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rafraichissement
Dans le cadre de notre formation Génie Climatique et Énergétique à l’INSA de Strasbourg, nous avons
eu l’opportunité d’étudier les systèmes thermodynamiques pour le chauffage et le rafraichissement.
A travers ce projet portant sur un cas concret, nous avons l’opportunité de mettre en pratiques nos
connaissances communes apportées par nos formations respectives et les missions professionnelles
qui nous sont confiées dans nos entreprises respectives.
Ce projet nous permettra de comparer l’utilisation d’une technologie de pompe à chaleur pour le
chauffage et l’alimentation en eau chaude d’un bâtiment avec l’utilisation d’une chaudière gaz à
condensation pour les mêmes besoins.
Une étude sera également réalisée sur les spécificités apportées au projet par le choix de la source
froide.
L’installation sera mise en place dans un immeuble collectif de logement. L’immeuble est considéré
comme étant implanté en zone H2, à Bordeaux, soit une température extérieure de base T b = -4°C.
Nombre de logements 18
Surface habitable d’un logement 90 m²
Volume moyen d’un logement 240 m3
Coefficient G1 0.69 W/m3.K
Taux de renouvellement d’air R 0.8 vol/h
Température intérieure fixée Tint 20 °C
Température de non-chauffage Tnc 16 °C
Figure 1: Caractéristiques de l'immeuble d'habitation
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1.2.2. Caractéristiques de l’installation de chauffage existante
L’immeuble est chauffé par des radiateurs dimensionnés pour une température d’émission à la
température extérieure de base Temax = 69 °C.
Possibilité d’une
Cycles à mauvaise Accumulation Efficacité Température de
Coûts
économiseur alimentation du d’huile globale refoulement
détendeur
De plus, le cycle à injection de vapeur permet d’avoir un gain de COP d’environ 5% par rapport à une
PAC conventionnel. Mais ce gain d’efficacité est terni par un prix d’achat élevé par rapport à un cycle
simple.
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1.2.4. Caractéristiques de la source froide
Dans notre cas d’étude, la source froide est caractérisée par une nappe phréatique, les températures
sont sélectionnées par rapport aux données trouvées sur le BRGM (Bureau de Recherche Géologique
et Minières).
Comme le montre la figure ci-dessus, la température de la source froide varie de 12 °C à 6 °C, nous
allons donc prendre ces températures pour déterminer la température moyenne d’évaporation.
Le graphique ci-dessous permet de comprendre les hypothèses qui permettent d’établir une
température moyenne d’évaporation adéquate.
Tout d’abord, nous avons une température de la source froide qui varie de 12°C à 6°C, cette
température est moyenné (12+6)/2 = 9°C.
Enfin, on peut déterminer la température de condensation (9-5 = 4C°), il ne faut pas oublier une
température de surchauffe de 5°C.
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2. Étude énergétique
A la température Tdép1 = 55 °C, la PAC ne peut plus assurer la production de chaleur avec
comme seul compresseur en fonctionnement le compresseur basse pression (BP),
A la température Tdép2 = 65 °C, la PAC ne peut plus assurer la production de chaleur avec les
compresseurs basse et haute pression en fonctionnement, un appoint doit être mis en place.
On rappelle les conditions aux limites données par les caractéristiques de la pompe à chaleur
La fonction Tdép = f(Text) est considérée comme étant linéaire. On recherche la température extérieure
Text1 correspondant à la température de départ T dép1, soit la limite d’utilisation du compresseur BP
seul.
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Figure 6 : Loi d'eau
Bien que non utilisée dans les calculs suivants, la température d’ajout de l’appoint à la PAC utilisant
les deux compresseurs pour assurer les besoins est calculée à Text2 = -1.65 °C.
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Maintenant que nous avons la température d’évaporation (Tev = 4°C) est la température de
condensation (Tcd = 40°C), il est possible de tracer le cycle thermodynamique pour cette
configuration. Le cycle complet se trouve en annexe. En traçant le cycle, nous avons déterminé
différents points.
