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Travaux pratiques de Mécanique des fluides 2013-2014

RAPPORT DE TRAVAUX PRATIQUES D'HYDRAULIQUE GENERALE

TP II.MECANIQUE DES FLUIDES :


REGIMES D’ECOULEMENT ET FACTEURS DE FROTTEMENT

Encadreur : M. OUEDRAOGO MOUSSA

Membres du sous- groupe

 NGANGA Aurelle Staelle (2013 0660)


 NGUEABAYE ALLADOUMDJIM (20130763)
 NKOUMBOU HANGHEU Fabien B. (20130715)
 NYOUWA Hervis (2013 0692)

Année académique : 2013 - 2014

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Travaux pratiques de Mécanique des fluides 2013-2014

Tableau 1 : Résultats des mesures .......................................................................................................6


Tableau 2 : Récapitulatif du calcul du débit Q au diaphragme .............................................................7
Tableau 3 : Récapitulatif du calcul du débit au seuil triangulaire ..........................................................8

Figure 1 : Courbe du débit au diaphragme en fonction de débit au seuil ...............................................9

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Travaux pratiques de Mécanique des fluides 2013-2014

INTRODUCTION

Dans le but de former des ingénieurs compétents et opérationnels


sur le terrain, des séances de travaux pratiques sont organisés en
complément aux cours théoriques dispensés. C’est dans ce cadre que nous
avons effectué des séances en mécanique des fluides et hydraulique.
Ainsi, constitué en groupe notre formation Pratique 13 décembre 2013 a
porté sur les différents régimes d’écoulement et facteurs de frottement.
Ce présent rapport portera sur l’analyse des résultats de ces différents
relevés effectués.

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Travaux pratiques de Mécanique des fluides 2013-2014

BUT

Familiariser les étudiants aux méthodes classiques de mesures de dédits


des écoulements et le calcul des pertes de charges.

Rappels théoriques

L’analyse dimensionnelle et les résultats expérimentaux obtenus pour


divers régimes d’écoulement et divers fluides ont permis formulation moderne
due à Darcy Weisbache de la perte de charge par unité de longueur J
U 2
J (1) où  est coefficient de résistance,fonction de la rugosité relative et
D2 g
du nombre de Reynolds.

1  K 2,51 
 2log    (2)
  3, 7 D R e  
UD 4
Re  10 (3) avec U en m/s,D en mètres v en stockes

v : coefficient de viscosité de l’eau.

v0
v (4) ( v0  0,018 stockes)
1  0,3680  0, 0022102

Description de l’installation

Le banc de mesure comprend :

 Une paillasse de laboratoire roulante de dimension 1850mm*650mm ;


 Un ensemble de tubes piézométriques devant un tableau millimétré
amovible formant le dosseret ;
 Une bâche d’eau de 200 litres ;
 Un groupe électropompe de surface sous 380 V ;
 Un bac amont de déversement (réservoir transparent) ;
 Un bac aval équipé d’un déversoir triangulaire pour mesurer le débit ;

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 Un ensemble de tuyauteries a cinq branches dont une seule fera l’objet de


ce T.P.

Ici, le circuit 1est sous forme de schéma et comporte des pertes de


charges singulières et linéaires.

Les principales singularités de l’amont vers l’aval sont les suivantes :

 Deux coudes formant un S ;


 Un diaphragme de diamètre 25mm ;
 Un Té ;
 Un coude à 90° arrondi ;
 Un coude à 90° à angle vif ;
 Un élargissement brusque ;
 Un coude à 45°.

Sur le circuit principal, est branché un circuit auxiliaire. Le raccord en TE


fournit une singularité supplémentaire. Le circuit principal se termine par une
vanne à passage directe permettant le réglage du débit.

Remarque :

 Il ne faut jamais laisser fonctionner longtemps la pompe de débit nul au


risque d’échauffement.

 Travailler avec une charge suffisante dans le réservoir amont A.

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Tableau 1 : Résultats des mesures


Ho = Charge constante au niveau du réservoir transparent amont = 620 mm
No = Niveau d’eau dans le bac de jaugeage à débit de réservoir nul = 71 mm

Essai H1 (m) H2 (m) H3 (m) H4 (m) H5 (m) H6 (m) H7 (m) H8 (m) H9 (m) H10 (m) H11 (m) H12 H13 (m) H14 (m) H15 Ni (m)
N° (m) (m)
1 0,6160 0,6150 0,6160 0,6160 0,6175 0,6115 0,6110 0,6090 0,6080 0,6060 0,6070 0,6005 0,6005 0,6005 0,6004 0,0885

2 0,6113 0,6125 0,6115 0,6003 0,6009 0,6007 0,6005 0,6020 0,5990 0,5980 0,5960 0,5930 0,6940 0,5930 0,5925 0,0915

