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La notation interne peut être un outil efficace de mesure du risque de crédit

Thèmes abordés

Notation interne, outil, mesure, risque de crédit, réglementation bancaire, crédit storing, solvabilité,

Résumé du document

Le secteur bancaire est confronté en matière d'octroi de crédit à de nombreux risques dont le plus
fréquemment rencontré est le risque de crédit qui peut constituer la première cause des pertes voir
même la défaillance de ces établissements bancaires.
Paradoxalement une gestion de ce risque semble nécessaire dans le but de renforcer la stabilité et la
sécurité du système financier, dés lors les décisions d'octroi de crédit ont beaucoup évolué dans leurs
méthodes de détermination.
En effet, un panel de méthodes d'évaluation de ce risque sont mises à la disposition des banques,
commençant par les outils de base à savoir l'analyse financière arrivant au sytème de notation
financière approprié par chaque banque. Ces systèmes recommandés par les accords de Bâle II,
représentant ainsi une véritable révolution en matière de gestion du risque de crédit que les banques
Algériennes doivent impérativement suivre et développer en l'occurrence leur système de notation
interne.

Sommaire

1. Le risque de crédit et la réglementation bancaire

1. Notions clés sur le risque de crédit

2. La réglementation prudentielle internationale

3. La réglementation prudentielle nationale

2. Les méthodes d'évaluation du risque de crédit

1. L'analyse financière

2. Le crédit scoring

3. La notation financière

3. Essai d'application d'une méthode de notation interne de base sur une société Algérienne

1. Essai d'application d'une méthode de notation interne de base sur une société
Algérienne

2. Les attributs quantitatifs de solvabilité

3. Essai d'attribution d'une note selon la méthode de base


Risque opérationnel et détermination des fonds propres
nécessaires pour la couverture de la Société Générale
en Algérie
Thèmes abordés
Banque d'Algérie, Algérie, banque, système bancaire, risque
opérationnel, détermination, fonds propres, couverture, Société
Générale, accords de Bâle, nouveaux accords, Bâle II, indicateur de
base, approche standardisée, AMA, approche par les méthodes
avancées, S.G.A., groupe SG,
Résumé du document
Notre travail se fixe comme objectif de montrer l'importance de la prise
en compte des risques opérationnels. Il n'a cependant pas la prétention
de répondre à toutes les questions concernant les détails techniques
relatifs aux modèles quantitatifs de mesure du risque opérationnel.
Nous tenterons donc tout au long de notre mémoire de répondre à la
problématique suivante : Comment peut-on identifier, mesurer et gérer
les risques opérationnels, et comment sont déterminées les exigences
en fonds propres y afférant ?

Un certain nombre de questions en découle:


- Comment le nouveau ratio de solvabilité est-il structuré?
- Comment le risque opérationnel est-il pris en compte dans ce nouveau
ratio ?
- Comment identifier et appréhender ce type de risques?
- Quelles alternatives quantitatives ont été développées ces dernières
années pour permettre une réelle gestion des risques opérationnels?
Sommaire
1. Accords de Bâle et Risque Opérationnel

1. Historique des Accords de Bâle


2. Structure des nouveaux accords (Les piliers de Bâle II)
3. Classification des risques opérationnels dans Bâle II
2. Détermination des exigences en fonds propres et mesure du R.O

1. Approche par Indicateur de Base (B.I.A)


2. Approche Standardisée (S.A)
3. Approche par les Méthodes Avancées (A.M.A)
4. Mesure du risque opérationnel
3. Méthodes de Couverture des Risques Opérationnels

1. Couverture interne des risques


2. Couverture externe des risques
4. Cas de la Gestion des R.O à la Société Générale Algérie
1. Présentation de la Structure d'Accueil
2. Classification et cartographie des risques opérationnels à la
S.G.A
3. Dispositif de mesure des risques opérationnels au Groupe
SG

