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LES CULTURES

ASHÂ-IDA
Inspiration : Assyrie antique
Capital : UBel-Ashin
Autre principales cités :

Histoire : les Pélaves sont le peuple originel de l'Empire Æsylès, en tout cas ils se
réclament comme les héritiers de ces illustres conquérants.
Une des raisons qui précipita la chute de l'Empire c'est les incessants problème de
successions qui ont parsemés l'histoire d'Æsylès.
Quand les premiers signes de d'effondrement se sont fait sentir, le cœur de l'empire fit
sécession et désavoua toutes ces provinces et troupes.
Une guerre civile troubla le royaume en devenir, et le roi y mit fin dans une vague
d'assassinats, voire de massacre de familles entière. On dit même que dans certains cas, il
livra ses ennemis aux provinces où ils avaient eux-mêmes commis des atrocités ou pris
des décisions qui avaient menés à ces atrocités. S'assurant par-là, la reconnaissance, voire
l'amitié des anciens conquis.
Le nouveau royaume, Ashâ-Ida, fit des traités de paix avec tous les territoires limitrophes,
s'assurant ainsi la consolidation des nouvelles frontières. En promettant d'oublier leurs
idées d'expansion, Ashâ-Ida fut rapidement accepté par ses voisins et mêmes des relations
commerciales furent établies.

Régime : un royaume dirigé par l'ancien roi quasi divin qui était la figure la plus haute de
l'Empire d'Æsylès.
Administration/Organisation : L'histoire de l'empire fut entachée d'histoires de
successions difficiles. Quand Ashâ-Ida naquit son roi se débarrassera de tous ces
adversaires et prétendant au trône. Aujourd'hui, la royauté a confiné la noblesse a des
tâches subalternes, et pour son organisation centrale se base sur des hommes de basse
extraction qui n'ont aucun droit à la succession : la plupart d'entre eux sont des eunuques.
L'organisation est une bureaucratie lourde avec une armée de fonctionnaires. Aucun noble
parmi les fonctionnaires, c'est un statut dégradant pour eux. Ils conservent les tâches
symboliques et spirituelles. La plupart sont des exploitants de terres et les fonctionnaires
ne sont là que pour les surveiller et veiller qu'ils s'acquittent bien de leurs impôts.

Particularités : la barbe est un attribut de puissance. Les barbes sont élaborés, huilées et
parfumées. Seuls les nobles et le roi ont le droit de la porter. Pour les femmes ce sont les
chevelures qui sont l'objet…

Description : les Pélaves ont la peau très mate, et de long cheveux bouclés. Les nobles
portent des bijoux de toutes sortes. Les hauts fonctionaires

Mœurs singulières :
AYRENN
Inspiration : Irlande,Celtes
Capital :
Autre principales cités :

Histoire :

Régime :

Administration/Organisation :

Particularités :

Description :

Mœurs singulières :

LES BOIS SACRÉES


Inspiration : celtes, viking, Maître Tolkien
Capital : Bosquet d'Arlyon
Autre principales cités : les Bosquet d'Enlys, de Mésye, de Lynte, de Kavys et le Grand
Bosquet

