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Technique d’orfèvrerie médiévale

Définitions

Met en œuvre le travail du métal, précieux ou non (pierres ou émaux) destinée à la ;

 Décoration mobilière
 Culte
 Service de table
 Parure vestimentaire et armement

Orfèvrerie = ensemble des technique de travail de métal mises en œuvres pour les produire

Terminologie= art mineur, arts appliqués, art précieux

Les Techniques
(Source de Théophile orfèvre)

Le travail du métal

Production d’objet pas coulage ou par martelage

1. Par moulage ; (fonte) la fonte à la cire perdue, œuvre de grande dimension et creux (statue)
en Antique, ici objets destinées à la parure vestimentaire (petite statuette).

Réaliser sur or et argent avec des alliage cuivrent, ( le bronze et de l’Eton) technique ancienne de
l’antiquité avec diff variante au fil des siècle selon la taille des objet que l’on veut produire.

Le procéder de fabrication ;

 Fonte directe à la cire perdue , On commence par réaliser un maquette de l’objet en cire
travailler dans le détail. Ensuite ce modèle vas être englober dans un moule = engobage , (le
moule négatif). On prévoit des évent et un cône et on rajoute sur la matrice des tiges de
cire , on enferme tous sa dans le moule d’argile. Sous l’effet de la chaleur la cire se durcit et
en mm temps fond, ce qui donne l’empreinte de sa forme initiales. On sort et le laisse
refroidir, on va couler a l’intérieur du moule du bronze, ensuite laisser refroidir le métal au
départ en fusion, un fois froid on vas casser le moule d’argile, et sort du moule une statuette
en détaille. Ebarbage = on coupe les évent et le couler. On termine en polissant la pièce, le
rendre brillante, et disparaitre le coulis initiale. Le moule négatif et détruit, le décor et crée
en mm temp que l’objet.

Les Finition à froid ;

 Gravure ; (Motif figuré en creux, gravée retravailler pour redéfinir les traits, s’effectue avec
des burins. Consiste a enlever la matière),
 Ciselure ; ( Consiste avec des sorte de cloue, a enfoncer la matières/on tape dessus, crée des
petites marques en pierre. Sur le cuire, l’or et l’argent(métaux malléable))
 Dorure ; (A fonction matérielle, et conservation de la pièce)

Fonte à la cire perdue avec moulage bivalve (ceinture) fibule (élément de ceinture, possédant une
boucle) On amis en place une méthode pour les produire en demi-série le moule bivalve (fome une
pièce et son couvercle)
On commence la création d’une matrice en bois avec la forme générale de l’objet, la première
matrice donne la forme de l’objet et élément de décors, autour d’elle on coule de l’argile réfractaire
= moule bivalve (MATRICE= prototype). A l’intérieur on met sans le creux qu’il a laisser de la cire
( pour proportion) et cette seconde matrice on vas la décorer avec tous les élément de décore. Puis
on crée un second moule d’argile. On passe au four tet en bas, la cire s’écoule du moule négatif, on
fait couler du bronze ou de l’argent, refroidie on le casse et on obtient la pièce voulus. ( On garde la
matrice en cire, qui permet la production).

On a retrouver des trace a Saint-Denis (archéologue) des atelier d’orfèvre autour de la basilique, avec
un moule bivalve, objet très peu épais de qq centimètre max d’épaisseur.

Plaque-boucle à bossettes et décor de vannerie

Plaque-boucle avec griffon et croix 2e moitié Vie-----tenons perforée = coudre

Œuvres ; Dans l’antiquité gréco romaine =cire a la fonte, début MA paléochrétienne 5/6 e siècle en
occident on vas perdre cette technique sur les pièce monumentale. EX ; Statue de Marc Auréle
(Capitole) On produit essentiellement des pièce très plate et vestimentaire en petite taille = réticence
de l’idolâtrie (tabou des image vivantes) On produit des objet avec très peu de reliefs, a décor
strictement ornementale

Période carolingien , volonté de se présenter comme successeur des dernier empereur Romain, donc
renier avec l’empire romain , avec les technique antique appliquer sur des ronde bosse EX ; Statuette
équestre de Charlemagne ( en cavalier carolingien). Cet objet est une ronde bosse en très grande
qualités avec un conteste impériale. Qui reste une statuette, de petites dimension. On renoue avec
les objet monumentaux comme les porte de bronze EX ; Chapelle palatine (chaque ventaille est une
pièce monumentale produit avec un seul tenant, au centre des anneaux de porte en faible relief)

Ouvre la voie en Occident pour les pièce en grande dimension et fort volume dans le siècle suivant.
EX ; Crucifix d’argent ( christ destinée poser sur un autel, la tête détacher du fond, d’une seule pièce
= maitrise d’orfèvrerie) EX ; Portes de bronze ( avec des grands panneaux rectangulaire, un décor
figurées, avec des volumes variées

Au Xie siècle on re maitrise cette technique en Occident . XIIe siècle --- Fonts baptismaux ( une cuve,
figure en très haut relief et proche de l’art antique = courant antiquisant dans l’art dans cette région)
XIVe siècle ----- Vierge de Jeanne d4Evreux (partie fondu , ses mains, visage , et buste du Christ. Et a
ses partie fondue a la cire fondue des parties, des feuille d’argent travailler pas martelage/ plier puis
constituer la silhouette de la vierge. Ces son les feuille qui soutiennent l’ensemble de la statue)

Pièce mouler = lisse

Martelée, = bosseler en surface ( coup de marteaux visible)

