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Toute transaction dans le cadre du modèle financier islamique ne doit pas aller en l’encontre de cinq principes

fondamentaux suivants :
Terme « Riba » désigne tout avantage perçu par l’un des contractants sans aucune contrepartie acceptable du point de
vue de la Sharia
AL Gharar peut être définit comme étant tout flou non négligeable au niveau d’un des biens échangés etqui présente
en soi un caractère incertain /// Pour AL MAYSIR désigne toute forme de contrat dans lequel le droit des parties
contractantes dépend d’un événement aléatoire
La sharia exige egalemnt que tout musulman ne peut traiter des biens jugés illicites ou HARAM
Ce système permet d’associer le capital financier au capital humain, et exige que la participation doive être fixé dans
une proportion et non par un bénéfice à la signature du contrat.
Ce principe de l’ « Asset Backing » permet de renforcer le potentiel en termes de stabilité et de maîtrise des risques
Les banques participatives peuvent procéder au financement de la clientèle à travers notamment les
produits ci-après :
MOUDARABA:Il s’agit d’une forme d’association entre le capital financier d’une part et le travail de l’autre.
MOUCHARAKA:Tout contrat ayant pour objet la participation, d'une banque participative, à un projet, en vue de
réaliser un profit
MOURABAHA Tout contrat par lequel une banque participative vend à son client un bien meuble ou immeuble
déterminé et propriété de cette banque à son coût d’acquisition augmenté d’une marge bénéficiaire
IJARA Tout contrat selon lequel une banque participative met, à titre locatif, un bien meuble ou immeuble déterminé
et propriété de cette banque, à la disposition d'un client pour un usage autorisé par la loi
Le Salam est un contrat généralement de court terme par lequel une institution financière verse, d'avance, les montants
correspondant à la livraison future d'une quantité définie de marchandises
L’ISTISNAA est un contrat d’entreprise en vertu duquel une partie (Moustasnii) demande à une autre (Sanii) de lui
fabriquer ou construire un ouvrage moyennant une rémunération payable d’avance
On distingue 3 critères de comparaison : finance participative vs finance conventionnelle

Les banques participatives récusent cette pratique et considerent comme du Riba, par contre, Paiement autorisé
d'intérêts débiteurs et créditeurs pour les bq cnv
L’accent ne porte pas sur la solvabilité de l’emprunteur comme les bq cnv mais sur la viabilité du projet
L’importance accordée aux implications morales des activités financées par contre on trouve dans les bq cnv le
financement de tous les types de projets dans tout les secteurs d’activité licites
Tout au long de ce travail de recherche, nous avons démontré que la finance participative représente une bonne
alternative à la finance conventionnelle mais il ne faut pas négliger le coté communication car il’ y a un nombre très
important des citoyens marocains qui ne connaissent pas la finance participative et ses produits on trouve encore dans
les limites Par contre, Ainsi, Le développement des banques participatives au Maroc, permettra d’augmenter le taux
de bancarisation, d’attirer et d’accompagner l’investissement au Maroc et de participer au développement du marché
financier marocain.
CONCLUSION: Enfin, la finance participative ne pourra jamais remplacer définitivement la finance conventionnelle.
Or,,,,,, car la majorité de la population musulmane préféreront accroitre des prêts « Halal » que de se perdre dans les
intérêts qui sont strictement interdites en islam.

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