Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
UNIVERSITÉ DE KALEMIE
UNIKAL
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
AVANT-PROPOS
Ce travail n’est pas le fruit de notre effort personnel. Nombreux sont ceux qui ont
directement ou indirectement, de près ou de loin contribué à sa concrétisation.
Nous remercions aussi tous les agents de la DGDA qui nous encadré pendant le
déroulement de notre stage ; en particulier, nous remercions Le Commandant de la Brigade
chargé de la lutte contre la fraude, Monsieur Tison BOKWALA et le receveur principal
adjoint, Monsieur Adolphe BOYOKO MBOYO.
Nous ne pouvons passer ce paragraphe sans pour autant exprimer notre profonde et sincère
gratitude au Contrôleur Jean-Marc MUKENDI pour sa disponibilité, pour son encadrement
très spécial et pour ses conseils constructifs.
Nous n’hésiterons pas de remercier les autorités académiques pour nous avoir
accordé la permission et le moment d’effectuer notre stage à l’institution et/ou à l’entreprise
de notre choix.
INTRODUCTION
Ainsi, nous avons effectué notre stage à la Direction Générale des Douanes et
Accises(DGDA), Sous-direction de Tanganyika, ville de Kalemie, du 12 décembre 2012 au
15 janvier 2013.
Le présent travail est un exposé de ce que nous avons appris, vu ou entendu pendant
notre stage. Il comporte trois parties, mises à part cette introduction et la conclusion.
La première partie cadre sur les généralités : présentation de la Direction Générale des
Douanes et Accises, son histoire, ses missions, sa structure organisationnelle et son
fonctionnement.
La deuxième partie est consacrée à la manière dont s’est déroulé notre stage à la DGDA.
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
1.1.Présentation de la DGDA
1.2.Historique de la DGDA
Il fallait atteindre la période après la Deuxième Guerre mondiale pour que la douane
congolaise soit régie par un document juridique : Le Décret du 29 janvier 1949 coordonnant et
révisant le régime douanier de la République démocratique du Congo.
créé, au sein du Ministère des Finances, un service public doté de l’autonomie administrative
et financière dénommée « Direction Générale Des Douanes Et Accises, », en sigle DGDA. Le
décret précité érige l’Office des Douanes et Accises en une des Directions du Ministère des
Finances avec les mêmes missions et attributions qui lui étaient dévolues.
1.3.Statut juridique
L’administration douanière de la RDC exerce ses missions sur base de deux instruments
juridiques principaux suivants:
1.4.Objectifs de la DGDA
Au regard des missions confiées à la DGDA, voici les objectifs qui lui sont fixés :
1.5.Missions de la DGDA
En voici quelques-unes :
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
Contrôle des prix ex-usines des produits soumis aux droits d’accises ;
Protection de la société par la lutte contre le trafic des marchandises dangereuses, des
produits toxiques et des produits qui appauvrissent la couche d’ozone ;
La lutte contre la contrefaçon et autres atteintes aux droits de la propriété industrielle,
intellectuelle et artistique ;
La classification des marchandises ;
La détermination de l’origine des marchandises
Participation à la politique d’intégration du pays dans les communautés économiques
régionales ;
Lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière organisée ;
Protection de l’espace économique national, en particulier par l’application des normes
aux frontières ;
Recherche et constatation des infractions en matière des douanes et accises et aux
législations connexes ;
Lutte contre le blanchiment d’argent
Établissement et publication des statistiques du commerce extérieur sur base des
données récoltées lors du dédouanement des marchandises
Au niveau national, la DGDA est gérée par un Directeur Général, assisté de deux
Directeurs généraux Adjoints : l’un chargé des questions techniques et l’autre chargé des
questions financières. Elle est constituée :
D’une administration centrale comprenant des directions centrales ci-après : Direction des
ressources humaines, Direction de la réglementation et de la facilitation, Direction de la
lutte contre la fraude, Direction du tarif et des règles d’origine, Direction de la valeur,
Direction des autres produits d’accises, Direction des huiles minérales, Direction des
recettes du trésor, Direction des finances internes, Direction des équipements et logistique,
Direction des statistiques et documentation et études économiques, Direction des affaires
juridiques et contentieuses, Direction des systèmes et technologies d’information,
Direction de l’audit interne, Direction de reformes et modernisation.