Histoire : Autrefois, entre la Faille Blanche et le Grand Marais la forêt d'Urya dominait.
Lorsque le vent soufflait et que les feuilles bruissaient on disait que le monde murmurait.
Un jour Maûl fut fortement contrarié et cracha sa colère. Pendant un temps qui fut
interminable, il vomit sa haine du vivant. Des feux gigantesques brûlèrent des arbres
millénaires. Les fumées des feux assombrirent le ciel de tout le monde connu. Cela se
passait bien avant le Grand Égarement. Quand, enfin, il se calma, il ne restait plus grand
chose d'Urya. C'est à cette époque que les Menfird (une race d'homme) arrivèrent. Ils
finirent de défricher les souches calcinées et découvrirent une terre fertile. Pendant un
temps ils prospérèrent…
Les druides et druidesses étaient les sages qui guidés les hommes de la souche Menfird
qui vivaient le plus près de la Faille Blanche. Dans cette partie des restes conséquent de
Urya avait subsistée, et les Menfird de la Faille, comme on les appelait, avait décidé de
préserver ce don fait par la Nature. Dans le même temps, ils se méfiaient des villes
créatures qui vivaient dans le Forêt d'Urya, comme on appelait désormais ce qui restait la
plus grande partie de la forêt incendié, entourant un Maûl toujours fumant.
Vint, alors le Grand Égarement, les Hommes, et les Menfird n'y échappèrent pas, se
détournèrent de la Sagesse des Maïjiri, et ces derniers les abandonnèrent. Le chaos régna,
et on vit les créatures qui, jusque-là se terraient dans leur tanière, arpenter le monde des
hommes, détruisant, dévorant tout sur le passage. Et surtout l'homme connu la peur, car
celle-ci avait trouver refuge dans son cœur. Comprenant leur erreur, l'humanité revint à
la Sagesse des Maïjiri. Alors ceux-ci prirent pitié, et pardonnèrent aux Hommes leur
orgueil. Ils revinrent et à leur côté luttèrent contre le chaos.
Durant le Grand Égarement, les druides et les druidesses étaient restés fidèles aux Maïjiri
même leurs supplications ne furent pas entendues. Cependant, après le Grand Égarement
un schisme se fit entre les sages : les druides voulaient maintenir les druidesses dans un
rôle de subalternes. Ce qu'elles refusèrent. Le peuple fut divisé en deux. Fyrda la plus
illustre des druidesses emmena avec elle ceux qui voulaient la suivre. Elle s'empara de ce
qu'on appelle, aujourd'hui, les Bois Sacrés, les druides ne dirent rien car elle était très
crainte. On dit qu'elle est l'amie de la Louve Blanche, la Maïjiri protectrice de la Nature et
de la vie Sauvage. Fyrda fut la première Rheoli (celle qui dirige).

Régime : spirituel dirigé par la Rheoli, des conseils où chaque famille noble a un
représentant.

Administration/Organisation : la société des Menfird est une société de classe.


• La plus haute classe sont les druidesses et druides, avec un haut pouvoir spirituel
• Suivi des scaldes : historiens, musiciens et poètes
• Ensuite les nobles qui sont le véritable pouvoir politique
• Les hommes libres, et les churls qui sont des paysans itinérants
• Et enfin les esclaves
Les druidesses et les scaldes appartiennent en réalité à la même classe appelé Aes.

Particularités : excepté les Amazones, c'est la culture où les femmes sont les plus libres

Description : les Menfird ont la peau très blanche, on trouve toutes les couleurs de
cheveux et de yeux, c'est aussi la population où l'on trouve le plus de blondeur et de yeux
clairs.

Mœurs singulières : ont un profond respect pour la Nature : ne coupe un arbre, ou ne tue
un animal sans nécessité. Quand par exemple il y a un grand besoin de bois pour construire
une grande bâtisse des cérémonies sont organisées ainsi que des offrandes.

OUARFA
Inspiration : Berbères (Jugurtha), Numide, Byzance
Les peuples de Tamzina : c'est ainsi qu’ils s’appellent faisant référence à une mythique terre
d'origine (Tamzina).
Capitale : Kyrta
Autre principales cités : Oualgara

Histoire : Les peuples de Tamzina ont longtemps été sous la domination de l'Empire Æsylès, des
envahisseurs dont on ne connait pas les origines. Les Æsyles ont constitué les plus vaste empire
jamais conquit. Les Tamzanites sont le dernier peuple qu'ils ont conquis, et celui qui causa leur
perte aidés par le royaume voisin du Faandô Goulem. Depuis les restes de l'Empire ont été divisé
en quatre territoires : deux royaumes, Tamzi et Baqfirl, les cités-états de Ouarfa, et le Désert Noir
qui reste une zone contestée par tous.

Régime :
• Tamzi : royauté dirigé par le Agellid, un monarque quasi divin
• Baqfirl : royauté dirigé par le Agellid, un monarque quasi divin qui doit par contre être née
de le Vierge Sacrée qui se réincarne à la naissance du futur roi.
• Les Cités-États de Ouarfa : les cités sont en fait des oasis dirigés par un Amghar(imgharen
au pluriel), qui n'est souvent que le chef de la famille la plus riche.
• Le Désert Noir : ce sont souvent des chefs de guerre appelé aussi Amghar. Mais la situation
est fortement instable.
Administration/Organisation :
• Tamzi : l'Agellid se repose une bureaucratie héritée de l'empire de fonctionnaire corvéable
à merci. La méritocratie est au cœur du système. En réalité, seul les pions utiles sont
placées : c'est un clientélisme de fait.
• Baqfirl : idem à Tamzi, même si la bureaucratie est plus teinté de religiosité, la corruption
y est moins importante.
• Les Cités-États de Ouarfa : les Imgharen veillent à ce que les liens d'allégeance soient
respectés et que l'oasis fasse un maximum de profit. Les intérêts sont guidés par le
commerce fructifiant.
• Le Désert Noir : changeant…

Particularités : les peuples de Tamzina sont structurés autour d'un patriarcat fort, cependant des
femmes très puissantes tirent leur épingle du jeu, elles sont derrières de nombreuses grandes
décisions. Profitant de leur statut quasi sacrée, elles dirigent dans l'ombre et laissent les fats
pavanaient à la lumière.