Noyau = âme

AUTRE TECHNIQUE DE TRAVAIL DU METAL

 Le martelage (emboutisage) et estompage ; pour métaux malléable (argent, cuivre, or) lors
du martelage, ces métaux se présente sous forme de lingot, On va les ablatir pour les
transformer en feuille de métal la plus fine possible
Peut être réaliser en positif ou négatif, ablatir sur un noyau généralement en bois et vas adapter la
plaque de métal a la forme du noyau EX ; Majesté de sainte Foy (IX-Xie s) travailler en martelant sur
le noyau en bois, et une fois les plaque respectant les proportion elles sont clouée sur des rivée
(rivetée) sur une Bigorne ( enclume préparent les pliures)

Martelage au repoussé, c’est l’inverse des éléments en relief dans l’autre cotées, sur un support
souple et ferme (sable) permet d’enfoncer la matière sans la percées. EX ; Autel d’or de Bale (devant
l’autel, partis basse) Bourrée en relief de cire qui est très stable. Cette plaque d’or a étais ensuite
rivetées sur une plaque de bois en arriéré. Donne un cotée de plat, au relief repoussée.

 L’Estompage ; présente l’œuvre en demi-série, car utiliser pour crée le motif en relief est une
matrice en métal ou en bronze sculptée en relief avec un motif, puis pressé dans un modèle
et imprime en creux le motif présenté en relief ? On peut produire le même motif plusieurs
fois sur la pièce, ainsi que le principe d’estampage. Moyen d’accélérer la fabrication de
certain objet.
 Le Filigrane ; technique de l’Antiquité utiliser dans tous le MA, vient du mot italien », fil en
forme de grain » se file est la traduction qu’on l’apparence Des files de métal précieux en or
ou argent qui sont soudée sur un support métallique sur un support monumentaux dérivée
du monde végétale ( quatre feuille, cœur, lys..) A travers d’un petit instrument (avec des
trous) = Filière . Création des fils métallique = bans à étirer (tréfilage) On fait passer le fil à
travers, avec la manivelle on l’a faisait rouler le long de la chaine et permet d’attirer
rapidement, et régulière le fils de manière voulue. Pour le fil à grains = on crée des petite
encoches régulière avec une sorte de lime en forme de U, sur le fils d’intervalle régulier
(donne l’impression de petit grain) EX ; Garniture de ceinture d’Arégonde DES MARQUEUR
DE DATATION.
 Le niellage (=le nielle) ; consiste sur une pièce de métal précieux a incruster un vernis dans
les creux EX ; Reliure de l’Evangéliaire de Lindau utilise le sulfure d’argent. Des effet de
bichromie noir et dorée (jeu de couleur, un effet graphique avec un noir très intense)
technique qui n’emploie que du métal.

2. LES TECHNIQUE POLYCHROMES

Le sertissage en bâte et le cloisonné

 Le sertissage en bâte ; consiste a insérer des pierre/perle dans des boitier sur un support
métallique, sont bien distingue les uns des autre. Elles sont insérer dans un cerclage
métallique = une bâte . Sous ces pierre (translucide) on inséré un paillon (or, argent…ect.) qui
permet qu’elle reflète la lumière, impression de luminosité. Feuille de métal très fine, poser
sur le fond et légèrement onduler, permet d’approcher la lumière différemment EX ; Croix de
Mathilde et d’Otton (avant 982) Au MA les pierre sont polis. Ces pierres sont de cabochons
( période paléochrétienne.
 Le Cloisonné ; Produit un effet couvrant sur la pièce orfévrier, ces petite cloisons vont définir
des motif, ou l’on y met des plaquette de pierre semi-précieuse. Elles amènent de la couleur
= plaquette de grenat. EX ; Trésor de Childéric
Sertissage en bâte et cloisonné ( association des techniques) EX ; Reliquaire de Teudérie (1ère moitié
VIIe s.) Cela vas disparaitre au-delà du VIII e s. On va passer du cloisonner a l’émaille cloisonner, car
« plus simple » avec des forme plus souples.

Définition ; (changement de support métallique)

Matériaux ---- Support métallique ( or, argent et cuivre partiellement) + fondant sodique (natron) au
fil des siècle. Souvent au Moyen-Age du Salpêtre

Fondant = rôle d’abaisser la fusion du verre

Le verre composant régulier ( SILICE = sable de rivière propre) utiliser par les orfèvres eux- même, le
plus souvent ravitailler au prés d’atelier de maitre verrier. Fabrique du verre pour la construction
(vitrail) --- ou pour les mosaïstes ---- galettes de verres (environ 30 cm de diamètre = pizza)

En émaillerie le verre colorées est plus important----- pour cela l’oxyde métallique et opacifiants
( cristaux d’antimoine, d’étain) ex ; verre opaque l’ensemble est fondue portée a très haute
températures ( différent couleurs / opaque)

Les émailleur utiliser verre a base de sodique, venue de grands lac d’eau salée mélanger a l’eau
douce remplis de sel minéraux = produise n fois récolter, triées = le natron Présent que dans cette
zone dans l’empire Romain unifier ( vient du nom du lac Natron) VII e s l’essor de l’islâm va
compliquées les échange commerciaux a l’intérieur méditerranée. Jusqu’en 1900 = verre en natron.

