Vous êtes sur la page 1sur 21

UE LPEG 51 : CONNAISSANCE DU GISEMENT

PEG 511 Ingénierie des forages II

1). Drilling Mud is a very important in the drilling operations. Discuss?


La boue de forage et une opération important pendant le forage. Discutez
(20pts)
PEG 512 Propriétés des fluides

PEG 513Caractérisation des réservoirs


PEG 514Tests et démarrage des puits
Réponse 1
Acide chloridrique, HCl
Acide fluoridrique, HF
- Acide Acetic, CH3COOH
Acide Formic, HCOOH
Sulfuric, H2NSO3H –
Chloroacetic, ClCH2COOH
Reponse 2
Le choix d’un acide et de tout additive pour une situation donnée dépend des caractéristiques spécifiques
du réservoirs Dans ce cas, on fait couler un puits initialement fermé généralement à un débit constant et
on mesure les variations (baisse) de pression en fonction du temps
Réponse 3
On distingue plusieurs formes de perméabilité
Perméabilité Absolue k, lorsque les pores sont saturés d’un seul fluide Perméabilité Effective Ke, lorsque
les pores sont pareillement saturés de ce fluide Perméabilité Relative Kr, c’est le rapport entre ke et k
Le rapport de la permeabilite relative K = Kè /K
Réponse 4
La loi de Darcy reste fiable pour des valeurs de débit et autres paramètres constants.
Reponse 5
Pour tout nouveau puits, le premier test reste le clean up. Ceci est une étape extrêmement importante
de la procédure de test, en ce qu’il déterminera d’un côté, s’il existe de quelconques restes ou débris
nocifs, laisser pendant le forage, dans l’optique de jfavoriser une capacité maximale de production.
UE LPEG 52 : INGENIERIE PETROLIERE
PEG 521Méthodes de production des HC II
- A : Manomètre

- B : vanne de curage

- C : vanne latérale supérieure

- D : Duse

- E : vanne maîtresse supérieur et inférieur

- F : tête de turbine

- G : tête de casing

- H : turbing ou tube de production

- I : parker ou bouchon annulaire

- J : LCT ou perforation

- K : séparateur

PEG 522Collecte et séparation des hydrocarbures


1. Outre les problèmes de corrosion interne et externe qui attaquent le plus souvent ces différentes conduites,
Quels sont selon vous d’autres problèmes auxquels font face les différents réseaux de collecte ? 2pts

Dans les réseaux de collecte, on rencontre les dépôts de plusieurs natures entre autres :
- Des sables, lorsque l’on exploite des formations gréseuses insuffisamment consolidées sans dispositif
efficace de contrôle des sables au niveau de la LCT
- Des sels, lorsque l’on produit des hydrocarbures accompagnés d’eaux de réservoir fortement salée
- Des paraffines et/ou asphalthènes dans le cas des huiles lourdes et suite à une baisse de température et
à un dégazage de l’huile
- Des hydrates, formés en présence d’eau liquide dans certaines conditions et qui sont responsables de
bouchages des lignes et d’arrêt de production.

2. Les moyens d’entretien des réseaux de collecte


- Utilisation des racleurs

L’envoi des racleurs dans les conduites pour chasser les dépôts est la méthode d’entretien la plus utilisée. Chaque
extrémité de la collecte est équipée d’une gare de racleurs, en amont pour son introduction dans la conduite et en
aval pour son retrait.

Le rythme de passage des racleurs (de plusieurs fois par jour à une fois par mois) est très variable en fonction de
l’importance des dépôts.
schéma type des gares racleurs et types de racleurs
- Injection d’eau et de produits chimiques

Cette technique s’opère dans le cas des dépôts des cristaux de sels sur les parois, plutôt que d’utiliser les racleurs,
on peut injecter de l’eau pour diluer ce sel, soit en continue soit momentané

On peut aussi injecter les produits chimiques de type dispersant pour éliminer la prise en bloc et l’adhérence sur
les parois, des composants lourds tels que les paraffines et les asphaltènes.

