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TP VIBRATION

MECANIQUE

Réalisé par :
M’HAMDI OUM KALTHOUM
IBNOUSAID WISSAL
OUAKAF EL MEHDI

Encadré par :
M. ABOUSALAH
TP1 : ANALYSE DES
VIBRATIONS
DES MACHINES
TOURNANTES
I. Introduction
La maintenance conditionnelle est une forme de maintenance préventive subordonnée à
l’état de l’équipement. Elle est donc dépendante de l’expérience et s’appuie sur
des informations recueillies en temps réel, ce qui la distingue de la maintenance préventive
systématique, effectuée indépendamment de ces informations.

Par rapport à la maintenance corrective, la MPC permet d'éviter les pannes donc les arrêts
machines et donc les coûts d'indisponibilité, qui peuvent représenter les 2/3 des coûts de
production.

Par rapport à la maintenance préventive systématique, la MPC permet d'éviter des


interventions coûteuses pas toujours nécessaires (ex: vidange d'un grand volume d'huile sans
qu'elle ne soit dégradée) et qui ne garantissent pas de ne pas avoir une panne.

En MPC, le défaut est détecté AVANT d'engendrer un arrêt de la machine. Le principe est de
surveiller la machine régulièrement et de noter son évolution. Elle est surtout indispensable
pour les machines dites VITALES. Le principal avantage de la MPC est qu'elle permet d'éviter
les arrêts machines dus aux pannes. Pour minimiser encore ces arrêts machines, il faut
utiliser des techniques permettant de mesurer l'état de la machine sans l'arrêter.

Les 3 principales techniques utilisées en MPC sont :

• La thermographie infrarouge.
• L'analyse des huiles.
• L'analyse vibratoire.

Objectifs du TP :
• Comprendre les bases de la MPC en utilisant l’analyse vibratoire des machines
tournantes.
• Prévoir les démarches pratiques à mettre en œuvre pour les applications
industrielles.
• Identifier les méthodes, normes et procédures nécessaires.
• Utiliser un appareillage spécifique et réaliser l‘analyse vibratoire des machines
tournante.
II. Etude cinématique
La maquette présente des éléments couramment rencontrés dans la conception de
machines tournantes industrielles.
Elle permet de simuler la plupart des défauts classiques rencontrés sur les
machines (balourd, lignage, roulements, engrènement.)

On peut également la modéliser par le schéma suivant :


III. Partie expérimentale
Expérience 1 : Etat initial
a. Description
Cet état correspond à un système correctement configuré. Le système étudié à l’état initial
se compose seulement de l’arbre 1 accouplé au moteur.

Le dispositive de détection de vibration est situé sur le palier 3.

Mise en œuvre :
 Relâcher l'arbre 1 pour qu'il soit entraîné uniquement par le moteur 1.
 Configurer la fréquence sur 50 et démarrer le moteur.
 Configurer pour une première fois la fréquence dans l’appareil à l’aide du
stroboscope.
 Faire les mesures à l’aide du dispositif.

b. Résultats Figure 1: montage expérience


L’appareil nous donne 3 valeurs de vitesses de vibrations et 3 accélérations correspondant
aux 3 axes de l’accéléromètre. Nous allons nous intéresser à l’axe X.
i. NG :

Figure 2:résultats NG expérience 1

ii. AS :

Figure 3: résultats AS expérience 1

On affiche le spectre avec une échelle de 200Hz selon lequel la valeur de la fréquence est du
premier pic.

c. Interprétation
On remarque une fluctuation de la vitesse RH en fonction des fréquences.
On a trouvé que la fréquence de l’arbre moteur = la fréquence de la roue dentée (car ils sont
accouplées) = 25Hz.
Fréquence théorique : 𝐹𝑡ℎ = 25 Hz
Fréquence expérimentale : 𝐹𝑒𝑥𝑝 = 24.88 Hz

On constate que les résultats expérimentaux sont proches des résultats théoriques avec
une erreur de 0.1

Expérience 2 : Balourd
a. Description
Mode opératoire :
 Relâcher l'arbre 1 pour qu'il soit entraîné uniquement par le moteur 1.
 Ajouter une petite masse sur le plateau rainuré de l’arbre 1 pour introduire la notion
de déséquilibre (on a utilisé un système : Vis écrou).
 Démarrer le moteur à la fréquence 50Hz.
 Faire les mesures à l’aide du dispositif.

Figure 4 : montage expérience

b. Résultats
i. NG :

Figure 5: résultats NG expérience 2


ii. AS :

Figure 6: résultats AS expérience 2

On affiche le spectre selon lequel la valeur de la fréquence atteint sa valeur maximale.

d. Interprétation
Fréquence expérimentale : 𝐹𝑒𝑥𝑝 = 25 Hz.

