Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
EPIGRAPHE
SOCRATE
I
DEDICACE
Je dédie ce travail,
A ma très chère mère, Mputu Mufuta Hélène, pour tous ses nobles
sacrifices en ma faveur, elle a toujours été pour moi un exemple d’un grand esprit
féminin et d’une vive détermination. Ses soutiens financier, affectif et spirituel
restent pour moi des souvenirs inoubliables qui m’obligent de lui être
reconnaissant.
FT : Fièvre typhoïde
ZS : Zone de santé
I
REMERCIEMENTS
Je présente mes vifs remerciements à toutes les
autorités académiques et au corps professoral de
l’Université Notre-Dame du Kasayi particulièrement à
mon directeur Pr. Dr. André MUTOMBO et codirecteur
Ass. Dr. Muller Kitima Katya de m’avoir permis à arriver
jusqu’à ce point où je me vois obligé de leur être
reconnaissant pour ce travail de fin de cycle
Je remercie tous mes aimables camarades de la
promotion G3 SBM plus particulièrement MANYAYI
KALONJI Fiston, BUSHABU BUSHABU Hubert, ITUMBO
ITUMBO Arsène, BASHALA KUPA Jean-Paul et
PADIBUALU Henry.
Je présente mes profonds remerciements à des
connaissances très chères, précisément à mon ami
KANKU KANKU Simon, à KALOMBA BANTSHI Branly, à
MALASA Fariel et à MUANZA Serge.
RESUME
CONTEXE
Elle évalue les aspects épidémiologiques de cette affectation chez les enfants dans
ce milieu.
METHODOLOGIE
RESULTATS
La plupart d’enquêtes étaient âgés de 20-30 ans dans 40% avec un âge
moyen de 35,4 ans ±11 ; les enquêtés de sexe féminin ont été majoritaires dans
53,3% de cas, sex-ratio de 0,87%.
CONCLUSION
La FT est fréquente dans notre milieu, sa prise en charge doit être globale, intégrée
et rigoureuse pour prévenir ses complications.
I
INTRODUCTION
En Chine, l'incidence est de 15,3 cas pour 100000 habitants soit 0,02%
(entre 5 et 60 ans). [14 ;15 ;16].
La République Démocratique du Congo particulièrement est également
victime de cette maladie. Elle est un pays à conditions hygiéniques très
précaires. Les principaux véhicules de transmission sont l'eau et les aliments.
La prévalence étant de 0,6% et l’incidence 0,3% [29]
Au Kasaï central (ex Kasaï Occidental), l’âge le plus touché est de 1-5 ans et
le sexe masculin aussi. [30]
I.1.2. Rapports
En avant : les lèvres (région labiale)
En haut : le palais
I.1.3. Histologie
Elle est tapissée par un épithélium de type malpighien, pavimenteux
stratifié non kératinisé reposant sur une sous-muqueuse composée de glandes
salivaires. [6]
I.1.4. Vascularisation
La vascularisation artérielle est assurée par : l’artère carotide externe,
artère linguale, artère dorsale, artère linguale profonde, artère sublinguale. [5]
I.1.5. Innervation
Motrice : Le glosso-pharyngien (IX) et facial (VII): stylo-glosse et palato-
glosse. L’hypoglosse (XII): autres muscles de la langue. [5]
I.1.6. Physiologie
Au niveau de cavité buccale, les aliments sont triturés et broyés par les
dents, ce phénomène constitue la mastication; il est assuré par les mouvements de
l’inférieur (la mandibule). Simultanément, les aliments sont imbibés par la salive.