Les différents points sont déterminés par rapport au cours que nous avons eu, mais le point h2’
suscite une explication. Le point h2’ représente le fluide de compresseur. Plus précisément la
compression d’un fluide frigorigène n’est jamais isentropique, car une partie de l’énergie du
compresseur « réchauffe » le fluide. Ce point est déterminé par la formule suivante :
' h 2+ h 1
h 2 =h 1+
b
Dans notre cas, le rendement de balayage (b) est de 91 %.
COP 6.0
Figure 8 : Tableau des différents points pour Tcd = 40 °C
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Nous avons la température d’évaporation (Tev = 4°C) est la température de condensation (Tcd =
60°C), il est possible de tracer le cycle thermodynamique pour cette configuration. Le cycle complet
se trouve en annexe 2. En traçant le cycle, nous avons déterminé différents points.
Point T P h
Entrée compresseur [1] 9 3.2 405
Sortie compresseur [2] 70 17.5 440
Sortie compresseur [2'] 78 17.5 452
Sortie condenseur [3] 57 17.5 283
Sortie détendeur [4] 4 3.2 283
Sortie évaporateur [5] 4 3.2 401
COP 3.6
Figure 10: Tableau des différents points pour Tcd = 60 °C
Ces deux COP sont nécessaires pour établir la relation entre la température de l’eau (départ de la
PAC) et le COP.
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2.2.2. Étude du cycle basse pression + haute pression
Actuellement, nous connaissons le fonctionnement de la PAC en basse pression, nous allons
déterminer le fonctionnement de la PAC en haute température soit pour une température de
chauffage variant de 50 °C à 65°C.
Pour mieux appréhendé de ce système, les différents points de fonctionnement vont être présentés.
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Pression intermédiaire ; formule :
Pi 1.8∗Pcond
= → Pi=√ 1, 8∗Pévap∗Pcd
Pévap Pi
Étant donné que nous connaissons la température d’évaporation est la température de
condensation, nous pouvons déterminer la pression d’évaporation et la température de
condensation.
Donc en appliquant l’équation, la pression intermédiaire est de 9,58 Bar. A présent nous pouvons
tracer le cycle.
Point 3 → Maintenant que nous avons placé les différents points, le point 3 peut être déterminé avec
les formules suivantes :
h5−h 7
h 3=x∗h 9+ ( 1−x )∗h 2' et x=
h 9−h 6−h 7+ h 5
Après calcul, le coefficient x = 0.138 et h3 = 434 kJ/kg
Étant donnée que tout les points sont tracés, il possible de déterminer le COP de l’installation :
'
h 4 −h 5
COP= → COP = 3,73
( h 4 −h 3 ) +(h 2' −h 1)
'
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Cas n°2 : Température de chauffage = 65 °C
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2.2.3. Étude des COP
Étant donné que nous connaissons les différents COP, il est important de faire une analyse de ces
COP.
Tout d’abord, les 4 COP sont utilisés pour déterminer des courbes de tendances linéaires, grâce à ces
courbes, nous pouvons visualiser le COP de l’installation en fonction de la température de chauffage.
Variation du COP
12
10
8
COP BP
6
COP
COP HP
4
0
0 10 20 30 40 50 60 70 80
T chauffage [°C]
Ensuite, les courbes déterminées sont peu représentatives du COP de l’installation, car dans notre
cas le COP ne varie pas linéairement. Donc, grâce aux points déterminés, nous établissons une
courbe de tendance adéquate.