Certain nombres de verres en natron produit période carolingienne, installer en Italie à Venise . Les
maitres vénitien importe du verre vénitien. Europe Occidentale on la même recette de verre et
ravitaille chez les maitre Italiens. La production en orfèvrerie est faible = besoin en verre faible

XIII e s = Croissance de demande de verre, gouverneur d’Egypte pose des taxe dur l’importation en
natron se qui la rendue plus cher. Oblige ceux d’Occident a trouver des solution de rechange =
diversifications des recettes ( prouver par micro prélèvement). On voit apparaitre une recette aux
composition « mixte » = les plantes marines comme fondants ( pousse a l’aire libre met dans l’eau). A
moitié sonique ---- le fondant majorité seconde moitié 1200 . Au Nord un fondant au cendre
végétales terrestres ( Allemagne, Normandie)

Les événement Socioéconomique = éléments historique du verre

Ils achètent des galettes de verre translucide ou opaque qu’ils vont travailler. Réduise en poudre au
fur a mesure de leurs besoin.

Réduction de verre en poudre ; ----- 1/ coupe la galette de verre et la plonge en choque thermique
= la casse en gros morceaux 2/ réchauffez au près d’un bras 0, et tape dessus ( éclater le verres en
morceaux de plus en plus petits) «3/ Ces fragment sont déposer dans un mortier, broyer en grains les
fragment obtenue ---- = obtient de la poudre de verre. ( une bonne granulométrie)

 Email cloisonné ;

Celui mise en point dan l4Antiquité puis réutiliser au Moyen Age, en Orient et Occident chrétien
(VII es) Sur support métallique précieux = or , argent . On produit des émaux cloisonnées sur de
petit espaces ( zone délimitées). La plaque support obtenus pas martelage a force de marteler =
feuille métallique fine ( 1mm à 1,5 mm d’épaisseur). Les contours des dessins = figure de la
Vierge en médaillon. Le dessin tracer sur la plaque métallique grâce a une pointes en creux
métallique. A l’aide d’un stylet qui vient creusée légèrement = grande lignes de la composition.

Trépan= outil pour creusée de manière précise des petit troues

Réalise sa plaque émaillé cloisonnée ;

Fabriquer les cloisons sur le fond métallique = fragments de fils que l’on coupent en tous petit
morceaux, puis aplatit ses fils fin a la mains, il prépare un quantité de rubans métallique ----- leur
donne la forme voulue (courte généralement) et avec sa pince il a tordue les files a la forme
voulue et place les rubans mis en forme se jouxtent les uns les autres.

La pose de la poudre d’émaille , il Broye la pour selon la palette voulue et les dépose sur de
l’eau = humide, et avec la pointe d’une plume d’oie et peint avec l’extrémité avec la poudre
humide qui favorise l’adération du support. Puis la cuisson, la plaque sur une grille métallique =
un moufle .

Dans le four posée sur des charbons et sur le moufle il posent des braise et monte les flammes.
Suffisamment haut pour que la pour se soit liquéfier et pousse s’opérée lors du refroidissement.
L’eau évaporer, l’émaille occupe une place moindre cas l’origine, j’jusqu’à hauteur d’émaille
élever = opération longue. ( mais cuisson délicate et courte)

Entre chaque cuisson pièce métallique refroidis progressivement dans le four = pas de choc
thermique et émaille fissurée. Puis polir la pièce en frottant la surface de sa pièce avec une pierre
au grains fin et prend une plaquette de bois enroulées dans un morceaux de cuivre sur de la terre
cuite humide ( abrasif humide) = étape du polissage de la plaque

EX ; Relique bourse d’Enger vers 780 présent Surtout dans la cours Carolingienne, mélange de
cloisonnée dans la pierre, a base d’élément de verre. Décor d’animaux présenter (serpent ,…)
émaille cloisonnée pour les fabriquées. Datée de la fin du VIII e s offert au Duc a l’occasion de son
baptême (vassale de Charlemagne)

EX ; Croix émaillée de Pascal 1er ( entre 817 – 824) Composition plus audacieuse

Début XI e s --- EX; Reliure de l’Evangéliaire d’Aribert ( plat supérieur) 1er conserver avec un
émaille sur une surface non plane, (christ en relief) en 2 couleurs diff

EX.; coupe Mérode = une coupe a boire avec des émaux de plis avec une zone entièrement
translucide = émaux à jours. Remplacer par une couche d’argile réfractaire et pose de feuille de
mica au dos, ensuite ponsée pour la rendre inexistante (invisible)

 Email champlevé;

Fin XI es en Occident ( aquitaine) apparaissent dans la vallées de la Meuse ( les 2 méthodes sont
identiques) exclusivement applique a des plaque de cuivres. Le cuivre n’est pas précieux, métal=
donc gisement de cuivre dans le massif central. Support métallique plus épais ( 2 à 4 mm)
possibilités de crées de alvéoles en creusant la plaque sur 1 mm max, la plaque creusée au burin
(motif comme gravée) donc en creusant les motifs. Profil différent des émaux cloisonnées,
d’épaisseurs très variables. Une fois alvéoles déterminer, ils identique à l’émail cloisonnées.

L’Etape de la dorure, avec un mélange d’or et de mercure, puis placée a 500 C au four, permet a
l’or d’embellir la pièce et stopper l’oxydation du cuivre ( pas vert) puis .
EX; Vase émaillé ( premiers jalons) Object en bronze retrouver avec des alvéoles produites en
moulage ( coller a la cire perdue) vase de bronze aux décors colorées produit par de l’émail
(poudre de verre). Permet la diffusion de ces objets émaillées, et baisse les couts de productions.

