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La légalité et la hiérarchie
des normes
1er mai 1822 : Lafitte :
Contentieux administratif
Article connexe : Contentieux
administratif en France.
Contrôle de l'excès de
pouvoir
26 novembre 1875 : Pariset[L 46] : Le
Conseil d'État censure pour
détournement de pouvoir la décision
du préfet de fermer une manufacture
d'allumettes.
18 avril 1902 : Commune de Néris-les-
Bains[L 47] : Pouvoirs de police
municipale des maires. Recevabilité
d'un recours pour excès de pouvoir
(REP) du maire contre une décision de
l’autorité de tutelle.
21 décembre 1906 : Syndicat des
propriétaires et contribuables du
quartier Croix-de-Seguey-Tivoli[L 48] :
Intérêt pour agir d’une association.
Recevabilité du recours pour excès de
pouvoir.
6 décembre 1907 : Compagnie de
chemin de fer de l'Est[L 49] : Recours
pour excès de pouvoir contre un
règlement pris en vertu d'une
délégation législative.
8 mars 1912 : Lafage[L 50] : Recours
pour excès de pouvoir et recours de
plein contentieux.
29 novembre 1912 : Boussuge[L 51] :
Tierce-opposition à une décision
contentieuse rendue à la suite d'un
REP.
4 avril 1914 : Gomel[L 52] : Contrôle par
le juge de la qualification juridique des
faits à laquelle se livre l'administration.
En l'occurrence, le Conseil d'État avait
annulé pour excès de pouvoir la
qualification de perspective
monumentale à la place Beauvau,
pourtant soutenue par le préfet.
14 janvier 1916 : Camino[L 53] : Contrôle
de l’exactitude matérielle des faits par
le juge de l’excès de pouvoir.
17 février 1950 : Ministre de
l'agriculture c/ Dame Lamotte[L 54] :
Principe selon lequel toute décision
administrative peut faire l'objet d'un
recours pour excès de pouvoir.
5 mai 1976 : Société d'aménagement
foncier et d'établissement rural
d'Auvergne c/ Bernette[L 55] : Le juge de
l'excès de pouvoir contrôle si les faits
reprochés à un salarié protégé sont
d'une gravité suffisante pour justifier la
décision administrative autorisant son
licenciement.
2 juillet 1982 : Huglo [réf. nécessaire] : Le
REP n'est pas un recours suspensif.
3 décembre 1999 : Association
ornithologique et mammalogique de
Saône-et-Loire[L 56] : REP possible
contre le refus du premier ministre
d'engager la procédure de
délégalisation prévue à l'article 37 al. 2
de la Constitution + Suprématie du
droit communautaire sur la loi.
18 décembre 2002 : Mme Duvignères :
Les dispositions impératives à
caractère général d’une circulaire
peuvent faire l’objet d’un recours
contentieux et le contrôle de leur
légalité. Il repose sur la notion d'excès
de pouvoir et sur le principe d'égalité.
Article détaillé : Affaire Duvignères.
Responsabilité de l'État ou
de l'administration
Articles détaillés : Responsabilité de
l'État français et Responsabilité sans
faute de l'administration française.
Contrats administratifs
10 janvier 1902 : Compagnie nouvelle
du gaz de Deville-lès-Rouen[L 79] :
Mutabilité (ou pouvoir de modification
unilatérale) des contrats
administratifs.
4 août 1905 : Martin[L 80] : Recours des
tiers contre les actes détachables d’un
contrat. Ainsi contre les clauses
réglementaires (C.E., 10 juillet 1996,
Cayzeele)[N 4].
29 janvier 1909 : Compagnie des
messageries maritimes et autre[L 81] :
L'inexécution d’un contrat en cas de
force majeure exclut la responsabilité
du cocontractant.
4 mars 1910 : Thérond[L 13] :
Compétence de la juridiction
administrative pour un contrat de
service public.
11 mars 1910 : Compagnie générale
française des tramways[L 82] : Mutabilité
des contrats administratifs et
indemnisation en cas de préjudice.