Des Directions provinciales ci-après : Kinshasa Ville ; Kinshasa Aéroport ; Bas Congo ;
Équateur ; Province Orientale ; Nord Kivu ; Kasaï Oriental ; Kasaï occidental ; Sud-Kivu ;
Katanga ; Bandundu ; Maniema.
Des sous-directions (parfois avec des succursales) : Kasumbalesa, Kalemie (Sous-
direction de Tanganyika),…
D’un Bureau de coordination
Des services centraux ainsi que de la Brigade douanière qui est un corps spécialisé
constitué d’un personnel en uniforme astreint, à une organisation et une discipline
paramilitaires
Le bureau des douanes de Tanganyika à Kalemie, lieu de notre stage, est une Sous-
direction de la DGDA/Katanga. Il a en son sein des services suivants : Service de la prise en
charge, service de la recette, service de la vérification, service de la brigade et lutte contre la
fraude.
1. Le Sous-directeur
2. Les Inspecteurs :
Comme le Sous-directeurs, les Inspecteurs sont aussi des chefs de division. Ils sont
chargés de superviser les activités au sein de chacun des services où ils sont affectés.
3. Les contrôleurs
Après les grades du Sous-directeur et des inspecteurs vient celui des contrôleurs. Les
contrôleurs sont des agents de grade dénommé «chef de bureau ». Ils s'occupent
essentiellement des contentieux. En outre, les Contrôleurs reçoivent les ordres des
Inspecteurs et aussi donnent des ordres aux Vérificateurs et Vérificateurs assistants.
4. Le receveur principal
À Kalemie, le Receveur principal est secondé par un Receveur principal adjoint, lui-
même au-dessus de trois receveurs : le receveur chargé de l'acceptation, le receveur chargé de
la taxation ou des frais connexes et le receveur chargé de la comptabilité.
Ils reçoivent du contrôleur les ordres à exécuter. Leurs grades douaniers sont respectivement
dénommés «attaché de bureau de 1ere classe» (ATB1) et «Attaché de bureau de 2e classe»
(ATB2). Ils s’occupent essentiellement de la vérification physique et documentaire des
marchandises.
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
SOUS-DI RECTI ON
SECRETARI AT
Insp. PRISE EN CHARGE I nsp. DE LA VERI FI CATI ON I nsp. BRI GADE ET LUTTE CONTRE LA FRAUDE
CONTR. PRI SE EN CHARGE CONTROL. DE VERI FI CATI ON RECEVEUR PRI NCI PAL CONTROLEUR STATI STI QUE ET CONTROLEUR BRI GADE ET LUTTE CONTRE LA
DOCUMENTATI ON FRAUDE
POUL DES VEFI CATEURS POUL DES VERI FI CATEURS RECEVEUR DE L' ACCEPTATI ON AUTRES RECEVEURS COMMANDANT SURVEILLANCE COMMANDANT PREVENTI ON ET
(CPTE+ SERVI CES) DE FRONTI ERES LUTTE CONTRE LA FRAUDE
POUL DES VERI F. ASSI STANTS POUL DES VERI F. ASSI STANTS REC. ADJ. DE L’ACCEPTATI ON COMM. ADJ. SURVEI LLANCE COMM. ADJ LUTTE CONTRE LA
ET AUTRES AGENTS DES FRONTI ERS FRAUDE
© 2013
CHAPITRE DEUXIÈME : DÉROULEMENT DU STAGE
Et c’est dans cet ordre et dans ces dates que nous sommes effectivement passé dans les
différents services de la DGDA/Kalemie.
