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Structures et revêtements
pour tramways : état des lieux
Esthétique, durable, résistant, le béton accompagne depuis l’origine le renouveau
des tramways, grâce à une palette de solutions répondant aux contraintes spécifiques
de ce transport collectif d’avenir.
ordeaux, Clermont-Ferrand, Caen, progrès réalisés sur le matériel roulant et à récemment, choisie à Nancy, à Caen et à
rents de ceux compétents en matière de voi- refaits, les pavés fendus remplacés. Nous
rie. Ces deux univers ne se côtoient pas devons développer une culture de la préci-
spontanément, si bien que chacun raisonne sion : un réseau ferré inséré dans l’espace
avec sa logique propre, avec des incohé- public, c’est de la haute-couture”.
rences ou des incompatibilités”. À ces pro- L’analyse du LROP repose sur un recense-
blèmes de conception des revêtements, ment des pathologies relevées dans le
parfois sous-dimensionnés faute d’avoir fait cadre d’une étude portant sur les matériaux
l’inventaire de toutes les sollicitations, modulaires. Les résultats seront repris dans
même passagères (passage momentané un “Guide de conception” publié par le
d’engins ou de bus, par exemple) s’ajoute CERTU au cours du premier semestre Jean-René Oury
une différence dans l’approche de la main- 2004. Reste que de nombreuses réalisa- chef du Service études sur l’espace
public à la Communauté Urbaine
tenance. “Les spécialistes de la voirie tions ont su anticiper cette analyse grâce à de Strasbourg (C.U.S.)
“
savent qu’une amorce de dégradation doit la rigueur des études de conception.
être réparée rapidement, faute de quoi le Porter attention au drainage,
problème risque de s’aggraver rapidement, à la stabilité du lit de pose, et
reprend le directeur adjoint du LROP. Les Revêtements pavés : dimensionner suffisamment les
drainage et épaisseur
”
exploitants de plateforme de tramway, qui dalles et pavés en béton
s’attachent en priorité aux problèmes des À Strasbourg par exemple, l’expertise a été
rails, ont moins cette culture”. déployée sur trois fronts complémentaires. lisé par Shell Bitumes s’est d’ailleurs très
Ce constat dédouanerait-il pour autant les “La durabilité d’un pavage dépend d’abord bien comporté pendant la canicule. “Le
premiers de toute responsabilité sur le plan du lit de pose et de son drainage” souligne bon dimensionnement du revêtement
de l’entretien ? “Non, répond Jean-Pierre Jean-René Oury. La solution imaginée par la modulaire est également important, pour-
Christory, prenant l’exemple des revête- CUS a été d’utiliser, au-dessus de la plate- suit Jean-René Oury. Pour maintenir une
ments en pavés, choisis pour des raisons forme constituée de trois couches de béton épaisseur de revêtement de 10 cm au lieu
tout à fait légitimes d’intégration esthétique. dense et de résistance croissante (du béton de des 8 cm observés habituellement sur les
On a encore trop tendance à croire qu’à propreté jusqu’au B35 en partie supérieure), autres réseaux, nous avons dessiné une
partir du moment où sont mis en œuvre de une assise drainante. Les enrobés poreux, dalle qui comporte des réservations au
bons produits, l’entretien n’est pas néces- utilisés en carrefours, cèdent la place à une niveau des attaches des rails”. Une dalle
saire : les joints doivent être contrôlés et grave perméable entre les rails, en raison de en forme de pentagone qui, avec trois
la très faible épaisseur (5 à 7 cm), voire à modèles présentant un positionnement dif-
CONCEPTION DES REVÊTEMENTS: l’avenir à un microbéton poreux. Objectif de férent de l’engravure, s’adapte à toutes les
LE PROJET INDUIT ces dispositifs : éviter toute stagnation d’eau. configurations de distance entre les écrous.