Description : les Tamzanites sont de corpulence moyenne, leurs cheveux bouclés et leurs yeux
sont sombres, même si certains ont les yeux verts. Ils sont plus adepte de finesse que de force
brute.
Ils adorent la poésie, et la rhétorique.

Mœurs singulières : les femmes se tatouent le visage, et ce sont des grands cavaliers (ce qui a été
déterminant dans la chute de l'empire.

LE GRAND MARAIS
Inspiration :
Capital : -
Autre principales cités :

Histoire :

Régime :

Administration/Organisation :

Particularités :

Description :

Mœurs singulières :
GULCHÎG
Inspiration : Mongol, Gengis Khan
Capital : Shul-Ogan
Autre principales cités : Choyr-Dalan, Dirsan

Histoire : Gulchîg est une toundra, terre sans arbres, qui s'étend à perte de vue. C'est une
terre haute, où des clans nomades cavaliers et éleveurs. On connait mal l'origine des
Gulchi. Dans leur folklore, ils voyageaient à travers le monde entier, mais après le Grand
Egarement ils décidèrent de s'établir sur la toundra qu'ils baptisèrent Gulchîg, la Haute
Terre. Nombreux furent les envahisseurs qui tentèrent de s'y établir, ils durent faire face
aux fiers Gulchis. Cependant une partie de la toundra fut quand même grignoté au fur et
à mesure des siècles.
Ce sont de grands adorateurs de la Louve Blanche et de la Tisseuse, ils ne vénèrent
exclusivement que ces deux Maïjiri. La Vagabonde est crainte, elle est vue comme une
démone.

Régime : clanique

Administration/Organisation : organisation en différents clans nomades, chaque clan est


dirigé par un chef au fort pouvoir symbolique qu'il hérite d'un ancêtre illustre et de ses
faits de guerre.

Particularités : -

Description : Ils sont généralement petits, trapus, ils ont un visage large et plat, les
pommettes hautes, les yeux bridés et foncés, la peau mate voire cuivrée, les cheveux lisses
et noirs.

Mœurs singulières :

KEYALLON
Inspiration : Europe féodale, Trône de Fer, Haut Moyen Age
Capital : Caprice-Orguel
Autre principales cités : Caprice la Nouvelle, Norbay, Fierbourg, Pont-Ciel-la-Preux

Autrefois de nombreuses tribus vivaient dans cette vaste terre vallonée. Elle se faisaient
âprement la guerre. Aucun chef ne réussit à s'imposer. Un jour les légions de l'Empire
Æsylès débarquèrent et balyèrent les premières vagues keyallonnes. C’est à ce moment
que ces fiers tribus comprirent que ces guerres qu'elles se menaient depuis des siècles,
aujourd'hui les affaiblissaient. Un chef émergea : Cameron ! Il unifia toutes les tribus face
à l'horreur impériale. Il ne vainquit pas les troupes mais réussit à négocier une paix en
concédant les terres déjà conquises. Il fut le premier roi keyallon. Malheureusement, la
divergence habite le cœur du Keyallon, et il fut contesté. Habile politicien, il voulut
conserver le peu d'unité qu'il restait et négocia un scission du territoire en deux. Il laissa
la partie intérieure aux contestatires et garda la partie extérieure, mettant ainsi son
royaume entre l'Empire et le nouveau royaume. C’est ainsi que fut créée la Marche
Interne.
Quand l'empire s'effondra, les successeurs de Cameron s'emparèrent des provinces
laissés par Æsylès, renforçant ainsi Keyallon.
Aujourd'hui Keyallon est le royaume le plus puissant avec ses redoutables chevaliers. Le
roi est quasiment de droit divin, la dynastie actuelle connait des problèmes de succession,
car le roi n'a pas d'héritiers. Cependant avec l'appui de l'Eglise, la famille royale ne craint
rien. Effectivement, depuis trois décennies, la plupart des nobles les plus puissants du
royaume se sont convertis à la nouvelle religion de Lornild, le Dieu Bicéphale, dirigés d'une
main de fer par l'Eglise.