Après ce premier temps, les aliments constituent désormais le bol alimentaire. [2]
I.2. LE PHARYNX
[1]
I.2.2. Rapports
La face externe du pharynx est recouverte par le fascia péri-pharyngien et répond à
:
I.2.3. Vascularisation
Les artères naissent essentiellement de l'artère pharyngienne
ascendante, les veines se drainent par les veines pharyngiennes dans la veine
jugulaire interne. Les lymphatiques : rejoignent les nœuds rétro-pharyngiens et
jugulaires internes. [5]
I
I.2.4. Innervation
Les nerfs proviennent du plexus pharyngien
I.2.5. Physiologie
Le pharynx est doté de fonctions physiologiques complexes dans la
déglutition des nourritures, dans la phonation comme cordon de résonance. [2]
I.3. L'OESOPHAGE
I.3.2. Rapports
ŒSOPHAGE CERVICAL:
ŒSOPHAGE THORACIQUE:
A droite:
A gauche :
ŒSOPHAGE ABDOMINAL
I.3.3. Histologie
La paroi musculaire de l’œsophage est particulière, composée de 2
couches musculaires : circulaire interne et longitudinale externe dont la
composition varie en fonction de l’étage œsophagien. La grande particularité est
que la séreuse est faite de l’adventice alors que partout ailleurs elle est faite du
péritoine. [6]
I.3.4. Vascularisation
La vascularisation artérielle est assurée par les artères thyroïdiennes
supérieures et inférieures, l'artère trachéo-œsophagienne, les deux artères
œsophagiennes longues : la petite et la grande œsophagienne. [5]
I.3.5. Innervation
Les filets nerveux issus des deux troncs des nerfs
pneumogastriques/vagues, le nerf récurent gauche, le ganglion cervical inférieur,
les nerfs vagues qui vont alors rejoindre le plexus cœliaque. [5]
I.3.6. Physiologie
Il permet de conduire le bol alimentaire de la cavité buccale à
l'estomac. [2]
I.4. ESTOMAC
I.4.2. Rapports
Il est en rapports péritonéaux via le ligament gastro-phrénique, le petit
omnentum, le grand omnentum, les faux vasculaires et la bourse omnentale. Il est
aussi en rapport avec les organes et la paroi via:
Sa face antérieure
Cardia
Pylore
I.4.3. Histologie
La muqueuse gastrique est invaginée, sur le plan macroscopique, afin
de faciliter son déplissement lors du remplissage gastrique et elle est cryptique, sur
le plan microscopique. La musculeuse est faite de trois couches des fibres
musculaires : longitidinales, circulaire et obliques. [6]
I
I.4.4. Vascularisation
La vascularisation artérielle est assurée par l'artère gastrique gauche,
l'artère hépatique commune et l'artère splénique. [5]
I.4.5. Innervation
I.4.6. Physiologie
L’estomac permet, grâce au brassage gastrique, le mélange entre les
aliments et le suc gastrique produit par l'épithélium gastrique, formant ainsi le
chyme, initiant la digestion. Il est rendu possible par la survenue spontanée
d’ondes lentes de brassage dans une zone située à la jonction 2/3 supérieur, 1/3
inférieur de l’estomac : « l'aire pacemaker ». Elle produit ces ondes lentes à une
fréquence de trois par seconde. Ces ondes lentes produisent, en dépassant le seuil
de dépolarisation (-40mV), un potentiel d’action entraînant la contraction. [2]
I.5.2. Rapports
Il est en rapport en avant avec le grand Omentum qui recouvre une
partie du jéjunum en haut, en arrière le mésentère et le pédicule vasculaire
mésentérique supérieur, l'aorte avant la bifurcation iliaque, en bas on retrouve les
organes génito-urinaires, le côlon pelvien et le rectum, à droite le caecum et le
côlon ascendant, à gauche : le côlon gauche. [5]
I.5.3. Histologie
Sa muqueuse est constituée d’un épithélium formé par les villosités
muqueuses et des replis appelés microvillosités à la surface apicale des cellules
épithéliales (appelés aussi « bordure en brosse »). A la base des villosités, se trouve
les glandes tubulaires ou cryptes (appelées aussi glandes de Lieberkühn), de
cellules caliciformes, de cellules de Paneth, de cellules endocrines, de cellules dites
« intermédiaires ». La couche musculaire est classique : circulaire interne et
longitudinale externe. Cette dernière couche musculaire présente un élément tout à
fait particulier : les cellules de Cajal. [6]
I.5.4. Vascularisation
La vascularisation artérielle est sous la dépendance de l'artère
mésentérique supérieure. [5]
I.5.5. Innervation
I
I.5.6. Physiologie
Les ondes lentes de la paroi de l'intestin grêle (semblables à celles de
l'estomac mais à une fréquence de 10 à 12 par minute) produisent des contractions
segmentaires concentriques à intervalles réguliers, en réponse à la distension du
chyme. [7]
I.6.2. Rapports
Le caeco-appendice: en avant la paroi abdominale antérieure, en arrière par
l’intermédiaire du péritoine pariétal, le caecum est en rapport en avec le
muscle psoas, sur lequel descend le nerf crural et le nerf fémoro-cutané.
