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AVANT PROPOS

Nous voici au terme de notre stage de professionnalisation qui


s’est passé à la Direction Générale de Douane et Accises (DGDA). Notre
stage a débuté le 15 Décembre 2013 et pris fin le 18 Janvier 2014.

Nous tenons à remercier les autorités académiques d’avoir


organisé ce stage qui nous a pris 1 mois pour acquérir des nouvelles
connaissances, mais aussi d’appliquer la théorie à une pratique de
professionnalisation.

Nos remerciements les plus sincères à nos encadreurs :

Monsieur Dodé, monsieur Erick, monsieur Prince, monsieur


Thoms et madame Maguy.

Nos remerciements les plus sincères à papa David ainsi qu’à


toute sa famille.
[2]

INTRODUCTION

Du 15 Décembre 2013 au 18 Janvier 2014, nous avons effectué


notre stage professionnel de fin du premier cycle d’études au sein de la
DGDA/KATANGA à la sous-direction EP-VILLE/INFORMATIQUE.

La direction générale des douanes et accises est une entreprise


publique sous tutelles du ministère de finances

Au cours de ce stage nous avons eu à faire connaissance aux


réalités professionnelles de la DGDA/EP-VILLE par un passage aux
différents services que comprend la sous-direction de l’informatique EP-
VILLE.

Ce rapport est subdivisé en 2 chapitres hormis l’introduction, la


conclusion.

Chapitre I Présentation de l’entreprise

Chapitre II Déroulement du stage


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CHAPITRE I :. PRESENTATION DE L’ENTREPRISE


I.1. Situation géographique

La Direction générale de Douanes et Accises a pour siège


administratif à Kinshasa dans la commune de la Gombe, et la direction
provinciale du Katanga se situe au N° 1 de l’avenue Lumumba, Q/
Makutano, C/ Lubumbashi, ville de Lubumbashi, province du Katanga
en République Démocratique du Congo.

I.2. Historique & Statut

Après l’indépendance en 1960, l’administration douanière


congolaise a été mise sous tutelle du ministère de finances sous
l’appellation « Administration de Douane et Accises » en sigle A.D.A. celle-
ci fonctionnait comme une direction de ce ministère.

L’A.D.A. a été érigé en office au terme de l’ordonnance numéro


79/114 du 15 mai 1979 portant création et statut d’un établissement
public dénommé « Office de Douanes et Accises » en sigle OFIDA. Cet
office était soumis à la loi N° 79-002 de janvier 1979 portant disposition
générale applicable aux entreprise ; de ce fait il devient un service public
à caractère administratif, économique et financier doté d’une personnalité
juridique. Il se substitue enfin à l’A.D.A. et est classé dans la catégorie A
group II.
Conformément à l’ordonnance N° 78-457 du 6 décembre 1978, fixant les
allocations des membres de conseil d’administration, de commissaires
aux comptes et déléguer généraux aux entreprises publiques.

Au terme de ** du décret N°09/03 du 3 décembre 2009 portant


création et organisation de la direction générale des douanes et accises
qui stipule dans son article 1, qu’il est créé au sein du ministère de
finance, un service public doté de l’autonomie administrative et financière
dénommée « DGDA ».
Le décret précité érige l’OFIDA en une des directions de ministère de
finance avec les mêmes missions et attribution qui lui étaient dévolues.
[4]

I.3. Missions de la DGDA

La Direction Générale des Douanes et Accises a plusieurs


missions en exécution des disposition de l’art 4 du décret de la DGDA

 Fiscale
 Economique
 Sociale
 Statistique

a. Fiscale

La perception des droits, taxes et redevances à caractère


douanier et fiscal, présent et à venir qui sont dus à l’importation et à
exportation des marchandises de toute matière, soit du fait de leur transit
ou séjour en l’entrepôt.

La perception des droits d’accises et des consommations


présentes et à venir etc.

b. Economique

Elle protège et prônes l’industrie locale par voie tarifaire ou non.


