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Opérations unitaires de

traitement des eaux


Présenté par:
Pr ZEMMOURI.H
•Programme
• Chapitre I : La décantation

• a) Domaines technologiques
d’application
• b) Caractéristiques des suspensions.
• c) Types de décanteurs.
• Chapitre II : La coagulation-floculation

a) Domaines d’applications
b) Coagulation-floculation-précipitation
c) La précipitation chimique, Précipitation des métaux, Précipitation des composés
anioniques
d) Coagulation

• Principe de la coagulation
• Phénomènes de coagulation
• Réactifs utilisés
• Influence des paramètres de l’eau brute
• Influence des paramètres de fonctionnement (Agitation, types d’agitateurs)
• Matériels utilisés et dimensionnement d’un coagulateur
• e) La floculation

• Principe de la floculation
• Cinétique de floculation
• Mécanisme de la floculation
• Floculation péricinétique
• Floculation orthocinétique
• Matériels utilisés et dimensionnement d’un floculateur
• Chapitre III : La flottation

• a)Mise en œuvre de la flottation


• b) Cinétique de la flottation et modélisation,
• c) Thermodynamique de la flottation,
mécanismes réactionnels,
• d) Paramètres de la flottation ionique et de la
flottation de précipité
Besoins en Eau de l’Homme
L’eau est le principal constituant du corps humain. La quantité d’eau dans le corps varie
tout au long de la vie.
le poids corporel en eau d’un
nouveau-né est de 74% et il
diminue à 50% pour un homme et
à 47% pour une femme à partir de
50 ans.

• Cerveau 76 à 80 %
• Sang 83 %
• Muscle 75 %
• Os 22 %
Usages de l’eau
on utilise pour :
• s’hydrater,
• l'irrigation des cultures agricoles,
• l'industrie,
• l'eau que nous utilisons à des fins domestiques
(cuisine, lavage et nettoyage), etc.

l'eau est considérée comme l'un des indicateurs


les plus importants de la santé publique dans
toute population.
• L'eau est le stabilisateur de la Terre, car elle
contrôle les climats et nettoie l'atmosphère des
particules polluantes.

• Elle est également considérée comme le solvant


universel par excellence, car elle permet de
solubiliser presque toutes les substances,

• Grâce à l'eau que les plantes peuvent absorber


leurs nutriments.
Disponibilité mondiale de l’eau
La disponibilité de l’eau varie considérablement en fonction de la région géographique,
des conditions météorologiques et du cycle hydrologique.

1.Répartition géographique : L'eau douce n'est pas répartie de manière égale à travers le
monde. Certaines régions, comme l'Amérique du Sud et l'Asie du Sud-Est, ont des
ressources en eau abondantes, tandis que d'autres, comme le Moyen-Orient et certaines
parties de l'Afrique, connaissent des pénuries d'eau.
• 2. Cycle de l'eau : L'eau est continuellement recyclée à travers le cycle
de l'eau, qui comprend l'évaporation, la condensation, la précipitation et
l'écoulement des cours d'eau. Cependant, certaines régions peuvent
connaître des périodes de sécheresse prolongée, ce qui réduit
temporairement la disponibilité d'eau.
Cycle de l’eau
• Grâce au cycle naturel de l’eau, le stock d’eau est
constamment renouvelé.
• L’évaporation continue des océans se transforme
en précipitations au-dessus des continents, qui
approvisionnent les cours d’eau et nappes
souterraines.
• Le stock d’eau est stable et renouvelable,
• Il conditionne à la fois les réserves en eau
disponible et la préservation des écosystèmes
biologiques (zones humides, forêt).
Où se trouve l’eau?