EX; Chasse de Thomas Becket ( 1180-1200) diffusion a l’échelle Européenne, ces reliquaires
dédiée a Thomas (assassinée dans sa cathédrale par émissaire du roi d’Angleterre ) relique
diffuser en émaille produit a Limoge ( environ 50 )

On voit apparaitre un changement dans les années avant 1180 = figures émailler sur des fonds en
métal. On anime ses fond avec des décors figurées. Après c’est l’inverse le fond est émailler, on voit
des têtes en reliefs qui pont été produites en moulage (bivalve) rapportées se sont des publique
cloutées donc un trous en dessous. Répondre a la demande de la clientèle sui est croissante. Forme
d’uniformisation des visages tous identique. Au XIV es une technique abandonner car maitrise
d’autre formes et les gouts on changer.

EX; Retable de Nicolas de Verdun ---- un Ambon objet correspondant au besoin de l’époque et de
grande dimension (4 m de large) composer d’une multitude de compartiments. Ces figure on était
réhausser par un petite dosse de poudre d’émail ( qui souligne les détails graphique)

Cette technique dur environ un siècle , sur des objets de grande qu’alitées et religieux ( grands
monastères

 Email sur basse-taille;

Exclusivement de l’émail translucide émail déposer sur de zone sur basse taille (par gravure)
technique a la fin du XIII e s, maitrise de la cuisson et des températures élevées (en Italie centrale)
puis dans le reste de l’Europe (jusqu’à Paris)

EX; Tableau reliquaire de sainte Geneviève a fond plus uniformément plat

 Email sur ronde-bosse

Moyen-âge a Paris utilise de l’émaille blanc et en touche réduite translucide ( bleu, vert, rouge).
Sous forme de poudre d’émail humidifier sur des statue en ronde-bosse. Piéce au départ sur des
bijoux ( petit objets). L’apogée de recette technique = années 1400,

EX; Goldenes Rossl ( petit cheval d’or) Cette pièce somptueuse, et la prouesse technique , elle
sont rehausser de pierre précieuses ( rubis, saphir, émeraude …) = étalage du luxe absolue. Ces
pièces sont émailler sur le « vifs » ( sur vivant) un effet illusionnistes a ses objet en ronde-bosse
=impression d’animation

 Email peint

Début XV e s , Produit dans les état Bourguignons, adopter a Limoge, ils s’approprient le casi
monopole de cette technique jusqu’aux XVI e siècle. Plus du tout de cloisons, la plaque métalliques.
Pose aux revers une première couches d’émail humide avec de la gomme arabique translucide mais
sombre ( bleu nuit et violet et bordeaux ) donne l’impression d’une plaque de verre. Puis on pose
dessus de l’émail blanc intégralement sur la face principale ( celle du décors) puis des couche d’émail
transclusive supplémentaire. Dessiner à la plume ou gravées et faire apparaitre la couche en dessous
avec une éguille. EX; Christ Bénissant, en guise de finition poser de l’or et des gouttes d’émail
impression pierres précieuses

Produit a Limoge pendant plus d’un siècle, Toute les pièces 1400 sont des pièce les émaux sombres
sont de composition mixtes, avec beaucoup de Sodium et potassium. Le résultat = Sodium stable
alors que ceux avec beaucoup de potassium sont instable chimiquement = résiste mal au temps
( humidité ambiante) qui se dépose sur la surface émailler et crée des micro fissures ( apparition
d’éclat de verres qui on sautées)

Emaillage = technique consistance par cuisson, une substance vitreuse sur une surface métallique
préparer pour recevoir

Email = poudre de verre colorée sur un support métallique = Résultat de l’émaillage

Emaux = objet produit dans cette technique

PERIODE ANTIQUE : CERAMIQUE ET SCULPTURE

Technique artistique ;

Techné (mot grec) la maitrise d’un savoir faire d’une métier ( manuelle / artistes ) Les artisan sont
avant tous des maitres artisans a partir du VIIe siècle, les artistes signent leurs œuvres.

Aphrodite de Mélos ( faits partie de cette techné se savoir faire , a partie religieux) l’utilisation des
mot pour désigner ses artisans, Banausos (technitès) thème péjoratif = qq avec un travaille manuelle
condition pas nobles (moins bien vue par les grecques). Les travailleurs artisans en tant que manuelle
sont sous la protection d’Apollon et des Muses.

2 divinités souvent honorées, très présente ;

- Athéna Erganè ( avec armes et couranne accompagner de sa victoire) = une Athéna ouvrière ,
potier et les sculpteurs

 Héphaistos = qui est le dieu ouvrier et patron des bronziers ( il travaille pour les dieux, armes
d’Achille)

Céramique Grec

Les vases = source archéologique très riches ( défaut et accident = comprendre la procédure utiliser)
Vase antique ex ; Lécythe

 Source iconographique a travers les vases ( représentation des scène de la vie quotidienne =
scène des ateliers de potiers) Vases décorer.
 Types de document en terre cuite, ( plaquettes votives du sanctuaire de Poséidon Corinthe)
fine plaquette en terre cuites , orifices sur les quatre extrémités, sorte d’offrande pour la
protection divines.
 Fouille des carrières d’argiles et des ateliers de potiers (four, tour, outils, vase raté) intérêt
des technique des artisans, assez complet au niveaux des restes dans ce type d’endroit
(poubelle)
 Littéraire Antique ; très pauvres , au niveau des texte sur l’agriculture (vases utilise)
 Atelier de potiers moderne ; ( collaboration entre portier et archéologue = archéologie
expérimentales)

