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DISSERATION - Marivaux

« De nos jours, Marivaux fait partie des auteurs français les plus joués. On peut accentuer la face
sombre de son œuvre, comme dans Le Prince travesti, mis en scène par Jean-Louis Martinelli en
1988, où Frédéric se pendait à la fin, ou comme dans La Fausse Suivante, selon Yves Beaunesne,
en 2000, qui se terminait de manière sinistre. À l’opposé, de nombreuses troupes montent
Marivaux dans l’esprit du Théâtre Italien, renforçant l’héritage lumineux de la commedia
dell’arte, faisant la part belle aux lazzi* d’Arlequin, aux mimes, aux chants. On ne peut que se
réjouir de la variété des approches qui témoigne de la vitalité de Marivaux dramaturge et de
l’intérêt qu’il suscite toujours. » Françoise Rubellin
* lazzi : jeux de scène bouffons comiques

Vous montrerez comment la pièce des Fausses confidences ne déroge pas à cette règle de
l'ambiguïté des tonalités en vous appuyant sur votre lecture du texte et sur les mises en scène vues
en cours.

DISSERATION- Marivaux
« De nos jours, Marivaux fait partie des auteurs français les plus joués. On peut accentuer la face
sombre de son œuvre, comme dans Le Prince travesti, mis en scène par Jean-Louis Martinelli en
1988, où Frédéric se pendait à la fin, ou comme dans La Fausse Suivante, selon Yves Beaunesne,
en 2000, qui se terminait de manière sinistre. À l’opposé, de nombreuses troupes montent
Marivaux dans l’esprit du Théâtre Italien, renforçant l’héritage lumineux de la commedia
dell’arte, faisant la part belle aux lazzi* d’Arlequin, aux mimes, aux chants. On ne peut que se
réjouir de la variété des approches qui témoigne de la vitalité de Marivaux dramaturge et de
l’intérêt qu’il suscite toujours. » Françoise Rubellin
* lazzi : jeux de scène bouffons comiques

Vous montrerez comment la pièce des Fausses confidences ne déroge pas à cette règle de
l'ambiguïté des tonalités en vous appuyant sur votre lecture du texte et sur les mises en scène vues
en cours.

DISSERATION- Marivaux
« De nos jours, Marivaux fait partie des auteurs français les plus joués. On peut accentuer la face
sombre de son œuvre, comme dans Le Prince travesti, mis en scène par Jean-Louis Martinelli en
1988, où Frédéric se pendait à la fin, ou comme dans La Fausse Suivante, selon Yves Beaunesne,
en 2000, qui se terminait de manière sinistre. À l’opposé, de nombreuses troupes montent
Marivaux dans l’esprit du Théâtre Italien, renforçant l’héritage lumineux de la commedia
dell’arte, faisant la part belle aux lazzi* d’Arlequin, aux mimes, aux chants. On ne peut que se
réjouir de la variété des approches qui témoigne de la vitalité de Marivaux dramaturge et de
l’intérêt qu’il suscite toujours. » Françoise Rubellin
* lazzi : jeux de scène bouffons comiques

Vous montrerez comment la pièce des Fausses confidences ne déroge pas à cette règle de
l'ambiguïté des tonalités en vous appuyant sur votre lecture du texte et sur les mises en scène vues
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