(Sur taxe ou prohibition) etc.

c. Sociale

Elle protège la population en appliquant les mesures de


prohibition par rapport à certain produits etc.

d. Statistique

Gérer et élaborer la statistique de flux international

NB : Les produits en transit sont stratifiés par un document


mais ne sont payables à la douane.
[5]

I.4. Organisation de l’entreprise

La Direction Générale des douanes et accises est dirigée par un


directeur général appelé « Directeur Général des Douanes et Accises »
assisté de deux directeurs généraux adjoints et plusieurs directeurs,
sous-directeurs, inspecteurs, contrôleurs, receveurs et vérificateurs.

Le Directeur Général et les deux directeurs généraux adjoint


sont nommés, relevés et révoqués de leurs fonctions par une ordonnance
présidentielle sur proposition du gouvernement, délibérée en conseil de
ministre et sont suspendu que par un arrêté du ministre de finances qui
informe les gouvernements.

I.5. Structure de l’entreprise

La direction générale des douanes et accises est régit d’une


administration centrale, ayant des directions, des services ainsi qu’une
brigade douanière.
Des directions provinciales et des bureaux des douanes.
Des délégués de la douane à l’étranger.

En province, la DGDA est dirigé par un directeur provincial qui


coordonne l’ensemble des activités, de la province, secondé par de sous-
directeur des différents sous-directeurs dans la province.

La direction DGDA/EP-VILLE est dirigée par un directeur


provincial, secondé par un sous-directeur. Elle est organisée en
inspections, en voici quelques unes

 L’inspection de l’informatique
 L’inspection des statistiques
 L’inspection de la brigade douanière
[6]
[7]

CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE

Dans ce chapitre nous allons expliquer le déroulement de notre


stage à la DGDA, nous allons expliquer les actions faites et leurs
procédures.

Nous avons d’abord commencé, par quelques séances de


formation sur le réseau informatique et nous sommes passés par
quelques applications.

II.1 NOTION DU RESEAU INFORMATIQUE

Définitions des quelques concepts

RESEAU : En général, le mot réseau désigne un système


d’interconnexion des entités bien déterminées, qui échangent des
informations selon une règle bien définie.

RESEAU INFORMATIQUE : un réseau informatique, de même qu’un


réseau de télécommunication, est un réseau numérique à intégration de
service(RNIS), qui permet ainsi d’acheminer sous forme numérique des
textes, des images et des sons.

Du point de vue physique ou matériel, un réseau informatique


est un ensemble d’ordinateurs et de terminaux interconnectés.

ORDINATEUR : est un équipement capable de traiter les données


d’une manière semi-automatique ou automatique.

 Semi-automatique, lorsqu’il y a l’intervention de l’homme


 Automatique, lorsqu’il s’agit d’un processus fonctionnant
sans l’intervention de l’homme.
[8]

DE QUOI EST CONSTITUE UN RESEAU INFORMATION?

Un réseau informatique est constitué :

1) Des médias de transmission


2) D’équipements d’interconnections.

1. MEDIAS DE TRANSMISSION

La transmission des informations (données) se fait par :


A. AIR (ou onde), qui permet de véhiculer les informations à
des très grandes distances, ainsi à des petites distances.
B. CABLE qui permet de véhiculer les informations sous
forme des signaux électriques à des distances limitées.
C. FIBRE OPTIQUE qui permet de véhiculer les informations
sous forme des paquets lumineux à des très grandes vitesses ainsi qu’à
des longues distances.

2. EQUIPEMENTS DE RESEAU

 Du point de vue AIR, c.-à-d. les ondes électromagnétiques,


nous pouvons parler de WIRELESS, c.-à-d. les sans fil, Wimax, Wifi
 Du point de vue CABLE, nous allons distinguer les câbles
coaxiaux, les paires torsadés RJ45 et RJ 11.

Notez que le câble coaxial est utilisé pour les équipements


télévisions, le Modem-Vsat et le câble coaxial véhicule les informations
sous forme de signal analogique.

Notez que le câble coaxial est utilisé pour relier le Modem-Vsat à


un fournisseur d’accès internet, F.A.I en sigle, qui n’est rien d’autre
qu’une antenne.