Argile , matériaux former par l’érosion continue de la surface de la terre qui est composée de
nombreux minerais dont le feldspath = différent types d’argile
 Argiles blanche , primaire ou résiduelle,= argile pure qui ne vas pas emportée pas l’eau et le
vent (Kaolin) argile sédentaire ( utiliser pour la céramique grec et les couleurs) pour la
décoration
 Argile rouge; argile transporté par l’érosion , présence imputées minérales et organique.
Pour la construction de vases.
 Argile attique / argile secondaire, TYPIQUE des potier Athéniens, très fine et grande plasticité
de type rouge / argile de Corinthe est jaunâtre ( plus clair) EN FOND

Coupe ( Kylix) vase rond , large avec des anses vers le haut , décore extérieur ( tendon ou madaillon)
= a l’intérieur de la coupe décore secondaire.

Etape de fabrication d’une coupe antique ;

1. Extrait de L’argile ; site AMAROUSSI, Athènes


2. Purifier l’argile, dépend du type de vase fabriquer = Lévigation = dans des bassins remplie
d’eau ( ex ; atelier de Phari ) il faut une citerne, remplie d’eau et ses parois sont enduits, elle
a une sorte de canalisation qui aliment un bassin extérieur= mettre l’argile pour le nettoyer ,
la plus fine sur la surface de l’eau (sortir de petit canaux) répéter certes procédure autant de
fois pour plus fine et propres. Alimenter la citerne avec de l’eaux , nettoyer jusqu’aux vases
voulue. BASSIN DE DECANTATION = bassin juxtaposer
3. Laisser l’argile sécher , l’eau s’évapore , elle commence a craquer , et l’artisan récupère son
argile en bloc vas la stacker dans des bâtiments , qui vient d’être nettoyer.(retrouver dans
des ateliers) Puis le travail de l’argile ;
4. On mélange la nouvelle argile avec de l’eau et de la vielle argile stockée
5. On mélange l’argile pour la rendre souple et éliminer les bulles d’air qui peuvent craqueler la
surface du vase lors de la cuisson.
6. On pétrit a la main ou avec les pied l’argile
7. Argile prête a la fabrication.

fabrication du vase

8. Le Façonnage
9. Le Décor
10. La cuisson

Le potier doit connaitre les caractéristiques de l’argile, donc avoir en tête que l’argile peut se réduire
a deux phases du travail ; Séchage et cuisson

Fabrication du vase façonner ;

 Epoque néolithique, a la main , le modelage ( pour céramique commune ex ; marmite)


 A l’aide de cordons d’argile
 Colombine =posés l’un sur l’autre (pour les vases destinées au stockage)
 Tour ( révolution) = composer en disque fixé sur un axe , peut être activer a la main ou le
pied. On utilise le tour pour la fabrication de la « bonne vaisselle ».

Le modelage pas abandonner, utiliser pour fabriquer des éléments du décore (embouchure, …etc..)
Fabrication de coupe sur le tour ;

après malaxation il faut couper les différent morceaux, placée au centre du tour ( tourner
mécaniquement) ouvrir et élargir cette coupe avec des parois très fines, travaille avec mains ,
éponges ou spatule = former les moulures ( plus épaisse) avec un fil détache face supérieur, a la base
il y a les trace du tour, ( morceaux qui porte encore les traces).

Puis sens inverse , pour le pied de la coupe, avec le l’eau vas faire le pied fin, et prend un outils
pointue pour percer le pied ( mieux pour la cuisson = air qui circule) coupe avec son fil, et crée une
sorte de panneau est repositionner son pied pour continuer les détail (finaliser le pied)

Le repositionne sur la coupe avec des morceaux d’argile , délimites la surface supérieur pour la anses
de la coupe en plain centre, et essaie de retirer avec un compas fixe l’endroit du pied , et tape ( pour
l’allonger) puis rassembler les différente partie du vases, utilise la BARBOTINE= argile délayée
employée pour fixer différentes partie du vases et des éléments

Les Anses vont êtres modeler a la mains, ( se qui rester de sa partes a rouler) vas couper et a l’aide de
la barbotine vas les positionner sur le vase.

Décor de la céramique grecque

Utilisation du vernis noir ; terme conventionnel, mélange de l’argile fine a l’eau et a la potasse ( avant
cuisson , sorte de crème brune)

D’après une expérimentation moderne


Le mélange reste au repos 48h, on garde les particules fines du mélange en suspension sur la surface
a l’issue d’une phase de décantation, mélange dans la cuisson = cette couleur noir brillante au reflet
métallique. La couleur rouge en fond des vases.

Période Géométrique 900 -700

 Décor géo, et apparition de figure animale et humaine ( scène réaliste et mythes)


 Figure en silhouette ( sont pleine) (vernis noir) et détail au contour (tête et yeux), la
distinction de sexe difficile , femme = longue robe, mais parfois représenter de la même
manière ( sauf niveaux du torse) ex ; grand vases , avec un front clair désigne ses figure noir,
pleine ( chevaux , soldat, boucliers)

Céramique protoattique Athènes période archaïque VIIe siècle --- Orientalisante 700-600

 Figure a silhouette noir, propose l’utilisation du contour ( homme et femme)


 Utilisation timide de l’incision (Orient) partie du vase, sur le vernis noir ( argile clair qui
ressort
 Utilisation d’engobe blanc ( argile primaire= kaolin) pour certain détails comme sur le visages
et corps
 Style black and White (typic Athenians)
Décor à figures noire Corinthe 690

Figure noire, bouleverse la palette ( plus riche) des peintre en proposant le noire et. Détails incisés
( apparition de la couleurs claire ) Engobe rouge et blanc en fond. Tous les détails figuratif vont être
incisées sous l’influence de l’Orient, pour faire ressortir l’argile de base. Céramique sui vas avoir un
énorme succès. Plus gros commerçant dans l’antiquité, et Athéniens vont suivent en abandonnant le
Black and White.