- Cas particulier des hydrates

Ce sont des cristaux qui se forment dans certaines conditions de température et de pression (T< 15 à 25° C pour p
> 30 bar environ) lorsque les hydrocarbures (principalement du méthane, du propane ou du butane), du dioxyde
de carbone, à du dioxyde de souffre se trouvent en présence d’eau liquide.
Une formation d’hydrates dans un ouvrage conduit très rapidement à l’obturation totale de la tuyauterie
et à l’interruption pure et simple de la production. Il est dont exclut d’envisager des installations d’exploitation qui
ne seraient pas protégées contre le risque de formation d’hydrates.

La méthode efficace de lutte contre la formation des hydrates dans les collectes consiste à injecter dans l’eau liquide
un inhibiteur d’hydrates, à savoir du méthanol ou du glycole, retardant la formation des hydrates. On parle de
l’inhibition des hydrates.

PEG 523 Activation des puits


1. Puits non éruptifs ou peu éruptif.
2. Pompe a tige, pompe centrifugeuse électrique immergée, pompe hydraulique, pompe vibratoire.
3. Le gaz-lift est une technique d’activation de puis qui consiste à envoyer les bulles de gaz dans le turbing à
travers les mandrins dans le but d’alléger la densité de la colonne d’effluent réduisant ainsi sa pression
hydrostatique.
4. On distingue le système fermé (le gaz issu du même puits est recompresser et réinjecté) et le système
ouvert (le gaz réinjecté provient d’une source extérieure).

On conseillerait le système fermé car on n’aura pas besoin d’une source de gaz externe.

PEG 524 Transport, Raffinage, Stockage, distribution des produits


1. Pour assurer la circulation du pétrole brut dans les pipes, on augmente la pression tous les 60 à 100 km à
partir des stations de pompage (relais).
2. Le stockage des ressources énergétiques est non seulement nécessaire pour compenser les fluctuations
d’approvisionnement dues à tout type d’aléas lors de la production, du transport et du raffinage ou
encore des variations de consommation qui dépendent notamment des conditions météorologiques
Le stockage est aussi stratégique pour assurer un minimum d’autonomie énergétique du pays
consommateur
NB le stockage se fait à toutes les étapes du cheminement du pétrole
UE LPEG 53 : ELEMENTS COMPLEMENTAIRES / OUTILS TRANSVERSES
PG 531 Méthodes numériques
L’algorithme suivant (dans Matlab) permet de résoudre le système précédent :

clear %effacer toutes les variables en mémoire dans Matlab


a=[-0.04 0.04 0.12 3;0.56 -1.56 0.32 1;-0.24 1.24 -0.28 0];a
x=[0 0 0]'; %x est le vecteur colonne de composantes xi qui est
initialisé ici
% 1er point pivot ligne 1 -calculs sur les lignes 2 et 3
b(1,:)=a(1,:)/a(1,1);
b(2,:)=a(2,:)-b(1,:)*a(2,1);
b(3,:)=a(3,:)-b(1,:)*a(3,1);b
% 2ème pivot ligne 2 - calculs sur les lignes 1 et 3
c(2,:)=b(2,:)/b(2,2);
c(1,:)=b(1,:)-c(2,:)*b(1,2);
c(3,:)=b(3,:)-c(2,:)*b(3,2);c
% 3ème pivot ligne 3 - calculs sur les lignes 1 et 2
d(3,:)=c(3,:)/c(3,3);
d(1,:)=c(1,:)-d(3,:)*c(1,3);
d(2,:)=c(2,:)-d(3,:)*c(2,3);d
%Solutions recherchées
x(1)=d(1,4);
x(2)=d(2,4);
x(3)=d(3,4);x

PEG 532Instrumentation et mesures


Corrige
Exo1

Exo 2
Erreur absolue : e=80.2-80=0.2kPa
Erreur relative : er=0.2/80=0,25%
PG 533Gestion des projets pétroliers
Réponse No 1 : Pollution de l’environnement par des fuites de pétrole incontrôlées, contamination par des
produits chimiques, (boue de forage, produits chimiques fuites de diesel…)

Réponse No 2 : les sismiques, L’évaluation des réservoirs (L’exploration)

le développement des puits, production.( L’exploitation )

Réponse No 3 : La SNH (Société Nationale des hydrocarbures) a pour mission de gérer les intérêts de l’Etat dans le
secteur pétrolier et gazier.

