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ESH EN 10 PAGES

Et quelques autres ….

NICOLAS ALBAREL
SOMMAIRE :
ESH 1:
1-CRÉATION DE LA MONNAIE
2-FINANCEMENT DE L’ÉCO
3-COURANT PENSÉE ECO

ESH 2: SOCIOLOGIE

ESH 3:
1- CROISSANCE ÉCONOMIQUE
2-DEVELOPPEMENT ET INÉGALITÉ
3-ÉCOLOGIE

ESH 4 : STRUCTURE SOCIALE ET ÉCONOMIQUE

ESH 5
1-ENTREPRISE ET SA GOUVERNANCE
2-SOCIOLOGIE DU TRAVAIL
ESH 1 : CRÉATION DE LA MONNAIE

📈 ▶
▶ ➡
2) Les fonctions de la monnaie : la monnaie comme instrument :

A-monnaie métallique Aristote trouve 3 fonctions à la monnaie :


premières monnaies : apparaissent au Néolithique (néo= nouveau et lithos=pierre ) a) La fonctions d’instrument d’échange :
Pourquoi : 3) La monnaie comme institution politique et sociale :
-Débuts : agriculture/élevage synonymes d’une sédentarisation.
Fonction d’instrument d’échange: comparaison avec troc qui suppose la
-Passage : société + concrète hiérarchisée avec + de ressources et donc beaucoup + d’échanges. coïncidence des besoins et désirs, l’attente de trouver un échangeur génère un a) La critique des approches fonctionnalistes :
-passe d’une économie de prédation économie de production. coût d’attente. Pour certains : fonctions ne suffisent pas à décrire monnaie comme A. Smith ou D. Ricardo.
départ:
-marchandises était éléments de monnaies = valeur d’usage qui n’est plus le cas de nos jours (monnaie fiduciaire). -monnaie est une créance : car permet procurer n’importe quoi direct concept chronologie : contestée puisqu’il y a des société où il y a eu monnaie avant le troc, l’évolution pas linéaire.

plantes, minéraux comme sel (donnera le mot salaire), fourrure, animaux,cacao et tabac. Tous ont une utilité en tant que marchandise. de liquidité. En effet !! Eu des retours en arrière comme en Allemagne 1903 et Russie 1992

(2000% d’inflation) il y a eu des retours au troc.


Puis!! cauri : coquillage mers chaude premières monnaies conventionnelles utilisée d’abord en chine perdurera jusqu’au XX ! -monnaie est un actif : liquidité maximale et détient pouvoir libératoire cad libère Karl Polanyi :
des dettes (acheter un objet, remboursement prêt).
Mais inconvénients !! pas fractionnables (bœuf) pour les petits achats et friables (tabac, fève). Mais !! Inconvénient est que limite d’un paiement en liquide en France est de
-économiste XXe favorable caractère fonctionnaliste de la monnaie.

Alors Apparition premières monnaies métallique : 1000 euros (sauf accord) du vendeur.
-critiqué par historiens car souvent logique infondé sur logique marchande, mais sur une logique de supériorité où on veut montrer qu’on est généreux et riche.

-fractionnables / peu altérables. -L’origine marchande de la monnaie parait très peu probable donc.

-D’abord le bronze en petits lingots (2200 av JC) b) la fonction de mesure de la valeur :


-monnaie marchandise (fondre en épingle). b) L’approche anthropologique :
deuxième fonction serait la mesure de la valeur:
-Puis au 7 siècle av JC : apparition des pièces pour éviter fraude , pièce en électrum.
e
1ere approche non fonctionnaliste: l’approche anthropologique.
Au 6 BC: première pièce d’or pur par le roi Crésus avec les ressources de la rivière “ pactole”en Lydie.
e Léon Valras : démontre cela avec troc où sur marché avec n biens, il y a n(n-1)/2
Au 5 BC: première pièce à l’effigie d’un homme, ce sera Darius.
e rapports d’échange alors qu’avec la monnaie il y en a n. Elle rend les objets développée au XXe siècle : économistes français Michel Aglietta et André Orléan dans la violence de la monnaie (1992).
-Monnaie : fruit d’un besoin social et non éco car désir mimétique qui peut porter à la violence pour détenir ce qu’il a.
Dès l’antiquité faire circuler monnaie est un attribut du pouvoir politique et apparait alors les premières envies de manipulation comme la commensurables. -Thèse : consiste à dire que la monnaie canalise cela et amène à + d’échanges.
Cependant !! cette même monnaie peut être à l’origine de violence.
pratique du rognage. Les pièces n’ayant pas de valeur faciale, les roi les rognaient pour en faire plus ou rembourser les dettes. c) La fonction réserve de valeur :
PB :on finit par s’en rendre compte et les prix montent. -On observe: Durant l'histoire monnaie est plus qu’un instrument fonctionnel .
-Les rainures sur les pièces viennent de cette pratique. dernière fonction est celle de réserve de valeur : En effet !! symbole d’unité nationale représente la nation et personnages importants qui y figurent, c’est un fierté.
Dans éco de troc :
B) la monnaie fiduciaire -proposer un bien = toujours en demander un autre en même temps. Adoption de l’euro : difficile ALL car allemands étaient très attaché au Deutschemark.

Monnaie Papier: monnaie fiduciaire (du latin fiducia= confiance),


Alors que!! Dans éco monétaire :
La monnaie offre la possibilité à tous au sein d’un groupe de participer aux échanges, elle est vecteur d’un lien social plus fort que le marché, elle signifie
-on peut vendre un bien/conserver la somme pour s’en servir plus tard.
sa seule valeur repose sur la confiance que l’on a en la monnaie et à l’autorité qui l’a mise en circulation. l’appartenance à un groupe social.

Est apparu :
Alors!! Permet scinder en 2 circuit vente/achat et d’épargne= succès des
-au MA au 12 et 13 siècle : vont se développer durant la période suivante.
e e
monnaies métal.
On mis en place système de lettres de change: c) L’approche socio-économique :
- repose évolution du système bancaire par les grandes familles de banquiers italiennes (Lombardie) et leur réseau. Conclusion : si actif réunis ces trois fonctions on peut le considérer comme Approche est développée par Karl Marx et Simmel :
-Beaucoup utilisées par les marchands afin de palier les problèmes de vols et de poids elles sont d’abords nominatives. monnaie. XIXe : Marx souligne que c’est la P° indépendante des travaux privé qui caractérise une société marchande.
à partir du 16 siècle , mise en place certificats de dépôt :
e
sociétés traditionnelles : très forte C° par sois même, activités marchandes étaient limités selon les traditions et la religion.
-attestant avoir bien reçu la somme indiquée de tel client. De même cette pratique ce démocratise pour ceux qui y ont accès. Ricardo :
sociétés marchandes : risque fractionnement de la société
-17 siècle : apparition des billets payables au porteur (anonyme) crées par Johan Palmstruch en 1650.
e
Sous estiment fonction réserve monnaie, pour lui épargner est irrationnel, c’est monnaie est là pour coordonner /centraliser les échanges par le biais des prix. La division du L est très poussée et permet de progresser.
Mais !! faibles retour des certificats alors !! banques émettent que ce qu’ils ont en coffre, leur couverture métallique. thésauriser. -Monnaie est un voile qui cache vrais échanges. Simmel insiste sur le fait que la monnaie est signe de l’automatisation de l’individus lors de son intégration, les coutumes sont remises en causes par la monnaie et donc les
Alors !!font un prêt, avec parcimonie ceci n’est pas risqué mais certaines banques comme celle de Johan Palmstrcuh en 1656 en Suède se individus deviennent plus autonomes et rationnels, « l’échange est bien plutôt une socialisation ».

retrouvent bloquées et font faillite.


Keyne : Bristol Pound en 2012, monnaie complémentaire crée par la ville de Bristol pour redynamiser l’économie locale en orientant la C° pour supporter des crises.
Donc : s’opposera à lui en montrant le caractère rationnel de l’épargne.
C’est la première crise bancaire majeure et le royaume suède en 1668 instaure la première banque centrale, on assiste à une hiérarchie du
système bancaire.
Banque : stop payer leurs paiements interbancaires en métal et utiliser les billets
France : c’est napoléon en 1800 qui crée la banque de France qui aura le monopole de production du franc en 1803 pour Paris et en 1848 sur
l’ensemble du territoire.
Mais!! toujours un lien fort entre monnaie fiduciaire/métallique afin de rassurer population garder la confiance.
-En France en 1811 apparait l’étalon métallique (bimétallisme).
Développement de l’étalon d’or:
- en Angleterre en 1816
4) La monnaie comme objet de débats théoriques :
- France en 1876 (fin bimétallisme)
entre 1890 et 1900 en Allemagne, Russie, Autriche-Hongrie, Japon, USA.
a) Les premières controverses :
En 1844 au R-U pas le droit d’émettre plus que les réserve d’or = taux de couverture de l’émission fiduciaire par l’encaisse métallique est de XVIe siècle : phénomène d’inflation toute l’Europe
100%.
Charles IX & Jehan Cheruyt:
-Rédige : rapport Malestroit et explique cela par abus de manipulation monétaire (rognage)
-2 ans après : Jean Bodin : contredit et indique que c’est afflux matériaux précieux venus du nv monde.
c) Une déconnexion progressive de la monnaie fiduciaire et du métal précieux :
XIXe : -Bullionisme : conception éco/vertu richesse d’un royaume réside dans ses réserves de métaux précieux.
-Seules BC produisent monnaies Fiduciaires mais font autre type : la monnaie scripturale (virements, chèques, prêts):(90% des paiement monnaie
scripturale ) bullion comitte :
Mais lien métallique/fiduciaire commence à fragiliser:
-Angleterre est en charge de déterminer les causes du prix élevé du lingot d’or.
-même époque par crises ou guerre du fait des coups de paniques.
-Elle stoppe sa convertibilité en or car ses liaisons son coupées par la France contre laquelle elle est en guerre.
-France a interrompu conversion en or entre 1848/1850 à cause émeutes et révolution
-Même partir WWI dès fin juillet : convertibilité stoppée dans tous les pays belligérants (sauf les USA).
Alors !! Système reprend FR :1928 et RU :1925 = réservé uniquement grosse sommes
car banques imprimé beaucoup billets pour financer guerre= taux couverture s’était effondré. D. Ricardo (bullioniste) :
-Crise 1929 : achèvera système dans la totalité des pays du globe (en France en 1936).
fin 1971
-Considère cela est dû à l’émission excessive de livre sterling et l’or une valeur refuge, son prix augmente.
-automne 1944 : Les USA mettent au point système de Breton-Woods
1970, les grandes monnaies n’ont plus aucun lien avec les métaux précieux. -Thomas Tooke, un anti bullioniste considère que l’augmentation des prix pénuries générées par la guerre.
De 1950 et 2018 :
14% et des dépôts à vue de 49 86%
-1802 : paix est signée / controverse s’est poursuivie sur comment organiser les règles d’émission de la monnaie.
-Part de pièces / billets passée de 51
-bullioniste : ont prôné Currency principle = couverture d’encaisse métallique de max 100%.
M.Agglietta : il existe 5 formes de monnaie à présent :
-La monnaie centrale: monnaie fiduciaire. -anti-bullionistes : prônent le Banking principle : émission en fonction sous une certaine limite préétablie / stock.
-La monnaie émise par les BC : monnaie scripturale
-Monnaie électronique : offerte par des fournisseurs non bancaires (e-monnaie) -Comme dit précédemment : partisans du Currency principle l’emportent avec le Banking Pact de 1844.
-Monnaie donc technologie de paiement est la blockchain (i-monnaie)
-Les cryptodevises (i-monnaie) depuis 2008 : crées par non-banques/émises sur blockchains ouvertes (bitcoin, etherum). b) L’approche dichotomique : la monnaie neutre :
Mais!! Absence d’institution qui protége valeur cryptoactifs empêche utilisation en tant que monnaie leur trop grande volatilité les empêche -question de neutralité de la monnaie.
d’assurer une fonction mesure ou réserve de valeur.
-variation de masse monétaire en circulation affecte de la croissance éco ?
Elle n’a court légal nulle part sauf exceptions (Salvador en 2021 dont les habitants sont très sceptiques).
Chez les classiques du XVIIe: monnaie n’influe pas (approche dichotomique).
Chez les néo-classiques: monnaie est exogène quantité d’or dépendent géologie/ quantités ne sont pas liées éco réelle
JB Say :
-français qui a été premier formuler théorie de la monnaie voile qui masque la réalité des échanges.
-monnaie peut pas être désirée par elle-même uniquement pour service qu’elle rend, irrationnel de l’accumuler
-Loi des débouchées :
-épargne est immédiatement réinvestie « les bien s’échangent contre des biens ».
~
JS Mill (20e) :
-«Il n’est pas dans eco d’une société quelque chose de plus insignifiant que la monnaie ».
-partisans de monnaie neutre distinguent prix relatifs/niveau général des prix.

-Si MM augmente amènera à de l’inflation mais prix relatif ne changera pas d’où caractère neutre de la monnaie.
Théorie quantitative de la monnaie :
-Inflation résulté la MM excessive en circulation.
Irving Fisher au XXe siècle:
(m.v=p.t avec m=MM en circulation, v=v de circulation, p=niveau g des prix et t=volume total des transactions)
-considère que la v reste stable et que les variations de MM n’auront d’effet que sur les prix généraux.
Conséquence : changer la MM ne peut pas changer l’économie.
S
Autre approche monnaie exogène :
-l’approche dichotomique faible agir sur MM a des effets transitoires.
-Véhiculée par néo-libéral Milton Friedman (considère que mesure ne sont que tempo car salariés sont victimes d’illusion éco )
-Pour lui inflation = aug de la MM qui n’est pas suivie par une aug de la P°.
c) Refus de la dichotomie pour certains tenants de la monnaie exogène :
certains de monnaie exogène : monnaie n’est pas neutre, elle a des effets durable/nocifs sur variables de l’éco réelle.
Jacques Rueff :
-économiste français XXe siècle (entre deux G) dis que dans régime à monnaie inconvertible, les banques et l’état créent des « faux droits »
-Car!! aug la MM sans se soucier taux de couverture ce qui entraine une aug du déficit des finances publiques qui participe à l’inflation.
-Alors!! Rejette la théorie quantitative de la monnaie pas de lien entre MM et inflation.
-Donc!! Vrais droits = contrepartie de la richesse produite. La monnaie a un impact sur l’éco réelle.
Friedrich Hayek:
- penseurs libéraux les plus importants du XXe s’appuie sur le tx d’i naturel (croisement de l’offre et de la demande)
-Si tx d’i inf au naturel aug MM et donc dvp du K fixe plus rapide que les biens de C°, l’offre se réduit et donc les Ceurs épargnent.
Sinon!! Dans le cas inverse c’est la crise éco.
Quand on s‘écarte du tx d’i naturel on va a des crises et déséquilibres, une bonne pol doit plutôt s’en rapprocher.
-Hayek: la monnaie est active inverse de la monnaie neutre.
d) Les théories de la monnaie endogène :
Théorie de la monnaie endogène : impossible que sa source soit à l’extérieur de l’éco
-Mais!! pas pertinent de distinguer sphère m d’une sphère réelle, se manifeste au XIXe siècle.
Thomas Took:
-comprend création de monnaie fiduciaire/scripturale se fait lors de la création de crédit par les banques.

-Si emprunteurs sont solvables créer richesse en plus de rembourser


-alors!! limiter l’émission de monnaie peut être dangereux.
Keynes :
-prend contrepied de la dichotomie critique la loi des débouchées émise par JB Say.
-En effet!! considère que classiques accordent trop d’importance fonction réserve de la monnaie (peut être désirée pour sa liquidité)
-anticipations des agents sont plus importantes que le tx d’i met en avant psychologie qui va affecter volume de crédits.
-Certaines décisions peuvent être sans impact si les agents ont peur.
-monnaie : pas neutre et est au contraire active/ conteste l’équation de Fischer (t peut augmenter sous une aug de m)
ESH 1 : FINANCEMENT DE L’ÉCONOMIE
➡ ➡
➡ ➡
Construction système financier XIXème siècle : Banque affaire / dépôts / banque à tout faire
Collecte de l’épargne et marchés financiers
a) De la haute banque à la banque d’affaire :

-
18ème : certaines banques sont à des familles fortunée (grâce au négoce a) Collecte de l’épargne populaire et bancarisation des ménages :
international) Rothschild début 19 seuls les bourgeois ont un compte en banque. ➡ ➡ ➡
a) De nouvelles fonctions bancaires :
e:

Alors :
-Peu de clients mais tous très riches / beaucoup de prêts accordés aux -Epargne populaire pas confiée aux établissements mais mit « bas de laine ».
Avant 19 : système bancaire limité par faible activité industrielle
e
Etats comme les 5 emprunts de Louis-Philippe -Première caisses d’épargnes, crées par philanthropes sont premiers recueillir l’épargne pop.
-se diversifie et s’étend aux industriels comme la banque Seillière qui en D’abord : Allemagne France en 1818 avec la caisse d’épargne de Paris.
R industrielle : d’abord RU puis 19 : Europe e nouveaux besoins financement 1837 achète l’usine du Creusot, gérée par Eugène Schneider . Epargne : aug peu à peu du fait de l’aug des revenus :
début il y a : Alors!! Dev d’une activité de financement de l’indus par les banques. -inquiétudes/syst bancaire mais FR reste toujours assez réticente
1845 :Un des représentants Rothschild crée une compagnie de chemin de fer, -1913 : monnaie scripturale représente 45% en FR et 65% au RU.
-besoins limités ( textile) Ernest Labrousse « jouets mécaniques » apparition des grandes banques d’affaires (deuxième moitié XIXe) qui Mais!! Retard /bancarisation en FR : s’accélère après la WWII avec versement de salaires;
1966: seul 17% des français ont compte chèque.
-locaux peu couteux (moulins, vieux hangars) et donc l’auto-financement suffit financent uniquement les gros investissements.
➡ de dépôts : ➡ b) L’émission d’actions et d’obligations :

b) Le développement des banques
Puis!! Intensification de l’industrialisation donc aug des besoins de financement -Certains domaines même très riches s’associe pour mobiliser assez d’argent et tt financer.
➡ fondée en 1602 ( 1er SA coté➡ ➡ ➡ ➡
Création des banques de dépôts : limitées début 19 car très difficile en e
Ex: compagnie des indes orientales➡ aux Pays-Bas, en bourse ) ➡

(au RU 1820, France 1840, Allemagne et EU fin 19 ) e


occident de fonder des sociétés par actions.
-notamment dans métallurgie avec la construction des chemins de fer (1814) 1826: Au 19ème S:
- premiers réseau ferré commerciaux en (1830) -RU : dev rapide banques par actions (joint stock act ) sociétés Personne : dominent mais présentent risques associés mettent en jeu bien privés .
Mais!!Ceci coute très cher et demande du temps ce qui amène à trouver des modes de financement -alors!! spé dans les collecte de dépôts (grand public) + gestion moyens de société commandite simple : Commandité : comporte les associés de plein droit et les commanditaires qui eux peuvent
investir sans encourir leurs propres bien privés mais du coup ils n’ont pas de droit de regard.
nouveaux. paiement et des crédits commerciaux.
Londres : banques d’escompte et accepting houses=change international, Société par actions : se dev au 19 , comprend multiples actionnaires et protège le K privé, se finance en émettant dans le
système bancaire: va tourner autour de deux activités :
e

public des titres.


Car!! crédit à l’étranger extraversion importante.
-l’escompte actionnaire: considéré comme propriétaire d’une part de la société en échange peut recevoir des dividendes, avoir un
Tout cela est lié au contexte géopo : droit de regard ou bien siéger à l’AG.
-financement de la croissance industrielle. RU 1 : empire colonial du 20 , stratégique pour le contrôle des routes maritimes
er e
action : est un titre cessible sauf si clause d’agrément.
= 1 puissance commerciale. La fiscalité a bcp évolué mais ajd la SA reste plus avantageuse que les autres ce qui justifie son dvp rapide dès le 19 .
b) La centralisation du pouvoir d’émission :
ère e

Grosse concentration = oligopole, on parle du big five (Barclays/ autre moyen de financement : émission d’obligation avec titre d’emprunt (entreprise, Etat) qui se fait à moyen ou long
On assiste centralisation de l’émission des billets de banque pour la BC pour 3 raisons : Westminster
➡ ➡ Bank).
➡ ➡➡➡ ➡ ➡ ➡➡ ➡ ➡ ➡
terme (5 à 30 ans) C’est une créance car il y aura des intérêts.

