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Dureté (matériau)

résistance qu'oppose une surface de


l'échantillon à la pénétration d'un poinçon

La dureté d'un mat ériau est définie comme la résist ance mécanique qu'un mat ériau oppose à
la pénét rat ion.

Duromètre au musée de la viscose, Échirolles.


Notion

Pour mesurer la duret é d'un mat ériau, un pénét rat eur de faible déformabilit é (cône ou sphère
en diamant , carbure de t ungst ène lié au cobalt ou acier ext ra-dur) est enfoncé à la surface du
mat ériau à t est er avec une force connue pendant un t emps donné. Plus l'empreint e laissée
est pet it e, plus le mat ériau est dur. La duret é se mesure sur différent es échelles selon le
t ype de mat ériau considéré [1].

Il exist e une grande variét é d'essais de duret é possibles, les plus courant s et les plus
familiers sont les essais de pénét rat ion ou de rebondissement pour caract ériser la duret é des
mét aux, des mat ières plast iques et des élast omères, mais les essais par rayage peuvent dans
cert ains cas offrir des possibilit és int éressant es pour caract ériser la duret é des minéraux.
Ces essais ont l'avant age d'êt re plus simples à réaliser, rapides et généralement non
dest ruct ifs. Par ailleurs, ils permet t ent d'apprécier et d'est imer dans cert aines mesures la
résist ance mécanique des mat ériaux, leur rigidit é, la résist ance des corps fragiles, et c.[1].

Mesure

Rebondissement

Hystérésis élastique d'un élastomère idéal.


La surface dans le centre de la boucle d'hystérésis correspond à l'énergie dissipée en chaleur.
La mesure de duret é par rebondissement est essent iellement ut ilisé avec des élast omères. Il
consist e à mesurer la haut eur de rebondissement d'une pet it e masse t ombant d'une haut eur
connue sur la surface du mat ériau à t est er. La masse est en acier t erminée par un diamant
arrondi. Elle t ombe en glissant dans un t ube lisse et on mesure à la volée la haut eur de son
rebond[1].

L'essai n'est pas homologué et l'énergie de déformat ion élast ique est absorbée par les
mat ériaux. Pour bien comprendre cela il faut observer les courbes de t ract ion d'un élast omère
avec cycle de charge et de décharge dans le domaine élast ique. On remarque donc que dans
le cas des élast omères, la charge et la décharge élast ique n'emprunt ent pas le même chemin
comme cela peut êt re le cas avec un mat ériau crist allin.

Dans un plan « cont raint e - déformat ion », la surface sous la courbe a la dimension d'une
énergie. L'aire sous la courbe de t ract ion élast ique correspond donc à l'énergie élast ique
absorbée par le mat ériau. L'aire sous la courbe de décharge correspond à l'énergie rest it uée
par le mat ériau. Un mat ériau « caout chout eux » ne rend donc pas t out e l'énergie absorbée,
c'est d'ailleurs pour cela qu'il est si souvent ut ilisé pour amort ir les vibrat ions.

Plus l'élast omère sera dur, plus il se comport era comme un mat ériau ordinaire de t ype
crist allin. Plus l'élast omère sera mou, plus il absorbera d'énergie élast ique. On remarque donc
ici la différence de significat ion des mot s « dur » et « mou » ent re polymères et crist allins.

Il exist e aussi une variant e de cet essai pour les alliages mét alliques. Le mode opérat oire
rest e ident ique mais l'int erprét at ion est différent e. Il s'agit dans ce cas de mesurer l'énergie
de déformat ion plast ique absorbée par le mat ériau. Si le choc est parfait ement élast ique (pas
de déformat ion plast ique, pièce à t est er t rès dure), la point e rebondit t héoriquement jusqu'à
sa haut eur de lâcher (en négligeant les frot t ement s) ; on peut relier la différence de haut eur h
à l'énergie cinét ique ΔEc absorbée lors du choc :

où m est la masse lâchée et g est l'accélérat ion de la gravit é. Dans le cas d'un objet
ext rêmement mou, la point e s'enfonce et ne rebondit pas. Les appareils sont en principe
ét alonnés pour obt enir une duret é de 100 pour un acier t rempé à 0,9 % de carbone et
d'environ 35 pour les aciers doux.

