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Analyse de l’histoire du Petit Prince de Saint-Exupéry

Le Petit Prince de Saint-Exupéry raconte l’histoire d’un aviateur qui se retrouve seul en
plein Sahara après une panne d’avion. Lorsqu’il essaie de réparer son avion, il rencontre
un petit prince que lui demande de lui dessine un mouton. Ce roman est assez différent
des autres comme il bascule entre deux tons ; le pessimisme et l’optimisme. On dirait que
l’auteur essaie de nous enseigne que la vie est un contraste entre le bon côté et le côté
obscur. En se réfèrent au symbolisme dans le roman, ses interprétations et aux ressources
authentiques, on explique les deux sentiments et donne des exemples du roman.

Le personnage du petit prince vaut mieux être décrit comme l’épandeur de bonheur. Il
représente la face naïve et pure envers l’absurdité des grandes personnes et seulement
pessimiste envers la négativité. Quand on regarde de près, on trouve que ce n’était pas
lui-même qui a été décrit comme pessimiste mais plutôt les grandes personnes autour lui.
Par exemple, dans le premier chapitre, il décide de laisser côté une magnifique carrière de
peintre à cause des grandes personnes qui lui ont découragé. Il a eu la passion d’être
créatif mais le pessimisme de ceux qui l'entouraient était suffisamment fort pour lui fait
abandonner ce qui le rend différent. Cette événement était la raison principale pour sa
solitude, c’est-à-dire, c’était le début d’une vie vécu par ce commandement : être seul est
mieux que d’être avec les mauvaises personnes. Par conséquent, le chapitre qui suit cet
événement commence par dire : « J’ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler
véritablement. » (Saint-Exupéry, 2015, P.3)

En faisant des quelques recherches dans le roman, on remarque des symboles qui ont
illustrés l’état de pessimisme et l’optimisme en même temps, par exemple, dans le
cinquième chapitre, le petit prince trouvé inquiète à cause d’une mauvaise herbe poussent
sur sa planète, cela ferait de lui un pessimiste en pensant que toutes les choses iraient mal
mais en même temps, il ferait quelque chose positive, il a identifié le problème et
commencé à chercher une solution pour débarrasser les baobabs. Pendant ce temps, le
petit prince nous enseigne comment l’on peut être optimiste même en se sentant triste. Il
nous montre l’importance de chercher une chose qui nous fait oublier la souffrance et
soulager la douleur comme les couchers de soleil font de lui. Ils se l’égayent et le rendent

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plus joyeux, ils sont le bon côté de sa vie mélancolique. Cette bascule entre deux tons
opposés est utilisée pour un bon but, c’est-à-dire, l’auteur exprime le pessimisme vers
certaines choses qui peuvent faire des catastrophes si l’on les laisser grandir. Un exemple
important c’est les baobabs qui symbolisent les choses désagréables dans la nature, si l’on
ne les repère pas et ne les élimine pas plus tôt, ils s’enracinent fermement et déforment
notre personnalité. Dans un autre sens, les baobabs peuvent être les Nazis –un
envahisseur - qui voudraient prendre toute la place en cachette et deviennent trop grosse
que l’on ne peut pas les enlever.

Dans le même chapitre, on trouve une autre bascule entre le pessimisme et l’optimisme,
c’est les trois volcans qui existent dans sa planète. Il nous indique qu’il ramone
régulièrement ces derniers afin d’éviter des éruptions qui nuiraient à sa planète. Le côté
pessimiste est que le petit prince manque la foi et qu’il n’a pas confiance en ce volcan
éteint ni dans ce que l’avenir apporterait. « On ne sait jamais » (Saint-Exupéry, 2015,
P.25) mais d’autre côté, c’est optimisme qu’il ne voulait pas de tergiverser, et
d’envenimer les situations qui par la suite peuvent s’avérer aussi compliquées à gérer.
Cela aussi a renforcé une valeur positive, c’est le développement positif de notre
environnement commence par de petites actions régulières. (Bodeving, 2018)

