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SOMMAIRE :

Introduction :
I. Généralités :
1. Définition :2. Historiques des routes au Maroc :3. Situation
du projet :4. Objectif du projet :
II. Normes géométriques :
1. Choix de la catégorie :2. Caraqutéristiques géométriques en
tracé en plan et en profil en long :
3. Distance d’arrêt
 :4. Distance de sécurité entre deux véhicules :5. Gestionnaire
des réseaux routiers au Maroc :
III. Terminologie de la route :
1. Structure de chaussée :2. Chaussée :3. Accotement :4. Plat
forme :5. Fossé :6. Remblais, déblai :7. Talus :
 
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8. Assiette :9. Emprise :
IV. Les Etapes fondamentaux d’études d’un projet routier 
 :
1. Reconnaissance du terrain :2. Avant projet sommaire
(A.P.S) :3. Avant projet détailler (A.P.D) :
4. Projet d’exécution
 :
V. L’étude des éléments d’étude d’un projet routier 
 :
1. Tracé en Plan :2. Profil en long :3. Profil type :4. Profil en
travers :
VI. Opérations topographique :
1. Moyens humain, matériels et logiciel utilisé :2. Implantation
planimétrie3. Implantation altimétrie :4. Calcules des volumes
de terrassement :
CONCLUSION………………………………………………
…………
 
 
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Remerciements :
A mes chers parents à qui je dois la vie.
A ma famille qui m’a toujours encouragé et soutenu. A
mes amis avec lesquels j’ai eu le
plaisir de partager ma vie estudiantine. A mes
enseignant Mr. Ohajou Mohand et Mr.Outefga Tarik
qui m’ont prodigués leur savoir et conseils
.
Introduction
Le
développement d’un pays, d’une province ou ville est
basé sur la quantité et la qualité de
ces infrastructures en particulier les infrastructures
routières qui réhabilitées et entretenues
permanant en fin d’assurer la libre circulation des
personnes et de
leurs biens. Mais
aujourd’hui, on existe à un blocage des échanges
socioéconomiques suite au mauvais état
de ces infrastructures. Face à cela Nous allons
également définir la route moderne commeétant « un
espace correctement aménagé pour recevoir un ou
plusieurs courants decirculation construite dans le
respect des règles.
Le mot route vient du mot latin « viarupta » qui
signifie « voie frayée » c’est donc une voie
de communication terrestre permettant de relier un
point à une autre, un village à un autre.Permettre
aussi la circulationdes véhiculesà roues. Ce terme
s'applique plutôt aux voiesimportantes situées en rase
campagne. Dans les pays vastes et peu peuplés.La
construction routière comprend toutes les opérations
du processus de l'établissement desvoies de
circulation automobiles en zones urbaines, rurales ou
forestières. Cetteconstruction est régie par des
normes visant la sécurité des usagers. De plus en plus,
un desfacteurs les plus importants
dans l'établissement de nouveaux corridors routiers
est l'impactque la nouvelle route aura
sur l'environnement et surtout sur le système
hydrologique local.Afin de bien planifier un projet de
construction routière, il est nécessaire de
connaîtredifférents facteurs tels que le volume de
trafic et la durée de vie de l'ouvrage. Au Maroc,
laroute représente le premier mode de transport pour
90 % des Individus et catalyse 75 % dutransport de
marchandises.
Ainsi, les projets d’infrastructure routière et
d’équipements de
proximité Occupent une place de choix au sein des
différents chantiers ouverts ou
Programmés au Maroc, aussi bien en milieu urbain
qu’en zone rurale.
 Le secteur représente6 % du PIB et emploie 10 % de la
population active urbaine. L
e Maroc dispose d’un réseauroutier d’environ
60 000 km, dont 41 000 km de routes goudronnées
Plus de 5 300 ponts.E
n 2014, le réseau autoroutier s’étendait sur plus de
1 500 km.
 
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La gestion et la responsabilité du
réseau sont partagées entre l’Etat, les communes
et les
municipalités.Les dégradations de chaussées ne
cessent pas du fait des durées de vie des routes
quitouchent à leur fin. Elles sont donc constamment
renouvelées. Peu de nouvelles routes sontcrées.
C’est pourquoi intervient à présent le terme de
déconstruction des ancienneschaussées avec des
objectifs d’économie des matériaux, tout en
cherchant à être le plus
compétitif du côté des entreprises.
Dans ce contexte, ce projet de fin d’études à donc
pour but d’analyser les techniques de
valorisation les projets de routes. Ces techniques
se sont développées et deviennent demieux en
mieux maîtrisées par les entreprises de travaux
publics.
I. Généralités :
 