➡ ➡
➡ ➡ ➡ ➡

France : c’est possible en 1867 (Société Générale, Crédit Lyonnais).
➡➡

-besoin d’avoir des billets reconnus à une plus vaste échelle que nationale. Alors :
-émission de monnaie est considérée comme fonction régalienne qui doit conférée à une BC EU: plus de 17000 banques à la fois de dépôts et d’émissions, il n’y a -Les versement sont fixes (dividendes non), pas de droit de regard et le profit varie selon la conjoncture économique donc
presque aucun réseau. certains préfère emprunter à un taux variable et non fixe.
-trop grande quantité de banques émettrices risque de faire s’effondrer le taux de couverture et les
Disparaitront en 1913 quand ils auront adopté une système de BC. -Une obligation est aussi cessible.
PB que cela implique.
-L’obligation et l’action sont des financement directs alors que le prêt bancaire est indirect.
Alors!!Les BCM doivent respecter les règles de la BC vues ci-dessus.
c) Spécialisation bancaire ou banques universelles ➡ : ➡➡ ➡

Tout ceci ne s’est pas fait au même rythme et moment dans tous les pays. Cette visions fut contestée par c) Succès des valeurs mobilières et essors des activités boursières :
Les banques dévs réseaux vastes d’agences.
les partisans du Free Banking au RU, une conception très libérale de l’éco. Aujourd’hui les BC sont En France : code du commerce de 1807 limite fortement création SA
Allemagne: ex emblématique du dvp d’un système bancaire différent,
nationalisées. moins extraverti et spécialisé : c’est une banques de dépôts et d’invest en même -actions émise sont à des prix inatteignables pour plupart des gens.
c) La nécessité du prêteur en dernier ressors : temps
James de Rothschild : crée compagnie chemins de fer du nord en 1845 (20000 actionnaires.):
risque étant plus important: ne soutiennent par n’importe quelles entreprises. 1863: régulation par l’Etat levée mais capitalisation de max 20 millions de francs
Les BC sont rendus à de nouvelles fonctions : On a les « 4D »:
-Produire des monnaies acceptées de tous. 1867: il n’y a plus aucune limite sur régulation .
-les 4 banques qui dominent le marché allemand au 19 . e

-L’Opération de réescompte : certaines banques ayant escompté des effets de commerces -L’Allemagne grâce à son système bancaire rattrapera retard industriel et passera
peuvent les vendre à la BC avant leur échéance qui va les réescompter dans le but de se Mais!! 1856: Joint stock company act reconnait la responsabilité limité des actionnaire
devant le RU avant la WWI.
refinancer en monnaie centrale, c’est un moyen de refinancement. -Allemagne c’est en 1870.
-France : influence très importante de Saint-Simon qui affirme que la parte de la
titres financiers :
noblesse ne serait rien comparé au meilleurs artisans du pays. -s’échange dans des bourses dès le 17
-Prêteur en dernier ressort :si situation d’illiquidité d’une BCM, la BC si elle considère bon -Ainsi des banques comme Lafitte (1837) ou Crédit mobilier (1852) financent -la vieille bourse d’Amsterdam avec titres émis par les entreprises coloniales.
pour l’éco de renflouer la banque le fera afin d’éviter des répercussions sur toute l’éco. l’industrie -RU: London Exchange fondé en 1801/ dans les rues de la ville (city’s change alley) dès 1695 dans des pubs.
-France: 1724 que la bourse de paris est crée qui siège depuis 1826 au palais Brongniart.
Pas le cas pour Lehman Brothers en 2008. MAIS!! refusent clivage avec banque de dépôt donc font un peu de tout. -Wall Streets : apparait en 1792.
Loi de 1844 : Angleterre sur monopole à banque d’Angleterre = Acte de PEEL -Pas de spécialisation jusqu’en 1860 : bcp de faillite et donc diminution des risques Seles les actions côtés s’échangent sur les grandes places boursières, les non côtés sont échangées par un réseau privé.
pris dans le financement de l’industrie
Dvp prend du temps : début 19 titres gouvernementaux
Mais!! En 1866 : Banking Act est suspendu pour permettre à la BC d’imprimer plus de billets 1882: krach de l’Union générale qui sèmera l’effroi et le début de la spécialisation en 1830 : bcp de chemins de fer
e

suite à la faillite de la banque Overend Gurney. France. 1875: activité ind financée par la bourse.
Henri Germain fondateur Crédit Lyonnais (1863) « les ressources courtes ne doivent 1914 :les SA par action ne représentent que 15% des sociétés gros de l’act boursière se base sur les titres d’obligations .
être affectés qu’a des crédits courts ». Début 20 : voit apparaitre des marché spécialisés comme le Nasdaq en haute technologies.
Walter Bagehot, (19 ) a bcp plaidoyer pour ce rôle de préteur de la BC.
e
e

Besoins et capacités de financement des agents : Différents financements :


A) Les ménages :
Agent peut avoir capacités :

Différentes économies :
-des capacités de financement (autofinancement )
-besoin de financement (financement externe ) A-autofinancement,financement externe intermédié et externe direct :
Pas confondre opération financement / monétaire
Capacité épargne pas homogène Epargne : Jap> US/FR/RU Autofinancement :
90°s : Jap rapport à l’épargne diff / car baisse I tendance à épargner taux I -peut se financer accès sa propre épargne autofinancement
Keynes : niveau Epargne C° dépendent du revenu / ménage tienne en compte taux -financement direct = finance par soi-même
Friedman : revenu permanent très important (dépend conjoncture future …)
Ce qui peut revenir à épargner / cas de peu de l’avenir . Avantages :

📈 ( car agent eco connait tt ses infos = pas détenu ➡ ➡➡ ➡ ➡ ➡ A-économie des marché financier :
-Pas asymétrie info par d’autre )
Mais!! Inflation : si elle est importante PA s’érode et l’épargne C° (acheter avant que ça monte )
-permet garder indépendance
B)Les entreprises :
Désvantages :
Dans un cas d’éco de M financier :
-problème cout opportunité ( rate opportunité placer cette argent gagner plus )
ont très souvent:
-besoins de financent (emprunteuse nette = besoin finance > capacité dispose )
-Tous les agents pas même capacité -Entreprise s’autofinance largement complété par marché F
-investissent > que argent de côté (rapport peut fluctuer dans le temps (depends politique monnaie menée)) Mais!! Recours autofinancement limité = forcement financement externes -Epargne M et 𐐁 suffisante pour couvrir les besoins de financement de l’éco
Ajd : l’emporte sur autofinancement
Alors!! Amortissement : répartition du cout de l’acquisition d’un actif sur l’ensemble de sa durée d’utilisation estimé . Alors!! F s’opère en grande parie par l’émission de titres sur marché F
➡ ➡
➡ 21°s
➡ ➡: amortissement ( PDEM ) 2 à 10 ans mais d’autre coûts commode immobilier Financement externe :
Elles peuvent : -Financement externe = ne pas se financer soi-même
-avoir un prêt bancaire à LT
-compenser par autofinancement
Différent financement externe :
HICKS:
-emission de titre sur M
Financement indirecte / intermédié : mode financement qui passe par intermédiaire Il dit :
-Instit financière emprunt des fonds à des agents en capacité de financement
Mais!! Autre Besoins de financement supérieurs dépendent:
-rentabilité entreprise ( plus de capacité d’autofinancement ) -l’institution : va accorder des prêts a des agents en besoin de financement (intermédiation de bilan ) -économie financée par marché F
-niveau d’endettement ( si continuer avec dette ) ( Intermédiation de bilan ) -donc!! Offre de K / demande de K sur marché F
-de la conjoncture ( favorable ? Risquée ?)
Finance directe : -donc!! Taux I fixés par confront O/D
Keynésien : demande décisive pour niv d’invest
-Agent à capacité de financement deviennent directement créancier des agents
Penseur néo-classique : considèrent décision d’investir dépend par le profit qu’il anticipe
-pas d’instit financière intermédiaire
-Opérations ne vont pas être inscrite dans le bilant des instits pas vrm intermédié (intermédiation de marché )
BSR :
C)Les administrations publiques Année 80 : -se refinance de manière privilégié sur marché monétaire ( par titres )
Administrations publiques: pas que l’Etat = pouvoirs/collectivités publiques -banque devenu acteurs principaux sur M (émettent des titres ) financement externe indirect a perdu importante
-créer monnaie scripturale qu’en proportion de monnaie centrale
-Nv Forme Intermédiation : achat titre émis par Entreprise / Etat procurer K
Selon Doctrine libérale : BC :
Ils pensent :
- pouvoirs publiques doivent pas intervenir dans fonctionnement éco = néo-libérale (comme Liz Truss) réduisent budget de l’Etat.
B-financement externe intermédié ,modalités et avantage : -passe par intervention sur marché monétaire
Mais!! Malgré influence = Etats dépassé leurs recettes et ont enregistré des déficits dans finances publiques.
Car!! Etat fonctionne avec des recettes (TVA, les taxes douanières…) + dépenses (budget de l’armée, de l’éducation nationale…). Acteur central -on retrouve schéma trad du multiplicateur controlé par BC
Grandes banques du moyen-âge : apporter financements campagnes militaires à l’état . Ils ont :
EX: -intermédiaire entre ceux qui sont en capacités / ceux qui ont besoins
-Jean de Médicis: banquier du 14ème-15ème siècle fondateur puissante dynastie des Médicis ( enrichi grâce prêts principauté de Florence)
-Accordé des crédits : à ceux qui veulent emprunter Classiques/libéraux : préférence pour éco de marché F car épargne préalable Invest
-Jacques Cœur (originaire de Bourges) 15ème siècle : grand banquier Premier français a crée relations commerciales avec pays du Levant (= orient = est de la méditerranée) Économie moderne: (Monnaie joue pas un role actif dans fonctionnement économie / favorise circulation juste )
Charles VII le nomma grand argentier du R de France. -Ce sont les crédits qui font les dépôts ( pas l’argent des dépôts qui est prêter emprunteurs )
-banques places argent de leur clientèle (crédit banquier sont crées à partir de R )
Angleterre : -Peut emprunter à d’autre institutions que les banques (=établissement de crédits nn bancaires )
-naissance banque d’Angleterre en 1614 par groupe de marchand londoniens Alors !! Argent que rembourse argent banque ne bénéfice pas banque car Argent détruit
-privilèges ont été octroyé par Parlement Britain en échange du K qu’ils venaient de levé soit prêté à la couronne britannique (endetté à cause des guerres contre Louis 14).
-Les Etats: couramment et fréquemment obligés (pour assurer leur finance) d’emprunter de l’argent.
( intérêt et les frais de services constitue revenus ) B-économie d’endettement :
Avantage financement intermédiés :
20ème siècle (aux lendemains de la WW2): presque ordinaire d’être constamment en déficit influence keynésien dominant en 1945 en occident (mais aussi au Japon).
-Réduit coûts de transaction ( car ne passe pas par modalité ) Dans un cas d’économie d’endettement :
pensée libérale :
-Etat pas être trop dépensier
-Asymétrie d’information réduite ( banquier est mieux informé ) -capacité financement d’une éco est insuffisante pour satisfaire besoin
-permet mieux gérer risque de défaut de paiement cas de défaillance / autre compense perte
-pas de déficit voire même des excédents budgétaires
Il existe plusieurs sortes de déficit :
-Alors!! Faire appel crédit bancaire
- déficit commercial : rapport importation/exportation d’un pays. C-Les risques de l’intermédiation et alternative du financement direct : -Marché financier / marché K sont mis de coté ( BSR vont se refinancer auprès BC )
- déficit des finances publiques : rapport recette/dépense d’un Etat.
Risque transformation d’échéance car : -Alors!! Politique monétaire s’appuie sur le taux d’escompte / régulation du crédit / porte sur quantité de crédits
Keynésianisme :
-dépenses publiques engagées par Etat = effet multiplicateur sur l’investissement .
-banque réalise intermédiation de bilan actif: des prêt accordé / passif: dépôt à vue
-Mais!! peut arriver que des fois bcp de déposant vont retirer leur argent de leur compte « Bank Run »
-éviter crises 1929: faut soutenir pouvoir d’achat des plus modeste et développer la protection sociale.
Une part croissante de la richesse nationale est consacrée aux dépenses publiques : -Donc!! Si trop nombreux alors que crédits sont à long terme banque se trouve dans une situation délicate (crise illiquidité)
Economie d’endettement :
- France : 9% à 55% entre 1913 et 2019
- Allemagne : 17,7% à 45,5%
-Alors!! Création dispositifs publics avec intervention pouvoir publics
-Situation de surchauffe (=BC confronté inflation agit sur taux directeurs ralentit voir récession )
- USA : 8% à 38,3%
- UK : 13,3% à 41% Mais!! Banque peut aussi se retrouver en manque de liquidité en cas de crise sur le marché bancaire. -Politique monétaire : BC privilégie contrôle quantitatif du volume des crédits
Faillite de Lehmam brothers: refinancements entre banques com étaient compliqués à cause méfiance / -Optique économie d’endettement : que monnaie revêt caractère endogène
Néo-libéralisme: Margareth Thatcher (UK), Ronald Reagan (USA) mais dépenses restent supérieures à ce qu’on a connu avant.
satisfaire tendance générale : augmentation des dépenses publiques (dans les pays développés) gros besoin de financement qui entraine dettes publiques. autre risque : le défaut des emprunteurs = crise de solvabilité. (Économiste kéynésien pense qu’il faut intervention pouvoirs publiques )
Car:
Administrations publiques : très largement (comme les entreprises) structurellement emprunteurs/déficitaires .
-agent peut ou pas rembourser la banque Alors !! bilan banque modifié car certaines créances ne valent plus rien Détérioration du M
-Agent anticipent flux revenu futur doivent permettre y rembourser emprunts contractés pour financer
conjonction entre :
-déficits subits (situation de crise, de récession, qui entrainent forcément des déficits) Donc!! financement est préférée emprunte sur un marché financier en émettant des titres. entreprise
-déficits assumés/voulus/choisis (comme dans les politiques de relance)
Distinction des titres :
Etats ont des dettes : - Emission de titres à court terme = réalisé sur marché monétaire en échangeant des titres d’emprunts courts contre des liquidités. Conclusion : ce système de financement qui a prévalu certains pays sur certaines périodes
-constamment renouvelées / jamais remboursées. - Emission de titres à long terme (émission d’obligations) = réalisé sur marché obligataire car sont cessibles et permettent entreprises de conserver
-Ils remboursent des emprunts mais en souscrivent d’autres indépendance.
- Emission d’actions = réalisé sur marché F Obligation de verser des dividendes aux actionnaires,avec possibilité d’interagir dans la gestion de L’entreprise .

Jusqu’aux années 1930 , place priviliegiée des marchés


➡ financiers
➡ :
A-les spécificités des systèmes financiers nationaux ; c- Les bouleversements induits par la Grande guerre.

Financement guerre :
b- La domination globale de l’économie de marchés financiers. - financé en « faisant marcher la planche à billet ».
19ème jusqu’à 1930 : Marchés financiers qui satisfont modes de financement. -on a alourdi fiscalité (en augmentant les impôts préexistants et en en créant de nouveaux).
-impôt sur revenu, maintenant généralisé : présent au début du 20 siècle qu’au RU ➔ Income
ème

Mis en place : 1916 FR, pendant guerre à cause besoin financement du pays.
Même impôts : fallait trouver sources de financement l’emprunt.
Mais!! spécificités des systèmes financiers nationaux, selon pays. Etats emprunté auprès de propre pop : Etat français fait 4 emprunts de défense nationale entre 1914/1918.
19 et jusqu’a 1930 : l’économie de marché financiers prévaut
ème crise contribué à changement car système sur ➔ Slogan populaire : « Ils donnent leur sang pour la victoire, donnez votre or ».

■ Au RU : marché financier qui sont en rigueur. lendemain de la WW1:


➡ ➡ -Europe (qui était banquière du monde) s’est retrouvée très endetté, notamment envers les USA.
-caractérisé par un fort degré de spécialisation - Toujours pas suffisant à financement par création monétaire : l’Etat a demandé à la banque de fabriquer davantage de monnaie fiduciaire.

-tourné vers les opérations financières et bancaires Allemagne: -Or, dans tous ces pays qui pratiquaient le respect de la couverture métallique, on n’augmentait pas la quantité d’or possédée alors qu’on augmentait la monnaie en circulation.
➔ Impossibilité de maintenir les règles.
-masse importante de dépôts à vue collecté par banques à tout fair qui servent de financement à plus long terme aux ➔ 1914 : suspension de la convertibilité en or de la monnaie.
➔ Cours forcé de la monnaie : obligation de continuer à utiliser la monnaie comme moyen de paiement, même sans la possibilité de la convertir en or.
- BC régie par Bank Charter Act en 1844 currency principle (l’éco UK repose sur Epargne et pas création de entreprises. Parmi les grandes monnaies occidentales :
- seul dollar est resté convertible en or par la guerre.
monnaie) -Financement intermédié assuré de façon importante par banques. -C’est possible car ils n’ont participé que tardivement à la guerre.

politique couverture d’émission de monnaie fiduciaire par encaisse métallique a fait de la livre la monnaie la plus -Dehors de ce cas particulier : financements directs qui assuraient majeure partie de satisfaction des besoins de l’éco. Bilan éco 14/18 :
-quantité de monnaie en circulation à sextuplé (encaisse or avait diminué, taux de couverture de monnaie fiduciaire s’est dégradé)
forte -fin de la guerre, on estime taux de couverture n’est plus que de 21,5%.
-quantité de mark en circulation à la fin de WW1 multiplié par 11.
-comparable rôle joué par le dollar de Bretton Wood mm si pas accord sur valeur des autres devises par rapport à bancarisation: (même dans les pays avancés) ⇨ Perte de confiance dans la monnaie (car trop de monnaie en circulation)
⇨ Inflation forte provoque un choc aux populations car phénomène auquel très peu habitué.
la livre. -relativement limitée dans les pays à cette époque-là.
-suprématie monétaire: expliquée par éléments géopolitiques (car RU est la 1ere puissance com avant WW1) - création monétaire était limitée car majorité ménages ne recourent pas au service bancaire (Même ceux qui ont des
Inflation :
- pas due qu’à l’augmentation de la masse monétaire due pénuries car c’était une guerre économique.
-Aussi car rôle financier du RU : grande puissance financière du monde (42% des investissement) comptes ) -pays de l’entente : blocus à l’Allemagne à pénurie en Allemagne.
-1914 : système de rationnement sévère.
Par contre!! Epargne des ménages absorbent titres d’’emprunts des entreprises titres émis par les Etats. -Pénurie + forte création monétaire: hausse des prix forte.
Par exemple: les prix ont triplés en France
■ En France : Différents facteurs : Différent revenus :
-moins extraverti : (FR passe par des banques UK pour des opérations complexe) 1 facteur explicatif : la stabilité monétaire ➔ Encourage les comportements d’épargne.
er
Revenu nominal : exprimé en monnaie du pays de la personne qui perçoit ce revenu. (un revenu salarial de 1000 euro par exemple)
Revenu réel : prise en compte des prix (réduit durant guerre )
-spécialisation forte des banques (après le krach de l’union générale) : politique plus souple que banque 2 facteur : pouvoir d’achat des monnaies.
ème 0% d’inflation à revenu nominal qui a 10% d’augmentation.
d’Angleterre 19 siècle : siècle caractérisé par grande faiblesse de l’inflation/ sur le siècle , l’inflation était de 0,25% de hausse des
ème
15% d’inflation + 10% d’augmentation = perte de pouvoir d’achat

1913 : franc couvert à 70% par encaisse métallique (majeure partie de la monnaie fiduciaire est couverte par une prix par an. rentiers :
-perçoivent des revenus (placement valeur mobilière d’emprunts) pire pour eux c’est l’inflation.
encaisse or) 20 siècle : inflation après la WW1, après la WW2, après les chocs pétroliers.
ème -Les revenus sur le loyer ont été affectés par la guerre été gelés pour des raisons sociales.
- Un grand nombre de rentiers ont été ruiné à cause de la guerre.

Alors!! rôle international comparable à celui de la livre le franc français solide dans le monde. 3 facteur : la structure sociale.
ème Facteur aggravant :
-les épargnants et rentiers français : placement en titre d’emprunt de l’Etat Russe.

lié à la stabilité du franc qui est toujours le franc germinal (même valeur or que celle établit en 1803). Car!! -Révolution + bolchéviques au pouvoir + pas de reconnaissance des emprunts = pas de remboursement des emprunts = les épargnants perdent bcp d’argent.

1914 : la France était la deuxième puissance financière mondiale car propriétaire de 20% des investissements début 20 siècle : pays occidentaux ont majorité de gens pauvres mais aussi importante minorité de rentiers .
ème inflation persiste après armistice de novembre 1918 : (mais aussi le traité de Versailles en 1919)
- gouvernements beaucoup dépensé continue d’emprunter/fabriquer monnaie pour verser pensions aux centaines milliers de blessés, de veuves de guerre, d’enfants orphelins… Plus d’1 million de mort.
- tendance à gérer ce patrimoine avec prudence -fallait reconstruire le pays à inflation qui rend problématique un retour à la convertibilité des monnaies en or.
planétaire. -plupart de la population ordinaire il faut retourner à ce qu’on a connu avant la guerre.
-famille constitue encore largement une unité économique qui repose sur un patrimoine (plus ou moins modeste). -Les questions éco et monétaire échappent pas aux effets psychologiques car attachement monnaie pas rationnelle.

