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La maîtrise
du risque
systémique
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Sommaire
V Calendrier 14
VI Lexique 15
Cette publication se fonde sur les textes européens et internationaux publiés au plus tard le 18 novembre 2011.
La maîtrise du risque systémique
„
mondiale en cas de faillite. les autres institutions financières (prêts aux institutions financières, détention de
titres émis par d’autres institutions financières, valeur de marché des repos, etc.).
• Critère n°3 : la capacité de substitution par une autre institution fournissant les
mêmes services : i.e. dans quelle mesure le système financier est-il dépendant
des services fournis par un établissement et quelles seraient les conséquences
sur le système financier si celui-ci disparaissait.
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La maîtrise du risque systémique
A noter que ces indicateurs ne se limitent pas aux seules banques mais concernent
l’ensemble des institutions financières (les compagnies d’assurance, les fournisseurs
d’infrastructures de marché ainsi que d’autres institutions financières non bancaires
qui peuvent donc être qualifiées de SIFIs).
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La maîtrise du risque systémique
Le Comité de Bâle considère que l’importance systémique d’une institution doit être
évaluée en fonction de l’impact qu’une faillite de l’établissement pourrait avoir sur le
“
système financier plutôt qu’en fonction de la probabilité que ce risque n’arrive. Par
ailleurs, la qualité des mesures de résolution dans une juridiction donnée ne doit pas
Le Conseil de Stabilité jouer de rôle dans le processus d’identification des G-SIBs.
Financière a publié à Lors du G20 de novembre 2011, le Conseil de Stabilité Financière a publié une
l’occasion du G20 de première liste de 29 banques d’importance systémique mondiale sur un échantillon
Cannes une liste de retenu de 73 banques et sur la base des données disponibles à fin 2009. Cette
29 banques réputées liste repose sur la méthodologie définie par le Comité de Bâle et inclut deux
systémiques.
„ établissements ajoutés sur la base du jugement du superviseur national.
“
Une surveillance renforcée
Cette liste sera mise à jour annuellement et publiée en novembre de chaque année.
La méthodologie définie par le Comité de Bâle devrait quant à elle faire l’objet d’une
pour ces établissements revue tous les trois ans.
dont la liste sera revue Si cette première liste ne recense que des banques dites mondiales, les travaux du
chaque année. CSF et du Comité de Bâle permettront d’identifier à l’avenir les entités financières
Des établissements non non bancaires, notamment les compagnies d’assurance.
bancaires figureront Des ratios de fonds propres plus élevés seront demandés à partir de 2016 aux
établissements recensés sur la liste qui sera établie en novembre 2014.
„
également sur la liste à
l’avenir.
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La maîtrise du risque systémique
„
En effet, l’importance des déficits des pays et les récents risques liés à un défaut
« too big to fail ». de la dette souveraine peuvent laisser penser que les Etats ne seraient pas capables
de protéger leurs économies respectives. Il convient donc de mettre en place des
dispositifs plus aptes à prendre en charge les défaillances bancaires transfrontalières,
notamment afin d’éviter que les Etats n’aient d’autre choix que de renflouer leur
secteur bancaire, et d’en faire supporter le coût au contribuable.
„
élevées par rapport à leurs institution.
concurrents. Les institutions financières sont alors réparties dans quatre catégories, fonction de
leur risque systémique, correspondant chacune à une charge additionnelle de capital
(Common Equity Tier One1) de 1%, 1,5%, 2% et 2,5%. Une charge complémentaire
de 1% des actifs pondérés pourrait être demandée si le poids systémique de
l’institution augmentait.
Un classement des G-SIBs en fonction de leurs résultats par rapport aux 5 indicateurs de systémicité (1)
Bucket Score Capacité d’absorption additionnelle minimale
5 (vide) D- 3,5%
4 C-D 2,5%
3 B-C 2,0%
2 A-B 1,5%
1 Seuil d’inclusion – A 1,0%
(1) Source : Comité de Bâle, Global systemically important banks: assessment methodology and the additional loss absorbency requirement, Rules text, novembre 2011.
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La maîtrise du risque systémique
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Le Comité de Bâle insiste sur le fait que les exigences supplémentaires en capital
demandées constituent des exigences minimales. Les autorités nationales sont
Un ratio de fonds propres libres d’imposer des exigences plus élevées.
durs (Common Equity Le montant de charge additionnelle en fonds propres est défini en fonction du score
appliqué à chacun des cinq critères. Ces exigences additionnelles porteront le niveau
Tier One) de 7 % est
minimum de ratio de Common Equity Tier One de 7% sous Bâle 3 à 8 - 9,5% pour
exigé sous Bâle 3 pour les établissements systémiques.
l’ensemble des banques. A noter que cette charge additionnelle en fonds propres s’ajoute aux autres
Les établissements exigences prudentielles. Ainsi, la charge en fonds propres pour le risque systémique
systémiques devront peut s’ajouter au coussin contra-cyclique, ce qui peut potentiellement porter le
afficher 1% à 2,5 % de niveau de Common Equity Tier One à 12%.
