La gouvernance évoque le plus souvent une définition plus flexible de l’exercice du pouvoir, reposant

sur une plus grande ouverture du processus de décision, sa décentralisation, la mise en présence
simultanée de plusieurs statuts d’acteurs. Touchant à la fois à la direction d’entreprise, au contrôle
de l’administration, à la mise sur pied de budgets participatifs ou à la consultation publique urbaine,
la gouvernance recouvre aujourd’hui les types d’organisation et les intuitions politiques les plus
divers, superposés aux formes plus traditionnelles d’action publique. Définir la gouvernance revient
la plupart du temps à s’engager dans un inventaire à la Prévert désignant par exemple « toutes les
activités des agents ou de groupes sociaux, politiques, économiques, administratifs, qui contribuent
par des efforts ciblés à orienter, guider ou contrôler certains aspects ou certaines dimensions
particulières d’un système ou d’une socio-économie » La gouvernance semble ne traduire aucune
sorte de paradigme unifié, sinon une technique de guidance caractérisée par la grande diversité de
ses techniques et de ses acteurs

La gouvernance évoque souvent une définition plus souple de l'exercice du pouvoir, fondée sur une
plus grande ouverture dans les processus décisionnels, la décentralisation et l'existence simultanée
d'identités multiples d'acteurs. Touchant à la gestion des entreprises, au contrôle administratif, à la
mise en place du budget participatif ou à la consultation publique urbaine, la gouvernance recouvre
aujourd'hui les formes d'organisation et d'intuitions politiques les plus courantes, diverses,
superposées à des formes plus traditionnelles d'action publique. Définir la gouvernance équivaut
souvent à s'engager dans une liste de contrôle à la Prévert, par exemple, en spécifiant "toutes les
activités d'un agent ou d'un groupe social, politique, économique, administratif qui dirigent, dirigent
ou contrôlent des aspects spécifiques d'un domaine par des efforts ciblés". Ou dimensions
institutionnelles ou socio-économiques » La gouvernance ne semble refléter aucun type de
paradigme unifié, autre qu'une technique directrice, caractérisée par sa diversité de techniques et
d'acteurs

« La gouvernance au sens le plus large fait référence à l'ensemble des principes, des pratiques et des
sujets qui régissent non seulement la manière dont les acteurs de l'entreprise sont coordonnés,
interagissent et répartissent le pouvoir, mais régissent également les relations entre les entreprises
et les entreprises auxquelles ils appartiennent. . Des relations. Soit un environnement moins proche,
ou pour utiliser un terme commun,

La gouvernance d'une organisation est la manière dont une entreprise ou une institution choisit de
gouverner en établissant des règles internes, ce qui nécessite un meilleur équilibre des pouvoirs
entre toutes les parties prenantes telles que les dirigeants, les actionnaires, les employés, les
fournisseurs, les clients, les banques, l'État et le pouvoir en son sein. l'organisation, les différentes
parties prenantes. Afin de mieux répartir le pouvoir de l'entreprise selon les principes de la
responsabilité sociale, la transparence de l'information joue un rôle primordial afin que les
participants : Capacité à contrôler pleinement les activités de l'organisation Il peut y avoir une action
concertée autour de la décision.

La gouvernance de l’organisation est un système qui permet à une organisation de prendre des
décisions et les appliqués afin d’arriver à atteindre ses objectifs. Elle peut contenir en même temps
des mécanismes formels et des mécanismes informels tels que le premier type de mécanismes
délassant sur des processus et des structures définis et le deuxième se distingue en fonction des
valeurs et de la culture de l’organisation à laides de l’influence des gens qui dirigent l’organisation.
Ces systèmes sont menés par une ou plusieurs personnes (propriétaires, membres, mandataires
sociaux ou autres) occupant le pouvoir et la responsabilité pour aider l’organisation à aborder ses
objectifs.