point le moment est maximal)
2
𝑃 𝐿 𝑃𝐿2
On aura : 2 (2)2 = 8
𝑃𝑋 2 5 ∗ 22 𝐿 4 𝑃𝐿2 5 ∗ 42
C’est pourquoi on a : = = 10 avec X = 2 = 2 = 2 ou = = 10
2 2 8 8
BIBLIOGRAPHIE
1. OUVRAGE
2. COURS
Contenu
GUIDE DU COURS DE LA STATIQUE APPLIQUEE ...................................................................................... 1
PRINCIPES ET METHODES DE CALCUL ..................................................................................................... 1
AVANT PROPOS ....................................................................................................................................... 2
𝐈𝐞𝐫𝐞 PARTIE ............................................................................................................................................. 4
CHAPITRE 1. RAPPELS MATHEMATIQUES ............................................................................................... 5
𝐈𝐈𝐢𝐞𝐦𝐞 PARTIE ...................................................................................................................................... 12
ETUDE DES STRUCTURES ISOSTATIQUES .............................................................................................. 12
CHAPITRE 2. GUIDE THEORIQUE ........................................................................................................... 13
CHAPITRE 3. GUIDE PRATIQUE .............................................................................................................. 35
𝐈𝐈𝐈𝐢𝐞𝐦𝐞𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄 ................................................................................................................................. 138
𝐓𝐑𝐄𝐈𝐋𝐋𝐈𝐒............................................................................................................................................ 138
CHAPITRE 4. GUIDE THEORIQUES ....................................................................................................... 139
CHAPITRE 5. GUIDE PRATIQUES .......................................................................................................... 144
𝐈𝐕𝐢𝐞𝐦𝐞𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄 ................................................................................................................................. 162
STATIQUE GRAPHIQUE (GRAPHOSTATIQUE) ...................................................................................... 162
CHAPITRE 6. FORCES ET STRUCTURES................................................................................................. 163
CHAPITRE 7. TREILLIS ........................................................................................................................... 173
𝐕𝐢𝐞𝐦𝐞𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄................................................................................................................................... 177
𝐋𝐄 𝐂𝐀𝐒 𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐔𝐋𝐈𝐄𝐑𝐒 ................................................................................................................... 177
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................................................................... 186