Essentiellement à cause des


différences dans la
précipitation moyenne
annuelle, l'eau douce est
répartie de manière très peu
uniforme autour de la
planète.
3. Accès à l'eau potable : L'accès à de
l'eau potable et propre est un défi
majeur dans de nombreuses parties du
monde. Des millions de personnes
n'ont pas accès à une source d'eau
potable sûre, ce qui entraîne des
problèmes de santé et de sécurité.
4. Gestion intégrée des ressources en eau (GIRE): est une
approche holistique et coordonnée pour la gestion des
ressources en eau. Elle vise à maximiser les bénéfices
socio-économiques tout en préservant la durabilité
environnementale des ressources en eau. Voici quelques
principes clés de la gestion intégrée de l'eau :
a)Approche holistique : l’ensemble du cycle de l'eau, de la source à l'utilisation finale, en
passant par le traitement et la réutilisation..

b)Participation des parties prenantes : la participation active des gouvernements, des


communautés locales, des agriculteurs, des entreprises et les ONG, dans le processus
de planification et de prise de décision.

c) Planification à long terme : en prennant en compte les besoins actuels et futurs en


eau, ainsi que les effets du changement climatique, pour élaborer des plans à long
terme et des stratégies de gestion durable de l'eau.

d) Gestion des risques liés à l'eau : la gestion des risques liés à l'eau, tels que les
inondations et les sécheresses, en élaborant des plans d'urgence et en mettant en
œuvre des mesures d'atténuation
e) Suivi et évaluation : La collecte de données et le suivi constant de l'état des
ressources en eau, des utilisations et des impacts. Cela permet d'ajuster les stratégies
de gestion en fonction des nouvelles informations et des changements de
circonstances.
5. Pressions sur les ressources en eau : La
croissance de la population, l'urbanisation,
l'agriculture intensive et l'industrialisation exercent
une pression croissante sur les ressources en eau
dans de nombreuses régions, ce qui peut entraîner
une surexploitation et des pénuries locales
L’eau devient rare dans les années qui viennent!!!
1,1 milliard d’êtres humains ne bénéficient pas de
l’eau potable et 2,4 milliards ne disposent pas
d’installations sanitaires décentes.

Même si l’eau semble abondante, mais ses


réserves sont réparties de façon très inégale. Par
exemple: l’Asie, qui concentre près de 60 % de la
population mondiale , ne dispose que de 30 % de ces
ressources

Le manque d’eau est structurel dans le triangle qui s’étend de la Tunisie au Soudan et
au Pakistan,

Le problème de l’eau est aussi qualitatif. Plus sa consommation augmente, plus les
rejets d’eaux usées sont importants.

Dans les pays en voie de développement, 90 % des eaux résiduaires et 70 % des


déchets industriels sont rejetés sans traitement préalable dans les eaux de surface.
Quelle eau est disponible à la consommation?

Trois quarts de la surface de la Terre sont recouverts d'eau.


Soit 97 %, se trouve dans les mers et les océans,
3 % est constituée par l'eau située à l'intérieur d'un continent.
Caractéristique des eaux de
consommation dites potables
L’eau potable est une eau que l’on peut boire
ou utiliser à des fins domestiques et
industrielles sans risque pour la santé.

Elle peut être distribuée sous forme:

d’eau en bouteille (eau minérale ou eau de


source, eau plate ou eau gazeuse),

d’eau courante (eau du robinet) ou encore


dans des citernes pour un usage industriel.
Pour pouvoir être consommée en toute sécurité, l’eau doit
répondre à des critères de potabilité très strictes dictés par le
Ministère de la Santé publique.

Ces normes varient en fonction de la


législation en vigueur et selon qu’il s’agit
d’une eau destinée à la consommation
humaine ou d’une eau industrielle.

Toutes les eaux de consommation doivent répondre aux mêmes normes de


qualité, à l’exception des eaux minérales naturelles qui peuvent présenter des
caractéristiques particulières.
Critères de potabilisation
• Il existe 63 critères de potabilité de l’eau, que l’on peut regrouper en 5 grands
paramètres :
• Les paramètres physico-chimiques : ils correspondent aux caractéristiques de l’eau
tels que
• le pH,
• la température,
• la conductivité ou la dureté de l’eau et délimitent les quantités maximales à ne pas
dépasser pour certains composants comme les ions, les chlorures, le potassium et
les sulfates.