L’ajout d’un balourd génère un déséquilibrage ce qui donne normalement plus de vibration
au système. Or expérimentalement on a trouvé presque la même valeur de la fréquence de
la première expérience.
Fréquence calculée théoriquement : 𝐹𝑡ℎ = 31.0875Hz
L’écart qui existe entre la valeur théorique et la valeur expérimentale est probablement dû à
la masse du balourd qui est très faible devant la masse totale du système (arbre 1 + roue
dentée + roulements).

Expérience 3 : Engrenage
a. Description :
Un spectre normal montre habituellement 1x et 2x la fréquence d’engrènement (Fg). Ces
fréquences peuvent également être accompagnées de bandes latérales à la fréquence de
rotation. Tous ces pics restent de faible amplitude.
Afin de procéder à la mesure de cette fréquence (Fg) on suit les étapes suivantes :
Mise en œuvre :
 Positionner l’arbre 1 à l’aide de la cale de réglage et des butées fixes du banc.
 Positionner l’arbre 2 afin de réaliser l’engrènement des 2 pignons en réduisant au
maximum le jeu de fond de denture.
 Démarrer le moteur à la fréquence 50Hz.
Mesure :
 Faire les mesures à l’aide du dispositif.

Figure 7: montage expérience 3

b. Résultats :

i. NG :

Figure 8: résultats NG expérience 3


ii. AS :

Figure 9: résultats AS expérience 3

c. interprétation :
On remarque d’après la figure ci-dessus que la fréquence Fg, qui correspond à la valeur du
premier pic, est Fg=1318.8Hz.
Or sa valeur théorique est Fgth=60F0=60*24.88=1492.8Hz
Nous remarquons que la valeur expérimentale s’approche de la valeur théorique.
Cet écart est peut-être dû à l’état des engrenages et au jeu entre ces derniers.

Expérience 4 : Courroie
a. Description :
Le défaut de courroie se manifeste par une énergie vibratoire à la fréquence de passage de la
courroie (Fp).
Afin de mesurer Fp on procède comme suit :
Mise en œuvre :
 Positionner l’arbre 1 à l’aide de la cale de réglage et des butées fixes du banc.
 Positionner l’arbre 2 afin de réaliser l’engrènement des 2 pignons en réduisant au
maximum le jeu de fond de denture.
 Positionner l’arbre 3 en veillant à tendre au maximum la courroie afin de générer une
charge sur les pignons.
 Réglage du variateur de fréquence sur 50Hz et mettre en marche le moteur.
Mesure :

 Faire les mesures à l’aide du dispositif.

Figure 10: montage expérience 4

b. Résultats :

i. NG :

Figure 11: résultat NG expérience 4

i. AS :
Figure 12: résultat AS expérience 4

c. interprétation :
La valeur indiquée dans la figure ci-dessus correspond à la fréquence de l’engrenage, il faut
diminuer l’échelle pour pouvoir visualiser correctement la fréquence Fp.

Fp se trouve dans la bande entre 14 Hz et 16 Hz. On a pu la visualiser avec l’échelle 20Hz.


La fréquence visualisée dans la figure 6 correspond à F0 (fréquence de rotation).
Et on a Fpth=0.56F0=14.68Hz.
Donc on remarque que la valeur théorique appartient à l’intervalle expérimental.
On a trouvé des difficultés à identifier la fréquence Fp à cause de la superposition des
vibrations des différentes composantes du système.

Expérience 5 : Balourd // courroie


a. Description :
Mise en œuvre :
 On fixe un vis-écrou dans l’arbre 3 du montage précèdent (courroie).
 On règle le variateur de fréquence sur 50 et mettre en marche le moteur.

Mesure :
 Faire les mesures à l’aide du dispositif.

Figure 13: balourd positionné dans la roue du 3eme arbre

b. Résultats :
i. NG :

Figure 14: résultat AS expérience 5


ii. AS :

Figure 15 : résultats AS expérience 7

c. interprétation :
On remarque d’après la figure ci-dessus que la fréquence F3exp expérimentale, qui
correspond à la valeur du deuxième pic, est F3exp=50Hz.
Or sa valeur théorique est F3th=4.77*F0=4.77*24.88= 118.67Hz
Nous remarquons un grand écart entre l’expérience et le calcul théorique de presque 58Hz.