PEG 534 Géomatique/SIG photogéologie, Télédétection

Question 1 : rastérisation : passage de l’image vecteur à l’image raster ; Vectorisation : passage de l’image raster à
l’image vecteur

Question 2 : Analyse spatiale ; étude des objets dans un espace géographique par analyse de leur distribution,
leur voisinage dans un champ spatial à une résolution donnée. Elle permet de mieux appréhender l’organisation
des milieux, comprendre le fonctionnement spatial des milieux, prédire des informations en un point non mesuré.

Question 3 : trois grandes étapes sont à développer : l’interaction cible atmosphère, l’interaction cible capteur (s)
et le trajet capteur(s) stations de contrôle. Max 10 lignes.

Question 4 : La numérisation ou la digitalisation: elle consiste à faire évoluer un curseur sur un plan posé sur une
table à digitaliser et préalablement calé en coordonnées. La table est réceptive aux signaux électriques émis par le
curseur. La numérisation permet de récupérer la géométrie des objets disposés sur un plan ou une carte
préexistante. Le scannage des plans: il est plus rapide que la digitalisation manuelle. Il se fait avec un scanner. La
photogrammétrie aérienne, est utilisée de façon systématique pour constituer les cartes à moyenne échelle. Elle
est retenue également dans les pays dont la couverture cartographique et géodésique est déficiente et utilisée pour
la constitution de plans à grande échelle pour un coût qui peut être avantageux. L’altimétrie satellitaire: est un
moyen très commode de créer les données à introduire dans les SIG. Il s’agit en efet d’utiliser dans des conditions
particulières et rigoureuses, soit les photographies aériennes, soit les images enregistrées et transmises par
satellite. Les levés topographiques par utilisation d’un théodolite

Question 5: ArcMap ; ArcTool Box, arc Catalog


UE LPEG 54 : HYDROCARBURES ET ENVIRONNEMENT
PEG 541Installations pétrolières gazières et équipements
Réponse No 1 : Power System, Hoisting System, Circulation System, Rotary system, well control System.

Réponse No 2 : Mud pump circuit, BOP ( Blow Out Preventer)

Réponse No 3 : Rotary system which also gives torque to drill bit during drilling

PEG 542Sécurité ; Environnement et Réhabilitation des sites


Question 1
1. (i) gaseous pollutants,
2. (ii) persistent organic pollutants,
3. (iii)particulate matter and
4. (iv) trace element and/or heavy metals.
Question 2
The major environmental issues arose primarily from
1. The improper disposal of large volumes of petroleum–derived hazardous waste streams, such as oily
and toxic sludge , equipment failure, oil spills/ operational discharges and sabotage of petroleum
facilities.
2. In addition, accidental discharges from abandoned oil wells that were orphaned or not correctly
plugged and
3. Spills from oil bunkering (hacking into the pipeline to steal crude oil for illegal trade or ‘artisanal
refining’) pose serious environmental threats.
Question 3

Any of the problems cited in (1) about should be considered

Example
Gaseous pollution

Gas flaring and venting are widely used in the oil and natural gas industry to dispose of associated natural
gases for safety reasons during petroleum development operations and/or where no infrastructure exists to
bring it to market. The process of flaring (burning) and venting (releasing into the atmosphere without
burning) of petroleum associated gas has been dramatically curbed in developed countries. Although
Norway has adopted flaring reduction measures and introduced a carbon tax, gas flaring and venting
reduction strategies in Nigeria seems ineffective over the past years.