La brigade douanière est un service constitué par un personnel en uniforme astreint (un
pantalon noir et une chemise blanche avec des épaulettes), à une formation et une discipline
spéciales. Elle est une police douanière et est chargée de surveiller les frontières, et de
prévenir et de lutter contre la fraude douanière.
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
Patient BANZA. Ce monsieur nous a entretenu sur la théorie douanière et sur les missions
attribuées au service de la brigade, jusqu’au vendredi 14 décembre 2012.
b) L’accueil du bateau
Après la théorie est venue la pratique, au port de Kalemie. En exécution des ordres du
Commandant Tison, nous y sommes descendu accueillir une barge qui venait d’accoster le
quai et avons reçu dans nos mains les différents documents accompagnant cette barge pour les
remettre au service de la prise en charge, entre autres le manifeste. C’est sur ces documents
que sont renseignés : le nom de l’embarcation, la provenance du bateau, les marchandises
(nature et nombre) à bord du bateau, les noms du capitaine de bateau, la date et l’heure de
départ du bateau, etc.
Ainsi, cette barge s’appelait BARGE MUMIRWA. Elle provenait de la Tanzanie et avait à
bord 8000 sacs de farine de froment, 2 camions et des produits divers non détaillés sur le
manifeste.
Une fois ces documents à la prise en charge, le capitaine de bateau était obligé à retirer une
autorisation de déchargement auprès du Sous-directeur.
c) Le pointage
Le lundi 17 décembre 2012, nous étions chargé de surveiller le déchargement des sacs
de farine de froment. Nous procédions alors au pointage.
Le pointage que nous avons fait au port n’est autre chose qu’une mise en pratique de
celui des exercices du cours de statistique descriptive de premier graduat : quatre traits
verticaux pour quatre sacs comptés, un trait horizontal qui barre les quatre traits précédant
pour le 5ème sac compté ; et ainsi de suite jusqu’à ce que le camion sera chargé.
Lorsque le camion est chargé, nous dressons une fiche de pointage sur laquelle nous
indiquons la nature et le nombre total des marchandises comptées, le pays de provenance de
l’embarcation, le nom de l’importateur, l’agence en douane, la date d’arrivée de
l’embarcation, la date du pointage, les noms et la signature du pointeur.
Lorsque le déclarant1 s’est acquitté de tous ses devoirs dans les différents services de la
DGDA, il finalise ses formalités au service de la brigade : il y présente sa déclaration sur
laquelle sont annexées les preuves de paiement. Le service de la brigade fait une constatation,
1
Un déclarant est une personne qui fait la déclaration des marchandises (il est comparable à un avocat en
matière douanière).
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
apure la déclaration et libère la marchandise qui devient alors une « marchandise déclarée, ou
nationalisée ou encore marchandise en libre circulation ».
Notre stage au service de la brigade s’est terminé mardi 18 décembre 2012. Le jour
suivant, nous avons été transféré au service de la vérification.
La vérification est un service au sein de la DGDA qui a pour rôle d’évaluer la valeur
assignée à la marchandise à l’importation et à l’exportation. Ce service procède d’abord par
une vérification sommaire (documentaire) de la déclaration, ensuite par une vérification
physique de la marchandise.
Ce service comprend :
Un Inspecteur de la vérification
Des Contrôleurs de la vérification
Des Vérificateurs de la vérification
Des Vérificateurs assistant de la vérification
La déclaration a une partie détachable appelée Certificat de vérification (C.V.). C’est sur cette
partie que les Vérificateurs écrivent leur rapport de vérification. Après l’établissement du
certificat de vérification, l’inspecteur envoie la déclaration au service de la brigade pour sa
constatation et son épurement.