KEYALLON
Inspiration : Europe féodale, Trône de Fer, Haut Moyen Age
Capital : Caprice-Orguel
Autre principales cités : Caprice la Nouvelle, Norbay, Fierbourg, Pont-Ciel-la-Preux

Autrefois de nombreuses tribus vivaient dans cette vaste terre vallonée. Elle se faisaient
âprement la guerre. Aucun chef ne réussit à s'imposer. Un jour les légions de l'Empire
Æsylès débarquèrent et balyèrent les premières vagues keyallonnes. C’est à ce moment
que ces fiers tribus comprirent que ces guerres qu'elles se menaient depuis des siècles,
aujourd'hui les affaiblissaient. Un chef émergea : Cameron ! Il unifia toutes les tribus face
à l'horreur impériale. Il ne vainquit pas les troupes mais réussit à négocier une paix en
concédant les terres déjà conquises. Il fut le premier roi keyallon. Malheureusement, la
divergence habite le cœur du Keyallon, et il fut contesté. Habile politicien, il voulut
conserver le peu d'unité qu'il restait et négocia un scission du territoire en deux. Il laissa
la partie intérieure aux contestatires et garda la partie extérieure, mettant ainsi son
royaume entre l'Empire et le nouveau royaume. C’est ainsi que fut créée la Marche
Interne.
Quand l'empire s'effondra, les successeurs de Cameron s'emparèrent des provinces
laissés par Æsylès, renforçant ainsi Keyallon.
Aujourd'hui Keyallon est le royaume le plus puissant avec ses redoutables chevaliers. Le
roi est quasiment de droit divin, la dynastie actuelle connait des problèmes de succession,
car le roi n'a pas d'héritiers. Cependant avec l'appui de l'Eglise, la famille royale ne craint
rien. Effectivement, depuis trois décennies, la plupart des nobles les plus puissants du
royaume se sont convertis à la nouvelle religion de Lornild, le Dieu Bicéphale, dirigés d'une
main de fer par l'Eglise.

LES CITES LIBRES DU LAC D'AMBRE

Inspiration : l'Ile des Cités Pourpres (Moorcock), Braavos (Trône de Fer)


Capital : -
Autre principales cités : Neeros, Dirmapolis, Jari, Dourssala

Le grand Lac d'Ambre est bien plus une mer intérieure qu'un lac. Elle est constellée de
petites iles dont chacune constitue une cité marchande. Les marins du lac D'Ambre sont
les plus réputés du monde connu.
Si les cités se livrent une guerre féroce, il existe cependant une alliance militaire sacré
lorsqu'un ennemi extérieur les attaque.
Lors de l'expansion de l'empire Æsylès, Fokan, une des cités apeurée par les véillités
impériales a voulu faire un traité. Toutes les Cités d'Ambre se sont liguées et ont détruit
et pillés Fokan, et exterminés tous ces citoyens. On rasa toutes les constructions. Ensuite
on dispersa du sel sur le sol afin que rien ne pousse.

Royaume du FAANDÔ GOULEM


Inspiration : Egypte Pharaonique, Nubie, Empire du Mali
Capital : Mawga
Autre principales cités :

Histoire : Héritier de l'antique Empire de Lysra-Nep et de ses rois et reines divins, Faandô
Goulem est dirigé par un monarque puissant temporisé par un Conseil des Anciens encore
plus puissant. Lorsque les hommes ignorèrent les enseignements de Maïjiri, l'humanité
sombre dans une ère de ténèbres. Ce contre quoi les protégeaient les Ambivalents
lancèrent des assauts de par le monde. Des créature qui jusque-là étaient restés dans
l'ombre, sortirent de leur tanière. On vit des choses inexpliqués, la magie n'était plus
contenue : elle fit des ravages. Des civilisations s'effondrèrent. Les Hommes comprirent,
alors, leur erreur et revinrent vers les Maïjiri implorant leur pardon. Ce fut la seule fois où
le monde entier entra en communion : les Ambivalents entendirent l'Appel de l'Humanité,
et décidèrent de mettre fin au Grand Égarement. Ils luttèrent sous différentes formes
auprès des Hommes et renvoyèrent les créatures d'où elles venaient quand elles ne furent
pas éliminées.
C’est en l'An 0 après le Grand Égarement (ap.GE) que Ndjéta, général en chef des armées
de Pharaon exécuta la dernière Reine-Déesse, Djéout. Il prit le pouvoir et devint le premier
roi mortel de Faandô Goulem, il institua le Baatu Mawbé, Conseil des Anciens, à qui il
donna encore plus de pouvoir : comme celui de destituer le roi, Aardo Mawdo (le plus
grand des premiers). Ce conseil se chargea de réécrit les lois qui revenait aux anciennes
lois : le peuple devait être dirigés par un monarque fort qui assure l'équilibre de Faandô
Goulem. Et il en est ainsi depuis près d'un millénaire.
Pour asseoir son pouvoir, Ndjéta s'appuya sur les puissantes Amazones. En chef avisé, il
leur promit l'Île de Kidjari sur laquelle elles avaient des revendications, et s'assura d'une
forme d'allégeance et d'une aide militaire mutuelle, sans oublier de nombreux accords
commerciaux. Et cette alliance tient depuis plus de neuf siècles.