Pénétration

La mesure de duret é par pénét rat ion est la plus couramment prat iquée. Le principe est
t oujours ident ique : un pénét rat eur indéformable laisse une empreint e dans le mat ériau à
t est er. On mesure les dimensions de l'empreint e et on en déduit la duret é [1].
Dans une première approche, on peut relier de manière assez simple la limit e d'élast icit é Re
avec la surface de l'empreint e : plus l'objet pénét rant s'enfonce, plus la surface S s'agrandit ,
donc la force F ét ant const ant e, plus la cont raint e diminue. Lorsque la cont raint e n'est plus
suffisant e pour déformer plast iquement le solide à t est er, l'objet pénét rant s'arrêt e, donc :

Les valeurs de duret é obt enues grâce aux différent s prot ocoles et disposit ifs d'essais
indiqués ci-dessous sont cet t e limit e d'élast icit é Re mais les résult at s ne sont pas ident iques
car ces calculs simplifiés prennent en compt e la surface de la project ion de l'empreint e
(comme un disque ou un carré) au lieu de prendre en compt e la vraie surface de l'empreint e
(comme la surface de la calot t e sphérique ou des facet t es de l'empreint e pyramidale). Pour
garant ir des mesures reproduct ibles, la masse du mat ériaux à t est er doit êt re beaucoup plus
import ant e que celle du pénét rat eur.

Un essai Brinell et un essai Vickers sur la même éprouvet t e ne donnent pas la même valeur en
résult at , mais en ramenant par le calcul la valeur de la force à la vraie surface de l'empreint e
(respect ivement une calot t e sphérique ou une pyramide), on t ombe dans les deux cas sur la
même valeur qui est la valeur « de pression » du mat ériau solide.

Il exist e une grande variét é d'essais de duret é possibles :

duret é Vickers (HV), qui a l’échelle la plus large ;

duret é Brinell (HB) ;

duret é Knoop (HK), pour des mesures de pet it e surface ;

duret é Janka, pour le bois ;

duret é Rockwell (HR), principalement aux Ét at s-Unis ;

duret é Shore, surt out pour les polymères ;

duret é Barcol, surt out pour les mat ériaux composit es ;

duret é Vicat , pour mesurer le t emps de prise de mat ériaux de const ruct ion (plât re,
ciment …).
Essai de dureté Vickers

Art icle dét aillé : Duret é Vickers.


Principe

Principe de la dureté Vickers.

La mesure de duret é Vickers se fait avec une point e pyramidale normalisée en diamant de
base carrée et d'angle au sommet ent re faces égal à 136°. L'empreint e a donc la forme d'un
carré ; on mesure les deux diagonales d1 et d2 de ce carré à l'aide d'un appareil opt ique. On
obt ient la valeur d en effect uant la moyenne de d1 et d2. C'est d qui sera ut ilisé pour le calcul
de la duret é. La force et la durée de l'appui sont également normalisées[2]. La duret é Vickers
est donnée par la relat ion suivant e :

HV = duret é Vickers
F = force appliquée (N)
d = moyenne des diagonales de l'empreint e (mm)
g = accélérat ion t errest re (9,806 65 m s−2)

Le degré de duret é, not é Hv, est ensuit e lu sur un abaque (une t able) ; il y a un abaque par
force d'appui.

Normes

Normes européennes (EN) et int ernat ionales (ISO) :

EN ISO 6507-1 - Essai de dureté Vickers - Méthode d'essai ;


EN ISO 6507-2 - Essai de dureté Vickers - Vérification et étalonnage des machines d'essais ;

EN ISO 6507-3 - Essai de dureté Vickers - Étalonnage des blocs de référence.


Essai de dureté Brinell

Principe de la dureté Brinell.

Art icle dét aillé : Duret é Brinell.