➔ Favorise des comportements enclins à l’épargne. Britannique :


■ Allemagne : puissance industrielle, moins une puissance financière. -Livre sterling confiance forte et la plus respectée du monde.
-Britanniques, pour plupart, veulent revenir grandeur d’avant-guerre avec livre sterling convertible en or .
- convertibilité mark en or : plus récente que les deux autres car l’Allemagne unie n’existe pas avant 1871. ➔ Politique de déflation rigoureuse (=politique d’austérité) pendant plusieurs années avoir retour convertibilité en or .
20 siècle:
-Caractérisé par banques à tout faire (avec les 4D) :crée une différence nette avec logiques de spé dans les autres ➔ Baisse des prix en bloquant les salaires, en faisant monter le niveau taux d’intérêt très fortement = objectif atteint en 1925.
ème

-salariés sont minoritaires dans pop active alors que de nos jours 90% sont salariés. Déflation : baisse durable du NGP, dû à un gain de pouvoir d’achat de la monnaie.
≠ inflation (tendance générale de hausse du NGP), la monnaie perd de son pouvoir d’achat
pays.
-Parmi actifs : salariés soit travailleurs indépendants
à Profite à l’Allemagne. années 1930 : spirale déflationniste
-Catastrophique pr éco car indu à un ralentissement activité eco : diminution conso à entreprises en difficulté
-Puis, hommes politiques ayant mené cette politique (dont Churchill) assument mauvais choix, car asphyxié ecobritannique.
Système bancaire qui fait que les industriels allemands trouvent plus facilement que des industriels français. autres pays européens :
Au 19 siècle:
ème Convertibilité or est revenu:
-France en 1928, gouvernement dirigé par Poincaré permet au franc d’être convertible en or.
-bourgeois : comportements de modération de la consommation, le souci de léguer aux successeurs… -Cependant, sa valeur est largement inférieure avec une dévaluation de presque 80%.
■ USA : Dévaluation : système où monnaie a une valeur et où les autorités diminuent sa valeur ≠ dépréciation : perte valeur monnaie
-aristocrates : flambent l’argent.
-Nombre considérable de commercial banks: activité bancaire reste peu contrôlée (moins que dans les pays
européens) Beaucoup de monnaie européenne sont pas redevenues convertible en or :

-On parle de capitalisme « sauvage » (très libéral avec peu de législations et de contrôles). Logique d’économie : marché financier avant 1930 historiens de l’économie décrivent deux types de taux sur -seules grandes monnaies retournées convertible en or sont le dollar, la livre, le franc français…
-La plupart sont redevenues convertibles en or indirectement.

-1913: se dote d’un système de banque centrale (tardif comparé suède) marché : Par exemple, en Italie, la monnaie est devenue convertible en franc ou en dollar par exemple.

- partisans du free banking n’étaient pas favorables à la centralisation à l’époque. - Taux d’équilibre, formé par l’offre de capitaux et la demande de capitaux. En Allemagne:
-l’Allemagne de Weimar, l’inflation a poursuivi dans la période d’après-guerre et a en plus elle a connu (en 1923) un épisode d’hyperinflation.
- Taux de réescompte, qui exprime la politique de la BC (agissant sur la demande de crédits courts par le biais de la -Fin novembre 1923, un kg de pain coute 428 milliards de mark à Berlin, un timbre post vaut 50 milliards de mark ( gens ont commencé à penser que monnaie ne valait plus rien)
Retour au troc + tentative de changer le mark contre d’autres devise

pratique de réescompte). Cela empire le phénomène d’effondrement de la monnaie.


1922: rouble connait épisode d’effondrement comparable à ce qui se passe en Allemagne.
dû à une émission trop importante de monnaie fiduciaire.
Pour rétablir : intervention des USA qui ont apporté des prêts à l’Allemagne en 1924
Cet épisode a durablement traumatisé la population allemande, les extrêmes ont pris en pouvoir.
De même, réforme (en 1948 en Allemagne de l’ouest) qui a établi le deutschemark avec une obsession du gouvernement d’éviter l’inflation.

B
Des années 1930 aux années 1970 , l’éclipse de l’économie des marchés financiers :
a- L’impact de la crise des années 1930
b- L’impact de la seconde guerre mondiale et les réformes de l’après-guerre.
phénomène à Wall Street :
c- La croissance des « trente glorieuses » et le rôle de l’Etat.
-effondrement cours boursiers partir d’octobre 1929 constitue sorte de correction brutale d’une bulle spéculative qui s’est dev les années précédente. Au lendemain de la WW2:
Car!! Les cours des actions côtés avaient Quadruplé entre 1921 et 1929 (La spéculation s’est amplifiée à partir de 1926)
- Krach boursier : vient clôturer une période d’euphorie financière. -bilan économique américain très positif boosté son passage de puissance émergente à première puissance mondiale. Dans le cas des USA:
-parler avènement économie d’endettement est moins convainquant que pays d’Europe occidentale ou du japon.
USA aveuglement dans milieux éco et politique : Président Hoover disait que les USA étaient à la veille d’une période de prospérité économique.
-Les économies européennes sont en ruine encore plus affaiblies qu’après la WW1. -rôle des machés financier a perdu du pouvoir mais passage à économie d’endettement est moins net aux USA que autres pays capitalistes.
répercussions mondiales: -Le recul des marchés financier est moins marqué, de fait.
-détenteurs américains de capitaux ont tendance à rapatrier plus rapidement leur capitaux (y compris étrangers). RU: -banques prennent pas place des marchés financier, y a plutôt des marchés financiers internes aux grandes entreprises. On constate qu’entreprise utilise revenus pour financer de nv activités de processus de diversification.
-banques américaines ont créances, investisseurs américains possèdent des titres d’emprunt d’Etat étrangers… Or, ces décisions sont prises par les managers des entreprises, pas par les actionnaires, donc on ne peut pas parler de rôle des marchés financiers au sens classique.
-Procéder à des retraits massifs de fond, à des liquidations de titre. -illusion puissance économique majeure de premier rang alors qu’il est affaibli.
➔ Chute des titres sur les bourses étrangères, baisse des actions. confiera devise américaine le rôle d’étalon de valeur pour les monnaies.
Conclusion : Panique!!!
-Lors discussions Bretton Woods en 1944 : RU obligés participer à accord monétaire Capitalisme managérial (le pouvoir économique est entre les mains des équipes de managers, le pouvoir des actionnaires est moindre) ≠ de capitalisme actionnarial.
-RU est endetté, beaucoup de villes ont été détruites par les bombardements allemands, leur livre est flottante/plus convertibles, là où les USA se portent bien.
banques américaines, nombreuses font faillites: Période« 30 glorieuses » :
-5 à 6000 banques américaines qui ont fait faillite entre 1929 et 1931. -besoins de reconstruction sont si énormes donc évident que financement de cette reconstruction ne pourra pas se reposer sur épargne préalable surtout que les épargnants sont ruinés. -été inventé par le français Jean FOURASTIE désigner période inattendue forte croissance économique pendant cette période post-guerre.
-Celles qui ne font pas faillite rapatrient leur argent de l’étranger.
-Il va falloir mettre en place une économie d’endettement. -Croissance quasi miraculeuse, particulièrement forte dans certains pays.
banques allemandes:
-dépendante des USA, doivent rembourser banques américaines et plus aucun prêt accordé. Volonté de renforcer le contrôle sur les banques : Cette période est caractérisée par accroissement marqué du rôle de l’Etat:
-L’union soviétique n’a pas été impacté, car pas capitaliste. -conception libérale de l’économie a prévalu jusqu’aux années 30 dans les pays capitalistes, mais la crise a remis en question ce système.
-crise s’est généralisée au monde capitaliste. - Nationalisation de la BC (banques privées au départ, auquel on a conféré un pouvoir d’émission et de contrôle de la monnaie fiduciaire) en 1945 en France et en 1946 au RU. KEYNES : nouvelle conception de l’économie : l’Etat doit intervenir, imposer une régulation.
-Facteur aggravant : beaucoup banques étaient petites, d’implantation rurale, avec une clientèle formée de fermiers en incapacité. - Nationalisation des 4 plus grandes banques de dépôts (comme le Crédit Lyonnais et la Société Générale).
-Beaucoup de banques ont spéculé en bourse. + Accroissement du poids des partis de gauches (car les partis de droite sont discrédités à cause de la collaboration), favorables à plus d’intervention de l’Etat dans l’économie.
- Nationalisation des 34 plus grandes compagnies d’assurance (ayant une trésorerie importante) ➡ ➡ + crise des années 30 (chômage de masse, problème sociaux graves, perte de biens…) qui pousse à se dire qu’il faut tout faire pour ne plus connaitre de crise sociale et économique aussi grave.
-A partir de 1930, les actions ne valent plus rien (5 dollars). ➡ ➡➡ ➡
En plus elles en avaient accepté avant la crise en tant que garantis de prêt. ⇨ Nécessité de contrôle de la sphère financière (car elle aurait fait n’importe quoi pour la crise des années 30, et aurait eu un certain rôle pour la montée au pouvoir du parti nazi)
⇨ Beaucoup de faillites de banque
1945 :
-loi de nationalisation bancaire : loi de 1942 du gouvernement de Vichy (établissant séparation étanche entre banques de dépôts/ banques d’affaires). Dans les différents pays capitalistes : intervention dans l’économie.
Propagation à d’autres pays capitalise :
+ au niveau international : mise en place du système de BRETTON WOODS pour rétablir la stabilité des taux de changes, pour stabiliser les monnaies.
- Allemagne, dépendante des capitaux US = faillite bancaire. -A partir 1882 : banques déjà pris habitude de laisser les prêts à longs termes pour les banques d’affaires, mais la législation française n’intervenait pas. -FMI créé en 1945 pour aider à faire fonctionner ce système et aussi pour pousser les pays à le respecter.
-Danat Bank, mastodonte dans le système bancaire allemand, a fait faillite en juillet 1931 banque centrale (la Reich Bank) a renoncé à aider BSR en difficulté.
-Entraine des faillites en cascade car entreprises clientes de cette banque ne peuvent pas récupérer leur argent -Plus tard, on retrouve évolution système bancaire, notamment avec les lois DEBRE (en 1966 et 1967) atténuant séparation qui avait été établie par la loi. -Taux de changes instables = mouvements massifs de capitaux/mouvements spéculatifs.
- RU affaiblit par les retraits de capitaux américains UK: quand la valeur de la livre a chuté peut avoir des investisseurs qui sont plus intéressé par titres des sociétés britanniques
- La France est touchée en dernier -Permet aux banques de dépôts de recevoir dépôts à terme plus que des dépôts à vue.
-Il y a aussi un effet inverse : si on possède des actions, les dividendes possédés en livres sterling vaudront moins dans la monnaie de l’actionnaire
-banques de dépôts re développe financement long terme = élargissement capacités de participation aux capitaux des firmes (avec des actions).
Quand pays germaniques (au printemps 1931) s’enfoncent dans la crise :
-RU commence à aller mal car les britanniques avaient beaucoup d’argent en Allemagne.
-En effet!! décisions de l’Allemagne a été de bloquer bcp d’investissement. La séparation entre activité de banque de dépôts et banque d’affaire : 1942-1945 = forte Période de contexte de stabilité des changes : absence de mouvement internationaux de capitaux massifs/incontrôlés ,donc on peut se permettre des politiques monétaires indépendantes.
-Ainsi, capitaux détenus par britanniques détenteurs ne pourront pas les liquider à difficulté du côté britannique.
Libéralisé avec les lois debré.
S’atténuera encore plus dans les années 80. En France:
Hémorragie de devises et surtout d’or en Angleterre:
-Tous ceux qui détiennent livres quand crise se développe, se mettent à demander qu’on leur changelivres sterling contre or. -on a mis en place un système de planification, qui n’existe plus aujourd’hui.
➔ Septembre 1931 : suspension de la convertibilité de la livre, malgré politique de rigueur, refusant de bloquer la convertibilité de la livre. -Pas comme dans les pays communistes où l’Etat planifie la production sur une durée donnée.
-Pas de dévaluation mais autorités britanniques ont demandé banque d’Angleterre de laisser flotter livre sur le marché des changes . Dans la plupart des pays capitaliste : - le système est indicatif, on essaye d’inciter les entreprises à atteindre ces objectifs pour organiser la reconstruction puis portant sur la modernisation de l’économie française.
-En quelque semaine : perte de 30% de sa valeur par rapport aux autres monnaies. -une BC valide les offre de crédit des BSR (logique d’une monnaie endogène) et les refinancent. Ceux qui mettent en place ce système : Pays-Bas, Japon, France…
-Pas dévaluation car gouvernement n’a pas baissé la valeur même si le résultat est le même : on laisse la livre déprécier. Les distinctions faites par HICKS sont donc valables et la France apparait comme un bon exemple d’économie d’endettement.
-Parmi pays, l’Allemagne est cas particulier avec sa tradition sans faille de soutien à l’industrie, jamais remis en question.
De Gaulle : « La politique de la France ne se fait pas à la corbeille ».
-Quand monnaie perd de sa valeur : dope - exportations car apparait plus compétitif pourrait aussi pousser acheter des titres sociétés britanniques car moins cher mais crise mondiale donc cela pas possible . -loi bancaire (promulguée en 1961) : réaffirmé et repris modèle de banque à tout faire à l’Allemande. Des entreprises sont fortement dotées par l’autofinancement, ce qui manque étant fourni par les banques.
➔ Illustre symboliquement la conception qu’il a de l’économie : la politique de la France n’est pas dictée par les marchés financiers.
-Pas de réformes bancaires dans les pays européens. Les entreprises allemandes sont rarement côtés en bourse, ce ne sont pas des sociétés par action (contrairement à l’Angleterre où c’est fréquent). Corbeille = endroit où traders se réunissaient pour faire les transactions (d’achat, de vente des actions).
-En Allemagne : des grandes banques ont fait faillite.
-L’Etat allemand a recapitalisé des banques pour éviter qu’elles fassent aussi faillite.
L’économie sociale de marché (= économie de marché (car la RFA est un pays capitaliste) avec un souci de questions sociales. La bancarisation a beaucoup progressé après 1945:
Conclusion : Dans ce type d’économie, les syndicats sont caractérisés par des négociations avec les patrons, pas par une mise en confrontation. -plus rapidement qu’au cours des décennies précédentes.
En 1931 : encore une République mais, à cause de la crise, montée des extrêmes donc janvier -De plus en plus de salariés = ouverture de compte en banque.
1933 : Hitler accède au pouvoir. Loi bancaire en 1934 qui renforce la supervision des banques par l’Etat. ➔ La part de la monnaie scripturale dans la masse monétaire a au moins doublé.
-Effondrement boursier durable : les cours boursiers ont chuté. La Japon présente aussi des spécificités par rapport aux autres économies capitaliste :
Même quand remonte dans les années 30, activité boursière qui a fortement reculé.
- Logique d’économie d’endettement après la 2 guerre mondiale. ème Les évolutions sociales favorisent également le développement d’une économie d’endettement :
En 1933 , Roosevelt a engagé politique du New Deal : -grands groupes japonais, on retrouve structure : les banques sont intégrées dans un grand groupe très solidement intégré (qui comprend toute sorte d’entreprises : sociétés commerciales, industrielles…), des conglomérats, et ont des -bourgeoisie défendait des valeurs patrimoniale mais ça s’est érodé dans des années 50-60.
-caractérisé par série de réformes profondes dont réformes importantes portant sur système bancaire (révélé fragile et dégradé par la crise) -Les salariés deviennent de plus en plus majoritaires durant les 30 glorieuses et, aussi, le niveau de vie de la population a progressé très rapidement (le pouvoir d’achat a triplé)
participations en capital aux entreprises de ce groupe. Vont accorder des crédits, permettant aux entreprises japonaises de faire des efforts d’investissement.
-comme le « glass steagall act » vise à remettre de l’ordre dans le système bancaire américain en introduisant séparation rigoureuse entre les activités de banques d’affaire/dépôts. -on assiste à l’essor d’une classe moyenne.
-le banking act: prévoit que commecial bank américaine doivent adhérer à un dispositif/une instance publique .
C’est au japon que la croissance a été la plus importante (avec une modernisation spectaculaire) pendant les 30 glorieuses, alors que c’était un pays ravagé et ruiné suite à la WW2. Dû à l’effort d’investissement très important, dû à ➔ Triomphe de la société consommation : hédonisme qui valorise la consommation immédiate = épargne faible.
-federal deposit insurance corporation (système d’assurance) : doit verser chaque année de l’argent pour former un fond d’assurance. l’organisation des groupes avec les banques.
A aussi des articles qui ont pour but de renforcer la Fed (Federal Reserve Board), banque centrale US avec un système de réserve obligatoire renforcé Même si le japon est ruiné, les japonais épargnent beaucoup (par philosophie par exemple), que les banques peuvent mettre à disposition aux entreprises.
ESH 1 : LES COURANTS DE LA PENSÉ ÉCONOMIQUE
Mercantiliste : Physiocrate :

*
-Système Mercantiliste : défini par Adam Smith pour définir les penseurs passés / car POV différent d’eux (rdv critique face au eux ) = PÉJORATIF Ordre naturel où l’agriculture est source de tt les richesses :
-ce qui dev cette pensée = marchands , manufactures , juristes Mvm bien plus court que mercantilisme / Cdf Quesnay
Pierre Samuel de Nemour : Créateur du terme (physis = nature / Kratos = force)
Mais !! Présente divergence et point commun : Ils pensent :
1) Prospérité dépends de la nation dépends échanges commerciaux -agriculture/nature est source de tt les richesse = Pv eco
2) état doit intervenir éco ( =/= vision libéraux ) = Interv État pour organiser intérêt de l’éco -On doit ds agri s’inspirer loi naturelles .
Mais !! Rupture avec mercantiliste = commerce inter qui fait propsé des nations
3) Marqué par colonisation « ce qui justifiée importance des marchés » (« Classe Productive » = Classe agricole )
4) époque marqué par la centralisation d’un état moderne ( se préoccupe de l’éco pour imposer leur puissance ) = ne se laisse pas voler
-Louis Turquet de Mayerne : « éco politique » Adam Smith : parle « système agricole » des physiocrates
-Antoine de Montchréstien ( Rep. Mercantiliste ) : il conseille pv politique pour rendre royaume plus puissant . Quesnay : Il dit :
Mais pourquoi plus prospère ?? -« L’agriculture est le fond primitif de nos richesses »
1)Mercantiliste convaincu marchandise bénéfiques= commerce internationale qui doit permettre ça -Agriculture seul activ permet dégager produit net / surplus car « don gratuit de la nature »
2)Richesse repose monnaie métallique -on récolte + que ce qu’on sème
Physiocrate : agriculteurs vont pouvoir financer invest nécessaire à leur activité et dégager surplus
3)commerce internationale jeu de somme nul « perte des uns font les richesses des autres » -dev le plus possible activité agricole
4) il faut créer compagnie commerciales à monopole ( cf.1/5 VOC ) Rattachement : philosophie des lumières = réf naturel / lois naturelles
5)Encourage Aug population car veulent bcp main d’œuvre = Jean Bodin « Il n’y a de richesse que d’homme »
DIDEROT et D’ALEMBERT : Encyclopédie
6) Sorte de clairvoyance = Schumpeter « pratique de l’éco bcp plus qu’une doctrine » -Obsession idée lois naturelles auxquelles devraient etre conforme institution
Mercantiliste bullionisme : -Physiocrate : influence Lumière = régie ordre providentiel ( matière éco / droit de l’homme )
-variation mercantilisme ( Ibérique / Portugal ) au 16-18 ème s
Un hymne au libéralisme :
-pratiques axées sur l’accumulation monnaie métallique (ont possessions cotes africaines / or et argent en Asie du Sud ) Physiocrates :
-Luis Ortiz : a écrit mémoire au Roi d’Espagne pour éviter sortir réserve d’or : pas empêcher que se retrouve pays voisins -maximiser produit net agricole = libéraliser économie = Rupture claire mercantilistes
-1568 : mémoire remis à Jean Bodin = dit que situation Espagne =/= France -exportation à bas prix = veulent libérer le commerce et lever contraintes protect
-17s : FR s’installe Canada , mais pas d’ or = alors Inverv état QUESNAY : Il pense :
-convaincu État doit intervenir que très peut dans eco
Antoine de Moncrestien : Conseiller Louis XIII , il lui conseille de dev manufacture et dev corporations ( avec examens embauche ) = pour avoir qualité -partisans libre concu / parle de « bon prix »
Mercantiliste industrialiste: -Dîmes ( Prelev Église ) accablent agriculteurs
-volonté de l’état de dev prod manufacturière
NEMOUR : Il réclame :
-JB Colbert ( contrôleur finance Louis XIV) = mène politique soutient au manufacture privé où des gens travaille fabrication d’objet de toute sorte -Liberté industrie : faudrait que les prix des objets achetés par agriculteurs baissent
-création manufacture de l’état ( Manufacture royales des glaces et miroirs ) = très luxueux -Liberté du travail : (choisir son métier )
-JB Colbert: pour lutter contre volonté sortie d’or = tendance crée manufacture internationale pour dev colonies . -Un nouveau système fiscal : car s’inquiète exode rurale ( craint paysan artisants )
Mercantiliste commercialiste :
-Thomas Mun : homme affaire , fervent partisant mercantilisme commercialiste = réserve exclusivité du commerce entre R-U et colonie africaine . Vincent de GOURNAY : proche Quesnay « Laisser faire laisser passer »
-échange uniquement transportable part bateaux britanniques ( peu de conçu / bcp protectionniste ) Alors!! Quel est l’influence des physiocrates ?
Idée dev par Mercantiliste : -libre circulation du blé à l’intérieur des frontières en 1763
-Théorie quantitative monnaie Formuler par Jean Bodin -nombre réformes libérales = libre conçu
-TURGOT : Favoriser concu / liberté entreprendre
-Balance commerciale énoncé mercantiliste italien Antonio Serra = publie traité éco qui s’intéresse manque monnaie à Naples
-Thomas mun : raffine idée « balance des payements » qui permet connaitre meilleur excédent commerciale
-Historiens : Faut pas se moquer mercantilistes car avait capacité de nuancer Vision d’un circuit monétaire macroéconomique :
1701 : Marquis Vauban : « ce ne sont point les monceaux d’or et d’argent qui font les richesse mais le bon emploi qu’on en fait journellement » Physiocrate : bcp aidé dresser vision macroéconomique
QUESNAY : tableau éco en 1758
-Gustave Schmoller ( 19s) : réhabilite mercantilisme en Allemagne ( politique encourag marine /export) Il fait :
-Écrit de Keynes : réhabilitation mercantiliste , considère qu’ils avaient compris idée balance commerce excédentaire (chercher à stimuler import / besoin accroire -provient intuition ce que peut être circuit éco
invest ) -préfigure comptabiltié nationale
-On peut parler macroéconomie : analyse éco est globale
Il présente flux financiers entre classes sociales :
-classe productive : constitué de ceux qui ont une activité agri ( créée + que consomme )
🤴 -classe propriétaires : englobe souverain / possesseur de terres (reçoivent dîmes )
-classe stérile : ceux qui travaille autre part que dans l’agri
Classique : Atout Classique :
L’optimisme classique et l’impossibilité des crises de surproduction:
Les postulats et ruptures méthodologiques de l’école classique: a) Les classiques et les théories de la valeur:
On peut parler d’école classique que dans certaine mesure en vue des divergences entre les
penseurs :