En dedans les anses iléales, les vaisseaux iliaques et l’uretère droit. En dehors la
fosse iliaque et la paroi abdominale latérale. [1]
I.6.3. Vascularisation
La vascularisation artérielle est sous la dépendance des deux artères
mésentériques : supérieure et inférieure. [5]
La vascularisation lymphatique :
I.6.4. Innervation
Elle provient du plexus solaire et des plexus mésentériques supérieur
et inférieur en fonction de la zone vascularisée. Elle est satellite des vaisseaux. [5]
I.6.5. Physiologie
Des contractions circulaires apparaissent au niveau du côlon par
l'association d'une contraction du muscle circulaire du côlon et des bandelettes
longitudinales, formant les haustrations. La propulsion est assurée par les
mouvements de masse. Ces mouvements n'apparaissent qu'une à trois fois par jour,
environ 15 minutes après un repas. Ils débutent par une contraction circulaire
suivie d'une contraction globale des 20 centimètres suivant la contraction initiale.
[2]
I.7.2. Rapports
Rapports antérieurs
I.7.3. Vascularisation
I.7.4. Innervation
Plexus rectal supérieur: provient du plexus mésentérique inférieur
I.7.5. Physiologie
Le rectum et l’anus sont impliqués dans le processus de défécation. La
sensation du besoin est perçue par le rectum et la continence par les muscles de
l’anus.
I
Des estimations récentes ont montré que 11,9 à 26,9 millions soit
0,2% à 0,4% de cas de FT dans le monde et 129000 à 270000 soit 0,002% à
0,004% de décès au niveau mondial liés à cette maladie se produisent chaque
année dans le monde. [33]
moins de 4 ans le taux de mortalité est dix fois plus élevé que chez les enfants de
plus de 4 ans. [24]
III.1. MATERIELS
3 Diarrhée 3602 4%
4 Amibiase 1602 2%
2 Anémie 38 7%
3 Cholera 11 2%
4 Fièvre typhoïde 9 2%
5 Diarrhée 9 2%
I
Méningite 32 0,00%
Total 98400
SECRETAIRE
MCZ
HUISSIER
CHAUFFEUR
SENTINELLE
I
III.2. METHODES
Les enquêtés majoritaires étaient âgés de 20-30 ans dans 40% des cas.
Percent
AGENT DE L'ETAT 1 3,3% 3,3%
CHOMEUR 9 30,0% 33,3%
COMMERCANT 10 33,3% 66,7%
EMPLOYE DU FONDS 1 3,3% 70,0%
SOCIAL
ENSEIGNANT 2 6,7% 76,7%
ETUDIANT 1 3,3% 80,0%
INFIRMIER 1 3,3% 83,3%
MACON 1 3,3% 86,7%
MENAGERE 3 10,0% 96,7%
SAGE FEMME 1 3,3% 100,0%
Total 30 100,0% 100,0%
La plupart d’enquêtés étaient des commerçants dans 33,3% des cas.
Tous les enquêtés soit 100% avaient déjà entendu parlé de la FT.
Tableau VI. Répartition des ménages selon le fait d’avoir dejà enregistré des
cas de FT
Tableau VII. Répartition des ménages selon le nombre des cas de FT déjà
enregistré chez les enfants.
I
Tableau VIII. Niveau de connaissance des enquêtés par rapport aux signes
cliniques de FT
VOMISSEMENTS, FIEVRE
FIEVRE 4 13,3% 43,3%
FIEVRE, ANOREXIE 2 6,7% 50,0%
FIEVRE, ASTHENIE 1 3,3% 53,3%
FIEVRE, COLIQUES 6 20,0% 73,3%
ABDOMINALES
FIEVRE, COLIQUES 1 3,3% 76,7%
ABDOMINALES,
ANOREXIE
FIEVRE, COLIQUES 2 6,7% 83,3%
ABDOMINALES,
CONSTIPATION
FIEVRE, CONSTIPATION 1 3,3% 86,7%
FIEVRE, CONSTIPATION, 1 3,3% 90,0%
VOMISSEMENTS
FIEVRE, DIARRHEE 1 3,3% 93,3%
FIEVRE, VOMISSEMENTS 1 3,3% 96,7%
SAIS PAS 1 3,3% 100,0%
Total 30 100,0% 100,0%
Tableau XI. Attitude et pratiques des enquêtés par rapport aux moyens de
prévention de la FT chez les enfants
VOS ENFANTS?