31 juillet 1912 : Société des granits
porphyroïdes des Vosges[L 83]. Un
contrat conclu par l'administration peut
l'être selon les « règles et conditions
des contrats intervenus entre
particuliers » et le juge judiciaire est
alors compétent. En revanche, un
contrat comportant une clause
exorbitante du droit commun est
administratif et le juge administratif
est compétent dans ce cas.
9 décembre 1932 : Compagnie de
tramways de Cherbourg[L 84] : Le
bouleversement définitif de l'économie
du contrat extérieur à la volonté des
parties est un cas de force majeure. La
résiliation du contrat peut être
demandée au juge par les
cocontractants.
20 avril 1956 : Époux Bertin[L 85] et
Ministre de l'agriculture c/ consorts
Grimouard[L 86] : Critère du service
public retenu pour qualifier
respectivement un contrat
administratif ou une opération de
travaux publics.
16 juillet 2007 : Société « Tropic
Travaux Signalisation »[CE 2] : Un
nouveau type de recours contre les
contrats administratifs est ouvert aux
concurrents évincés. Eu égard à
l’impératif de sécurité juridique, non-
rétroactivité de cette nouvelle
jurisprudence.
28 décembre 2009 : Béziers I : pas
d'annulation automatique en cas
d'irrégularités
21 mars 2011 : Béziers II : possibilité
d'un recours de plein contentieux
tendant à la reprise des relations
contractuelles
4 avril 2014 : département de Tarn-et-
Garonne : ouverture du recours de plein
contentieux aux tiers du contrat.
De 1915 à 1939
De 1940 à 1979
2 avril 1943 : arrêt Veuve Maxudian :
Détermine les règles pour la juridiction
administrative pour déterminer la
« judéité » et établit une « présomption
de judéité »[5]
30 avril 1943 : arrêt Brigitte Sée : Établit
que la charge de la preuve de la « non-
appartenance à la religion juive »
incombe aux individus présumés
juifs[6]
5 mai 1944 : Dame veuve Trompier-
Gravier[L 101] : Principe de respect des
droits de la défense.
2 février 1945 : Moineau[L 102] : Nature
et étendue du rôle du juge de
cassation.
7 février 1947 : D'Aillières[L 103] :
Possibilité du recours en cassation en
l’absence de texte législatif clairement
contraire...
27 mai 1949 : Véron-Réville[L 104] :
Réintégration du fonctionnaire
illégalement évincé de l'administration
et reconstitution de carrière.
7 juillet 1950 : Dehaene[L 105] : droit de
grève des fonctionnaires. Pouvoir des
chefs de service de réglementer le
droit de grève de ceux-ci.
29 juillet 1950 : Comité de défense des
libertés professionnelles des experts-
comptables[L 106] : Ordres
professionnels et libertés individuelles.
9 mars 1951 : Société des concerts du
conservatoire[L 107] : Principe d'égalité
régissant le fonctionnement des
services publics.
22 juin 1951 : Daudignac[L 108] :
Pouvoirs de réglementation du maire
et liberté du commerce et de
l'industrie.
4 avril 1952 : Syndicat régional des
quotidiens d'Algérie[L 109] : La
compétence d'un gouvernement
démissionnaire est limitée aux affaires
courantes.
13 mars 1953 : Tessier[L 110] : Limites
de la liberté d’expression des
fonctionnaires et sanction
disciplinaire.
28 mai 1954 : Barel[L 111] : Principe de
l'égalité d'accès aux fonctions et
emplois publics. L'administration ne
saurait, sans méconnaître ce principe,
écarter un candidat en se fondant
exclusivement sur ses opinions
politiques.
19 octobre 1956 : Société « Le
Béton »[L 112] : Domanialité publique
définie par le critère d'affectation au
service public.
18 décembre 1959 : Société « Les films
Lutétia »[L 113] : Police municipale et
interdiction d'un film à caractère
immoral.
24 juin 1960 : Société Frampar[L 114] :
Saisie des journaux, distinction entre
police administrative et police
judiciaire.
19 octobre 1962 : Canal, Robin et
Godot[L 115] : Principes généraux du
droit pénal. Annulation d'une
ordonnance du Président de la
République pour atteinte aux droits et
garanties essentielles de la défense.
11 décembre 1970 : Crédit foncier de
France[L 116] : Statut des directives.