3 0,6001 0,5995 0,5980 0,5798 0,5820 0,5815 0,5780 0,5745 0,5700 0,5660 0,5660 0,5600 0,5610 0,5600 0,5580 0,0965

4 0,5990 0,5955 0,5970 0,5705 0,5810 0,5770 0,5750 0,5690 0,5570 0,5550 0,5500 0,5420 0,5450 0,5460 0,5450 0,1001

5 0,5850 0,5810 0,5800 0,5280 0,5510 0,5485 0,5440 0,5310 0,5130 0,5070 0,5025 0,4880 0,4900 0,4950 0,4920 0,1050

6 0,5570 0,5515 0,5500 0,4500 0,5050 0,5030 0,4965 0,4790 0,4500 0,4490 0,4350 0,4140 0,4160 0,4190 0,4150 0,1090

7 0,5240 0,5190 0,5170 0,3530 0,4400 0,4320 0,4240 0,3950 0,3440 0,3320 0,3280 0,2950 0,2960 0,2970 0,2970 0,1140

8 0,4850 0,4770 0,4770 0,2440 0,3640 0,3560 0,3430 0,3030 0,2350 0,2200 0,2070 0,1680 0,1720 0,1730 0,1700 0,1170

9 0,4650 0,4670 0,4670 0,1955 0,3310 0,3210 0,3100 0,2630 0,1860 0,1700 0,1540 0,1030 0,1100 0,1180 0,1130 0,1190

10 0,4500 0,4420 0,4420 0,1480 0,3020 0,2819 0,2780 0,2270 0,1420 0,1210 0,1080 0,0500 0,0560 0,0670 0,0600 0,1200

11 0,4380 0,4310 0,4270 0,1190 0,2820 0,2670 0,2520 0,1980 0,1080 0,0840 0,0680 0,0120 0,0190 0,0290 0,0230 0,1210

12 0,4310 0,4210 0,4200 0,0950 0,2640 0,2490 0,2340 0,1750 0,0880 0,0630 0,0460 0,0000 0,0000 0,0030 0,0000 0,1220

Tableau 1 : Résultats des mesures

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Détermination des débits


Détermination par la méthode de diaphragme et du seuil
Mesure au diaphragme

Pour calculer le débit au diaphragme, nous utilisons la formule :

Q  0,00161( H 3  H 4)0,5

Tableau 2 : Récapitulatif du calcul du débit Q au diaphragme

Essai H3 H4 H3-H4 Débit Qd


N° (m) (m) (m) (m3/s)
1 0,6160 0,6160 0,0000 0,0000000
2 0,6115 0,6003 0,0112 0,0001704
3 0,5980 0,5798 0,0182 0,0002172
4 0,5970 0,5705 0,0265 0,0002621
5 0,5800 0,5280 0,0520 0,0003671
6 0,5500 0,4500 0,1000 0,0005091
7 0,5170 0,3530 0,1640 0,0006520
8 0,4770 0,2440 0,2330 0,0007771
9 0,4670 0,1955 0,2715 0,0008389
10 0,4420 0,1480 0,2940 0,0008730
11 0,4270 0,1190 0,3080 0,0008935
12 0,4200 0,0950 0,3250 0,0009178

Tableau 2 : Récapitulatif du calcul du débit Q au diaphragme

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Mesure au seuil triangulaire

Par la suite, la formule Q  1, 4hd nous permettra de calculer du débit au seuil


2,5

triangulaire. Avec hd  No  Ni .

Tableau 3 : Récapitulatif du calcul du débit Qs au seuil triangulaire

Essai Ni (m) No (m) hd=(No-Ni) Débit seuil Qs


N° (m) (m3/s)
1 0,0885 0,071 0,0175 0,0000574
2 0,0915 0,071 0,0205 0,0000853
3 0,0965 0,071 0,0255 0,0001471
4 0,1001 0,071 0,0291 0,0002038
5 0,1050 0,071 0,0340 0,0003020
6 0,1090 0,071 0,0380 0,0003989
7 0,1140 0,071 0,0430 0,0005433
8 0,1170 0,071 0,0460 0,0006431
9 0,1190 0,071 0,0480 0,0007153
10 0,1200 0,071 0,0490 0,0007531
11 0,1210 0,071 0,0500 0,0007921
12 0,1220 0,071 0,0510 0,0008323

Tableau 3 :Récapitulatif du calcul du débit au seuil triangulaire

Comparons les résultats et traçons la courbe Qd  f (Qs)

Les données obtenues dans les tableaux 2 et 3 découlent des données du


tableau 1 ; obtenu lors de l’étude expérimentale au laboratoire. Celles-ci nous
permettrons de tracer la fonction Qd  f (Qs) . Qs étant le débit seuil et Qd
dédit au diaphragme.