ALIMENTATION SAINE 4 13,3% 13,3%
BOIRE L'EAU POTABLE 1 3,3% 16,7%
BOIRE L'EAU POTABLE, 1 3,3% 20,0%
ALIMENTATION SAINE
HYGIENE 1 3,3% 23,3%
HYGIENE, ALIMENTATION 1 3,3% 26,7%
SAINE
LAVAGE DES MAINS 2 6,7% 33,3%
LAVAGE DES MAINS, 1 3,3% 36,7%
LAVAGE DES MAINS, 1 3,3% 40,0%
ALIMENTATION SAINE
LAVAGE DES MAINS, 2 6,7% 46,7%
BOIRE L'EAU POTABLE
LAVAGE DES MAINS, 2 6,7% 53,3%
BOIRE L'EAU POTABLE,
ALIMENTATION SAINE
LAVAGE DES MAINS, 1 3,3% 56,7%
HYGIENE
MESURES D'HYGIENE 2 6,7% 63,3%
PHARMACOPEE 2 6,7% 70,0%
SAIS PAS 9 30,0% 100,0%
Total 30 100,0% 100,0%
30% d’enquêtés ne connaissent pas ce qu’il faut faire pour prévenir la FT chez les
enfants.
Tableau XII. Nombre de cas de décès dejà enregistrés dans le ménage suite à
la FT
Tous les enquêtés ont affirmé n’avoir jamais eu des cas malheureux de décès
d’enfant suite à la FT.
I
CHAPITRE V. DISCUSSION
V.6. Niveau de connaissance par rapport aux signes cliniques de la fièvre typhoïde
Le tableau VIII prouve que les enquêtés pensent que la fièvre typhoïde
ont pour signes cliniques : la fièvre et aux coliques abdominales dans 20% des cas,
la fièvre seulement dans 13,3% des cas, fièvre et anorexie dans 6,7% des cas,
fièvre associée aux coliques abdominales et à la constipation dans 6,7% des cas,
l’anorexie seulement dans 3,35 des cas, l’anorexie et la fièvre dans 3,3% des cas,
l’anorexie associée à la fièvre et a l’asthénie dans 3,3% des cas, les céphalées et la
fièvre dans 3,3% des cas, les coliques abdominales et la constipation dans 3,3%
des cas, constipation et anorexie dan 3,3% des cas, diarrhée noirâtre et coliques
abdominales dan 3,3% des cas, diarrhée sanguinolente et fièvre dans 3,3% des cas,
diarrhée associée aux vomissements et à la fièvre dans 3,3% des cas, fièvre et
asthénie dans 3,3% des cas, fièvre associée aux coliques abdominales et anorexie
dans 3,3% des cas, fièvre et constipation dans 3,3% des cas, fièvre associée à la
constipation et aux vomissements dans 3,3% des cas, fièvre et diarrhée dans 3,3%
des cas, fièvre et vomissement dans 3,3% des cas et en fin 3,3% des enquêtés ne
savent pas les signes cliniques de la FT.
enfin de METRONIDAZOL dans 3,35 des cas. Signalons que 10% des enquêtés ne
savent pas le traitement qu’ont reçu leurs enfants ayant souffert de la FT.
Cette répartition démontre la place de la pharmacopée qui recourt aux
plantes naturelles. Ceci s’explique par le niveau économique bas des enquêtés,
n’étant pas en mesure de payer les frais de soins de leurs enfants souffrant de la FT
à l’hôpital.
En comparant nos résultats à ceux de « Utilisation des plantes au Sud-
Benin dans le traitement de la fièvre typhoïde. » [36], nous observons qu’il y a une
similarité vu que 87,6% des enquêtés affirment avoir hérité des connaissances
médicinales sur les plantes. Ceci montre de près la place de la médecine
traditionnelle dans le traitement de la FT dans des régions à faible revenu.
En comparant également nos résultats à ceux de « Systematic Review
of the global epidemiology, clinical and laboratory profile of enteric fever » [32],
nous constatons que contrairement au Chloramphénicol le plus utilise, la
pharmacopée, suivie de CIFIN et Métronidazole prédominent dans la ZS de
Tshikaji. Cette différence serait due à l’absence au manque de ravitaillement en
Chloramphénicol dans la ZS.
ruraux haïtiens sont informés sur les règles préventives contrairement à celle de la
ZS de Tshikaji. Cette différence s’expliquerait par le fait que les campagnes de
préventions font méchamment défaut dans la ZS.