7 juillet 1978 : Arrêt Klaus Croissant :
les conventions et traités
internationaux ont une autorité
supérieure au droit interne.
8 décembre 1978 : GISTI, CFDT et
CGT[L 117] : Droit de mener une vie
familiale normale.
De 1980 à aujourd'hui
Notes
Notes
1. extrait de l'arrêt Société Arcelor et
autres (dit Arcelor) : « Considérant que si,
aux termes de l'article 55 de la
Constitution, " les traités ou accords
régulièrement ratifiés ou approuvés ont,
dès leur publication, une autorité
supérieure à celle des lois, sous réserve,
pour chaque accord ou traité, de son
application par l'autre partie ", la
suprématie ainsi conférée aux
engagements internationaux ne saurait
s'imposer, dans l'ordre interne, aux
principes et dispositions à valeur
constitutionnelle ; qu'eu égard aux
dispositions de l'article 88-1 de la
Constitution, selon lesquelles " la
République participe aux Communautés
européennes et à l'Union européenne,
constituées d'Etats qui ont choisi
librement, en vertu des traités qui les ont
instituées, d'exercer en commun certaines
de leurs compétences ", dont découle une
obligation constitutionnelle de
transposition des directives, le contrôle de
constitutionnalité des actes
réglementaires assurant directement
cette transposition est appelé à s'exercer
selon des modalités particulières dans le
cas où sont transposées des dispositions
précises et inconditionnelles ; qu'alors, si
le contrôle des règles de compétence et
de procédure ne se trouve pas affecté, il
appartient au juge administratif, saisi d'un
moyen tiré de la méconnaissance d'une
disposition ou d'un principe de valeur
constitutionnelle, de rechercher s'il existe
une règle ou un principe général du droit
communautaire qui, eu égard à sa nature
et à sa portée, tel qu'il est interprété en
l'état actuel de la jurisprudence du juge
communautaire, garantit par son
application l'effectivité du respect de la
disposition ou du principe constitutionnel
invoqué ; que, dans l'affirmative, il y a lieu
pour le juge administratif, afin de
s'assurer de la constitutionnalité du
décret, de rechercher si la directive que ce
décret transpose est conforme à cette
règle ou à ce principe général du droit
communautaire ; qu'il lui revient, en
l'absence de difficulté sérieuse, d'écarter
le moyen invoqué, ou, dans le cas
contraire, de saisir la Cour de justice des
Communautés européennes d'une
question préjudicielle, dans les conditions
prévues par l'article 234 du Traité
instituant la Communauté européenne ;
qu'en revanche, s'il n'existe pas de règle
ou de principe général du droit
communautaire garantissant l'effectivité
du respect de la disposition ou du
principe constitutionnel invoqué, il revient
au juge administratif d'examiner
directement la constitutionnalité des
dispositions réglementaires
contestées ; »,
2. Voir 9 juillet 1997, Association Ekin et
aussi Loi sur la liberté de la presse du 29
juillet 1881#Contrôle des publications
étrangères.
3. Considérant de principe de l'arrêt
Association AC ! : « Considérant que
l'annulation d'un acte administratif
implique en principe que cet acte est
réputé n'être jamais intervenu ; que,
toutefois, s'il apparaît que cet effet
rétroactif de l'annulation est de nature à
emporter des conséquences
manifestement excessives en raison tant
des effets que cet acte a produits et des
situations qui ont pu se constituer
lorsqu'il était en vigueur que de l'intérêt
général pouvant s'attacher à un maintien
temporaire de ses effets, il appartient au
juge administratif - après avoir recueilli
sur ce point les observations des parties
et examiné l'ensemble des moyens,
d'ordre public ou invoqués devant lui,
pouvant affecter la légalité de l'acte en
cause - de prendre en considération, d'une
part, les conséquences de la rétroactivité
de l'annulation pour les divers intérêts
publics ou privés en présence et, d'autre
part, les inconvénients que présenterait,
au regard du principe de légalité et du
droit des justiciables à un recours effectif,
une limitation dans le temps des effets de
l'annulation ; qu'il lui revient d'apprécier, en
rapprochant ces éléments, s'ils peuvent
justifier qu'il soit dérogé à titre
exceptionnel au principe de l'effet
rétroactif des annulations contentieuses
et, dans l'affirmative, de prévoir dans sa
décision d'annulation que, sous réserve
des actions contentieuses engagées à la
date de celle-ci contre les actes pris sur le
fondement de l'acte en cause, tout ou
partie des effets de cet acte antérieurs à
son annulation devront être regardés
comme définitifs ou même, le cas
échéant, que l'annulation ne prendra effet
qu'à une date ultérieure qu'il détermine ; »
4. Voir aussi 16 juillet 2007, Société
« Tropic Travaux Signalisation ».