La gestion des risques bancaires


Résumé du document
Le secteur bancaire est au coeur du processus de Lisbonne, qui a pour
but de faire de l'Europe un centre économique incontesté de la
croissance du 21e siècle. Le secteur bancaire français a un rôle
déterminant à jouer dans ce processus. En France, ce secteur a été
fortement modernisé pendant les vingt dernières années. Les défis de
ce secteur dépendent de l'évolution des risques et de la nécessité à
s'adapter pour avoir un positionnement compétitif. Pour comprendre
ces différents défis, je me suis concentré dans un premier temps à ce
qu'est le secteur bancaire d'aujourd'hui. La banque est
devenue une réalité changeante, parmi laquelle ses limites et ses
grands traits sont parfois
difficiles à déterminer exactement.

Le secteur bancaire permet d'offrir un panorama complet de services


financier et de métiers, tout en essayant de conjuguer des points de
vue différents en termes d'impacts économiques et sociaux. Les
banques doivent présenter des évolutions qui concordent avec le
secteur bancaire en termes d'intérêts stratégiques, notamment dans un
contexte de
concurrence européenne et mondial. Sous ce dernier aspect, nous
pouvons souligner un manque d'outils appropriés capables d'analyser
ce secteur.

La description du monde bancaire reste de nos jours essentiellement


comptable et ne prend pas en compte les intérêts industriels,
commerciaux et sociaux des divers métiers du secteur bancaire.
L'intérêt de ce mémoire est de déterminer et d'analyser les enjeux à
mieux structurer ce secteur en fonction des différentes
réglementations internationales mises en
place. La première partie est consacrée à la définition des relations
bancaires d'aujourd'hui dans
le monde et de ses défis. La deuxième partie concerne les différents
types de risque auxquels les banques doivent faire face pour rester
compétitives. La troisième partie met en évidence la gestion du risque
de crédit dans le secteur bancaire et l'implication des nouvelles règles
mises en place.
Sommaire
1. Les Défis du secteur bancaire

1. La banque : un agent économique principal


2. Une industrie en permanente fluctuation
3. L'internationalisation de l'environnement régulateur.
2. Les différents types de risques bancaires

1. Le traitement continue des risques


2. Les différents types de risques dans les opérations de
banque
3. Les systèmes de Gestion du risque bancaire
3. La gestion du risque des transactions de crédit.

1. De Bâle 1 à Bâle 2 : une nouvelle approche du risque


bancaire
2. Les engagements équilibrés dans la corrélation avec le
risque de crédit réel : la méthode IRB.
3. Engagements équilibrés Introduction du risque opérationnel
dans le calcul de l'engagement
4. Impact sur les banques et sur les clients
Extraits
[...] Les conditions du marché sont également très différentes. En
Allemagne, nous comptons une branche de la banque pour 1700
personnes et une pour 3500 au Royaume- 15 Uni. Par contre à une
échelle nationale, quelques secteurs bancaires sont très concentrés :
aux Pays-Bas, en Suède ou en Finlande, les cinq premiers
établissements représentent des actifs bancaires. Entre la
concentration et la division, le marché français offre une situation
intermédiaire. Les marchés nationaux n'offrent pas beaucoup
d'occasions d'acquisition. Il y a une certaine concentration notamment
concernant les banques mutualistes comme le Crédit Agricole, qui est
fort et donc difficile à acquérir. [...]

[...] Le gouvernement (Principalement la Réserve fédérale et la Banque


centrale européenne) a un poids énorme sur la rentabilité des banques.
La direction doit respecter différents critères pour pouvoir prendre des
décisions telles que celle de vendre un prêt afin de prendre le moins de
risque possible. Elle devra notamment vérifier les critères suivants : o
Son adéquation du Capital. o L'engagement de ses actifs et de ses
dettes. o Les risques de taux : le changement des taux d'intérêt affecte
la rentabilité. o Sa Liquidité : la proportion d'encours par rapport aux
actifs totaux. [...]
[...] Promotion 2008 Date : 23 Mai Sommaire 2 4 I. Les Défis du secteur
bancaire 5 A. La banque : un agent économique Définition et contexte.
Quelques termes 7 B. Une industrie en permanente Le secteur français
dans un environnement mondial. La compétition d'un point de vue
mondiale La restructuration des banques en Europe La stratégie
internationale des banques françaises 17 C. L'internationalisation de
l'environnement régulateur. Les principes de construction du marché
des services financiers._ Les enjeux du marché des services financiers.
[...]