• Exemples :
• La teneur en sulfate doit être inférieure à 250 mg/l
• La teneur en chlorures doit être inférieure à 200 mg/l
• La teneur en potassium doit être inférieure à 12 mg/l
• Le pH de l’eau doit être compris entre 6,5 et 9
• Le TH soit la dureté de l’eau, qui correspond à la mesure de la teneur d’une eau en
ions calcium et magnésium, doit être supérieur à 15 degrés français.
• Une eau ne doit pas posséder moins de 60 mg/l de calcium ou 36 mg/l de
magnésium, sinon elle sera jugée trop douce : pour ne pas corroder les
canalisations, elle devra faire l’objet de minéralisation et/ou de neutralisation pour
retrouver un équilibre calco-carbonique.
• Les paramètres organoleptiques : ils concernent la couleur, le goût
et l’odeur de l’eau. L’eau doit être agréable à boire, claire et sans
odeur. Ces paramètres étant liés au confort de consommation, ils
n’ont pas de valeur sanitaire directe.

• Les paramètres microbiologiques : ils permettent de contrôler que


l’eau ne contient aucun germe pathogène, comme les virus, les
bactéries ou les parasites, pouvant provoquer des maladies, voire
de épidémies.

• Les paramètres liés aux substances indésirables : ils concernent


les substances telles que les nitrates, les nitrites et les pesticides.
– La teneur en nitrates ne doit pas dépasser 50 mg/l
– La teneur en fluor doit être inférieure à 1.5 mg/l

• Les paramètres liés aux substances toxiques : les micropolluants


tels que l’arsenic, le cyanure, le chrome, le nickel, le sélénium ainsi
que certains hydrocarbures sont soumis à des normes très sévères
à cause de leur toxicité. Leur teneur tolérée est de l’ordre du
millionième du gramme.
D’où vient l’eau qui sert à produire l’eau

potable ?
Plusieurs réserves d’eau naturelles peuvent servir à alimenter les
unités de production d’eau potable.
• 1. Eaux souterraines
Contenues dans les aquifères se trouvant sous la surface du sol, dans les pores et
les fissures des roches et dans les sédiments sous la terre.

Elles sont naturellement alimentées par les eaux de surfaces provenant des eaux
de pluie, de la neige, des cours d’eau et des infiltrations issues des rivières.

L’eau souterraine est naturellement chargée en sels minéraux mais sa composition


chimique varie suivant la nature géologique des terrains :

•Les terrains sablonneux ou granitiques fournissent une eau faiblement


minéralisée et acide.
•Les terrains calcaires fournissent des eaux riches en sels calciques,
entartrâtes et minéralisées.
• Selon le type de nappes, les eaux souterraines sont plus
ou moins sensibles à la pollution :
• Les nappes alluviales sont les plus sensibles à la
pollution puisqu’elles proviennent directement des eaux
de rivières et dépendent ainsi de la qualité de celles-ci.

• Les nappes libres, alimentées par l’infiltration des eaux


de surface sont plus sensibles que les nappes captives,
qui elles, sont séparées par une couche imperméable les
protégeant davantage des polluants.

Selon le terrain d’origine, les eaux souterraines peuvent


contenir des composés chimiques dans des proportions qui
dépassent les normes de l’eau potable (fer, manganèse,
hydrogène sulfuré, fluor, arsenic…). Dans ce cas, ces eaux
• 2. Les eaux de surface
« eaux superficielles », les eaux de surface regroupent
les eaux courantes (eaux de ruissellement, glaciers, to
fleuves, rivières) ou stagnantes (lacs, eaux de barrage,
qui sont en contact direct avec l’atmosphère. Elles p
être douces, saumâtres ou salées.