Adam SMITH: fondateur du libéralisme, cdf classiques = rupture par rapport à ses prédécesseurs. SMITH : forgé une distinction entre la valeur d’usage et la valeur d’échange : MARX: (dernier des classique), ce qui fait la valeur des biens c’est la quantité de travail.
Donc il ne considère pas que SAY fait partie du courant classique.
Il a : - Valeur d’usage : Liée à l’utilité du bien, ce que chaque individu peut en retirer à est subjective. Point commun entre tous les classiques : L’idée que la monnaie est neutre
- critiqué système mercantile car fondé sur vision simpliste de l’économique. - Valeur d’échange : Valeur relative d’un bien, sur un marché. ⇨ Rappel : Pour SAY, la monnaie est un « voile » sur les échanges. Cf I)
- critiqué physiocrates en considérant que cette vision est aussi inexacte.
⇨ Exemple du diamant : il a une utilité très limitée, pourtant il coûte très cher les classiques: monnaie n’est pas demandée pour elle-même : n’est qu’un instrument de numération, il
⇨ Il veut alors fonder un troisième courant de pensée : « le système de la liberté naturelle ». n’y

Néoclassiques :
aurait aucun intérêt à thésauriser. La monnaie facilite seulement échanges. Elle est dichotomique.
⇨ John Stuart MILL : « Il n’est pas dans l’économie d’une société une chose moins importante en elle-
RICARDO : on ne retrouve pas une pensée radicalement neuve par rapport aux siècles précédents. SMITH : précise que ce ne serait pas par l’utilité qu’on peut mesurer la valeur d’un bien. Il explique la valeur d’un bien par sa valeur travail même que la monnaie. »

(= de la quantité de travail qui est nécessaire pour le produire). -Il ne peut pas se produire de crise générale/globale de surproduction.
Car!! Si monnaie ne sert qu’à acheter des choses et qu’elle n’est pas recherchée pour elle-même, il n’y a
Quels sont les diff aux mercantilismes ?? pas de raison de thésauriser. C’est production qui crée la demande pour les biens.
- Selon SMITH : DONC : On peut pas établir une comparaison pertinente en terme d’utilité entre les biens à ne peut pas fonder une théorie de la valeur. Loi des débouchés : toute offre crée sa propre demande. Toute production se traduit pas la
-reproche le fondement d’une économie favorable au souverain -La valeur travail doit être au cœur science économique. distribution de revenus dans l’économie…

- Les classiques s’opposent aux mercantilistes par rapport au rôle de l’État. « Le travail est le fondement et l’essence des richesses. » peut pas avoir de surproduction globale pour raisons strictement économiques :
Mais!! crises sectorielles : un secteur d’activité peut se retrouver en situation de surproduction/
-Classique veulent s’autoréguler grâce au jeu de la concurrence. estimation demande/ mauvaise estimation de la production des concurrents. On va avoir un
- intervention pouvoirs publiques néfaste : pertube le bon fonctionnement de l’économie. déséquilibre.
RICARDO: adhère définition de la valeur par le travail mais il la complète et l’affine: La situation de surproduction qui survient dans un secteur seulement ne va pas durer éternellement : les
La rupture méthodologique de l’approche marginaliste:
Car mercantilistes considéraient que le commerce international était un jeu à somme nulle moyens de production vont se redistribuer

classiques :ils pensent : -peut prendre en compte en partie question de la rareté avec les biens non reproductibles (tableaux, bijoux rares...) qui définit leur valeur. SAY d’accord RICARDO et SMITH:État ne doit pas intervenir si une crise survient dans un
-estiment commerce international doit être le plus libre possible. reste exception : grande majorité des marchandises c’est la quantité de travail incorporée pour les produire qui compte. secteur : les mécanismes naturels ne pourraient revenir à leur équilibre.

≠qu’Adam SMITH : qui distinguait le fonctionnement les « sociétés primitive »/« sociétés avancés » Car aucune accumulation de capital prod .
pas de différences entre l’Épargne et l’investissement car il n’y a pas de thésaurisation : l’épargne
Différentes théories montrent que si commerce est le plus libre, tous les pays sont gagnants. est intégralement investie. L’épargne non investie est irrationnelle. Les néoclassiques = ensemble d’économistes qui se sont reconnus dans une révolution qui repose sur
⇨ Cf. Théorie des avantages absolus de SMITH et théorie des avantages comparatifs de RICARDO.
RICARDO:
Thomas MALTHUS : ne partage pas l’optimisme de J-B SAY :
il affirme: qu’il peut arriver qu’une épargne fasse l’objet d’une thésaurisation, ce qui mènerait à une
situation de sous-consommation (ce qui revient à dire surproduction).
des calculs à la marge = approche marginaliste.
-affirme toute société même primitive et peu industrialisée mobilise, pour produire des biens, un capital technique. Jean SISMONDI: (18 / 19 ) nie qu’il y ait une égalité entre valeur de la prod et somme des
ème ème

revenus, contrairement à ce qu’affirme la loi des débouchés où tout ce qui est créé constitue un Cette rupture est intervenue au début des années 1870 et a été portée par 3 économistes :
Quels sont les diff aux phisiocrates ?? Il opère une distinction entre : - William Stanley JEVONS Theory of Political Economy 1871 → chef de file d’une école
revenu.

- Le capital qui vient d’une opération passée (des outils qu’il a fallu fabriquer, des bâtiments qu’on a construits auparavant...)
Le pessimisme classique : les blocages de la dynamique de croissance:

rupture reste moins marquée : physiocrates adhéraient « laisser faire » (GOURNAY) On parle pessimisme des penseurs classiques sur l’avenir à long terme de l’éco du marché .
marginaliste ;
MAIS !! classiques: l’agriculture et la nature ne sont pas seule source de richesse. Au contraire, la nature est - Et le capital issu du travail immédiat. Ils prédisent :
-une baisse des taux de profit et des rendements de capital → blocage dynamique de croissance.

avare et non pas généreuse: elle n’offre rien sans le travail des hommes. ⇨ C’est la somme du capital passé et immédiat qui définit la valeur d’un bien.
Alors!! Analyse de l’évolution de la répartition des revenus entre les classes sociales.

Classique : distinguent 3 classes sociales en fonction revenu :


- Karl MENGER Principes de l’économie politique 1871 → chef de file de l’école marginaliste de
Pour eux :
Vienne/ d’Autriche ;
- Les salariés à salaire ; ➡

-L’industrie est aussi une source importante de richesse. On le voit notamment avec le décollage industriel
- Les propriétaires rentiers à les rentes

SMITH avait une approche plus simpliste : ce serait seulement dans les sociétés plus avancées qu’il y aurait une accumulation de capital
- Les capitalistes à profits.

précoce en Angleterre. Adam SMITH « L’erreur capitale de ce système parait consister en ce qu’il représente la technique.
Pour classiques: le profit dépend du niveau des salaires & capital.
- Léon WALRAS Elément d’économie politique pure 1874.
classe des manufacturiers et marchands comme […] stérile » RICARDO : se focalise sur le niveau des salaires.
Loi Airains des Salaires : Les salariés en contrepartie de leur travail perçoivent un salaire et RICARDO explique que le niveau des salaires a
tendance à se fixer à un niveau bas seuil qui correspond à ce qui permet à l’ouvrier et sa famille de subsister.

RICARDO: distingue prix de marché/prix naturel = permet voir variation des prix.
« Le prix naturel du travail est celui qui fournit aux ouvriers les moyens de subsister et perpétuer leur espèce. »

Mais!! Dans école classique divergences selon les économistes sur un certain nombre de point : RICARDO: il existe un salaire naturel, il équivaut au minimum vital nécessaire à la survie de l’ouvrier.
⇨ Loi d’Airain des salaires. Terme utilisé par Ferdinand LASSALLE, pour décrire le mécanisme d’oscillation des salaires autour de ce « salaire o Les néoclassiques s’inscrivent dans la filiation des classiques :
Désaccord sur la façon de définir la valeur (Rareté ? Utilité ?) . naturel ».

Mais!! TOUS convaincus de l’existence d’un ordre naturel (sous l’influence de la philosophie des Lumières) Vision d’autres penseurs classiques quant à la valeur des biens :
Cependant !! niveau de ce salaire naturel dépend d’un autre paramètre : celui des biens de subsistance.
Le niveau des salaires naturels :
-dépend du prix des biens (alimentation…)
- Eux aussi ont une approche libérale de l’économie : liberté éco, ppté privé, liberté d’entreprendre,
dont les lois sont universelles. Le bon fonctionnement de la société sur le plan économique demande de -dépend du prix des produits agricoles, qui lui-même dépend du coût de mise en valeur des terres les plus fertiles.
Or terre cultivable n’est pas infinie fur mesure que la population augmente, on doit mettre en culture plus de terres.
libre concurrence…
respecter ces lois au moins sur le plan économique. Jean-Baptiste SAY : rep de l’école classique française, choisit une définition de la valeur différente : valeur basé sur l’utilité. C’est l’utilité qu’on
retire d’un bien qui lui confère sa valeur. Mais!! existerait un état stationnaire sur lequel on finirait par déboucher.

classiques : considèrent aussi que les hommes ont un comportement utilitariste et optimisateur : chaque perspective état stationnaire pourrait être repoussée dans le temps par :

individu cherche de façon rationnelle à optimiser sa situation : maximiser ses gains et minimiser ses Jean Baptiste SAY se distingue des autres classiques au sens où il n’adhère pas à l’idée du valeur fondée sur le travail. - Augmentation des rendements agricoles grâce au progrès technique ;
- Importation de blé moins cher de l’étranger. o Néanmoins, il y a des ruptures dans la méthode à raisonnements à la marge.
Définit Travail productif : tout ce qui donne de l’utilité au chose est productif.
⇨ RICARDO: -milité en faveur de l’abrogation de lois de CORN LAW (datent du 18 siècle). ème

pertes.
Valeur d’utilité : tout ce qui donne de l’utilité aux choses est productif, constitue une activité productive.
-Elles sont abrogés en 1846.
On parle de révolution marginaliste mais il n’y a pas de rupture absolue, des économistes avaient
⇨ JOHN STUART MILL (1806-1873) a été un des penseurs majeurs de l’époque classique. On lui doit le
MALTHUS: vision pessimiste du capitalisme. An essay on the Principle of Population

commencé à mener ces raisonnements avant.


il explique :

concept de « homo oeconomicus » : l’agent économique ordinaire est animé par un désir rationnel d’obtenir un
-dév de la misère ouvrière en Grande-Bretagne par décalage croissant entre l’évolution de la Pop et l'évolution de la production de denrées.
-Il pronostique qu’à terme on aura une situation de surpopulation → Arrêt de la croissance économique.

maximum de gains. Le mot productif désigne ce qui est, nécessaire à la production. Il préconise les « remèdes » suivants :
- Limiter la croissance démographique (surtout celle des classes populaires) ; - C’est le cas de Jules DUPUIT, dès les années 1840, il développe le concept de surplus du
« La production n’est point une création de matière, mais une création d’utilité » -Mise en place de la « contrainte morale » = abstinence et recul de l’âge au mariage ;
-Suppression des POOR LAWS (16 ) qui étaient des systèmes d’aides pour les mendiants de la part des paroisses. MALTHUS: cette assistance
ème

fausse la loi du marché / empêche que le niveau des salaires se fixe au niv du salaire naturel et maintient taux de natalité trop élevé. consommateur. Correspond à la différence entre le prix max qu’un consommateur serait prêt à payer
pour un bien et le prix qu’il paye effectivement. Il forge également le concept d’utilité marginale.
Karl Marx: Correspond à l’utilité que le consommateur tire de la consommation d’une unité supplémentaire d’un

#
bien donné.

*
B) la « main invisible » d’Adam Smith
Les mécanismes de l’exploitation capitaliste selon MARX:
Conviction classiques : chacun est animé par la recherche de son intérêt personnel Une critique radicale de l’économie classique:
Lutte des classes:
Les crises et le dépassement nécessaire du capitalisme:
- H. H. GOSSEN (prussien), dès les années 1850, il formule une loi de décroissance de l’utilité
Mais!! Pour SMITH à NON car cela valorise le progrès et l’intérêt général. Histoire Karl Marx : Bourgeois : détiennent les moyens de production. mode de production capitaliste est voué à disparaître:

Alors !! Adam SMITH : affirme que si on est dans une société qui encourage libéralisme éco ,
Prolétaires : n’ont que leur force de travail, sont obligés de louer leur
force de travail en MARX : crises cycliques est inhérent au capitalisme.
- Chaque phase d’expansion attire des investissements nv.
marginale. Cette loi est centrale dans l’analyse des marginalistes.
Karl MARX (1818-1883): Censure/ hostilité des pouvoirs politiques vis-à-vis de sa échange d’un salaire. Lorsque conjoncture est bonne, capitalistes sont encouragés à investir pour en profiter, seulement, cela produit une
cela favorise progrès qui servira l’intérêt général. pensée. valeurs :
suraccumulation/ du surinvestissement. → Pb de manque de débouchés.
-S’installe Londres en 1849 et retrouve Friedrich ENGELS dont le père était un grand Comme n’importe quelle marchandises la force de travail a deux - n’existe pas de système de centralisation → pas de coordination ou de vision globale.

chef d’entreprise.
- Valeur d’usage
de subsistance).
⇨ Le capitalisme est système instable caractérisé par des crises régulières suivis faillites et du chômage. Les forces productives o JEVONS, MENGER et WALRAS s’intéressent à l’étude des comportements individuels, ils
L’idée de la « main invisible » n’est pas « neuve »: JONH LOCKE (17 ) et Jeremy ème - Valeur d’échange = le salaire (rappel : tend à se fixer vers un salaire excédentaires vont être détruites.

BENTHAM .
- observer dures conditions de vie des classes ouvrières écrit La situation des classes
laborieuses en Angleterre. MARX: le salaire de subsistance pas « naturel » mais lié tendance
à la mécanisation A plus long terme, au-delà de ces crises récurrentes, Marx considère les contradictions internes du capitalisme : Il y a une pratiquent alors essentiellement une microéconomie.
tendance à la baisse des rendements, notamment dans l’agriculture et reprend l’idée de RICARDO d’une baisse tendancielle du
Rappel : Bernard MANDEVILLE au début du 18 « Fable des abeilles » à Affirmait que le vice
ème (remplacement des hommes par des machines).
les
taux de profit. Chaque individu se comporte en « homo-oeconomicus ».
tend à substituer le capital au travail : les entreprises sont en concu
o Baisse tendancielle des taux de profit selon MARX :

et l’égoïsme ont des effets positifs pour le progrès économique. Paradoxal. Théorie du MARX: -capitalisme
de machines
La valeur de la marchandise M est égale à C + V + PL

unes avec les autres sont poussées à se mécaniser de plus en plus à plus
Et le taux de profit r est égal à PL / (C + V)
- met en lumière la responsabilité du système capitaliste dans la situation des prolétaires. Si C (le capital constant) augmente du fait de la mécanisation,
ruissellement. Si un prolétaire a travaillé 12 heures, le capitalisme s’approprie la
valeur de ce travail Alors que V (valeur du « travail vivant ») diminue, et que diminue donc aussi le taux de plus-value

Le capital 1867.
Ces penseurs, sont convaincus que pour opérer ces arbitrages rationnels, les individus raisonnent à
PL
perçoit un
mais ne rémunère qu’à hauteur de la valeur d’échange : le travailleur
⇨ Le taux de profit égal à PL / (C + V) ne peut pas baisser.

Mais!! Même si il critique K , MARX considère que SMITH ET RICARDO ont eu salaire bien inférieur à ce que rapporte sa production.
SMITH: raison de définir la valeur des biens par rapport au travail. -travail : seule marchandise qui est capable de créer plus de valeur
qu’elle n’en coûte.
le sur-travail
Comment les capitalistes peuvent y remédier ?
- Augmenter la PL en augmentant le taux de travail et en abaissant le niveau des salaire la marge en considérant la dernière unité consommé/ produite et l’utilité qui peut en être
Il pense : échange entre l’employeur et le prolétaire génère un gain = la plus-value/ Mais!! Or les salaires sont déjà très bas et les heures de travail très hautes : solution peu adéquate.

- « main-invisible »permet à chacun de s’enrichir sans s’en rendre compte à contribuer à


Cpdt!! A la différence de RICARDO qui distinguait 3 classes, MARX n’en distingue qui est accaparée par le capitaliste. - Augmenter la PL relative, c’est-à-dire augmenter la PL des secteurs qui produisent des biens de subsistance (comme dans
l’agriculture par exemple)
📈 📈
tirée.
➡ par exemple.)
(Utiliser des pratiques➡impérialistes : se procurer des biens de subsistance dans les colonies
que 2 :
l’intérêt économique de son pays. - Les capitalistes MARX opère une distinction entre : La désutilité correspond à ce dont on se prive si on possède déjà n unité d’un bien et qu’on veut en
- Travail vivant = Travail fourni par les salariés = Crée la plus-value Historiquement: capitalisme condamné à terme socialement comme économiquement.
« Ce n’est pas la bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger que nous attendons - Les salariés - Travail mort = Equipements, matières premières, locaux… nécessaire
à une production En cela, MARX est un sociologue :
posséder une de plus → Utilité de l’unité supplémentaire compense la désutilité de ce dont je me
notre diner, mais plutôt du soin qu’ils apportent à la richesse de leur propre intérêt. Nous ne - comportements d’accumulation un appauvrissement croissant de la classe ouvrière
qui proviennent d’un travail antérieur.
nous en remettons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme. » SMITH.
MARX: cherche à mettre en évidence des lois de fonctionnement de l’éco Mais!! C’est ce qu’il appelle la paupérisation de la classe ouvrière : la situation de misère
- Or on assiste à une concentration du capital : la taille moyenne des entreprises à tendance .
prive pour l’obtenir.
mais!! rejette l’idée que les lois mises en évidences par SMITH et RICARDO puissent Soit C la valeur du travail mort (ou capital constant équipements et conso)
-existe des lois naturelles qui vont assurer le bon fonctionnement des marchés. être des lois universelles ou naturelles. Soit V la valeur du travail vivant (ou capital variable, soit force de travail)
Et PL la plus-value
contraste est de + en+ marqué entre classe ouvrière/capitaliste .
Si maximum de concurrence entre les agents éco → Le marché s’autorégule. à Alors la marchandise est égale à C + V + PL
à Et le taux de plus-value est égal à PL / V Marx:Appelle à l’organisation / préparation d’une révolution L’économie= la science des choix rationnels. On va cherche à étudier les conséquences qu’ont de
Car!!Histoire humaine : succession de différents modes de production (esclavagisme,
Confiance fondamental en le marché et la main invisible à Rôle minimal de l’Etat. Mais!! Différence socialisme / communisme: (cf. glossaire).
petites variations de la consommation/ de la production/ investissement…
de la force de travail.
Il mesure le rapport entre la plus-value créée par le travail et la valeur
féodal= contrôle de la terre par les seigneurs, capitalisme…). Mais le capitalisme s’intéresse au rendement de l’ensemble des capitaux
investis (pas seulement à Marx :
Pour libéraux, Etat doit s’en tenir à fonction d’Etat gendarme MARX: penseur matérialiste ont les conditions économiques de la production qui celui du « capitalisme vivant »).
-Il explique qu’il y aura forcément une phase de transition après la révolution au cours de la quelle le prolétariat devra installer

⇨ Cela se traduit par le fait que, les néoclassiques vont utiliser plus d’outils mathématiques que
une dictature → Marx qualifie de socialiste ce système transitoire puis la société deviendra communiste.
déterminent les évolutions historiques. Pour le taux de profit : R = PL / C + V Car!! Communisme = forme supérieure et pure de socialisme.

Adam SMITH : Etat doit cependant « élever et entretenir des ouvrages et des établissements - Distinction

publics utiles à la société ». la lutte des classes : constitue le moteur de l’histoire (minorité d’exploiteur/ majorité o Une caractéristique du capitalisme est l’accumulation constante
de capital qui permet Distinction le socialisme révolutionnaire/ socialisme réformiste :(1905 : création de la SFIO (ancêtre parti socialiste))
les classiques.
dominée). de développer son activité. -Certains pensent qu’on peut avoir un socialisme sans passer par une révolution brutale = socialisme réformiste
Car : des choses utiles à la société mais qui ne sont pas profitables/ rentables → l’Etat doit s’en Le capitalisme va être remplacé par l’avènement d’une société d’hommes libres = la -capitaliste va transformer une partie de cette plus-value en capital.
le capitaliste n’est
-D’autres ont une conception révolutionnaire, il faut prendre le pouvoir par des moyens révolutionnaires et imposer le socialisme.

