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Le passé composé
Livre jaune A1 – Dossiers 4, 5 et 9, p.91, 107 et 175, p.213
Livre vert A2 – Dossiers 1 et 4, p.19, 25 et 79, p.181 et 183
Livre rose B1 – Dossier 3, p.52, p.205
Le passé composé est un temps du passé de l’indicatif. Il est formé de deux parties :
- l’auxiliaire « être » ou « avoir », conjugué au présent de l’indicatif et accordé avec le sujet,
- le participe passé du verbe qu’on veut utiliser.
Le passé récent
Livre jaune A1 – Dossier 5, p.103, p.212
Le passé récent est formé de :
- le verbe « venir » conjugué au présent de l’indicatif et accordé avec le sujet
- la préposition « de »
- le verbe qu’on veut utiliser à l’infinitif
On utilise le passé récent pour situer une action dans le passé immédiat.
- Il est 6h01 du matin, je viens de me réveiller.
L’imparfait
Live jaune A1 – Dossiers 8 et 9, p.163 et 175, p.213
Livre vert A2 – Dossiers 1, 4, 7 et 8, p.22, 25, 79, 131 et 155, p.183 et 187
Livre rose B1 – Dossier 3, p.52, p.205
L’imparfait est un temps du passé de l’indicatif. Il est formé du singulier du pluriel
avec : 1ère personne je -ais nous -ions
- la base verbale de la première personne du pluriel (nous) 2ème personne tu -ais vous -iez
au présent de l’indicatif 3ème personne il, elle, on -ait ils, elles -aient
- une terminaison, accordée avec le sujet
Le plus-que-parfait
Livre A2 – Dossiers 2, 4, et 7, p.35, 79 et 135, p.181, 183 et 184
Livre rose B1 – Dossier 3, p.52, p.205
Le plus-que-parfait est un temps du passé de l’indicatif. Il est formé de deux parties :
- l’auxiliaire « être » ou « avoir », conjugué à l’imparfait de l’indicatif et accordé avec le sujet,
- le participe passé du verbe qu’on veut utiliser.
tous les verbes pronominaux utilisent l’auxiliaire « être » donc on accorde le participe passé :
- avec le sujet du verbe, si le verbe n’existe qu’à la forme pronominale
o Je me suis évanouie (j’ai évanoui qqch). Ils s’étaient absentés (ils avaient absenté qqch). Nous nous
serions méfiées de lui (nous aurions méfié qqch).
- avec le sujet, si on considère que le pronom réflexif est comme un COD qui reprend le sujet
o Je me suis lavée (=j’ai lavé moi-même). Ils s’étaient levés (=ils avaient levé eux-mêmes). Nous nous
serions vues (=nous aurions vu nous-mêmes).
- avec le sujet, si le verbe existe aussi sans pronom réflexif
o Je me suis aperçue de mon erreur (j’ai aperçu qqch). Ils s’étaient tus (ils avaient tu qqch).
- avec le sujet, si le pronom réflexif ne peut pas être analysé comme un COD ou un COI
o Je me suis souvenue de ce concert (j’ai souvenu (à) moi-même). Ils s’étaient échappés de la prison (ils
avaient échappé (à) eux-mêmes).
- si le COD est différent du sujet et s’il est placé avant le verbe
o Voici les lettres qu’ils se sont écrites. (= ils se sont écrit des cartes postales)
On n’accorde PAS le participe passé des verbes pronominaux
- si on considère que le pronom réflexif est comme un COI qui reprend le sujet
o Je me suis dit : « c’est une bonne idée » (=j’ai dit à moi-même). Ils s’étaient écrit des lettres (ils avaient
écrit à eux-mêmes). Nous nous serions parlé (nous aurions parlé à nous-mêmes).
- si le COD est différent du sujet et qu’il est placé après le verbe
o Je me suis imaginé autre chose. Ils s’étaient écrit des lettres. Nous nous serions creusé la cervelle.
La forme passive
Livre vert A2 – Dossier 4, p.79, p.186
Livre rose B1 – p.209
Le chat mange la souris.
La souris est mangée par le chat.
À la forme active, le sujet du verbe fait l’action du verbe. Le complément reçoit (ou subit) l’action du verbe.
- Le sujet = le chat Le chat fait l’action de manger
- Le complément = la souris la souris subit l’action.
À la forme passive, le sujet de la forme active (le chat) devient le complément du verbe, mais il fait toujours l’action. Il
est introduit après le verbe par la préposition « par ».
« La souris » devient le sujet du verbe, mais elle subit toujours l’action.
Le verbe se transforme également. On utilise l’auxiliaire « être », au même temps que le verbe de la forme active, suivi
du participe passé du verbe de la forme active, accordé avec le sujet de la forme passive.
Si on ne connaît pas l’auteur de l’action, ou que cette information n’est pas importante, on peut ne pas le préciser dans
la phrase au passif. À la forme active, on peut utiliser le pronom « on » comme sujet impersonnel.
Une dame a été agressée. (par qui ? on ne sait pas) On a agressé une dame.
On peut également utiliser le verbe « se faire + infinitif » pour créer une forme passive.
On conjugue le verbe « se faire » au même temps forme active forme passive
que dans la forme active (ici, au présent) et on l’ac- La souris est mangée par le chat
corde avec le sujet de la forme passive (la souris). Le chat mange la souris.
La souris se fait manger par le chat.
Parler de l’année
- l’année : en 1992, en 2022
- la période de l’année : début 2022, (à la) mi-2022, (à la) fin 2022
- la saison : au printemps, en été, en automne, en hiver
- le mois : en octobre, en novembre…
- la période du mois : début octobre, (à la) mi-octobre, (à la) fin octobre
- la date : le 31 octobre