Nous avons effectué notre stage au sein de ce service pendant 5 jours ouvrables, c.-à-d.
du 19 au 25 décembre 2012. L’inspecteur de ce service nous a entretenu sur les généralités
concernant la matière douanière les deux premiers jours. Les autres jours, nous avons été
encadré par le Contrôleur Jean-Marc MUKENDI. Nous n’avons fait aucune pratique dans ce
service.
Le registre 148 a deux colonnes, l’une pour l’enregistrement (la prise en charge) et
l’autre pour l’apurement. Par apurement, il faut entendre l’action qui consiste à signaler
comme déclarées et libérées les marchandises enregistrées, notamment en barrant le
manifeste.
2.4.1. Fonctionnement
a) Receveur d’acceptation
Le receveur d’acceptation est chargé de :
Recevoir du déclarant la déclaration des marchandises
Faire une vérification sommaire (documentaire) de la déclaration c.-à-d. vérifier si
1. La déclaration est bien remplie
2. Les annexes de la déclaration (facture d’achat, facture de fret ou facture de transport
et manutention, licence d’importation, etc.) correspondent avec les marchandises à
déclarer
3. Le déclarant a bien calculé le montant des droits et taxes
Enregistrer la déclaration : la répertorier à la douane ou la rebuter
Décortiquer la déclaration : détacher les différents volets de la déclaration2.
b) Receveur des frais connexes ou receveur de la taxation
Il est chargé de :
a. Taxer et percevoir les frais connexes : les frais perçus à la douane pour les comptes
des autres services de l’État. Ces services sont : le Fonds de Promotion de l’Industrie
(FPI), l’OGEFREM, le commerce extérieur (DGRAD), Redevance administrative
(RAM), Redevance rémunératoire (TR), Redevance contrôle de change (RCC).
2
Une déclaration a quatre volets : le volet déclarant, réservé à l’importateur ; le volet bureau, réservé au service au
service de recette. C’est sur ce volet que sont annexées les originales des pièces jointes (factures,…). Sur les autres
volets, les pièces jointes sont en photocopie ; le volet contre-vérification, réservé à la Direction Générale ; le volet
informatique, aussi réservé à la Direction Générale. C’est le volet déclarant qui va circuler à travers les différents
services pendant la procédure de dédouanement.
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
Il est chargé :
La position tarifaire est composée de huit chiffres groupés deux à deux et séparés entre eux
par des points, correspondant respectivement au chapitre, section, sous-section et point
(Ex. :01.01.21.00 signifie chapitre 1, section 1, sous-section 21 et point 0).
Il calcule pour chaque article les droits de douane ainsi que les droits totaux ;
Soit par exemple une fiche de pointage où est comptée la marchandise suivante : farine de
froment, 300 sacs de 50kg. Le prix d’achat (net à payer de la facture) est de 3000$ ; le
transport depuis l’achat à l’étranger du produit jusqu’au lieu d’importation (premier bureau de
douane local) a coûté 1000$ ; l’assurance a coûté 100$.
Nous sommes appelés ici à montrer comment on calcule les droits de douane et les frais
connexes.
Détermination de la valeur en douane ou valeur CIF (Cost Insurance fret) = FOB (net à
payer de la facture : fret on bord) + total frais de transport + assurance = 3000 + 1000 +
100 = 4100$
Parce qu’il y a deux régimes douaniers, les déclarations sont aussi catégorisées en deux :
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
Lorsque la marchandise est périssable ou pour motif d’urgence, on peut faire un enlèvement
d’urgence (E.U.) avant les procédures de déclaration.
Finissons ce chapitre par un bref résumé des étapes de dédouanement à la DGDA. Ces étapes
sont :
CRITIQUES ET SUGGESTIONS
Ce point nous est important dans la mesure où nous voulons relever la DGDA en
dénonçant quelques points négatifs observés pendant notre stage et, par conséquent, en
proposant quelques solutions pour chacun d’eux.