Cet écart est à cause de :


 L’encombrement des spectres des vibrations du système entier à augmenter la
difficulté pour identifier la fréquence F3.
 Malgré le serrage de la poulie avec la courroie, on n’arrive pas à la serrer
complètement. L’utilisation d’un galet enrouleur nous aurait pu aider à mieux faire.
IV. Conclusion

Durant ce TP et grâce à l’encadrement du professeur, nous avons réalisé


une analyse vibratoire sur une machine tournante, à l’aide d’une maquette
qui présente des éléments couramment rencontrés dans la conception de
machines tournantes industrielles.

Cette analyse permet de surveiller le fonctionnement, prévoir quand elle


va défaillir et réparer les machines seulement lorsqu’elles le nécessitent.

Mais le recours à l'analyse en fréquences comme seul outil de diagnostic


est souvent insuffisant à cause de l’encombrement de nombreux défauts
représentés dans les spectres vibratoires.

Quels autres outils aurons-nous besoin pour remédier à ce problème et


pouvoir mieux diagnostiquer nos systèmes d’étude ?
TP 2 : Analyse Des
Vibrations Des Machines
Tournantes (Vibrotest)
Introduction :
La maintenance conditionnelle est une forme de maintenance préventive qui dépend de l'état
actuel de l'équipement. Elle repose sur des informations recueillies en temps réel et sur l'expérience
de l'opérateur, ce qui la différencie de la maintenance préventive systématique, qui est effectuée
indépendamment de ces informations. Selon la norme européenne, la maintenance conditionnelle est
définie comme une "maintenance préventive basée sur la surveillance du fonctionnement du bien
et/ou des paramètres significatifs de ce fonctionnement, intégrant les actions qui en découlent". Elle
est parfois confondue à tort avec la maintenance prédictive.
Les
Paramètres peut être soit périodique, soit continue.

Etude Cinématique
 But de la manipulation :

Avant d’entamer l’étude théorique et expérimentale pour cette manipulation, on définit les objectifs
de ce TP comme suit :

• Comprendre les bases de la MCP en utilisant l’analyse vibratoire des machines tournantes
• Prévoir les démarches pratiques à mettre en œuvre pour les applications industrielles
• Identifier les méthodes, normes et procédures nécessaires
• Utiliser un appareillage spécifique et réaliser l’analyse vibratoire des machines tournantes

 Calcul des fréquences vibratoires :


L’étude de ce système revient à l’étude des éléments qui le constituent. Puisque les
fréquences propres ne changent pas d’un élément à un autre, et puisque les pulsations sont
liées à la fréquence par cette relation : 𝜔 = 2 ∗ 𝜋 ∗ 𝑓. Les pulsations aussi ne varient pas d’un
élément à un autre. Si on suppose que les arbres de transmission du mouvement rotationnel
sont des ressorts, alors on travaille avec des ressorts trop rigides, ou avec une très grande
raideur. Notre système est donc à un seul degré de liberté. Les équations de Lagrange pour
un tel système (non amorti) nous donnent une équation de mouvement vibratoire comme
suit : 𝑚 ∗ 𝑦̈− 𝑘 ∗ 𝑦 = 0. Sachant que l’expression de la solution de cette équation différentielle
est : 𝑦 = 𝑌 ∗ sin (𝜔 ∗ 𝑡). Et pour les pulsations propres liées à cette vibration : 𝜔0 = √ 𝑘 . On
calcule alors les pulsations et les fréquences propres du système pour chacune des
expériences de cette manipulation.
• Expérience 0 : Etat initial → 𝑓0 = 11 𝐻𝑧
• Expérience 1 : Balourd gauche → 𝑓0 = 29𝐻𝑧
• Expérience 2 : Balourd droit → 𝑓0 = 30 𝐻𝑧
• Expérience 3 : Balourd combiné → 𝑓0 = 42 Hz
Partie expérimentale :

 Expérience 0 : Etat initial


Pour cette première expérience, le moteur électrique ainsi que tous les autres éléments du système ;
l’engrenage denté, les accouplements et les arbres de transmission du mouvement rotationnel
subissent tous un mouvement vibratoire provenant du moteur même. On a mis des capteurs dans 6
points différents du banc pour l’étude de la dissipation de cette vibration.

 Résultats :
- Analyse globale :

- Analyse spectrale :

Résultat pour le capteur :


 Interprétation :
Dans ce cas, nous avons utilisé le logiciel Vibrotest 60 pour calculer les fréquences propres du système
à différentes vitesses et pour visualiser l'analyse spectrale. Nous pouvons constater que la fréquence
calculée théoriquement est proche de celle qui a été calculée numériquement. Cela peut être dû au
fait que nous n'avons pas ajouté de poids au côté du moteur, ce qui signifie qu'il n'y a pas d'éléments
supplémentaires pour augmenter l'amplitude de la vibration.