« Si le prolétaire n’est qu’une machine à produire de la plus-value,


charger. société communiste, ce moteur de l’histoire s’éteindra, il n’y aura plus de lutte des
qu’une machine à capitaliser de la plus-value » Le Capital, MARX
Alors!! Dans la société sans classes : Appropriation collective des moyens de productions → remise en question de l’économie
de marché capitaliste.
-nation doit en plus de favoriser la liberté économique, favoriser une division du travail de plus classes.
lié au caractère
en plus poussée. La véritable finalité du capitalisme réside dans l’accumulation du capital, Socialistes utopiques = socialistes français (en majorité) qui ont vécu au 19 siècle ( Henri de St Simon, Charles FOURRIER,
ème

des CABET…).
Critique des « économistes bourgeois » : ont oublié/ ignoré/ pas compris la dimension concurrentiel du capitalisme, notamment lié lui-même à l’innovation considèrent que le passage à une société plus juste suppose forcément une mis en commun = une collectivisation de moyens de
historique du capitalisme. Il développent une économie non pas scientifique mais entreprises. production.
spéculative. Rejet de la valeur-travail et promotion de la valeur utilité:

o Les néoclassiques conçoivent la société comme un ensemble d’individus à ne considèrent pas des « classes sociales ».
(Exemple : RICARDO salaires/ rentes/ profits… )
Les individus reçoivent des revenus qu’il n’est pas nécessaire de distinguer. Ces revenus correspondent au prix de vente de
facteurs de production quels qu’ils soient (travail/ capital).

➡ o La rupture néoclassique se traduit pas le rejet de la valeur travail et la promotion de la valeur utilité.
- Ce qui fonde la valeur d’un bien a une dimension subjective, psychologique.
- Dans l’analyse de MARX à question des rapports sociaux/ du partage des richesses à lutte des classes inévitable.

o Les néoclassiques ne sont pas en rupture totale avec les classiques


- Globalement, les classiques définissaient la valeur par le travail mais Jean-Baptiste SAY avait déjà développement l’idée que
la valeur serait fondée sur l’utilité.

Keynes/Monétaristes/Post-Keynésiens : o Deux approches :


- Les premiers penseurs néoclassiques ont affirmé que même si il y avait une notion subjective de l’utilité, celle-ci chiffrable.
On peut mesurer le degrés de satisfaction de l’agent économique. On parle d’approche cardinale de l’utilité.
- Vilfredo PARETO (1848-1923) : Conteste l’approche cardinale et développe une nouvelle conception de l’utilité. Les
individus peuvent classer par ordre de préférence les biens selon l’utilité qu’ils peuvent en tirer. On parle d’approche ordinale

+ cours Keynes qu’il de l’utilité. Il développe le concept d’ophélimité (= rapport de convenance entre l’homme et l’objet qui permet d’apprécier le
degrés d’utilité). Cette approche ordinale de l’utilité sera adoptée pars la plupart des néoclassiques.

⇨ En utilisant le raisonnement à la marge, les néoclassiques distinguent tous l’utilité totale de l’utilité marginale.

donne en format papier - Utilité totale : somme des utilités de toutes les unités de bien consommées.
- Utilité marginale ; variation de l’utilité totale due à la consommation d’une unité de bien supplémentaire.

Les penseurs néoclassiques ont montré que l’utilité marginale est décroissante et devient nulle au « point de satiété ».

o Lorsque qu’un acheteur achète une unité supplémentaire de bien son plaisir est égal au degrés maximal d’utilité et son
déplaisir égal au prix qu’il paye.
o Il cesse d’acheter quand le plaisir devient égal au déplaisir (utilité marginale rejoint le prix payé)
o L’utilité marginale est la dérivée de l’utilité par rapport à la quantité consommée.
⇨ Cette loi avait déjà été formulée (décroissance de l’utilité marginale avec GOSSEN).

o Rappel : paradoxe eau/ diamant. L’approche des marginalistes lève ce paradoxe, si il y a beaucoup d’eau, la valeur d’une
goutte d’eau supplémentaire est casi-nulle.

o Cependant, des penseurs néoclassiques développe une autre conception de la valeur, c’est le cas de WALRAS qui prend en
compte et la rareté ET l’utilité d’un bien.

o Loi de l’utilité marginale décroissante.


⇨ Parfois cette loi n’est pas vérifiée. Exemple : cas des collectionneurs.
Pas de ESH: 2
voir fiche Noémie (ESH: 2 )
🤝

ESH 3: CROISSANCE ÉCONOMIQUE


R1 :
-19 s : Augmentation prod et niv de vie
-François Perroux : CE soutenue pdnt une ou plusieurs période longues d’un indicateur de dimension de production eco
-A.Maddison : perspective historique longue sur la CE
-1500-1700: rythme taux de croissance par tête est de 0,1
-1820-2000: revenu moyen 30x > qu’en 1500-1820
-1820-2010: pop x7 et PIB mondial x 35

Nouvelles technologies :
1733 : Navette volante ( permet aug rendement textile )
A partir de 18 s :
Hargreaves : Spinning Jenny ( machine à tisser )
Cartwright : Métier a tisser
James Watt : machine à vapeur ( volonté d’améliorer la cadence performance )
Fulton : bateau à vapeur
Stephenson : “The Rockets” ( première locomotive )
1830 : 1er ligne ferroviaire ( Industrie en Amont / Aval )
Rôle important car unification des marchés ( internationales )

Avance des R-U car : ressource de charbon ( “pain noir de l’industrie”, nécéssaire machine à vapeur / sidérurgie , Stock important R-U , FR jamais autosuffisant )
Progrès agriculture :
-mouvement enclosure
Marc Block appelle « triomphe individu agraire » car prod agricole s’émancipe
-on introduit jachère au lieux de luzerne
-intensification élevage
-amélioration outil
-dégage épargne = favorise capitaux = plus de dispo financement industrie = agriculture + efficace = moins de main d’oeuvre = EXODE RURALE
-aug pouvoir d’achat des agriculteurs
Autre raisons :
Monarchie parlementaire : ( climat de libertés / évolution des mentalités / avènement du protestantisme ( Cf . Ch2 Weber )
Fonte au coke = décarburer la fonte ( 1856 : évolutions décarburation du fer % 10 coût de production

R2 :
1890 - 1939 : conséquences sur des décennies grâce a des percés technologiques (phénomène de croissance)
Nouvelles sources d’énergies :
Gramme = Électricité :
-(1871) invente le dynamo ( machine électrique qui fonctionne en générateur électrique activé par machine à vapeur)
Edison = éclairage dans les rues dans les + fortunés
1885 : 1 er moteur électrique ( trams , électroménagers …)
Pétrole :
1869: début de prod a grande échelle grâce découverte forage de Drake
Nouvelles prods : voiture moteur à explosion (1886) = permet avènement des transports / Lampe à pétrole
Taylorisme :
Taylor met au point nv processus pour standardiser taches des ouvriers = création Ford T = 1 er automobile en grande série / prod à la chaîne ( ouvrier ne bouge plus mais + spécialisés )
-Prod pétrole : effet d’entraînement car permet dvpt de nv activités de service ( rép automobile / station-services / dvp d’autres secteurs majeurs )
DE PLUS:
-Chimie : dvp d’une chimie organique avec nv procédés + nv secteurs ( fibre textiles synthétiques , colorant , pharmaceutique ( bayer 1899 )

R3:
Différence entre invention( mise au point de qqch qui n’existait pas avant) et innovation( diffusion de cette invention auprès du public ) / ex : (voiture inventé 19s mais démocratisé 30 Glo )
Dev tech nucléaire : devient un secteur en plein dev (création centrales nuc en 74/75)
NTIC : dev des nv technologies / ex : Microprocesseur Intel (1971) / WWW en 1991 (ajd : 4 Milliards utilisateurs soit 61% pop mondiale )/Apple et Mac OS ( 1977 )/ dev des biotechs
Rev numérique : Abramovitz ( croissance éco immatérielle ) = ajd : crée produits dématerialisés qui nécéssite pas de cout de prod supp
Cependant : toujours connecté réalité matérielle car produits high-tech sont liés mat 1ère

1) 1820-1870 : Impulsion britannique 1)Un creusement d’écart entre les pays pionniers : Cycle CE : diff périodes
-R-U berceau CE / connait impulsion/ 1er Puissance M -petit nombre pays profite CE R-U / car R-U est pionnier RI / 1/3 prod industrie M
Diffusion CE : FR , Belgique CE : jamais linéaire
1860 : traité de libre échange FR/ RU -Puis : CE se diffuse FR(1815-1840) décollage + important
Europe : 2/3 croissance mondiale ( 1820-1870 )
-PROD INDUS R-U + FR + ALL + US = 79% de la prod indus du GLOBE Mitchell&Burns :
Hors Europe : échange internationaux fav par « corns laws » « measuring business cycles »:
Dev essort du commerce -Écart avec les pays émigrants = Chine et Inde pèsent moins ( éco-stationnaire) -toutes économies composé de
2) 1870-1910: Dev autres pays Europe 2) Un rattrapage accéléré phases (exp/crise/rec/rep )
Baisse puissance R-U et CE pays voisins -Alexender Gershenkron ( thèse avantage du retard économique )
1879 : empire allemand, installe tarif Bismarck -On parle de Trend
1870–1913 : échange de capitaux X3 -Pays indus vont avoir retard = car tech dépassés = retard comparé au pays peu indus
S. Berger : parle de première mondialisation / puis parle d’échec avec WW1 -Exemple : ( Solvay / Leblanc) / retard US comparé . En 1910: ALL>R-U Schumpeter :
Allemagne : 13 % du capital ALL: 4D/Bon ingénieur E-U: x17 capacité d’acier , TT prod E-U = 36% «Bussiness cycles »
France : 20 % du capital
Royaume-Uni : 40 % des capitaux
RU: ( État Tzariste) = État aide industrie en finançant : Capitaux / entrepreneur .
Jap: Air du Meiji = met terme au retard / Etat intervient = utilise fiscalité sur sa pop DIF CYCLES :
1913 :70 % des marchandises vers l’Europe
-Kondratiev (1/4 siècle )
3)1913-1950: grandes turbulences
3 Phase de croissance éco : 1913–1950 (Tendance hausse/baisse )
A partir de 1913-39: -Juglar ( décénnie )
1920–21 : Pologne Vs Russie bolchevique ( = 30 ans )
1920 : « années folles » sauf R-U / E-U: Taylorisme permet E-U créance Occident : croissance limité a eux / quand même évolution (Exp/crise/chute jusqu’à rep)
24 octobre 1929 : Krach Boursier ( spec et surprod ) / crise des 30 US : ascendant US se confirme (1914-1916)/E-U Puissance -Kitchin (40 mois )
1938: taux 10%< 1928 = deval monnaie / perte conf / 2x tarif douaniers ALL: retrouve puissance 1933 (Nazi) / MAIS : WWII vaincu = effondrement
1935: E-U : 10x fois plus d’automobile qu’au R-U , permet E-U redevenir puissance éco
( stocks/ act prix )
4)1950-1973: Croissance des « 30 Glo »:
JAP : armement / économie désiquilibré
J.Fourastié : def « 30 Glo » = rev invisible de 1946 à 1975 RU: destruction matérielle X5,6 le total = Nv Famine = RU et US 2 Nv Puissances
« Âge d’or sans précédent » / PIB mondial per Hab : 3% en + par habitant CHI: guerre civile 1920/soviétique debute 1941= Japon VS Chine
Leadership assumé par E-U .
Reprise grâce 2 pillers : Accord BW / FMI / GATT CAUSES : varie selon
Europe : 1948=OECE / 1952=CECA / 1957=CEE 3) BRICS :
Def “BRICS” : crée par Jim O Neil = Problématique car disparate (≠ croissance ) auteur :
DÉMARCHE ECO : JAP US / voyage pour enquêter prod autre pays / FTN invest EU -Kondratiev : cause conjoncturelles
5) 1973-2023: ralentissement et remise en question -BRICS CE : Chine & Russie ≠ CE MAIS : 2007 : CE BRICS ≠ PDEM -Charles Rist :variation monnaie
Système change flottantes / eco mondiale en dessous de ces capacités / bcp inflation (Trop de $) OCDE : BRICS 60% PIB MONDIAL / C,B.R = 19% en + en 2020 -Schumpeter : innovations
Virage monétariste = pol + faillite = chômage technologies
Situation géographique : ( guerre , fin guerre froide / changement pol majeurs / chute mur de -Hayek : Role des banques
Berlin ) / fin choc pétrolier / 9/11 -Keynes : facteurs psychologiques
CHINE de Dong Xiaoping : CE avec NTIC / PROD x2 /
ESH 3: INEGALITES ET DEVELOPPEMENT
François Perroux définit le Dev : « combinaison changement mentaux et sociaux d’une population qui la rendent à faire croître cumulativement et durablement son produit réel »
Amartya San ( créateur IDH ) complète définition : « dev peut etre définit comme ensemble des changements qui améliore les conditions d’existence » / souligne : permet augmenter Capabilities
Point commun def : FAIRE APPARAÎTRE PROCESSUS / FAIT APPARAÎTRE PROGRÈS
MAIS : Dev ≠ Croissance (existe société qui ont eu croissance sans développement)

Mesure dev : Pauvreté monétaire : ↗

<1045$ : faible revenu


1949: président Truman prononce discours sur PED
P.I.B/P.N.B: Seuil de richesse 1045$<R.N.B<4095$ : groupe Existence d’une pauvreté qui se mesure Arthur Lewis :
-souligne caractère durable
intermédiaire inférieur
4095$<R.N.B<12695$:groupe
Seuil de paureté : 60%
-PED reste caractérisé durable - veut mettre en place sorte « Plan Marshall » contre communisme en aidant de 13 Milliards
Pays avc et intermédiaire supérieur
>12695$ : groupe supérieur
Pauvreté absolue :
-agriculture : rendement bas
-veut aider relever pays contre communisme / on parle « d’arme économique »/ veut endiguer CO
Avant : 1,90$ Coefficient Geni :(mesure inégalité)

I.D.H:
3 Indicateurs importants :
-Santé: espérance de vie IDH >0,8 : IDH élevé
2020 : 2,15$ (8,4% de la pop vivent avec ça par Jour ) Norvège : 0,253
Afrique du Sud : 0,627
-MAIS: Emploie « Sous Dev » = première fois utilisé / imposer modèle société occidentale
Baisse de la pauvreté globale
-Savoir: éducation
-niveau de vie : PIB ou RNB
0,7<IDH<0,799 : IDH élevé
0,550<IDH<0,699: IDH moyen
Ex : Niger : 50% vivent avec moins de 2,15$ -Enjeu Discours : éviter basculer Co / aider matériellement pays en dev
Avant : calcul moyenne arithmétique 3 critères pour déterminer la pauvreté absolu :
Mtn : calcul moyenne géométrique Permet de classer les pays selon leur
développement humain: (ex:Cuba/quatar) IDH<0,550 : IDH faible -mesure richesse -Discours problématique : oblige PED suivre modèle PDEM
-mesure dev humain
-mesure vulnérabilité eco et environnementale (1018$)
I.D.H.I : +inégalité = + baisses de valeurs
Ex: Pauvreté = Privation Massive = n’accède pas satisfaction Rotsow : « The Stages of economic growth »
Norvège : proche IDH Mort infantile : 50/1000 Afrique sud
-inégalité = + proche IDH
Car inégalité ne sont pas comptabilisé Afrique : loin IDH PAYS PMA : (-Djibouti / Yemen / Haïti / Tuvalu ) -Parle de la théorie du décollage : « Take-Off »
Statistiques : 5 étapes : société trad/précondition/décollage/maturité éco/société de consommation de masse
I.I.G: +IIG bas : égalité entre les deux
+IGG haut : inégalité entre les deux
Ex:
Comptabilise le nombre de
mort maternel à l’accouchement
2019 : 2 Milliards pas accès à l’eau direct
759 Millions aucun accès électricité Selon lui : juste un retard / il faut que les PED arrive aux préconditions grâce à l’aide PDEM
Indice d’inégalité des genres 425 Millions sous alimenté en Asie
268 Millions sous alimenté en Afrique
Modèle obligé pour tout les pays / contexte libérale

SOLOW:
-Stock / +Stock va être élevé
Selon lui : décollage plus difficile PED = empêche grâce aux brevets = prendre en compte démographie / PMA : on a pas vu la situation s’améliorer

Nurske : « Problem of capital formation in underdeveloped country »


Selon lui : cercle vicieux : Sous dev s’entretient lui même par niv faible ( niv faible de capitale / touche petite nation ) = Nécessite aide extérieur pour briser cercle

Myrdal : « Asian Drama » en 1968


-causalité circulaire cumulative / Interprétation des propositions

Alfred Sauvy : -fondateur terme « Tier-monde » (référence tier-etat au pays pauvre)


-utilise cette comparaison de 3 ème classement ( séparation capitalisme/communisme/tiers-état )
-1952 : début guerre froide / tier monde sépare le monde binaire (ca/co )
-1955: conférence Bandung 29 pays se rejoignent
-1947:indépendance Inde/Pakistan

Thèse Tier-Mondistes :
1)dénonce pillage ressource pays pauvre /2)colonisation a détruit cadre culturel/3)incriminer colonisateur car tracer frontière sans se poser question/4)chercher éviter la création d’industrie
MAIS: nation Afrique Noir ont participer colonisation / alors NEO - COLONIALISME critiqué par les thèses tier-mondialiste / disent que firmes US détruisent et exploitent ressources
Coup d’état : Mort Allende ( tuée car voulait nationalisé entreprise communication ) = Tué par C.I.A

Pays du Nord : exode des cerveaux pays du sud : P Nord maintienne activité empêchant du P Sud se dev = E-U touché + par Tier Monde / pays sont socialistes = critiques emperialiste

Samir Amin : « échange inégal et la loi de la valeur »


-transpose échelle lutte des classe de Marx à l’échelle mondiale ( bourgeois : Pays N / prolétaire : Pays S ) / il parle de D.I.T ( division internationale du travail ) = appliqué de façon logique dans le
monde / faire les ressources selon capacités à produire ( pénalisante = pays pauvre )

Arghiri Emmanuel : « échange inégal »


Vécu Belgique / vu forme colonisation : travail forcé /organisé de façon inégalitaire / Échange entre PDEM et PED pas possible transmettre valeur / PED : exportateur et PDEM : importateur
PED : total exportation = 85% produit brut / 1973 : 7 produits 50% exportation ( pétrole / café /coton / cuivre / sucre / caoutchouc / huile végétale ) / on parle de D.T.E ( inégalité d’échange )
= Favorise les riches

Raoul Prebish : argentin diplomate


Josué decastro : politique et haut fonctionnaire (dénonciateur D.T.E) / il calcule aug prix pays exportateur ( 1954: 14 sacs / 1962: 32 sacs ) = D.T.E
Richard Auty :
Rente / rentier : exploite ressource de placement / contente exploiter pétrole / permet financer des ressources ( ex : Pays-Bas ,
Difficulté PED : -« ressource based
Industrialisation » effet pervert exploitation / effet négatif activité Néerlandaise ) = 1)Pénaliser exp pays bas = effet négatif = « Dutch disease »
-landlocked (territoire loin des centres d’eau ) Gisement pétrole n’a pas
Excédent naturel énorme
Servis pays en dev
-climat tropical Logique de rente : vendre

-désert Pétrole

·
Transition démographique : RU/FR Transition démographique : PED
Natalité élevé -> Baisse mortalité -> Baisse Natalité ( taux accroissement naturelle faible ) Mortalité baisse ( fin pénurie / médecine ) -> Natalité augmente ( raison culturelle )
-( 1950 : 1670 Millions / 2000 / 4940 Millions ) = x3 en 50 ans
m e&

Malthus : inquiétude pop masse / mais ! Pas prédit baisse natalité .