La stabilité du lit de pose, formulé spécifi-
L’étude du LROP sur les revêtements
quement avec deux granulométries, est
modulaires va être élargie à tous les Coulé en place : l’atout des
revêtements suite à un appel à maintenue dans le temps par la présence
d’un géotextile évitant la migration des solutions non compactées
propositions du PREDIT, le
“Programme national de recherche et fines et l’utilisation d’un produit à base de Contrairement à une voirie classique, l’in-
d’innovation dans les transports bitume très performant pour les joints. Ce clusion dans la chaussée de rails classiques
terrestres”. Le projet INDUIT, pour mastic breveté par la CUS et commercia- ou de rails de guidage pour un tramway sur
“INfrastructure DUrable Intégrée pneus peut compromettre la qualité du com-
pour Transports collectifs de pactage des matériaux souples, faute de
surface”, vise à proposer des matériel permettant de travailler en faible
remèdes aux pathologies constatées largeur. L’exemple du tramway de Lyon
sur les plateformes multimodales et illustre cette problématique : “Nous avions
engendrées par la répétitivité des des inquiétudes sur la pérennité des enrobés
sollicitations et le phénomène de entre rails, surtout avec des épaisseurs
vieillissement accéléré des matériaux importantes” rappelle Frédéric Leygues,
et de leur interface avec les zones directeur de travaux du groupement Euro-
voisines. Mené par dix-sept via-SCR. Le groupement a alors proposé, en
partenaires publics et privés, dont la partenariat avec l’entreprise Sols, la solution
DDE d’Ile-de-France, la RATP, le du béton désactivé, appliqué en épaisseurs
LROP, l’Association des ingénieurs atteignant 17 cm pour les carrefours. Ces
territoriaux de France (AITF), ouvrages très techniques supportent d’im-
Cimbéton, des bureaux d’études et portants niveaux de sollicitations, grâce à la
des entreprises, ce projet résolument
présence de goujons pour le transfert de
transversal s’appuie sur les
charge au droit des joints de retrait, d’arma-
expertises déjà réalisées sur de
Strasbourg : une plateforme constituée de tures, et une formulation faisant appel à des
nombreux réseaux.
trois couches de béton dense. granulats en basalte de grande résistance.
La remise en circulation
des chaussées en béton
Les chaussées en béton continuent de susciter bien des interrogations, voire des préjugés
défavorables, le plus souvent en complète contradiction avec la réalité des techniques
actuelles. Ainsi, une idée reçue à balayer à jamais des esprits de tous : attendre 28 jours pour
circuler sur du béton.
ne question revient régulièrement
es ouvrages souterrains constituent la solution la mieux met de s’affranchir des obstacles, d’utiliser au maximum l’es-
en profil en long, et de faibles pentes) impose la réalisation Divers types de soutènement provisoire sont utilisés :
de tunnels. – boulonnage d’ancrage ;
Les techniques à base de coulis, de mortiers ou de bétons – boulonnage associé à un treillis métallique ;
contribuent à la réalisation d’un grand nombre d’ouvrages – boulonnage associé à une faible épaisseur de béton
souterrains. Elles sont utilisées soit pour permettre ou facili- projeté (5 cm) renforcé par un treillis ;
ter la réalisation des ouvrages (injection, soutènement en – boulonnage associé à la mise en place d’un béton projeté
béton projeté, prévoûte en béton, calage de voussoirs en jusqu’à 20 cm d’épaisseur ;
béton, etc.), soit pour constituer le revêtement définitif des – mise en place de cintres métalliques.
tunnels et des galeries. La pose de soutènement est très souvent assurée par des
robots. Le béton projeté à fibres métalliques se substitue, de
plus en plus, au béton projeté associé au treillis soudé.
Les différentes méthodes d’exécution Le revêtement définitif est, en général, constitué par une voûte
des tunnels en béton armé, coulée en place sur un coffrage métallique.
Quatre principales méthodes d’exécution des tunnels peuvent ● La méthode par attaque ponctuelle
être utilisées. Le choix de la technique à employer résulte Si la roche est friable, l’excavation est exécutée par une
d’un compromis entre les exigences liées à la géométrie de machine qui attaque ponctuellement et progressivement le sol
l’ouvrage à réaliser, les caractéristiques du terrain à creuser, (machine à attaque ponctuelle).
les spécificités du site et de son environnement et les
contraintes géologiques et hydrogéologiques (présence ou
non de la nappe phréatique).