La composition de ces eaux varie en fonction des échanges


permanents entre l’eau et l’atmosphère et en fonction de la na
des terrains traversés.
Ces eaux sont rarement potables en l’état puisqu’elles se charg
polluants essentiellement bactériologiques provenant de la
consommation urbaine (rejets de station d’épuration), industrie
(solvants, métaux lourds, hydrocarbures, perturbateurs
endocriniens…) et agricole (pesticides, herbicides, nitrates…).
Eau de surfaces vs eau souterraines
Caractéristique Eau de surfaces Eau souterraines
Température Variable selon la saison Relativement constantes
Turbidité, MES Variable, parfois élevée Faible, nulle sauf en cas de
terrains fissurés
Couleur Liée aux colloïdes (argiles, AH) Liée aux éléments en solution
Minéralisation globale Variable en fonction des Sensiblement constante (> eau
terrains, précipitation, rejets, de surface même région)
Fe, Mn dissous Absent sauf en profondeur du Généralement présents
Lac
CO2 agressif Généralement absent Souvent présent
H2S Généralement absent Souvent présent
Ammoniac Présent dans les eaux polluées Souvent présent
Nitrate Peu abondants Teneur parfois élevée
Silice Généralement modérée Souvent élevée
Micropolluants Parfois présent Généralement absent
Eléments vivants Elevés (bactéries, virus, Généralement absent
planctons, …
Pourquoi traitée les eaux avant de les
consommer?
• Préserver la sante humaine

• Protéger le réseau de distribution

• « Goût » du consommateur

• Qualité de l’eau doit répondre à la législation


Qualité requise
• 1er objectif: non atteinte à la sante

• Risques microbiologiques (bactéries, virus,


parasites)
• Risques chimiques (composés toxiques)

• Utilisation de recommandations de I’OMS (à la


base de la législation)
• OMS préconise des valeurs guides
Exemples de retranscription de valeurs
guides
Paramétre OMS UE France

As 10 kg/L 10 kg/L 10 kg/L Le plus courant

Benzéne 10 kg/L 1 kg/L 1 kg/L UE plus sévère


que OMS

Cd 3 kg/L 5 kg/L 5 kg/L UE moins sévére


que OMS (+ rare)

HAP 0,1 kg/L 0,1 kg/L UE fixe norme,


pas OMS

Ba 0,7 mg/L / 0,7 mg/L Norme française


plus sévère que UE
Qualité des eaux brutes
• L’eau brute utilisée pour la production d’eau potable
doit remplir les exigences de qualité de fixés par la
législation
• Il existe 3 classes de traitement en fonction de la
qualité de l’eau (A1, A2 et A3).

• G: valeur guide (valeur de référence, niveau conseillé


aux états membres pour fixer les valeurs limite de
qualité)

• I: valeur limite impérative (niveau de contrainte


minimal)
Traitement des eaux potable
Trois facteurs déterminent le choix d’un traitement :
• La quantité : La source doit couvrir la demande, en
toute circonstance.
• La qualité : La qualité de l’eau brute dont on dispose
doit être compatible avec la législation en vigueur.
• L’économie : Le coût d’investissement et de
fonctionnement du procédé de traitement relatif à
chacune des ressources disponibles est déterminant
lors de la prise d’une décision.
Il faut signaler que les établissements distributeurs des
eaux de consommation sont responsables de la
conformité de ces eaux aux normes jusqu’à leurs
arrivées au consommateur
Traitements des eaux brutes
• A1: traitements simples + désinfection
• A2: traitement physico-chimique normal + désinfection
• A3: traitement physico-chimique poussé + affinage + désinfection

• NB: On ne tient pas compte des facteurs correcteurs


• Neutralisation Décarbonatation Reminéralisassions
• Défertisation, démagnétisation

• Au-delà de A3 (eau hors catégorie): interdiction réglementaire d


utiliser I ’eau (mais pas technique)

• Possibilité de dérogations (décrets)