Le câble coaxial véhicule les informations sous forme de signaux


analogiques.
[9]

Par ailleurs, nous avons distingué deux types de câbles pairs


torsadés :

 Le RJ 11 et
 Le RJ 45
 Les RJ 11 sont utilisés dans la téléphonie
 Les RJ 45 sont souvent utilisés pour connecter les
équipements informatiques :
 Ordinateurs
 Switch
 Serveur
 Routeur,…

L’avantage des câbles pairs torsadés (RJ 11 et RJ 45)

Les torsades des fils conducteurs dans un câble pair torsadé


permettent d’éliminer les effets des champs d’un fil conducteur sur un
autre.

Notez qu’autrement, les câbles pairs torsadés sont aussi appelés


câbles ITP.

SERTIR LE CABLE ITP

NB la connexion locale des équipements informatiques (une telle


connexion est dite LAN(*)) par les câbles ITP se fait selon le respect de 2
normes bien définies.

Nous distinguons 2 types des normes, à savoir normes B et


norme A

NORME B

Lorsqu’on serti le câble ITP, on veuille que les fils conducteurs


colorés à l’intérieur soient disposés comme suit :

1) Orange blanc
2) Orange
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3) Vert blanc
4) Bleu
5) Bleu blanc
6) Vert
7) Café blanc
8) Café

C’est cette disposition qui est dite la norme B

NORME A

1) Vert blanc
2) Vert
3) Orange blanc
4) Bleu
5) Bleu blanc
6) Orange
7) Café blanc
8) Café

Du point de vue connexion des équipements informatiques par


câbles (ITP), nous pouvons les regroupés en 2 groupes.

Ainsi, il y a des équipements dont la connexion nécessite le


strict respect de la norme A et d’autres celui de la norme B.

Par ailleurs, il faut savoir qu’entre 2 équipements, nous ne


pouvons que faire deux types des connexions par câbles (ITP) :

 Connexion croisée (entre 2 équipements de même nature)


 Connexion droite (entre 2 équipements de natures
différentes)

Nous préférons le terme câble à la place du terme connexion,


ainsi nous disons câble droit et câble croisé.

Câble droit : on parle du câble droit, lorsqu’à ses extrémités,


nous avons soit la configuration B-B, soit la configuration A-A.
[11]

Câble croisé : on parle du câble croisé, lorsqu’à ses extrémités,


nous avons la configuration B-A.

Remarquons que par la lettre B, nous désignons la norme B et


que par A la norme A.

 FIBRE OPTIQUE : contrairement aux câbles, les fibre


optique couvre de distances très énormes et permet une transmission des
données à des gros paquets.
 SWITCH : est un équipement d’interconnexion réseau
LAN, qui permet à plusieurs terminaux de se connecter à travers ses
divers ports, en réseau au niveau local.
 REPETEUR : en informatique, un amplificateur des
signaux est désigné sous l’application d’un répéteur.
 HUB : est un répéteur qui joue en même temps le rôle d’un
simple Switch dans un réseau local. Les ports d’un HUB ne sont pas
manageables.
 Switch CATALYST : est un Switch manageable ou c’est
un Switch dont les ports sont manageables. Un Switch manageable est
un Switch qu’on peut lui imposer une configuration.
 AP ou ACCESS POINT (point d’accès) : terminologie usée
pour désigner les équipements réseau.
Les Access point sont des équipements utilisés en réseau
permettant aux utilisateurs sans fil d’accéder à des ressources selon une
norme bien définie.
Donc un Access point est un pont en WIFI.
 EXPENDEUR : c’est un équipement de réseau, au même
titre qu’un HUB, mais qui fonctionne en WIFI.
 PONT (bridge) : est une fonctionnalité des certains
équipements de réseau comme AP, HUB, Routeur, SWITCH,…
 ROUTEUR : est un équipement d’interconnexion
permettant d’interconnecter 2 ou plusieurs réseaux locaux différents.
[12]

