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l’expérience marocaine de la finance participative

IMANE ENNAJY
09March 2022

: l’expérience marocaine de la finance participative

1 Introduction
:la finance islamique se considère comme une branche de finance qui se base
sur le modèle de zéro intérêt, elle sert à financer l’économie afin de réaliser la
justice sociale ,et aussi on peut dire que la Finance islamique est l’ensemble
des techniques qui permettent aux agents économiques répondre à leurs besoins
à court terme ou long terme ,sans accéder aux méthodes illicites. La finance
islamique est devenu parmi les industries financières développés aux pays musul-
mans, surtout au Maroc qui se nomme par la finance participative d’ici là on
peut poser les problématiques suivantes :est-ce-que le Maroc a pu s’adapter à ce
double système bancaire ?, est –ce- que la finance participative a pu fournir les
services néssecaires pour les clients ? mots clés : finance participative , BAM,
Maroc , expérience , Coran

2 l’histoire de la finance islamique au Maroc et


les sources de la finance islamique marocaine
et les principes de la finance islamique
2.1 histoire de la finance participative
Les activités participatives ont fait leur lancement en octobre 2007 date ou le
Wali de la BAM Abdellatif Jouahri a autorisé la commercialisation des pro-
duits alternatifs à savoir la Mourabaha, l’Ijara et la Moucharak ; cette commer-
cialisation a rencontré certains obstacles inhérents à leur cherté au manque de
compétence inssufissances de cadre réglementaire approprié, malgré des mesures
fiscales prévus en vertu de loi de finance 2010, les radicaux ainsi le double tax-
ation et limitant le paiement des droits de l’enrigistrement, Ce n’est qu’en 2014
que Le Maroc adopte dans le cadre de la loi 103-12 clairement les banques
nommées cette fois-ci participatives au nom de 3éme titre, que ça soit l’activité
des banques est encadrée par certaines principes qui la distingue des celles des
banques que l’on peut qualifier de conventionnel en effets les valeurs de la finance
peuvent se manifester à travers cinq principes primordiales : Les principes du
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la finance islamique L’interdiction de l’intérêt l’usure Est une régle fondemen-
tale de l’islam la chariaà considére l’argent comme un simple moyen d’échange
Le partage des pertes et des profits Est une principe qui se base d’éliminer le
taux d’intérêt L’interdiction de l’incertitude et spéculation Elle sert à purifier les
transactions financières réalisées par des hommes d’argent La tangiblité de l’actif
Tous les tranactions financières doit Être accompagné par un actif tangible et
réel Prohibtion illcite L’islam interdit tous les opérations illicites comme alcool
tabac Les sources de la finance islmaique on peut le diviser en deux catégories
:des sources primaires à savoir le Coran et la sunna qui se considérent comme
des sources principales ; le Coran : , un texte qui traite de manière complète et
détaillée de toutes les actions de la vie du croyant. Sur plus de six mille versets,
environ six cents contiennent des règles juridiques, tandis qu’une dizaine seule-
l’objectif de ces banques c’est fournir des solutions de financement du lo-
gement aux clients qui hésitent à obtenir des prêts bancaires standards. Donc
les banques participitives ont décidé de commercialiser des produits convenables
aux besoins de la clientéle : selon article 58 de la loi 103-12 MOUCHARAKA: est
un contrat entre Les banques islmaiques et le client, en vertu duquel LA banque
et le client apportent chacun des capitaux en vue d’un projet spécfique , il existe
2 types du contrat MOUCHARKA Définitive: LA banque participe au finance-
ment du projet de façon durable, et perçoit régulièrement sa part de bénéfices en
sa qualité d’associé copropriétaires ; MOUCHARAKA dégressive : c’est quand
la banque participe au financement de projet avec l’intention de retirer de pro-
jet. MOUDARABA: est un partenariat d’investissement ou la banque joue le
role de l’investisseur en s’engageant à financer totalement le projet ensuite Le
mode de financement proposé actuellement par les banques participative est la
Mourabaha. L’établissement bancaire achète le bien pour le revendre ensuite au
client avec une marge de bénéfice qui est convenue d’avance entre les deux par-
ties. A l’instar des tous les services des banques participatives, le système de la
Mourabaha est validé par le Conseil Supérieur des Oulémas (CSO). Toutefois,
ce mode de financement n’est pas encore couvert, les emprunteurs sont alors
contraints de recourir à une assurance standard, en attendant la validation de
la version participative qui est “Takaful”.et aussi le contrat Salam doit fixer les
caractéristiques de la marchandise, notamment en termes de nature, de type,
de quantité et de qualité. En outre, il n’est pas obligatoire que la marchandise
soit disponible et propriété du vendeur au moment de la conclusion du contrat
Salam.enfin il y a contrat ijara :Cette location peut être simple -c’est-à-dire fixer
une durée locative au terme de laquelle l’utilisateur restitue le bien-, ou bien
peut être assortie d’une option d’achat à la fin de la durée définie. Dans ce
cas-là, on parle d’ Ijara mountahia bitamlik.

4 analyse de la questionnaire
: d’après avoir appris l’histoire de l’émergence de la finance participative au
Maroc, et on a connu comment la finance islamique marocaine a pu postionner
sur le secteur bancaire dans les dernières années , donc pour savoir comment
les clients marocaines a pu s’adapter à cette nouvelle industrie on a effectué
une questionnaire pour savoir est ce que la finance participative a réuissi de
prendre la place des banques classiques ou pas? d’après les réponses de clients
à la formulaire malgré d’après cinq d’application de cette nouvelle indusrie,
la finance islamique marocaine n’a pas réuissi de changer l’avis des clients à
propos les banques conventionneles Et la preuve de cela c’est que les clients
ne connaissent la base des produits participtives à savoir la chariaa donc on
observe que la plupart des citoyens ne trouve pas que la finance participative
est un mode efficace pour le finacement ou bien pour octroyer un crédit mais
il y a une catégorie qui encourage cette industrie vue que il se base sur le zéro
intéret et interdiction des activités illicites. conculsion: La finance islamique
est une véritable alternative aux techniques financières traditionnelles. Comme

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elle propose des produits pour le financement total ou partiel de projets et
donc le partage des pertes et profits À partir de là, il est tout aussi difficile
pour les banques commerciales qu’elles le feront jamais Leur permettant de
diversifier leurs offres en accédant à des économies indépendantes de leur volonté
Raisons religieuses. Ainsi, cela formera un continuum pour leur croissance et
leur développement.

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