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0,9

0,8

0,7

0,6

0,5 Série1

0,4 Série2

0,3

0,2

0,1

0
0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9

Figure 1 : Courbe du débit au diaphragme en fonction de débit au seuil

Commentaire :

Nous remarquons que la courbe coupe la première bissectrice en un seul


point,et évolue pas de façon linéaire.

Comparons les deux méthodes :

Le diaphragme placé entre les piézomètres 3 et 4 nous permet de calculer le débit


à l’aide de la formule Q  0,00161( H 3  H 4)
0,5

Le limnimètre, nous donne le débit au seuil triangulaire à l’aide de la formule


Q  1, 4hd 2,5
 Pour le diaphragme on a :

Q  H 3 H 4   H 3 H 4 
 0,5     Q  0,5* Q   
Q  H3 H4   H3 H4 

H 3  1mm
Avec :
H 4  1mm

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Nous avons le tableau suivant :

(Diaphragme)
Essai H3 (m) H4 (m) ΔQd (m3/s)

1 0,6160 0,6160 0
2 0,6115 0,6003 2,81236E-07
3 0,5980 0,5798 3,68913E-07
4 0,5970 0,5705 4,49206E-07
5 0,5800 0,5280 6,64164E-07
6 0,5500 0,4500 1,02854E-06
7 0,5170 0,3530 1,55407E-06
8 0,4770 0,2440 2,40714E-06
9 0,4670 0,1955 3,04371E-06
10 0,4420 0,1480 3,93675E-06
11 0,4270 0,1190 4,80053E-06
12 0,4200 0,0950 5,92341E-06

(Seuil triangulaire)
Essai hd=(No-Ni) Débit seuil ΔQs (m3/s)
N° (m) Qs (m3/s)
1 0,0175 0,0000574 8,201E-06
2 0,0205 0,0000853 1,0398E-05
3 0,0255 0,0001471 1,4425E-05
4 0,0291 0,0002038 1,754E-05
5 0,0340 0,0003020 2,2209E-05
6 0,0380 0,0003989 2,6241E-05
7 0,0430 0,0005433 3,1587E-05
8 0,0460 0,0006431 3,495E-05
9 0,0480 0,0007153 3,7254E-05
10 0,0490 0,0007531 3,8424E-05
11 0,0500 0,0007921 3,9606E-05
12 0,0510 0,0008323 4,08E-05

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Conclusion sur la meilleure méthode

L’interprétation des résultats obtenus montre que le seuil triangulaire est


moins précis que le diaphragme. Les erreurs de lecture sont « accentuées »dans
le cas du seuil, ce qui a pour conséquence l’augmentation de l’imprécision.

4-Régime d’écoulement et pertes de charges


4.0-Justifications :

Le comportement de la piézométrie peut se justifie par la variation continue


et croissante de la quantité d’eau (débit) dans la conduite ce qui entraine une
diminution du niveau d’eau (charge) dans les tubes piézométriques au fur et à
mesure qu’on ouvre la vanne L au quart de tour. Cette valeur représente donc les
pertes de charge (singulières et régulières).

4.1-Tableau d’identification des singularités


Index Dénomination et Index Dénomination et Index Dénomination et
références références références
A Bac amont de D Elargissement G Dérivation en TE
déversement brusque de diamètre
B Deux coudes formant E Diaphragme de H Coude à 90° arrondi
un S(CH88) diamètre 25mm CH88
C Coude à 90° arrondi (U) F Coude à 45° CJ44 I Coude à 90° vif

4.2-Tableau des tronçons de réseau :(du piézomètre 8 à 14)


Tronçon 8à9 9 à 10 10 à 11 11 à 12 12 à 13 13 à 14
Longueur (cm) 52,5 48 33 52 8 52

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4.3-Représentation de la ligne piézométrique

. La figure ci-dessous est représentation de la ligne piézométrique pour le


débit mesuré par la méthode du diaphragme à l’essai n°3.

0,6000

0,5000

0,4000

0,3000
Série1
0,2000

0,1000

0,0000
H10 (m)
H11 (m)
H12 (m)
H13 (m)
H14 (m)
H15 (m)
H1 (m)
H2 (m)
H3 (m)
H4 (m)
H5 (m)
H6 (m)
H7 (m)
H8 (m)
H9 (m)

Figure 2 : Courbe de la ligne piézométrique

Commentaire sue l’allure de la courbe :

Nous remarquons que la courbe des lignes piézométriques remonte au


niveau des singularités, c’est-à-dire au niveau du diaphragme, des élargissements
brusques de diamètre.