 Expérience 2 : Balourd gauche


Sur le et l’analyse spectrale du système.
 Résultats ::

 Interprétation :
Dans ce cas, nous avons utilisé le logiciel Vibrotest 60 pour calculer les fréquences propres du système
à différentes vitesses et pour visualiser l'analyse spectrale. Nous pouvons constater que la fréquence
calculée théoriquement est inférieure à celle qui a été calculée numériquement. L'ajout du balourd a
également augmenté l'amplitude des vibrations, ce qui était attendu étant donné que chaque poids
ajouté entraîne une augmentation positive de cette amplitude.

 Expérience 3 : Balourd droit


Sétudie l’analyse globale et l’analyse spectrale du système.
 Résultats :
Analyse globale :
 Interprétation :
Comme précédemment, nous constatons que la fréquence calculée théoriquement est inférieure à
celle qui a été calculée numériquement. L'ajout du balourd a également augmenté l'amplitude des
vibrations, comme prévu étant donné que chaque poids ajouté entraîne une augmentation positive
de cette amplitude. La différence entre l'ajout d'un balourd à gauche et à droite se manifeste par le
capteur qui affiche la valeur de vitesse et d'accélération la plus élevée. Le choix de ce capteur est très
important car il nous permet de sélectionner l'intervalle de fréquence sur lequel nous souhaitons
travailler (par exemple, une fréquence basse pour le capteur 3) et de visualiser le spectre par rapport
à cette fréquence.

 Expérience 4 : Balourd combiné


Pour cette dernière expérience, on ajoute sur le même banc de travail deux balourds. Un sur la
partie gauche du disque lié au moteur électrique, et un autre balourd sur la partie droite du moteur.
On étudie par la suite et toujours à l’aide du logiciel Vibrotest 60 les analyses globale et spectrale.

 Résultats :
Analyse globale :

 Interprétation :
Comme dans les deux expériences précédentes, nous constatons que la fréquence calculée
théoriquement est inférieure à celle qui a été calculée numériquement. L'ajout du balourd a
également augmenté l'amplitude des vibrations, comme prévu étant donné que chaque poids ajouté
entraîne une augmentation positive de cette amplitude. Lorsque des balourds sont combinés, nous
constatons une sorte d'équilibre par rapport à l'ajout de chaque balourd individuellement.

Conclusion :
Dans ce TP, nous avons étudié le mouvement de vibration d'un système et nous nous sommes
familiarisés avec deux types d'analyse : l'analyse globale et l'analyse spectrale. En tant qu'étudiants
ingénieurs, nous avons vraiment appris beaucoup grâce à cette manipulation et à l'utilisation du
nouveau logiciel Vibrotest 60. Nous avons réalisé quatre expériences : l'étude du système à son état
initial, l'ajout d'un balourd à gauche, l'ajout d'un balourd à droite et enfin l'ajout des deux balourds
ensemble, ce que nous avons appelé le balourd combiné.
TP 8 : EQUILIBRAGE
DES MASSES À PISTON
1. L’objectif de ce travail pratique

 Détermination des forces et moments d’inertie primaires et secondaires pour différentes


configuration de moteur les plus communs – moteur à un, deux ou quatre cylindres.
 Détermination des forces et moment d’inertie primaires et secondaires pour différentes

réglages de manivelle.

 Effet de l’ajout d’une masse additionnelle sur un ou plusieurs pistons en fonction du

réglage de manivelle

 Comparaison des valeurs mesurées des forces et des moments avec les valeurs

théoriques

Expérience 1

Dans cette expérience nous avons considéré 1 seul cylindre avec une configuration (0,0,0,0)

But :

Trouver les fréquences résonnantes principales de vibration pour le moteur dans sa marge de
vitesse normale, ainsi vous pouvez les éviter dans vos expériences postérieures.

Vitesse (rev/min) Force (N) x55 Moment (Nm) x4


300 39,6 21,12
350 52,8 24,8
400 59,4 41,6
450 83,6 49,6
500 173,8 56,8
550 158,4 42,8
600 154 28,8
650 162,8 45,6
700 169,4 44,4
200
180
160
140
force & moment

120
100
80 Force (N) x55

60 Moment (Nm) x4
40
20
0
300 350 400 450 500 550 600 650 700
Vitesse de rotation

On constate que la fréquence de résonance est aux alentours de 500 tr/min donc c’est cette
valeur qu’on va utiliser dans les expériences suivantes

Expérience 2 : Forces et Moments dans un moteur à deux cylindres.