Pendant le temps que les mauvaises herbes poussaient et le problème des trois volcans
étaient toujours là, quelque chose si douce comme les couchers de soleil capturé sortir de
sa bonne graine, une fleur émouvante et coquette, si belle qu’elle devient l’amour du petit
prince et sa responsabilité de protéger. On remarque la transition dans l’état d’esprit du
petit prince à travers de cet événement. Il devient plus joyeux et heureux comme il a
finalement possédé quelque chose unique et précieuse. Cependant, cette fleur finalement
le blesse qu’il décide de chercher une occupation sur une autre planète. Par conséquent,
son état d’esprit change de joyeux et optimiste au triste et pessimiste à cause des
mauvaises caractéristiques apparues d’un coup, il part sa planète se sentir déçu comme il
n’a jamais réfléchi que les plus belles choses au monde ou ceux que l’on aime, peuvent
rendre malheureux.

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A partir du dixième chapitre, le petit prince commence son voyage sur les planètes
voisines pour y chercher une occupation et pour s’instruire. Sur chaque planète, il
rencontre une grande personne qui lui enseigne quelque chose de nouveau sur la vie des
adultes, et plus important, une tendance de l’ego humain. La caractéristique mutuelle on
remarque entre tous ces personnages est qu’ils sont obsédés par leur travail et ne prennent
pas le temps de flâner ou rêvasser. Par exemple, la première planète visitée a été habitée
par un roi qui ne dirige sur aucune personne. Il a besoin des titres pour se sentir au-dessus
des autres et croire que l’on domine. Dès cette planète, le petit prince commence à former
une vision négative sur les adultes comme des gens étrangers, bizarres, etc. il est
important de mentionner que cette image pessimiste des grandes personnes que l’on se
retrouve tout au long de l’histoire a confirmé le fait que l’auteur, ou le petit prince qui est
lui-même pendant son enfance, a dessiné une image magnifique des adultes comme ils
sont des personnes sages et créatifs mais lorsqu'il a grandi, il a été choqué de trouver le
contraire. Cette vision nous dit que l’auteur est pessimiste en manquant la foi en les
adultes mais en même temps, il est optimiste qu’il continue son aventure en recherche de
l’amitié et la connaissance.

Avant d’arriver sur la Terre, le petit prince traverse six planètes, l’un de ces planètes a été
habitée par un allumeur des réverbères, ce qui rend cette planète unique est qu’elle est si
petite comme celle du petit prince et profite des 1440 couchers de soleil par vingt-quatre
heures. Ce qui fait l’allumeur un personnage à noter est le fait qu’il ne paraisse pas
ridicule comme les autres grandes personnes déjà rencontrés, il s’occupe d’autre chose
que de lui-même et finalement, aux yeux du petit prince, c’était une valeur positivement
considère et un aspect qui l’on rend optimiste. Le petit prince est trouvé dans un état
positif, heureux d’avoir trouvé une occupation, une planète pour vivre -même qu’elle est
tellement petite- et un véritable personnage à parler. Il nous enseigne le vrai sens du
bonheur, c’est d'être avec ceux qui chérissent la même valeur que nous.
A partir du seizième chapitre, -le moment où le petit prince arrive sur la Terre- l’auteur
nous montre le côté absolu pessimiste de l’histoire. Le choc il ressentait était
suffisamment fort qu’il a exprimé son mécontentement par dire : « On y compte cent onze
rois [..] Sept mille géographes, neuf cent mille businessmen, sept millions et demi
d’ivrognes, trois cent onze million de vaniteux » (Saint-Exupéry, 2015, P.49) le fait que

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les grandes personnes sont nombreuses sur la Terre est considère comme un catastrophe
pour le petit prince comme il avait l’espoir que sur la Terre il peut finalement trouver plus
des gens comme l’allumeur des réverbères mais cela n’était pas le cas. Cela fait l’auteur
mentionne une métaphore qui semble optimiste mais en même temps, il n’est rien qu’une
vision difficile à atteindre. Il fait un lien entre l’armée de réverbères dont les mouvements
ressemblent à un ballet d’opéra et les êtres humains. Selon (Ravoux, 2008) cette image
est le désir de Saint-Exupéry de voir la société d’hommes travaillant ensemble dans une
telle harmonie et fraternité, c’est-à-dire, une invitation pour tous ses lecteurs à montrer
l'altruisme comme l’allumeur des réverbères et plus important, de prendre soin les uns
des autres.