-selon lui : arrêter fécondité PED / baisser accroissement naturel / chine revendique être du Tier-Monde / Mao : enfant nécéssaire « 1 bouche / 2 bras » / Ester Boserup : plus de main d’œuvre
1974: Bucarest « Pop et Dev » = affrontement / délégué Algérie : « meilleur contraceptif c’est le dev »
( En 24 ans , pop aug 68% / Afrique : augmente 80% / 42% avait moins de 15 ans ) = défit majeur !!!
ALORS !! Font enfant pour lutter contre sous-dev et assurer « retraite »
1990 : veulent faire baisser les naissances = on s’interroge sur les éléments qui pénalisent ces pays :
-JOËL MOKYR: croyance permette pas de dev
-ROTSOW: décollage ou « take-off »
-D.NORTH : « nouvelle économie institutionnelle » = mauvaise institution des PED ( népotisme / pas de brevet / pas de pouvoir juridique fort ….)
-ROBINSON : « why nations fails » =3 institutions caractéristiques : Respect droit de propriété / égalité des chances / système politico-juridique

Autocentrées :
Extraverties : Crise de la dette :
I.SI :

-
Pays de référence : Brésil Industrie industrialisante:
Raoul PREBISH : tête du conseil du Brésil (M paix) 1°URSS : 1930 , Chine
NPIA = Hong Kong (d’abord colonie du uk), Singapour, Taïwan, Corée du Sud => 4 dragons.
Celso Furtado : contribue succès de cette stratégie -Plan quinquennaux = moyen terme (saction « goulag »)
Passage d’une éco autocentrée à l’E→ de B manufacturés respectivement en 1945, 1959,
- Corée du Sud aussi -Planification déséquilibrée : priorité industrie lourde (mat 1) 1955 et 1955.
1) Remplace produit manufacturé / par production locale -chine :MAO se place dans l’orbite soviétique / puis s’éloigne - Petits territoires dc le M intérieur ne suffit ps au dvpt.
D’abord : produit moins compétitifs + protection firme en 1958 - Workforce bon M, docile. → Spécialisation ds les act de workforce simples
Puis : lutte contre D.T.E / protectionniste : produc local -FAMINE 1958-1961: 40 MILLIONS DE DÉCÈS 1960s: commencent à E→ des produits textiles bas de gamme , et act d’assemblage
-réajustement en 1960 : privilégie industrie lourde électronique .
Alors : légitime développement. Protectionnisme assez - Forte intervention de l’E (sauf à Hong Kong): ps de liberté des px, subventions des
Dur conglomérats (en Corée, les chaebols), tt en évitant de creuser le déficit des φ publiques ou
2)Dev industrie légère / industrie sans trop de capital d’ l’inflation.
Opération remonté des filliaires / MAIS : 1930 : production 2°Algérie : 1966 :
BOUMEDIENNE : instaure industrie lourde= inspire URSS - ⊗ des zones franches (impôts réduits, ps de taxes douanières), très attractives.
brut • K. AKMATSU, 1950s:
touché par crise = déflation / effondrement = manque de Stratégie descente de filaire : (gros machine pour prod mat 1) Modèle de dvpt «en vol d’oies sauvages»:
compétivité 1969: devient membre OPEP = Hydrocarbures - Étudie le dvpt de la prod de fil de coton, puis de machines à tisser au Japon. Superposition
-recette finance industrie lourdes et usines sophistiquées de 4 courbes/phases:
-Pétrole brut = prod de carburants / solvants *1) I← d’énergie & de B manufacturés
Construction gds complexes industriels modernes *2) La prod nationale se substitue aux I←. B de conso puis d’équipement
*3) E→ vers les M extérieurs, excédents commerciaux, niv de vie
Mais : 1980 = chute prix du pétrole = difficulté financière *4) Délocalisation. Orientation vers les act de haute technologies. Pouvoir φ.
-raccourcie technologique = croissance démographique /bcp • Japon, fin 19e s:
Chômage = très peu descente de filaire =manque débouchés - Industrialisation à l’initiative du MITI (ministère de l’éco, du commerce & de l’industrie):
antennes abroad, études de M... Pr certaines act, workforce japonaise trop coûteuse => Les
autosuffisance = mécontentement et radicalisme NPIA bénéficient du transfert d’act.
↘ ↘ ↗

ESH 3: RESSOURCES ET ÉCOLOGIES


Tension entre croissance eco et ressource limite : thèse ancienne = Thomas Malthus : thèse pessimiste , fin 18 ème siècle =démenti progrès agriculture
Rev agricole : pas tous ces effets , R-V le premier a avoir bien commencer (Fin 20ème siècle / fin enclosure 20 ème siècle = enclosure : symptôme d’un triomphe indiv)
Malthus craint décollage entre rendement et bouche à nourrir = Mais rendement céréalier augmente bcp = tjr diff rendement progrès ( 20 Quintaux / 30 Quintaux )

Progrès : Fin Jachère / augmentation terre engrais / Luzerne = progrès mécanisation / puis motorisation / fin 19 ème = moyen de transport (Ferroviaire / Bateau à vapeur / nv transport ) / amélioration route
Mais Malthus a sous-estimé aug natalité de la pop / MAIS : + ARGENT - NATALITÉ , recule mortalité = accroissement naturel diminue = natalité diminue en France ( surtout milieu 19 )
Pays du sud : mortalité baisse lentement / Puis PED mortalité diminue par progrès scientifique = augmentation pop = (2Milliards : 1927 / 4 Milliards : 1973 ) = 2,1 % / An rythme croissance
Fin transition démographique PDEM : 1970 / Prévision : ( 2050 = 9 Milliards / 2100 = 10Milliards )
F.A.O : prod doit augmenter 50% = Afrique va augmenter le + niv Pop
2000: les besoins alimitentaires ont augmenter de 400% / bouche a nourrir Afrique entraine destruction de la nature

Début RI: Angus Maddison = croissance éco mettais pas en péril ressources
-Prélèvement ressources animale et végétale
-Prélèvement bois , viande
i -Quantité relativement réduite : même ressource importante , mais temps pour le renouvèlement ( eco système )
MAIS ! Bouleversement entre écologie/nomie : gisement charbon / charbon « pain noir » = résidus plante couche sédimentaire / arrivé du pétrole sous pression / 19ème : PVC POLYMÈRE / Engrais
La question du peak oil / fin de l’essence ? :
Ressources halieutique : -interrogation qui ont poussé recherche / car ressource non renouv Épuisement capital Naturel :
-Consommation poisson par hab en Kg Stanley Jevons : Parle de plafonnement = s’inquiète peak charbon -on assiste épuisement capitale naturelle : alors que nécéssaire à la vie !!!
(1950: 8kg / 1970:12 kg / 2020 : 20 kg )=écart Mais : mixte énergétique permis lutter contre plafonnement
- plafonnement de la pêche (1995 : 95M Tonnes) Problème : s’inquiète désormais plafonnement pétrole car
Car : fournissent mat 1er / écosystème sont vitaux (CO2) / protection des sols/

Épuisement A
-Stock poisson qui font objet surexploitation
Nv tech : radar / sonar / navire usine
Dépendance pétrole en 1973 : 46% bilan énergétique mondiale Fournissent moyen de régulation des températures / filtration de l’eau
Mais : les humains permettent reconstitution des stocks du capital

ressource naturel :
De plus : poisson prédateur ( mange poisson )
Crise répercussion :
-interdiction
↑ terre neuve pêche
↑ Marion King Hubert : géologue / prédit peak oil / ressource ne
Peuvent plus satisfaire consommation générale = bientôt , ne pourra
Plus répondre aux attentes . Pessimiste : s’exprime rapport MEADOWS
Grace à intervention humaine (reforestation) et aux flux positifs
- Cependant : flux negatif > flux positifs (car pollution)
(Pop thon rouge disparaît avec sushis ) « Halte a la croissance » = explique épuisement ressource
Alors : prévision baisse 30% pèche pour repeuplement Mais : prévision Hubert démentie (continué a augmenté après en 70 ) Certaines forêts bcp de bois ( Canada ) / alors que d’autre non (Amazonie)
On doit modifier nos pratiques de pêche Certains pays OPEP on connue plafonnement Pétrole = R-U dev gisement Alors : bois tropicaux car (50 à 90% s’opère de façon illégale )

.
De plus : montée des eaux emmène petits poissons et Pétrole / ( -s’enrichît / s’exporte ) / mais Prod R-U diminue et Norvège grâce
Disparition des gros … Mais aquaculture permet nourrir pétrole connue richesse = puis diminue soudainement = ( Propre conso a

↑ Les gros P / grâce élevage dans bassin / pas s’inquiéter Augmenté / diminue prod ) Depuis plusieurs décennie mtn : consommation > ce que renouvelle la terre

e↑
«Jour de dépassement » = O.N.G calcul date où conso > ressource planète
W- -- Chaque année + en + tôt : (Juillet 31 : 2021 / Juillet 28 : 2022) i.e « E.O.D »

&
-)
- s
A

1982 : prod chaque année < nombre que l’on exploite
Pas continuer à espérer obtenir plus
a
-
↑ chiffre 2019: il reste 50 ans de consommation
de ren
I
Débats entre experts :

⑤à
- ⑳ -pas encore technologie
-réserve peut compter sur d’autre réserve pour repousser
: enedkee/fr .

S-
Ni
Erosion accélérée de la biodiversité :
⑱ & *
- -on peut espérer réserve probable
-Zone sous-marine pas encore explorer : + en + plateforme
Phénomène érosion entraine : réduction biodiversité / l’artificilisation intertropical néfaste
Ex: Forêt Asie pas encore découverte qui disparaissent
Perspective Peak oil : entraine autre source pétrole 140 Espèces de Faune et Flore disparaissent par jour !! = atteinte biodiversité
Causes : Utilisation pesticides ( car tue les insectes qui nourrissent les animaux )

-
Conventionnelle : sable bitumineux
Académie des Sciences FR : situation très préoccupante = 80% par rapport 1970 , moins en
Non conventionnelle : schiste bitumineux (frokling)
I
Moins papillon alors que role polenisation indispensable agriculture
Alors : pas la fin du pétrole / mais la fin du pétrole pas Ex: pesticide cause disparition d’abeille
Chère à tous .( baril Arabie : 9$ / R-U : 40$ ) On réfléchit a des solutions : mises en place de drones polénisateurs
(mais stupide car gratuit Par la nature )

Dégradation des écosystèmes et l’érosion :


↑N
dif Pesticide : mauvais pour la santé ( cancérigène car contient du biphosate )
Déforestation / la dégradation des sols et leur artificialisation : Nicolas Sarkozy : « grenelle environnement » = veut baisser pesticide de 90% = échec car n’a
- augmentation de la dégradation aquatique Atteinte forestière : pluie acide / incendie (Australie = flamme de 30M / Koala mort ) Fait qu’augmenter
Causées par : Station épuration / grand publique initiale
Car PED :
-font épuration dans les mers / ce qui pollue mer
Autre cause majeur : déboisement / excès illégal de bois = O.N.G dénonce et souligne
Que c’est la cause majeur de disparition de bois car atteinte forestière due : E
Brûlis (crée feu forêt ) / Soja / bovin = explique incendie catastrophique
-Industrie jette et pollue dans les milieux aquatiques Ex : 2021 = Grèce / Tunisie incendie 2022: France incendie
-Utilisent de nombreux pesticides qui finissent dans l’eau
Ex : Bretagne : bcp algue car engrais qui arrive par les nappes / Affecte érosion : Rivière / éolienne = conséquence agriculture , plus possible faire Facteurs multiples du réchauffement climatique :
qui sont toxique ( car teneur en phosphore) lors de son eutrophisation Pousser récolte car tasse le sol / le rends + en + impropre = mauvaise irrigation dans le Phénomène plus globale : facteurs réchauffement climatique différent (fluctue souvent )

-
( dangereux ) = détruit écosystème en consommant tout oxygène Monde . Mais humains lui donne lui donne fluctuation = établir une
Émission dans l’atmosphère / Épuisement RI2 réchauffement vient de 6 facteurs diff =G.E.S
La dégradation des ↳ Mer Noire : baisse de la pêche / diminution des prises Irrigation : Pratique malcalibré (salinisation des sols) = eau pénètre sol (car trop PLUSIEURS CAUSES :
écosystèmes et l’érosion : Autre cas : -Pluie acide (année 70-80) / PH anormale des précipitations
Causées par industrielle
irrigation ) = 8% terre irrigué dans le monde ( entraine détérioration sols = 30% terre)
PED : artificialisation (urbanisation ) = Chinois : 60% vivent en ville
- 1) Industrie / 2) Transport automobile (14-15%) / 3) déforestation , piège à carbone
4) Brûler Forêts / 5) Sol asphalte / 6) Agriculture aussi importante
G.I.E.C :
-Dégazage / mazut ( pollue mer illégalement car chère ) Problème urbanisation : + inondation / transformation riziculture en parking -activité agricole 23% = Mondiale + déforestation
-Naufrage bateau = lourde conséquences sur les mers artificialisation ( 20/30 Millions Hectars par an en France )= interêt économique -effet + directe : élevage (ruminant )
-Pollution de plastique /8 Milliards de tonnes dans les mers
= VORTEX DE PLASTIQUE « 6 ème continent » -émission gaz a effet de serre = combustion cause =moissonneuse batteuse /
Superficie 1 Milliards de Km carré (3x la France ) -charbon alimenté électricités / electricté FR : centrale nucléaire car « charbon pas viellerie »
phénomène qui amplifie : Fonte glacière / puisque sol + noir / scandinave = bcp méthane

-
PERMA-FROST = Fond surface puis en profondeur =bcp gaz piégé dans sybérie = maladie
Piégé un agent pathogène .
EXTERNALITÉS NÉGATIVE : c- L'allocation inter-temporelle des ressources:
Difficulté: chiffrer les conséquences/coûts des changements climatiques . Rareté → px. Ds le cas d’une ressource nn renouvelable, la gestion optimale peut se résumer à un pb
• STERN: 1e rapport à la D d’un gvt (uk), et par un économiste. Erosion accélérée de la biodiversité :
d’allocatioon inter-temporelle. On connait gaz a effet 1850 : carrotage (285 PPM : 1850 / 420 PPM : 2020 ) = résultat R.I
- Conclusion: on peut agir contre le réchaupement climatique, & les dommages qu’il causera seront ds tous les cas
• HOTELLING, the economics of exhaussible resources
très > au coût de pol environnementales (lutte contre l’effet de serre).
- Façon dont les ε peuvent exploiter les ressources nn renouvelables. G.I.E.C : estimation / 25000 Milliards de CO2
- Le coût de l’inacton est dc + élevé. 1960 : 15 Millions par Tonnes /2000: 30 Millions par Tonnes / 2022: 44,5 Millions par Tonnes
- Les exploitants adoptent certains comportements pr limiter l’épuisement de la ressource.
FMI, 2019: Estimation : absence de pol sérieuse d’a`énuaEon des rejets de GES → en 2100, le PIB mondial/hab aura
Ils arbitrent entre exploitaEon pste & future. Calcul du px a`endu (ms incer;tude), préférence pr le pst + ou - Pays du sud moins pollueur que pays riche : Australie : 15,3T/ Hab/an = Inde : 1T/hab/an
été amputé de 7%.
forte. Afrique : Afrique 4,1 % de de T le pétrole
Alors :
- Ex: compagnie minière. Si on extrait des minerais ojd, on renonce à extraire qté + tard, (revenus futurs). QUATAR 1er Mond = 31,8T / Hab
PIGOU, the economics of welfare (néoclassique)
- Optimisation de l’exploitation de la ressource. La V de l’extraction ptt > à la V actualisée en f du px de vente
- Forge le terme E⊝ ds les 1920s.
futur. => Taux d’actualisation: taux pr escompter un xux futur & calculer sa V en équivalent actuel. mais émission depuis 1850: 1er:E-U / 2ème:Chine /3eme: quatar =chine juste émis bcp+ tard
- La loi du M peut s’avérer défaillante (écart coût privé – coût social). France : 4,5T / Hab ( Chine devenu 1er émetteur : 30% Totale planétaire > E-U+EU= 21%)
- Calculs maximisateurs qui conduisent à produire + que s’il fallait assumer le coût total de l’act. ↳ Règle d’hotelling: pr une exploitaEon opEmale, le px unitaire de la ressource doit à un taux de
croissance = au taux de croissance du taux d’actualisaEon. = ne peut plus parler de virtuosité .
- La CE peut détruire le K naturel, si ni les producteurs ni les consommateurs ne prennent en compte les conséquences
environnementales de leurs choix. Limites: Impacts du réchauffement climatique :
Propose une intervention de l’E: -Optimiste car suggère que l’exploita;on d’une ressource renouvelable pourrait continuer jusqu’à la fin des tps, -Température plus chaude que les autres décennies (Fin année 2010) / a moins de baisse
*Système de taxation. Ppe du pollueur payeur le px ant de façon exponen;elle. La D aussi. → Pb de validation empirique. Prévu , risque !!! (5 degré sup en 2100 / 1,5 degré depuis 1850 / tempé/ cyclone/ cani)
*Act qui produit des E⊕ subventionnées par une aide publique
*Ms il faut tenir compte de elasticité px Ex: hydrocarbures. Découverte de gisements, new techniques d’extracEon... → Calculs inexacts.
=> (Hausse niv mer (27 cm)) = 2060 : 1,5 Milliards de personne devront déménagée des eaux
- NAURDHASS: estime des pertes de PIB de 1-2% en 2100 en cas d’inaction (bcp – que STERN). =>2003 : canicule = recule prod = insécurité rendement =réchauffement= baisse de poisson
TRAGÉDIE DES BIENS COMMUNS : L'émergence du concept de développement durable dans les =>acidification : une partie CO2 a pour effet teneur en CO2 des océans = 215 millions immigrés
La montée des préoccupations environnementales années 1980:
SAMUELSON, the pure theory of public expenditures: dans les années 1960 - Rapport Meadows = base de discussion
- Création de parcs nationaux & de réserves naturelles. - Conférence de l’ONU à Stockholm sur la quesEon de
B collectif ≠ B commun l’environnement & du dvpt.
Ex: MUIR: rôle décisif ds la création du parc de - PUIS 1983: bilan des évolutions depuis la conférence → Création de
- B nn exclusif/excluable et nn rival YOSEMITI (Californie) la CMED (commission mondiale pr l’environnement & le dvpt).
- Certaines ressources naturelles (air, eau des océans) - DORST, avant que nature meure. Traduit en 17 - Contexte:
langues → Prise de csce des scientifiques & du gd public. *1e P.A.S
- B nn exclusif et rival (si on le consomme, on limite la qté dispo pr les autres). - COMMONER: sce & survival. Passage à l’écologie * rôle des ONG qui deviennent des acteurs de la mondialisa;on.
Dénoncent la persistance de la
- Risque de surexploitaEon si aucune lim juridique ne restreint leur exploitaEon. pol.
pauvreté, l’ineácacité des pol de dvpt... *Gpes de pression
- Les AE ont intérêt à les exploiter en gde qté - Evolutions des mentalités jeunes contre la société de *Discours académiques cri;ques à l’égard du dvpt. Dénoncent la
- Certaines ressources naturelles conso: mvt hippie, contreculture, flowerpower... «religion du dvpt»
- Néo-ruraux: jeunes originaires de fam urbaines, arrêtent • LATOUCHE, faut-il refuser le dvpt?
- Met en doute les vertus de la CE. Discours Tiers-mondiste.
• HARDIN: Tragédie des B communs leur études pr aller vivre à la campagne. Contestation de
- Théoricien de la DÉCROISSANCE.
- Ex: communautés de montagne, éleveurs qui amènent leurs animaux paître => Prairies surexploitées qui deviennent la société de conso qui se dvp ds les 1960s. - Rejet de la culture & du modèle de dvpt basé sur l’industrie, qui a
des mares de boue. Ex: mai 68, slogans qui ont une dimension écolo, rejet du détruit les réseaux communautaires du Eers monde.
- Décalage intérêt général (préserver la ressource) & intérêt individuel (le coût sera assumé + tard par la collec;vité). matérialisme. • 1987, rapport BRUNDLANDT: our common future.
- Def du DD: dvpt qui permet de rep aux besoins du pst sans
↳ Pb qd les B apparEennent à tlmd ou à personne. ↳ Émergence d’org écolo:
comprometre la capacité des générations futures à rep aux leurs.
Solutions : - 1969, 1971: création de Friends of the earth puis de ↳ Notions:
Nationalisation : Ex: loi linorale Greenpeace - 1972: rapport Meadows, préoccupaEons *Besoins: limite loue entre besoin essentiel et futiles/accessoire
*Privatisation : Gérer la ressource de façon ra;onnelle aTn qu’elle ne disparaisse ps. fortes *Limitations liées aux techniques/technologies & aux org sociales
qui bornent la capacité de l’environnement à rep à nos besoins =>
*Quotas d’accès à la ressource (nécessité de volonté & de moyens).
- 1973: R. DUMONT (agronome), l’utopie ou la mort . Façon d’exploiter les ressources naturelles; rentabilité &
accessibilité.

a- Les tenants de la soutenabilité forte Les tenants de la soutenabilité forte


3) Quel niveau de dégradation du capital naturel accepter?
→ Nos niveaux de conso/prod actuels priveront-ils les générations POV2: le DD n’implique ps de maintenir constant le stock
On ne peut pas utiliser le K manufacturé (i.e
futures de de K naturel. => Compensation par le K physique
produit par l’H) pr compenser une perte de K
Satisfaire à leur tour leurs propres besoin? Le stock GLOBAL de K légué à la génération future doit ê
naturel => K complémentaires car ps ⫫ l’un de
l’autre. conservé.
• 1991, R. SOLOW, Sustainability: an économistes perspective HARTWICK :
- Analyse la notion de soutenabilité en termes éco. - Lim à la possibilité de recyclage
- New tech: matériaux dont la prod a des epets - π utilisés pr produire du K humain/tech, pr compenser la
- La CE actuelle n’est durable que si elle ne ps de façon définitive néfastes perte des ressources nn renouvelables => Compensation
le stock de richesses à partir duquel les H de l’avenir pourront eux mm - Calculs benef-coûts: taux d’actualisaEon nul car, intergénérationnelle. Incite à préparer l’avenir en me`ant
produire & consommer. selon eux, l’intérêt des générations futures est le mm de coté les π.
- Concept de richesses au sens large. que celui des générations pstes. - Règle de Hartwick: prescrit d’I ds le K reproductible
Différentes notion de K: - Les dommages que notre CE inflige au K naturel (tech & humain) l’intégralité de la rente issue de
*Humain: stock de L, de connaissances & de compétences. sont irréversibles. => Def du DD = dvpt max l’exploitation des ressources naturelles.
*Physique: machines, infrastructures ↳ Fonds souverains: crées & possédés par des E.
a`eignable sans du stock de K naturel.
*Social & insEtuEonnel: insEtuEons qui contribuent au Recettes mises de côté pr les faire fluctuer en vue de
foncEonnement des écos • H. DALY, tenant d’une durabilité forte - Ppes
l’avenir
*Naturel: ressources, processus. En parEe nn reproduc;ble, s’épuise ds concrets en vue d’un DD.
- SOLOW: durabilité faible
le processus de prod. *Utilisation raisonnée des ressources nn
- Concept de stagnation séculaire
renouvelables
- AGION: confiance en la RI3, la tech & les
*Rejets limités à ce qui ptt recyclé par des processus
mécanismes du M pr la CE et le dvpt.
naturels
Pas de ESH:4
voir fiche Noémie (ESH:4)
ESH 5: ENTREPRISE ET SA GOUVERNANCE
1) les entreprises avant la RI : Affirmation grande entreprise fin XIX :
Capitalisme familiale et entrepreneur au cœur RI: Concentraction technique et apparition de l’entreprise unique :