Gas flaring and venting


The extent of economic loss due to gas flaring and venting is estimated at $2.5 billion annually in a country
like Nigerial and enormous economic benefits would have accrued to the Nigerian government from
harnessing this energy resource. Gas flaring and venting associated with petroleum exploration and
production generate complex consequences in terms of energy, human health, natural environment, socio–
economic environment and sustainable development.
Flaring of associated gas mainly emits carbon dioxide (CO2), carbon monoxide (CO) and a variety of air
pollutants, such as VOCs (which include carcinogens and air toxics), nitrogen oxides (NOx), sulphur
dioxide (SO2), toxic heavy metals, and black carbon soot. Gas flaring and venting in the oil–producing
areas and vehicular traffic emissions (COx, HC, NOx, SO2 and particulate matters) contribute to
atmospheric pollution. In spite of decree 99, which bans unauthorized flaring?
UE IUT GCI51: SCIENCES APPLIQUEES
GCI 511 Hydrogéologie
1) D 4) D

2) D 5) D

3) D 6) B

GCI 512MATLAB et méthodes numériques


L’algorithme suivant (dans Matlab) permet de résoudre le système précédent :

clear %effacer toutes les variables en mémoire dans Matlab


a=[-0.04 0.04 0.12 3;0.56 -1.56 0.32 1;-0.24 1.24 -0.28 0];a
x=[0 0 0]'; %x est le vecteur colonne de composantes xi qui est
initialisé ici
% 1er point pivot ligne 1 -calculs sur les lignes 2 et 3
b(1,:)=a(1,:)/a(1,1);
b(2,:)=a(2,:)-b(1,:)*a(2,1);
b(3,:)=a(3,:)-b(1,:)*a(3,1);b
% 2ème pivot ligne 2 - calculs sur les lignes 1 et 3
c(2,:)=b(2,:)/b(2,2);
c(1,:)=b(1,:)-c(2,:)*b(1,2);
c(3,:)=b(3,:)-c(2,:)*b(3,2);c
% 3ème pivot ligne 3 - calculs sur les lignes 1 et 2
d(3,:)=c(3,:)/c(3,3);
d(1,:)=c(1,:)-d(3,:)*c(1,3);
d(2,:)=c(2,:)-d(3,:)*c(2,3);d
%Solutions recherchées
x(1)=d(1,4);
x(2)=d(2,4);
x(3)=d(3,4);x
GCI 513Photogrammétrie – SIGGPS
Question 1 : représentation en mode raster, représentation en mode vecteur. On peut avoir : Les données
surfaciques : comme un parcellaire ou tout autre zonage thématique, sont représentés par des polygones. Les
données linières ou filaires : comme les réseaux techniques, les cours d’eau ou les voies, sont représentés par des
lignes. Les données ponctuelles : comme les puits, les points de sondage, les sièges d’exploitation, sont
représentés par des points
Question 2 : pixellisation : perte de résolution d’une image raster ; Rastérisation : passage de l’image raster à
l’image vecteur.

Question 3 : Le principe de repérage GPS s’appuie sur le principe de la triangulation.

Etape 1: On considère la distance d séparant un satellite d’un récepteur GPS. Sachant que le satellite a une position
X précise et définie dans un espace tridimensionnel, l’ensemble des points possibles où pourrait se situer
l’utilisateur GPS est la sphère de centre le satellite et de rayon d.

Etape 2: de la même manière on fait intervenir un deuxième satellite qui connaît la distance le séparant du
récepteur GPS. L’intersection des deux sphères forme un cercle. Ce cercle représente l’ensemble des positions que
peut avoir le récepteur GPS.

Etape 3: la précision du GPS n’étant pas suffisante avec 02 satellite, on se sert d’un troisième satellite. La démarche
reste identique. On obtient alors 2 points possibles. Dans le cas où l’utilisateur se situe à la surface de la Terre seul
un des 2 points est cohérent. Ainsi on peut déduire sa position exacte en éliminant le point un résultat incohérent.

Question 4 :
GCI 514 Sciences architecturales
1. Les trois tendances sont :
- La spécialisation fonctionnelle est généralement réservée aux bâtiments abritant certaines
fonctions très spécifiques telles que les bâtiments officiels, les théâtres, les salles de concerts
philarmoniques…. à l’échelle de la ville ou laboratoires spécifiques, salle spécialisée…. à
l’échelle du bâtiment.