Décisions disponibles sur
legifrance.gouv.fr
1. Arrêt Prince Napoléon
2. Arrêt Syndicat général des fabricants
de semoules de France
3. Arrêt Nicolo
4. Arrêt Koné
5. Arrêt Sarran, Levacher et autres
6. Arrêt Blanco .
7. Arrêt Cadot
8. Arrêt Casanova
9. Arrêt Terrier
10. Arrêt Lot
11. Arrêt Botta
12. Arrêt Syndicat des patrons coiffeurs
de Limoges
13. Arrêt Thérond
14. Arrêt Abbé Bouteyre
15. Arrêt Dame Cachet
16. Arrêt Rodière
17. Arrêt Despujol
18. Arrêt Chambre syndicale des
constructeurs de moteurs d'avions
19. Arrêt Bouguen
20. Arrêt Compagnie Générale des Eaux
21. Arrêt Veuve Aubry
22. Arrêt Société du journal « L'Aurore »
23. Arrêt Falco et Vidaillac
24. Arrêt Institution Notre-Dame du
Kreisker
25. Arrêt Rosan Girard
26. Arrêt Syndicat général des ingénieurs-
conseils
27. Arrêt Rubin de Servens
28. Arrêt Société « Maison Genestal »
29. Arrêt Ville Nouvelle-Est
30. Arrêt Société Anonyme « Librairie
François Maspero »
31. Arrêt Ministre de l'intérieur c/ Cohn-
Bendit
32. Arrêt Mme Menneret
33. Arrêt Compagnie Alitalia
34. Arrêt GISTI
35. Arrêt S.A. Rothmans International
France
36. Arrêt S.A. Philip Morris France
37. Arrêt Hardouin
38. Arrêt Marie
39. Arrêt Aquarone
40. Arrêt Président de l'Assemblée
nationale
41. Arrêt Commune de Venelles
42. Arrêt Saez
43. Arrêt Ternon
44. Arrêt Association AC !
45. Arrêt Danthony
46. Arrêt Pariset
47. Arrêt Commune de Néris-les-Bains
48. Arrêt Syndicat des propriétaires et
contribuables du quartier Croix-de-
Seguey-Tivoli
49. Arrêt Compagnie de chemin de fer de
l'Est
50. Arrêt Lafage
51. Arrêt Boussuge
52. Arrêt Gomel
53. Arrêt Camino
54. Arrêt Ministre de l'agriculture c/ Dame
Lamotte
55. Arrêt SAFER d'Auvergne c/ Bernette
56. Arrêt Association ornithologique et
mammalogique de Saône-et-Loire
57. Arrêt Société ATOM
58. Arrêt Pelletier
59. Arrêt Cames
60. Arrêt Tomaso Grecco
61. Arrêt Anguet
62. Arrêt Époux Lemonnier
63. Arrêt Regnault-Desroziers
64. Arrêt Couitéas
65. Arrêt Société anonyme des produits
laitiers « La Fleurette »
66. Arrêt Société « La cartonnerie et
imprimerie Saint-Charles »