CONCLUSION
Nous suggérons :
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
6. Stewens and Lowe, Le tube digestif, dans Histologie humaine. 2è Ed. De Boeck
Université; 2002. p. 177-214.
9. Typhoide. https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/typhoid
Consulté le 16/09/2021 16h12
10. Santé publique France. Fièvres typhoïde et paratyphoïdes. Point sur les
connaissances. http://www.invS.sante.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-
infectieuses/Maladies-a-declarationobligatoire/Fievres-typhoides-et-paratyphoides.
Consulté le 15/099/2021 19h34
11. Slayton RB., Date KA., Mintz ED. Vaccination for typhoid fever in sub-
saharan Africa. Hum Vaccin Immunother. 2013, 9(4): 903 - 6
12. Polonsky J.A., Martinez-Pino I., Nackers F., Chanzi P., Manangazira P.,
Chonzi P., et al. Descriptive epidemiology of Typhoid Fever during an Epidemic in
Harare, Zimbabwe, 2012. In PLOS ONE. 2014. No. 9 vol.12: p.1-16
13. DeRoek D., Jodar L., Clemens J. Putting Typhoid Vaccination on the global
Health Agenda. In N Engel J Med. 2007, p.1067-71
14. World Health Organization. Typhoid vaccines: WHO position paper. Wkly
epidemiol Rec. 2008, No. 83 vol.6: 49-60
15. HCPSP. Avis relatif à utilisation des vaccins contre la typhoïde pour faire face
aux difficultés d'approvisionnement prévisibles en raison de retrait de lots du
vaccin Typhim V I (r). En ligne :
http://www.hcps.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=291 Consulté le
20/07/2021 à 17h46
18. Pennec Y.L., Garré M. Salmonelloses de l'adulte. Editions EMC. Paris. 2003,
p. 8-18.
21. Sorell T., Selig D.J., Riddle M.S., Porter (K. Typhoid fever cases in US.
military. BMC infect Dis. 2015, 15: 424
24. Basnyat B. Tackle Nepal's typhoid problem, dans Now Nature.2015, 524:267
25. Aott, Feasey NA, Gordon MA, Keddy KH, Angullo FJ, Crump JA.(2015).
Global burden of invasive nontyphoidal salmonella disease, 2010. Emerg Infect
Dis. 2015, 21(6): p.941-9
26. Parry CM, Wijedoru L, Arjyal A, Baker S. The utility of diagnosis tests for
enteric fever in endemic locations. Expert Rev Anti Infect Ther. 2011, vol. 9 No.6:
711-25
30. Sheehan WJ., Mauger DT., Paul IM.: Acetaminophen in young children with
mild persistent asthma. N Engl J Med 375 (7).2016: p.619-630
31. Bhutta Z., Dewraj H., Current concepts in the diagnosis and the treatment of
typhoid fever. BMJ. 2006
32. Azmatullah A, Quamar FN, Thaver D, Zaidi AK, Bhutta ZA. Systematic
Review of the global epidemiology, clinical and laboratory profile of enteric fever.
J Glob Health. 2015, p.5
33. Mongale V. Maskery, B. Ochiai RL, Lee JS, Mougasale VV, Ramani E., et al.
Burden of typhoid fever in low income and middle-income countries. A systematic
litterature-based update with risk-factor djustment. Lancet Glob Health. Vol.1,
2014, p.2.
34. Bati LP., Coami A., N’koue E., « Représentations sociales associées a la fièvre
typhoïde dans les localités de la Pendjari au Benin » in International Journal
Progressive Sciences and Technologies. Vol25, No2, March 2021, p.321-333
35. Facteurs associés aux comportements préventifs face à la typhoïde chez les
individus en milieu rural en Haïti. En ligne :
https://hdl.handle.net/20.500.11794/20863 Consulté le 10/11/2021 à 20h43.
36. Dougnon V., Legba B., Yadouleton A., Agbankpe J., Koudokpon H.,
Hounmonou G., et al. « Utilisation des plantes au Sud-Benin dans le traitement de
la fievre typhoide. » in Ethnopharmacologia, No. 60, Oct. 2018.