COP
12
10
8
COP
6
COP
Polynomial (COP)
4
0
0 10 20 30 40 50 60 70 80
T chauffage [°C]
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2.3. Études des consommations de chauffage
Pbesoin =G1∗V∗¿
La formule permettant de calculer les besoins de chaleur à partir de la température extérieure s’écrit
donc :
Température Déperditions
Besoins [kW]
extérieure [°C] [kW]
-4 100 83
-2 91 75
0 83 66
2 75 58
4 66 50
6 58 42
8 50 33
10 42 25
12 33 17
14 25 8
16 17 0
18 8 0
20 0 0
On considèrera que les puissances des compresseurs seront constantes quel que soit le
régime de température de la pompe à chaleur,
On considérera que les puissances et les travaux des compresseurs sont liés par la relation :
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P compres seurBP Wt compressionBP
=
PcompresseurHP Wt compressionHP
Où Wt représente le travail associé à chaque compresseur, calculé en kJ/kg.
Le compresseur BP est dimensionné pour le cas le plus défavorable, soit une température extérieure
Text1 = 4.24 °C, puisque c’est à cette température que le travail du compresseur BP sera jugé maximal
et qu’on basculera vers un mode d’utilisation des deux compresseurs de la PAC.
P Text 1
COP BP=
PcompresseurHP
P Text 1
PcompresseurHP =
COPBP
Le besoin de chauffage PText1 est fourni par la formule au 2.3.1.,
Soit PText1 = 48.9 kW
Le COPBP est fourni par l’application de la relation linéaire COP = f(Text) à la température
extérieure Text1.
Soit COPBP = 3.6
PcompresseurBP∗Wt compressionHP
PcompresseurHP =
Wt compressionBP
Les travaux sont calculés à la température Text2 où les deux compresseurs fonctionnent à pleine
charge.
WtcompressionBP = h2-h1
WtcompressionHP = (h4-h3) * (1-x) avec x la partie du fluide frigorigène entrant dans l’économiseur du
système.
Soit :
PcompresseurHP = 5.5 kW
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Les courbes représentant les puissances thermiques délivrées par la PAC selon son mode de
fonctionnement.
P condenseur
COP=
P compresseur(s)
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Figure 18 : Comportement du bâtiment et des équipements associés selon la température extérieure
Pour l'étude de cette variante, on a considéré une chaudière gaz à condensation avec les
caractéristiques suivantes :
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Rendement sur PCI 90 %
PCI gaz naturel 10 kWh/Nm3
Rapport PCS/PCI gaz naturel 1.11
PCS gaz naturel 11.1 kWh/Nm3
Ces caractéristiques seront également utilisées pour le calcul de l'énergie d'appoint du système
utilisant la PAC.
A partir de ces données, on va pouvoir calculer les consommations du bâtiment dans le cas de ces
variantes. On utilisera les besoins de chauffage calculés précédemment. Les consommations seront
calculés dans la partie suivante.
Les calculs ayant menés à ces consommations sont disponibles dans la fiche de calcul annexe :
Analyse des consommations
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2.4. Étude de la production d’eau chaude sanitaire
Maintenant que les avantages d’utilisation de ce système ont été présentés, il important de montrer
les différentes technologies.
Comme montre la figure ci-dessous, il existe deux types de système et trois modes de raccordement.
Le second système, le groupe thermodynamique est installé sur une unité qui peut être installée
dans un autre endroit (extérieur ou intérieur au bâtiment).
Le premier mode de raccordement, l’unité thermodynamique est en échange « directe » avec l’eau
chaude sanitaire séparé par un échangeur.
Le deuxième mode de raccordement, l’unité thermodynamique est séparée par une boucle de
transport (ECS), cela limite le risque de fuite de fluide frigorigène dans le ballon ECS.
Le troisième mode de raccordement, l’unité thermodynamique est totalement séparée par une
boucle de transport (eau glycolée), cela enlevé le risque de fuite du fluide frigorigène dans le ballon
ECS. Mais, étant donné qu’il y a plusieurs échangeurs (Fluide frigo → Eau transport et Eau de
transport → ECS) le régime de température du système thermodynamique doit être plus élevé.
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Figure 19 : Différents type de ballon CETHI
A présent, nous avons succinctement présenté les ballons CETHI. Nous allons effectuer différents
dimensionnements pour montrer la faisabilité économique et environnementale du ballon
thermodynamique par rapport à là une solution de référence (gaz). Pour commencer, il faut
déterminer les besoins d’eau chaude sanitaire du bâtiment.