Common Equity Tier One Lors du G20 de Cannes en novembre 2011, il a été décidé que les exigences
supplémentaires à partir de supplémentaires en capital seront demandées à partir de janvier 2016 sur la base
2016, soit un ratio minimum de la liste de G-SIFIs qui sera établie en novembre 2014. Les surcharges en capital
„
global entre 8 et 9,5%. seront introduites parallèlement aux exigences Bâle 3 relatives aux coussins de
conservation et contra-cyclique entre janvier 2016 et fin 2018, avec une application
obligatoire à compter du 1er janvier 2019.
Le Comité de Bâle insiste sur le fait que le coût lié à l’exigence de ratios de fonds
propres plus élevés pour les G-SIBs est inférieur aux avantages attendus, i.e. éviter
la probabilité d’une crise financière systémique.
“
Une supervision renforcée
crise de tout type d’établissement systémique.
„
• démettre d’office les dirigeants de l’établissement, nommer un administrateur
d’autorités de résolution
spécial doté de tous les pouvoirs et chargé d’élaborer un plan de résolution,
• faciliter et valider le transfert ou la vente d’actifs et passifs,
• établir un véhicule de gestion des actifs de l’entité,
• obliger l’établissement à faire des changements structurels ou
organisationnels,
• transférer tout ou partie des activités de l’établissement vers une banque
relais,
• exiger des transferts de portefeuilles pour les compagnies d’assurance,
• réduire les dettes de l’établissement notamment via des mécanismes de
« bail-in »,
• décider d’une augmentation de capital,
• etc.
Le CSF encourage fortement les autorités de résolution à trouver des solutions de
coopération avec les autorités de résolution étrangères.
Des groupes de gestion de crise1 seront instaurés pour les G-SIFIs, avec la
participation des autorités de supervision et de résolution. Des accords de
coopération internationale spécifiques devront être mis en place entre les différentes
autorités concernées pour chacun de ces établissements.
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Des plans de résolution
Les autorités devront également s’assurer que les G-SIFIs ont mis en place des plans
de relance et de résolution, faisant l’objet d’une mise à jour et d’une revue régulière.
Les autorités devront mener l’évaluation de ces plans1 en coordination avec le groupe
à mettre en œuvre de gestion de crise. Pour cela, trois étapes ont été définies par le CSF : la faisabilité
d’ici fin 2012 pour les des stratégies de résolution identifiées ; l’évaluation de l’impact systémique ; les
29 établissements actions de résolution envisagées.
systémiques identifiés
par le Conseil de Stabilité
Financière, sur la base de la C La mise en place de procédures de
méthodologie définie par le relance et de résolution de crise2 pour les
Comité de Bâle.
„ G-SIFIs
L’objectif des régimes de résolution est d’anticiper la résolution d’une défaillance
d’établissement dont la faillite aurait un impact sur la stabilité financière en précisant
par avance et de façon détaillée la manière dont il pourrait être démantelé et
liquidé de façon ordonnée. Il s’agit donc d’une obligation, pour tout établissement
systémique global identifié par le CSF sur la base de la méthodologie définie par
le Comité de Bâle, de préparer des plans de relance et de résolution robustes et
crédibles.
Les autorités de résolution et de supervision devront s’assurer que ces plans sont
mis à jour régulièrement, au moins de façon annuelle, et revus de façon périodique
au sein du groupe de gestion de crise de l’établissement. Ces plans feront
également l’objet d’une revue régulière par les autorités de résolution qui pourraient
demander le cas échéant aux G-SIFIs de revoir leur plan s’il était jugé insuffisant.
Les exigences en matière de plan de relance et de résolution devront être mises en
œuvre d’ici la fin 2012 pour les 29 établissements qualifiés de G-SIFIs lors du G20 de
Cannes de novembre 2011.
1) Plans de relance3
Les autorités de résolution et de supervision doivent s’assurer que les
établissements concernés mettent en place des plans de relance. Ces plans doivent
servir de guide au rétablissement, dans l’éventualité où l’établissement serait
confronté à de graves difficultés. Dans cette phase, l’établissement n’est pas entré
en régime de résolution de crise et demeure donc en principe sous le contrôle
de son management, bien que les autorités puissent exiger la mise en place de
mesures spécifiques à travers leur pouvoir de supervision.
