La partie précédente a servis d’instaurer un entraperçu sur l’atelier d’écriture autant que

dispositif innovant de l’écrit aspirant un nouveau courant renouvelé à l’égard des

soubassements de l’écriture, leur conception ainsi que fonctionnement, tandis que le brassage

des axes traités auparavant a provoquer un certain cloisonnement de questions autour des

paires du triangle didactique, et surtout de la pratique enseignante , pour explorer ce

compartiment il convient bien d’approcher le terrain pratique, Il s’agit dans la présente partie,

de pratiquer l’atelier d’écriture avec une classe de 2éme année collège.

Présentation générale :

L’exploration est dérivée par deux aspirations majeurs, primitivement de prospecter

l’atelier d’écriture autant que dispositif, son fonctionnement sur l’échelle

praxéologique, ainsi que l’innovation expédiente portée par son introduction. En

second point, il s’agit de pivoter l’agir professoral qui lui ai assigné ainsi les gestes

professionnels qui pourraient conditionner sa pertinence en terme d’enseignement/

apprentissage. « Rappeler la problématique et sa dimension adéquate cv les éléments

d’expérimentation ».

Cependant, L’hypothèse convoquée est entretenue par les recherches abordées dans le

chapitre précèdent, Les données récoltées suite à l’investigation avec une classe de

2éme année du collège nous aiderons à introduire des éléments de réponse à ces

questions, comme nous avons déjà mentionné l’atelier d’écriture se veut comme

dispositif impliquant les apprenants dans l’apprentissage de l’écrit, ainsi que

laboratoire favorisant la diversité des formes /approches de travail pour une

amélioration des écrits des élèves, l’expérimentation choisie joindrait les deux

dispositifs en un seul atelier « travail par projet et écriture longue », l’objectif de

cette adhérence, n’est pas élue au hasard, mais plutôt en alliance avec l’axe que nous

avons traité en palier conceptuel, dont on parler de dressage entre les deux dispositifs
toutefois à travers les fragments divers des précurseurs nous étions inspirés de cibler

cette niche afin d’explorer des éléments de retour aux questions qui nous ont intriguées

en ce sens , à cet égard rappelons les deux majeurs suivants :

 Serait-il pertinent de discuter une telle jonction en terme praxéologique ?

 Quels stratégies d’apprentissage susceptibles à être développer par ce duo ?

 Quel appareillage pédagogique pour un assemblage utile des deux dispositifs ?

Nonobstant, le choix du secondaire collégial est motivé par deux raisons, la première

c’est qu’il est bien un stade de renforcement et d’appui sur les acquis récoltés en palier

d’initiation (primaire), comme il constitue une passerelle cruciale au niveau suivant,

celui du perfectionnement (lycée), de plus, ce passage reflète également l’échange en

terme de dispositifs, la complexité et l’intrication est plus en appel par rapport au

niveau d’initiation, la seconde raison est en lien avec les problèmes et les

dysfonctionnement des élèves en matière écrite, comme nous avons déjà mentionné au

plan contextuel, «  produire de l’écrit » est loin d’être une pratique plaisante pour les

élèves, aussi les difficultés rencontrées à cet égard ont tendance à se reproduire et

figurer sur leurs copies de contrôles ou de cours, encore le blocage face à cette

pratique en est une raison d’explorer ce levier en s’adressant au niveau collégial.

La pratique de l’atelier d’écriture a été pensée par l’enseignante d’accueil hormis le

programme assigné à la discipline suite aux dysfonctionnements des apprenants

comme pour une vision méliorative de la compétence scripturale, cette dernière a

conçu l’introduction et la réalisation du dispositif indépendamment des séances de la

production écrite, en se reposant sur une maquette de recherche effectuée par elle-

même, elle attribue à l’atelier la dénotation du « projet d’écriture suivie » dans la

prochains axes nous essayerons de déchiffrer en quoi consiste un atelier d’écriture et

 ces aspects de fonctionnement pour cette dernière, du même que ça sera notre matière

d’expérimentation.

Aperçus et analyse des fiches pédagogiques :

Les questions majeurs relevées par l’objectif de l’expérimentation portent à la fois sur le

recentrage du dispositif et de la pratique enseignante, pour ce faire il s’agit bien primitivement

d’enserrer l’épisode qui précède cette mise en œuvre, celle de la planification et l’agencement

du scénario conçu au préalable par l’enseignant, dont il s’engage à concevoir et penser le

déroulement des multiples séquences didactiques dans une séance précise.

A cet égard, il est question d’approcher cette démarche de planification par une étude et

analyse des fiches pédagogiques dédiées au dispositif « produire de l’écrit en atelier » mais

avant, il nous a paru utile de s’arrêter sur le palier de la production écrite « typique », les

objets qui lui ai assignés, ainsi les compétences et les démarches pensées à sa mise en œuvre,

ceci pour deux raisons :

 Appréhender les contenus/ stratégies d’enseignement, apprentissage optées (sur

lesquels l’enseignante d’accueil était stimulé pour penser une introduction d’un travail

en atelier).

 Edifier une vision plus claire, en terme pédagogique sur l’innovation portée par le

projet d’écriture en atelier comme dispositif à l’égard de la production écrite.

Cependant, nous tenons à mentionner que La classe expérimentée s’intègre dans le

secteur privé suite à l’absence presque exhaustive de travail en ateliers concernant

l’écrit aux écoles public, toutefois le programme adopté « texto collège » n’est pas du

même étudié en partie contextuelle, pourtant les éléments décortiqués quant aux

exigences et instructions sont sensiblement les mêmes.

 Notons que l’objet de l’écrit, ainsi la conception des séances attribuées à la production

écrite du niveau 2éme année collège dans ce contexte est cloisonner par un seul type

celui du récit, tandis que les activités déployées et les objectifs assignés se dirigent

autour de la même perspective.

Séance pédagogique. Objectif de la séance.

Raconter en donnant des explications Raconter pour expliquer une légende inventée

Raconter en donnant des explications Raconter et expliquer un moment difficile

Raconter en donnant des explications Raconter pour expliquer des mythes des légendes.

Avant de se prononcer à propos d0es éléments précédents, nous optons d’abord

d’afficher et de tournailler deux échantillons de fiches pédagogiques dont les deux

derniers objectifs sont institués.