• Tunnel dans le rocher :
– méthode traditionnelle à l’explosif;
– méthode par attaque ponctuelle.
• Tunnel en terrain difficile :
– méthode par prédécoupage mécanique;
– méthode de creusement au tunnelier.
Les progrès de ces dernières années dans les techniques de
creusement, de soutènement et de revêtement permettent main-
tenant de réaliser des ouvrages dans tous les types de terrain.
Ces machines automotrices sur pneus ou chenilles sont équi-
● La méthode traditionnelle à l’explosif pées de bras orientables, à l’extrémité desquels est placé
Cette méthode est adaptée à une roche saine et homogène l’appareil d’attaque (godet excavateur, brise-roche, tête de
aux caractéristiques géotechniques élevées. L’abattage à havage à axe longitudinal ou transversal). Les déblais sont
l’explosif nécessite la perforation préalable de trous de mine évacués vers l’arrière. La paroi est équipée à l’avancement
(constituant la volée) à l’aide de marteaux perforateurs d’un soutènement provisoire. Cette technique est adaptée à
(robots de foration assistés par ordinateur permettant une tous les profils d’excavation.
automatisation intégrale des opérations). Le plan de tir doit
être adapté aux caractéristiques du terrain afin d’assurer un ● La méthode par prédécoupage mécanique
découpage soigné de l’excavation et de limiter les ébranle- Cette méthode consiste à réaliser une succession de saignées
ments. Après excavation, la voûte est généralement renfor- d’épaisseur 15 à 30 cm et de 3 à 5 m de longueur dont le tracé
cée par un soutènement, provisoire dans un premier temps suit le profil théorique de l’extrados de la voûte à réaliser, à
à l’avancement des travaux, puis définitif lorsque l’ouvrage l’aide d’une haveuse (machine de prédécoupage constituée
est entièrement creusé. d’un bâti support rigide auquel est fixé un chariot mobile pou-
vant se déplacer sur le contour de la section à excaver et
équipé d’une scie spéciale).
La saignée est remplie de béton à prise rapide, mis en place
par projection (béton projeté par voie sèche et éventuelle-
© NFM - Technologies
PERFOREX (système breveté : prédécoupage du terrain avec
mise en place de prévoûtes en béton performant).
Le béton utilisé est un béton à très haute résistance à court
terme. Ces performances sont de l’ordre de 8 MPa à 4 heures
et de 24 MPa à 24 heures. Partie avant du tunnelier.
Le béton projeté
Le béton projeté est un béton mis en œuvre à l’aide d’une
lance, par projection sur une paroi sous l’impulsion d’un jet ● Les applications du béton projeté
d’air comprimé. La technique du béton projeté est utilisée en travaux souter-
Il existe deux techniques de projection : par voie sèche ou par voie rains comme :
humide. La différence entre les deux techniques est liée à la • soutènement de parois de galeries ou de puits : ce soutè-
manière dont l’eau de gâchage du béton est introduite (soit lors nement est mis en œuvre immédiatement après excavation
de la fabrication du béton, soit lors de l’application du béton). du front de taille ou ultérieurement si le terrain est stable ;
Projection par voie sèche : le mélange sec (granulats, ciment • soutènement provisoire du front de taille de tunnels en
et éventuellement accélérateurs de prise et adjuvants) est cours de creusement : le béton projeté est, en général, uti-
fabriqué dans un malaxeur. Il est propulsé par de l’air com- lisé en association avec des boulons, des cintres ou des
primé le long d’une tuyauterie vers la lance de projection. treillis. Le béton peut, dans certains cas, être fibré.
L’eau arrive, séparément à la lance, en quantité nécessaire et Le béton projeté est utilisé en travaux neufs ou en répara-
réglable pour assurer l’humidification du mélange, juste au tion d’ouvrages anciens (réparations locales, confortements
moment de la projection sur la paroi. Cette technique est uti- d’ouvrages, renforcement de structures).
lisée, en particulier, pour des chantiers de faible importance
● Les principaux modes de fonctionnement du béton
projeté
Selon la nature du terrain et les caractéristiques géomé-
triques de l’ouvrage, la technique du béton projeté peut
assurer trois principaux types de soutènement.