Principe

Le pénét rat eur est une bille en acier t rempé ou en carbure de t ungst ène de diamet re D (mm),
l'empreint e est une calot t e sphérique de diamet re d. La force appliquée F est choisie dans
une gamme normalisée adapt ée à D et au mat ériau à t est er[2]. La duret é Brinell (not ée HB) est
donnée par la relat ion suivant e :

HB = duret é Brinell
F = force appliquée (N)
D = diamèt re de la bille (mm)
d = diamèt re de l'empreint e laissée par la bille (mm)

g = Accélérat ion t errest re (9,80665)


Mat ériau à t est er

La surface doit êt re plane et net t oyée (sans lubrifiant , oxyde ou calamine). Il est nécessaire
d'avoir une épaisseur suffisant e afin que la pénét rat ion de la bille ne déforme pas le
mat ériau[2]. Dans le cas cont raire, la mesure ne serait pas fiable. Il faut une épaisseur d'au
moins huit fois la profondeur h de l'empreint e.

Mode opérat oire

Placer le pénét rat eur en cont act avec la surface du mat ériau. Appliquer la force. Maint enir
cet t e charge pendant 10 à 15 secondes. Mesurer sur l'empreint e deux diamèt res à 90° l'un de
l'aut re [2]. La mesure est effect uée à l'aide d'un disposit if grossissant et d'une règle graduée
t enant compt e du fact eur de grossissement .

Normes

Normes européennes (EN) et int ernat ionales (ISO) :

EN ISO 6506-1 : Matériaux métalliques - Essai de dureté Brinell - Partie 1 : Méthode d'essai ;

EN ISO 6506-2 : Matériaux métalliques - Essai de dureté Brinell - Partie 2 : Vérification et


étalonnage des machines d'essai ;

EN ISO 6506-3 : Matériaux métalliques - Essai de dureté Brinell - Partie 3 : Étalonnage des
blocs de référence.

Norme américaine (ASTM) :

ASTM E10 : Standard method for Brinell hardness of metallic materials.

Essai de dureté Meyer

La duret é Meyer est dét erminée par le même essai de duret é Brinell. Le pénét rat eur est
ident ique à celui de la duret é Brinell, mais sa valeur est calculée, à part ir de la force appliquée
et de l’aire projet ée de l’empreint e formée selon la formule suivant e [2],[3] :

avec
Essai de dureté Rockwell

Art icle dét aillé : Duret é Rockwell.

Principe

Principe de la dureté Rockwell (échelle B, bille en acier).

Les essais de duret é Rockwell sont des essais de pénét rat ion. Il exist e en fait plusieurs
t ypes de pénét rat eurs qui sont const it ués d'un cône en diamant ou d'une bille en acier t rempé
polie. Pour obt enir une valeur de duret é Rockwell, on mesure une pénét rat ion rémanent e du
pénét rat eur sur lequel on applique une faible charge. l'essai Rockwell est simple et rapide. Il
convient pour les pièces plus pet it es et pour les duret és élevées[2].

L'essai se déroule en t rois phases :

applicat ion sur le pénét rat eur d'une charge init iale F0= 98 N (soit 10 kgf). Le pénét rat eur
s'enfonce d'une profondeur init iale I. Cet t e profondeur ét ant l'origine qui sera ut ilisée pour
mesurer la duret é Rockwell[2] ;

applicat ion d'une force supplément aire F1. Le pénét rat eur s'enfonce d'une profondeur P[2] ;

relâchement de la force F1 et lect ure de l'indicat eur d'enfoncement .

La valeur de r ét ant l'enfoncement rémanent obt enu en appliquant puis en relâchant la force
F1[2].

La valeur de duret é est alors donnée par la formule suivant e :

Échelle B, E et F

Échelle C

Une unit é de duret é Rockwell correspondant à une pénét rat ion de 0,002 mm.
Échelles

Valeur de la
force
Échelle Symbole Pénétrateur Application
totale
F 0 + F 1 (N)
Cône de diamant de sect ion
Carbure, acier et en épaisseur
A HRA circulaire à point e arrondie 588,6
mince
sphérique de 0,2 mm
Alliage de cuivre, acier doux,
alliage d'aluminium
Bille d'acier de 1,588 mm (1/16 Mat ériaux ayant une
B HRB 981
de pouce) de diamèt re résist ance à la rupt ure
comprise ent re 340 et
1 000 MPa
Acier, font e, t it ane
Cône de diamant de sect ion
Mat ériau ayant une duret é
C HRC circulaire à point e arrondie 1 471,5
résist ance à la rupt ure
sphérique de 0,2 mm
supérieure à 1 000 MPa

