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Théo DERULLE, Lou BOJMAN, Léa PILOT, Anaïs GUITTET, Donatien TACONET
Le poteau doit supporter une charge équivalente de compression de 74,25 kN. Cette charge a
été calculée en prenant en compte le poids propre de la couverture et de la structure de l’abri,
ainsi que les charges temporaires dues aux conditions climatiques (vent et neige).
La contrainte 𝜎!"# dans l’âme du pied doit être inférieure à la limite d’élasticité de l’acier
utilisé, soit 𝜎!"# < 235 𝑀𝑃𝑎.
En effet l’acier utiliser est du S235JR ayant une limité d’élasticité de 235 MPa.
b) Simplifications de la géométrie
Le pied PBH120G a été modélisé sur Catia. Pour favoriser l’établissement d’un maillage
linéaire sur les parties fixées à d’autres éléments (sol et poteau), nous avons supprimé les
trous de fixation.
La pièce admet un plan de symétrie, nous pouvons donc étudier la moitié de la pièce.
III. Simulation
1.1) Le maillage
Nous avons établi un maillage tétraédrique linéaire de 2mm sur l’ensemble de la pièce car
cette taille permet une bonne qualité de maillage avec plus de 99% des éléments dans la
classe “bon”.
Nous considérons que la surface inférieure du pied est encastrée dans le sol car nous
considérons que les chevilles d’ancrage fixent parfaitement la platine inférieure en translation
et en rotation par rapport au sol.
Nous modélisons la symétrie par un glissement surfacique.
2. Résolution et solver
3. Post-traitement
Premier cas de charge : Application de la force uniquement sur la platine verticale de fixation
4. Discussion
A première vue, le modèle qui applique uniquement la force sur la platine horizontale est le
plus logique car le poteau en bois est fixé sur le pied seulement grâce à des broches. En effet
il n’y a pas de serrage, donc tout le poids de la structure est supporté comme si elle était
simplement posée sur la platine.
Mais au vu des résultat, les deux autres modèles paraissent plus vraisemblables car on a une
valeur de contrainte dans l’âme cylindrique plutôt élevé tout en restant inférieur à la limite
élastique ce qui est cohérent avec le résultat des étudiants qui ont écrit le rapport.
Néanmoins, les trois modèles montrent qu’il y a une concentration de contrainte supérieure
à la limite d’élasticité sur la zone de la platine. Il y a donc plastification et le pied se casse
sous le poids de l’abri.