- L’universalité des bâtiments est largement utilisée pour les bâtiments administratifs,
commerciaux, de culture et loisirs ex salle d’exposition ou de foire à l’échelle de la ville ou
bien salle polyvalente dans un lycée ou dans un centre culturel, cour de récréation comme
terrain de sport dans une école.

- Quant aux regroupements des espaces, ils concernent le partage d’un même espace par plusieurs
bâtiments aux fonctions différentes ex : des terrains de sport à usage des lycéens ou étudiants et
des citoyens d’une commune…..à l’échelle de la ville ; un foyer utilisé par les usagers d’une salle
de cinéma et par ceux d’une médiathèque.

2. Eléments d’un avant-projet d’architecture


Un avant-projet comprend :
- Une coupe de principe;
- La vue en plan de chaque étage;
- L’étude de la toiture;
- Les élévations des façades;
- Des devis descriptifs sommaires;
- Des perspectives sont souvent ajoutées.
- Tous ces dessins sont généralement dessines aux
instruments, à une échelle 1/100.
L’avant-projet définit sera nécessaire pour dresser les plans d’un projet définitif. On ne peut pas réaliser
une construction à partir d’un avant-projet.

3.
Un projet définitif comprend :

o Le plan de masse et d’implantation. Ce dernier est élaboré à partir du plan de bornage. Il


montre l’emplacement du bâtiment;
o Plan des fondations avec indication des canalisations d’évacuation des eaux pluviales et
ménagères ;
o Plan du rez-de-chaussée ; o Plan des étages ;
o Plan des toitures ou toiture-terrasse avec les dimensions de la toiture en projection
horizontale, le sens d’écoulement des eaux de pluie (pente min. de 2%), le diamètre des
descentes d’eau pluviales ;
o Coupes ;
Façades avec leur orientation ; o Détails ; o Devis descriptifs, estimatifs et quantitatifs détaillés.

4- les Configurations les plus courantes pour l’aménagement d’une cuisine sont :

- Configuration linéaire
- Configuration parallèle
- Configuration en L
- Configuration en U
UE IUT GCI52 : SCIENCES ET TECHNIQUES
GCI521Climatisation et confort intérieur
1 – Calcul de la pression PV en unités SI
Sachant que 1 mmHg = 1,013 bars
Pv = 10,8 x 1,013 = 10,94 ≈ 11𝑏𝑎𝑟𝑠 soit 11.105Pa

𝑷𝑽 = 𝟏𝟏. 𝟏𝟎𝟓 𝑷𝒂
2 – Calcul de la masse d’eau à l’état vapeur
D’après l’équation des gaz parfaits on a :
𝑚𝑉 𝑅 𝑚𝑉
𝑃𝑉 . 𝑉 = 𝑛𝑉 . 𝑅𝑇 = . 𝑅𝑇 = 𝑚𝑉 (𝑀 ) . 𝑇 avec 𝑛𝑉 =
𝑀𝑉 𝑉 𝑀𝑉

𝑀𝑉 . 𝑃𝑉 . 𝑉
𝑚𝑉 =
𝑅. 𝑇
1600 𝑥 11.105 𝑥 18.10−3
𝑚𝑉 = = 1,29. 104
8,314 .(20+273,15)

𝒎𝑽 ≈ 𝟏, 𝟑 𝟏𝟎𝟒 𝑲𝒈 𝑽𝒂𝒑𝒆𝒖𝒓𝒔

GCI522Géomorphologie et climatologie
1.
a) Classification pédologique les sols sont classés d’après le profil qu’ils présentent (differents horizons A
B C)
b) Classification géologique une classification génétique
c) Classification géotechnique : elle est basée sur la granulométrie (utilisation de la classification USCS)
2. Sol ferralitique voir ci dessous

Marking guide

GCI523 Ingénierie géologiques


1. Voir tableau

D > 200mm
- les blocs rocheux 20mm< D < 200mm
- les cailloux 2mm < D < 20mm
- les graviers 0,2mm < D < 2mm
- les sables grossiers 20 µm < D <0,2mm
- les sables fins
- les silts ou limons 2µm < D <20µm
- les argiles D < 2µm
2.
3. kaolinite, Montmorillonite et illite
4. Les roches du littoral camerounais sont essentiellement des roches sédimentaires qui peuvent être
particulaires (sables) ou cohérentes (grès).