Les RCP visent donc à réduire le profil de risque de l’établissement et à maintenir le
niveau de capital. Des choix stratégiques tels que la restructuration du passif ou le
démantèlement de certaines lignes de métier pourront être opérés.
“
Des mesures visant à
L’établissement doit identifier les mesures nécessaires au renforcement de son
niveau de capital (via une recapitalisation après des pertes exceptionnelles, des
mesures de conservation du capital telles que la suspension des dividendes, etc.).
accroitre le niveau de
capital et la liquidité, L’établissement doit identifier les mesures de restructuration possibles de son
activité : ventes possibles de filiales, séparations de lignes de métiers, etc.
et à anticiper des
cessions d’actifs et une L’établissement doit évaluer la solidité de ses scénarios de stress en termes
„
de liquidité, notamment en identifiant des mesures permettant d’assurer une
restructuration du passif.
diversification des sources de financement. L’établissement doit également
envisager de possibles transferts d’actifs et de liquidité au sein du groupe.
1 Resolvability Assessments
2 Recovery and Resolution Plan (RRP)
3 Recovery Plan (RCP)
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La maîtrise du risque systémique
2) Plans de résolution1
Les plans de résolution de crise constituent un guide afin d’identifier des pistes de
sortie de crise sans exposer le contribuable à un risque de pertes et sans affecter le
reste de l’économie, notamment si les mesures envisagées à travers les plans de
relance se révélaient insuffisantes.
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La maîtrise du risque systémique
“ Un projet de directive
• des mesures de préparation et de prévention (renforcement de la surveillance,
transfert des actifs afin de faciliter la gestion des liquidités intragroupe, plans
européenne sur la gestion de sauvetage et de résolution des défaillances, pouvoirs de prévention) ;
de crise est attendu d’ici • une intervention précoce des autorités de surveillance (pouvoirs de
fin 2011
„ •
surveillance, mise en œuvre des plans de sauvetage, administrateur spécial) ;
des instruments et des pouvoirs de résolution (vente par les autorités de
tout ou partie des activités sans accord des actionnaires, recours à une
banque relais, séparation des actifs, pouvoir de transférer les actifs, actions,
engagements de l’établissement, pouvoir de radier ou annuler les actions,
pouvoir de dévaloriser ou convertir les créances d’un établissement défaillant,
pouvoir de remplacer les instances dirigeantes, etc.).
La Commission Européenne s’efforce d’assurer une cohérence avec les travaux
menés au niveau international par le Conseil de Stabilité Financière et le Comité de
Bâle.
Comme le précise la Commission Européenne, l’un des principaux défis consiste
à mettre en place un dispositif efficace qui garantisse une coordination et
une coopération optimales entre les autorités afin de réduire au minimum les
répercussions négatives éventuelles lorsqu’une banque transfrontalière fait faillite.
La Commission Européenne est par ailleurs favorable à la mise en place de
mécanismes de financement communs permettant d’éviter l’utilisation de l’argent
des contribuables, notamment via la création de fonds nationaux de résolution
des défaillances bancaires constitués ex ante, lesquels seraient alimentés par des
contributions versées par les banques, afin de servir à faciliter une faillite ordonnée.
Un projet de directive européenne sur la gestion de crise bancaire est attendu d’ici la
fin de l’année 2011.
1 Commission Européenne : Consultation sur les détails techniques du projet de cadre européen de
gestion des crises, 6 janvier 2011; Communication sur l’établissement d’un nouveau cadre européen
pour la gestion de crise dans le secteur financier, 20 octobre 2010 ; Communication sur les fonds de
résolution des défaillances bancaires, 26 mai 2010.
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“
Le CSF propose la création
devront compléter les banques globales d’importance systémique. L’objectif est de
mieux connaitre les interconnexions entre les grandes banques globales et d’assurer
un maximum de synergies entre les différentes sources de données utilisées pour
d’un modèle standard
l’analyse macro prudentielle et la supervision. Il pourrait également être demandé
de données que devront
„
à d’autres larges banques internationales ou à des banques jugées d’importance
compléter les G-SIBs systémique au niveau national de compléter ce modèle. Une réflexion similaire afin
d’améliorer les informations collectées sur les grandes institutions financières non
bancaires est en cours, notamment pour les compagnies d’assurance ou les hedge
funds, et devra être initiée pour d’autres types de structure.
Quatre axes de données sont concernés par la collecte envisagée :
• Données d’une institution vis-à-vis d’une autre institution (« I-I data ») : Collecte
des expositions bilatérales envers les principales contreparties de la G-SIB à
l’actif et au passif, ventilées par type d’instruments, sur la base de données
consolidées.