4.4- Détermination du diamètre intérieur des conduites

Tableau représentatif
Diamètre externe (mm) Epaisseur (mm) Diamètre interne (mm)
Ligne géométrique 40 3,2 40 – (2× 3,3) =33,6
50 4 50 – (2×4) =42

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4.5-Caractéristique des régimes d’écoulement dans les conduites DN 40


et DN

Les régimes d’écoulement sont fonctions du nombre de Reynolds.

UDH 4Q
Re  , DH étant le diamètre hydraulique ; U 
  D2

Or nos conduites sont circulaires ; d’où le nombre de Reynolds devient :

4Q
Re  , v=10-6 m1/3 /s
 D

Tableau représentatif
Essai H3-H4 hd=(No-Ni) Débit Qd Vitesse DN Vitesse DN Nbre de Nbre de
N° (m) (m) (m3/s) 40 en (m/s) 50 en (m/s) Re1 Re2
1 0,0000 0,0175 0,0000000 0,0000 0,0000 0,000 0,000
2 0,0112 0,0205 0,0001704 0,1356 0,0868 5423,567 4338,854
3 0,0182 0,0255 0,0002172 0,1728 0,1106 6913,719 5530,975
4 0,0265 0,0291 0,0002621 0,2086 0,1335 8342,552 6674,042

Commentaire :

On remarque que les résultats obtenus à débit supérieur à zéro donnent des
nombres de Reynolds compris entre 2500 et 50000 on peut donc conclure que
dans les conduites rectilignes DN 40 et DN 50mm, le régime est transitoire est
transitoire.

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4.6-Détermination des pertes de charges unitaires linéaires des DN40 etDN50

La détermination des pertes de charges unitaires linéaires est donnée par :


H j  H j 1
J
L

i longueur des essai 1 essai 2 essai 3


ponts
piézométriques
(Hi-i+1)
valeur pertes de valeur pertes de valeur pertes de
piézométrique charge (J) piézométrique charge (J) piézométrique charge (J)
(Hi) (Hi) (Hi)
9 0,450 0,608 0,0022 0,5990 0,0022 0,5700 0,0089
10 0,320 0,607 0,0031 0,5980 0,0063 0,5660 0,0000
11 0,500 0,606 0,0110 0,5960 0,0060 0,5660 0,0120
12 0,075 0,6005 0,0000 0,5930 -1,3467 0,5600 -0,0133
13 0,500 0,6005 0,0000 0,6940 0,2020 0,5610 0,0020
14 0,6005 0,5930 0,5600

4.6.1-pertes de charges linéaires avec la formule de Manning Strickler

10, 29Q 2
J
K s 2 D16/3

ΔHHW (m) ΔHHW (m) ΔHJ (m) ΔHJ (m) Essai N°


DN40 DN50 DN40 DN50
0,0112 0,0038 0,0123 0,0037 8
0,0129 0,0043 0,0144 0,0044 9
0,0138 0,0047 0,0156 0,0047 10

4.6.2-pertes de charges unitaires avec la formule de Hazen-Williams

10, 675Q1,852
J
K cw1,852 D 4,87

ΔHHW (m) ΔHHW (m) ΔHJ (m) ΔHJ (m) Essai N°


DN40 DN50 DN40 DN50
0,0112 0,0038 0,0123 0,0037 8
0,0129 0,0043 0,0144 0,0044 9
0,0138 0,0047 0,0156 0,0047 10

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Travaux pratiques de Mécanique des fluides 2013-2014

Entre H10 et H11 on a Q=0,029 avec la méthode du piézomètre. On constate


qu'avec les méthodes de Manning–Strickler et Hazen-William on a
respectivement Q= 0,028 et Q=0,023. On en déduit que les valeurs à l'aide de la
formule de Manning – Strickler sont plus proches que celles calculées avec
Hazen-William .Donc la formule de Manning – Strickler est la mieux adaptée

4.7-Déduction du coefficient de rugosité Ks

La formule de Manning-Strickler est :

10, 29Q 2 10, 29.Q 2


J 16
 Ks  16
2 3 3
Ks D J .D

Si nous considérons l’essai 3, on a :

Q=3,93675.10-6m3/s » ; D=0,0336m ; j= 0.0088888889m

10, 29.(3,93675106 )2
Ks  16
3
0, 00888889.(0, 0336)

Ks=0,126m

Commentaire :

Par la formule de Manning-Strickler, la rugosité Ks en ce qui concerne les


conduites PVC est de 120 mm, or cette valeur est inférieure à celle calculée. On
en déduit que les parois internes des tuyauteries du banc sont plus rugueuses
qu’une conduite PVC neuve.Alors les conduites du banc sont obsolètes
(dépassées).

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CONCLUSION

Parvenus au terme de notre rapport, nous pouvons clairement affirmer que ce TP


nous a permis d’appréhender et de calculer expérimentalement les débits et le
calcul de certaines grandeurs hydrauliques telles les pertes de charges.

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