 AP ROUTEUR : est un équipement de réseau, obtenu en


fusionnant un AP et un routeur, qui permet une gestion plus avancée des
utilisateurs que s’il s’agissait d’un AP.
 SERVEUR : un serveur est un géant ordinateur avec un
système d’exploitation (système d’exploitation serveur) présentant des
informations consultables ou utilisables à distance au moyen d’un
ordinateur ordinaire.
Donc un serveur est un équipement réseau qui permet le
partage des ressources entre différent postes.
Remarque : selon le rôle qu’on peut consigner à un serveur,
celui-ci sera désigné comme étant un :
 Serveur fichets,
 Serveur téléphonie,
 Serveur données,
 Serveur impression,
 Serveur Web,
 Etc.
 MODEM : un équipement réseau qui reçoit le signal
analogique et le converti en signal numérique.
 IP PHONE : sont de téléphones qui se connecte sur le
réseau par les câbles RJ45.
[13]

ILLUSTRATION D’UN RESEAU INFORMATIQUE

7
LAN 1

1 2 4 5 6
3
7

LAN 2

1. Switch
2. Câble ITP
3. Routeur
4. Câble ITP
5. Modem
6. Câble coaxial
7. Antenne (F.A.I)
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II.2 RESEAU INFORMATIQUE DE LA DGDA/ KATANGA

La DGDA étant qu’un service publique de grand envergure ; qui


couvre toute l’entendu de la République : la distance entre ces entités
(bureaux) s’avère être une contrainte très importantes et défavorable à
une bonne gestion de cet appareil étatique.
Ainsi ; pour minimiser les insuffisances et maximiser les
meilleurs conditions de travail pour ces agents ; la DGDA a informatisé
tous ses bureaux en mettant en place un système informatique en réseau
qui permet aux usages (les douaniers et les partenaires) de se connecter à
la base de données de la DGDA.

LE RESEAU INFORMATIQUE DE LA DGDA Katanga est


composé de :
 Plus de 200 ordinateurs installés à la direction provinciale
du Katanga à Lubumbashi (EP-Ville) et à l’intérieure de la province du
Katanga.
 Une boucle locale dans laquelle les partenaires du groupe
(entrepôts, banques, agences en douane) se connectent.
 Huit sites qui couvrent l’ensemble de la province :
Kalemie ; Mpweto, TFM, Kasumbalesa, Mokambo, Aero Luano, Kolwezi,
Sakania.

La DGDA utilise une connexion internet fournie par différents


providers à l’instar de Vodanet, Cyber net, Global net.
[15]

II.3 INTRODUCTION AU SYDONIA++

Objectifs :

A l’issu de ce module, l’apprenant sera capable de : savoir ce que


c’est Sydonia++, expliquer la configuration : client-serveur, énumérer les
modules Sydonia++, d’effectuer la connexion et déconnexion au serveur,
de changer son mot de passe.

QU’EST-CE QUE SYDONIA++ ou ASYCUDA++?

C’est un acronyme qui veut dire Système DOuaNIer Automatiser


ou automated SYstème for Custom Data, version 3.
SYDONIA++ est un nouveau système qui diffère totalement de la
version précédente (SYDONIA version 2). Il offre à l’utilisateur une
interférence ergonomique pour la réalisation des tâches quotidiennes
concernant les opérations du dédouanement et du commerce
international.
SYDONIA++ offre beaucoup plus de facilité que les versions
précédente pour la formation fonctionnelle initiale.
Bien que l’aspect fonctionnel de l’utilisation SYDONIA++ soit
facilité, le système utilise une technologie plus complexe que SYDONIA
version 2.

L’évolution du SYDONIA

Pour comprendre toute la potentialité du logiciel, il est utile de


connaitre ses origines, et les raison de son développement.
Le premier logiciel SYDONIA a été développé par la CNUCED au
début des années 1980 pour permettre les calculs des compensations
résultant d’une politique de désarmement tarifaire au sein de la CEDEAO.
Seule des données statistiques fiables été de nature à permettre la
réussite de ce programme de libéralisation commerciale, et la seule
manière d’obtenir ces résultats statistiques était de saisir des données
[16]