Consommation moyenne
120
[L/jour/logement] à 55°C
Consommation moyenne
2160
[L/jour] à 55°C
Figure 20 : Consommation d’ECS
Ensuit, nous avons la consommation journalière d’ECS du bâtiment, nous pouvons déterminer
l’énergie nécessaire pour « chauffer » cette eau.
Formule : Q=m. C . ∆ T
Données de l'eau
Rho eau [kg/m3] 1000
En utilisant l’équation ci-dessus, les besoins journaliers en énergie sont de 406879,2 [kJ/jour] soit de
113 [kWh/jour].
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A présent, il faut détermine la puissance installée pour chauffer cette quantité d’eau, après plusieurs
essais, la puissance retenue est de 10 kW, ce qui permet au système (CETHI ou Chaudière Gaz) de
fonctionner 11,3 heures (113 [kWh/jour] / 11,3 heures/jour = 10 [kW]).
Tout d’abord, il faut déterminer la consommation journalière pour produire l’eau chaude sanitaire.
En utilisant l’équation ci-dessus, les besoins journaliers en gaz sont de 12, 56 Nm3 A présents, nous
pouvons déterminer les besoins annuels, soit de 4584 Nm3 de gaz
Pour que l’étude soit le plus proche de la réalité, il faut déterminer le COP (coefficient de
performance) du ballon CETHI.
Nous réalisons cette étude dans le cas le plus défavorable, donc, le COP choisi est de 3,68. Avec un
COP de 3,68, il est possible de déterminer la consommation énergétique.
Conso électrique
[ ]
kWh Besoin journalier [kWh / jour ]
jour
=
COP
, avec :
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La consommation énergétique est alors de 30,7 kWh/jour. A présent, nous pouvons déterminer les
besoins annuels (11210 kWh/ans).
Les systèmes de PAC exploitant l'eau des nappes sont réglementés. On comprend en effet l'intérêt
d'observer des règles stricts pour une ressource partagée telle que l'eau de la nappe, dont une
exploitation en amont du courant peut avoir des conséquences importantes sur des exploitations en
aval, notamment en terme de qualité de fluide (température, volume, mais également composition
chimique).
Un projet de ce type est soumis à la loi sur l'eau et au code minier. Selon les réglementations locales,
le code de l'environnement et le code de la santé publique peuvent s'appliquer.
Les points à surveiller portent principalement sur une bonne étude de l'installation avant mise en
place et une maîtrise efficace des consommations du bâtiment. On retiendra les points suivants qui
seront exploités dans la suite de cette étude :
Le prélèvement et le rejet de l'eau de la nappe sont effectués par deux forages différents,
Les forages d'alimentation doivent être espacés de 15 mètres minimums,
L'eau de la nappe doit être à température constante (cohérent avec les hypothèses prises).
Au-delà de 30 mètres, les consommations de la pompe sont considérées comme trop importantes
pour que le système soit économiquement intéressant.
Dans le cadre de cette étude, on va considérer qu'on prélève et qu'on rejette l'eau de la nappe à une
profondeur de 15 mètres.
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La pompe transportant l'eau de la nappe doit assurer le transport de l'eau dans les éléments du
circuit suivants :
On considère que l'écart de température entre le prélèvement et le rejet sera de 5°C. La plus grande
puissance d'évaporation échangée est atteinte pour le point ou la PAC utilisant deux compresseurs
doit appeler l'appoint, soit une température extérieure de -1.65 °C correspondant à une température
de condensation de 70°C. Soit, par calcul :
Pevapmax = 53.1 kW
En supposant que l'eau de la nappe a la même capacité thermique que l'eau "standard", on peut
calculer le débit :
Pevapmax
Q meaunappe =
cpeau∗∆ T
Avec Cpeau = 4180 J/kg.K et ΔT = 5°C
Pour calculer les pertes de charges dans le réseau, on se base sur le tableau suivant :
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Figure 24 : Tableau de pertes de charge
Par lecture de l'abaque, on considère que la tuyauterie est prise avec un diamètre intérieur égal à 50
mm. Soit
(45+2+1)
Htot = ∗5+ 3=5.4 mCE
100
Ppompe = 125 W
Cet ordre de grandeur est comparable à l'hypothèse d'une puissance des auxiliaires de 0.15 kW
prises dans l'analyse des consommations.