GCI524 Planification, Coûts, devis


Question de cours
La matrice RACI
La matrice RACI est un des outils de planification de projet/ sa particularité est qu’elle désigne dans le
domaine du management une matrice de responsables susceptibles de jour un rôle dans l’exécution et la
conduite du projet.
La matrice RACI indique les rôles s te les responsables au sein de chaque processus et activité lle
représente donc l’organisation du travail en reliant dans un tableau commun la structure de découpage de
projet.
RACI signifie :
Responsable (Réalisateur), Accountance, (Gérant, Approbateur, Responsable), Consulted (Consulté) et
Informed (Informé).
La matrice RACI donne une vision claire de qui fait quoi dans le projet et permet ainsi d’éviter toute
redondance de rôles et une dilution de responsabilité.
Les lignes de la matrice référencient les activités identifiées et les colonnes les rôles (personnes
impliquées dans le ^projet).
Le ou les R réalise(nt) l’action. (le A peut aussi jouer le rôle de R). Il doit y avoir au moins un R pour
chaque action.
Le A est celui qui doit rendre des comptes sur l’avancement de l’action. Il y toujours un et un seul A pour
chaque action.
Les C sont les entités (personnes ou groupes) qui doivent être consultées.
Les I sont les entités qui doivent être informées.
Exercice
1) Tableau de répartition des charges indirectes

Charges Totaux Centre Atelier 1 Atelier 2 Atelier 3


approvisionnement
Chagres 50 000 000 50 000 000
d’approvisionnement
Charges de personnel 12 000 000 3 000 000 3 000 000 3 000 000 3 000 000
Charges de distribution 10 000 000 - 4 000 000 2 500 000 3 500 000
Autres charges 2 500 000 250 000 1 000 000 750 000 500 000
Total 74 500 000 53 250 000 8 000 000 6 250 000 7 000 000
Charges centre 0 21 300 15 975 000 15975000
approvisionnement 000
TOTAL 37 300 28 475 000 29 975
000 000

2) Calculer le résultat par produit pour la période considérée.

P1 P2 P3
Charges (1) 95 750 000 37 300 000 28 475 000 29 975 000

Quantités 45 000 unités 30 000 unités 74 000 unités


Prix unitaires de 500 FCFA 1500 FCFA 1000 FCFA
vente
Ventes (2) 141 500 000 22 500 000 45 000 000 74 000 000
Résultats (2) – 45 750 000 -14 800 000 16 525 000 44 025 000
(1)
UE IUT GCI53 : TECHNOLOGIE
GCI531Equipements de terrain et technologie
➢ Pour terrasser 1500 m3 de terre en place, le matériel disponible au parc est un ensemble
d’engin de caractéristique ci-dessous :
➢ Pelle mécanique : pour l’excavation des terres (grande masse), sa cadence théorique est
Cth=40m3/h de terre en place ; son rendement est fixé à 0,9.
➢ Caml,lion : charge utile Cu = 18 tonnes, vitesse moyenne 30 km/h ; on admet que la densité des
terres foisonnées est de d=1,2 ; le coefficient de foisonnement est de 1,25 ; la décharge des déblais
est située à 15 km ; le temps de déchargement est de 4 min et la durée journalière productrice est de
7 heures.
1) Indiquer les quatre (04) types d’équipement d’une pelle mécanique. Proposer l’engin
approprié à ce terrassement et justifier votre réponse. 4pts
En butte ; en retro caveuse ; en dragline et en benne preneuse.
2) Calculer le volume des terres à acheminer à la décharge si on estime que 42 m3 sont mises à la
réserve pour les remblais futur des alentours de l‘ouvrage à la fin du gros œuvre. 3pts
Vt=(1500×1.25)-42=1833 m3