[...] Il passe par une prise de conscience des risques. Les autorités
prudentielles doivent ainsi être capables de vérifier que les
établissements ont un dispositif de gestion des risques rigoureux et
efficaces. Les accords Bâle II soulignent la surveillance des
mécanismes de contrôle, qui repose sur de nouveaux défis : c'est non
seulement une question désormais pour le surveillant de vérification
que les risques soient compatibles avec les fonds propres, mais il doit
également juger la qualité des modèles et les processus d'évaluation
des risques Les banques jouent un rôle essentiel dans le processus
d'assignation de l'épargne et de l'évaluation de l'investissement. [...]

[...] Généralement mentionné comme la gestion de risque, cette activité


diffère considérablement de la gestion du risque financier. De plus, il y
a toujours d'autres risques, quelque peu plus amorphe, mais non moins
important. Dans cette dernière catégorie, on peut citer les risques liés :
à l'environnement légal, au régulateur, à la réputation et au risque
environnemental. Comme ces risques sont financièrement moins
mesurables, ils ne sont généralement adressés d'aucune façon
formelle, structurée. Mais ils ne sont pas ignorés par la direction de la
banque III. La gestion du risque des transactions de crédit. [...]
Analyse du risque de crédit-bail : le cas de Natixis Lease
Thèmes abordés
Analyse du risque de crédit-bail, Natixis Lease, moyens de
financement, investissement des entreprises, marché locatif, TVA
Taxe sur la Valeur Ajoutée, impôt sur les sociétés, risque de défaut,
risque de spread, flux de trésorerie, Bâle I, Bâle II, Bâle III, capital
interne, groupe BMRABO, méthode notation interne
fondation, mémoire banque finance
Résumé du document
Le crédit-bail offre de nombreux d'avantages aussi bien pour le crédit
bailleur que pour le crédit-preneur. Ces avantages ont fait du crédit-bail
une technique de financement très attrayante qui représente
aujourd'hui 63% de l'investissement total des entreprises. Néanmoins,
cette opération de crédit recèle des risques de crédit, opérationnel et
de marché. Dans cette optique, une appréciation du crédit preneur et
de son environnement sont indispensable.

C'est ainsi que toute demande de crédit-bail présentée suit une


procédure débutant par la constitution d'un dossier par la ligne métier
et s'achevant par la décision finale. Cela passe par l'étude des divers
paramètres permettant de déterminer les besoins réels de l'entreprise,
de cerner la moralité et la compétence de ses dirigeants, son niveau de
performance, sa capacité à faire face à la concurrence, son aptitude à
honorer ses engagements.
Sommaire
1. Identification du crédit-bail

1. Définition et mécanismes
2. Opérations apparentes au crédit-bail
2. Crédit-bail dans le contexte français

1. Cadre réglementaire
2. Evolution du marché locatif en France
3. Différents aspects du crédit-bail en France

1. Cadre comptable
2. Cadre fiscal
4. Avantages et inconvénients du crédit-bail

1. Avantages
2. Inconvénients
5. Risques auxquels est exposé le crédit bailleur

1. Risque de crédit qui peut être défini comme le:


2. Risque lié à l'actif financé
3. Risque de taux d'intérêt
4. Risque de change
5. Risque opérationnel
6. Analyse d'une demande de crédit-bail

1. Diagnostic économique
2. Diagnostic financier
3. Partage de risque et garanties
7. Moyens de prévention des risques liés au crédit-bail