-X
-
A)-L’accentuation de la concentration à la fin du XIX°s
📈📈 ➡ RI2 : New acts -> Intensification du phénomène de concentration car :
➡ 📈 📈 📈
A-Domination capitalisme familiale
A-Les grandes compagnies du commerce lointain Capitalisme familial et entrepreneurs au cœur 1er Rev Indus
Innovations décisive (elec/moteur à explosion…) = plupart act nécéssite + K
que celles de la RI1
-Nécessite + de recherche . RI1 : la plupart des inventions provenaient du
19 ème : reste affaire famille 9
« génie » de certains R2: plus scientifique avec nouveaux procédés
Encore « jouet mécanique » Mais !! Sce ≠ tech ( svt, application de la sce )
- Def ε = unité éco dotée d’une autonomie juridique, et qui Mais : pas « self made man » = bcp famille de riche RI2: Le lien sce - tech et + marqué

s
US : Trusts = plusieurs Entreprise sous une direction unique , car mise en commun
combine les facteurs de prod pr produire des B et/ou Bcp de rally = alliance matrimoniale pour réunir K
Objectif : &
des actions Pools = ententes ( partage du profit / niv des px…) EX:US, début 20:
Standard oil = 90% de L’act de raffinage .
des S, qui sont vendus sur un M. -> limiter concurrence Mais !! 1870: pbs/inquiétude suite à la multip des grands groupes / les empires indus
menacent créer monopoles et faire dispa conçu .
-> endogamie industrielle Evol legis :
-> patronaux -US : autorités prennent mesures pr lim trusts
- 15e s: Multi des structures juridiques modernes -Acts de Famille et népotisme : très souvent le même nombre (femme/enfant) 1890: 1 loi antitrust , sherman act = Empêche G groupes d’accaparer quasi-total
d’un M .
Domestic System : entreprise / 2/75 qui emplois
négoce lointaines w/ le nv monde ms aussi w/ l’Asie. ALORS EFFET 1911 : cours suprême déclare illégale

Contexte: Age d’or du mercantilisme → Cies fortement B-Forme Juridique : 📈


surtout société de personne ⑱
dépendantes de l’E. SNC : existe sous le premier empire / calcule très précis / 3/4 des entreprises

Ex: Pays-Bas, 1602. Fondation de la (ε majeure de


l’époque).
Adopté SCN = associés sont solidaires : imagine que pour ce type de
Mise en commun K / doit limité nombre associé
Si mort ou décès / remise en cause
s
*Dotation en K de de florins hollandais (≈ 64 tonnes d’or) SCA : pas la même chose société par action
(commanditaires: detienne titre négociable , les actions )
*1e société anonyme de l’histoire, w/ des actions cotées en (Commandités: conserve la direction de l’E )
bourse Catégories qui est rare , sa crée par Finance les investis lourds
1920 : entend sur une base internationale (= transfotalières )
*BRAUDEL : voit ici le symbole d’un Kisme ancien. Sociétés en commandité : EX: Cartel inter de l’acier
Ex : 1928 , Entente entre géants du pétrole
Permettent élargir nombre investisseur «Commandité » = responsable sur leur All , Japon : arrêt tempo du processus de concentr car vainqueurs imposé démantèlement
Bien propre , pour une MAIS !! GF (1947) = ennemi devient URSS , dcp aide pour la reconstruction de la RFA

I
Entreprise , 10K Francs Et du Japon

j
B-La proto-industrie : C-Un accès au capital de plus en plus élargi :
C-Rôle centrale des entrepreneurs : Autre facteur décisif : accès + large au K car pour taille il faut +K
Franklin Mendels : « article : proto-indus » Combine et ressemble facteurs de Prod / connait les M / organise Prod FIN 19°s : multi des sociétés de k (société par actions)

S
Considère : -> acte d’entreprendre / figure classique et diff notable Risque limité , ms droit de regard sur société
bcp rurale et bcp urbains dans organisation /famille paysanne travaille pdnt temps mort J-B SAY : convaincu Rôle entrepreneur Nécessite de lever des fonds + important que pour société de prsn
marchand: mobilise sont K et le donne à des proto-industries = récupère le bien après Doit lui être assuré / l’entreprise peut ne pas être assuré
Fin parle alors de « DOMESTIC SYSTEM » = mise en pratique division du L (Smith) 20 ème Schumpeter :
Activité à l’échelle nationale et parfois internationale = flux échange vaste echelle -caractère innovateur ↑
-vision Schumpeter
18 ème siècle en Bretagne : Prod de lin écoulée sur des M lointains (M espagnols ) -théorie cycle / explique
Lien Porto industrie et RI : 1er entrepreneur (accum savoir-faire/expé/tech et des Que entrepreneur innove
K) Et le vrai moteur économique
Mais débat !! Dans de nbs régions , déclin de la poto = région purement rurales Typologie sur lequel on interroge les lequel on interroge les étudiants ESH :
-Nv mat 1er Fin 19e s: Industrie chimique, dvpt des transports et des act
métallurgiques. → Nécessitent bcp de K. Ds ces secteurs, de nbeuses
-Nv procédé / méthode de prod


sociétés se transforment en sociétés anonymes.
-New org de l’entreprise ( interne/externe ) Ex: Les établissements KUHLMANN sont fondés en 1823 ĉ société en
C-Manufacture , proto-fabrique : -Nv procédé / méthode de prod commandité simple .
-Innovation incrémentale Puis 1850s: new prods dc change de statut pr devenir une société en
Toiles de jouy :toile monocolor favorisé système impression par. Jouy Josophe Schumpeter « entrepreneur innove »=Distingue entrepreneur et financeur commandité par action .
900 employés / nv procédé : plaque de cuivre / gros tambour / bcp rendement RQ: à l’inverse , selon Keynes , l’entrepreneur n’est pas un demurge / Il adopte le Puis 1870: new prods qui nécessitent encore + d’I technologiques dc
Evolution :industries se dev / on essaie de s’habituer mode organisation diff du temps plus devient une société anonyme .
Mercantiliste s’en démarquais = pas laissez faire / créer certains nombre entreprise Part du temps un comportement moutonnier (+ faible propension à l’innovateur)
État royale FR : création des glaces à miroir à Saint Gobain = préalable Rev Agri
Manufacture des Gobelins : positif et négatif
Positif :
-élément de modernité : MO rassemblé sur mm site de prod / L très règlementé Cas originale de la France :
Négatif :
-mécanisation encore très faible / grande manuf très rares : Mode de prod artisanat

Avènement Technostructures managériales


Et leurs stratégie selon Galbraith et Baumol :
US,début 20°s : bcp d’entreprise familiales

Gouvernance des firmes :


-Ms le dvpt rapide des sociétés de K entraine dilution de la prop des entreprise (titre se vende)
On rq que bcp d’actionnaires se contentent de percevoir leurs dividendes
L’entreprise à l’heure de
L’internationalisation des
(ps de prise de position pr rapport aux chx stratégiques)

l’ère des managers N L’Avènement de


s La 3 RI et de la mondia
- role des managers / car commence à être enseigné

SEntreprises
1900: s’inscrit ds le cursus de Darkmouth college


1908: Harvard délivre des diplômes de management

1932 : BERLE & G.C.MEANS « the modern corporation & private »


-travail d’enquête sur le mode d’orga & de gestion des entreprise
Néolibérale : la firme-réseau :
= dev des gds sociétés par actions conduit dispersion de la prop des entreprise entre
gd nombres actionnaire
-remarque : K entrepreneurial K managériales ( Séparation + en + nette entre direction & prop des E )
b 8 &
-les managers détiennent vrai pu éco , et imposent leurs décision aux actionnaires .

1959, W.BAUMOL : business,béhaviorismes,valeur and growth


Des premières FMN à celles des « Small is beautiful » : un certain retour de la petite entreprise

x
-La priorité des managers des gds firmes est de firmes est de privilégier le chiffre d’affaire (=montant total de ventes ), « Trente GLo »: tendance à la concentration des 30GL peut sembler remise en Q. L’explosion des flux D’IDE et multiplications des FMN :
Et non pas le maximisation du profit
-Raisons rationnelles :
FMN = terme forgé par D.LILIENTAM en 1960 Cpdt, analyses ambivalentes: certaines dynamiques de concentration se poursuivent, tandis
°Le Profit benef aux actionnaires , tandis que la rémunération des managers dépend du chiffre d’affaires Entreprise qui possède des filiales hors du pays de qu’on assiste à un regain d’intérêt pr les PME.
°Corrélation chiffre d’affaire - M . parts de M = pouvoir de négociation sur le M= pouvoir négoce sur le M. La maison mère . 1973, E.F. SCHUMARER. Small is beautiful
Cercle vertueux car + de possibilités de financement de la part des institutions financières 1973 : ONU Def les FMN : - Réaction contre la tendance à la de la concentration des 30GL, qui avait été

J.K Galbraith : Terme de technostructure managériales


US : + en + gds gpes avec une décision collégiale
8 -possède filiales ds min 6 pays
-réalise 25% CA à l’étranger
-Bcp de filiales inter ne sont pas créées par la maison
encouragée par de nbx gvts (ds un objectif de CE).
- Réhabilitation des PME, célébration de leurs vertus.
↳ Avantages: souplesse, réactivité face aux évolutions de la conjoncture éco...
° taille des firmes par CI mère à l’étranger , ms seulement acquises . -1970-80, PDEM: La tendance à la de la taille des ε se retourne.
°Processus d’intégration verticale Ex: Fr: les ε de + de 500 salariés employaient 21% des salariés en 1970 contre 11% en 1996.
°Stratégies de collusion (ententes avec conçu , parfois de manière dissimulé ) RQ: entreprise a tjr nationalité de maison mère US: 17% en 1975 contre en 10% 1990.
Dimension critique : thèse de la filière inversée . Il dénonce le lobbying , un process par Cpdt: existait déjà multinationales
Lequel les managers agissent sur le pol , et préco le dev de contre-pouvoirs . EX:Bqe Médicis/Fugger/Rothschild Facteurs:
1990s: Dvpt des NTIC. → Équipement massif des ε. Dc M important pr les ε de services
EX: A.SLOAN
-RI: avantage pr FMN , srtt E industrielle : informatiques (maintenance, installation de logiciels, de systèmes de sécurité...), qui sont
-Prod de masse Ex : 1850 , NY ( Singer en 1867 ) = usine Glasgow majoritairement des PME.
-Sa stratégie consiste à diversifier les Px & les B ê pst sur plusieurs M = Org séparée/rationnelle Ex: Ford Ex: Capgemini est devenu un leader mondial du service informatique, ms la plupart restent
Bureaucratisation : des PME.
-Chaque direction met en œuvre des directions prises au niv de la direct générale de l’entreprise Berger : parle 1 mondia car I internationaux *Essor des activité de conseil/stratégie , ppalement exercées par des PME.
*Capacités d’ innovation des PME, créativité.
(Cpdt à la belle époque/flux IDE reste I inter minoritaire
Cpdt , On reste ds un contexte de mondialisation poussée . Le degré d’internationalisation des
1969: Intel (ε jeune et de taille modeste) invente le microprocesseur, qui révolutionne le monde
Firme peut pas etre mesuré (ne concerne que tendance FMN à disposer filiales à l’étranger )
WW1: phénom + ampleur (Ex:general motors rachète Opel) numérique.

B-Le pouvoir des managers , « crépuscule de l’entrepreneur » ?


⑱ 1930:effondr/contrac échange inter = protectionnist( - FMN)
WW2:new libéral accord inter / GATT 1947: libéralisation
1976: Apple est fondé sur S.Jobs & ses collaborateurs
-permet nuancer thèse de l’entrepreneur SCHUMPETER
-Risque déséconomie d’échelle / E dépasse certaine taille (org difficile à gérer )
Or, bcp de marque sous-traite de + en + à l’étranger (2012 / Nike: que 44K employés au US
Alors que 2850 sous-traitants dans 50 pays ) = FMN devient entreprise virtuelle

-concentration & bureaucratisation « Crépuscule de la F d’entrepreneur »


-Des managers salariés dirigent les firmes , d’où système de gouv spécialisé/professionalisé
(Ms ce processus induit une dépersonnalisation)
commerce inter car des DdDouane/ 30GL:Perfect des
Transports / Retour stabilité B-W(stock IDE + nmb FMN )
-Dev de la robotique / besoin de vastes unités de prod / chaîne montage auto / sub K au L

Décomposition internationale des processus productifs et les stratégies des
Ainsi : PME ont joué rôle non négligeable ds création d’emplois
-La nature du Kisme a changé , puisqu’il ne repose sur l’innovation & la prise de risque individ firmes :


US, 1990-2020 : Grace au start-up création d’emplois bcp plus nombreuses que destruc emplois
(Caractérise le rôle de l’entrepreneur ) = A terme , menace pr le Kisme , car - innovation . -Stratégie d’approvisionnement en mat 1er (dominante à la fin 19s sec
1950s: cette thèse est reprise , pr mettre en lumière en paradoxe : convergence sys socialistes & Kistes.

1967, J.K Galbraith : Le nv E industriel Domination des firmes américaines : ⑳ Petrole)


-strat M continuent d’exister et se sont renforcées (notamment pr les firmes
automobiles jap « logique E logique M » en 1980 )
-Les gds firmes ont adopté forme planification / peut sembler contraire aux mentalités américaines . US + gds émetteurs de flux de K , et + en + IDE Strat de recentrage et les pratique d’exerternalisation: EX : 1980 : US impose quotas d’I & des RDE / Alors , automobile japonaises
Corollaire : domin des FMN américaines 21s : dev pratique d’externalisation (Toyota , Nissan ) installe des usines aux USA pour contourner ces restrictions
-Asumetrie : les E émettent bien + d’IDE qu’elles

.
-tache simple (nettoyage) ou + sophistiqué (R&D…) Depuis 1980 : Stratégie de DIPP = nv strat qui consiste à tirer profit des
N’en reçoivent avantages comparatif des différents pays :
-Séparation des filliaires logique de recentrage

P
-Apparition d’un réseau très serré d’échange intra-firmes
C-« La main visible des managers » selon Chandler : de la firme en U à la firme en M
1977,A.CHANDLER : la main visible des managers
Ds le mm objectif : remise en Q des logiques de dispersion -logique de spécialisation : chaque filiale / sous-traitant se spécialise dans ses du
B ou ds type de service .
-Importance du rôle des managers / car capacité à agir sur le long terme sur les stratégies des firmes
-Essor des gds Entreprises fin 19°s : la rev managériales a permis des GDP . Le fonctionnement des M n’a pas
Conglomérale (diff de Verti/hori)
Été autorégulateur ou spontané , puisqu’il a été déterminé par les strat managériales = Ps de mécanisme par Lequel,pr la
recherche de la satisfaction de ses interêts perso ,Chaque AE contribue à l’intérêt général , i.e ps de main invisible
(A.SMITH) Conglomérat = gd gpe qui réunit des acts disparates
Vision + du processus : lien concentration - performances des Entreprises
1970 : role de FMN américains ( pas de lien de complémentarité)
S’oppose à la vision de MARX , selon laquelle: concentration = nb de Kistes , qui possèdent une part écrasante des
moyens de prod. Fossé entre cette riche minorité & classe pop qui se paup = Rev
-FMN all/FR/Jap émergent -Existe d’abord en Asie puis en Occidents ds les 1960
Ex:Saint Gobain Ex: US, à partir de 1965 : ITT transf son act en prenant le
-apparition attitudes méfiantes (FMN considérés Carl de société qui opère diff secteurs (verrerie / restau….)
C les ppaux agents du néocolonialismes Avantage :
Ex : Chili,1973 (coup État de Allende) -Diversifie la dc prise de risques
-Permet ) l’entreprise de continuer C.E sans se confronter 1991, Reich L’éco mondialisé
Lois qui réglemente positions dominantes sur les M Décomposition poussée des procès productifs / notion de nationalité d’un B perd son sens

-
Dans le cas de Generals motos : Pr voiture Pontiac modèle Le Mans ( sur 20K perçus , peu
Puis remise en Q : Climat + concurrentielle et incertain remunère US) Ex: Corée du Sud encaisse 6K
-Les entreprises se recentrent sur leur cœur de métier
Stratégies des firmes multinationales avant les années 1980 : -Contexte de financiarisation : Or les actionnaires poussent Notion de Firme réseaux = FMN coordonnent réseaux complexe (filiales & sous traitants
origine: volonté des FMN de s’approvisionner en mat 1er Convergent vers qqes sites d’assemblage ) Possible grâce au NTIC : gestion des chaînes
Entreprise vers logiques de recentrage logistiques a besoin moyen de communication performants
MAIS : éclatement chaîne de prod : mise en péril indépendance stratégiques
• C. A. MICHALET. Notion de «FMN primaires». -Alcatel : ds les 1980s dispersait son activité puis décidé
- Nbeuses au début du 20e s.
- Implantations à l’étranger: cies pétrolière. → Dvpt de De se recentrer en 1995


plantations à gde échelle, & d’acts d’ extraction
- Fin 19e s, UK. des IDE sont réalisés ds ces secteurs.
- Ex: US, 19e s. Exxon, extrait du pétrole au Moyen Orient
Autre stratégie: stratégies de M : veut des filiales ds un pays
étranger, pr s’implanter sur son M. Logiques de concentration qui perdurent et la multiplication des
Fin 19e s: tous pays sauf UK durcissent leurs tarifs douaniers. Fusions-acquisitions :
Alors: installe unités de prod ds les pays étrangers pour acquitter des taxes 2001 : Le dirigiant de Alcatel affirme « ne souhaitons ê bientôt une
douanières. Entreprise sans usine »
Ex: UK, 1893. ouvre une usine de pneumatiques aux US (à Buffalo), ce qui lui permet
de contrer le tarif douanier (1890), sévèrement protectionniste.
• J. SAVARY. Concept de firmes «multi domestiques » -Depuis 1980 paradoxe : strat de recentrage/ renouveau rôle des PME ,
Implantent filiales ds des pays étrangers, qui ont la mm prod que la maison mère du et pourtant , poursuite des dynamiques de concentration
pays d’origine . L’act est simplement dupliquée. → Filiales relais. -la déconcentration a été technique & spéciale plus qu’éco
Ex: Pr les firmes automobiles, prod de véhicules ds plusieurs pays. -1980-2000 : pourcentage de salariés qui travaillent ds des PME est resté
1964: Volkswagen prod coccinelle au Mexique. 1973: 1/3 des voitures Mexique sont Stable
des coccinelles -En effet : il est possible de se recentrer sur cœur d’activité t’en fusionnant
Des entreprises du même secteurs

DEV NTIC :
-Effet ambivalent : permettent de rendements d’échelle croissants , puisque
Duplication ne coute r . On parle de « nv éco »
-Effet de réseau sur les plateformes num : ft d’ê connecté à un réseau
Social avec de nbx utilisateurs
-Les données de connexion permettent de dvp des pubs ciblés

Début des fusions acquisition : 8


Secteur pétrolier : 1998 : crise asiat effondrement px du pétrole .
Alors , éco échelle possible avec fusion-acqui
-1998: Mobil-Exxon rachète Petroleum et Amoco
-1999:La cie belge FINA est absorbée par TOTAL
Secteur automobile 1999 : Renault rachète le constructeur Nissan
1990-2000: Somme des fusions-acquisitions ds le monde X7,6
📈 ➡ 📈 ➡➡➡

📉 📉 📈 📈 ➡ 📈 📈 📈 📉

ESH 5: SOCIOLOGIE DU TRAVAIL


📈 ➡ ➡
🎬📈 📈 ➡ 📈➡
➡ 📈 ➡📈

LES MUTATIONS
📈
DU MONDE DU TRAVAIL
➡ ➡ ➡

EVOLUTION DE L’ORGANISATION DU TRAVAIL

-
Avènement de la La représentation des salariés :
Légalisation :

Organisation scientifique du travail selon Taylor : Du taylorisme au fordisme :


Société salariale °1864 : La loi Olivier reconnaît le droit de grêve
°1884: La loi Waldeck-Rousseau légalise les syndicats
1776 : A . SMITH Recherche sur la nature & les causes
Selon lui :
Henry Ford
Selon lui :
Avec Henri Fayol , une logique quasiment militaire :

H.Hayol (1841-1925, ingénieur puis patron)


Et ses implications OJD : liberté syndicale ds tous les pays démocratiques indus . Ainsi , les
syndicats sont devenus des acteurs de la vie pol .
-il faut Appliquer la méthode Tayloriste / aménagé & complété Il a :
- La division du L permet productivité -L’OST pas été conçu par Taylor en vue Prod de masse / mais rationalisation -mis au point une méthode qui vise le m but que Taylor&fordisme FR: droit de grève est reconnu c ppe constitutionnel .
( Ex : 10 ouvriers repartie tache produisent 48K épingles/jour )

Une orga
Alors!! il a combiné strat Taylor & strat de volume Changements : ( efficacité / spécialisation des taches & division du L )
F.W.TAYLOR (1856-1915) -Uniformisation du Temps de L Mais!! ne se limite pas à l’organisation du L des ouvriers . Avec le salariat , un nouvel âge relation -Entre les pays ≠ notable en terme de :
Il a : -Système de chronométrage est remplacé par convoyeur (pièce qui défile devant)
Travail :

-
-Gravit tous échelons processus Prod (manœuvre/ouvrier Q/ingénieur en chef) (C’est le tapis roulant qui détermine temps de T - opérations manutention )

scientifique du -Observer perte de temps en observant camarade « flânerie systématique »