Dans cette expérience nous avons considéré 2 cylindres avec une configuration (0,0,180,180)

But :

Montrez les forces et les moments dans un moteur à deux cylindres (twin 180)
Vitesse (tr/min) Force (N) Moment(Nm)
500 193,6 76,8

Expérience 3 : Forces et Moments dans un moteur à trois cylindres.


Dans cette expérience nous avons considéré 2 cylindres avec une configuration (0,0,90,180)

But :

Montrez les forces et les moments dans un moteur à trois cylindres

Vitesse (tr/min) Force (N) Moment(Nm)


500 60,5 36

Expérience 4 : Forces et Moments dans un moteur à quatre cylindres.

Dans cette expérience nous avons considéré 4 cylindres avec une configuration
(0,90,180,270)

But :
Montrez les forces et les moments dans un moteur à quatre cylindres

Vitesse (tr/min) Force (N) Moment(Nm)


500 68,2 44,8

Conclusion :

Ceci démontre que les ingénieurs préfèrent les moteurs standard 0-180-180-0 que 0-180-270-
90 grâce à leurs moments équilibrés même si ce n’est pas le cas pour les forces.
TP4 : SIMULATION DES
VIBRATIONS AVEC
MATLAB SIMULINK
TP1 : Schéma Bloc de la réponse libre d’un système à 1DDL :

L’équation du mouvement s’écrit sous la forme :


𝑑2𝑥 1 𝑑𝑥
= (−𝑐 − 𝑘𝑥)
𝑑𝑡2 𝑚 𝑑𝑡

 Pour un facteur d’amortissement 𝜻 = 𝟏


𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 1.5625 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 1𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 10𝑚

 Interprétation : le mouvement est apériodique amorti limite ou régime critique du au


système, le retour se fait rapidement à la position très proche de la position d’équi
 Libre.
 Pour un facteur d’amortissement 𝜻 < 𝟏
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5
𝑚 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 2000

𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 1𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 10𝑚

 Interprétation : dans ce cas le mouvement pris par la masse m est un mouvement


oscillatoiremais amorti ce mouvement est pseudopériodique.
𝑥(𝑡) 1 10
Le décrément logarithmique 𝛿 = 1 ln ( ) = ln ( ) = 0.2
𝑛 𝑥(𝑡+𝑛𝑇) 7 2.5

 Pour un facteur d’amortissement 𝜻 > 𝟏


𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5
𝑚 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 0.2 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 1𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 10𝑚

 Interprétation : dans ce cas le mouvement est dit apériodique amorti, le retour à la


positiond’équilibre se fait au bout d’un temps très infini.
TP2 : Schéma Bloc de la réponse libre d’un système à 2DDL :

L’équation du mouvement s’écrit sous la forme :


𝑑2𝑥1 1
𝑑𝑥2 𝑑𝑥2
= (𝑐1 + 𝑘1𝑥2 + 𝑐2 − 𝑘1𝑥1)
𝑑𝑡2 𝑚1 𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑2𝑥 1 𝑑𝑥1
= (−𝑐1 − 𝑘2𝑥2)
𝑑𝑡2 𝑚2 𝑑𝑡

𝑁𝑠
𝑚1 = 𝑚2 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝑐1 = 𝑐2 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘1 = 𝑘2 = 0.5625
𝑚
𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚1 𝑒𝑡 𝑚2 𝑣0 = 1𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚
𝑁𝑠
𝑚1 = 𝑚2 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝑐1 = 𝑐2 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘1 = 𝑘2 = 20
𝑚
𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚1 𝑒𝑡 𝑚2 𝑣0 = 100𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚

𝑁𝑠
𝑚1 = 𝑚2 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝑐1 = 𝑐2 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘1 = 𝑘2 = 0.2
𝑚
𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚1 𝑒𝑡 𝑚2 𝑣0 = 100𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚
TP3 : Simulation numérique d’une fonction échelon
L’équation du mouvement s’écrit sous la forme :
𝑑2𝑥 1 𝑑𝑥
= (−𝑐 − 𝑘𝑥 + 𝑓(𝑡) 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑓(𝑡) = 𝐹0
𝑑𝑡2 𝑚 𝑑𝑡

𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 0.1625 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚

𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 1.5625 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 10𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 20 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 10𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚 F=10N
TP4 : Simulation numérique d’une fonction créneau
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 20 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 10𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚 et F=2N

𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 20 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚 et F=0.5N
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 1.5625 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚 et F=0.5N
𝑚
TP5 : Simulation numérique d’une fonction Rampe
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 1.5625 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚 et

𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 20e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0
𝑚 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 20e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 10𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0
𝑚

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