1. Définitions :
 
La topographie routière
 :cette topographie est liée aux travaux des voiries,
ce type de
topographie s’agit de faire un regard furtif du
terrain, elle est
nécessaire pour laconnaissance des terrains dont en
veut réalisera la voie,
ces limites ces reliefs …
 Dans le domaine routier, La topographie est
une phase indispensable des études routières,elle est
basée sur des opérations de mesure, de calcul et de
dessin afin de reproduire sur lepapier des détails du
terrain, la topographie constitue la phase import
ante de l’étude
technique des tracés et doit reproduire aussi
fidèlement que possible la bande du terrain ouse
développe le tracé projeté et ses variantes et
doit tenir compte des exigences de la
construction des projets routiers et principalement
l’aspec
t géométrique des tracés routiers. 
Projet routière :
Le projet routier s'applique aux voies importantes
situées en rasecampagne. Il offre à chacun la
possibilité d'être relié aux autres. Il consiste de
réalisation
d’trajet pour des intérêts déférents.
Normes géométriques
:
 
elles dépendent de plusieurs facteurs
importantsParmi lesquels, le relief et les contraintes
locales .Les caractéristiques géométriquesrésultent
de ce choix lequel implique le Respect des normes
associées à la catégorie de la
route et le maintien d’un
 Niveau élevé de sécurité (progressivité, continuité et
compatibilitédes Caractéristiques géométriques).
Terrassements
 :Le terrassement est le travail consistant à déplacer
des quantitésimportantes de matériaux (sols, roches,
sous-produits,etc.) dans divers buts. Leremaniement
des terrains naturels entraîne une modification
généralement définitive de latopographie et du
paysage, en créant des ouvrages en terre soit
en remblai soit en déblai.
2. Historiques des routes au Maroc :
 
- Historique :
 
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Le
réseau routier marocain
 est constitué de l'ensemble des voies
decommunicationterrestres permettant
le transportpar véhiculesroutiers, et en particulier,les
véhicules motorisés.
Protectorats français et espagnol :
Dès le début d’année 1912, et pendant le Protectorats
français et espagnol, Le premier
enjeu est d
e permettre la circulation rapide de troupes des
ports de l’Atlantique aux confins
orientaux du pays.
Dix ans plus tard
, l'objectif est dépassé et plus de 2 700 kilomètres
de routes ont été
réalisés. Le premier tronçon va de Casablanca à
Rabat. C’est le point de départ de l’axe
stratégique qui, en passant par Fès et la trouée de
Taza, rejoint Oujda au bout de 700kilomètres.
Dès le début des années 1920
 Casablanca, El Jadida(Mazagan), Safi et Essaouira
(Mogador)sont reliées entre elles par une route
littorale qui sera prolongée plus tardivement
versAgadir.De chacun de ces ports, on peut rejoindre
directement Marrakech qui se trouve au centre
d’un réseau en étoile mais, bien qu'alors la ville la plus
peuplée du Maroc, elle ne sera reliée
à Fès par une route principale qu'à la fin des années
1930
De l'indépendance aux années 1990
 :Le Maroc redevient indépendant officiellement le
2 mars 1956 à la suite des accords établisavec la
France puis il reprend le contrôle de la zone
de Tanger, alors une des premièresréalisations est la
construction en 1957 de la route reliant sur 63 km
Taounate à Kétama,
traversant le cœur du massif du Rif et opérant ainsi
la jonction entre les anciennes zones
française et espagnole du protectorat.Les
réalisations qui suivront de 1957 à 1962, soit plus de
900 km de routes dans le sud de
l’Atlas (régions d’Agadir, Ouarzazate, Errachidia,
Bouarfa) seront réalisées à l'aide de gros
engins de terrassement.
La construction de l’autoroute Rabat
-
Casablanca a débuté dans l’année 1970, pou
r finir en
1986. Le choix du péage comme mode de financement
l’a emporté.
 
En 1973 est créée la Direction des Routes et de la
Circulation Routière (DRCR), puis l’annéesuivante une
réorganisation de l’entretien routier conduit à
remplacer les cantons par de
s
brigades mobiles d’intervention.
 
Du 1990 à aujourd'hui :
Le début des années 1990 est marqué par un intérêt
pour les campagnes, jusque là maldesservies. Le
premier programme national des routes rurales
(PNCRR) lancé en 1995 apermis la réalisation en 2003
de près de 9 000 km de routes. Le second, lancé en
2005, visela création de 15 000 km de routes rurale

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