directement lors de l’opération d’importation ou d’exportation et donc de


placer les logiciels dans les bureaux de douane. La première version
SYDONIA a été conçue pour répondre à ces besoins.
Rapidement, les administrations des douanes ont demandés des
fonctionnalités complémentaires telles que le contrôle de la saisie des
données, l’application du tarif des douanes et les calculs de la taxation.
Ces fonctions se sont ensuite enrichies par la gestion des procédures de
paiement, du contrôle du manifeste…, la dernière version de SYDONIA 2
(version 2.7), comporte des fonctionnalités étendues et ressembles très
peu de la version originale.
L’apparition d’ordinateurs plus puissant et la demande de
pouvoir traiter des volumes des transactions plus importantes, on
rapidement fait apparaitre les limites du système existant des gestions
des fichiers. Par ailleurs, l’émergence des nouveaux logiciels assurant la
gestion des bases des données relationnelles donc plus volumineuse
permettait d’envisager la création d’un système plus flexible et plus
performant. L’évolution des techniques informatiques devait être prise en
compte lors de la conception du nouveau système.
Les ordinateurs personnels m’étaient plus en mesure de
répondre aux besoins des nouveaux pays utilisateurs et un choix
techniques devait être effectué concernant la configuration matérielle.
Après étude de 3 architectures possibles, gros système avec
terminaux passifs, réseaux locaux des micros ordinateurs et architecture
client-serveur, cette dernière option fut retenue car elle présentait la
plus grande flexibilité

L’approche client-serveur

L’approche client-serveur permet de partager les traitements


entre le poste client (locales) et l’ordinateur éloigné (le serveur). Elle
permet l’optimisation des temps de réponse et assure l’intégrité de la base
des données, chacun des ordinateurs du réseau effectuant les tâches
pour lesquelles il a était conçu.
[17]

Accès à des larges bases des données

C’est le principal avantage des systèmes client-serveur par


rapport à un système de gestion des fichiers. En permettant un grand
nombre de traitement sur le poste client, il accroit l’efficacité du serveur
et ne pénalise pas les autres clients.

Excellent temps des réponses

Puise que le serveur effectue moins de traitement, il peut


répondre plus rapidement aux demandes des clients. Cette architecture
permet ainsi de connecter beaucoup plus des clients que si les
utilisateurs disposés des terminaux passifs.

Traitement sur le serveur, traitement locaux sur le client.

Lorsque l’utilisateur envoi des données aux serveurs pour


traitement, il peut simultanément exécuter d’autres tâches au niveau
locale.

Le client SYDONIA++

Dans le cadre SYDONIA++, chaque utilisateur dispose de son


propre poste client à partir duquel il peut se connecter au serveur
SYDONIA++ selon le besoin.
Le poste client dispose du logiciel SYDONIA++ client et
l’utilisateur disposent des fonctions du système sans avoir
nécessairement besoin de se connecter.

Moteur local

Pour éviter des multiples accès au serveur de la base de données


de référence, c.-à-d. les tables de contrôle local sont automatiquement
[18]

mis à jour sur le client ce qui permet de réaliser la plus part des
validations intermédiaires au niveau local.
La connexion au serveur n’est nécessaire que pour mettre à jour
les fichiers transactionnels centraux et pour valider les données par
rapport aux tables du serveur.
Cela signifie que les utilisateurs ont la possibilité de saisir la
plupart des données en local plutôt que de se battre pour accéder au
serveur.
Si l’utilisateur désire mettre à jour sa base des données locale, il
peut demander une réplication complète au serveur. L’interférence
utilisateur est totalement séparée de la base des données du serveur et si
cette dernière devait être remplacée les modifications nécessaires au
niveau de l’interface utilisateur seraient minimes.

Le serveur SYDONIA++

Le serveur SYDONIA++ est un serveur central de la DGDA (à


Kinshasa) qui fonctionne à base du système d’exploitation LUNIX redhat,
sur lequel a été installé SYDONIA++ serveur (qui n’est rien d’autre qu’un
logiciel d’application serveur), et qui a comme système de base des
données (SGBD) oracle version 11G contenant tous les fichiers de
contrôle, ainsi que des transactions pour la mise en place et le
fonctionnement du SYDONIA++.
Certains de ces fichiers existent également sur le poste client, et
doivent être transférer du serveur sur celui-ci.
Le serveur matériel peut être partagé en plusieurs
« serveurs virtuels » ou « Engines », ce qui permet le fonctionnement de
plusieurs moteurs et donc de plusieurs bureaux sur un seul ordinateur.