3) Calculer le nombre de camion nécessaires si on veut finir ce travail en trois jours au plein emploi
de la pelle. 8pts
• Volume transporté par jour : Vj=Vt/Vc=1833/3=611m3/j

• Capacité des camions : Ca= Cu/d=18/1.2=15m2

• Temps de chargement : Tc=Ca×60/R=15×60/(40×0.9)=25min

• Durée du cycle : Dc=25+4+ (15/30)×2×60=89min

• Nombre de voyage des camions par jour : Nvoy=Dj/Dc=7×60/89=4,71=5 voy/cam

• Volume transporté par un camion par jour : Vjc=Nvoy×Ca=5×15=75m3/cam/j

• Nombre de Camion : Nca=Vj/Vjc=611/75=8.14=9 camions


4) Représenter graphiquement le cycle du 1er tour des camions. 3pts

5) En déduire du graphe le temps d’attente des camions (Tac). 2pts

GCI532 Techniques de laboratoire


ESSAI CBR
Définition et but
L’essai CBR (California Bearing Ration) est utilise pour apprecier l’aptitude d’un sol a
supporter les charges donc sa portance. Cet essai d’origine americaine fut
longtemps employe
pour la classification des sols utilisés pour les couches de base des chaussées flexibles.
L’indice portant CBR (ou Californien) qui en résulte permet de déterminer les
dimensions des chaussées.
.
Principe
Le principe de l’essai CBR consiste a enfoncer a vitesse constante dans un
échantillon
de matériau préparé selon une procédure normalisé (teneur en eau et énergie de
compactage
fixé) un piston métallique dont les dimensions sont fixées. Il s’agit donc d’un essai mécanique de
pénétration a vitesse constante. L’Indice Portant Californien
ou CBR qu’on en déduit est donné par le rapport exprimé en pourcentage entre:
la pression obtenue sur
l’échantillon teste a celle obtenue sur un matériau de référence pour un
même enfoncement.
La dimension maximale des grains constitutifs du matériau testé ne doit pas dépasser 20mm.
Appareillages
Appareillage spécifique
1 Presse hydraulique de 6 000 daN à commande manuelle ou électrique
2 Indicateur de vitesse 1.27 mm/mn
3 Piston CBR cylindrique de 19.3 cm2 de section et 20 cm de longueur
4 Moules standard CBR avec hausses amovibles. Les embases du moules étant
perforées.
5 Disque d’espacement avec poignée amovible
6 Plaque perforée ou plateau de gonflement
7 Anneaux de surcharge de 2.5 kg et de 150 mm de diamètre, fendus ou ronds avec un trou
central de 52 mm de diamètre
8 Support de comparateur pouvant se fixer soit au moule soit au poinçon.
9 Comparateur de 10 mm de course gradué au 1/100e
10 Dame de compactage de 4.540 kg de hauteur de chute 45.7 cm
11 Bâti de charge avec dispositif d’avance
12 Étuve de dessiccation ventilée à température réglable à 105 °C.

Accessoires
1 Dispositif de mesure de la charge (anneau dynamométrique ou cellule de pression) ;
2 Récipient pour imbibition des éprouvettes ;
3 Balances ;
4 Récipients, tamis spatules……etc.
Procédure d’essai

1 la teneur en eau optimale et la densité sèche optimale à l’essai Proctor


Modifie du matériau constitutif de l’échantillon sont connues a ce stade.
2 Écrêté le matériau au tamis de 20 mm et les refus éventuels sont remplacés par un
poids équivalent de la fraction 5 – 20 mm de ce même matériau.
3 Le matériau ainsi écrêté et éventuellement reconstitue est sèche a l’etuve
pendant au moins 24 heures. Une fois le matériau séché on le laisse refroidir pendant
quelques heures.
4 Pulvériser a la main le matériaux ainsi sèche afin d’écraser les mottes de terre.
5 Prendre 6 kg de ce matériau pour le compactage dans un moule Proctor.
6 Humidifier soigneusement à la teneur en eau optimale (optimum Proctor
Modifié)
7 Préparer un moule CBR au fond duquel l’on a placé un disque d’espacement
(disque plein dont on mesurera l’épaisseur).
8 Peser le moule sans sa hausse. Soit T P le poids de ce moule.
9 Placer la hausse sur le moule CBR