Régime : Chaque Adjabi, comme ils s'appellent eux-mêmes, appartient à un clan dont le
chef est le vassal direct du roi. Les clans administrent leur provinces comme elles
l'entendent en appliquant cependant quelques décrets royaux. Chaque clan a donc ses
propres lois en plus des lois royales.
Et chaque chef de clan, Aardo, est comme un roi dans son propre clan : il a droit de vie et
de mort sur chaque membre.
Un clan est à part : celui des Amazones. Elles vivent sur l'île de Kidjari au milieu du Grand
Lac. Une relation complexe les lient au Royaume de Faandô Goulem, car elles ne
reconnaissent du roi sur les Amazones, mais en même temps sont sous sa protection et
lui offrent une aide militaire.
Au départ seules les femmes Adjabi étaient Amazones, mais la légende dit que la Reine
Nefertiri, lors d'une razzia, enleva un homme Bakou (à la peau blanche) dont elle tomba
éperdument amoureuse. Leur amour dura peu, car celui-ci mourut rapidement, mais avant
fit promettre à Nefertiri de sauver sa fille d'un cruel seigneur de guerre et de la protéger.
C'est ainsi qu'elle arracha Cindolya au griffe de son tortionnaire et l'adopta. Celle-ci devint
la première Amazone Blanche et aussi la première Reine Amazone Blanche, même si son
règne fut de courte durée puisqu'elle fut assassinée, entre autres par ses demi-sœurs qui
contestaient son illégitimité, car elle n'avait pas de sang Amazone.
Administration/Organisation : une forme de fédération où le roi est le garant de l'unité. Le pouvoir
central tolère les coutumes locales des clans tant que celles-ci ne remettent pas en cause le
pouvoir royal.

Particularités : l'esclavage est pratiqué et très strictement réglementé. Les esclaves ont
des droits et peuvent se plaindre de leur maître. Il est d'ailleurs malvenu de maltraiter son
esclave, ceci rappelant l'antique voie des rois divins. L’héritage se valide par la mère :
même le roi n'y échappe pas, le fils d'une reine peut être roi, tandis que celui d'un roi ne
l'est pas forcément.

Mœurs singulières : -

ORIÉE
Inspiration : celtes, viking, Maître Tolkien
Capital : on ne sait pas. Elle est cachée
Autre principales cités : aucune grande ville