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2.6. Bilan énergétique global
3. Étude économique
Pour l'électricité :
On calcule ici le coût lié aux consommations d'électricité et de gaz liées à l'exploitation de la PAC.
Soit :
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Coûts liés à l'électricité : 4 597 €
Cette étude nous permet de prouver l'intérêt économique de la PAC au niveau des frais annuels de
fourniture d'énergie, puisque le rapport de coûts entre ces deux variantes est de plus de 53 %.
Électricité :
Heures pleines TTC = 0,159 €/kWh ; Heures creuses TTC = 0,124 €/kWh ; 2/3 de l’énergie consommée
en HP, 1/3 de l’énergie consommée en HC.
On peut conclure que pour la production d’ECS, le ballon CETHI est très avantageux autant du point
de vue financier qu’écologique. Car, en 1 an 1329 € peuvent être économisés par rapport à une
solution gaz.
13
3.4. Bilan économique global
4. Étude environnementale
Fluide frigorigène :
Dégagement de CO2 :
Ces données vont être utilisées pour fournir l'étude environnementale des variantes.
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4.2. Étude des émissions liées au chauffage
Qff =0.125∗PmoyPAC
Soit une quantité de fluide prise à 10.4 kg.
On remarque que les émissions de fluide frigorigène reviennent à environ 5% des émissions totales
du système. Cela semble peu, mais on considère que l'installation est maîtrisée sur une durée de 20
ans. Comparativement, il y a très peu de fluide frigorigène dans le système, ce qui démontre bien
l'impact très important que le R134a peut avoir sur l'environnement s'il est mal géré.
On calcule le facteur de réduction, c'est-à-dire le rapport entre les émissions obtenues par le système
de pompe à chaleur et les émissions de la variante de chaudière à gaz.
Ce facteur est cohérent avec le facteur 4, un objectif écologique qui revient à diviser les émissions de
gaz à effet de serre par 4 pour la France en 2050 à partir du niveau de consommations de 1990.
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4.3. Étude des émissions liées à l’eau chaude sanitaire
Comme nous l’avons vu précédemment la production d’ECS avec un CETHI est une solution
économique, mais, il reste à savoir ci cette solution est intéressante d’un point de vue
environnementale.
Ensuite, les émissions liées à l’énergétique sont déterminé par la relation suivante :
[
Emissions kg éq
CO 2
an ]
=Conso élec [ kWh ]∗Coef [kg éq
CO 2
kWh
]
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4.3.2. Émissions de chauffage d’ECS lié à la chaudière gaz à condensation
Maintenant que nous connaissons les émissions d’équivalente de CO2 par an du ballon CETHI, il faut
comparer cette émission par rapport à une solution conventionnelle (chaudière gaz).
[
Emission kg éq
CO 2
an ]
=conso gaz
Nm 3
an [ ]
∗Coef [kg éq
CO 2
Nm 3
]
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6. Conclusion
En se basant sur des critères économiques et environnementaux, on peut considérer que le système
le plus intéressant à installer serait le système de PAC avec appoint, couplé à un chauffe-eau
thermodynamique pour l’ECS.
Professionnellement, ce projet nous a apporté une connaissance approfondie des méthodes et des
démarches à effectuer pour le dimensionnement d’un système thermodynamique de chaud et de
froid. Les compétences apportées par ce projet nous servirons pour de futurs projets de conceptions
de systèmes similaires.
7. Annexes
Données du projet
Étude des consommations
Diagrammes R134a
Note de calcul (format Excel)
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