Le petit prince et le pilote se retrouvent dans un plein désert sans le bon esprit de vie et
sans eau. Le symbole du dessert selon (Ravoux, 2008) est interprété comme l’étape
essentielle dans l’histoire du salut et le lieu essentiel pour atteindre la réalité et la vérité
de l’être. C’est-à-dire, c’est le lieu privilégié pour se connaître et l’espace ou les vrais
hommes, les héros, regardent les choses dans leurs authenticités. Alors le petit prince
devait y tomber pour se découvrir et aller au-delà de ce qu’il croit savoir de soi-même.
Cela fait une autre leçon de vie, l’auteur essaie de dire que c’est à travers les moments
plus difficiles et dans la mise au défi, l’on se découvre vraiment et plus important, l’on
doit être prêt à relever ce défi en étant curieux d’en savoir plus, autrement, l’on reste
comme les grandes personnes dans le roman. Alors la présence du petit prince sur la
Terre le confronte à des épreuves, des nouvelles expériences et des défis plus difficiles
qui lui permettent de passer à l’âge adulte. La Terre est aussi le lieu qui manque les
hommes, comme elle est seulement pour les héros, pour ce qui montre la volonté de sortir
de soi-même et découvrir le monde.
L’auteur nous dit la raison en mentionnant dans chapitre XVII : « les hommes manquent
de racines. » (Saint-Exupéry, 2015, P.50) C’est-à-dire, dans le désert, l’univers de
l’adulte rejoint celui de l’enfant et on remarque que les grandes personnes manquent cette
connexion importante.
Première rencontre dans le désert était avec un serpent. Selon (Ravoux, 2008) il
symbolise la renaissance et la sagesse, et d’autre côté, la mort que le petit prince

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n’accepte pas. C’est alors comme le symbole de la planète Terre, le serpent fait aussi un
contraste entre deux tons ; le pessimisme et l’optimisme.

Durant la traversée du désert et les moments de solitude, le petit prince rencontre le


renard. Dans la vie réelle, on trouve le renard est un animal de traits négatifs. C’est-à-
dire, c’est l’autre visage de déception et trahison. Cependant, dans l’histoire du petit
prince, le renard est celui qui enseigne le petit prince la fidélité à ceux que nous aimons et
comment créer des liens pour construire l’amitié. En fait, le renard est celui qui enseigne
le petit prince l’importance de prendre le temps pour s’approcher et apprivoiser. Selon
(Ravoux, 2008) c’est le renard qui aide le petit prince à redécouvrir les choses trop
oubliées : l’essentiel ; « on ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les
yeux. » (Saint-Exupéry, 2015, p.65) l’apprivoisement, les rites, et plus important, le fait
que sa rose -qu’il a quitté- était la première d’avoir accompli les gestes de
l’apprivoisement avec lui. Alors le rencontre avec le renard est positif en considérant
qu’il lui a appris les choses dont le petit prince besoin mais en même temps, le petit
prince se senti des émotions tristes d’avoir réalisé à quel pour la rose lui manque.

Après l’étude des symboles dans l’histoire du petit prince, on trouve que c’est difficile de
décider quel ton domine le roman parce que chaque symbole dans l’histoire fait un
contraste entre deux tons. Par exemple, les trois volcans, les baobabs - qui ont révélé le
côté pessimiste du petit prince- et la situation entre lui et la fleur, sans laquelle il n’aurait
pas découvert le monde ou ne se serait pas connu. D’autre parte, il y avait des symboles
qui ont montré seulement le côté pessimiste comme les grandes personnes il a rencontré
pendant son voyage. Par conséquent, ce roman vaut mieux être décrit comme neutre ; pas
complètement pessimiste ou optimiste.

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Bibliographie

• Bodeving, K. (2018, April 4). Retrived from https://des-livres-pour-changer-de-


vie.com/le-petit-prince/
• Ravoux, Jean-Philippe. « Les Sources. » dans Donner un sens à l’existence ou
pourquoi le petit prince est le plus grand traité de métaphasique de XXe siècle.
Paris : Robert Laffont, 2008.
• Saint-Exupéry, Antoine. Le Petit Prince : Bn Publishing, 2010, Print.

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