67. Arrêt Caisse départementale
d'assurances sociales de Meurthe-et-
Moselle
68. Arrêt Commune de Saint-Priest-la-
Plaine
69. Arrêt Consorts Lecomte
70. Arrêt Demoiselle Mimeur
71. Arrêt Laruelle
72. Arrêt Delville
73. Arrêt Consorts Letisserand
74. Arrêt Compagnie générale d'énergie
radio-électrique
75. Arrêt Cofiroute
76. Arrêt Epoux V.
77. Arrêt Papon
78. Arrêt Gardedieu
79. Arrêt Compagnie nouvelle du gaz de
Deville-lès-Rouen
80. Arrêt Martin
81. Arrêt Compagnie des messageries
maritimes et autre
82. Arrêt Compagnie générale française
des tramways
83. Arrêt Société des granits porphyroïdes
des Vosges
84. Arrêt Compagnie de tramways de
Cherbourg
85. Arrêt Époux Bertin
86. Arrêt Ministre de l'agriculture c/
consorts Grimouard
87. Arrêt Abbé Olivier
88. Arrêt Winkell
89. Arrêt Téry
90. Arrêt Compagnie générale d'éclairage
de Bordeaux
91. Arrêt Dames Dol et Laurent
92. Arrêt Labonne
93. Arrêt Commune de Monségur
94. Arrêt De Robert-Lafrégeyre
95. Arrêt Chambre syndicale du
commerce en détail de Nevers
96. Arrêt Société des autobus antibois
97. Arrêt Deberles
98. Arrêt Jamart
99. Arrêt Demoiselle Bobard
100. Arrêt Caisse primaire « Aide et
protection »
101. Arrêt Dame veuve Trompier-Gravier
102. Arrêt Moineau
103. Arrêt D'Aillières
104. Arrêt Véron-Réville
105. Arrêt Dehaene
106. Arrêt Comité de défense des libertés
professionnelles des experts-comptables
107. Arrêt Société des concerts du
conservatoire
108. Arrêt Daudignac
109. Arrêt Syndicat régional des
quotidiens d'Algérie
110. Arrêt Tessier
111. Arrêt Barel
112. Arrêt Société « Le Béton »
113. Arrêt Société « Les films Lutétia »
114. Arrêt Société Frampar
115. Arrêt Canal, Robin et Godot
116. Arrêt Crédit foncier de France
117. Arrêt GISTI, CFDT et CGT
118. Arrêt Bereciartua-Echarri
119. Arrêt Royaume-Uni de Grande-
Bretagne et d'Irlande du Nord et
Gouverneur de la Colonie Royale de Hong-
Kong
120. Arrêt Commune de Morsang-sur-
Orge
121. Arrêt Société Lambda
122. Arrêt Association Ekin
123. Arrêt GISTI
124. Arrêt Société Million et Marais
125. Arrêt Didier
126. Arrêt Ministre de la défense c/ Diop
127. Arrêt Commune d'Annecy
128. Arrêt Mme Cheriet-Benseghir
129. Arrêt Commune de Valence
Décisions disponibles sur conseil-
etat.fr
1. Arrêt Mme Perreux
2. Analyse de la décision du 16 juillet
2007
3. Arrêt Mme Perreux
Décisions disponibles sur conseil-
constitutionnel.fr
1. décision n° 88-1082/1117
Autres documents
1. Arrêt Arrighi
2. Aramu
3. Monpeurt
4. conclusions du commissaire du
gouvernement.
5. L’identité légale des Juifs sous Vichy.
La contribution des juges , Philippe Fabre,
labyrinthe.revues.org, Numéro 7, 2000, p.
23-41
6. Le "statut des juifs" et les manuels en
usage dans les facultés de Droit (1940-
1944) : de la description à la légitimation
(Partie 1) , Dominique Gros, Cultures &
Conflits n°9-10 (1993), pp. 139-154
7. conclusions du commissaire du
gouvernement, rajf.org
8. Philippe Cossalter, « Pouvoirs de police
du maire et cultures OGM », Revue
générale du droit, no 3298, 2012
(ISSN 2195-3732, lire en ligne )
Bibliographie
Ouvrage thématique
Recueils de jurisprudence
Articles
Annexes
Articles connexes
Liens externes
Jurisprudence
Jurisprudence du Conseil d'État sur le
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administrative sur Légifrance
Grands arrêts
[1] du Conseil d'État sur le site de
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Analyse des grands arrêts du Conseil
d'État sur le site de celui-ci
Les immanquables du droit
administratif sur le site RAJF
Les grands arrêts du droit
administratif (comparaison des arrêts
choisis suivant les éditions récentes)
sur le site Affaires publiques
Sélection Sarroise de la Jurisprudence
Administrative Française
Conclusions
Conclusions de commissaires du
gouvernement sur le site RAJF