Cône de diamant de sect ion


D HRD circulaire à point e arrondie 981
sphérique de 0,2 mm
Bille d'acier de 3,175 mm (1/8 Font e, alliage d'aluminium et
E HRE 981
pouce) de diamèt re de font e
Bille d'acier de 1,588 mm de Alliage de cuivre recuit , fine
F HRF 588,6
diamèt re t ôle de mét al.
Bille d'acier de 1,588 mm de Cupro-nickel, alliage cuivre-
G HRG 1 471,5
diamèt re nickel-zinc

Les deux échelles les plus ut ilisées sont les échelles B et C.

Duret é Rockwell superficielle

Ces échelles sont ut ilisées pour des produit s t rès minces et pour la mesure de duret é de
revêt ement s.

Les deux échelles ut ilisées sont l'échelle N (cône de diamant ) et T (bille en acier). Dans les
deux cas, la charge init iale (F0) est de 29,4 N. Chaque échelle peut êt re ut ilisée en ut ilisant
une charge t ot ale de 147 N, 294 N ou 441 N. À not er qu'il exist e également des échelles W
(bille de diamèt re 3,175 mm), X (bille de diamèt re 6,350 mm) et Y (bille de diamèt re
12,70 mm).

Dans ce cas, une unit é de duret é Rockwell correspond à un enfoncement de 0,001 mm.

Pour les échelles N et T, la duret é est donnée par la formule :

Valeur de la force
Échelle Symbole Pénétrateur totale
F 0 + F 1 (N)
Cône de diamant de sect ion circulaire à point e arrondie
N HR15N 15
sphérique de 0,2 mm
Cône de diamant de sect ion circulaire à point e arrondie
N HR30N 30
sphérique de 0,2 mm
Cône de diamant de sect ion circulaire à point e arrondie
N HR45N 45
sphérique de 0,2 mm
T HR15T Bille d'acier de 1,588 mm de diamèt re 15
T HR30T Bille d'acier de 1,588 mm de diamèt re 30
T HR45T Bille d'acier de 1,588 mm de diamèt re 45
Bille d'acier de 12,7 mm de diamèt re, ut ilisée
T HR15Y principalement pour 147
les revêt ement s de t ype abradables

Essai de dureté Knoop

La mesure de duret é Knoop se fait avec un diamant pyramidal à base losange t rès aplat ie qui
permet d'obt enir une empreint e suffisamment grande pour une t rès faible charge. Elle est
donnée par le rapport de charge d'essai F(K) sur la surface de l'empreint e selon la relat ion
suivant e [3] :

avec

F = force appliquée (N)


l = longueur de la plus grande diagonale de l'empreint e (mm)

La duret é Knoop est part iculièrement ut ilisée pour l’ét ude des mat ériaux fragiles, d’une part
du fait de la faible profondeur de pénét rat ion la format ion de fissures est limit ée, d’aut re part
l’inégalit é de deux diagonales permet d’évaluer des anisot ropies à la surface des mat ériaux[3].
Comparaison entre les méthodes par pénétration

L'essai Brinell convient spécialement pour les mesures d'at elier. L'ét at de la surface n'est pas
besoin d'êt re part iculièrement soigné. L'essai Vickers s'adapt e bien aux mat ériaux t endres et
durs comme le plomb. L'essai Knoop permet de mesurer la duret é des mat ériaux durs et
fragiles comme le verre et la céramique [2].

Type Utilisation
Préparation de la pièce Commentaire
d'essai principale

La surface de la pièce ne
nécessit e pas une
La mét hode ayant la mise en œuvre
Brinell préparat ion ext rêmement En at elier
la plus facile des t rois mét hodes.
soignée (t ournage ou
meulage).

L'essai est simple et rapide.