Car ouvriers savent 2 choses qu’ignorent le patron :
-> temps moderne , C.Chaplin
ll a :
-19s:
-Marx pose bases d’une socio du L à
Niv intervention :
UK : Syndicat au niv du métier . Les syndicats sont dits de «métier »
-manière dont ouvrier doit procéder
-concilié uniformisation & standardisation de la prod , ainsi des Salaires Travers son analyse de l’espace sociale . (Syndicat de la plomberie / de la chaussure)

travail qui vise a


-temps réellement nécéssaire de prod pratique de « freinage »
(dans l’intérêt des ouvriers/ tendance contagieuse qui baisse rythme efficacité )
(Taylor augmenter les salaires en fonctions de la productivité ) 1914 : 5$/ day -interrogation sur Q sociale dans ce siècle • Dans le reste de l’Europe = syndicat niv des branches (automobiles …)
- PA ouvriers ,car associe conso de masse à Prod de masse
Alors !! Expert doivent analyser et codifier travaille , appliqué grâce : (En réalité , Ford été confronté absentéisme ) alors! rémunération oblige a rester
OJD:
-une répartition rigoureuse , surveillée , codifiée, imposée du L -Essor salariat : Nv Rôle des relations du L

rationaliser
-un ctrl rigoureux de la MO (possible grâce a indivi du L/Meilleur ctrl ) Rapport entretenus avec l’E/ et les partis politique :
« Fordisme » fondé par A.Gransci inventé terme pour illustrer aptitude Kisme FR, part des salariés sur pop active totale :
À subsister malgré contradictions , en redis ( 1920s 1/2 1950 2/3 AJD 80%) 3 types d’org & de fonctionnement des syndicats :
Partie du profit au salariés
École reg : utilise ce terme pour caractériser la prod & conso de masse des 30GL Mais!! Controverse Fayol - Taylorisme : Salariat : type de relation contractuelle du L °1) Fr, Espagne , Italie :
Firme automobile : caractériés par une gde diversité en terme de stratégies Selon Fayol , logique taylorisme présente effet pervers : Garantit gain en échange d’une subordination -Le mvt syndical se dvp en dehors des partis . Souvent = radical /
1920s: A.SLOAN -Parcelisation/atomisation des taches implique oubli impératif d’une Anarochoradicalisme . En outre , Rôle majeur de l’Etat

=
Il a : (Ex: salarié s’engage renoncer négoce avec patron)
Unité de commandement . °2)Pays anglo-saxons :
-décider de ne pas faire pareille de Ford
-La spécialisation qd poussé à l’extrême / induit inutilité tte supervision = «société salariale »
(Différentiation des B , pr s’adapter à un M en pleine evol) 1971,B.DOERINGER & M.J PIORE Syndicalisme : vient des parties Politiques de Gauche
Polyvalence des ouvriers
Fayol insiste sur l’intégration . Disent que segmentation du M du L qui oppose : EX : (UK: Labour Party est né des syndicats )
1) M interne du L :
Au sein des Entreprise ,
1) Segment primaire : °3)Mvt syndicaliste germanique & scandinave :
Fonctionne selon règles spécifiques
-Emplois de longue durée Les syndicats sont dev à partir socio-démocrates déjà existants .
2)Segment secondaire :
qui V
-Salariés - qualifiés et dc - bien payés
-ils participent aux rouages de l’Entreprise et jour rôle important dans les
2)M externe du L : Negoce collective
L’école des relations humaines : Elton Mayo et l’effet
De Douglas Macgregor à « l’entreprise libérée » -Recrutement extérieur
=précarité
-Salariés confronté Aléa du M externe
Hawthrone
Question des motiv individuelles : de Getz et Carney -Loi de l’O&D

Ford & Fayol expliquent « freinage » par défaut org Évolutions du salariat depuis la fin des années
L’école des relations humaines : veut réintroduire le fac Une crise des acteurs collectif ? :
1970 : Depuis un moment :
Humain ds la réflexion sur fonctionnement entreprise 1995: R.Castel les métamorphoses de la
-La proportion syndicats
Q sociale
1920:US Usine de réseaux téléphoniques Western Electric Il a dit: - + significatives sont dans pays ou taux syndicats était déjà faible :
Réaction à Mais !! Usine confrontée Pbs :
-Rotation excessive de la MO (reste peu de temps ds 𐐁)
-Fin 20s : « effritement » de la société
Salariale. Causes :
Ex: (FR: 30%= 1950 10%=2015)
En revanche , pays scandinaves conservent forts taux de syndicalisation

l’organisation -détérioration de la qualité de la prod


Alors !! Expérimentation pr remotiver la MO :
Ouvriers divisés 2 : 1 er travaille comme avant
-Cause 1: Apparition d’une consommation de
Masse accès société salariale est + difficile pr une
Partie de la pop
Crise de la rep des salariés :
Ex: Taux abstention de 70% élections Prud’hommes
scientifique du L 2 ème meilleur éclairage
Mais!!résultat surprenant car prod ds 2 gpes
1966: HERZERG Work and the nature of man 1957: CHRIS Personnality & organisation -Cause 2: société salariale devenue + complexe . Diver
Des formes d’emplois non salariés:
Les raisons :
Crise de légitimité :
Il a : -Est en faveur humanisation de la gestion RH , pour 2008 : FR . Le statut d’auto-entrepreneur est instauré . -Nbx travailleurs qui désapprouvent la posture offensive des syndicats.
Puis : qualité 1 er groupe avec prod - hiérarchisé les besoins et ajoute satisfaction & insatisfaction donner sens à leur L . Ptt considéré comme une forme de salariat déguisés . -Évolutions structurelles :
(Ne doivent pas vu comme notion contraires) La numérique des formes traditionnelles d’emplois
Tertiarisation Or les taux de syndicalisation sont + élevés ds l’industrie
E.MAYO : Est compensé par le nb d’auto-entrepreneur .
Dans l’entreprise , dirigeant satisfac ou insatisfaction Nv forme d’éco : La gig economy (=eco à la tache) est une Que ds le secteur des services .
-continue tests / fait varier paramètre Prod tlt 2 types de facteurs : I.GETZ : act éco qui repose sur act de travailleurs indépendants , Féminisation Or les F se syndiquent - que les H
2 conclusions : -condition d’hygiène (produc stagne a partir certains ceuil ) -Veut « libérer l’entreprise » , afin d’instaurer Grâce mise en relation de plateformes numérique . Multiplication des filiales & des sous-traitants . Or les syndicats sont -psts ds
-facteurs de motivation (Travail enrichissant/épanouissant ) On parle « ubérisation » de l’éco
Effet Hawtorne : travailleurs + sensibles à l’attention Climat de reconnaissance Les petites structures (PME)
-Employés mettent au pt une org spontanné et informelle -Marché du L + en + flexible , un engagement syndical ptt mal vu par les
-Chaque salarié doit prendre décis autonome -Cause 3: tendance à la Flexibilisation du M du L , pr laquelle
Plaident les néo-libéraux . Selon eux , faciliter licenciement Employeurs
Permet favoriser embauche . Crise d’efficacité :
Post-taylorisme , ou néo-taylorisme : -Dans contexte actuelle , les syndicats semblent impuissants .
-Pays industrialisés : observe moindre combativité salariés .
L’usure du compromis fordisme : Le toyotisme et ses principes : OJD : pas encore extrait taylorisme
1970: les conflits du L ont en fréquence et en intensité
(Car toyotisme comporte fondamentaux taylorisme) -Cpdt : pas disparition totales des conflits du L (Les revendications se manif
30GL: Logiques fordistes se sont imposées Toyotisme = modèle Jap crée 1940 par T.OHNO Fin 20°s : Expansion toyotisme a permis de : CASTEL : utilise terme « précariat » pour Par d’autres moyens que grève classique (grève du zèle / refus heure supp)
Désigner travailleurs qui ne benef pas de protecteur .
Puis 60-70s: CE se grippe ds les PDEM
-contrer manif contre logiques fordisme
MAIS!! Ce système présente des limites : Contexte en 1940s: retard considérable l’industrie
-PDEM confrontés concu inter . Ceci entraine -Gagner en souplesse pour suivre D de près
efficacité E-Providence
Automobile Japonaise car M japonais trop étroit
puisque PA japonais trop faible (1985 : Progr Saturne = Général Motors crée Inégalités dans le travail :
Vers des (cout protection deivient difficile à assumer )
-Dynamique de renouvellement/ Prod de masse
Objectif :
-ne pas être ecrasé par industrie américaine
Filiale pr produire voiture Saturne selon toyotisme )
-Permis travailleurs plus aspect déshumanisant L A-La hiérarchie des professions : B-inégalités selon le sexe : Inégalité selon statut d’emploi :
-l’exposition au chômage depends Gpe sociaux
organisations
-sociologie des professions / Existe hiérarchie des professions -La fémininisation de la pop active est une transfo struct
ne peut se perpétuer (Qui été produit en très gds series ) (Ex: fin 1960 : TOYODA les salariés ont apporté E.HUGUES (école de Chicago ) marquante de ces dernières décennies . 2019 ,FR : taux de co des ouvriers nn
Il a : -INSEE,FR: Ojd,+ de 2/3 des françaises adultes sont ds la pop active Qualifiés de 18% contre 4% pr les cadres
-La D progresse - vite car + exigeants Alors mise en place deux systèmes : 1,5 millions de suggestion / 95% accepté ) -Analyser la manière dont s’installe une = presque la moitié de la pop active totale est féminine

moins
-Taux chômage élevé pr les F,Jeune…
(Bien standardisé ne suffisent plus ) Mais!! Cpdt/Chez Toyota objectif gain de prod : Hiérarchie ds l’esprit des individus , fondée sur des distinctions de nature morale .
-Cette hiérarchie ne repose pas division tech du L / ms perceptions morales Cpdt , mixité partielle du M du L . diff échelles de comparaison :
De plus: Habillage verbale pour dissimuler L exigeant Des métiers = Org qui s’étend des prof prestigieuses aux profs dégradantes
-Secteur ( typologie de Clarke ) Précarité conditions d’emploi :

hiérarchiques?
-chaque profession lutte pr imposer son « mandat » (=domaine exclu que société leur -new embauche CDD ou intérim
On aperçoit féminisation du tertiaire ( emploie 8F/10 )
-Stagflation érode PA / ralentissement Salaire Généralisation : reconnaît )
-Profession Profession intermédiaire & employés sont
Ex : médecins ont droit de décider soins dont des patients / Pharmaciens non
-Phénomène générationnel (Car en 40 les gens -NTIC=> Management moderne a abandonné -Reconnaissance s’obtient en F de la capacité d’un grp à déléguer le « sale boulot » à Polarisation de l’emploi féminin : Rep ds ces emplois
autre catégorie + de femme employés ds le secteur de la bqe & de l’assurance -40% de l’écart remun H/F s’explique
accepté travailler nbr heures pour retard ) Une partie des logiques de l’org tayloriste -Cpdt , hiérarchie pas figée Sur-representation écrasante ds le secteur des services à la personne
Par inégalités de temps de L
MTN : plus possible / Grève et conflit /résistance -Logiques taylorisme gagné nmb act de services L.KARPIK
Il a : =cause : garde d’enfants
-Pr les industriels ; il est de + en + rare de conso stock -Étudier le métier d’avocat en FR. Ils ont étendu domaine act: droit des affaires
MAIS!! Paradoxe : le résultat pas bon pr la profession . Mandat se dilue / statuts
- part de salariés à temps partiel ,
D.LINHART la comédie humaine du L deviennent + hétérogène = moitié pop l’ID de la personne est fragilisé Notamment pr les titulaires de contrats
Temporaires = L à temps partiel / et dans
Il dit : nouveaux discours managériaux sont théâtraux Le cadre de contrat courts
-« Sur-Humanisation managériales » car but gagner efficacité Écart de la rémunération de 10-15%
Autorité à caractère rationnel-légal (def bureaucratie ):
-Fondée sur le droit
-Impersonnelle : on se soumet au règlement et nn pas à
Qqun
-Hierachie des F : ctrl des organes > sur les organes <
-Qualification de ceux qui exercice des f (diplôme,exam)
-Séparation f-prsn qui l’occupe

Les apports de la sociologie des organisations :

1)La bureaucratie comme forme de rationalisation et ses limites:


2) les acteurs au sein d’une organisation: régulation et coordination :
A)- L’autorité légale-rationnelle et la bureaucratie selon Max Weber 3) L’analyse stratégique de Michel Crozier : l’organisation comme construction
M. WEBER : Économie & société
Il pense :
bureaucratie : A - règles formelles et règles informelles : analyse Jean-Daniel Reynaud a- Une analyse fondée sur des enquêtes
-org fondée sur autorité rationnelle légale. • M. CROZIER. Le phénomène bureaucratique (1964) & L’acteur et le sytème (1977)
-dvpt de société industrielle : accompagné forme d’org appelée autorité rationnelle légale J.D REYNAUD : Les règles du jeux
Il pense coexistence : Il enonce fondements de l’ analyse strat des org :
-de règle formelles ( codifié par hiérarchie ) - org les + régulées, des subsistent et jouent un rôle, d’où le terme «acteur».
-de règle informelles ( résultat des interactions entre travailleurs )
Car!! Selon Weber : Car!! L Prescrit ≠ L Réel
-Possibilité d’improviser/innover, dc ps de rôle unique. → L’org est appréhendée ĉ un jeu sur les règles.
-modernité s’accompagne désenchantement monde & rationalisation. -Travailleur connait mieux son poste que la direction = ( asymétrie info ) 3hyp:
- sociétés se bureaucratisent . -Tendance prendre liberté = adapte en fonction expérience
Étudie manière dont individus gouvernent : -Permet anticiper incidents : donc pas source d’inefficacité . *Il ∃ des «zones d’incertitude» pr tte org englobent tt ce qui ne peut ps ê prévu
*Domination traditionnelle: établie depuis lgtps, V de ppe. Processus de « régulation », 2 types de régulation :
*Domination charismatique : soumission qui s’explique par caractère impersonnel. *De contrôle : règle officielles, externes au grp de travaillleurs ( choix direction ) . * agents d’une org ne sont jms assimilables à objets poursuivent leur propre but.
*Domination légale : repose sur croyance en l’efficacité des règles. Seule forme qui assure conformité entre légalité & l’autorité. *Autonome : règle informelles , qui se dev en marge règles formelles par salariés et assure cohésion du grp de travailleu * agents mettent en œuvre stratégies pr parvenir objectifs (ds cadre d’une rationalité limité)
EX : Certaines mines de charbon tirage au sort pour savoir qui travaille endroit dangereux (sentiment justice ) ↳ L’org est construction contingente, car ptt modifiée par les stratégies des acteurs.
b-La nécessaire prise en compte des règles informelles
b- Des règles formelles qui rationalisent l'organisation
D.ROY : 2006 , Un sociologue à l’usine
Typologie idéaux-types Weberiens : def abstraite / permettent accentuer certains traits de la realité afin de mieux appréhender Il observe :
-des comportements ritualisés ds une usine de construction mécanique aux US B - les cercles vicieux que génère la bureaucratie
Autorité à caractère rationnel-légal , qui def la bureaucratie repose 5 caractéristique majeures :
EX1: chaque jour , un ouvrier la banane d’un autre et crier « banana time! »
-Fondée sur le droit EX2: même moment de la journée , 2 ouvriers se disputent pour savoir si fenêtre fermé ou après
-Impersonnelle : on se soumet au règlement et nn à qqun
-Hierachie des F: ctrl des organes > sur les organes < -Travailleur ont comportements propre qui crée évènement collectif Rythme journée travaille
-Qualification de ceux qui exercent des f
-Séparation f - prsn qui l’occupe

Mais!! Évolution Historique de l’élaboration des règles : . P.BLAU : 1955, The dynamics of bureaucracy
-Société primitives : pas de droit / ms prévalence de la coutume norme sociale codifié
Il étudie :
-Émergence de droit Professionnalisation des F de juriste (rationalisation du droit ) -fonctionnement d’une agence fédérale chargée du respect des lois fédérales par entreprise privé US
Donc!! Système cohérent qui repose sur certains ppes & V -fonctionnaire sont + efficaces quand ils s’affranchissent certaines règles formelles
EX: En Théorie , si employé rencontre difficulté ds traitements d’un dossier / pas le droit d’en parler avec collègue
V.GOURNAY : Crée en 1759 néologisme de la bureaucratie connotation négative car : MAIS!! DOIT en parler avec son supérieur hiérarchique mais , souvent règle violée
-intervention intempestive ds f démocratie - solidarité dans le L

Weber: A.GOULDNER : 1954, Patterns of industrial bureaucracy


-bureaucratie s’est dev société moderne ( rend prévisible execution tache ) Il pense :
-rendu possible division du L + en + poussé - dirigeants d’une entreprise devraient pas essayer éradiquer règles informelles c- Les pouvoirs de renégociation des travailleurs
- efficacité & protection de l’arbitraire expliquent adhésion autorité Etudie une entreprise : • 1977, M. CROZIER & FRIEDBERG. L’acteur et le sytème
- L’Entreprise a recours management décontracté
Ils pensent :
Donc existe 2 POV : -Nv dirigeants arrive = adopte règle bcp plus rigoureuse
-Alors!! Climat se dégrade . - comportements individus conformes au poste qu’ils occupent, puisque les règles sont impersonnelles.
POV1 : bureaucratie a permis taille des entreprises et Avènement Kisme Moderne -Comportements prévisibles, règles = réducteurs d’incertitude.
-Donc!! Instaurer règle rationnelle entraine pas l’adhésion des employés
POV2: SCHUMPETER « Crépuscule de la F d’entrepreneur » Evolution pessimiste 4 sources d’incertitude, qui sont des sources possibles de pouvoir:
.
C-les analyses de James March et Herbet Simon sur la coordination *Détenir une compétence rare Compétences parfois implicites, nn officielles.
Ex: Les ouvriers d’entretien sont les seuls à savoir réparer une machine en panne.
J. MARCH & H. SIMON. 1958 ,Organizations
C- Dysfonctionnements des organisations bureaucratiques *Rôle d’interprète, dit de «marginal sécant»: maîtrise relations entre l’org & a l’extér ou inter de l’org (entre
Ils étudient 3 conceptions diff de la coordination (ordre chronologique):
catégories de travailleurs).
R.K.MERTON: *Maîtriser le système de communication interne à l’org: capacité à faire circuler l’info. Poste officiel ou nn officiel.
1936:The Unanticipated conséquences of purposive social action ▹ 1) Org défendue par tenants de l’OST , dite «degré 0 de l’analyse sociologique»:
-hiérarchie permet coordination des comportements. *Connaissance règles de l’org & capacité à les interpréter.
Il pense :
-Plus une société se rapproche idéal type weberien , + elle souffre de dysfonctionnements -individus sont simples exécutants de tâches prédéfinies & organisées de façon méthodique par la direction. Ex: Si unique secrétaire connaît règles nécessaires à validation d’un dossier décider de valider + ou - rapidement
-Organisme vise rationalité maximale = confrontés à des aléas . -Ps de choix individuels. certains dossiers.
-Or multiplication règles : ROUTINE = limite imprévue dans bureaucratie
-Organisation se rigidifie = perds efficacité GOULDNER: affirme qu’il ptt préférable de à l’égard de certaines règles, de se montrer conciliant, afin que d’autres,
▹ 2) individus introduisent attitudes persos et leur système de V:
considérées ĉ + importantes, soient .
1940: bureaucratic structure and personality -ms ceci ne s’ajuste ps nécessairement aux objectifs de l’org.
-interactions sont relativement prises en cpte. Cpdt, capacité à agir eux-mm sur leur cadre de L n’est ps évaluée.
- Crozier est à mi-chemin entre l’individualisme méthodologique et le holisme. Il étudie le comportement des acteurs, tt
Il pense : en prenant en cpte le cadre + ou - contraint ds lequel ces derniers agissent. L’org crée la possibilité de logiques
-Ce type d’organisation conduit au dvpt de personnalité bureaucratiques collectives, en // des stratégies individuelles.
-agent intériorise des règles / deviennent ritualistes = Adaptation excessive au bureaucratie
▹ 3) but 1e des employés est de trouver solutions aux pbs rencontrés. Ainsi, peuvent ê amenés à coopérer: ↳ La capacité à agir sur les règles (jeu) facilite l’émergence de logiques collectives qui créent un lien de solidarité entre
P.SELZNICK : -direction mets en place des dispositifs pr favoriser processus→ Conception horizontale de la coordination. acteurs, qui se pensent alors ĉ un grp uni par un destin & des interêts communs. Ces logiques diffèrent selon les grps.
Il fait : -Ds ce cadre, processus de décision relèvent d’une rationalité limitée (accès & traitement limité de l’info). - Système d’action concret = ensemble des interactions internes à une org. Ce système se transforme, car il détermine le
-Enquête objet d’étude : Tennessee Valley Authority ( Entreprise Américaine ) ↳ Dvpt de routines organisationnelles. comportement des acteurs, ms est aussi modelé par celui-ci. Un équilibre émerge progressivement au sein du système
-disfonctionnement peuvent advenir au sein des organisations bureautiques = pression environnement Ex: ε qui renouvelle un contrat ses fournisseurs ne ré évalue ps ttes les options, ms se contente si pb majeur n’est survenu. entre les ≠ acteurs. Si, certes, tlmd ne ptt satisfait, et si certaines frustrations & luttes pr le pouvoir subsistent, les ≠
pouvoirs tendent tt de mm à se neutraliser. Il est dc difficile de réformer une org bureaucratique.

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