Filières de traitement des eaux brute
• A1:
1. Filtration —› désinfection
2. Coagulation —› Filtration —› Désinfection
3. Oxydation —› Filtration —› Désinfection
• A2:
1. Coagulation —› Floculation —› Décantation —› Filtration —›
Désinfection
2. Oxydation —› Coagulation —› Floculation —› Décantation —›
Filtration —› Désinfection
• A3:
1. Oxydation —› Coagulation Floculation —› Décantation —›
Filtration —› Adsorption CaG —› Désinfection
2. Oxydation—› CoagulationFloculation —› Décantation —›
Filtration —› Oxydation—› Adsorption CaG —› Désinfection
Production d’eau potable

• Captage
• Traitement
• Stockage
• Distribution
Schéma d’une station de traitement
des eaux
Les traitements de l’eau doivent être évolutifs pour suivre les
éventuels changements des caractéristiques de la ressource ou
le renforcement de l’exigence des normes encadrant la qualité
de l’eau distribuée.
Filiere minimale:
Prise d eau Désinfection Distribution

Convient a une eau souterraine peu polluée


Classement des différents procédés de
base pour les eaux de surfaces
• Physiques (dégrillage, tamisage, décantation,
filtration, flottation)
• Physico-chimiques (coagulation/floculation)
• Chimiques (oxydation, échange d’ion sur résine,
procédés de neutralisation ou d’acidification)
• Biologiques (cultures bactériennes appropriées)
Description des étapes
les plus courantes du traitement.
1. CAPTAGE
Captage puis acheminement jusqu’à l’usine de potabilisation.

2. DÉGRILLAGE
Passage à travers des grilles pour arrêter les corps flottants et les gros déchets.

3. TAMISAGE
Filtrage plus fin destiné à arrêter les déchets plus petits, sable, plancton…

4. FLOCULATION – DÉCANTATION
Déversage d’un produit coagulant pour regrouper les impuretés en petits paquets (les
flocs) et éliminer 90% les matières en suspension.

5. FILTRATION
Filtrage des particules en suspension invisibles mais encore présentes, réalisé sur des
matériaux classiques (sable) ou adsorbants (charbon actifs en grain ou en poudre).
Description des étapes
les plus courantes du traitement.

6. DÉSINFECTION – OZONATION
Neutralisation de virus et bactéries pathogènes puis injection d’ozone (gaz). Parfois,
on utilise les ultraviolets.

7. TRAITEMENT SPÉCIFIQUE
Adsorption sur charbon actif. Traitement d’affinage permettant d’éliminer les
matières organiques et améliorant les qualités organoleptiques de l’eau (saveur,
odeur, limpidité).

8. CHLORATION
Ajout d’une infime quantité de chlore pour préserver la qualité de l’eau tout au long
de son parcours dans les canalisations pour atteindre les robinets.

9. STOCKAGE
Une fois rendue potable, l’eau est envoyée dans des réservoirs où elle est stockée
avant d’être acheminée par un réseau de canalisations souterraines dans les
Prétraitements
Objectifs: protéger les ouvrages de traitement et I efficacité des
traitements. Objectifs: protéger les ouvrages de traitement et I efficacité
des traitements.

1. Dégrillage
Elimination des éléments grossiers (bois, feuilles, poissons... ) par des
grilles d'écartement compris entre 1 et 4 cm,

A. Dégrillage à nettoyage manuel : pour les station anciennes. Les Grilles sont
inclinées (60-80 par rapport à l’horizontale),

Grille fixe à nettoyage


manuel
• B. Dégrillage à nettoyage automatisé
• Barres fixes inclinées, équipées d'un système
de raclage avec réceptacle pour les rebus
2. Dessablage

Extraction des graviers, sables et


particules minérales pour éviter les
dépôts dans les canaux et protéger
les pompes contre I ’abrasion.

Hydrocyclone

Chambre de dessalage longitudinale


Tamisage
• Retient les débris fins qui n’ont pas été arrêtés
par le dégrillage.
• Réalisé par des toiles (ou grilles) de mailles entre
0,15 et 2 mm.
• Micro tamisage: mailles < 100gm. Utilisation
pour éliminer algues et éléments planctoniques
Les éléments indésirable dans l’eau à traiter

• Soluble,

• colloïdales

• MES

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