1. Statut réglementaire des sociétés de crédit-bail


2. Conséquences du statut d'une société de crédit-bail et les
règles prudentielles
3. Bâle I
4. Bâle II
5. Différentes approches de calcul du RWA
6. Bâle III
7. Exigences minimales pour le crédit-bail
8. Valorisation des actifs
8. Cadre pratique du crédit-bail

1. Présentation de la structure d'accueil


2. Processus d'évaluation de l'adéquation du capital interne
3. Cartographie du Groupe NATIXIS par méthode
4. Processus d'octroi de crédit de Natixis Lease
5. Cas pratique sur l'analyse des risques d'une demande de
crédit-bail
Extraits
[...] Le gearing doit être apprécié selon le contexte de l'activité du
client et de son marché. Toutefois, il est préférable qu'il soit inférieur à
Ce ratio peut ressortir négatif, selon deux possibilités : - Une dette
financière négative, c'est-à-dire que l'entreprise dispose d'une
trésorerie nette excédentaire (elle a du cash supérieur à ses dettes). Il
s'agit alors d'une situation favorable qui garantit une excellente
solvabilité. - Des fonds propres négatifs, signe de difficultés de
l'entreprise. ✔ Le levier financier : dette y compris le crédit-bail) /EBE.
[...]

[...] Pour le crédit-bailleur ❖ Inscription des matériels à l'actif du bilan


pour la valeur d'acquisition. ❖ Amortissement des matériels. ❖ Loyers
enregistrés en produits (classe 7). ❖ Apparition d'une réserve latente
qui correspond à l'écart entre la valeur nette comptable des
immobilisations mises en location et l'encours financier sur ces
dernières. Cadre fiscal Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) Principe : les
loyers de crédit-bail mobilier sont soumis de plein droit à la TVA ✔ Le
crédit preneur n'étant pas le propriétaire du bien, il n'a pas à s'acquitter
de la TVA sur l'acquisition. [...]

[...] L'évolution de l'activité est à analyser dans le temps, et dans un


contexte, elle est à comparer avec les normes du secteur. Le premier
niveau de rentabilité dans l'entreprise est l'excédent brut d'exploitation
« EBE » ou ce que l'on appelle également « EBITDA ». Il mesure la
rentabilité brute de l'exploitation sans l'impact des politiques
d'amortissement, de provisionnement, et de financement de
l'entreprise. Par ailleurs, il exprime la capacité de l'entreprise à
dégager de la trésorerie. Dans le cadre de l'étude de rentabilité,
plusieurs ratios sont à calculer : - Rendement brut des immobilisations
= EBE/immobilisations, exprime l'aptitude des immobilisations
existantes à calculer. [...]

[...] Celle-ci permettra une appréciation mesurée du risque économique


de contrepartie. Elle constitue une bonne méthode pour négocier à
priori avec son client des covenants juridiques, comptables, financiers
et commerciaux nécessaires pour prendre une décision de
financement. Selon une étude faite en France auprès des juges des
tribunaux de commerce et experts du Ministère des Finances, il ressort
que la situation économique de l'entreprise est souvent mise en cause :
- investissements démesurés par rapport à la surface financière - erreur
persistante dans le contrôle des coûts - prolongation anormale des
fonctions d'un dirigeant dont les capacités ne sont plus adaptées à la
direction de l'entreprise - disparition brutale d'un dirigeant, succession
mal assurée - modification du marché - évolution technique des
concurrents plus rapides avec création de produits nouveaux ou
productivité supérieure. [...]

[...] Elle dépend de la notation interne de la contrepartie (article 124-a


du journal officiel du 20/02/2007). • LGD « Loss Given Default » La LGD
correspond aux pertes constatées en cas de défaillance de la
contrepartie. Elle mesure le taux de perte probable sur une exposition
dans le cas où l'emprunteur ne parvient pas à honorer ses
engagements. Le Taux LGD est le taux de perte en cas de défaut, donc
le taux de LGD est (1-taux de récupération). En méthode avancée, le
taux de LGD est estimé en utilisant une méthodologie interne, sur la
base d'un historique de données de récupération. [...]
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