Au cours, parmi bon nombre des points faibles que nous sommes obligés de taire pour l’une
ou l’autre raison, nous avons remarqué ce qui suit :
Le non-respect de l’heure d’arrivée au service3 ; rares sont en effet les agents qui viennent
avant 9h00 et leur heure d’arrivée est facultative.
Le non-respect du port de l’uniforme officiel de la douane4.
Le système de communication entre agents est vulnérable (par exemple, crier à plein
poumon pour appeler le huissier).
L’insalubrité du siège de la DGDA/Kalemie : des eaux stagnantes pénalisent l’accès à la
porte principale ; des toiles d’araignée et des poussières un peu partout, voire dans les
coins de certains bureaux, vieille peinture aux murs,…
Insuffisance et surcharge des agents pointeurs. Leur fiche de pointage, surtout pour le
pointage des divers, n’indique que les quantités approximatives. De plus, les pointeurs
sont moins supervisés ; ce qui peut ordinairement occasionner des fraudes.
À partir des maux évoqués ci-dessus, nous proposons à la DGDA/Kalemie les remèdes
suivants :
Que la DGDA/Kalemie dispose d’un registre relevant les heures d’arrivée et de sortie.
Cela peut motiver les agents à devenir ponctuels et réguliers au service et permettra au
chef local de sanctionner les non ponctuels et les irréguliers ;
Que le chef local rappelle aux agents que le port de l’uniforme officiel n’est pas facultatif
et que des mesures soient levées à cet égard car l’uniforme permet de distinguer à
première vue un simple citoyen d’un agent de l’État ou d’un douanier.
Que les agents de la douane songent à la modernisation du siège.
Que la DGDA augmente l’effectif des pointeurs au port et que ces derniers soient de
temps en temps supervisés.
Que le chef songe à équiper les bureaux d’une téléphonie fixe afin de permettre les
communications entre agents.
3
La note nº 1727/ 12 du Directeur Général concernant le fonctionnement des bureaux de douane exige, en son
point 1, que les bureaux de douane soient « ouverts tous les jours ouvrables de 7h00 à 19h00 »
4
Cela est pourtant une obligation exigée en des termes clairs à l’article 32, alinéa 2 de l’Ordonnance loi
nº 10/ 002 du 20 août 2010 portant Code des douanes : « sont tenus de porter l’uniforme officiel de la douane :
a) les agents de douane exerçant aux frontières et dans de douane…»
© 2013
Rapport de stage effect ué à la DGDA
Doter des équipements nécessaires aux pointeurs comme par exemple des masques pour
les faires éviter de certaines maladies professionnelles causées par la poussière ; des
grands parapluies pour leur permettre d’établir la fiche de pointage sous l’ombre ;
Diviser son entrepôt en deux parties distinctes : une partie, cloisonnée en murs et non en
triplex, pour les bureaux de la douane uniquement ; l’autre partie, sans cloisons, réservée à
l’entreposage des marchandises.
CONCLUSION
Enfin, nous voici arrivé à la queue de la rédaction de notre rapport de stage effectué à
la DGDA du 11 décembre 2012 au 15 janvier 2013.
Comme nous l’avons dit plus loin, cette coutume universitaire est pour nous une
première pratique nous ayant permis d’adapter nos acquis aux réalités.
Le premier chapitre qui portait sur la présentation du lieu de stage, a mis aux prises la
localisation du bureau de la DGDA, l’aperçu historique de la DGDA, ses objectifs et
missions, sa structure et son fonctionnement.
Pendant un mois, nous avons pu ainsi visiter tous les services de la DGDA et cela nous
a permis de découvrir les procédures de dédouanement, la manière dont se fait le pointage au
port, la manière dont se calculent les droits de douane et les frais connexes, et bien d’autres.
Eu égard à ce qui précède, par le biais de ce stage, nous pensons avoir concilié la théorie et la
pratique.
© 2013