• Peau protectrice : dans le cas d’ouvrages réalisés dans
des terrains suffisamment résistants, le soutènement est
constitué d’une faible épaisseur de béton projeté, mis en
place à la surface de l’excavation et pouvant être renforcé
par un treillis soudé ou des fibres.
Cette “peau protectrice” de 2 à 5 cm d’épaisseur ne joue
pas de rôle structurant. La stabilité de l’excavation est
assurée par le terrain seul, par un boulonnage du terrain
ou par une coque plus épaisse en béton projeté mis en
place ultérieurement. La peau protectrice a pour rôle de
protéger les terrains en place contre une altération super-
© NFM - Technologies
• Anneau de structure : le soutènement est constitué d’une
coque épaisse en béton projeté. Cette coque joue un rôle
structurel, participe à la stabilité d’ensemble de l’excava-
tion. Le béton projeté est armé, fibré ou non armé. L’épais-
seur minimale de l’anneau est fonction des contraintes
d’exécution (hors profil, défauts d’excavation, etc.). Revêtement d’un tunnel en voussoirs préfabriqués en béton armé.
La capacité de fluage du béton projeté au jeune âge lui per-
met de s’adapter aux déformations du terrain, en mainte-
nant l’excavation en place. ● La préparation du support
La préparation est fonction du type de support.
● Les constituants du béton projeté • Projection sur le terrain : il convient de décaper l’excavation
Le béton projeté est constitué d’un mélange : des éléments instables et de projeter le béton le plus rapi-
• de ciment : le ciment conforme à la norme NF EN 197-1 est dement possible après l’excavation.
choisi en fonction de l’agressivité de l’environnement dans • Projection sur béton projeté jeune : la nouvelle projection
lequel est situé l’ouvrage. Les dosages courants sont com- doit être effectuée dans les 72 heures après la fin de la prise
pris entre 350 et 450 kg/m3. de la couche précédente.
• de granulats : le sable doit contenir le moins possible de • Projection sur support existant en béton ou en maçonnerie :
grains plats. Le diamètre des plus gros granulats est limité la préparation consiste à repiquer le support afin d’éliminer
à 15 mm. les éléments instables puis à le nettoyer par projection d’eau
• d’eau : le rapport E/C est, en général, compris entre 0,40 et à haute pression.
0,45. Dans tous les cas, il convient de mouiller le support juste avant
• d’adjuvants : on utilise des adjuvants pour béton (super la projection pour éviter qu’il n’absorbe une partie de l’eau du
plastifiants) et des accélérateurs de prise ou des "raidis- béton frais.
seurs" (silicate de soude) qui permettent d’assurer l’adhé-
rence du béton sur le support, dès sa projection, et
d’obtenir des résistances initiales élevées. Les techniques de présoutènement
• de fibres : les fibres utilisées sont essentiellement métal-
liques (parfois synthétiques). Elles permettent, en particu- Les techniques de présoutènement permettent de traverser
lier, d’améliorer la cohésion, la ductilité, la résistance et la des zones difficiles, dans des terrains de faible cohésion.
tenue du béton projeté sur son support. Le dosage est de Le présoutènement est un soutènement mis en place à la
l’ordre de 35 à 50 kg/m3. périphérie de la section à excaver en avant du front de taille.
• d’additions : des fumées de silice sont parfois utilisées On distingue trois types de présoutènement.
pour améliorer les performances du béton et faciliter la • La voûte parapluie : c’est une voûte constituée de tubes
projection en rendant le béton plus collant. métalliques disposés en couronne suivant le contour de la
La formulation du béton doit prendre en compte les pertes de section à excaver et prenant appui sur des cintres.
matériau par "rebond" lors de la projection et être optimisée • La prévoûte : c’est une voûte réalisée dans le terrain en
pour offrir une bonne aptitude à la projection. Il est préconisé avant du front de taille. Elle est constituée soit de béton mis
d’augmenter, par rapport à la formulation théorique, le en œuvre dans une saignée réalisée par prédécoupage
dosage en ciment de 10 à 20 % et pour les granulats, la pro- mécanique, soit de colonnes de “jet grouting” juxtaposées.
portion d’éléments fins. • L’anneau renforcé : la technique consiste à renforcer un
Les performances, en général, spécifiées sont de l’ordre de anneau de terrain, en avant de l’excavation, par des bou-
25 MPa pour la résistance à la compression à 28 jours. lons injectés de coulis de ciment.
© DR
lutter contre les inondations et retenir les pollutions dues
aux matières en suspension, en cas d’orages). L’une des deux gares souterraines du RER E.