Les modules SYDONIA++

Le logiciel SYDONIA++ est composé d’un ensemble des modules.


Un module est un groupe de programme ou d’instructions limité dans son
[19]

organisation et ses applications pour la réalisation autonome d’une


fonction déterminée autour d’un ensemble des données. Il est possible
d’installer, sur un poste client, un ou plusieurs modules. Les modules
sont orientés vers la réalisation des tâches spécifiques concernant des
fonctions douanières au sein d’un bureau ou entre plusieurs bureaux des
douanes. L’approche modulaire permet à chaque module de fonctionner
en total indépendance ou de coexister avec d’autres modules.
Les modules sont classés en deux catégories, « module
utilisateur », et « module de la Direction Générale »

COMMENT SE CONNECTER AU SERVEUR?

Cliquer successivement sur : fonction-serveur-connexion


Dans le cadran qui apparait, il faut introduire : le nom de
l’opérateur, le mot de passe, le code du bureau auquel on veut se
connecter puis, cliquer sur OK.

COMMENT SE DECONNECTER AU SERVEUR?

Cliquer successivement sur : fonction-serveur-déconnexion

COMMENT CHANGER SON MOT DE PASSE?

Cliquer successivement sur : fonction-serveur-changer le mot de


passe
Si vous ne vous êtes pas encore connecté au serveur, l’écran de
connexion s’affichera et vous utiliserait votre ancien mot de passe puis un
autre écran s’affichera.
NB : le nombre minimum des caractères est 6.
[20]

CONCLUSION

Au terme de notre stage, nous avons eu a ressortir avec une


connaissance suffisante en informatique, cela nous a vivement remplie de
l’amour d’un travail bien fait et non juste un travail fait.

Cette connaissance à la réalité quotidienne professionnelle a


cultivé en nous un esprit collectif du travail à savoir un travail fait en équipe
est fort puissant.

La direction générale des douanes et accises, en tant régit


financier est doté des matériels disponible à son service, nous avons espoir à
une douane beaucoup plus meilleur dans les jours avenir, d’où elle devrait
penser à bien équiper son laboratoire informatique par l’achat des nouveaux
matériels informatiques.

Ce stage a été un moment capital et profitable pour notre


formation tant professionnelle qu’expérimentale afin des palper les théories
apprises au cours
[21]

Table des matières


AVANT PROPOS .................................................................................... 1
INTRODUCTION .................................................................................... 2
CHAPITRE I :. PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ................................ 3
I.1. Situation géographique ....................................................................... 3
I.2. Historique & Statut ............................................................................ 3
I.3. Missions de la DGDA .......................................................................... 4
a. Fiscale ............................................................................................... 4
b. Economique....................................................................................... 4
c. Sociale ............................................................................................... 4
d. Statistique ......................................................................................... 4
I.4. Organisation de l’entreprise ................................................................ 5
I.5. Structure de l’entreprise ..................................................................... 5
CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE ............................................ 7
II.1 NOTION DU RESEAU INFORMATIQUE ............................................... 7
RESEAU ................................................................................................ 7
RESEAU INFORMATIQUE ...................................................................... 7
ORDINATEUR ........................................................................................ 7
DE QUOI EST CONSTITUE UN RESEAU INFORMATION? ......................... 8
MEDIAS DE TRANSMISSION ................................................................. 8
EQUIPEMENTS DE RESEAU ................................................................. 8
SERTIR LE CABLE ITP ........................................................................... 9
ILLUSTRATION D’UN RESEAU INFORMATIQUE ..................................... 13
II.2 RESEAU INFORMATIQUE DE LA DGDA/ KATANGA ......................... 14
II.3 INTRODUCTION AU SYDONIA++ ...................................................... 15
QU’EST-CE QUE SYDONIA++ ou ASYCUDA++? ................................... 15
COMMENT SE CONNECTER AU SERVEUR?........................................ 19
CONCLUSION ...................................................................................... 20

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