Engobes ( placés soit sur le vernis noir soit directement sur l’argile)

 Blanc = argile primaire


 Rouge / pourpre= mélange
 Jaune = mélange noir et blanc en pourcentage

Les Athéniens abandonne leur technique , et adopte en 630 la technique des ces figure noire fond
clair/ rouge (pendant un siècle). Puis figure rouge en 530 , en fond noir (utilisation des pinceaux)
mais avant, ils essayer de varier leurs production artistiques, et vont proposer la technique SIX

Figure Noires à Athènes ;

1. Application d’une fine couche d’ocre miltos (jaune / rouge) pour la décorer = intensifier la
teinte rouge de l’argile d’Athènes, applique partout
2. Prend un caillou pointue pour polir la surface du vase avant application.
3. Les scènes, viennent de dessins préparatoire ( esquisse avec un morceau de charbon ou de
plomb)=(d’abord dessine la partit basse de la figure)
4. Application du vernis noire avec son pinceau (des engobes et incision), puis application blanc
par-dessus ( pour femme) et on incise , par-dessus la couleurs voulue.

Convention du décor a figure noires

 Vernis noire pour figure féminines et masculines +motif décoratifs ( distinction par engobe
blanc pour femme )
 Incision pour les contour et détails
 Engobe blanc = partie dénudée des femmes ( placées directement sur l’argile soit le vernis
noir ), le mobilier, les épisèmes , de boucliers, cheveux, et barbes des prsng plus âgées
 Engobes rouge = pour les vêtements secondaires ( barbe , cheveux, emblème, bouclier) sur
les inscription (nommer les prsng /dédicace) le sang et les motifs décoratifs.
 Yeux féminis : amande,
 yeux masculins : rond ou en forme de soucoupes
 Yeux de face dans une forme de cotée

Technique qui commence à s’affaiblir ( 535-530), donc de la nouveauté ;


Contour peint ; peinture dénudée féminins sans engobe blanc mais laisse la couleur de l’argile.

Amphores Panathénaïque ( amphore a colle ) iconographie standardisée , en face Athéna


combattante, toujours encadrer par deux colonne d’ordre dorique, qui sont surmonter par des coqs
(symbole de la compétition) et une inscription, de l’autre cotées le sport participées et gagner. La
réorganisation des jeux Olympique en 656, toujours décorer avec des figures noires (seul Athéna
change, et un certain moment le noms des magistrats, ou la forme du vase) ses vases n’ont pas de
dédicace car objet sacrée. On les reconnait a travers l’emblème du bouclier ( ex Pégase ), il y a à
partir de 530 toujour l’utilisation de cette technique dans un cadre de jeux.

Certaines couleurs vont apparaitre comme de vernis rouge-corail brillant (ex ; kylix de Psiax)
Représente un des travaux d’Héraclès, qui au fond de la scène utilise un vernis rouge corail a figure
noires. Aussi proposée par Exékias , dans l’épiphanie de Dionysos.

Cette couleur est due surement a la cuisson ou a sa composition de « vernis rouge » (plus fine que le
vernis noir et présence d’ocre ?) = Volonté de variées et proposée d’autre produit qu’a seulement
figure noires Autre couleur apparait dans cette palette apparus sur une coupe, Engobe gris/bleu sur
les cheveux d’un des personnage, il est entrain d’être étudier.

Technique alternatives des peintres Athéniens avant l’arrivée des figure rouges ;

 Ils proposent un engobe rose (engobe associée au blanc 25 pourcent)


 La technique de Six ; Engobe blanc, rouge ou rose sur un fond noir uni, on incise de deux
manières ;
-On incise les détails pour faire apparaitre la couleur du vernis noir
-On incise aussi les figure en contour sur le vernis noir pour faire apparaitre la couleur de
l’argile
 ex ; Amphore a col « nicosthénienne » femme représenter nue, joue avec son chien et sent
un bouton de fleur (geste associée a a beauté féminine) porte une couronne végétale, il a
incise la chevelure (séparer du fond noir) ressort la couche du vernis noir. Il a applique
l’engobe blanc sur le visage et corp autours des mèches longues noirs le même que celui en
fond
 Plus ancienne utilisation inventé par les corinthiens puis repris par les Athéniens
Olpé Chigi 640 av J-C ; Scène des Oplites, sous cette frise une frise en noire visible a l’œil
nue, et après restitution , figure en blanc d’animaux.