Convient bien pour des duret és plus


Bonne préparat ion de surface élevées (supérieures à 400 Brinell).
(au papier de verre OO par Elle est plut ôt ut ilisée pour les
Rockwell exemple). La présence de En at elier pet it es pièces (il est nécessaire que
rayures donne des valeurs la pièce soit parfait ement st able).
sous est imées. La duret é Rockwell présent e
l'inconvénient d'avoir une dispersion
relat ivement import ant e.

C'est un essai assez polyvalent qui


Ét at de surface t rès soigné convient aux mat ériaux t endres ou
(on obt ient de pet it es En t rès durs.
Vickers
empreint es, la présence laborat oire
Il est ut ilisé généralement pour des
d'irrégularit é gène la lect ure).
pièces de pet it es dimensions.

Mesure de microdureté

Fait s sous t rès faible charge, les essais de microduret é permet t ent des mesures t rès
localisées (sur environ 100 µm2). À l'aide d'un microduromèt re, on peut par exemple
dét erminer la duret é d'une phase donnée dans un échant illon polyphasé ou celle d'un
échant illon t rès fragile et mince [3].
Mesure de nanodureté

Art icle dét aillé : Nanoindent at ion.

La nanoduret é est apparue par la nécessit é de mesurer la duret é des dépôt s minces. Elle est
basée sur le développement d'essais de nanoindent at ion, où la profondeur de l'empreint e
peut se limit er à quelques dizaines de nanomèt res. Les pénét rat eurs de t ype Berkovich sont
généralement ut ilisés du fait de leur forme simplifiée. La duret é H est donnée par le rapport
de la charge maximale appliquée Pmax à l'aire A de cont act pénét rat eur/échant illon[4].

Rayage

La mesure de duret é par rayage est la plus ancienne mét hode de mesure de la duret é qui a
donné lieu à la première échelle de duret é proposé par Mohs en 1820. Elle est définie par la
résist ance qu'oppose un mat ériau à êt re rayé [1].

Échelle de Mohs

Art icle dét aillé : Échelle de Mohs.

Elle est const it uée de dix mat ériaux de référence, dont chacun raye ceux qui sont au-dessous
de lui et est rayé par ceux qui sont au-dessus. La dernière valeur dans l'échelle correspondant
au diamant qui ne peut êt re rayé que par un aut re diamant [1].
Cristaux de talc (dureté 1).

Gypse (dureté 2).


Calcite (dureté 3).

Fluorine (dureté 4).


Apatite (dureté 5).

Orthose (dureté 6).


Quartz (dureté 7).

Topaze (dureté 8).


Rubis (forme de corindon, dureté 9).

Diamant (dureté 10).

Voir aussi

Articles connexes
Pénét rabilit é à l'aiguille

Duct ilit é

Résist ance des mat ériaux


Liens externes
Correspondance d'unit és ent re les échelles de duret é Shore (A, B, C, D, 0 et 00) ut ilisées
pour les mat ériaux polymères (ht t p://www.at omer.fr/1/1-duret e-Shore-00-A-D-mat eriaux-p
olymeres.ht ml) [archive], sur atomer.fr

Références

1. Dominique François, « Essais mécaniques sur les mét aux et alliages » (https://www.techn
iques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/essais-mecaniques-sur-les-metaux-
et-alliages-42531210/durete-des-corps-m4157/) [archive], sur techniques-ingenieur.fr.

2. Xiongjie Liu, « Développement de la caract érisat ion du comport ement local à haut e
t empérat ure des alliages mét alliques par micro indent at ion », université de technologie
de Compiègne,‎18 janvier 2017 (lire en ligne (https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-0156053
7/) [archive]).

3. Claudia Constanza Palacio Espinosa, « Ét ude du comport ement élast ique et plast ique
de revêt ement s élaborés par project ion t hermique : Mise au point d’une mét hode de
caract érisat ion des propriét és mécaniques par perforat ion et comparaison avec les
propriét és obt enues par indent at ion », université de Limoges,‎15 décembre 2016 (lire en
ligne (https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01522635/) [archive]).

4. Nanteuil Thomas, « Nanosciences : concept s, simulat ion et caract érisat ion » (https://ww
w.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/innovation-th10/nanosciences-concepts-si
mulation-et-caracterisation-42194210/) [archive], sur techniques-ingenieur.fr.

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