L’urbanisation croissante, l’augmentation de la densité du
tissu urbain et de la valeur de l’espace en zone urbaine, la lisant la protection naturelle (mécanique, thermique,
raréfaction des espaces disponibles, le souci de réduire les hydraulique) apportée par le sol et en concevant, sans aucun
nuisances des riverains lors des travaux, la sensibilité de la obstacle physique, des ouvrages en trois dimensions.
population à l’environnement vont imposer le développe- Les techniques de reconnaissances géotechniques préa-
ment de réseaux routiers urbains, de parkings et d’infra- lables, de suivi en cours de chantier et le développement
structures de transports en souterrain. des outils d’analyses mathématiques, permettent de limi-
Le recours aux techniques des travaux souterrains va s’im- ter désormais les risques lors de la réalisation des
poser pour des raisons écologiques. D’abord par volonté de ouvrages, de diminuer les incertitudes sur les coûts et de
ne pas surcharger l’espace urbain, de supprimer les mieux maîtriser les aléas de chantier.
impacts sur l’environnement et de préserver les paysages Les évolutions des techniques et des matériels de creuse-
naturels. Ensuite par souci de protection de l’environne- ment (en particulier des tunneliers) permettent d’envisager
ment en surface, de réduction des nuisances en cours de le creusement de tunnels de plus en plus longs dans des
travaux et de préservation des espaces verts. conditions géologiques de plus en plus délicates (terrain
Ces techniques permettent de répondre aux problèmes de hétérogène, sol meuble et aquifère, etc.) avec des cadences
plus en plus complexes posés par l’insertion d’ouvrages d’excavation de plus en plus élevées, une plus grande fiabi-
dans l’espace des grandes agglomérations urbaines, en uti- lité et une plus grande sécurité pour les ouvriers. ●
Centre commercial de
l’hippodrome : le mail piéton
en béton désactivé s’étend sur
200 mètres de long et 9 de large.
Ville de Reims :
égayer un quartier défavorisé
Elément structurant du renouvellement urbain du quartier de la Croix Rouge,
l’aménagement des abords du centre commercial de l’hippodrome s’articule autour
d’un mail piéton. L’ouvrage est réalisé avec un béton désactivé aux tonalités chaleureuses.
itué en périphérie ouest de la ville de à terme peut-être, un tramway). naturellement arrivés au choix du béton
Moquette BHP :
premier chantier test
Véritable saut technologique, l’utilisation de BHP en couche de roulement est une voie
prometteuse pour la conception de chaussées innovantes et économiques, tant en construction
neuve qu’en réhabilitation. Mais encore faut-il l’inscrire dans une logique industrielle.
ormis quelques rares applications donc acquis la conviction que l’on pouvait en béton ou en grave hydraulique dans la
Remue-méninges AGENDA
Réunions Ouvrages d’art
Voici, pour vous détendre... ou pour vous irriter, une énigme à résoudre. Cimbéton organise, au cours de
Réponse dans le prochain numéro de Routes. l’année 2004, des réunions
consacrées aux ouvrages d’art.
Sont déjà programmées :
Mélange étonnant • Lyon (mars)
Vous disposez de deux solutions d’eau 30 % 3% • Rouen (juin)
oxygénée : l’une à 30 % et l’autre à 3 %. • Paris (novembre)
Dans quelle proportion devez-vous les Pour en savoir plus :
mélanger pour obtenir une solution Patrick Guiraud (Cimbéton)
d’eau oxygénée à 12 % ? Tél. : 01 55 23 01 00
Fax : 01 55 23 01 10
Email : p.guiraud@cimbeton.net