• Données d’une institution vis-à-vis d’un ensemble (marché national, secteur,
etc.) (« I-A data ») : Collecte des expositions de crédit et des dépendances
de financement à l’égard d’un pays, d’un marché, d’un secteur afin de
mieux évaluer le risque de concentration et les vulnérabilités (ex : exposition
consolidée de la G-SIB vis-à-vis d’une dette gouvernementale d’un pays donné).
• Données structurelles et indicateurs d’importance systémique : Collecte de
données afin de faciliter l’évaluation de l’importance systémique de l’entité.
Trois catégories d’information sont concernées : provision des services
financiers clés et indicateurs d’importance systémique, indicateurs de
résilience (ex : revenus, provisions, actifs pondérés, capital, etc.), structure du
groupe.
• Données ad-hoc : Parallèlement à la collecte régulière de données prédéfinies,
une collecte ponctuelle de données est envisagée pour répondre au besoin
croissant d’information pour évaluer l’apparition d’un risque systémique.
Le calendrier de collecte de données envisagé s’étale sur trois ans avec une phase 1
réalisée d’ici fin 2012, une phase 2 d’ici fin 2013, et la phase 3 d’ici fin 2014.
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La maîtrise du risque systémique
KPMG peut vous accompagner dans la conception et la mise en place d’un plan de
relance ou de résolution.
Les quatre phases de l’accompagnement sont reprises ci-dessous :
Etape 4 :
Etape 1 : Etape 2 : Etape 3 : Mise à jour régulière,
Identification Analyse de l’état Planification revue du processus
des métiers et actuel du plan de la résolution et établissement
des opérations clés de résolution de crise d’une feuille
de route
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La maîtrise du risque systémique
V Calendrier
Octobre 2009
FMI-BRI-CSF, Guidance to Assess the Systemic Importance of Financial Institutions,
Markets and Instruments
Printemps 2010
Consultation de la Commission européenne sur la question du règlement des crises
transfrontalières et de celle des mécanismes de résolution
Juillet 2011
CSF, Document Consultatif, Effective Resolution of Systemically Important Financial
Institutions, Recommendations and Timelines
Octobre 2011
CSF, Key attributes of Effective Resolution Regimes for Financial Institutions
CSF, Intensity and Effectiveness of SIFI Supervision, Progress report on
implementing the recommendations on enhanced supervision
CSF, Document Consultatif, Understanding Financial Linkages: A common Data
Template for Global Systemically Important Banks
Novembre 2011
Comité de Bâle, Rules text & Cover notes, Global systemically important banks:
assessment methodology and the additional loss absorbency requirement
Un projet de directive européenne sur la gestion de crise bancaire devrait être publié.
Fin 2012
Les 29 établissements systémiques identifiés en novembre 2011 devront avoir
préparé des plans de relance et de résolution. Ces derniers seront revus par les
autorités de résolution.
2016
Les établissements systémiques identifiés en novembre 2014 seront soumis aux
exigences supplémentaires en capital, avec une application obligatoire à partir de 2019.
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La maîtrise du risque systémique
VI Lexique
Risque systémique
Le risque systémique est un risque de brutale dégradation de la stabilité financière,
provoqué par une rupture dans le fonctionnement des services financiers et
répercuté sur l’économie réelle (source : rapport Lepetit sur le risque systémique
d’avril 2010)
Dettes bail-in
Bail-in contractuel : notion d’instruments de dette prévoyant de façon contractuelle
une réduction ou une conversion en capital à la main de l’autorité prudentielle en cas
de reconnaissance d’une crise systémique sur l’établissement.
Bail-in statutaire : la reconnaissance par la loi d’un pouvoir additionnel à la main de
l’autorité prudentielle de réduire ou de convertir en capital des instruments de dette
en cas de reconnaissance d’une crise systémique sur l’établissement.
(source : rapport Lepetit - février 2011)
Living wills
Il s’agit des testaments bancaires, i.e. ensemble de dispositions prévues avant
toute crise pour organiser la restructuration d’un établissement, qui pourraient être
imposés aux établissements par voie prudentielle de manière à faciliter la gestion
d’une crise. (source rapport Lepetit – février 2011)
Capital contingent
Le capital contingent correspond à la notion d’instruments de dette prévoyant de
façon contractuelle une réduction en capital ou une conversion en capital sur la base
d’événement déclencheur objectif tel que le passage du Tier 1 sous un niveau cible.
(source rapport Lepetit - février 2011)
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E-mail : rjacquemard@kpmg.fr
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