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2.4 LA QUALITÉ 5
2.5 L’INSPECTION5
2.6 LA CONFORMITÉ 5
2.8 L’ASSURANCE 5
Formations
- Formation sur la protection des Données à Caractère Personnel (DCP)
- Formation sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme
(LBCFT)Contrôle Interne - Pilotage des contrôles de niveau 2 ( arrêtés de caisse,
contrôles GAB, conformité KYC/KYA, contrôles comptables, contrôles opérationnels )
- Élaboration de reportings à l’attention des entités dirigeantes (CODIR, Groupe
Orange…) - Contribution aux missions d'audit AML/CFT, d'audit BCEAO - Réalisation
de visites de contrôle du réseau de distribution (Abidjan et Intérieur de la Côte
d'Ivoire) - Préparation des comités relatifs au contrôle interne - Formulation et suivi
des recommandations - Revue de procédures opérationnelles Gestion des risques -
Analyses de risques de projets, offres et services - Mise à jour des cartographies de
risques existantes - Contribution au déploiement des activités de gestion des risques
Formations - Formation sur la protection des Données à Caractère Personnel (DCP) -
Formation sur la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du
Terrorisme (LBCFT)
Différents types d'activités de contrôle servent à maîtriser les multiples risques auxquels
doit faire face une organisation. À la fin de ce chapitre, vous saurez les identifier, et
utiliser chacun de manière appropriée. Enfin, ce chapitre présente une vue d'ensemble
du processus d'évaluation du système de contrôle interne.
Même si tous les cadres de référence évoqués dans l'encadré 6-2 renferment des
éléments de contrôle interne, ceux qui sont les plus reconnus au niveau mondial par le
management, les comptables, les auditeurs externes et les professionnels de l'audit
interne sont :
Il est axé sur la réalisation d'objectifs relevant d'une ou plusieurs catégories qui
se recoupent - objectifs liés aux opérations, au reporting et à la conformité ;
Il s'agit d'un processus qui repose sur la mise en œuvre de tâches et d'activités
continues. Il constitue un moyen et non une fin en soi ;
Il est mis en œuvre par des personnes : il ne repose pas simplement sur un
ensemble de règles et de manuels de procédures, de documents et de systèmes ;
il est assuré par des personnes œuvrant à tous les niveaux de l’organisation ;
Il permet à la Direction générale et au conseil d'obtenir une assurance
raisonnable, et non une assurance absolue ;
Il est adaptable à la structure de toute entité. Il offre une certaine souplesse
d'application pour l'ensemble de l'entité ou une filiale, une division, une unité
opérationnelle ou un processus métier en particulier. »
« En effet, ceux qui le souhaitent peuvent par exemple se focaliser sur le contrôle interne
relatif au reporting ou à la conformité aux lois et règlements. De même, il est possible de se
concentrer sur les contrôles visant des unités ou des activités spécifiques ». Une organisation
peut aussi choisir de se focaliser sur son système global de contrôle interne.
Le référentiel [COSO] établit trois catégories d'objectifs, ce qui permet aux organisations
de prendre en compte différents aspects du contrôle interne :
3.2 L’ AU DI T EX TE RN E
3.5 L’ I NS P EC TI ON
3.8 L’ AS S U RAN CE
Un processus de contrôle interne analyse les risques liés à l’ensemble des activités de
l’établissement et propose des actions pour les couvrir (3 étapes).
Pour que le dispositif soit efficace, il faut commencer par répertorier l’ensemble des
activités de l’établissement.
Pour évaluer les risques, il faut ensuite mesurer leur importance et leur fréquence. En
pratique, il s’agit, pour chaque risque identifié, de croiser le degré d’impact financier
(conséquences financières) avec la probabilité d’occurrence (probabilité de survenance)
et de donner une note d’évaluation globale du risque. Par exemple, il sera nécessaire de
couvrir un risque avec un degré d’impact financier important même si la probabilité
d’occurrence est faible.