Histoire :
Autrefois, entre la Faille Blanche et le Grand Marais la forêt d'Urya dominait. Lorsque le
vent soufflait et que les feuilles bruissaient on disait que le monde murmurait. Un jour
Maûl fut fortement contrarié et cracha sa colère. Pendant un temps qui fut interminable,
il vomit sa haine du vivant. Des feux gigantesques brûlèrent des arbres millénaires. Les
fumées des feux assombrirent le ciel de tout le monde connu. Cela se passait bien avant le
Grand Égarement. Quand, enfin, il se calma, il ne restait plus grand chose d'Urya. C'est à
cette époque que les Menfird (une race d'homme) arrivèrent. Ils finirent de défricher les
souches calcinées et découvrirent une terre fertile. Pendant un temps ils prospérèrent…
Les druides et druidesses étaient les sages qui guidés les hommes de la souche Menfird
qui vivaient le plus près de la Faille Blanche. Dans cette partie des restes conséquent de
Urya avait subsistée, et les Menfird de la Faille, comme on les appelait, avait décidé de
préserver ce don fait par la Nature. Dans le même temps, ils se méfiaient des villes
créatures qui vivaient dans le Forêt d'Urya, comme on appelait désormais ce qui restait la
plus grande partie de la forêt incendié, entourant un Maûl toujours fumant.
Vint, alors le Grand Égarement, les Hommes, et les Menfird n'y échappèrent pas, se
détournèrent de la Sagesse des Maïjiri, et ces derniers les abandonnèrent. Le chaos régna,
et on vit les créatures qui, jusque-là se terraient dans leur tanière, arpenter le monde des
hommes, détruisant, dévorant tout sur le passage. Et surtout l'homme connu la peur, car
celle-ci avait trouver refuge dans son cœur. Comprenant leur erreur, l'humanité revint à
la Sagesse des Maïjiri. Alors ceux-ci prirent pitié, et pardonnèrent aux Hommes leur
orgueil. Ils revinrent et à leur côté luttèrent contre le chaos.
Durant le Grand Égarement, les druides et les druidesses étaient restés fidèles aux Maïjiri
même leurs supplications ne furent pas entendues. Cependant, après le Grand Égarement
un schisme se fit entre les sages : les druides voulaient maintenir les druidesses dans un
rôle de subalternes. Ce qu'elles refusèrent.
Les druides réclamèrent la Forêt d'Oriée et en firent leur domaines. De nombreux villages
se sont développées autour de la forêt où on cultive la terre. Quand les villageois se sentent
menacés, ils se réfugient dans la forêt.

Régime : spirituel dirigé par le Conseil des Druides.

Administration/Organisation :
La société des Menfird est une société de classe.
• La plus haute classe sont les druidesses et druides, avec un haut pouvoir spirituel
• Suivi des scaldes : historiens, musiciens et poètes
• Ensuite les nobles qui sont le véritable pouvoir politique
• Les hommes libres, et les churls qui sont des paysans itinérants
• Et enfin les esclaves
Les druidesses et les scaldes appartiennent en réalité à la même classe appelé Aes.

Particularités :

Description : les Menfird ont la peau très blanche, on trouve toutes les couleurs de
cheveux et de yeux, c'est aussi la population où l'on trouve le plus de blondeur et de yeux
clairs.

Mœurs singulières : ont un profond respect pour la Nature: ne coupe un arbre, ou ne tue
un animal sans nécessité. Quand par exemple il y a un grand besoin de bois pour construire
une grande bâtisse des cérémonies sont organisées ainsi que des offrandes.

VALGRAND
Inspiration :
Capital :
Autre principales cités :

Histoire :

Régime :

Administration/Organisation :

Particularités :

Description :

Mœurs singulières :

VESHGARD
Inspiration : Melniboné, Targaryens, Elfes décadents
Capital : Morneline
Autre principales cités : Nest, Solcrast

Histoire : les Oyiresh serait le peuple le plus anciens d'Amoondys. On ne sait pas s'ils sont
vraiment humains. Leur corps est légèrement plus froid que celui des autres peuples. Leur
civilisation est en décadence. Ils auraient joué de nombreux rôle dans l'histoire du monde
connu : conquérants, bâtisseurs, érudits. Malheureusement, l'histoire retient qu'ils ont eu
la volonté, à un moment, d'asservir les autres peuples. Cette tentative échoua
lamentablement, et s'en suivit une chasse contre les Ogresh. Ils furent quasiment
exterminés… Aujourd'hui, un petit royaume Ogresh existe sur la Dernière Roue, une
diaspora importante vit dans les deux autres Roues (Haute, Plate) : on trouve souvent des
quartiers entiers de Ogresh. Ils sont souvent pris comme bouc-émissaires, mais ce sont de
redoutables adversaires car ils maitrisent très souvent la magie !
Il existe trois grandes castes de Ogresh, basées sur des origines différentes :
• Les Korlynali : on les reconnait à leur peau mate et à leur cheveux couleur corbeau
et à leurs yeux gris
• Les Londynali : peau couleur ébène, et yeux sans iris, cheveux long et crépus : ils
se tressent souvent et plus les nattes sont complexes plus le rang est importants.
• Et les Feillynali : peau très clair et jaune, yeux bridés, et ils portent souvent des
tatouages fins : plus le tatouages est complexes plus la personnes est importantes
C'est trois castes se marient rarement entre elles, ce qui participent à leur décadence. Et
quand elles le font, chose extraordinaire l'enfant prend les traits que d'un parent ! Il n'hérite
que d'un héritage.
Et leur accouplement avec les autres peuples donne très rarement un enfant vivant.
Régime :

Administration/Organisation :

Particularités :

Description :

Mœurs singulières :

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