GCI533 Génie du Bâtiment


Portique autostable : structure capable d’assurer sa propre stabilité et son propre
contreventement
Contreventement : ce sont des éléments de structure permettant d’assurer la
stable
transversale
Ductilité : c’est la capacité d’un corps à résister à une déformation plastique
Echappée : C’est la hauteur minimale à franchir d’un escalier
2) On arrose les parpaings pour régulariser la prise du liant (ciment)
3) les différents types de bâtiments sont :
Bâtiment de type A (Usage d’habitation)
Bâtiment du type B (Bureau)
Bâtiment du type C (Lieu de réunion)
Bâtiment du type D (commerce)

4) les différents types de balcons sont :


Bacons en béton armé,
Balcon en métal
Balcon en bois
GCI534 Stabilité des constructions et des structures et génie parasismique

Correction ECGCI534
1. a)
2. c)
3. b)
4. b)
5. b)
6. c)
7. b)
8. b)
9. a)
10. b)
UNIVERSITAIRE DE DOUALA
INSTITUT UNIVERSITAIRE DE
TECHNOLOGIE DE DOUALA

DEPARTEMENT – GENIE CIVIL


Semestre 5 Année académique 2020-2021

UE IUT GCI54 : ACTIVITES PROFESSIONNELLES


GCI541Urbanisme et environnement
1. Les différents règlements d’urbanisme sont :
➢ Règlement de zonage
➢ Règlement de lotissement
➢ Règlement de construction
➢ Règlement sur les plans d’aménagement d’ensemble
➢ Règlement sur les plans d’implantation et d’intégration architecturale
2. Les acteurs du développement urbain au Cameroun sont classés en deux
catégories :
➢ Les acteurs institutionnels : il s’agit notamment ici du MINDUH et du
MINDAF
➢ Les acteurs non institutionnels : il s’agit des ONG et des partenaires
multilatéraux

3. La planification territoriale traduit une vision politique pour un territoire à


plus ou
moins long terme. Son objectif principal est de faire émerger des projets de
construction et d’aménagement tout en préservant et en améliorant le cadre de
vie
des citoyens. La planification territoriale repose sur les documents d’urbanisme
et
des outils règlementaires.

4. L’urbanisme durable recouvre d’emblée de multiples dimensions :


techniques,
économiques, écologique, sociale et plus largement culturelle. Il s’agit de penser
et de faire la ville autrement, de créer un autre modèle d’aménagement et de
développement urbain, mais également , d’inventer d’autres modes de vie, les
façons d’habiter, de se déplacer, de consommer…
GCI542Réparation et maintenance des bâtiments
1. a)
2. a)
3. a)
4. a)
5. a)
UNIVERSITAIRE DE DOUALA
INSTITUT UNIVERSITAIRE DE
TECHNOLOGIE DE DOUALA

DEPARTEMENT – GENIE CIVIL


Semestre 5 Année académique 2020-2021

6. A : a, b, c, d B : e, f ( 3 pts)
7. a)
8. a)
GCI543 DAO/CAO

CORRIGE DU CONTROLE CONTINU N°2 DE DAO/CAO

1. Après avoir indiqué comment on l’appelle, Compléter le schéma suivant : (7pts)

C’est l’espace de travail


2. Donner la différence entre les coordonnées absolues cartésiennes et les coordonnées
relatives cartésiennes. (6pts)
Coordonnées absolues cartésiennes : d’un point 0,0 le point suivant est 100,0 par exemple
Coordonnées relatives cartésiennes : d’un point 0,0 le point suivant est @100,0 par exemple
UNIVERSITAIRE DE DOUALA
INSTITUT UNIVERSITAIRE DE
TECHNOLOGIE DE DOUALA

DEPARTEMENT – GENIE CIVIL


Semestre 5 Année académique 2020-2021

3. Ecrire le programme permettant de dessiner la figure suivante en coordonnées relative


cartésienne relative (7pts)

Vous aimerez peut-être aussi