Lécythes et vases a fond blanc Fin Vie s ( funéraire)

 Le vase est posé sur un tour qui tourne. Sur le fond rouge de l’argile attique, le peintre pose
l’engobe blanc au pinceau qui recouvre la surface du vase
 Au début , sur les premiers lécythes, l’argile primaire (engobe blanc) contenait de l’oxyde de
fer qui donnait une couleur jaune. Surfasse lisse (polissage) ou matte (sans polissage)

Ex ; Lécythe à fond blanc attribuer a Sabouroff , on garde certain élément (femme= engobe blanc/
peau encore plus blanche)
 Ligne en vernis noir pour le contour des figures sur fond blanc (plus ou moins épaisse)
 Lignes en relief (noir) ou ligne diluée (marron, couleur miel)
 On se rapproche plus de la peinture sans incisions

Vases athéniens à figure rouges


 Technique athénienne , associée a Andokidès vers 530
 Figurent à motifs rouge (couleur de l’argile ) avec un fond noir
Nouveauté des figures rouge ;

 Plus grandes liberté avec le pinceau


 Représentation plus facile des vêtements en mouvement, et des vue ¾ ou de dos, des
sentiment
 Représentation beaucoup plus réaliste, abandon des convention du décor a figures noire
(mem couleur la peux des deux sexe
 Anatomies , vêtement, coiffure = distinction du sexes

Technique Style Ketch (Ukraine Crimée)

Certaines couleurs sont ajoutées après cuissons, comme le bleu et le vert, couleurs ajoutées = palette
encore plus large. Certain personnages vont être rendue en relief (ligne noires), La Dorure est
appliquée ( de fines feuille d’or) dorées certaines figure du décors. EX ; Costume de Paris. Ou Athéna
(Egide d’Athéna en or), retrouver dans des contexte funéraire.

Sur les partis en argile en relief, on pose des feuilles en or (on presse la feuille avec une brosse, on
polit la surface avec un outil pointue et enlève tous ce qui dépasse) ex ; ailes des Erotes, couronnes,
guirlande , colliers, sceptre, et corp en dorée. Dorure avant ou après cuisson ?

les Athéniens Essaient de concurrencer avec les Corinthien. Avec ses couche en Or autant en
céramique que dans les bijoux et parure avec le même motif et même style.

Vase Grecs a motif géométrique floraux , et scène de la vie quotidienne = évolution des style
d’histoire racontées. 570 av J-C , ils vont utiliser les inscription et légende pour citer les personnages
« la mode de l’ »poque ».

EX ; Vase François 570-565 = 270 figures avec 121 inscriptions qui les nomment objet et
personnages.

 KALOS=Beau une inscription récurrente ( maniéré de publicité de la beauté de personnes)


 Signature de potiers et peintres ; utilise des phrases = SOPHILOS EGRAFSEN (Sophilos a peint)

Les légendes font parties de ses décore + inscription de légendes qui arrive plus tard placer pas les
propriétaire ;
1. inscription Graffito
2. Inscription Dipinto

Le four dans l’Antiquité Gréco-Romaine, (grâce a la représentation sur certains support). Posséde un
foyer ou se place le bois, un pilier soutient un sole qui permet a l’aire chaud de circuler du foyer a la
chambre des cuissons. Parti haute , il y a deux ouverture une trappe = prise d’aire (permet l’arriver
d’oxygène dans le four , de l’autre cotées un petit conduit , qui permet au potier de surveiller la
cuisson (avec un fragment de céramique va tester la cuisson du four) = Regard

Une seul cuisson = 3 étapes


 Le four pour la poterie = circulaire ou piriforme (rectangulaire pour les figurines
 Support centrale pour le sole

Sur l’ile de Thasos, on a retrouver un grands nombre d’atelier de poterie pour les amphores (ruine
de four)

Cuissons en trois étapes : (Difficile à réaliser)

1. Prise d’air du four ouvertes et augmente ses températures de 800= phénomène d’oxydation
(oxygène attaque la surface du vase) surface des vases avec le vernis noir= rouge
2. Prise d’air du four cette fois ci fermées , augmente la température a 945, fumée de bois vert
et les feuilles = phénomène de réduction (plus d’oxygène) toute la surface du vase va être en
noir. Le Monoxyde de carbone crée par la fumée va se réunir avec l’oxygène de l’oxyde
ferrique de l’argile (rouge) = Oxyde ferreux noir . Donne la vitrification des surfaces
3. Réouvre ses prise d’aire et baisse la température 875, avec cette baisse l’oxygène revient
dans le four, et cette oxygène va attaquer les parties du vases sans vernis noir qui deviennent
à nouveau rouge. Oxygène ferreux (noir) = devient oxyde ferrique (rouge) Va faire brillait.

Témoins = caissons de vases cassées (pour voir la réaction du four)

Ex ; Vase du musée du Louvre ( si on voit la face arrière =problème de cuisson qui a augmenter)

Fantômes = des traces qui apparaissent sur le vase blanchâtres, ombres = accident de cuissons

(Suite CM)

Caissons portent des petit orifices (troue) = pied d’une coupe qui a était cassée = manière de réparer
le vase avec des crampons (agrafe) en métal (donne des petit troues) = importance pour le
propriétaire. Restauration antique ancienne

Vase en plusieurs fragments a reconstituer lors des fouilles. (lien diapo phase de cuisson)

Céramique grecs d’autre atelier présente la technique au décors à relief ( période orientalisante)
retrouver dans les Cyclades. Des pyttos (grand vase de stockage) fonction d’offrande de sanctuaire ,
et fonction funéraire.
Ex ; Pithos de Mykonos 675, fonction funéraire, les anses sont fermés = garde funéraire. Le plus
connue de cette technique et plus ancienne forme iconographique de la prise des Grecs de la ville
Persiste.
 Sur le col, la représentation plus ancienne du cheval de Troie (cadeau empoisonnée des
troyens) et petites têtes = grecs à l’intérieur. L’artiste indique des roulettes (cheval qui roule).
On va modeler les figures puis appliquer sur la surface du vase avec des incisions (boucliers
…) échelle pas respecter. Appliquer couche d’Engobe blancs ou l’on met des couleur, puis
cuits et après décors et couleurs.
 Sur l’épaule deux grande frise séparée par des panélinures (superposée par une série de
métopes) avec l’utilisation de petits sots en relief. Personnage de femmes grecs en profil
avec ses enfants (modeler a la main sur la surface du vase avec de la barbotine).
 Scène d’anakalypsis = femme mariée retire son voile (roi de sparte retrouve Hélène sa
femme)

Vase 2 : Technique en relief avec Persée qui décapite la Méduse (époque archaïque) = Hésite avec la
représentation de la Méduse. Sur le corp du vase frises superposée (monde orientalisant).
Sceau-cylindre : combat de héros et d’animaux, 260 décore des sarcophage = rend le décors
estampillé à la roulette. Personnage : la scène d’un homme barbue essais d’enlevée un boit de bois
prés de son œil = Ulysse et cyclope. Sujet du Ve siècle. Choix du mythe intéressant.
Soit on utilise le modelage, avec le temps on utilise des moules = pour faire des vases à relief (séries
de bols mégariens, reproduit à l’un de ces moules ou l’on grave ses motif de scène mythologique)
Une four au four on obtient Skyphos/bol dit « mégarien ».

Vases plastique (sculpter) ;

Fait partie de la vaisselle riche, utiliser pour parfum ou vin banquet.

Fabrication ;

RHYTON =corne forme de vase de l’orient (perse) en métal, bronze. Proposée (imiter) par les Grecs
en terre cuite (argile) ,

 Tête ; fabriquer le prototype (modèle plein) en terre cuite argile, un model plat
 Laisser sécher et mettre au four (cuisson)
 On récupère une tête du cerf creuse
 Fabrication de moules bivalves ; on place au milieu du prototype un fil qui va dépasser, on
place une couche d’argile (enveloppe le prototype) qui vont être transformer en moules une
fois le fil tirer correspondant aux deux parties du prototype, et enfin le séchage et cuisson
des deux moules obtenue. (les moules porte en creux le modèle du prototype en relief)
 Donne un moule bivalve avers et revers
 Produire le vase en plastique en creux ou figurines
 En travaillant avec la croute d’argile que l’on aplatît avec un rouleaux
 On décide l’épaisseur au découpage
 Le doigt a l’intérieur du moule pose de fines couche d’argile (croutes) dans les moules et
découpage du surplus. (sur les deux partit bivalve
 Procéder à la jonction du revers avec l’avers
 Placer un colombin sur la partie revers qui sert de jonction pour bien les coller
 Puis fermer des valves du moule, avec le serrage (serre bien fort) du moule fermé
 Avec son doigt va lisser l’intérieur ou se trouve la jonction des deux (en terre)
 Attendre un peu, ensuite par le revers (dos) le démoulage de la valve la figurine sort avec une
série de barbes et coutures donc on fait un ébarbage de la figurine (pour la lisser)
 On peut lui rajouter des décors ou incitions ( ou couleurs)
 Une fois le corp obtenue ; rajouter les éléments supplémentaires, les oreilles par exemple du
chien (modeler a la mains) rajouter avec de la barbotine.
 Le col sur le tour du potier et le rajouter avec la barbotine et les anses du vase (modeler à la
main)
 Puis la peinture sur la surface du vase (vernis rouge et noir) = brillance par la potasse
 Et enfin la cuissons définitive du vase/figurines
Sculpture Grecque (en bronze/métal)

Vocabulaire ;

Le termes pour le Ve siècle un terme général qui désigne une sculpture = Agalma = désigne un belle
objet (qui fait plaisir aux divinités) Agalma tou Apollonos (inscription)

Andrias = Homme = statue qui représente des êtres humains

Agalmatopoios = sculpture représente des divinités

Eicon = image , portrait sculpté ou peint

Dans la sculpture grecques plusieurs matériaux, le bois puis associées a d’autres. Le bois = olivier,
cyprès, bois de vignes, cèdre et ébène. ( dans les statue très célèbre statue de Zeus). Os pour les
petite statuettes. Ivoire pour les petites statuettes et technique mixte ( éléphant d’Asie et Afrique, ou
hippotame) importer de l’orient Perse, et orient d’Asie , d’Afrique

Pierre ; calcaire , tuf (poros), marbre ou plâtre.

L’Argile est majoritairement proposée en Grèce Antique, surtout pour la représentation du corp nue
féminin.

Métaux précieux ; or (chrysor) et argent ( statue en or massif selon les récit, les auteur ancien
mélange ou se trombe avec le bronze d’orée = faute statue en or) ou a cause des alliage avec le
bronze. Et des statuettes en argent. EX ; vase figure rouge, statue d’apollon (avec son arc ) a une
couche d’engobe jaune qui recouvre son corp = or ? bronze ? EX ; statue apollon an bronze donne
une couleur or a causse de ses alliage.

On les utilise dans des technique mixte ;

Chryséléphantine ; bois pour le noyau, ivoire pour les parties dénudées du corps, or pour les
vêtements de ses figures, pour le milieu du corp c’est l’ivoire (Elephas , éléphant ses défense)EX ; au
Vie siècle sanctuaire apollon a Delphes statue avec tête chryséléphantine , avec des élément
métallique , l’or est utiliser pour les vêtements de ce personnage. EX ; statue Athéna Parthénos,
reconstitution d’après des textes. Sur le parthénon , il reste un troue d’une taille carrée
(certainement un toue de poteaux sur laquelle elle étais fixée.

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